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    LES O.V.N.I. PEUVENT ÊTRE DANGEREUX

     

    L’EXPERIENCE PROUVE QU’IL VAUT MIEUX NE PAS LES APPROCHER DE TROP PRES.

     

     

    Ne pas trop s’approcher des O.V.N.I. (Mon avis personnel est que les pilotes de ces engins, savent parfaitement que leur mode de propulsion est dangereux pour les humains), même s’il paraît facile de le faire et malgré notre intense curiosité, notre souci d’en savoir davantage. C’est le conseil que nous avons formulé et répété. Car il y a un danger physique à trop s’enhardir, comme le prouvent les divers exemples que je présente ici.

     

     

    Le 9 août 1962, en Floride, un chef scout aperçut un objet étrange qui venait de « tomber » dans un buisson et s’approcha. Il distingua un engin métallique d’où jaillit « quelque chose de brillant ». Il perçut comme une décharge électrique et souffrit, ensuite, de légères brûlures.

    Plus grave fut le cas de l’Argentin Douglas, chauffeur routier de son état, qui dans la nuit du 17 au 18 avril 1963, alors qu’il circulait en pleine campagne dans la région de Cordoba, fut ébloui par une vive lumière et ressentit quelques brûlures au visage. Il stoppa, mit pied à terre et se trouva en présence de trois êtres étranges qui semblaient l’attendre. Pris de panique, il tira son pistolet et ouvrit le feu dans leur direction, sans d’ailleurs, les atteindre. Mais les « intrus » réintégrèrent aussitôt leurs engins stationnés près de là. L’appareil survola plusieurs fois Douglas qui fut atteints d’autres brûlures. Le malheureux chercha du secours. Il subit  un examen médical et les praticiens parlèrent de « curieuses lésions » qu’ils ne savaient expliquer, les brûlures semblaient devenir lumineuses dans la nuit.

     

    En 1968, quatre Américains qui avaient eu des contacts avec des O.V.N.I. furent atteints de malaises divers en même temps que de troubles psychiques. Le Dr Berthold Erich Schwartz, psychiatre de l’état de New Jesey, publia, sur leur cas, une étude dans la revue « Medical Times ». Il parlait de cécité temporaire, d’affaiblissement et de troubles respiratoires.

    Le 31 décembre 1973, Mr Liefoog observa trois objets lumineux. Il rentre chez lui, les yeux larmoyant et les paupières cerclées de rouge, soit les symptômes ordinaires de la conjonctivite. Bien des témoignages, en somme, citent les mêmes désagréments : brûlures, troubles de la vue, ennuies respiratoires, affaiblissement, perte de mémoire. Henry Durant, a classé les réactions physiologiques signalées en deux catégories.

     

    Première catégorie : Paralysie instantanées, sensation  de chaleur, brûlure par proximité ou contact, sensation de décharge électrique, transpiration postérieure à l’observation, desquamation, prostration, somnolence plus ou moins prononcée, impression d’une compression du crâne, migraine, simple stupéfaction, crise d’hystérie, cécité plus ou moins prolongée à la suite d’observation rapprochée, brûlure aux yeux par radiation, sensation de picotement sur la peau, de choc électrique, de chair de poule, cheveux hérissées.

    Deuxième catégorie : Paralysie plus ou moins prolongée après avoir été touché par un rayon, brûlure plus ou moins grave par rayon, brûlure par projection d’un corps ou d’un élément incandescent de nature indéterminée, affaiblissement de l’ouïe après contact d’un rayon, cécité partielle ou totale, momentanée ou définitive, malaises plus ou moins prolongés, avec ou sans vomissements, perte de poids, somnolences léthargies.

    Paralysies partielles : Les cas cités ci-dessus ne comportent  pas la notion d’agression, infligés. Il en est d’autres qui parent de rayons délibérément orientés vers le témoin et qui lui causent des paralysies partielles de durée variable, accompagnées ou non d’autres dommages mineurs ou graves ?

     

    Le 10 septembre 1954, Marius Dewilde observa un grand engin sur les rails de la voie ferrée près de laquelle sa maison est construite. Deux êtres qu’on aurait pu prendre pour des humains d’assez petite taille marchaient alentour. Marius Dewilde s’avança. Un faisceau aveuglant de lumière aveuglant de lumière blanche sortit alors de « l’objet » et l’atteignit, un peu à la manière d’un projecteur. Notre homme fut étourdi et paralysé un certain temps. Quelques années avant sa mort, j’ai rencontré Mr Dewilde qui  m’a confirmé ces événements.

