• A LA SUITE D’INFORMATIONS DONNEES PAR DES CONTACTS EXTERIEURS, EN EFFET UNE ARME QUI CE DIT « ARME PACIFIQUE » SEMBLE UN PARADOXE, ET POURTANT.
     
    CELA EST REALISER A L’AIDE D’UN LASER INVISIBLE QUI PROJETTE A TRAVERS LUI UNE FREQUENCE DE REMANENCE QUI ANALYSE L’ADN DE LA MATIERE, LORSQUE CELLE-CI EST RECONNUE, EN FONCTION DES ELEMENTS ATOMIQUE L’ON MULTIPLIE LE SYSTEME DE RESONNANCE, CE QUI MET EN VIBRATION TOUT LES SYSTEME MOLECULAIRES, ET PROVOQUE DES METASTASES ENERGITIQUES AINSI QUE DES NANO MOLECULAIRES, QUI CHAUFFE COMME UN CHALUMEAU LA MATIERE MIS EN REFERENCE, ET NON LES AUTRES QUI SONT EN CONTACTS DE PRES OU DE LOIN.
    DONC NOUS POUVONS CHAUFFER OU BRULER UNIQUEMENT LA MATIERE DE L’ADN MISE EN CAUSE.
     
    CETTE ARME DIRIGEE VERS UN OBJET PEUT METTRE LE FEU, OU LA  DEFORMER DONC COMME UN CHALUMEAU ET LA RENDRE INUTILISABLE SANS ACTION SUR LES ETRES OU DE LA MATIERES DE PROXIMITE.
    CETTE ARME N’EXISTE PAS ENCORE SUR TERRE, MAIS JE PENSE QUE MON EXPLICATION VA SOULEVER BIEN DES REACTIONS POSITIVES ET NEGATIVES, CAR EVIDEMMENT ELLE N’EST PAS COMPLETE, DANS LA FORMULE ET POUR CAUSE ?  ELLE DOIT ETRE OPERATIONELLE DANS PEUT DE TEMPS, QUE DE VIE PEUVENT ETRES SAUVEES ET DES ARMES DETRUITES.
     
    REF : ZAMOURET
     
    claude burkel avatar
     

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  •  

     

    -LA CREATION DU MONDE-

    EXPERIENCE DES DIEUX OU D’EXTRATERRESTRES

     

    Pour aborder le mystère de la création de l’univers, les physiciens tentent au préalable d’expliquer ce qu’est la vie. Certains pensent que la matière est inerte et que le seuil la séparant du vivant est lié à un concept révolutionnaire d’espace-temps, ce qui établit une différence fondamentale entre la matière et le vivant, autrement dit : entre la mort et la vie. Cette  opinion difficilement soutenable n’est pas partagée par les vrais savants, qui, au contraire, tendent de plus en plus à imaginer un univers-entité vivant ou, selon l’expression de Robert Linsen : comme une « grande pensée »

     

    IL Y A DE LA VIE DANS TOUT

     

    Les travaux du savant anglais D. Lawden – écrit Linssen, du mathématicien et philosophe Stefane Lupasco, du mathématicien et chimiste Tournaire, du physicien P.A M. Dirac, du Dr Roger Godel, de Robert OppenheimerJean Charon, de Teilhard de Chardin, de Chanchard, etc. mettent en évidence certaines capacités de mémoire et d’intelligence non seulement de la matière organisée, mais aussi de la matière inorganisée.

    En bref, la vie existe partout avec ses qualités physiques et psychiques, du minéral à l’être humain, car l’un et l’autre ont une essence identique.

    Il devient alors probable que la matière et l’énergie ont aussi une identité examinée sous des aspects différents.

     

    LA THESE DU MAÎTRE INCONNU

     

    La thèse d’un Maitre Inconnu fait état de la situation de l’argile, au centre de l’échelle dite d’électronégativité, à l’égale distance du fluor et du césium.

    L’argile est à mi-chemin entre :

    -       le fluor : acidité, froid, mini-densité, ou négativité, ou espace, ou esprit.

    -       Le césium : basicité, chaleur, maxi-densité, positivité ou masse, ou psychisme.

    -       Fluor (--223°)       AL-Si                 Césium (+28°)

    L’aluminium est un métal (mâle), le silicium est un métalloïde (femelle) : leur combinaison, par le truchement de l’eau, donne l’argile (silicate d’alumine hydraté).

