• LES VAGUES D’OVNIS PEUVENT-ELLES ÊTRE EXPLIQUEES ?

     

    Cet article n’a pas pour but de donner des résultats définitifs mais de présenter certaines méthodes qui permettraient d’analyser la variation de fréquence des apparitions d’OVNIS par vague à partir de fichiers et de comparaisons.

     

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    Le rapprochement entre le phénomène des OVNIS et l’idée d’une « invasion » ou d’une « exploration » de la Terre par des créatures venues d’une autre planète a été fait dès les observations de 1947. C’est à la poursuite de cette idée que se sont aventurées les premières personnes qui aient recherché une périodicité dans la fréquence d’apparition du phénomène, et une coïncidence entre ses maxima et les oppositions de MARS, voir de VENUS. Toutes ces études furent faites graphiquement est semblèrent montrer, en général, la nécessité de considérer une certaine corrélation avec la distance de la planète MARS pour interpréter convenablement les courbes obtenues. Il semblerait que la coïncidence avec l’opposition de MARS se vérifie excellemment pour la période couvrant les cinq maxima de 1950-52-54-56-67 ( figure 1).

     

     

    En fait le problème déterminant, toutes les tentatives faites jusqu’ici étant insuffisantes sur ce point, est celui du nombre des données de base. Le nombre total d’observations qui furent effectivement faites sur le globe depuis 1944 est impossible à estimer. Au moins 10000 observations suffisamment précises en dates, et venant de toutes les régions du globe, pourraient actuellement être rassemblées. Nos propres évaluations d’un coéfficient de corrélation entre les fréquences des observations et la distance de MARS étaient basées sur un peu plus de mille cas. Les évaluations précédentes s’appuyaient sur quelques centaines de données seulement. En fait la périodicité des observations d’OVNIS n’est pas la seule caractéristique intéressante. Son étude permet d’orienter la recherche vers tel ou tel type d’interprétation physique mettant en jeu des effets périodiques comparables. Il serait intéressant de trouver un cycle général de 11 ans (comme le soleil avec un cycle maximum et minimum) par exemple, ou encore une corrélation avec des explosions nucléaires, ou tremblements de terre. Mais une analyse complète, séparant les effets cycliques d’une variation générale, et tenant compte de l’effet du « bruit » en étudiant sa répartition, est beaucoup plus utile. C’est une méthode de traitement élémentaire de la variation de fréquence que je propose de développer ici, en restant à un niveau très intuitif et en n’introduisant que des modifications théoriques tels que l’introduction d’une pondération définie en fonction de la densité de la population ou de la situation géographique de la région où chaque série d’observations est faite, me paraisse de nature à masquer les phénomènes.

    Dans les méthodes usuelles, on cherche à décomposer une distribution de fréquence en variations caractéristiques. Elles sont classées en quatre groupes principaux :

    TYPE 1- Variations à long terme.

    TYPE 2- Variations cycliques.

    TYPE 3- Variations saisonnières.

    TYPE 4- Variations irrégulières.

    L’analyse de la série consiste en la description de ces composants à partir de l’hypothèse que la fonction du temps observée peut être décomposée en un produit de quatre fonctions respectivement responsables des quatre variations ci-dessus. Nous allons suivre cette méthode (en renonçant à mettre en évidence une composante saisonnière) pour aboutir à une description empirique générale de la variation de fréquence réservant pour une suite des études objectives plus poussées, mais aussi moins susceptibles d’interprétation immédiate. Dans cette étude, nous prenons comme point de départ un catalogue général d’observations rassemblant plus de 3000 cas.

    Si l’on prend comme intervalle élémentaire une durée d’un quart de mois, on obtient à partir de ce catalogue une répartition de 2708 observations en 768 intervalles. Plus de 300 de ces observations appartiennent au TYPE 1, 44 au TYPE 2, et 270 au TYPE 3, tandis que le TYPE 4 fournit la plus importante contribution avec 1187 cas. Les courbes de variation de la fréquence annuelle pour trois catégories spécialement intéressantes sont données (figure 2).