    Le 1er juillet 1965, à Valensole, en Haute Provence, Maurice Masse observa un étrange engin posé dans  son champ et près duquel se tenaient également deux petits êtres. L’une de ces créatures sortit un objet d’un étui et dirigea un rayon vers « l’intrus », lequel fut immédiatement paralysé et le resta jusqu’au départ des visiteurs et de leur mystérieuse machine volante. Ils existent donc bel et bien, ces fameux rayons, tout comme dans les films de science-fiction. Mais ce n’est pas tout : il y en a toute une variété, toute une gamme, et chaque modèle n’a pas les mêmes effets. La « Société d’investigation Scientifique dans l’inconnu » a effectué une étude minutieuse et détaillée sur les effets physiologiques provoqués par les O.V.N.I. et publié ses premières conclusions dans la revue « Inforespace »

    Ce travail classe les rayons en cinq catégories bien définies.

     

    Les rayons blancs : Ils provoquent des troublent de vue, des nausées, des pertes de poids, des brûlures légères, des amnésies et des états d’hypnose (pour le chercheur l’aspect amnésie est assurément le plus regrettable puisqu’il rend suspects, par définition, les récits et témoignage).

    Les rayons bleus ou violets : Ils sont responsables de pertes de poids, d’états d’hypnose, de douleurs dans les membres, des paralysies, de taches jaunes ou bleues sur tout le corps. Et, cette fois encore, d’amnésies partielles.

    Les rayons rouges : Ils occasionnent des troubles de la vue, des états d’hypnose, des douleurs dans la tête et les riens, des brûlures au premier et au deuxième degré.

    Les rayons orangés : Ils sont facteurs de paralysies et d’éruptions cutanées (érythème).

    Les rayons verts : Ils sont, de loin, les plus nocifs, les plus redoutables. Ils provoquent des douleurs généralisées, des pertes de poids, des apparitions de taches sur le corps, des nausées, des brûlures graves et, parfois, même la, mort par leucémie ou aphasie médullaire, c’est-à-dire destruction des cellules souches sanguines. Oui, il faut en être conscient, ces mystérieux phénomènes peuvent provoquer mort d’homme. Le cas le plus affligeant que l’on ait eu à déplorer et que l’on connaisse avec le plus de détails est intervenu au Brésil voici quelques années. La victime fut un bûcheron. Et voici comment sa femme a rapporté le dramatique événement : Nous rentrions chez nous. Une grande machine ronde était posée devant notre maison et trois petits « hommes » étaient près  d’elle. Mon mari leur cria de partir. Comme ils n’en faisaient rien, il prit son fusil et tira sur l’un d’eux qui tomba. Les deux autres l’emportèrent à l’intérieur de la machine et celle-ci s’éleva de quelques mètres. Il en sortit, alors, un trait lumineux qui toucha l’épaule gauche de son mari et le blessa grièvement. Si grièvement, en vérité, qu’il fallut de toute urgence transporter le malheureux à l’hôpital. Il mourut trois jours plus tard sans que l’on ait décelé la nature précise de son mal.

    L’autopsie fut pratiquée. Elle révéla qu’un grand nombre de cellules avaient été touchée par un rayon. Une hyper leucémie s’était ensuite déclarée et très rapidement propagée, assez comparable à celle que peut provoquer une puissance irradiation radioactive.

     

    Prudence, donc, je ne cesserais de répéter en présence des visiteurs de l’espace. Et pas d’agressivité, surtout. Les « petits êtres » ont surabondamment prouvé qu’ils avaient de quoi se défendre ou riposter. Vienne le jour où s’établira un code intersidéral de bonnes manières, où l’on connaîtra par tout l’Univers les gestes de l’intention pacifique, voir de l’amitié ! Que tout nos ufologues de 2009 pensent plus sérieusement à ce problème cela permettrait d’avancer plus rapidement dans cette recherche.

     

    CLAUDE BURKEL pour la taverne - 17 avril 2010

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    LE SORT TRAGIQUE DES LOUPS-GAROUS

    Malades mentaux, drogués ou possédés par le diable ?

     

    « C’était un jeune garçon âgé, les yeux hagards, enfoncés et noirs. Il avait les dents fort longues, claires, larges plus que le commun, les ongles aussi longs, certains noirs depuis la racine jusqu’au bout et on eût dit qu’ils étaient à demi-usés et plus enfoncés que les autres… » Ce portrait peu engageant, c’est celui que les chroniqueurs firent, au XVIe siècle, d’un certain Jean Grenier arrêté au terme d’une longue poursuite, jugé et condamné comme… loup-garou !