    L’intérêt de cet exposé porte sur les qualifications : fonction acide d’espace-esprit et fonction basique de masse-psychisme, lesquelles ont une liaison naturelle avec le problème de la création et de l’origine de l’homme sur la base de la table de Mendeleïev, aux 143 éléments.

    Dans la tradition, il y a quatre principes simples : le feu, l’eau, l’air, la terre, mais le Maitre Inconnu restreint le nombre des éléments-matière à deux seulement : le temps et l’espace.

     

    PROTEE, LE VOYAGEUR DU TEMPS

     

    La fonction basique lie curieusement la masse au psychisme, ce qui correspond assez bien à l’axiome einsteinien, matière = énergie. Elle évoque par ailleurs la tradition  du fils de Neptune et de Phénice : le dieu marin Protée, qui avait, comme l’ADN et les chromosomes, le don de contenir l’avenir, c’est-à-dire de voyager dans le temps et aussi de connaitre toutes choses. Protée, dont le nom a comme racine grecque prôtos = premier, ne révélait son savoir que si on lui arrachait (l’initié ne révèle qu’à celui qui mérite ; il faut tuer le dragon pour le prendre le trésor ; il faut attendre la mort du Maitre pour hériter sa connaissance). Autre liaison initiatique : Protée avait le pouvoir de se métamorphoser en rocher (matière), en arbre (règne végétal), en animal, ce qui donne à penser que la fonction protonique, premier et positive, a le privilège de décider du choix de l’espèce et des directions évolutives. Si nous continuons le jeu des rapprochements entre l’initiation et la science, nous remarquons qu’avec Protée, l’eau mère de l’Océan primitif est intimement liée à l’action, de même que l’eau mère dans la thèse des biologistes est associée obligatoirement à l’éclosion des acides aminés, géniteurs de la vie dite biologique. Enfin, les pouvoirs de métamorphoses et de prédictions du dieu impliquent pour s’exercer l’existence d’un univers autre que le nôtre, analogue à celui où Jean Charon enferme les ondes électromagnétiques de  liaison entre la Matière et le Vivant, ondes qu’il nomme « mnémoniques », sans doute parce qu’elles sont proches parentes des chromosomes-mémoires et des « archives akashiques de l’univers ! ».

    Ces réminiscences et ces thèses suggèrent impérieusement un univers à quatre ou à cinq dimensions, qui facilite singulièrement les spéculations sur le mystère de la création

     

    LE +, LE – ET LE TEMPS ZERO

     

    On est presque toujours sûr de se diriger vers la lumière quand la tradition et la physique et la physique classique sont en accord. La thèse des Initiés sur la naissance de l’Univers est proche de celle de Jean Charon sur la naissance de la vie :la programmation de  la cellule pourrait fort bien être enfermée dans un cercle  courbé par une énergie et enfermant les ondes électromagnétiques de ses informations, par exemple sous la forme de la spirale de chaine moléculaire de l’ADN. Le seuil entre la matière et le vivant serait lié à une question de continuum espace-temps.

     

    « Toute masse et toute énergie déforme l’espace-temps et courbe tout déplacement de mobile. L’Univers semble donc se présenter à nôtre imagination, soit comme une fantastique machine faite de cercles tantôt concentriques, tantôt « orbitant » sur un plan d’écliptique, soit : comme une spirale évoluant dans une direction à partir d’un centre hypothétique ».

     

    Ces approches autour du mystère de la création effacent le dilemme périmé des anciens cosmologues ; le monde a-t-il eu un commencement, ou bien est-il éternel ? Il serait humiliant de retenir l’explication biblique des Chrétiens et des Juifs pour qui le monde a été crée par le Dieu d’Abraham ! Curieusement, c’est la légende, la mythologique, la tradition, le conte même, qui cernaient le problème au plus près. Les Mayas du Popol Vuh avaient une conception de l’histoire et du temps qui s’apparentait au miracle pur et simple, sans se plier aux lois de durée et d’espace de notre univers tridimensionnel. La métamorphose, le « protéisme », l’ubiquité, le voyage dans le temps ont toujours été les éléments-bases de la sorcellerie de la religion, de la magie et des exploits fabuleux des romans de la Table Ronde.

    La vérité était frôlée, au grand scandale des bien-pensants. Car la vérité touche au miraculeux, à l’incroyable et c’est pourquoi le père Teilhard de Chardin disait que seul le fantastique avait des chances d’être vrai. Les occultistes le soupçonnaient et introduisaient dans leurs spéculations et très souvent dans leurs divagations, un principe extrascientifique relatif à la nature, au temps, à l’espace et aux pouvoirs de métamorphoses de la matière, que n’ont jamais acceptée les rationalistes. Or, c’est avec se principe hérétique, que dans certains cercles d’initiation on enseigne la cosmogénèse. Dans cette hypothèse, le néant a existé, existe encore, conjointement avec la création, si l’on réduit l’espace-temps à  sa plus simple expression : zéro.

