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    L'après vie : Faits & Témoignages 

    La taverne de l'étrange- 31 décembre 2009

     

     
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    LES SECRETS DES MISSIONS APOLLO

     

     

    On commence à connaître enfin la vérité sur ce qui s’est réellement passé au cours des six voyages successifs d’exploration lunaire et des trois missions orbitales qui les ont précédés. Et, pour cela, nous devons rendre hommage au magazine américain « Saga » qui eut le courage de publier, le premier, tous les détails de ces missions que beaucoup connaissaient mais ne pouvaient dévoiler pour des raisons professionnelles. La NASA avait ainsi réussi à étouffer pendant plus de 40 ans tous les incidents qui s’étaient produits entre des fusées spatiales américaines et des OVNI, ainsi que les découvertes extraordinaires qui avaient été faites sur la Lune par les astronautes.


    Lorsque l’on considère le prix fantastique payé par le contribuable américain pour faire débarquer douze hommes sur la Lune et en mettre quelques autres en orbite autour de celle-ci, il est logique de se demander à quoi l’opération a servi et si elle valait vraiment la peine. Il faudra sans doute des années pour arriver à faire le bilan de ce que les missions Apollo nous auront apporté, mail il est déjà possible de le résumer en quelques mots. Les missions Apollo nous ont rapporté quatre cents kilos de cailloux qui ont détruits la plupart des théories officielles sur l’origine de Lune et semblent, au contraire, en avoir confirmé d’autres que la science officielle rejetait avec horreur dans le domaine de la science-fiction, il y seulement quelques années. 

    De plus, les missions Apollo nous ont apporté la preuve que l’activité des OVNI  n’était pas limitée au voisinage de la Terre, mais que l’on pouvait tout aussi bien les rencontrer entre la Terre et la Lune ou même autour de Celle-ci

    Les missions Apollo nous ont enfin appris qu’il existe sur la Lune des structures géométriques mystérieuses qui ne peuvent être naturelles et doivent par conséquent être terrestre ou peut-être extraterrestre.

    Il serait donc difficile de prétendre que ces missions ne nous ont rien apporté ou qu’il n’a servi à rien. En faisant le bilan de ses apports, nous commencerons par les OVNI qui intéressent tout le monde, alors que les découvertes scientifiques n’intéressent qu’un public beaucoup plus restreint.  Maurice Chantelain  ayant fait partie depuis le début de l’équipe qui conçut et réalisa la fusée Apollo, et ayant suivi ensuite toutes les péripéties, il été évident au courant  des incidents des OVNI, mais il n’était impossible pour lui d’en parlesqu’ici sans risquer d’avoir des ennuis sérieux.

    Maintenant après tant d’années les magazines américains en ont parlé, la situation n’est plus la même et je peux vous raconter ce que je sais par Maurice Châtelain. Tout a commencé avec l’astronaute Gordon Cooper qui fit vingt et une fois le tour de la Terre à bord d’une capsule Mercury, le 15 mai 1963, lors de son quatrième passage au-dessus d’Hawaï, il entendit soudain dans sa radio des voix étranges qu’il qualifia de langue étrangère incompréhensible. Or il était à ce moment-là sur la fréquence exclusivement réservée aux vols spatiaux et, lorsque l’on essaya plus tard de déchiffrer la bande magnétique, on s’aperçut que les sons enregistrés n’appartenaient à aucune langue terrestre connue. C’est alors que les experts de la NASA commencèrent à soupçonner l’existence autour de la Terre de vaisseaux spatiaux appartenant à une autre civilisation de l’espace. D’ailleurs, alors qu’il survolait la station de poursuite de Muchéa, à côté de Perth en Australie, Cooper aperçut un objet étrange, de dimensions importantes, qui s’approchait de lui à une altitude plus élevée. Cet objet fut aperçu également par plus de deux cents personnes qui se trouvaient à la station. Cooper déclara plus tard qu’il comprit à ce moment-là qu’il devait y avoir dans l’espace d’autres civilisations que la nôtre et que le temps semblait être venu de faire leur connaissance.

    Il y eut sans doute d’autres rencontres entre capsules Mercury et OVNI, mais l’incident de Gordon Cooper est le seul qui ait été reconnu par la NASA, sans doute parce qu’il y avait eu de nombreux témoins au sol. Comme les astronautes du Mercury étaient seuls à bord de leur capsule, et qu’ils connaissaient l’opinion de la NASA au sujet des OVNI, nous ne saurons sans doute jamais ce que les autres ont pu voir lorsqu’ils tournaient autour de la Terre. Après les missions Mercury, ce furent les douze missions Gemini. On sait maintenant qu’au cours de chacun d’elles, les deux astronautes qui pilotaient la capsule aperçurent un ou plusieurs OVNI, mais on ne possède pas plus de détails précis que sur six d’entre elles.

    Le 3 juin 1965, Edward White et White et James McDivitt se placèrent en orbite terrestre à bord de la capsule Gemini 4. Au cours de leur vingtième tour de Terre, alors qu’ils survolaient Hawaï après 30 heures et 9 minutes de vols, ils aperçurent soudain un cylindre argenté qui se dirigeait rapidement sur eux. Ils se précipitèrent sur les contrôles pour essayer d’éviter une collision qui semblait inéluctable, mais l’engin mystérieux les évita de justesse en passant à quelques dizaines de mètres et disparut. Faisant preuve d’un grand sang-froid fantastique, pendant les quelques secondes qu’avait duré cet incident, McDivitt avait réussi à prendre plusieurs photos de l’objet qui était de forme ovoïde allongée et faiblement lumineux, avec une longue traînée lumineuse à l’arrière, sans doute produite par son système de propulsion. Les photos furent envoyées à la NASA aussitôt après l’amerrissage de la capsule, dès que les astronautes furent à bord  du porte-avions, mais McDivitt ne put les voir que quatre jours après et les épreuves avaient été trafiqués au point qu’il ne put rien reconnaître. Il exigea alors de voir le film où il reconnut vaguement l’engin qu’il avait vu, mais comme il avait pris ses photos presque en face du soleil, il ne sut jamais si elles étaient vraiment floues à l’origine ou si elles l’étaient devenues par les soins du laboratoire de la NASA.