     

    Les fluctuations observées apparaissent comme nettement liées, mais l’existence d’une forte « tendance » contribue à masquer les effets périodiques qui peuvent exister dans la répartition originale. La première opération consiste donc à évaluer cette tendance générale pour éliminer, et à bloquer dans cette élimination la majeure partie de la composante irrégulière.

     

    *** LES VARIATIONS CYCLIQUES ***

     

    La nouvelle distribution est alors adoucie à son tour, donnant la courbe (figure 3) qui dépend essentiellement de la composante cyclique qui est notre principale inconnue. En effet, les variations saisonnières, si elles existent, ne sauraient être mises en évidence avec précision dans cette étude élémentaire, et l’espoir d’une analyse détaillée à ce point doit être abandonné tant que des catalogues d’observations beaucoup plus étendus n’auront pas été réunis. (Ce qui n’était pas encore réalisé en 2006 ?). Le problème de l’analyse de la composante cyclique revient à la recherche d’un phénomène périodique représentant la courbe de la Figure 3.

    Une méthode intuitive pour conduire cette recherche consiste à étudier en fonction des valeurs de la « période », le comportement d’une certaine mathématique qui représente l’erreur que nous ferions si nous représentions les variations du nombre de cas par une courbe simple. Le minimum de cette erreur nous indiquerait la meilleure représentation, c’est-à-dire la meilleure période. Sans entrer dans plus de détails, disons simplement que, lorsqu’on effectue ce calcul, on trouve deux minima, qui correspondent aux valeurs suivantes de la période : un an trois mois et deux ans deux mois. La seconde. La seconde valeur est précisément la période des rapprochements de la planète MARS. La première est peut-être une coïncidence numérique, car le maximum correspondant se déplace lorsque l’on complique l’expérience, alors que la seconde reste toujours à la même place. Le fait d’avoir trouvé une période très proche de celles des oppositions de MARS pour la fonction périodique en question est évidemment important. Il peut-être considérer comme une confirmation, dans un domaine plus étendu, de nos premières études élémentaires rappelées Figure 2. Cependant, nous sommes encore loin d’un résultat qui pourrait être retenu comme une démonstration claire de cette retenu comme une démonstration claire de cette corrélation, et je rappelle que ces calculs ne sont présentés qu’à titre d’illustration.

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    *** LA CORRELATION AVEC MARS ***

     

    Pour analyser la fréquence des vagues d’observations d’OVNIS au cours des 30 dernières années, il faut noter que cet intervalle de temps est encore insuffisant pour tester de manière absolument significative l’existence d’une période de plus de deux ans. (Les ufologues sont rares sur le terrain actuellement !) Mais nous avons trouvé une périodicité d’un an et un mois environ. Elle apparaît assez clairement et pourrait indiquer une confirmation de la période trouvée plus haut (exactement le double) ou un déplacement du maximum secondaire que nous avions aussi remarqué : la question n’est donc pas réglée. Nous avons aussi utilisé une autre technique de calcul en effectuant la « cross-corrélation » de la courbe des observations et de la distance TERRE-MARS. Certains chercheurs privés ayant d’autre part avancé l’idée d’une corrélation avec les oppositions de VENUS, qui serait nette, d’après leurs données, dans cette période récente nous avons décidé de ne pas exclure cette possibilité et de donner, sans conclusion définitive évidemment, les résultats des deux expériences. Toute tentavive d’association d’un phénomène physique terrestre à un mouvement astronomique est excessivement complexe.