    Pour Frédéric Joliot-Curie et Chadwick, la matière initiale n’aurait pas eu de charge électrique. On devrait l’imaginer comme un neutron. Le neutron serait donc la protomatière.

    Cet univers primordial d’où le + et le – auraient été absents, s’identifie au zéro, c’est-à-dire au néant, mais à un néant rempli du + et du – en puissance dans le futur, comme le zéro suppose la suite des chiffres 1, 2, 3, etc. Nous sommes ainsi amenés à concevoir un commencement qui n’en est pas un, un « vide-plein » neutre, renfermant le positif et le négatif. Graphiquement, le symbole de l’univers est représenté par un trait horizontal accolé à un cercle d’où part un trait horizontal barré par un trait vertical : -- 0 +.

     

    IMAGINONS L’UNIVERS

     

    Quand l’homme essaie d’imaginer l’univers, il bute sur deux obstacles :

    - Est-il limité ou infiniment grand ?

    - A-t-il un commencement ou est-il éternel ?

    Certes, le Sage sait donner  une bonne réponse : je suis ignorant, je ne sais rien concernant ces deux mystères. Tout de même l’homme, ou non, est curieux et veut échafauder des hypothèses, alors en ce qui  concerne les dimensions, il répond l’univers est infiniment grand.

    Dans l’infiniment grand, la ligne droite ne parait pas devoir exister ce qui impliquerait un univers courbe, non pas infini, mais indéfini « comme une bouffée de fumée » ; il serait indéfini dans l’espace-temps mais pourrait être fini dans l’espace et avoir eu un commencement. Ce qui est difficile à admettre !

    Dans la Relativité générale d’Einstein, la matière et l’énergie sont d’essence identique, ce qui permet de supposer dans l’hypothèse d’une création, que le début aurait été de l’énergie-matière. Ces essais de solutions et ces explications sont parfaitement fantastiques, erronés, et pour leurs part les physiciens le savent. Les ignorants, bien entendu, ont une certitude, c’est-à-dire, une foi, une croyance.

     

    LE PARADOXE DE ZENON

     

    Zénon d’Elée (490 av. J.C.), philosophe dialecticien, niait le mouvement, le temps, l’espace, et concluait à l’immobilité absolue. En fait, il niait que ces phénomènes pussent être démontrés logiquement, par des principes absolus. Selon sa pensée seule existaient l’unité et la pluralité relative comme attributs des corps. Il établissait l’impossibilité du mouvement par le paradoxe de la flèche qui ne peut jamais atteindre son but si elle suit une ligne de points en nombre infini. La science classique, avec atome, l’univers courbe, la relativité et les mathématiques d’avant-garde, donne à chaque instant au paradoxe et à la dialectique le moyen et la raison de s’exprimer en hypothèses valables. Dans le système de Zénon, tout espace est divisé en une infinité de points, si bien qu’entre 0 et 1 et entre 1 et 2, entre le mètre 1 et le mètre 2 pour  mieux nous faire comprendre il y a bien 1 mètre, mais aussi 10, 100, des milliards de points. Ce système interdit donc à un train qui part de Paris, kilomètre 0, d’arriver à Bordeaux, kilomètres 585, même s’il roule à 100 km/h. même à 100000 km/h. même à 100 milliards de km/h.

    C’est une curiosité mathématique bien connue, mais dont on ne donne pas la profonde signification. Si le train doit parcourir l’infinité des points reliant Paris à Bordeaux, il lui restera toujours une distance infinie à parcourir, qu’élie que soit sa vitesse. Il n’arrivera donc jamais à destination. Fait apparemment réel : le train de 12 h 15 à Paris-Austerlitz arrive tous les jours à 17 h 45  à Bordeaux. La réalité semble surpasser la fantaisie de calcul ! Ce n’est pas sûr ! En réalité absolue, le train n’arrive pas à Bordeaux, il atteint seulement des zones de la cité, mais incontestablement il ne va pas place des Quinconces, ni porte de l’Hôtel-de-Ville, ni au palais Gallien, ni à la Cathédrale Saint-André, ni etc. Or, Bordeaux ce n’est simplement la gare Saint-Jean, c’est toute la ville de son ultime grandeur que l’on peut limiter en surface, jusqu’à son intime petitesse, jusqu’à son infiniment petit qui ne sera jamais atteint quel que soit le moyen employé. Cette spéculation n’a d’autre but que d’amener notre esprit vers une autre forme de pensée.