    Le 19 août 1965, Gordon Cooper et Peter Conrad se placèrent en orbites terrestre à bord de la capsule Gemini 5. Dès le décollage, les témoins au sol purent apercevoir et filmer un objet ovoïde argenté qui émettait une lueur verte phosphorescente et se déplaçait à une vitesse fantastique à l’est du sillage de la fusée. Cet objet mystérieux tourna alors vers l’oust, traversa le sillage de la fusée en montrant son profil elliptique, et reprit sa direction originale où, vu de l’arrière, il avait l’air d’un disque parfait. Le plus extraordinaire est que lorsque l’on développa les différents films pris par les témoins au sol, on s’aperçut qu’il y avait eu en réalité trois objets différents dont deux étaient sans doute invisibles à l’œil humain, car personne ne les avait vus.

    Le 4 décembre 1965, Frank Bormann et James Lovell se placèrent en orbite terrestre à bord de Gemini 7. Dès le second tour, alors qu’ils survolaient le Cap Kennedy, ils aperçurent à environ 800 mètres un énorme objet mystérieux en face d’eux et à une altitude plus élevée. Cet objet se déplaçait de gauche à droite avec une vitesse inouïe, mais les astronautes réussirent quand même à prendre plusieurs photos. Lorsqu’on les développa, on s’aperçut que l’une d’elles représentait un seul objet très net et très brillant, tandis que les autres en montraient trois comme sur les photos prises au décollage de la capsule Gemini 5. Il semblerait donc que ces véhicules cosmiques, déjà doués d’une vitesse et d’une facilité de manœuvre incroyable, ont en plus la possibilité de devenir invisible à volonté, tout au moins pour l’œil humain et peut-être pour le radar. (Je pense avoir trouvé la raison !)

    Le 1er juin 1966, Thomas Stafford et Eugene Cernan se  placèrent en orbite terrestre à bord de Gemini 9. Dès le décollage, on s’aperçut que la fusée était accompagnée de plusieurs OVNI, et il y eut des témoins de la NASA dut faire une déclaration diffusée à la télévision, reconnaissant que des objets non identifiés avaient été aperçut à plusieurs reprises lors des lancements de fusées spatiales, par des astronautes ou des témoins au sol.

    Le 18 juillet 1966, John Young et Michael Collins se placèrent en orbite terrestre à bord de Gemini 10. Ils aperçurent soudain deux OVNI qui les suivaient à distance et qui disparurent pendant qu’ils demandaient à la station au sol de les poursuivre au radar. Plus tard, vers la fin de la nuit, ils aperçurent un autre objet très brillant qu’ils estimèrent ne pouvoir être une planète, à environ huit degrés au nord de la constellation d’Orion, faisant la troisième pointe d’un triangle équilatéral avec les Pléiades et la ceinture d’Orion. A ce moment-là, le soleil se leva et l’objet mystérieux disparut avec les étoiles.

    Le 12 septembre 1966, Richard Gordon et Peter Conrad se placèrent en orbite terrestre, à bord de Gemini 11. Au cours de leur dix-huitième tour de la Terre, alors qu’ils survolaient Madagascar, ils aperçurent tout à coup un objet assez éloigné qui semblait être de taille impressionnante et en prirent plusieurs photos. La NASA essaya ensuite de leur faire croire que ce qu’ils avaient vu était en réalité le satellite Pluton 3 qui se trouvait à ce moment-là à 450 kilomètres de leur capsule. En bon militaires soucieux de leur avancement, les deux astronautes n’essayèrent même pas de discuter. C’est d’ailleurs sans doute pour cela que la NASA n’emploie que des militaires pour ses missions spatiales.

    Il y eut également un incident d’OVNI au cours de la mission Gemini 12, mais les détails en sont moins connus. James Lowell et Edwin Aldrin aperçurent en effet, le 12 novembre 1966, deux OVNI à un km pendant un certain temps et prirent même quelques photos. Cela complète la série des missions Gemini au cours desquelles furent aperçu au cours des objets mystérieux.

    Voyons maintenant ce que les astronautes ont aperçu au cours des différentes missions Apollo.

    Le 21 décembre 1968, à bord d’Apollo 8, les astronautes Frank Borman, James Lowell et William Anders furent les premiers à quitter leur orbite terrestre et à aller se mettre en orbite autour de la Lune où ils arrivèrent le soir de Noël, juste à temps pour lire chacun quelques passages de la Bible aux terriens émerveillés. On savait déjà que les Américains ne pouvaient rien faire sans consulter la Bible, ce qui semble un peu ridicule, mais dans ce cas particulier, ils n’avaient peut-être pas tout à fait tort, car les prophètes de la Bible étaient certainement des experts en matières de voyages dans l’espace. D’ailleurs leur appel fut sans doute  entendu car ils reçurent aussitôt, au cours de leur premier tour de la Lune, la visite d’un véhicule spatial en forme de disque qui tourna autour d’eux à plusieurs reprises, en dirigeant sur eux un rayon très puissant dont la lumière les éblouissait et dont la chaleur augmenta immédiatement la température de leurs corps et celle de la capsule. Pendant ce temps-là, leur cabine se mit à osciller de gauche a droite et d’avant en arrière sans qu’ils ne puissent rien y faire, et leur radio leur transmit des messages dans une langue inconnue. Comme accueil sur la Lune, c’était vraiment réussi, comme s’il y avait eu là-bas des êtres lunaires qui essayaient de les dégouter de la Lune et de les inciter à rentrer chez eux. Puis l’OVNI disparut, les oscillations s’arrêtèrent, et leur radio les remis en contact avec Mission Control sur la Terre, à près de quatre cent mille kilomètres de là. Les astronautes pensèrent alors que l’équipage de l’OVNI avait peut-être tout simplement voulu leur souhaiter la bienvenue sur la Lune, mais évidemment à leur manière qui est  légèrement différente de la nôtre.

    D’ailleurs les deux missions suivantes, Apollo IX avec James McDivitt, David Scott, et Russel Schweickart, et Apollo X avec Thomas Satafford, John Young, et Eugene Cernan, restèrent plusieurs jours autour de la Lune sans apercevoir d’OVNI et la NASA commença à se rassurer. Apollo XI décolla le 16 juillet 1969 avec les trois astronautes Neil Armstrong, Michael Collins, et Edwin Aldrin, et se posa sur la Lune, dans la mer de la tranquillité, le 20 juillet après avoir fait le parcours en 102 heures et 45 minutes, ce qui représente une belle moyenne. Mais avant d’en arriver là, les astronautes aperçurent, le premier jour après leur départ, un objet étrange dont il était difficile de déterminer la distance, les dimensions, ou même la forme. Armstrong voyait deux anneaux reliés entre eux, Collins voyait un cylindre creux, et Aldrin était certain que ce n’était pas un cylindre, mais que cela avait plutôt la forme d’un livre à moitié ouvert. Finalement l’objet mystérieux disparut et les astronautes ne surent jamais ce qu’ils avaient vu. Ils virent ensuite deux OVNI dont ils prirent plusieurs photos qui ont été publiées récemment par un magazine américain qui n’indique pas ses sources, ce qui les rend assez suspectes.

