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Par Tyron29 le 21 Février 2022 à 09:22
Le célèbre ufologue Scott C. Waring avance avoir découvert une nouvelle structure secrète dans le désert du Nevada, située à environ 80 km de la Zone 51.
On soupçonne que cette base, cachée dans les montagnes du Nevada, au niveau du réservoir d’Onada, situé à Pine Creek. Les services secrets peuvent y mener des recherches dans le domaine de la génétique. Mais ce n’est qu’une supposition, et voyons pourquoi.
Voici ce que Scott a dit : « Je regardais la carte et je regardais la zone 51 quand j’ai remarqué un nouveau bâtiment sur la carte. Cette nouvelle installation semble être une base secrète fraîchement construite. »
« A une extrémité de la base, il y a d’énormes bouches d’aération pour faire entrer de l’air frais dans l’installation souterraine. Ensuite, vous pouvez également voir deux champs verts avec quelques bâtiments situés près de la base. »
« Il semble que ce champ puisse être utilisé pour la recherche génétique. Est-ce qu’ils modifient la génétique des plantes pour des raisons inconnues ? Cela m’inquiète… car s’ils font de la recherche génétique… alors pourquoi ont-ils besoin d’une base de recherche
souterraine ? A moins que cela n’inclue d’autres recherches qui pourraient mettre en danger le public. »
Quels secrets pensez-vous que cette installation près de la Zone 51 puisse détenir ?
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Par Tyron29 le 9 Mars 2016 à 16:42
Le site est situé dans le Nevada non loin de la Zone 51, un autre terrain d’essais top-secrets.
Tout internaute peut désormais examiner avec attention une des bases aériennes américaines les plus secrètes au monde, annonce Las Vegas Review-Journal. Le logiciel Google Earth a dévoilé les images de la Zone 6, désormais visible par tout un chacun.Située à environ 130 km au nord-ouest de Las Vegas, sur le terrain de stockage de déchets radioactifs à Yucca Mountain (Etat du Nevada), la Zone 6 est destinée aux essais de drones et d'avions militaires de petite taille. Auparavant, le terrain avait été le théâtre d'essais nucléaires souterrains ultrasecrets.
L'édition fait remarquer que la base dispose d'une piste d'atterrissage d'environ 1.500 mètres de longueur, d'un grand hangar et d'une série de bâtiments techniques.
D'après la source, la dénomination officielle du site repéré n'est pas connue, toutefois plusieurs touristes voyageant à travers le Nevada en bus ou en auto affirment pouvoir remarquer la clôture de la Zone 6.
La Zone 6, dont la construction a couté aux autorités 9,6 millions de dollars, a été créée dans les années 1950. Cependant, son existence n'a été officialisée par le gouvernement des Etats-Unis qu'en 2013.
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Par Tyron29 le 23 Septembre 2006 à 20:33
le XR-7, le programme Aurora
Il existe aux Etats-Unis trois cercles de secrets militaires. Le troisième cercle, le plus extérieurs, recouvre tous les secrets militaires dont on soupçonne lexistence dans la presse et les médias. Ces secrets incluent les armes nucléaires, les avions invisibles ( furtif ) aux radars, les moyens de communications et les radars les plus sophistiqués, les missiles anti-missiles et antisatellite ainsi que les armes à faisceau laser et à ondes radio. Le second cercle est totalement ignoré de la presse et souvent même des gouvernements, il inclue la propulsion électromagnétique, les armes plasma à faisceau dénergie dirigée, les sources dénergie à antimatière ainsi que les armes à antimatière. Le premier cercle est totalement ignoré des gouvernements et des scientifiques, à lexception de la Russie et de la Chine. Il recouvre les véhicules à anti-gravité, les armes électromagnétiques scalaires et le pompage de lénergie quantique du vide. Beaucoup de choses inexactes ayant été dites sur le programme Aurora, certaines des informations publiées ici contredisent formellement des informations publiées sur Internet.
Est-ce l'Aurora ici, pris tout à fait par hasard ce jour là ?
Mercredi 15 mars 2003, GMT, Zone 51, Groom Dry Lake Air Base, Nevada, USA : un van climatisé blanc se gare sous un immense avion triangulaire noir, sans aucune marque distinctive, à lentrée de la piste de 12 km ( la plus longue du monde ) de la base. Etrangement, malgré la chaleur du désert, lavion est recouvert de givre et entouré dun brouillard blanc de condensation lui donnant une allure fantomatique.