     

    L’HOMME DU NEUTRON

     

    Poursuivons notre investigation dans l’insensé de notre réel. Pour un être qui vivrait sur le neutron d’un atome l’infiniment grand se situerait au-delà du proton vers les zones inaccessibles où circulent les électrons, par milliards, les uns étincelants comme nos étoiles stellaires, les autres tellement éloignés que leur lumière doit se perdre dans des profondeurs insondables.

    Dans l’atome, entre la couronne d’électrons et le noyau, il y a proportionnellement autant de distance qu’entre le Soleil et la Terre. Un tir d’artillerie de particules destinées à chasser un neutron du noyau oblige à envoyer des milliards d’obus pour avoir une chance de toucher l’objectif. A noter que la structure hypothétique de l’atome est remise en question, depuis que les physiciens Danos et Gillet ont établi que le noyau était organise en quartets.

     

    1 MORT ET 1 VIVANT

     

    Un jeu analogue permet de situer hors du temps un certain système d’apparition de l’Existant ou élément primordial, d’où tout découlerait par une complexification à vrai dire inexplicable.

    En effet une « complexification » suppose un rajout, donc l’addition de quelque chose. C’est à ce stade que l’on fait jouer le continuum espace-temps et l’idée que l’unité-matière est aussi esprit ou énergie existant dans un continuum passé-futur qui peut, avec de l’imagination, expliquer que 1 contient+ 1 et 1. Ce 1 est donc à la fois fini et infini, créature et créateur, une sorte d’entité, enceinte de l’univers. 1 tout seul est incréé, mort, car il ne contient aucun prolongement, c’est-à-dire ni durée ni distance. Il est vivant s’il contient une complexification en puissance, c’est-à-dire de l’espace temps, de l’énergie matière et de l’intelligence. S’il contient cette trinité, tout devient possible. Pour le croyant paresseux, cette trinité est Dieu et ses hypostases. C’est un concept ésotérique très valable. Pour l’homme « disponible », c’est la possibilité nécessaire. Le système dans l’un et l’autre cas, consiste à ajouter au 1 mort, quelque chose qui n’est pas vivant, qui n’existe pas, mais qui va faire de la vie : de l’espace et du temps. Alors 1 devient dynamique, vivant et géniteur de possible, fût-ce d’ubiquité.

     

    Les expériences de M. Bernard d’Espagnat, professeur au Collège de France, ont mis en évidence ce phénomène s’ubiquité propre à certaines ondes. La fiction rejoint la science. On arrive à concevoir un phénomène de création une et multiple sans début dans le temps puisque faite avec du néant, du passé et du futur, et ce jeu nous amène encore à inventer des fantômes nécessaires : l’infini-fini, l’énergie intelligence, Dieu inexistant et tout-puissant, « créateur du ciel et de la Terre, consubstantiel au Saint-Esprit et au fils qui est chair et vie manifestée ».

    Bien entendu, tout cela est énergie   trompeuse, mais nourrissante pour la curiosité avide des hommes. Le grand initié que fut Bouddha avait analysé ce concept il  y a 2600 ans et l’avait défini par ce mot magistral ; la mâyâ. D’autres Connaissances, les théologiens, un demi-millénaire plus tard, comprirent eux aussi qu’il convenait de donner un Fils à Dieu pour que la sainte Trinité puisse représenter ésotérique ment  le symbole de la création.

    Ces Connaissant étaient des Initiés.

     

    ILLUSION DU TEMPS : UNIVERS INSTANTANE

     

    Sommes-nous maintenant suffisamment affranchis de l’illusion du réel pour essayer une hypothèse neuve ? Le passé, le présent, le futur coïncident. Le mesurable, l’infiniment grand et l’infiniment petit coïncident. Ces termes ne correspondent  aucune réalité absolue, ne sont que l’expression de notre univers conventionnel, ils sont existant et inexistants, consistants et immatériels, égaux et supérieurs à zéro en ce sens imparfaits et que tout est illusion. C’est l’opinion des vrais savants : « Seul l’insensé a des chances d’être vrai » a dit Niels Bohr ; le Père Teilhard de Chardin pensait de même. Alors, sur ces données nous pouvons aventurer une explication de la création de l’Univers : il n’est ni éternel ni avec un commencement et une fin : il est en création et en disparitions incessantes.