    « Ce qui montre clairement qu’il a fait le métier de loup-garou, continue, en effet, le rapport de police sur Jean Grenier, et comme il usait de ses mains et pour courir et pour prendre les enfants et les chiens à la gorge, il avait une merveilleuse aptitude à aller à quatre pattes. Il me confessa, aussi, qu’il avait inclinaison à manger de la chair des petits enfants, parmi lesquels les petites filles lui étaient en délices parce qu’elles sont plus tendres. »

    Ces êtres, mi-homme mi-bêtes ont toujours fasciné les populations. Le premier cas de loup-garou est, en réalité, un cas de bœuf-garou. Il s’agit, en effet, du roi de Babylonne Nabuchodonosor II transformé par le diable en bœuf et qui allait brouter l’herbe autour de son palais. Mais c’est à un roi de la mythologie, Lycaon, souverain d’Arcadie, que l’on doit le nom savant donné au phénomène de la lycanthropie. Lycaon aurait, en effet, été transformé en loup pour avoir osé offrir un sacrifice humain à Jupiter. Pourtant, c’est au Moyen Age que la lycanthropie connut vraiment son apogée. A l’époque où l’on poursuivait dans les campagnes les sorciers, les magiciennes et autres jeteurs de sort. Les peuples primitifs ont toujours voué un culte à l’animal et ont essayé d’acquérir ses pouvoirs. Avant de partir à la chasse les Indiens chantent :

    « Je suis un vrai loup, un vrai daim, un vrai renard et un véritable opposum ».

    Pour hâter la transformation ils hurlent longuement comme le loup, glapissent comme le renard et grattent la terre de leurs prétendues pattes. Les sorciers, plus tard, firent de même pour épouvanter leurs semblables et les subjuguer par leurs pouvoirs. Comment devenait-on loup-garou ? Avec l’aide du diable, bien sûr. Mais aussi grâce à quelques « trucs ». La plus simple était de se couvrir de la peau de l’animal et de poser son masque sur le visage. Mais, parfois, une simple ceinture faite de sa fourrure suffisait. On pouvait, aussi, boire l’eau laissée dans l’empreinte de l’animal sur le sol. Ou, encore, comme pour se rendre au sabbat, s’enduire d’un onguent fait de chair de l’animal mêlée à des herbes et des racines mystérieuses dont celle de la belladonne. En y ajoutant force incantations, naturellement ! Et pour revenir à une forme humaine ? Parfois il suffisait d’enlever la peau de l’animal. Mais on pouvait aussi se plonger dans l’eau, se rouler dans la rosée des prés, brouter un buisson de roses, être appelé soudain par son nom de baptême, recevoir trois coups de couteau au front ou perdre trois gouttes de sang. Le drame c’était lorsque le retour à l’état humain dépendait d’une tierce personne. Car il suffisait alors qu’elle disparaisse ou soit tuée pour que le loup-garou erre éternellement sous la forme de la bête.

    A quoi reconnaissait-on un loup-garou d’un vulgaire loup ? A ses yeux, tout d’abord. Si l’homme prenait, en effet, l’apparence de l’animal, ses yeux restaient ceux d’un être humain. On prétend aussi qu’il n’avait pas de queue. Enfin quand ils dévoraient une proie les loups-garous se gardaient toujours- par un reste de terreur religieuse sans doute- de manger la tête ou le côté droit de leur victime, celui qui est marqué du signe de la croix. Si un loup-garou était blessé au cours de ses folles escapades on retrouvait sur l’homme la trace de ces blessures, une fois qu’il avait repris son apparence naturelle. C’est ainsi, bien souvent, qu’on le découvrait. Comme le prouve cette aventure survenue à un gentilhomme d’Auvergne.

    Celui-ci rencontra, un jour, un de ses amis de retour de la chasse. Il l’invita à prendre une collation en son château et à lui raconter son expédition. Le chasseur ne se fit pas prier et raconta comment il avait affronté un énorme loup. Il l’avait tiré, manqué mais en se battant au corps à corps avec lui, il avait fini par le mettre en fuite en lui coupant une patte. Le chasseur, ouvrant sa besace, s’apprêtait à montrer à son hôte sa prise, lorsque, à sa grande surprise, il retira de son sac… une main de femme couverte de bagues ! Le visage de son interlocuteur devint livide, il contempla la main humaine, puis se précipita vers les appartements de son épouse. Il la découvrit se chauffant au coin de la cheminée, les mains dissimulées dans un ample manteau. Il lui saisit le bras, pris d’un affreux doute, et découvrit le poignet sectionné de la jeune femme. Convaincue de sorcellerie et de lycanthropie, la noble dame fut brûlée quelques semaines plus tard, sur la grande place de Riom. Tel était, en effet, toujours le sort des loups-garous : la roue ou le bûcher. Tant ils inspiraient de peur aux villageois. D’ailleurs dès qu’un loup-garou était signalé on organisait dans les villages d’incroyables battues auxquelles tout le monde participait.

