• D'un commun accord avec Claude Burkel, depuis quelques temps, nous pensons que le terme "OVNI" signifiant objet volant non identifié n'était plus adapté, voir un peu trop classique. Nous avons donc chercher ensemble un autre terme plus significatif. OVNI devenant Objet Visuel de Nature Inconnu. Qu'en pensez-vous ?

    PS: Voter sur le sondage sur l'édito du blog.

    Tyron & Claude

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    LA PIERRE-BELLE : rendez-vous étrange…

    Le monolithe de Bessines-sur-Gartempe dans le Limousin

     

    Bassin de Bessines sur Gartempe
    Photo de la Pierre Belle- auteur : Michel Giguet
     
    Jean Giraudoux a usé ses fonds de culotte sur les bancs de son école. Maurice Utrillo enfant jouait sur la place de son église ; depuis quelque temps, la plus importante usine d’uranium d’Europe s’est installée à ses portes et pourtant la commune de Bessines-sur-Gartempe, en plein cœur du Limousin, est célèbre pour une tout autre raison.

     

    C’est une vieille pierre de plusieurs siècles qui, qu’Utrillo ou Giraudoux, fait l’honneur du village et les frais de la conversation. Les paysans de la région l’appellent « La Pierre-Belle ». Le soir, autour de sa robe de granit, se joue un curieux ballet d’ombres où s’ébauchent les gestes furtifs et gracieux de l’amour. Cet énorme monolithe en forme de cuve, taillé dans la masse est animé d’un pouvoir étrange qui pousse les amoureux à venir lui rendre visite avant de se lancer sur le chemin du bonheur. Son histoire date des temps reculés où le christianisme étendait sur tout le pays ses cérémonies, sa doctrine et son faste. Ce bassin de pierre servait alors au baptême, par immersion, de tous ceux qui voulaient se laver du pêché originel.

    AUJOURD’HUI, SON POUVOIR A CHANGE. IL N’ATTIRE PLUS LES CATECHUMENES, MAIS LES ÊTRES ESSEULES A LA RECHERCHE DE L’AMOUR.

    Sur l’étroit sentier qui conduit à cette pierre miraculeuse, aux dimensions bien réelles (15 mètres de circonférence, 5 mètres de diamètre pour un poids de 35 tonnes), se trouve l’atelier du plus célèbre ébéniste de la région, Mr Gorby. Depuis qu’il est installé, il a vu des milliers de couples défiler devant son échoppe. Chaque nuit, la vasque de granit reçoit d’étranges visiteurs : des amoureux prêts à mettre à l’épreuve de la légende le lien qui les unit. Ils arrivent chacun de leur côté, puis se retrouvent face à face sur le large rebord de la cuve.

    ILS EN FONT SEPT FOIS LE TOUR ET TOUJOURS SELON LE RITE, ILS JETTENT UNE PIECE DE MONNAIE DANS L’EAU QUI FRISSONNE AU FOND DU BASSIN. LEUR GESTE UNE FOIS ACCOMPLI, ILS S’EMBRASSENT, HEUREUX, CAR ILS SONT SÛRS DE SE MARIER DANS L’ANNEE.

    Lorsque Christelle et Frédéric, deux jeunes d’une localité proche de Bessines eurent vent de cette légende, ils haussèrent les épaules. Pour eux, cette pierre n’était qu’une pierre qui ne pouvait entamer l’incrédulité de leurs vingt ans. « J’ai connu Frédéric dans un bal, il y a environ 4 ans, raconte Christelle. Deux danses dans ses bras et je l’aimais déjà. Hélas, tout s’opposait à notre union, nos familles surtout, qui ne voulaient pas en entendre parler. Un jour, le centenaire de Bessines (dans les années 70), Urbin Betout au courant de notre drame nous a conseillé de nous rendre au rendez-vous de la Pierre-Belle. Bien sûr, Frédéric et moi nous l’avons écouté avec respect, mais en fait, nous avions surtout envie de rire, car on ne croyait pas un mot de ce qu’il disait ». « Après cette fameuse nuit, me dit Frédéric, tout s’est arrangé comme par enchantement, les heurts avec mes parents ont cessé et la pierre a fait triompher notre amour. »