    L’Univers a été crée il y a une infinité de milliards d’années-lumière : il sera crée dans une infinité de milliards d’années ; il commence sa création à cet instant même, tout cela simultanément, avec une coïncidence absolue du temps et de l’espace, du vide et du plein, du plus, du moins et du neutre. Ce concept fantastique, déjà soupçonné par les physiciens d’avant-garde, a des chances d’être moins illusoire que la création du catéchisme : Dieu a crée toutes choses, ou que la cosmogénèse de l’école laïque et primaire : l’Univers a toujours existé.

     

     

    creation du monde

     

    Si l’idée de Dieu, père de Jésus-Christ, juge du bien et du mal, du paradis et de l’enfer, informateur de Moïse sur le Sinaï conseillé militaire de Josué, guetteur de nos péchés dans l’observatoire astronomique du ciel, est grossièrement insensée, celle de l’intelligence supérieure l’est beaucoup moins. Quant au concept de l’Univers éternel, il n’est pas fondamentalement faux, mais il est sans explications et ne peut être appréhendé.

     

    LE RIG VEDA L’AVAIT DIT

     

    Les Initiés, depuis plusieurs millénaires, avaient précédé les physiciens avec cette thèse : dans l’inexistant et le néant du vide iniatial ultra-passé, tout a été procrée avec l’existant. L’introduction de l’espace-temps, n’est pas un élément nouveau dans cet essai de cosmogénèse. Les initiés, depuis plusieurs millénaires, avaient précédé les physiciens avec cette thèse : dans l’inexistant et le néant du vide initiale ultra-passé, tout a été procrée avec  l’existant de l’univers ultra-futur. C’est ce que les ésotéristes avaient déjà lu dans le Ring Véda : « Il n’y avait ni être, non-être, ni éther, ni cette tente du ciel, rien d’enveloppant ni d’enveloppé… mais  celui-ci, Lui, respirait seul,  seul avecElle dont il soutient la vie dans son sein. Autre que lui, rien n’existait qui depuis ait existé. Le désir formé par l’intelligence de celui-là devint semence originelle (désir= énergie) ; la semence devint progressivement providence, ou âmes sensibles et matière ou éléments. Elle, qui est soutenue par Lui dans son sein, fut la partie inférieure ; et Lui, qui observe, fut la partie supérieure. Qui connait exactement et qui pourra affirmer dans ce monde, d’où et comment cette création a eu lieu ?

    Les dieux sont postérieurs à cette production du monde. »

     

    DIEU A ETE INVENTE PAR L’INTELLIGENTSIA

     

    L’idée de « création » est tout à fait étrangère aux théologiens de l’Inde. Pour eux, Dieu n’a pas crée l’univers : il l’a vomi. Ils appellent création, « la naissance des éléments, des molécules élémentaires, des sens et de l’intelligence, naissance produite par Brahma, au moyen du mélange de Purusha (principe constructif) ».

    En réalité, rien ne se passe ainsi car tout est mâyâ (illusion).

    Les différents concepts de cosmogénèse et de la nature de Dieu, s’ils sont pris au sérieux par les hommes du commun, ne sont pour l’intelligentsia que jeux d’esprit.

     

    LA COSMOGENESE DES INITIES

     

    La cosmogénèse que l’on enseigne dans le naos des Initiés peut-être exprimée ainsi : dans l’inexistant et le néant du grand vide initial passé, tout a été procrée avec l’existant et le crée de l’univers futur. Dans la manifestation du Vivant, la conjoncture de l’évolution (futur) est plus probable que l’existence du passé.

    (Un grain de blé peut donner naissance à un épi, c’est une quasi certitude que l’on peut prouver, mais nous ne pouvons pas certifier dans l’absolu, que ce grain provient d’un autre grain.)

    La création appartient à tous les temps et il faut la concevoir aussi bien dans le futur non advenu que dans le passé révolu et dans le présent insaisissable. L’Univers a donc un commencement et un non-commencement (inexistence). Il commence avec le futur, à condition de l’importer dans le passé, qui est néant et non-commencement. Dans ce sens, on pourrait presque dire que le futur préexiste au passé et lui est antérieur, alors qu’l lui est contemporain. Tout aurait été crée, non avec l’hydrogène ou du carbone comme le pensent les chimistes, ni avec du feu, de l’eau, de l’air et de la terre comme l’enseigne chez les spiritualistes, mais avec de la matière originelle une indivisible : l’espace-temps. La première seconde de la création était fille de la deuxième seconde, et sa mère en même temps : le futur imprégnait le passé et se confondait avec lui. Dans notre univers connu, le concept que nous exprimons – après tous les initiés antiques – se concrétise dans un temps présent qui n’existe pas. La grillade, que nous mangeons, contient en même temps, le veau et les produits de digestion et c’est seulement en apparence (l’illusion, la mâyâ de Bouddha) que les trois sont dissocié dans un espace triple qui satisfait notre esprit paresseux. En fait, il est impossible que l’action de manger une grillade se borne à cette simple expression : je mange.