    Nous connaissons actuellement de nombreux phénomènes terrestres liés à des cycles astronomiques, particulièrement aux effets physiques intervenant sur le soleil (comme par exemple le réchauffement du soleil lié aux différences de climat sur la TERRE). Mais une relation avec la proximité d’une planète ne peut être interprétée que sur deux plans : le plan psychologique (la proximité de la planète et par conséquent sa brillance dans le ciel local étant à l’origine d’une certaine catégorie émise d’interprétation, d’hallucination et d’illusion) et sur le plan, qui est évidemment plus attirant pour l’imagination des conceptions « extra-terrestres », où des « OVNIS » seraient des engins pilotés en provenance d’une autre planète où d’une dimension différente. Nous avons donc là un moyen supplémentaire d’obtenir des indications sur les principales théories en présence.

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    Pour conduire cette expérience, nous avons dressé une liste des distances de MARS et VENUS, d’après une table astronomique usuelle en conservant quatre valeurs par mois comme la fréquence des apparitions des OVNIS. Ils nous semblent pourtant que l’idée que la corrélation avec VENUS reste inférieure à celle observée avec MARS, et que, d’autre part, une périodicité de l’ordre de 25 mois, s’introduit objectivement dans la distribution de fréquence originale. On ne peut donc que souhaiter que le calcul soit repris lorsque des données de base plus étendues auront été rassemblées. En effet, il est possible de doubler le nombre de données utilisées dans cette étude en incluant les nombreux documents européens et américains qui n’ont pas encore été dépouillés, et à notre avis ce travail doit être fait avant que l’on puisse espérer aboutir à une conclusion définitive (il est vrai qu’Internet devrait nous aider rapidement).
     
    Lorsque ces nouvelles données auront été obtenues, il sera possible de critiquer sérieusement les hypothèses avancées par certaines personnes concernant une seconde périodicité superposée à une corrélation avec MARS. Il serait plus intéressant de reprendre cette question si certaine vagues étaient qualitativement différentes de certaines autres, comme celle de 1990 par exemple, ou si le décalage entre le maximum et l’opposition de MARS était constant, comme on l’a suggéré, avec le déroulement des saisons martiennes, des photographies de la planète rouge prouve cette théorie. Aucune recherche scientifique reconnue n’a été encore faite, seul des groupes privés sont arrivés à cette conclusion. Pour nous, nous sommes donc disposés à entrer en relation avec tous les groupements officiels ou privés qui accepteraient de discuter sérieusement les conditions d’une centralisation de l’information.

     

    A mon avis à titre personnel, et d’après les ensembles de recherches astronomiques, la planète MARS sera un élément important pour le passage des OVNIS dans une porte spatio-temporelle à l’échelle du système solaire. En effet la position dans l’espace de certaines planètes proches de la TERRE, aurait une relation très étroite avec les vagues d’OVNIS ; ceci reste à prouver par une étude très sophistiquée, et cette fois-ci d’une manière très scientifique dans l’astrophysique. L’important de cette porte spatio-temporelle représente d’après moi l’exemple d’un passage d’un vaisseau de grande dimension, tandis que celles des transferts de dimensions sur la TERRE représentent des portes de capacités très inférieures pour des objets ou personnes. Reste à prouvé, mais surtout à expérimenter ces fameuses portes sur des lieux très précis comme les chambres initiatiques qui sont en relation avec les courants telluriques (étude en cours), beaucoup de découvertes vont venir apporter de l’eau a notre moulin dans les années à venir…

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    http://www.extraterrestres.net/html/ejulien03.php

      

    La taverne de l’étrange- 12 novembre 2007

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  • Vague d’Ovni en Belgique

     

     
     

    Pendant deux ans, la Belgique a été survolée par des Ovni. Traqués par les radars, vus par des centaines de témoins, pourchassés par des F-16 de l’armée belges, Les Ovni conservent leur mystère…

     

     

     Le 27 Septembre 1989, un Ovni aurait atterri près de Moscou, et de cet objet serait sorti un grand humanoïde à trois yeux. Lorsque les journalistes belges annoncent la nouvelle sur les deux chaînes de télévision nationale, le ton est proche de la moquerie. Les commentaires ne manquent pas de faire référence aux martiens traditionnels, …et à la vodka. Autant dire que le climat n’est pas propice aux observations d’Ovni, et que le courage est une qualité dont disposent les quelques 125 témoins qui se manifestent deux mois plus tard, pour annoncer qu’un mystérieux objet a survolé la Belgique. C’est en effet le 29 Nov. 1989, dans une région très limitée, que 125 personnes, dont deux gendarmes, signalent avoir été témoins de ce qu’il est convenu d’appeler une véritable vague d’Ovni.