    Il se produit ensuite un incident étrange alors que les astronautes arrivaient à proximité de la Lune. Ils entendirent soudain dans leur radio des sons bizarres qui ressemblaient tour à tour à un sifflet de train, à une sirène de pompier, ou à une scie mécanique. Cependant, ces sons étaient modulés et avaient vaguement l’air de messages codés. Il y avait certainement une ou plusieurs OVNI dans les voisinages de l’Apollo, mais les astronautes n’en parlent pas. Cela ne veut d’ailleurs rien dire, car il est maintenant à peu près certain que la bande magnétique de ce voyage historique sur la Lune a été coupée à plusieurs endroits, chaque fois qu’il était question d’objets non identifiés. Le bruit courut même à l’époque que plusieurs amateurs radio avaient captée avec leur matériel personnel la conversation des astronautes sur la Lune. (Fréquence émettant sur 37.03 mgc) D’après ces amateurs, Armstrong et Aldrin auraient été surveillés pendant toute la durée de leur séjour sur la Lune, par plusieurs OVNI  énormes disposées autour  du cratère au fond duquel ils s’étaient posés. Ce n’est évidemment qu’une rumeur qu’il sera difficile de vérifier, mais je me rappelle effectivement que la conversation des astronautes qui nous était transmis à la télévision était souvent coupée pendant plusieurs minutes et j’avais l’impression qu’une grande partie du dialogue entre Houston et les astronautes avait été supprimée. Je n’ai jamais pu obtenir confirmation de ce fait, mais je suis persuadé qu’il est exact car, sans cela, la NASA n’aurait eu aucune raison de nous cacher ce qui se passait sur la Lune, alors que le monde entier était à l’écoute.

    Mais la NASA n’était pas au bout de ses peines. Le 14 novembre 1969, les trois astronautes Charles Conrad, Richard Gordon, et Alan Bean, décollèrent à bord d’Apollo XII, Moins d’une minute plus tard, à 11 h 22, heure locale, alors qu’ils étaient à trois kilomètres de la Terre, la fusée Saturne V fut atteinte par un coup de foudre très violent et d’origine inconnue. Tous les disjoncteurs sautèrent et tous les appareils électriques devinrent inertes. Plus de lumières, plus de circulation d’air, et plus de contact au sol, mais les astronautes ne s’affolèrent pas. Avec du sang-froid fantastique, ils remirent en marche le générateur d’électricité et rebranchèrent tous les circuits électriques l’un après l’autre. En trois minutes, tout était redevenu normal, mais l’alerte avait été chaude.

    On ne sut d’ailleurs jamais d’où était venu le coup de foudre car l’orage le plus proche s’était produit à plus de trente kilomètres de là, mais, quelques heures plus tard, on commença à recevoir les rapports des différents observatoires qui avaient suivi la fusée avec leur télescope. Ces rapports signalaient que la fusée avait été accompagnée dans son vol par deux objets inconnus très brillants l’un en avant et l’autre en arrière. Il est possible que le coup de foudre violent qui avait failli détruire la fusée ait été provoqué par ces objets mystérieux. Le jour suivant, alors que les astronautes se trouvaient déjà à plus de deux cent mille kilomètres de la Terre, ils aperçurent deux engins dont ils n’arrivèrent pas à déterminer la forme exacte. Ils en avisèrent aussitôt Mission Contrôle qui essaya de les rassurer en leur racontant qu’ils devaient avoir vu les débris d’un satellite quelconque. Mais ils entendirent alors dans leur radio des bruits semblables à ceux qu’avaient entendus les astronautes d’Apollo XI, et Mission Contrôle les entendit aussi sur la Terre pendant plus de trois quarts d’heure.

    Finalement le 24 novembre, alors qu’ils étaient revenus en orbite autour de la Terre et qu’ils passaient au-dessus de la côte orientale des Indes avant d’amerrir dans le Pacifique, les astronautes aperçurent en dessous de leur capsule un superbe OVNI dont la lumière rouge intermittente se détachait nettement au-dessus de la surface terrestre et qu’ils purent observer pendant plusieurs minutes avant de se poser sans incident sur les flots à côté du porte-avions. On connaît le voyage dramatique d’Apollo XIII avec James Lowell, John Swigert, et Fred Haise, au cours duquel une explosion se produisit dans un réservoir d’oxygène du service module et paralysa une partie des instruments de bord. Encore une fois, grâce à leur sang-froid extraordinaire, les astronautes arrivèrent à sauver la situation. Ils firent le tour de la Lune sans s’y arrêter et revinrent se poser sur la Terre sans histoire. La NASA a prétendu que l’explosion était due à la négligence du constructeur du réservoir qui n’avait pas augmenté l’isolement des fils électriques comme prévu lorsqu’on avait augmenté le voltage utilisé, mais, pour tout ceux qui connaissent l’Apollo, cette histoire ne tient pas debout. Nombreux sont ceux qui pensent que l’explosion d’Apollo XIII, comme le coup de foudre d’Apollo  XII, fut provoqué par un OVNI qui les accompagnaient.

    Les trois missions suivantes du programme Apollo semblent s’être passées sans histoires. Les astronautes ont bien vu quelques objets brillants traverser le ciel lunaire, mais ils n’ont pas pu déterminer s’il s’agissait d’OVNI ou tout simplement de météores. Abord d’Apollo XVI, Thomas Mattingley rapporta aussi avoir vu d’énormes lumières au-dessus de la Lune, mais sans pouvoir les définir très exactement. Quant à Apollo XVII, qui fut le dernier, les astronautes Eugene Cernan, Ronald Evans et Harrison Schmitt déclarèrent également avoir vu d’énorme lumières comme celles qu’avait aperçues Thomas Mattingley au cours du vol précédent, mais eux non plus n’arrivèrent pas à les définir exactement. Ils prirent des photos de ces objets mystérieux qui se trouvaient sur le bord du Cratère Oriental, mais ces photos n’ont jamais été publiées et l’affaire a été étouffée par la NASA. En conclusion, il semble possible de dire que toutes les missions Apollo ont aperçut des OVNIS de près ou de loin, sur Terre ou sur la Lune ou même entre les deux. Il apparaît même possible qu’une civilisation extraterrestre se soit déjà installée en permanence sur la Lune, comme certains investigateurs le prétendent, en France et à l’étranger, depuis plusieurs années. Cependant, à part les incidents des missions Apollo XII et XIII dont ils ne sont peut-être pas responsables, il ne semble pas que ces visiteurs de l’espace aient une attitude hostile à l’égard de la race humaine.