    Il ne saurait exister de passé, sans existence simultanée du futur ; tout est éternel et simultané.

    La première respiration de l’enfant a un début qui existait dans la semence du père, dans celle du grand-père, etc. C’est le passé apparent. Mais cette première respiration implique aussi et contient les enfants qui naitront de l’enfant, ou la restitution pure et simple des éléments constitutifs du corps physique, et de toute façon elle contient un univers d’enchainement passés et futurs jusqu’au début et à la fin du monde,  jusqu’à l’éternité, indéfiniment, sans possibilité d’arrêt, de but, de commencement et de fin.

     

    Et le phénomène est le même lorsqu’un grain de sable tombe du rocher : l’univers tout entier est mis en question. C’est ce que voulait dire (aussi) Hermès Trismégiste avec son axiome : tout est dans tout : ce qui est en bas est comme ce qui est en haut. L’adepte, à ce stade de l’enseignement, commence à s’apercevoir que les contradictions n’ont rien d’irrationnel !

    Il n’est pas possible d’imaginer le « premier » temps présent avec un passé ; par contre, on doit admettre que ce premier temps avait un futur ; il l’avait même en hérédité, en code génétique et on peut alors le concevoir comme le passé et on peut alors le concevoir comme le passé inexistant du temps présent. La quasi-certitude du futur est une des clés de notre cosmogénèse. Le passé appartient à l’univers à trois dimensions, et ne comporte aucun problème non résoluble par notre perception physique et par celle de l’intellect. Le futur appartient à un univers à quatre dimensions : il comporte les dimensions de notre monde habituel, et celle, en plus, du monde probable mais inconnu vers lequel nous allons. La croyance – religieuse ou non -  s’inscrit elle aussi dans un univers à quatre dimensions, puisqu’elle implique une conjoncture à peu près inconnue.

    La création du monde, impossible à concevoir dans notre univers à trois dimensions, peut-être appréhendée sinon comprise, et nous pouvons l’imaginer dans un univers à quatre ou cinq dimensions. (La topologie cylindrique de Jean Charon).

    *

     

    Sources : Chroniques et recherchesde Robert Charroux

    Mes études sur l’univers avec l’aide de Zamouret.

     

    claude burkel

    Claude BURKEL pour la taverne de l’étrange- avril 2009

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  •  

     LE SCANDALE DE L’HISTOIRE MODERNE


    Les mensonges continuels à l’égard des élus et du public, tout cela a engendré une psychose de dissimulation permanente, parce que la divulgation provoquerait le plus vaste scandale de l’histoire.


    Par exemple, comment le public réagirait-il s’il savait que la dégradation des écosystèmes et la perte irréversible de milliers d’espèces de plantes et d’animaux en cause, auraient pu être évitées par la diffusion d’une information honnête dans les années 50 ? Quelle serait la réaction de la société si l’on savait que des milliards de milliards de dollars ont été dépensés au fil des ans pour des projets non autorisés, et anticonstitutionnels ?


    Et si l’on savait que l’argent du contribuable ( en France aussi ) a été affecté par des consortiums à la mise au point, dans le secret, de technologie dérivées de l’étude des objets extraterrestres tombés sur terre, puis brevetées et exploitées à grands profit ? Non seulement le contribuable a été dépossédé par la ruse, mais en plus il doit payer pour utiliser des progrès technique dont il a déjà financé les recherches à son insu. Notons également en passant qu’il y eu vol de propriété intellectuelle à l’égard de nos visiteurs de l’espace. Les industries n’ont pas seulement profité de la rétention de technologies dans les domaines de l’énergie et des transports, mais elles récoltent un don providentiel grâce aux progrès de l’électronique, de la miniaturisation et de leurs retombées.