    Bien sûr, il serait facile de mettre cette série de bonheurs, cet étrange concours de circonstances sur le compte du hasard. En fait, pour les habitants de Bessines et surtout pour leur doyen d’âge, Urbin Betout, l’homme le plus vieux de France (à l’époque), la « Pierre-Belle » a bel et bien une âme qui force à aimer et puis conclut Urbin, la voix riante :

    « C’est une marieuse qui ne coûte pas cher ».


    http://www.cartesfrance.fr/carte-france-ville/photos_87014_Bessines-sur-Gartempe.html


    La taverne de l’étrange- octobre 2009

     

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  • Comme il est fréquent de trouver des détritus là  où s’arrêtent les touristes sur la route des vacances, il n’est pas rare de découvrir des résidus de différentes natures là  où se posent les OVNI. Ce n’est peut-être pas très  écologique, mais lorsqu’il s’agit des rejets d’une chose dont on ne connait pratiquement rien, cela ne peut que nous intéresser et nous passionner, dans la mesure où  cela peut nous apporter de nouveaux renseignements précieux. 

     

    Sans se poser, les OVNI surprennent parfois en laissant tomber une étrange matière que l’on a pris l’habitude d’appeler « cheveux d’anges » et qui sont des fils blanchâtres et floconneux qu’il ne faut pas confondre avec les « fils de la vierge » qui sont, eux, des fils d’araignées. Voyons donc quelques exemples de chutes d’une telle substance.

    Le 17 octobre 1952 à Oloron-Sainte-Marie, dans les Pyrénées-Atlantiques, de nombreuses personnes furent témoins des évolutions d’un objet en forme de cigare qui libéra une trentaine de « soucoupes volantes » pendant que des fils blanchâtres étaient observés descendant lentement vers le sol. Ces fils offraient une petite résistance à la traction et se dissolvaient dans l’air après peu de temps. Dix jours plus tard, à Gaillac dans le Tarn, se produisait le même phénomène. Un long cylindre évoluait dans le ciel en compagnie d’un grand nombre d’objets de forme discoïdale. De tout cela se détachait une matière bizarre ressemblant à de la laine de verre. Les personnes qui en prirent dans leurs mains eurent la surprise de voir cette espèce de coton devenir gélatineux avant de disparaître complètement comme s’il avait fondu. Ce jour-là, des officiers de gendarmerie furent témoins de l’évènement ; ils ne purent que constater l’importance de la chute. Il y avait des filaments partout. Aux Etats-Unis, des photos qui furent faites pendant de tels cas montrent que ces « cheveux d’anges » peuvent recouvrir les lieux d’une couche considérable.

    Le 27 octobre 1964 une pluie de « cheveux d’anges » eut une drôle de conséquence. En effet, les équipes de football de Florence et de Pistoia qui disputaient un match à Florence ce jour-là, arrêtèrent leur jeu pendant que les 10.000 spectateurs du stade levaient la tête pour contempler les évolutions de deux boules lumineuses qui survolèrent le terrain de sport à trois reprises. Des filaments de couleur blanche descendirent du ciel sur Florence et ses environs. Un élève ingénieur eut la présence d’esprit de déposer un peu de cette matière dans un tube de verre stérile qu’il porta rapidement à l’Institut de Chimie de l’Université de Florence. Dans les laboratoires, les professeurs Giovanni Canneri et Danilo Cozzi firent une rapide analyse microscopique et spectrographique. Ils découvrirent du bore, du silicone, du calcium et du magnésium. Ils déclarèrent en outre, qu’une fois allumés, les filaments brûlaient en laissant un résidu transparent et soluble. Conclusion fut tirée que l’on était en présence d’une substance à structure macromoléculaire. Après les « cheveux d’anges » nous retrouvons la couleur blanche dans la substance poudreuse laissée sur le sol lors de certains atterrissages.