    Voyons maintenant ce que nous ont appris les quatre cents kilos de cailloux rapportés de la Lune par les astronautes américains. La première surprise a été de découvrir que la Lune est très riche en titanium, métal relativement rare sur la Terre, où les minerais les plus en contiennent dix fois moins que ceux de la Lune. Les roches lunaires contiennent également un pourcentage important de bérillium, d’yttrium, qui sont assez rares sur la Terre. Tous ces éléments ont une température de fusion très élevée suggère une origine volcanique. Le titanium en particulier est le métal idéal pour les avions supersoniques et les capsules spatiales de retour dans l’atmosphère. Une autre découverte incroyable est le fait que, dans les échantillons rapportés par Apollo II, le sable est d’un milliard d’années plus âgé que les roches qui ont été trouvées à côté, ce qui semble indiquer que la Lune a toujours été bombardée par des météores venus du fond de l’espace. D’autres part, on avait toujours pensé que la Lune n’avait pas de champ magnétique propre, d’abord parce que, sa densité étant beaucoup plus faible que celle de la Terre, elle ne pouvait avoir un noyau de fer et de nickel comme celle-ci, et ensuite parce que les astronautes en orbite autour de la Lune n’avaient jamais pu détecter un champ magnétique quelconque avec leurs instrument pourtant très sensibles. Or tous les échantillons rapportés de la Lune possèdent un champ magnétique fossile rémanent, ce qui indique que, si la Lune n’a pas de champ magnétique propre, elle a dû passer dans l’espace, avant d’arriver autour de la Terre, à travers un champ magnétique très puissant qui aurait laissé son empreinte dans les roches de la surface lunaire. Cela détruit la théorie d’une origine solaire ou terrestre de la Lune et renforce au contraire la théorie de son origine cosmique et de sa capture éventuelle par la Terre, qui nous est racontée par de nombreuses légendes très anciennes, et suggérée par le calendrier hiéroglyphique de Tiahuanaco. Mais la découverte la plus fantastique faite par Apollo est le fait qu’il y a de l’eau sur la Lune, contrairement à ce que l’on avait toujours pensé jusqu’ici. Les trois premières missions qui avaient débarqué sur la Lune n’y avaient trouvé aucune trace d’eau ni même d’oxydes prouvant qu’il y en avait eu auparavant. La NASA avait donc déclaré qu’il n’y avait pas d’eau sur la Lune.

    Cependant, les missions Apollo XII et XIV avaient laissé sur la Lune deux instruments appelés SIDE ou Superthermel Ion Detectors, qui avaient étaient chargés d’analyser l’atmosphère lunaire, si faible soit-elle, et d’en transmettre la composition à la Terre par radio. Et, un beau jour, ces deux instruments, qui étaient à deux cents kilomètres l’un de l’autre, indiquèrent en même temps et pendant quatorze heures de suite, la présence de vapeur d’eau dans l’atmosphère lunaire, sans doute en provenance de l’intérieur, soit à travers une fissure causée par un tremblement de Lune, soit à la suite d’une éruption volcanique, soit a nos géologues visiteurs  de l’espace ! Il est facile d’imaginer la sensation provoquée dans les milieux scientifiques par l’annonce d’une telle découverte, ou la tête des pontifes de la NASA qui firent tout ce qu’ils purent pour étouffer l’affaire. Et ceci d’autant plus que la mission Apollo XV n’avait pas réussi non plus à trouver sur la Lune de traces d’eau, ou même d’oxygène et d’hydrogène prouvant qu’il devait y en avoir au auparavant. C’est à ce moment-là qu’un officiel de la NASA déclara que les missions Apollo sur la Lune nous avaient apporté des réponses pour lesquelles nous n’avions pas encore trouvé les questions. C’est alors que le coup de théâtre se produisit. En analysant les cailloux rapportés par Apollo XVI, on s’aperçut qu’ils contenaient de l’oxyde de fer. Or pour oxyder du fer, il faut de l’eau, ou tout au moins de l’oxygène et de l’hydrogène avec lesquels on peut en faire. La NASA se débattit désespérément pour essayer de sauver sa théorie de la Lune sans eau, mais les faits étaient là. Les roches furent analysées dans les laboratoires de plusieurs universités célèbres, dont celles de Yale et de Cambridge, et les résultats furent nets et définitifs. Il y avait de la rouille sur la Lune et il devait par conséquent y avoir de fer et de l’eau. Mais cette eau doit se trouver à l’intérieur de la Lune où il ne sera sans doute pas facile d’aller la chercher. On sait d’ailleurs que les astronomes ont aperçu sur la Lune et depuis très longtemps, des choses étranges qui pourraient y indiquer la présence d’eau et d’oxygène, et peut-être même de la vie animale ou végétale.

    Des dômes lumineux ont été aperçus par les astronautes des missions Apollo XVI et XVII qui n’ont pas réussi, non plus à savoir de quoi  ils étaient faits, mais qui ont remarqué qu’ils étaient transparents et d’une couleur différente de celle du sol environnant. Les astronautes américains ont aussi observé en orbite des constructions géométriques rectangulaires qui n’ont certainement pas une origine naturelle. Des  constructions semblables avaient d’ailleurs déjà été photographiées par les Russes sur le bord occidental de la mer de la Tranquillité, à l’aide de leurs fusées orbitales lunaires, mais tout le monde avait pensé que les fusées russes n’étaient jamais passées assez près de la surface lunaire pour prendre de telles photos. Et cependant, ces photos montraient huit menhirs  géométriquement disposés qui, d’après les ombres projetées sur le sol lunaire, semblaient avoir au moins six mètres de diamètre et vingt mètres de hauteur. Elles montraient aussi une sorte d’obélisque isolé qui paraissait avoir près de soixante mètres de hauteur et projetait sur le sol une ombre gigantesque semblable à celle du monument de Washington dans la ville du même nom. Les astronautes américains ont également aperçu en orbite des pyramides très pointues ressemblant à des clochers d’église, qui étaient aussi disposées de façon géométrique et à côté d’un immense rectangle de couleur plus clair que celle du terrain environnant. Cela fait  immédiatement penser à la Grande Pyramide et à l’esplanade située au pied de la face nord, sur laquelle l’ombre de la pointe de déplaçait rapidement, avec des longueurs et des vitesses angulaires différentes, suivant les heures, les jours, et les saisons.