     

    La présence des gendarmes est importante, car elle représente l’autorité digne de foi par excellence. De plus, l’habitude de la précision des rapports les conduit à relater des observations de façon extrêmement concise, ce qui se révèle être précieux pour les ufologues. Lors d’une patrouille, à la fin de cette belle journée, les gendarmes de la brigade d’Eupen remarquent une grande plate-forme, éclairant un champ jouxtant la route sur laquelle ils roulaient. La partie éclairée du champ se trouve à 50m d’eux. Au départ, ils pensent à l’un des hélicoptères qui assurent la navette entre les hôpitaux d’Eupen et d’Aix-la-Chapelle, mais l’objet qu’ils scrutent est parfaitement silencieux et immobile ; sa taille, qu’ils peuvent estimer en se référant à la tour de communication de la gendarmerie d’Eupen, doit approcher les 35 m de longueur de base. L’objet se présente sous la forme d’un triangle dont la hauteur mesure environ 25 m, pour 2 m d’épaisseur. Il est muni de 3 énormes phares fixés sur les trois sommets. Chacun est estimé à environ 1 m de diamètre. Au centre du triangle, un petit gyrophare rouge clignote avec une période d’environ une à deux secondes.

     

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     Au départ, l’immobilité de la masse sombre exclut l’hypothèse d’un avion, puis l’Ovni se déplace très lentement, à une vitesse avoisinant les 60 km/h. Un avion capable de voler à 120 m du sol dans le silence le plus total, et surtout à une vitesse aussi faible étonne les gendarmes qui avertissent immédiatement le central de la caserne d’Eupen. Il est 17h24. Après vérification, ils ont confirmation de l’absence de manœuvres militaires dans cette zone. Aucune expérimentation d’appareil secret n’est en cours et aucun AWACS n’est en vol. La camionnette tente alors de se placer sur la trajectoire de l’objet, mais, comme s’il l’objet avait deviner leur intention, l’Ovni s’arrête brusquement, fait demi-tour sur place et reprend le chemin inverse. Leur observation s’arrête momentanément ici, mais les recoupements effectués par la Société Belge d’Etude des Phénomènes Spatiaux ( sobeps ) montrent que l’objet a survolé la ville d’Eupen.

     

    Puis, les gendarmes, repartis sur la route des crêtes, vers Membach, sont à nouveau les témoins privilégiés d’un fabuleux spectacle. Dans une nuit noire, mais superbement étoilée, l’Ovni s’est posté à la verticale du lac de Gileppe. Après quelques minutes d’immobilité, il se met à émettre de manière répétée deux minces faisceaux rougeâtres dans des directions opposées. Au moment où les faisceaux disparaissent, une boule rouge se concentre aux extrémités. Ces deux boules reviennent alors vers l’objet, puis se mettent à tourner autour. L’étrange opération se répète jusqu’à 19 h, heure à laquelle l’Ovni se met en mouvement, pour disparaître dans la direction de Spa, laissant les deux gendarmes dans un brouillard de doutes…

     

    Le début d’une vague 

     

     