    Ainsi, le 5 novembre 1954 à la Roche-en-Brenil, un objet posé dans un pâturage et près duquel furent observés trois humanoïdes, laissa, en s’en allant, une substance blanchâtre et une empreinte en forme de cercle de trois mètres de diamètre dans laquelle le sol avait l’apparence de la cendre. Le 31 janvier 1963 à Ganada de Algosaray en Argentine, deux frères remarquèrent des traces dans l’herbe après avoir vu un objet atterrir puis repartir. Dépêchée sur les lieux, la police découvrit une poudre blanchâtre qu’on ne put expliquer. Une matière semblable fut trouvée le même jour sur un autre lieu d’atterrissage, à Tucuman, toujours en Argentine. A Boggabri en Australie, de la poudre blanche fut prélevée sur un terrain extrêmement tassé et marqué de trous. En novembre 1971, dans l’Etat du Texas, des témoins racontèrent avoir vu, près du sol, un objet volant d’une luminosité aveuglante. Une enquête fut ouverte et un collaborateur du docteur Hyneck révéla que la terre, à l’endroit où semblait s’être posé l’objet, avait une teneur en calcium de 20 à 30% supérieure à celle des environs immédiats. Cette anomalie se manifestait sur une portion de terrain qui avait la forme d’un anneau. Fait curieux, peu après l’évènement, cet anneau devenait luminescent lorsque la nuit tombait. « Le sol était comme recouvert d’une poudre blanche et la surface formait une croûte cassante et fragile. » Il est à noter que sur l’emplacement de telles traces, la végétation ne repousse plus.

    Le 5 août, à Beugnies dans le nord de la France, le fils de l’adjoint au maire de la ville découvrit une trace en forme de cercle d’un diamètre de 5,50m, constitué par une bande de matière blanchâtre et brillante d’une largeur de 15 cm. La même substance était visible sur le feuillage d’une haie toute proche. Des prélèvements furent faits. Comme les voitures après un stationnement, les OVNI laissent souvent des traces suspectes sur les lieux de leur pose momentanée. Le 3 octobre 1954, près de la Rochelle, un objet de 5m de diamètre sur 2,50 m de hauteur abandonna des tâches huileuses. Le 9 octobre, c’est à Briatexte, dans le département du Tarn, qu’un autre disque de 6 m de diamètre laissa des tâches brunes et huileuses. Et, le 28 juillet 1966, à Montsoreau, dans un champ de blé, un engin lumineux ayant fait son « nid » sur une surface de 3 m de diamètre couvrit le sol d’une substance on ne peut plus huileuse. Parfois, ce sont des gouttes d’un liquide étrange qui attirent l’attention des enquêteurs. Ainsi, dans un vignoble de Saint-Gervazy dans le Gard, en juillet 1965, trente pieds de vigne portaient sur leurs feuilles d’étranges brûlures provoquées par des gouttelettes d’un produit gras. Le matin du 19 août de la même année, deux étudiants virent un grand disque lumineux atterrir dans un champ près de l’Institut Polytechnique National Mexicain à Mexico. En plus des marques d’un tripode sur le sol et de l’herbe brûlée, des savants de l’Institut trouvèrent des gouttes d’un liquide qu’ils qualifièrent d’étranges. Il faut bien avouer que ce mystérieux liquide a quelquefois de curieuses propriétés.

    En 1964 à Atlanta aux Etats-Unis, un représentant nommé Parham, conduisait sa Chevrolet sur une route déserte vers une heure du matin quand soudain il vit un objet brillant fonçant sur lui. Le moteur de son véhicule eut des râtés et notre homme dut s’arrêter sur le bas-côté de la route. L’objet descendit alors juste au-dessus de la voiture où la chaleur devint suffocante. Vivement effrayé, monsieur Parham fut soulagé lorsqu’il vit l’engin s’éloigner quelques instants plus tard. Il alla conter son aventure à la direction de l’aviation fédérale de l’aéroport de Spartanburg. Les enquêteurs examinèrent la voiture et découvrirent qu’un liquide avait abîmé la peinture du toit et du capot. Les tâches furent analysées de plus près à l’aide d’un compteur Geiger… Il fut alors établi qu’elles étaient radioactives. Nous retrouvons cette radioactivité le 16 août 1968, date à laquelle les services de renseignements de l’aviation argentine et la commission de l’énergie atomique de Buenos-Aires enquêtèrent ensemble sur un cas d’atterrissage. A l’endroit où le témoin déclara avoir vu l’objet, il fut découvert une tâche de 50 cm de diamètre. A l’aide des compteurs Geiger, on releva que cette portion de terrain était fortement radioactive. Là ne s’arrête pas la liste des résidus que l’on peut, éventuellement, rencontrer sur les lieux de pose des mystérieuses machines de nos visiteurs spatiaux. On peut encore trouver différentes matières toutes plus étranges les unes des autres. Ainsi, le 12 mai 1962, après un atterrissage à Bahia-Bianca en Argentine, on découvrit des résidus carbonatés. Les laboratoires de l’Université nationale du sud firent des analyses qui révélèrent la présence d’une forte proportion de carbonate de calcium et des traces de carbonate de potassium. Le 11 septembre 1967, après le passage d’un OVNI dans la province de Santa Fe, des résidus furent analysés, on y rencontra des traces de carbone, de magnésium, de fer, de nickel et d’aluminium.