    Au cours de la missions Apollo XVI, les astronautes aperçurent pendant leur descente sur la Lune, des blocs de pierre bien taillés et alignés du sud-ouest au nord-est qui devaient sans doute être destinés à effectuer des observations astronomiques, peut-être sur les mouvements apparents de la Terre, comme nous le faisons nous-mêmes pour observer les mouvements apparents de la Lune, et comme le faisaient déjà les Egyptiens, il y a des milliers d’années. Je n’irai pas jusqu’à prétendre que les Egyptiens sont allés sur la Lune, mais il se pourrait très bien que les Sélénites, ou les Lunatiques si vous préférez, soient venus visiter les Egyptiens, il y a très longtemps. C’est sur cette pensée réconfortante et pleine de promesses d’avenir que nous terminerons cette revue des expéditions lunaires et des révélations fantastiques, a moins que, encore un petit détail.

    HOUSTON, 21 Novembre 1969 (A.F.P., Reuter, U.P.I.)

    Nouveau mystère sur la Lune : les ondes sismiques provoquées par l’impact de la partie supérieur du LM qui s’est écrasé jeudi sur la Lune intriguent déjà les savants par leur nature et leur durée. En effet, le sismographe laissé par Conrad et Bean sur la Lune a enregistré des ondes de choc pendant toute une demi-heure. « C’est un fait très inhabituel si on se rapporte à la structure terrestre », a affirmé l’un des responsables des expériences sismiques lunaires. Un autre savant a marqué son étonnement : « Je ne voudrais pas hasarder une interprétation des maintenant. C’est comme si l’on avait heurté une cloche d’une église, et qu’ayant été frappée une seule fois, elle s’était mise à vibrer pendant trente minute, la Lune est peut-être creuse et artificielle ».

    Source : Confidence de Maurice CHANTELAIN qui a travaillé pour la NASA dans les communications.

     

    10 Avril 2009

     

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  • CES LIEUX MAGIQUES QUI INTRIGUENT TANT LES SAVANTS...

     

    Lieux magiques, lieux maléficiés, vestiges énigmatiques, traces de civilisations inconnues, mystères minéraux, végétaux ou animaux, le monde regorge d’endroits et de faits qui nous étonnent et nous font poser des questions restant désespérément sans réponse. 

    De la forêt de Brocéliande à l’antre de la Sybille de Cumes, du loch Ness d’Ecosse aux plateaux himalayens, royaume du yéti, ces lieux se dénombrent par milliers. Vraiment, nous ne connaissons pas tout de notre vieux monde. On a beaucoup parlé, depuis les travaux de Charles Berlitz, de ce fameux triangle des Bermudes dans lequel sont survenues tant de  disparitions mystérieuses d’avions et de navires. La célébrité de cet intriguant point noir en a éclipsé d’autres qui ne lui cèdent en rien. Que se passe t-il dans « l’œil noir des Açores », une zone de l’Atlantique située près de cet archipel, à la hauteur du 35e parallèle ? Et dans « l’ovale du Diable » s’étendant dans le Pacifique de l’île de Guam jusqu’aux Philippines ? Et dans le « triangle des Grands Lacs » entre les lacs Supérieurs, Michigan, Erie et Ontario ?

    Dans chacun de ces endroits, on constate autant de disparitions que dans le triangle des Bermudes. S’agit-il d’un phénomène physique, magnétique, d’un « trou » dans l’espace-temps ou de quelque chose de plus mystérieux et de plus inquiétant encore ? Dans l’état actuel des recherches, il appartient à chacun de choisir dans les hypothèses avancées. Perdues dans la brousse rhodésienne s’élèvent les ruines de l’étrange cité de Zimbabwe. C’est l’un des sites archéologiques sur lequel on sait le moins de choses et cela pour des raisons politiques. Le gouvernement de Salisbury, représentant la population blanche, très minoritaire en Rhodésie, empêche en effet toute recherche approfondie sur une éventuelle civilisation noire. Que sont ces ruines cyclopéennes ? La capitale d’un empire disparu, les mines du roi Salomon, une cité magique, l’équivalent africain des temples d’Angkor ? Nul n’en sait rien, mais chacune de ses hypothèses a ses partisans. Ce qui est remarquable, et constitue une énigme de plus, c’est la technique architecturale de Zimbabwe, en particulier les immenses murailles de pierre. Cela dans une région où l’on ne retrouve aucune autre construction en pierre. Tous les observateurs ont été frappés par les similitudes existant entre ce site et certaines forteresses mégalithiques édifiées en Irlande, face à l’Atlantique.

    Ces constructions mégalithiques existent d’ailleurs à travers le monde mais c’est en Europe occidentale qu’on en trouve le plus. 50.000 y ont été  dénombrées, qu’il s’agisse de simples dolmens, de menhirs, de cromlechs, d’alignements comme ceux de Carnac ou de Kermario, qui sont parmi les plus célèbres, ou de constructions plus complexes. Leur grand nombre dans l’ancienne aire de peuplement celte a fait croire pendant longtemps qu’on se trouvait en présence de vestiges de cette civilisation. Il s’est désormais avéré que tous ces monuments sont bien antérieurs aux Celtes, mais on ne sait rien de précis sur leurs bâtisseurs. Stonehenge a déjà fait couler beaucoup d’encre, à juste titre. Ce sanctuaire situé entre la Cornouaille anglaise et le pays de Galles, près de Salisbury, commence à peine à être décodé. Ce n’est qu’en 1901 que l’astronome britannique Norman Lockyer s’est aperçu que l’orientation des pierres correspondait aux grandes directions astronomiques. Il s’agissait donc bien d’un temple solaire faisant également office d’observatoire. En 1963, un autre astronome, Gerald Hawkins, traitant à l’aide d’un ordinateur les écarts angulaires des alignements, mit en évidence le fait que chaque pierre avait une signification astronomique bien précise. Les prêtres de Stonehenge étaient par exemple capables de prévoir toutes les éclipses. Le professeur Hoyle n’hésite pas à comparer Stonehenge à un rapporteur céleste, concluant à l’existence d’un « Einstein préhistorique ». Certes, mais qui était-il ?