    Mais les paysans croyaient-ils vraiment à la réalité de la transformation ?

    De grands esprits comme Paracelse et des juges réputés, comme le grand chasseur de sorcières Jean Bodin, en étaient intimement persuadés.

    « Si nous confessons, écrivait Bodin, que les hommes ont bien la puissance de faire porter des roses à un cerisier, des pommes à un chou et changer le fer en acier et la forme d’argent en or et faire mille sortes de pierres artificielles qui concurrencent les pierres naturelles, doit-on trouver étrange si Satan change la figure d’un corps en l’autres. »

    En revanche, beaucoup d’autres savants ou pères de l’église comme saint Jérôme ou saint Thomas estimaient qu’il n’y avait pas transformation réelle, mais simplement hallucination de la part du sujet, une hallucination telle qu’elle pouvait se communiquer aux assistants. Comme les sorcières qui croyaient se rendre au sabbat alors qu’en fait elles étaient seulement endormies sous l’action de drogues hallucinogènes, les loups-garous croyaient, se transformer en animaux, tout en restant simplement endormis. Ainsi une femme qui se vantait d’être un loup-garou parut devant les juges. Devant eux elle s’enduisit d’un onguent mystérieux et tomba dans un sommeil profond. Trois heures plus tard elle se réveilla et prétendit avoir dévoré une brebis et une vache près d’un petit village voisin. On s’y rendit… et tout ce qu’elle avait décrit était parfaitement exact. Alors qui croire ? L’explication c’est peut-être Eliphas Levi, l’un des maîtres de l’occultisme qui la donne :

    « Un loup-garou, dit-il, n’est autre chose que le corps sidéral d’un homme dont le loup représente les instincts sauvages et sanguinaires et qui, pendant que son fantôme se promène ainsi dans la campagne, dort paisiblement dans son lit et rêve qu’il est un véritable loup… les coups portés aux loups-garous blessent réellement la personne endormie par congestion sympathique de la lumière astrale, par correspondance du corps immatériel avec le corps matériel. »

    C’est peut-être, en effet, l’explication. En tout cas si chez les peuples primitifs les hommes-tigres, les hommes-loutres, les hommes-renards continuent d’être révérés à l’égal des sorciers, chez nous les loups-garous ne sont plus traités comme des criminels mais comme des malades qu’il faut d’abord soigner.

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    Source : recherches et données personnelles.

     

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    LE GRAND SERPENT DE MER

    1897, un navire tire sur deux animaux marins géants

     

     

    En juillet 1897, la canonnière française Avalanche patrouillant dans le nord de la baie d’Along, au Tonkin, essaie de tuer deux « serpents de mer ». C’est la première fois qu’un bâtiment de guerre tire au canon contre une de ces créatures qui comptent parmi les plus fameuses énigmes de la zoologie.

     

    L’Avalanche n’est pas le premier navire à trouver de tels animaux dans la baie d’Along, mais c’est le seul qui effectue trois rencontres en huit mois, et son expérience constitue un des plus importants témoignages en faveur de l’existence du Grand Serpent de mer. Révélés dans le numéro du 5 mars 1898 du Courrier d’Haïphong, les démêlés du lieutenant de vaisseau Lagrésille et de son équipage avec les monstres marins commencent en juillet 1897 au cours d’une patrouille au large de la baie d’Along. Si l’on en croit la déposition de l’officier, deux animaux longs d’une vingtaine de mètres et d’un diamètre de deux à trois mètres apparaissent subitement à la surface des eaux. Contrairement à des serpents, ils se déplacent en ondulant verticalement. Immédiatement, Lagrésille fait armer un des canons-revolvers du bord et ordonne un tir à 600 mètres. Le coup est légèrement trop court et les deux animaux effrayés plongent « en soufflant bruyamment et en laissant à la surface un remous analogue à celui des brisants ». Les témoins ont le temps de noter la petite dimension de leur tête.