    …les données de la SOBEPS, alimentées par les gendarmeries et la presse locale montrent que les observations commencent dès le matin de 29 Nov. , vers 10h30, un militaire observe le même objet que celui décrit par les gendarmes. Grâce à la lumière diurne, il peut en discerner la couleur métallique, genre zinc. A 15 h, un grossiste en aliment pour bétail aperçoit un objet ovoïde d’environ 20 m sur 10, volant à une vitesse de 30 km/h à 150 m du sol. A 16 h, Mme F. aperçoit un énorme « cigare » volant. A 16 h 40, un écolier de Charneux voit un étrange triangle équilatéral, volant très lentement, à 100 m du sol. Au total, 125 témoignages sont recueillis par la SOBEPS, pour cette seule journée du 29 Nov. 1989. Les évènements, que l’on a crus exceptionnels, reprennent quelques jours plus tard et bientôt, les Ovni se mettent à couvrir la Belgique entière.

     

    Chaque jour est une nouvelle moisson de témoignages pour la SOBEPS ;  les quelques enquêteurs bénévoles passent leurs dimanches à rencontrer les témoins, les questionner, établir des plans, des schémas, des cartes. Les cassettes s’accumulent sur les bureaux, le répondeur est saturer d’appels. Scrupuleusement, les rapports d’observations sont conservés, classés et répertoriés afin de permettre un traitement efficace. Ainsi, les recoupements permettent de traquer les Ovni, définir leurs trajectoires et leur comportement ; les observations ont souvent lieu au-dessus des autoroutes. Les objets longent les grands axes d’un vol lent. Les rumeurs vont bon train : du dirigeable conçu par des étudiants farceurs au vulgaire ULM en passant par les inévitables envahisseurs, la presse a tout imaginé.

     

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    Un Avion Furtif ?

     

    Depuis le 10 Nov. 1988, Washington a annoncé l’existence d’un étrange avion, le F-117 A de la firme Lookheed, également appelé Stealth Fighter. Cet engin, de type furtif, existerait depuis une dizaine d’années ( à l’époque des faits ). La raison du silence planant autour de cette merveille de la technologie est qu’il s’agit d’un avion espion, indétectable au radar, il est également conçu pour laisser une très faible signature infrarouge. Il a la forme d’un boomerang noir et peut être perçu comme une grosse masse triangulaire sombre par un observateur non-averti. Son envergure est de 13 m, sa longueur de 20 m et sa hauteur de 3 m. Avec une vitesse d’approche à l’atterrissage de 278km/h, et une vitesse maximale d’environ mach 1 au-dessus de 10.000 m d’altitude, il constitue un véritable oiseau invisible. Il dispose de trois gros phares, sous la carlingue, qu’il allume à l’atterrissage. De plus, il est très silencieux, de quoi troubler les enquêteurs de la SOBEPS ... Non, d’une part, les phares d’approche ne se trouvent pas aux extrémités des ailes, mais au niveau des trains d’atterrissages.

     

     

    La grande vague sur la belgique 

     

    D’autre part, le F-117 A n’est capable ni de faire du vol stationnaire, ni d’évoluer à très faible vitesse. L’armée américaine confirme d’ailleurs aux autorités qu’aucun avion espion n’a violé le ciel belge ; et même si c’était le cas, quel serait l’intérêt de voler au dessus des axes les plus fréquentés, tout feux allumés. Ce serait le comble de la discrétion, surtout pour un avion furtif ne respectant pas les accords gouvernementaux…L’hypothèse du F-117 A s’écroule définitivement dans la nuit du 30 au 31 Mars 1990, en effet, c’est dans la soirée du 30 Mars que le gendarme Renkin observe un Ovni ; celui-ci, qui n’est pas en service, fait prévenir son collègue, le capitaine Pinson. Les évènements se précipitent, et Pinson appelle le radar de Glons. Effectivement un écho non-identifié a été relevé à l’endroit indiqué. A la demande du centre radar, l’armée belge fait immédiatement décoller deux de ces avions, des chasseurs F-16.