    Tout cela constitue un vol d’argent et de technologie qui devrait appartenir au domaine public, le contribuable ayant payé déjà pour cela. Ce n’est pas tout. Que diraient les gens s’ils savaient que les programmes d’exploration spatiale monstrueusement coûteux utilisant des fusées, sont des expériences primitives et inutiles, puisque des technologies et des moyens de propulsion infiniment plus avancés étaient déjà disponible avant même que nous n’allions sur la Lune ?


    La NASA et la plupart des compagnies associées sont autant victimes du secret que le gouvernement et le public. Une toute petite fraction cloisonnée au sein de la NASA est seule au courant des technologies extraterrestres qui se cachent derrière certains projets. M. Chantelain qui a travaillé à la NASA, a été, lui aussi, victime du secret, car tout accès à des informations sur les technologies de pointe lui a été refusé, il a dû, comme tout le monde, se contenter de l’ancienne physique et des propulseurs à combustion périmés. Quelle honte ! Notre destinée a été prise en otage pendant cinquante années. Si le coup d’Etat discret perpétré au début des années 50 était révélé maintenant, cela provoquerait un séisme social sans précèdent.


    LE PIRE N’A PAS ETE DIT


    Tout ce qui vient d’être décrit est secondaire face à un autre problème ; le groupe occulte qui dirige tout ces programmes secrets issus des O.V.N.I. a aussi la main mise exclusive sur la relation naissante entre les Extraterrestres et les humains. Et cette relation a été tragiquement mal conduite, au point de nous mener au bord d’une catastrophe majeure mondiale. Que se passe-t-il lorsqu’un groupe non élu, non mandaté, auto désigné et à dominante militaire s’occupe seul du rapport entre humains et e E.T. Pareil groupe n’a du monde qu’une conception bornée et univoque. Dans cet environnement, des décisions extrêmement dangereuses peuvent être prises sans réplique, sans débat, sans perspective ni vision ouverte. Nous savons que, dans le secret total des militaires, des actes excessivement dangereux ont été commis à l’égard de certaines races d’Extraterrestres. Nous tenons de nombreuses sources internes que des technologies avancées ont été utilisées pour cibler et détruire des OVNI. Si seulement 10 pour cent de cela est vrai, nous sommes  de, en présence d’une crise diplomatique et sociale globale qui échappe totalement à notre contrôle et constitue une menace pour la planète entière. Quel que soient les intentions  de ce puissant groupe, il est urgent qu’il apparaisse au grand jour et que les hommes d’Etat du monde puissent intervenir sur cette situation. (Seul, JOHN KENNEDY a voulu rendre public le contact avec les extraterrestres, nous avons vu le résultat.)


    Bien que nous n’avons aucune raison de croire que les êtres de l’espace sont hostiles à notre égard, il est pourtant clair qu’ils ne tolèrent pas qu’on les agresse ; l’autodéfense est probablement un réflexe universel, ils ont jusqu’ici témoigné d’une grande patience, mais si les technologies développées en secret par les hommes arrivent à égalité avec les leurs et qu’ils se sentent menacés, un point critique pourrait être atteint ; cette perspective devrait nous faire réfléchir.


    LA DIVULGATION, UNE QUESTION DE SURVIE


    Pour faire face à pareil problème, il faudrait des hommes valables à la tête des Etats.

    Mais si on les maintient à l’écart et que l’affaire demeure dans l’ombre, notre sort est entre les mains de la poignée d’irresponsables qui décident à notre place.

    Cela doit changer, et vite. Les motivations du secret sont claires ; pouvoir MONDIAL, contrôle économique et technologique, gel de la situation géopolitique, peur du scandale et la mise à nu du comportement de certains, etc. Mais même si divulguer l’affaire OVNI /ET est de nature à provoquer un chambardement radical de toutes les facettes de la vie sur Terre, et je ne préfère pas parler des religions, et du Vatican évidemment. Une relation qui pourrait être prometteuse entre l’humanité et des aliénes se trouve confisquée par des militaires aux vues biaisées et aux programmes secrets dangereux. Après cinquante années de cet abus, il ne nous reste plus beaucoup de temps  avant que ne s’effondrent  les écosystèmes de la planète.

    Il n’y a pas de choix facile, mais, il faut nous aider à faire le bon choix.


    DISQUE ABATTU A HUNTER LIGGETT


    Nous avons demandé à un grand spécialiste Henry Deacon, un complément d’information sur l’ovni abattu à Hunter Liggett, en Californie fin 72 ou début 73. Son équipe essayait des armes à laser expérimentales sur diverses cibles dans la campagne. Soudain, un vaisseau de forme discoïdale, d’environ 30 m de diamètre et 8m d’épaisseur fit son apparition à quelques 135 à 180 m de distance. Quelqu’un tira dessus avec le laser expérimental de l’US Air Force qui était monté à l’arrière d’un camion M-35 de 2,5 tonnes. Henry ne se souvient pas avoir constaté des dégâts visibles sur le vaisseau, mais celui-ci s’avéra tout de même hors d’usage.