    Relativement fugitive, cette première observation ressemble à la plupart de celles faites antérieurement sur toutes les mers du monde. La deuxième se révèle beaucoup plus mouvementée. Le 15 février 1898, alors que l’Avalanche traverse la baie de Fai-Tsi-Loung, au nord de la baie d’Along, deux bêtes semblables à celles de la première rencontre se profilent sur la mer. Cette fois, Lagrésille n’hésite pas et fait mettre le cap sur elles. A 300 ou 400 mètres de la cible, les canons-revolvers tonnent et au moins deux coups au but sont enregistrés sur l’un des animaux ; apparemment, aucun ne le blesse. L’une des bêtes disparaît cependant dans les profondeurs et l’Avalanche tente d’éperonner l’autre, mais l’animal est trop rapide. La canonnière le poursuit ensuite parmi les îlots de Fai-Tsi-Loung. La chasse, vaine, dure une heure et demie, pendant laquelle les marins français observent à loisir l’animal. Sa taille avoisine la trentaine de mètres, sa peau est grise et lisse, ses nageoires sont noires et chacune de ses émersions est précédée d’un jet de vaporisation d’eau issu de la violence de sa respiration. Quand il plonge, on peut suivre sa trace grâce aux remous de 4 à 5 mètres de diamètre que provoquent ses ondulations verticales. Sa tête ressemble à celle d’un phoque, mais elle est deux fois plus grosse, et des formes en dents de scie suivent la ligne de son dos.

    Le 26 février 1898, Lagrésille invite à son bord le commandant Joannet ainsi que neuf officiers du cuirassé Bayard, lesquels se sont moqué de lui à propos de cette histoire, la veille, lors d’une réception. Au cours du repas de midi, alors que la canonnière se trouve à nouveau dans la baie de Fai-Tsi-Loung, un marin vient leur annoncer que deux « serpents de mer » sont en vue. L’Avalanche donne la chasse à l’une des bêtes durant 35 mn et Lagrésille et ses invités l’aperçoivent distinctement à environ 200 mètres. Deux des officiers possèdent un appareil photographique : le temps de l’armer, l’animal est déjà trop éloigné pour qu’ils puissent espérer en prendre un cliché net. De retour à bord du Bayard, le commandant Joannet met au courant l’amiral de La Bédollière, qui fait télégraphier au gouverneur général Paul Doumer, futur président de la République, pour l’informer de l’observation et de son intention d’organiser une « battue » avec canonnières et canots à vapeur pour essayer de capturer l’un des animaux. Mais des incidents frontaliers avec la Chine l’empêchent de mettre son projet à exécution : les serpents de mer, une fois de plus, emportent leur secret au fond de l’eau…

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    DES MONSTRES A PROFUSION

     

    Depuis l’Antiquité, les marins n’ont cessé de se retrouver face au « serpent de mer ». Mais la plupart des relations survenues jusqu’au XVIe siècle manquent de précision. Certaines des rencontres récentes sont quelquefois extraordinaires.

    En 1876, le vapeur britannique Nestor aperçoit dans le détroit de Malacca un monstre à la longueur stupéfiante d’environ 65 mètres dont la queue cylindrique ferait 45 mètres à elle seule… De tels chiffres laissent à penser que l’équipage a, en fait vu un adulte et ses petits nageant l’un derrière l’autre.

    Le 30 juillet 1915, le sous-marin allemand U-28 coule le vapeur britannique Iberia. Le bateau explose entre 100 et 200 mètres de profondeur et, avec les débris projetés en l’air, une sorte de gigantesque crocodile marin d’une vingtaine de mètres de long est éjecté et retombe en se débattant dans l’eau.

    Le 30 décembre 1947, le paquebot américain Santa Clara heurte, au large de la Caroline du Nord, un animal en forme d’anguille d’une quinzaine de mètres de long, qui coule après s’être débattu un moment dans une large flaque de sang. Vingt-deux ans plus tôt, au large de l’Australie, c’est le cargo français Saint-François-Xavier qui a tué avec son hélice une énorme bête à anneaux avec un aileron sur le dos.

    En octobre 1969, le sous-marin de poche Alvin se retrouve face à face, au large des Bermudes et par 270 mètres de profondeur, avec un grand animal à tête de reptile, à long cou et avec des nageoires. La bête disparaît avant d’avoir pu être filmée.