    Le même jour, toujours en Argentine, au cours d’une terrible tempête, toute une famille observa un grand objet lumineux qui laissa une matière d’odeur désagréable ressemblant à de la suie. A Belo-Horizonte au Brésil, on découvrit près d’un lieu d’atterrissage, des grains noirâtres, légers et de forme irrégulière qui s’écrasaient facilement entre les doigts en dégageant une odeur désagréable. Ces grains furent portés à l’Institut central des géosciences de l’université fédérale de Minas-Gerais. Les résultats, comme trop souvent, ne nous sont pas parvenus. Enfin, il arrive que l’on puisse récolter des rejets métalliques, comme ce fut le cas dans le sud-ouest du Brésil le 14 décembre 1954. Ce jour-là, à Campinas, un grand nombre d’habitants de la ville aperçurent, dans le courant de l’après-midi, trois objets de forme discoïdale dont l’un paraissait en difficulté. En effet, il oscillait très fortement et ne pouvait conserver son altitude. Celui-ci descendit jusqu’à une centaine de mètres du sol et c’est alors que les témoins entendirent plusieurs coups sourds qui semblaient correspondre aux mouvements saccadés du disque. Avançant par bonds successifs, l’objet laissa échapper un mince filet de liquide argenté. Puis, il reprit de l’altitude et s’éloigna avec les deux autres objets, comme si de rien n’était. Des recherches dirigées par les autorités furent rapidement organisées pour retrouver trace du mystérieux liquide ainsi tombé du ciel. Il en fut retrouvé sur les toits et sur les chaussées ; et plusieurs dizaines de grammes furent recueillis et remis au gouvernement. Un porte-parole de ce dernier déclara, quelque temps plus tard, que la matière était de l’étain. Heureusement, tout le métal n’était pas tombé dans les mains des autorités… Le docteur Risvaldo Maffei, chimiste de son état, en avait ramassé un peu… Il déclara, pour sa part, que si le métal en question contenait bien de l’étain, il contenait surtout 10% d’autres métaux, qu’il n’était pas parvenu à identifier.

    Depuis toujours nous avons eu la visite d’engins inconnus qui nous arrosèrent de matières mystérieuses. Et si nous remontons dans le temps, nous apprenons qu’en mai 1652, près de Rome, une masse de gelée poisseuse tomba du ciel au moment même où un grand objet lumineux était observé. En mars 1796, une grosse masse de gelée tomba à Lusatia d’une « boule de feu aérienne ». Ainsi, de tout temps, d’étranges substances sont tombées sur la terre ; ce n’est pas « le Livre des Damnés » de Charles Fort qui nous contredira. Et, si parfois les OVNI larguent de mystérieuses matières, nous n’avons pas encore en main les éléments nécessaires à leur compréhension. 

     

    Tyron & Claude Burkel 

    Source : données personnelles et archives diverses. Avril 2009

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    Première responsable du réchauffement climatique

      

    Une découverte récente, due au physicien Paul La Violette, expose que le réchauffement global suivant est la dernière glaciation est due à l’effet d'un phénomène cosmique nommé "Grande Onde Galactique".