     

    L’objet qu’ils prennent en chasse vole de façon erratique à quelques 3000 m d’altitude, à une vitesse de 50 km/h ; en 75 mn, guidés par les radars au sol, les F-16 font neuf passages, et par trois fois l’interception est réussie. Cela signifie que, trois fois, le radar de bord des F-16 «  s’accroche » à l’objet, ce qu’on appelle le « lock-on ». Au moment du lock-on, la vitesse de l’Ovni est de 280 km/h, alors que les F-16 volent à 900km/h. Leur vitesse ne peut être supérieure, puisqu’ils survolent à une altitude relativement faible ( 3000m ) la banlieue sud de Bruxelles. Or, s’ils passaient le mur du son, le « bang » caractéristique pourrait endommager les vitres des habitations. Alors qu’ils interceptent l’Ovni, celui-ci passe quasi instantanément de 280 km/h à 1830 km/h.

     

    L’accélération avoisine les 40g – symbole de l’intensité de la pesantence, ce qui se traduit par le fait que l’éventuel pilote d’un tel appareil serait mort sur le coup, écrasé par son propre poids, 40 fois supérieur à la normale. Un autre mystère réside dans l’absence du « bang » généré par le passage du mur du son ; la boite noire vient confirmer les observations des pilotes, pourtant, ceux-ci n’ont eu aucun contact visuel. En revanche, des témoins au sol confirment le balai nocturne qui s’est offert à leurs yeux. Selon le colonel De Brouwer, maintenant général commandant la force aérienne belge, aucune explication ne peut être apportée aux évènements qui ont marqué la nuit du 30 au 31 Mars. Les explications consistant à mettre en cause une puissance étrangère – les Etats-Unis en l’occurrence- sont exclues, et l’énigme de l’aventure des F-16 ne peut être percée. Bilan : toutes les hypothèses sont permises, même les plus folles… En attendant, la SOBEPS vient de proposer une motion, déposée au parlement européen par le ministre belge de l’audio-visuel et de l’enseignement, visant à instaurer une collaboration des instances officielles ( armée, laboratoires…) dans le cas d’une vague d’Ovni.

     

     

    Ici le B2 furtif

     

    Les triangles volants ne sont pas une exclusivité belge, le 5 Nov. 1990, à 19h, la France entière a été survolée par un ou plusieurs objets, souvent décrits comme un triangle formé par trois gros phares. Cet Ovni volait à très basse altitude, et à faible vitesse. C’est en tout cas  ce que rapportait la majorité des témoins. Deux jours plus tard, le Centre National d’Etudes Spatiales de Toulouse annonçait que tous s’étaient laissés abusés par la désintégration d’un troisième étage de fusée russe, d’une vingtaine de m de long, à une altitude de 100.000 m… Boris Chourinov, vice-président de l’union Ufologique Russe ( organisme reconnu par l’état ) prétend avoir posé la question à ses collègues du complexe Energie : aucun troisième étage de fusée n’est retombé à cette date…

     

     

    A lire « Ovni Contact, une enquête choc : plus de 400 Ovnis sur la France… » de F. Marie

     

    Plus d’info ici :

     

    http://ufologie.net/htm/belstu01f.htm

     

    *** Mise à jour ***

     

    15/10/2013

     

    Suite à un e-mail reçu par une personne concernant des infos sur les crop-circles, voilà un témoignage sur la vague belge de 1990 vécu par cette personne qui souhaite rester anonyme. Je lui ai demander l'autorisation de publier ceci car je voulais que vous puissiez lire son histoire, et elle à accepter tout naturellement, merci à elle !