    Le 10 avril 1977, le chalutier japonais Zuiyo Maru remonte une dépouille monstrueuse de plus de 10 mètres, non loin de la Nouvelle-Zélande. Elle dégage une telle odeur que le commandant la fait rejeter à la mer. Les photographies montrent un animal à long cou et à longue queue ressemblant à un plésiosaure. Elles font la une au Japon et la bête inspire même, par la suite, un personnage de bande dessinée…

     

    Source- Données personnelles/Mars 2010

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    DES CHIRURGIENS VENUS D’UNE AUTRE PLANETE

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    Contrairement à ce que les témoignages peuvent laisser entendre, la rencontre avec des humanoïdes ou l’observation rapprochée des O.V.N.I. n’entraînent pas nécessairement des désagréments ou des maladies. Les archives de l’ufologie contiennent des récits de guérisons spectaculaires consécutives à l’apparition d’un phénomène extra-terrestre. Certains les rejetteront d’emblée en soutenant que les prétendues guérisons ne sont, en fait, que l’élimination, sous l’effet d’un traumatisme psychologique violent, d’une maladie psychosomatique. Pourtant, si quelques cas peuvent se prêter à une telle interprétation, d’autres, par leur caractère extrêmement spectaculaire et tangible, constituent de véritables énigmes médicales.

     

    Le cas de guérison le plus extraordinaire est certainement celui d’une jeune fille brésilienne atteinte d’un cancer de l’estomac. Tous les traitements qu’elle avait subis s’étaient révélés vains et ses souffrances augmentaient de jour en jour. C’est une jeune femme de 37 ans, engagée comme gouvernante au service de la malade qui, dans une lettre du 14 mai 1958 adressée à Joao Martins, du magazine O Cruzeiro, chargé, à l’époque, d’écrire une série d’articles sur les O.V.N.I., raconte comment la jeune fille mourante a été sauvée par… des chirurgiens venus d’une autre planète qui ont pratiqué l’ablation de la tumeur gastrique.

     Voici le texte intégral de cette extraordinaire lettre :

    « J’ai remarqué vos articles et désire vous en féliciter. Je crois en l’existence des objets appelés « soucoupes volantes » parce que je fus témoin d’un évènement en rapport avec ses engins. Je ne sais si vous me croirez, mais je jure, sur ce que j’ai de plus sacré, que ce que je dis est la vérité. Je suis pauvre, mais honnête, et je ne désire pas mentionner mes vrais noms, comme vous pouvez le comprendre. Je m’appelle Anazia Maria, j’ai trente-sept ans et je vis maintenant à Rio de Janeiro. J’ai travaillé jusqu’en décembre 1957 chez Monsieur X…, mon ancien patron. C’est un homme riche de Rio, pardonnez-moi de ne pas vous donner son nom. Sa fille avait un cancer de l’estomac. Elle souffrait terriblement et j’avais été engagée pour servir de gouvernante et surtout pour m’occuper de la jeune fille, Miss Laiz. Cette dernière avait subi toutes sortes de traitements, mais les médecins avaient dit qu’il n’y avait aucun espoir. En août 1957, mon maître emmena toute la famille dans une petite ferme qu’il possédait près de Pétropolis, espérant voir une amélioration chez sa fille dans ce bon climat ; mais les jours passèrent et aucun changement ne se produisait. Elle ne pouvait manger, les douleurs étaient insupportables et elle devait constamment recevoir des injections de morphines.

    La nuit du 25 octobre 1957, je m’en souviens bien, Miss Laiz souffrait atrocement, les injections ne faisant plus d’effet et nous pensions qu’elle allait mourir. Mon maître pleurait en cachette, quand soudain une forte lumière jaillit vers le côté droit de la ferme. Nous nous trouvions alors dans la chambre de Miss Laiz, dont la fenêtre donne sur la droite de la maison, la pièce étant éclairée seulement par une veilleuse de table. Donc, il y eut tout à coup une telle lumière que c’était comme si le faisceau d’un projecteur avait été dirigé à l’intérieur. Señor Julinho, le fils de mon maître, courut à la fenêtre et vit la soucoupe. Je sais qu’elle n’était pas grande, sa partie supérieure entourée d’un halo jaune rougeâtre ; brusquement, une sorte de panneau automatique s’ouvrit et deux petites silhouettes en descendirent. Elles vinrent en direction de la maison tandis qu’un autre être restait dans l’encadrement de la porte de l’engin. Cette ouverture s’assombrit ensuite, et je pus voir à l’intérieur de l’appareil une sorte de lumière verdâtre semblable aux néons d’un night-club. Les deux êtres entrèrent alors dans la maison, ils avaient environ 1,20 mètre de haut, plus petits que le plus jeune fils de mon maître, âgé de dix ans. Ils portaient de longs cheveux leur arrivant aux épaules, de couleur blond-roux, de petits yeux bridés comme ceux des Asiatiques, mais d’une couleur verte très marquée. Ils avaient les mains couvertes, je pense que c’étaient des gants, le tissu était blanc et épais. Les gants étaient tout blancs, mais la poitrine, le dos et la taille étaient incandescents, je ne sais comment dire. Ils approchèrent du lit de Laiz qui gémissait de douleur, les yeux grands ouverts, ne sachant ce qui arrivait. Personne ne bougeait ni ne parlait, dans une attente angoissée. J’étais dans la chambre avec Señor X… et sa femme, Señor Julinho et sa femme et Otavinho le fils de mon maître, âgé de dix ans.