    Aux Etats-Unis, près de North Salem, dans l’Etat du New Hampshire, se dresse une colline boisée au sommet de laquelle on a trouvé des ruines qui n’ont pas autrement attiré l’attention des savants. Il n’y avait que les Indiens à s’intéresser à ce lieu qu’ils croyaient chargé de maléfices et qu’ils avaient baptisé la « colline du mystère ». Cependant, un chercheur du nom de Holzer entreprit une étude du site voici quelques dizaines d’années et conclut qu’on était en présence d’un mégalithe analogue à ceux d’Europe. Ses travaux furent repris par la suite par le professeur Robert E. Stone, de l’université Harvard. Aujourd’hui, il n’y a plus aucun doute, la « colline du mystère » est bien un mégalithe astronomique de même nature que Stonehenge. En 1957, un mécène se rendit acquéreur du site menacé par les promoteurs. Grâce à lui, les recherches peuvent continuer et nous apporterons à coup sûr des surprises. Mais d’ores et déjà, la « colline du mystère » présente un avantage sur Stonehenge. En effet, on y a trouvé, gravées sur des pierres, quelques inscriptions en alphabet phénicien. En outre, un fragment organique a pu être exhumé lors d’une fouille et soumis à la datation au carbone 14. Il est donc possible d’affirmer que ce sont des Phéniciens qui ont édifié ce mégalithe il y a quatre mille ans. Si l’on rapproche ce fait de quelques autres découvertes, on peut se demander si, à brève échéance, l’archéologie ne va pas être bouleversée de fond en comble et s’il ne va pas falloir modifier notre conception de l’Antiquité.

    Des signes gravés  à l’époque préhistorique sur un os de renne trouvé en France, dans la grotte du Mas d’Azil, présentent une étrange ressemblance avec l’écriture phénicienne. Il en va de même des tablettes de Glozel. Cela prouve qu’il existait en Europe une civilisation inconnue possédant une écriture, plusieurs milliers d’années avant que les Egyptiens inventent les hiéroglyphes. Et cette écriture présentait des similitudes étonnantes avec le phénicien, l’ancêtre des alphabets. Curieux Phéniciens, d’ailleurs, dont on ne sait pas grand-chose, malgré l’abondance des vestiges mis à jour depuis quelques siècles. Parce qu’on les a découverts le long de la Méditerranée, sur la côte de Syrie, les archéologues affirment qu’ils sont originaires de cette contrée. Mais c’est une affirmation gratuite. On sait qu’ils étaient d’excellents navigateurs, s’aventurant fort loin sur les mers, et qu’ils établissaient des colonies n’ayant que des liens très lâches avec leurs métropoles. Toutefois, il est fort possible que les histoires aient pris le problème à l’envers et que ce soient Tyr, Sidon et les autres cités de la côte syrienne qui aient été les colonies et non les vraies métropoles. Où auraient été situées ces dernières ? Elles n’ont pas encore été découvertes. Ou tout au moins avec certitude, car il existe de nombreux vestiges d’origine inconnue qui pourraient correspondre. Et n’hésitons pas à poser la grande question : les Phéniciens n’auraient-ils pas été les héritiers des civilisations peuplant des continents disparus ? Mu, l’Atlantide, Gondwana, autant de noms qui enflamment l’imagination. Autant de noms, aussi, qui font hausser les épaules aux savants, ou à certains d’entre eux, ceux qui croient que tout a été découvert et que le reste est un songe creux.

    Dans son volumineux ouvrage La Doctrine secrète, publié en 1888, Helena Blavatsky, la fondatrice de la théosophie, fait état d’un continent englouti dont elle avait eu la révélation en compulsant de vieux grimoires dans un temple indien. L’un de ses disciples, James Churchward, était officier de l’armée des Indes quand il découvrit en Birmanie, dans un vieux sanctuaire, des tablettes recouvertes d’inscriptions mystérieuses qu’il réussit à recopier et à déchiffrer. A son grand étonnement, Churchward se rendit compte qu’il s’agissait de messages rédigés par les survivants du continent évoqué par Helena Blavatsky, nommé sur les tablettes : continent Mu. En 1931, il publia le résultat de ses recherches dans deux livres étonnants : Mu, le continent perdu et l’Univers secret de Mu (traduit en France dans la collection « l’Aventure mystérieuse », éditions « J’ai Lu »). Selon lui, Mu s’étendait en plein océan Pacifique, dans une sorte de losange délimité par l’île de Pâques, Hawaï, les îles Marianne et les îles Fidji. Ce continent aurait été englouti dans un gigantesque séisme survenu douze mille ans avant notre ère. Un grand nombre d’affirmation de James Churchward sont avancées sans preuve. L’existence de Mu n’est pas encore établie scientifiquement, mais il existe effectivement dans le Pacifique des vestiges étranges. Qu’en est-il aujourd’hui de l’Atlantide ? Ce continent mythique est connu depuis que Platon en a parlé dans son Timée. Elle était située « au-delà des colonnes d’Hercule », c’est-à-dire dans l’Atlantique, au-delà du détroit de Gibraltar, et sa superficie égalait, selon Platon, « l’Asie et le Libye », soit, en fonction des connaissances géographiques de l’époque, l’Asie mineure, la Perse et l’Afrique du Sahara à la Méditerranée réunies. Il s’est maintenant avéré qu’il existe des terres englouties en un grand nombre d’endroits. S’agit-il de parties affaissées des continents telles que nous les connaissons, d’îles disparues ou de fragments d’un seul et même continent ? Et ce continent est-il bien l’Atlantide ? Encore une fois des questions sans réponse.

    La théorie de la dérive des continents fut énoncée pour la première fois par le géophysicien allemand Alfred Wegener, son idée de départ était les formes complémentaires de la côte occidentale de l’Afrique et de la côte orientale de l’Amérique du Sud. Refusant d’y voir une simple coïncidence, il pensa qu’à l’origine ces deux continents étaient soudés. Par la suite, il compléta sa théorie en postulant qu’au cours de sa formation, durant la période dite « jurassique », la Terre n’avait qu’un seul continent formé au nord par la Laurasie (Amérique du Nord, Europe et Asie) et au sud par Gondwana (Amérique du Sud, Afrique, Inde et Antarctique). De nos jours, la théorie de Wegener n’est plus admise sous sa forme originelle, mais le concept de dérive des continents a acquis droit de cité et de nombreux géophysiciens croient à l’existence de Gondwana. 