    Tout cela reste un secret de au niveau pour ne pas mettre en panique la population mondiale, avec tout ce que cela représente au niveau sécurité, tout repose sur le réchauffement planétaire non pas du tout a l’homme.

    Tout les 13000 à 26000  ans, le noyau galactique (un renflement contenant un très grand nombre d’étoiles) émet un puissant rayonnement cosmique. Composé d’électrons de haute énergie et de radiation électromagnétique, (d’ondes radio aux rayons X et gamma), ce rayonnement part du noyau en une « super-onde » à la vitesse proche de celle de la lumière. Lorsque, vingt-six mille années-lumière plus tard, elle atteint notre système solaire, elle modifie le comportement du soleil. Notre système solaire est entouré d’une ceinture de poussière et de débris cosmique appelée  « Nuage d’Oort », selon nos chercheurs, lorsque la super-onde traverse ce nuage, elle entraine apport de combustible, qui fait augmenter la température de surface. Les éruptions solaires augmentent, sa couronne et sa photosphère grandissent et tout cela affecte fortement le climat terrestre, mais également les autres planètes de notre système solaire. En outre, des particules cosmiques qui auraient pénétré  dans l’atmosphère terrestre seraient capturées par le champ magnétique de la planète et formeraient une ceinture de radiation en haute atmosphère. L’énergie injectée dans l’atmosphère de la Terre en un seul jour serait équivalente à une bombe à hydrogène d’un milliard de tonnes. Les effets climatiques perdureraient pendant des milliers d’années. Nos chercheurs voient dans une telle super-onde la cause des bouleversements climatiques qui commencent actuellement. Les mêmes qui mirent fin (entre 15000 et 14150 av. J.C.) à  la glaciation et provoquèrent l’extinction de nombreuses espèces.

    Nous pensons que certains avions peuvent avoir des pannes à  causes de certains champs électromagnétiques pendant les éruptions solaires actuelles. Nous parlons évidemment des avions les plus sophistiqués (le Rafale par exemple) Il serait intéressant de vérifier les accidents avec ces éruptions, ce qui n’a jamais été réalisé... 

      

    Source : Mes recherches personnelles 
     

     Pour la taverne de l'étrange - le 15 Septembre 2009 

     

                                                Claude BURKEL 
     

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    5 commentaires
  • Bonjour toutes et tous !

    Suite aux problèmes évoqués dans la news précédente beaucoup de détracteurs continuent à laissés des commentaires guère intéressants... suite à cela vous avez remarquer que le commentaire n'apparaît qu'après validation par mes soins. C'est vraiment pénible d'en être arriver là à cause de quelques personne peu scrupuleuse... je profite aussi pour répondre à certains que je valide tout les commentaires n'étant pas "vulgaire" et ayant attrait aux articles et photos en ligne. Le temps me manque actuellement et je suis moins présent car je m'occupe beaucoup plus de ma nouvelle fée Cool qui m'accapare beaucoup !

    Aussi je supprimerai le pseudo des gens n'étant pas correct afin qu'il ne poste plus; la taverne est un endroit axé sur les phénomènes étranges, paranormaux ou autres et ceux qui ne s'y intéresse pas n'ont qu'à aller voir ailleurs, non ?  Pour répondre à d'autres visiteurs du site, je n'ai pas encore prévu de réaliser des reportages comme ils me l'ont demander, faute de temps, mais ce n'est que partie remise, je ne vous oublie pas... Peut-être que le prochain sera vers la forêt d'orient ;o) Pour répondre aux autres sur les photos que j'ai prises et visibles sur l'édito, je suis saint de corps et d'esprit Langue tirée et reste que "ces" photos d'objets célestes sont belles et bien vraies ! Pas de trucage ou de photoshop quelconque, de canulars ou autres... Ces photos sont visibles dans la rubrique photos " mes photos étranges par Tyron" et chacun jugera... Je ne vous parle pas des menaces reçues par mails mais j'ai quand même valider un de ces commentaires à but d'intimidation venant d'autorités officielles ou de petits plaisantins... Enfin rien de grave rassurez vous ! Le meilleur reste à venir alors gardez l'oeil ouvert et le bon, si possible !

     

    Tyron

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    3 commentaires