    Les êtres me regardèrent silencieusement et s’arrêtèrent près du lit, étalant sur les draps les choses qu’ils portaient, firent un geste à M. X…, l’un d’eux portant sa main sur le front de mon maître qui commença à leur d’écrire toute la maladie de sa fille par télépathie. Toute la chambre était silencieuse. Les personnages commencèrent alors par éclairer le ventre de Miss Laiz avec une lumière bleuâtre qui montrait tout l’intérieur ; nous vîmes tout ce qu’il y avait à l’intérieur du ventre. Avec un autre instrument qui faisait une sorte de craquement, et qu’ils pointèrent vers l’estomac de Miss Laiz, nous pûmes tous voir l’ulcère. L’opération dura environ une demi-heure. Miss Laiz dormait et ils s’en allèrent mais, avant de quitter la maison, ils communiquèrent avec M. X… par télépathie, lui faisant savoir qu’il devait donner à Laiz des remèdes pendant un mois, et lui remettant une boîte sphérique qui me parut être en acier, et à l’intérieur de laquelle se trouvaient trente petites capsules aussi sphériques, correspondant à la dose indiquée de une par jour, à la suite de quoi elle devait être guérie. Miss Laiz fut bien guérie après ce délai et M. X…, conformément à l’accord qu’il avait fait avec les humanoïdes, évita toute publicité. En décembre, quelques jours avant que je quitte la maison, Miss Laiz retourna chez son médecin, qui constata qu’elle n’avait plus de cancer.

    Je quittai la famille, faisant la promesse de rester muette en ce qui concernait cette affaire. Je vous en parle cependant, vous demandant de garder le secret. Si le cas est mentionné dans vos articles, il n’y aura pas de conséquence puisque les noms ne sont pas publiés. Cependant je vous jure que tout se passa comme je le décris : ma chère Miss Laiz était condamnée à mourir d’un cancer à l’estomac, et presque vers sa fin, elle fut sauvée par un instrument qui ressemblait à une lampe de poche émettant des rayons qui éliminèrent le cancer, et elle fut guérie. Et ces êtres ont fait nombre de choses semblables aux gens de notre planète pour montrer que nous ne devons pas les craindre. Ils sauvèrent Miss Laiz, et la même nuit retournèrent à leur soucoupe et partirent pour toujours. Confidentiellement, ils viennent vraiment de Mars et sont ici pour chercher du magnésium, qu’ils purifient ensuite sur leur planète et ce magnésium est utilisé pour leurs constructions et la fabrication de leurs engins. Ils n’ont aucune intention de se battre contre le peuple terrestre, je le sais pour avoir entendu M. X… le dire à sa famille. S’il vous plaît, ne me mettez pas dans une situation embarrassante : si vous faites mention du cas, ne dites jamais dans vos articles que vous le savez de Anazia Maria. Je ne veux pas passer pour un maître chanteur ou me trouver dans une situation ennuyeuse à l’égard de mon ancien patron. Je vous dis ces choses seulement pour vous aider dans vos investigations. Veuillez me pardonner de ne pas vous donner mon adresse. Je vis à Rio, dans un district de la banlieue. Je suis honnête et sincère, mais je ne veux pas d’interview de presse à cause de mon ancien maître. Je vous remercie de votre attention. »

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    La jeune Miss Laiz n’est pas la seule, semble-t-il, à avoir été opérée par les chirurgiens extra-terrestres. Le quotidien italien La Sicilia rapporte, le 15 août 1970, qu’une Egyptienne mariée, nommée Nasra Abdalla El-Kami, qui souffrait d’une hémorragie chronique depuis de nombreuses années, a reçu, affirme le journal, la visite de médecins originaires d’une planète lointaine qui l’ont opérée et ont mis fin à ses souffrances.