     

    Source- documents et recherches personnelles

    La taverne de l'étrange- 18 décembre 2009

     

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  • UN MORT PARLE SUR UN PLATEAU TV !

    EN DIRECT DES MILLIONS DE TELESPECTATEURS L’ONT ENTENDU

     

    Un mort a parlé à la télévision ! Il a raconté à son père, devant des millions de téléspectateurs bouleversés, quelle était sa vie dans l’au-delà. Cette histoire étonnante est arrivée le 3 septembre 1967 sur les écrans de la télévision canadienne. Et l’homme qui entendit ainsi les confessions de son fils, par delà la mort, était un lettré et un savant, le célèbre Monseigneur Pike, évêque épiscopalien de Californie, à l’époque des faits, connu pour ses positions contestataires au sein de son église et pour ses ouvrages sur les phénomènes psychiques ; celui qui disparut mystérieusement dans le désert qui entoure la mer Morte en 1969.

     

    C’est en raison justement, de son goût pour les phénomènes paranormaux que Mgr Pike avait accepté de se livrer, pour la première fois au monde, à cette extraordinaire expérience. Son fils James Pike s’était suicidé un an et demi plus tôt à New York, à l’âge de vingt-deux ans et, depuis, ses parents ne parvenaient pas à écarter l’idée qu’ils étaient peut-être un peu responsables de cette mort tragique. Pourquoi son fils avait-il décidé de se tuer ? Qu’avait-il pensé aux ultimes secondes de sa vie ? Où était-il désormais ? Pouvait-il garder quelque rancune contre ses parents dans l’univers qui était désormais le sien ?

    TOUTES CES QUESTIONS NE CESSAIENT D’AGITER L’EVÊQUE ET COMME IL CROYAIT A LA COMMUNICATION POSSIBLE AVEC LES MORTS, IL ACCEPTA DE TENTER L’EXPERIENCE EN DIRECT A LA TELEVISION.

    C’est un des plus célèbres médiums américains, Arthur Ford, qui fut chargé d’établir le contact entre le père et le fils. Ce médium extraordinaire avait déjà donné à plusieurs reprises aux Américains la preuve de ses étonnants pouvoirs. C’est pendant la Première guerre mondiale qu’il les découvrit : il connaissait, avant une bataille, la liste des soldats qui seraient tués. Depuis, Arthur Ford organise des séances publiques dans tous les Etats et il dévoile l’avenir aux assistants, sans jamais se tromper. Il est devenu le conseiller d’une foule de hautes personnalités américaines : sénateurs, généraux, ambassadeurs etc. qui vont toujours le consulter avant de prendre une grande décision. Il a déjà transmis aux vivants des messages d’autres morts, de John Kennedy qui s’est expliqué sur l’affaire de la « Baie des cochons » à Cuba et du grand prestidigitateur Harry Houdini. Il a dicté, à la veuve de ce dernier, un texte en code que seuls le prestidigitateur et sa femme connaissaient, et dont ils avaient convenu, tous les deux, pour se prouver la réalité de la survivance après la mort. Pourtant, l’une des particularités les plus sensationnelles d’Arthur Ford, c’est Fletcher, son double dans l’au-delà. Fletcher était un des camarades d’enfance du médium et il fut tué très jeune, en 1918.

    OR, UN JOUR DE 1924, ARTHUR FORD ETAIT ENTRE EN COMMUNICATION AVEC L’ESPRIT DE SON AMI ET CE DERNIER LUI AVAIT DECLARE : « SI TU VEUX, JE SERAI TON ASSISTANT DANS LE MONDE DE L’INVISIBLE. »

    Depuis, Arthur Ford et Fletcher font équipe, de part et d’autre de la mort. Le second se chargeant de découvrir, au royaume des morts, les esprits que les vivants demandent au médium de faire apparaître. C’est donc lui, une fois encore, qui servit à Arthur Ford d’intermédiaire entre Mgr Pike et son fils, au cours de la mémorable séance dans les studios de la télévision de Toronto, telle que la relate Martin Ebon dans ses « Dialogues avec les morts ». Face aux caméras, Arthur Ford s’assit, aux côtés de Mgr Pike sous la lumière crue des projecteurs. On lui banda les yeux pour lui permettre de se concentrer. Très vite, le médium entra en transes et, au bout de quelques minutes, la communication était établie avec Fletcher dont la voix, tout à fait différente de celle de Ford, et avec un léger accent français, s’exprima par la bouche du médium.

    « Pour qui est ce message, Fletcher », interrogea d’abord le speaker de la télévision ?

    « Il me semble que c’est pour un prêtre. Le jeune homme ne m’a pas encore dit son nom. Mais il s’agit du père et du fils… Il y aurait une histoire de mort violente dans la famille. »

    « C’est exact », répliqua l’évêque.

    « Il y a aussi, près de moi, un homme plus âgé que lui, reprit la voix de Fletcher. Il porte un nom biblique : Elijha ou Elijhe… C’était un vieillard très bon, très proche du jeune homme ».

    TOUS LES REGARDS SE TOURNERENT, INTERROGATIFS, VERS MONSEIGNEUR PIKE.

    « C’est vrai répliqua celui-ci. Elias était le nom du grand-père de Jim. Ils s’aimaient beaucoup ».

    « Il en est de même maintenant, reprit la voix d’outre-tombe. Le grand-père l’a précédé ici. C’est lui qui a expliqué à Jim pourquoi il s’était suicidé. »

    Il y eut un silence, puis la voix de Fletcher continua :

    « Jim veut absolument vous faire comprendre que ni vous, ni aucun membre de votre famille ne doit se considérer comme responsable de sa mort. Vous n’avez aucun reproche à vous faire. Son suicide est du uniquement a son caractère, au besoin d’autodestruction contre lequel il ne pouvait pas lutter ».

    « Oui, oui, merci Jim, murmure Mgr Pike, excessivement ému ».

    « Et il veut que vous sachiez qu’il a été heureux avec vous. Est-ce que vous n’avez pas séjourné avec lui à l’étranger ? »

    « Si, je suis allé en vacances à l’Université de Cambridge où il étudiait ».

    « Il en parle, répliqua Fletcher… mais, mais attendez, il y a un autre monsieur qui veut vous parler. Il dit qu’il était aussi à Cambridge… c’est Mac… Donald… Mac Kenney ou Kennon ».