Deux officiers de lUS Air Force, engoncés dans des combinaisons oranges pressurisées ( les mêmes que celles des astronautes de la navette spatiale ), quittent le van et intègrent le cockpit en tandem du grand avion noir. Sur leur épaule droite, leur insigne descadrille : une tête doiseau « road runner » ( loiseau Bip-Bip du dessin animé avec Vil Coyote ) entourée de linscription en lettres dorées sur fond noir « Space Defense Command- Road Runners Squadron ». Après avoir salué léquipage dun familier « Bip-Bip suckers ! », lingénieur mécanicien vérifie la fermeture du cockpit totalement opaque à lexception dune petite verrière, rétractable en vol, à trois facettes aux reflets dorés. Peu après, le son lugubre des sirènes dalerte retentit sur toute la base de la zone 51, afin que le personnel se mette à labri dans les bâtiments.
Un hélicoptère UH60 Blackhawk, noir et sans immatriculation, survole la base à basse altitude, vérifiant avec sa caméra thermique quaucun être vivant ne se trouve à moins de 1 km de la piste. En effet, au décollage, les pulsations infra-soniques de lavion sont mortelles à moins de mille mètres. Après avoir allumé les quatre réacteurs, le pilote enclenche la post-combustion puis la super post-combustion. Dimmenses flammes bleues de 90 mètres accélèrent le pur sang noir à 450 km/h sur la piste, dans un sifflement grave et pulsé ( comparable au son émis en soufflant dans une bouteille ) qui fait trembler tous les bâtiments de la base. Au bout de cinq kilomètres, lavion se cabre enfin doucement à 11 degrés et sarrache du sol. Dans un grondement dantesque, capable de briser des vitres à plus de 50 km, il pointe son nez à 72 degrés vers le ciel. Lavion le plus secret du monde, lhypersonique spatial XR-7 AURORA, vient de décoller.
Il atteint en quelques minutes une altitude de 30 km et la vitesse de 3500 km/h ( mach 3,2 ), soumettant son équipage à une accélération de trois G. ( trois fois la pesanteur terrestre ). A cet instant, lordinateur de bord commande larrêt des turboréacteurs et lallumage des statoréacteurs qui le font bondir à la vitesse de mach 4 et à laltitude de 40 km. Puis cest au tour des fusées, intégrées aux statoréacteurs, de sallumer durant une dizaine de secondes. Le méthane et loxygène liquide injectés dans les chambres de combustion accélèrent lAurora à mach 8 ( 10 000 km/h ) et à 60 km daltitude. Simultanément, lordinateur enclenche le système de propulsion magnétohydrodynamique ( MHD ). Plus de 100 mégawatts dénergie électrique sont injectés dans les milliers délectrodes recouvrant lavion, lentourant dun plasma lumineux doré qui le fait ressembler à une étoile filante. LAurora file vers lAtlantique Nord en rebondissant sur les ondes de choc quil génère autour de lui, atteignant laltitude de 87 km dans le vide spatial et redescendant à 60 km pour un nouveau rebond de 450 km de longueur. Au milieu de lAtlantique, lavion commute son propulseur MHD en mode freinage ce qui lui permet de ralentir à 900 km/h et de descendre à laltitude de 12 000 mètres.
Il est alors à lOuest de lEcosse où lattendent un avion ravitailleur KC 135 et deux avions F-15 descorte. Après être remonté à 60 km et à mach 8, lAurora met le cap sur lIrak quil atteint en vingt minutes. Derrière le pilote, lofficier en charge des systèmes despionnage électronique et de sécurité, le RSO ( Reconnaissance and Security Officer ), interrompt les impulsions du propulseur MHD afin que le plasma entourant lavion soit transparent aux fréquences de son radar à balayage latéral ( SAR ). Avec une résolution dimage de 50 cm, les ondes du radar pénètrent le sol de la ville de Bagdad de plusieurs dizaines de mètres, donnant une image précise des concentrations dêtres humains dans les PC de commandement souterrains de Saddam Hussein.
Lantenne de transmission satellite à réseau de phase placée sur le dos de lavion, près du bord de fuite, transmet en temps réel les données du radar au PC des troupes américaines du Moyen-Orient, en Floride. En moins de quatre minutes, les ordinateurs du commandement de Floride ont détecté la présence de membres de lEtat-major irakien dans deux des PC souterrains grâce aux données du radar. Douze minutes plus tard, quatre bombes JDAM à guidage satellite percutent les PC en plein centre de Bagdad. Moins de quatre heures après son décollage, lAurora se pose à Groomlake, sa mission accomplie. La deuxième Guerre du Golfe vient de commencer
*** La jungle des programmes ***
photos de l'avion prise en 1992 avec un téléobjectif des montagnes avoisinantes de la base secrète...