    « Madame Nasra El-Kami, lit-on, avait vainement été soignée à l’hôpital de l’université d’Alexandrie. A la fin de juillet, alors qu’elle séjournait chez sa sœur, à Kafr El-Dawar, petite ville industrielle à 50 km d’Alexandrie, elle fut opérée une nuit dans la cuisine de l’appartement. C’est là que la trouvèrent ses familiers, attirés par ses sanglots. Nasra raconta que trois hommes et une femme étaient descendus d’une « chose énorme », ronde, blanche et plate venue du ciel. Après, elle ne se souvenait plus bien, car elle avait sombré dans le sommeil, mais les visiteurs célestes étaient entrés chez elle et l’avaient opérée, en lui enlevant un clou rouillé qu’elle avait dans l’abdomen. A l’appui de ses dires, la femme montre un clou, qui avait été fixé dans la paume de sa main droite avec du sparadrap. Les médecins d’Alexandrie, appelés d’urgence, demeurèrent stupéfaits devant la couture de la blessure, qui avait été faite « avec du fil spécial et selon une méthode des plus modernes ». L’hémorragie s’était arrêtée complètement. La nuit suivante, Nasra fut réveillée en sursaut et se mit à crier. A ceux qui accoururent, elle dit que les trois hommes et la femme étaient revenus, cette fois par le plafond, et avaient changé son pansement. »

    Madame El-Kami et Miss Laiz ont-elles vraiment été sauvées par des extra-terrestres dont la science médicale serait plus avancée que la nôtre ? Ou bien s’agit-il simplement de guérisons spontanées qu’une imagination fertile et délirante aurait attribuées à de mystérieuses interventions extra-terrestres ? La revue ufologique anglaise, la Flying Saucers Review, qui a étudié les deux cas, considère que la guérison de Madame El-Kami, « relève du canular et a été inventée par un fou ou un illuminé qui a réussi à faire raconter n’importe quoi à cette brave Egyptienne. » En revanche, le cas de Miss Laiz est, selon cette revue, plus troublant. Certains détails concernant l’apparence des humanoïdes, écrit en substance le rédacteur de l’article consacré à ces deux affaires, se rapprochent des descriptions données par d’autres témoins : petite taille, yeux bridés, cheveux blonds-roux. En outre, le déroulement de l’intervention chirurgicale laisse percer une technicité qui est loin d’être fantaisiste. Ainsi, la lumière bleuâtre qui permet de voir à l’intérieur du corps de la jeune fille peut constituer une forme avancée de rayons X et l’instrument ressemblant à une lampe de poche, et qui vraisemblablement émet une radiation de nature à détruire les cellules cancéreuses, possède un lien avec un traitement perfectionné de thérapie au cobalt. En tout cas, le récit de cette extraordinaire « opération » a semblé tout à fait digne d’intérêt au Dr Olavo T. Fontes qui n’a pas caché qu’il espérait trouver un jour parmi les patients de son cabinet d’autres cas de cancer gastrique guéris de façon inexplicable.

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    Aura2

    Source- Données personnelles/Mars 2010

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    OVNI Préhistoriques et des peintures d’Aliens trouvés dans une grotte reculée en Inde

     

    Un groupe d’anthropologistes travaillant en collaboration avec les tribus des montagnes dans cet endroit reculé d’Inde ont fait une découverte saisissante : Des peintures représentant des aliens et des OVNI de type vaisseaux spatiaux sur les parois de grottes préhistoriques tortueuses.

    Ces peintures ont été trouvées dans le district de Hoshangabad (État du Madhya Pradesh) seulement à 70 kilomètres du centre administratif local de Raisen. Les cavernes sont cachées au plus profond d’une jungle dense.

    Une image très claire de ce qui pourrait être un alien dans une combinaison spatiale peut être vue parmi ces peintures, ainsi qu’une soucoupe volante classique qui semble télé-transporter (beaming) quelque chose à l’intérieur ou à l’extérieur du vaisseau. Cela pourrait être un scénario représentant une ancienne abduction. Un champ de force ou une trainée est visible à l’arrière de l’OVNI.

    Il est aussi possible de voir ce qui semble être un trou de ver (wormhole, comme dans Stargate) ce qui pourrait expliquer comment ces aliens ont pu arriver sur Terre. Les Ufologistes pourraient conclure que ces peintures ont été dessinées avec l’aide des aliens.

    Un archéologue local, M. Wassim Khan, a vu personnellement ces images. Il déclare que les objets et créatures représentées sur ces images sont totalement anormales si on les compare aux autres peintures préhistoriques trouvées dans la région représentant la vie des anciennes tribus. Il pense donc qu’elles pourraient représenter des êtres venus d’autres planètes en interaction avec les humains depuis les temps préhistoriques. Cela rajoute du poids à la théorie des anciens astronautes selon laquelle les civilisations humaines ont été établies avec l’aide d’aliens bénévoles.

     

    Source- Ici 

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