     

    voilà les faits :

     

    ... Effectivement, même si ce genre de manifestations ne se produit pas qu'en Belgique, il faut bien avouer que nous sommes relativement bien servis pour un si petit pays. Pour être sincère, j'ai une formation scientifique, je suis un épouvantable athée et ma seule religion est la science. Ceci en prélude à ce que je vais vous expliquer. Oui j'eprouve le besoin de me justifier car j'ai un peu de mal à gober tout et n'importe quoi; pourtant: Cela c'est passé environ 1 an et demi environ après la fameuse "vague d'ovnis belge". Je revenais vers 23h30 de chez un ami seul en voiture, (il y a 2 bases militaires stratégiquement importantes dans mon village) en passant à proximité d'une de ces bases, perpendiculairement à ma route, est passé devant moi le fameux triangle décrit maintes fois, à très basse altitude + - 100m et à très basse vitesse que je peux évaluer à environ 30km/h. L'engin à disparu ensuite derrière la caserne. Je suis rentré chez moi et n'en ai parlé à personne, d'autant que je m'étais pas mal moqué de témoignages qu'on m'avait fait (famille, amis...). Soit, 6 mois après, j'en parle à ma femme légèrement moqueuse, je laisse tomber. 2 mois plus tard, nous revenions ensemble d'un anniversaire (petite précision, j'ai travaillé 10 ans en psychiatrie, souvent avec des alcooliques et ce que j'en ai vu a fait de moi un total abstinant à l'alcool), à environ minuit et demi, 400M plus loin que la <script></script>première apparition de l'objet, le même appareil en vol stationnaire cette fois au dessus d'une maison, altitude environ 50M, même triangle noir, trois feux aux angles et une  lumière vague, orangée au centre. Cette fois je m'arrête et stoppe le moteur, j'ai pu l'observer durant 5min avec ma femme qui riait moins à ce moment là... L'engin à fait demi tour sur lui même et s'est dirigé à toute allure en direction de l'arrière de la caserne puis a pris rapidement de l'altitude et a disparu. Je suis un passionné d'aviation et d'astronomie, je n'ai jamais rien vu de semblable sinon sur certains sites décrivant le projet Aurora ( c'est ce qui pourrait y ressembler le plus). Mon village est situé au croisement de deux couloirs aériens importants, et nous avons l'habitude de voir passer toutes sortes d'avions civils et militaires. Mais ceci n'y ressemble pas. Petite précision, nous sommes descendus de la voiture après avoir coupe le moteur, il n'y avait aucun bruit, juste un léger sifflement quand l'engin s'est éloigné. (A cette altitude, un Harrier aurait soufflé le toit de la maison, sans compter le bruit...) Rappellez-vous lors de la vague d'ovnis belges, ils ont ete captés par nos radars militaires, et nous avons envoyé 2 F-16 à leur poursuite. Vous connaissez la suite... petite précision, la belgique est un des rares pays à posséder la même technologie embarquée que les F-16 américains (bien sur, tous les F-16 vendus dans le monde, ne le sont pas  "full version"...), il existe un accord de coopération entre les USA et la Belgique à ce sujet. La raison en est que nous avons un contrat avec eux et que nous fabriquons aussi le F-16.


    Voir historique :


    http://www.mil.be/vox/subject<wbr> <script></script>/index.asp?LAN=fr&ID=517&MENU<wbr></wbr></wbr>=693&PAGE=3

     


    Pour moi la seule explication serait un avion secret, mais alors, quelle technologie emploient-ils pour le vol stationnaire et pour voler à si basse altitude, si lentement et sans décrocher car même si l'on prend en considération les capacités supposées de l'Aurora, rien ne décrit ce genre de comportement.


    Voilà cher ami, un témoignage de plus, un parmis tant d'autres. Tous les gens qui ont pu observer cet engin en Belgique en gardent un souvenir très précis et nous sommes certains qu'il ne s'agit pas d'une hallucination collective ou alors les radars même les plus évolués eux aussi y sont sujets...
    Bien à vous, kenavo

    Mr Anonyme

     


     

    Info du 5 avril 2011- Si cette personne peut me contacter suite à son témoignage important. Mr Patrick Ferryn, coordinateur du Cobeps, aimerais rentrer en contact avec vous pour avoir plus d'éléments sur votre observation similaires à d'autres cas sur la Belgique a ce moment là merci !
     
     
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