    « Donald Mac Kinnon était professeur à Cambridge. Je l’ai bien connu et il m’a beaucoup influencé, coupa, très intéressé, Mgr Pike ».

    *

    Et la conversation se prolongea ainsi, pendant près de trois quarts d’heure. Fletcher, l’assistant du médium dans l’au-delà, parvint à réunir un grand nombre d’esprits que l’évêque avait connus de leur vivant. Tous lui donnèrent des preuves très précises- et qu’eux seuls pouvaient connaître- de leur identité. Après la séance, on put vérifier que certains détails inconnus étaient également authentiques. Fletcher, par exemple, avait prétendu que le professeur Mac Kinnon avait deux chats. On téléphona à Cambridge où ses proches révélèrent qu’à l’époque, en effet, le professeur ne quittait jamais ses deux chats. Alors Mgr Pike, bouleversé, conclut :

    « TOUT S’IMBRIQUE PARFAITEMENT, TOUS CES FAITS OUBLIES, TOUS CES DETAILS NE POUVAIENT ABSOLUMENT PAS ÊTRE CONNUS DU MEDIUM. J’AI VRAIMENT PARLE A JIM PAR-DELA LA MORT. »

    Et devant leurs récepteurs, des millions de téléspectateurs restaient abasourdis. Ils avaient pu, pour la première fois, assister à la télévision à l’extravagant dialogue d’un vivant avec un mort.

     

    Source- données personnelles/Mai 2009

     

    Aura2

     

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    Depuis cette malheureuse aventure, un climat de panique règne dans la région, déclare Geraldo dos Santos Magela, le chef de la police de Panarama, une petite ville du Brésil de quelque trois mille habitants. C’est vrai, renchérit le maire, Mancel Barros, tout le monde est effrayé. Dès que la nuit tombe, chacun se calfeutre chez soi. Et, pour rien au monde, on ne s’éloignerait le soir dans la campagne environnante. Ce qui a provoqué cette psychose, c’est la mort énigmatique de quatre hommes, tués par un OVNI.

     

     

    Tout a commencé le 17 octobre 1981, quand Ribamar Ferreira et son ami Abel Boro allèrent à la chasse nocturne, comme ils en avaient l’habitude. Parvenus sur un lieu de passage du gibier, ils grimpèrent chacun sur une branche basse d’un arbre et l’affût commença. Soudain, raconte Ribamar Ferreira, nous vîmes se déplacer dans le ciel ce que nous prîmes tout d’abord pour une étoile filante. Mais cette lueur grossit de plus en plus et nous distinguons un engin ayant sensiblement la forme d’un pneu de camion d’où partait un rayon lumineux. Tout, autour de nous, était illuminé comme en plein jour. « Affolé, je me laissai tomber sur le sol et je vis le faisceau lumineux se poser sur Abel qui tremblait de peur. Soudain, il se mit à pousser des cris stridents et son corps se mit à scintiller. Je pris alors mes jambes à mon cou. Le lendemain matin, je suis allé voir chez Abel s’il était revenu, mais sa famille ne l’avait pas vu ». Nous nous sommes rendus à l’endroit ou l’engin volant nous était apparu et nous avons trouvé le corps de mon malheureux camarade. Il était mort et d’une pâleur effrayante. Son corps avait été vidé de son sang, comme s’il  avait été la proie d’un gigantesque vampire, mais aucune blessure sur lui !

     

    L’affaire n’avait pas encore été ébruitée que, le 19 octobre, deux autres habitants de la région, Anastacio Barbosa et Raimondo Souza, décidèrent à leur tour d’aller chasser. Alors qu’ils traversaient un bois, ils entendirent un bruit au-dessus d’eux et, levant la tête, ils aperçurent une forme noire, immobile en l’air comme un hélicoptère, à quelques mètres au-dessus la cime des arbres. Puis un faisceau lumineux sortit de l’engin et balaya le sol autour d’eux. Les deux compagnons prirent la fuite. Soudain, Raimondo Souza trébucha contre une souche et s’étala de tout son long. Anastacio Barbosa vit alors avec effroi que l’on devine le faisceau lumineux se rapprocher lentement et venir baigner le corps de son camarade. L’abandonnant à son sort, il courut d’une traite jusque chez lui. Le lendemain matin, le corps sans vie de Raimondo fut découvert là où Anastacio l’avait laissé. Et complètement exsangue, exactement comme Abel Boro deux jours auparavant. Peu après, deux autres habitants de la région devaient perdre la vie dans des circonstances analogues. Un certain Dionizio General travaillait au sommet d’une colline quand il fut illuminé par le pinceau de lumière d’un phare sortant  d’un OVNI qui était arrivé au-dessus de lui sans qu’il l’entende. Sous l’effet du choc, comme s’il avait été atteint par la foudre. Il fut projeté à terre et dégringola jusqu’au bas de la colline. Il eut la force de rentrer chez lui, mais dans un état de démence incompréhensible et trois jours plus tard, il mourait sans qu’on ne puisse rien faire. La quatrième victime fut atteinte au cours d’une partie de chasse, comme Abel Boro et Raimondo Souza. L’homme qui l’accompagnait et qui sortit indemne de la rencontre, un certain José Virginio dos Santos, fit face à la menace et tira cinq coups de feu sur l’engin, mais sans dommage apparent. La police de Pamarama est persuadée de la réalité de ces affaires. D’autant plus que les témoins on été longuement interrogés et n’ont pas varié dans leurs déclarations.

     

    De plus, dès que la nouvelle de ces fatales rencontres rapprochées fut connue aux Etats-Unis, des ufologues et scientifiques vinrent enquêter sans rien trouver qui pourrait accréditer la thèse d’un canular. Charles Mc Quinston, inventeur d’un détecteur de mensonges perfectionné, le Psychological  Stress Evaluator, a même soumis à son appareil Ribamar Ferreira. « Il n’y a pour moi aucun doute, a-t-il déclaré après cette expérience, Ferreira dit la vérité. S’il était un simulateur, à chaque mensonge il aurait au moins un léger stress auquel réagirait mon détecteur. » Encore un petit détail, est qui a une très grande importance, les quatre hommes qui on trouvés la mort, possèdent tous le même GROUPE SANGUIN  (O NEGATIF) de quoi faire réfléchir !

     

     

     

    Source : le quotidien Jornal de Sul (Brasil) Novembre 1981

    Jacques BORG- Ecrivain Journaliste « Actualité Insolite du 11 février 1982 ».

     

    La taverne de l'étrange- 20 novembre 2009

     

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