Avant de détailler le programme Aurora, un bref rappel des règles de dénominations des programmes ultra-secrets américains semble utile. Avant de réaliser un prototype, un programme exploratoire théorique et technique est en effet mis en place et porte un nom dont le seul but est de ne donner aucune indication sur son contenu réel. Par exemple, le programme de recherche sur les technologies de furtivité radar fut baptisé Have Blue, alors que le programme de mise au point de lavion furtif F-117 qui découlait directement de ces recherches fut baptisé Senior Trend. La mise au point des technologies du bombardier stratégique B2 Spirit se fit dans le cadre du programme Sabre Penetrator, alors que la mise au point du bombardier lui-même se fit dans le cadre dun programme baptisé Senior Ice.
Ainsi, le nom Aurora désigne en réalité le programme aérospatial ayant permis la mise au point de lensemble des techniques magnétohydrodynamiques qui déboucheront plus tard sur au moins trois véhicules différents : le démonstrateur hypersonique spatial abusivement nommé Aurora, un drone bombardier hypersonique, un missile de croisière hypersonique de forme discoïdale. Le démonstrateur hypersonique que lon appelle Aurora, porte en réalité le nom de XR-7 « Gaspipe » et son programme de développement a été baptisé Senior Citizen. Toutefois, comme tout le monde, nous continuerons ici a lappeler Aurora. Le programme Aurora est décidé en 1975 et ne commence réellement quen 1978 avec les tests en vol de différentes maquettes hypersoniques du constructeur Lockheed Martin. Ces maquettes propulsées sont larguées en vol depuis le dos dun SR-71 Blackbird.
En février 1983, les premiers tests des moteurs en grandeur réelle de lAurora commencent sur la base de Groomlake dans le Nevada. Cest aussi à cette date que de nouveaux bâtiments, dédiés à lAurora, sont construits sur la base. Les premiers vols de lavion ont lieu en 1986 mais se limitent à la vitesse de mach 6 ( 7000 km/h ) car lavion nest pas encore équipé de son système MHD. Le premier vol de lAurora avec son système MHD intervient au mois daoût 1989 et la première croisière à mach 8 en décembre 1989. Quatre campagnes dessais et de mise au point de lavion se dérouleront respectivement en novembre 91, février, août et octobre 1992. Alors que lAurora devait entrer en service opérationnel dans la neuvième escadre de reconnaissance stratégique à la base de Beale en Californie, des problèmes techniques, insurmontables à lépoque, obligent larmée américaine à renoncer à lutiliser comme remplaçant de lavion espion SR-71. LAir Force renonce ainsi aux 27 Aurora qui devaient être construits entre 1993 et 2000. ceci explique la remise en service actif, au mois daoût 1994, de trois avions SR-71.
le SR-71 Blackbird
Les deux prototype Aurora déjà construits sont affectés au Space Defense Command et stationnés à Groomlake. Ils sont pilotés par des astronautes militaires, détachés de lUS Air Force et formés dans une académie militaire secrète à Colorado Springs. Les Aurora ne sont plus utilisés dans des missions militaires réelles quà titre expérimental. En 2001, ont été lancés deux programmes distincts qui succèdent au programme Senior Citizen. Le premier dentre eux, baptisé Falcon comprend la mise au point de deux véhicules hypersoniques distincts. Le deuxième programme, baptisé Rascal porte sur la mise au point dun lanceur spatial MHD réutilisable. Pour des raisons économiques, lAir Force a confié à la NASA la mise au point dun des véhicules du programme Falcon, le X.43, sans toutefois partager les techniques magnétohydrodynamiques avec elle. La maquette du X.43 a volé, propulsée par son super statoréacteur, à mach 7,4 au début de lannée 2004.
Le modèle grandeur nature, à propulsion MHD, devrait voler en 2009 sous le nom de HCV Falcon ( Hypersonic Cruise Vehicle ou véhicule de croisière hypersonique ). Le second véhicule du programme Falcon est un planeur hypersonique, le CAV ( Common Aerospace Vehicle ou véhicule aérospatial polyvalent ), largué depuis un Falcon et capable de délivrer trois bombes guidées par satellite avec une précision de trois mètres. Le programme Rascal débouchera, en 2015, sur la mise en service dun avion hypersonique et magnétohydrodynamique, le SLV ( Space Launch Vehicle ou véhicule de lancement spatial ) capable de voler à mach 23 et de lâcher un deuxième étage sur son dos contenant la charge à mettre en orbite. Le deuxième étage sera lune des mini-navettes en cours de développement.
*** Le XR-7 Aurora ***
Laile delta de lAurora a un angle de 75 degrés pour une envergure de 23 m et une longueur de 41 m. La hauteur maximum de lavion ( train rentré ) est de 7,3 m, ses deux dérives ayant une hauteur de 2,3 m. Quatre turboréacteurs General Electric F118-GE-100, modifiés pour fonctionner au méthane, prennent place sous le fuselage. Ils sont équipés dune tuyère spéciale, de forme rectangulaire, contenant un système de postcombustion ainsi quun étage de super postcombustion assurant une poussée unitaire maximum de 19 tonnes ( la poussée unitaire étant de 10 tonnes sans postcombustion ). Quatre statoréacteurs sont placés sous les quatre turboréacteurs. La vitesse maximale de lAurora varie selon son mode de propulsion. Avec ses seuls réacteurs, sans postcombustion, sa vitesse maximale est denviron mach 1. Sil active la super postcombustion, sa vitesse alors passe à mach 3,4.
Pour aller plus vite, lAurora doit tout dabord fermer par des volets, les entrées dair et les tuyères de ses turboréacteurs. Il peut alors allumer ses statoréacteurs qui lui autorisent une vitesse maximum de mach 4. En injectant, en plus du méthane, de loxygène liquide dans les chambres de combustion des statoréacteurs, ceux-ci se transforment en propulseurs fusées et permettent datteindre la vitesse de mach 8. Pour entretenir sa vitesse de mach 8, lAurora doit impérativement éteindre le mode fusée et le remplacer par une accélération des gaz des tuyères grâce à la MHD. Pour que les gaz puissent être accélérés par le système MHD, ils doivent être conducteurs de lélectricité ( ionisés ). Cest pourquoi le méthane est mélangé à de faibles quantités de césium avant dêtre injecté dans les chambres de combustion des statoréacteurs.
le SR-71 Blackbird en postcombustion
Voyons maintenant le principe de fonctionnement des statoréacteurs de lAurora. A 10 000 km/h, lair ne peut plus suivre les contours de lavion et forme ce que lon appelle des ondes de choc. Ces ondes de choc ressemblent à des « murs » dair superposés et inclinés au-dessus et en dessous de lavion à des angles de plus en plus fermés au fur et à mesure que la vitesse augmente. Grâce au générateur MHD, la rampe placée sous le ventre de lavion ralentit progressivement la vitesse de ces ondes de choc, ce qui fait que leur vitesse nest plus que denviron 7000 km/h à lentrée des statoréacteurs. Quoique plus lente, cette vitesse génère encore plusieurs ondes de choc dans lentrée du statoréacteur.
Cest pourquoi un ralentisseur MHD supplémentaire est placé dans lentrée dair du statoréacteur, permettant ainsi à lair dentrer à moins de 5000 km/h dans celui-ci. Cette vitesse, même si elle paraît élevée, est idéale pour un rendement optimum du statoréacteur. En effet, cest le passage dans une entrée dair se rétrécissant qui assure la compression de celui-ci à lintérieur du statoréacteur, transformant ainsi de la vitesse en pression. Une fois comprimé puis enflammé dans la chambre de combustion, lair subit une expansion qui accélère dans la tuyère déjection. Il est alors accéléré encore plus par laccélérateur MHD à une vitesse que nous ignorons, celle-ci restant un secret bien gardé par larmée américaine.
*** Les secrets technologiques de lAurora ***
Il nexiste quun nombre limité de données techniques fiables sur les technologies utilisées dans la construction de lAurora. Ne vous attendez donc pas à voir exposé ici la totalité des détails de construction de lavion. Ce que lon sait de lAurora cest que la surface de son fuselage et de ses ailes est très probablement en titane. On sait aussi que beaucoup de pièces de lavion ont été empruntées à des avions existants. Par exemple, les instruments du poste de pilotage sont des versions adaptées des instruments de bord des avions F-16, F-18 Hornet et B2 Spirit. On sait aussi que les verrières du cockpits sont faites des mêmes matériaux que les hublots de la navette spatiale. De même, son train datterrissage est celui de la navette et ses turboréacteurs sont des versions modifiées et améliorées des réacteurs du B2 Spirit. On sait enfin que ses caméras de reconnaissance et son radar à ouverture synthétique sont strictement les mêmes que ceux du Lockheed Martin SR-71 Blackbird.
En ce qui concerne les fabricants de lavion, des dizaines de compagnies américaines ont participé au programme sans savoir, pour la plupart dentre elles, quelles fabriquaient des pièces de lAurora. Seuls les principaux constructeurs avaient une vue densemble du programme, à savoir Lockheed Martin et Boeing pour la conception générale de lavion, TRW pour les composants supraconducteurs, les laboratoires Sandia et les laboratoires de Los Alamos pour la mise au point des composants supraconducteurs les plus novateurs, comme par exemple les électrodes pariétales couvrant la surface de lavion.
Source de larticle- Revue HS Top Secret N°2 « Larme ultime de lAmérique »
par Jean-Marc Roeder
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