    Trois personnages de petite taille (qui n’étaient pas des Gris) en sortis sains et saufs, ont été capturés puis transférés à une base Niken (NdT : missiles) dans les collines près de Tilden Park, à l’est de Kensington, en Californie. Tout cela s’est passé très vite et à la grande stupéfaction générale.

     

    ECOUTES TELEPHONIQUES


    Henry nous a avertis de l’existence de technologies avancées d’écoute de conversations, même à l’extérieur. Selon lui, des lasers satellisés  sont même capables de détecter les vibrations des vêtements d’une personne. On sait qu’un processus élémentaires déjà ancien permet de capter les vibrations imprimées à une vitre par une conversation ayant lieu derrière celle-ci. Il faut prendre conscience qu’il n’est plus nécessaire de placer des puces d’écoute à l’intérieur des habitations. Les téléphones cellulaires  peuvent être activés pour relayer la parole, même lorsqu’ils sont éteints ; la seule parade consiste à ôter la batterie. Nos conversations peuvent être entendues pratiquement partout, n’importe quand, selon le bon vouloir des agences de renseignements.


    CONCERNANT LE 11 SEPTEMBRE


    Henry nous a également révélé qu’il avait su longtemps à l’avance que quelque chose se préparait, et que sur son lieu de travail lui et ses collègues avaient reçu quelques heures avant l’événement des instructions détaillées. Ce qui l’avait choqué à ce moment-là, c’est le ton très discret du message en question, mais aussi l’apparente absence de réaction chez la plupart de ses confrères. Le but était de leur éviter de s’inquiéter lorsqu’ils apprendraient la nouvelle par les médias : «  Lorsque vous entendrez cela à la radio plus tard dans la journée, ne paniquez pas, c’était prévu » .Cinq ans après l’événement, Henry est probablement le premier initié qui apporte la confirmation que le 11/9 était planifié de l’intérieur.


    Voici quelques-unes de ses affirmations : les avions qui ont percuté les tours étaient téléguidés (se substituant aux pilotes grâces à des modifications apportées au logiciel de pilotage automatique, autorisant des virages serrés normalement impossible car dépassant les limites programmées). La commande à distance se trouvait à des milliers de kilomètres des avions ; l’avion qui a percuté le Pentagone était un petit jet de la marine, également téléguidé.

    La manœuvre eut été impossible pour un Boeing 757 parce que l’effet aérodynamique du sol l’aurait empêché d’approcher aussi bas à pleine vitesse, il aurait dû ralentir comme pour une prise de terrain ; les appels par téléphones portables étaient des faux. Osama Ben Laden n’avait rien à voir dans l’affaire, sauf qu’il constituait un atout pour le gouvernement.

    Henry pense aussi qu’il y a eu perte de contrôle du vol 93, écrasé ou abattu au-dessus de la Pennsylvanie, et que cette phase du programme a échoué. Un autre bâtiment en était la cible, mais il ignore lequel, il ignore également ce qu’il est advenu des passagers du vol 77 censé percuté le Pentagone. C’est là tout ce qu’il nous a dit savoir sur cette affaire.

    Je n’ose penser à la véritable raison de cette attaque, mais il y a une relation directe, avec la guerre en Irak.


    La population de la Terre est véritablement prise en otage par un groupe de personnes, (LE NOUVEL ORDRE MONDIAL), et qui échappe au Chefs d’Etats du monde.


    *

    Source Extrait des confidences de Steven M. Greer, MD docteur en médecine, fondateur et directeur du Disclosure Projet (Projet Divulgation). En mai 2001, il présida la conférence de

    Presse du projet Divulgation pour le National Press Club de Washington, DC. Plus de vingt personnalités bien informées.

    Extrait :Projet CAMELOT de Henry Deacon

     

     


    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  •  

    CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR SUR UNE GUERRE BIOLOGIQUE ET PSYCHOLOGIQUE ET CLIMATIQUE


    Chacun de nous a plus ou moins entendu parler de la guerre biologique. On empoisonne, par exemple, en temps de guerre, l’eau de l’ennemi de virus et de bactéries. Il n’y a là rien de nouveau mais ne vous êtes vous jamais demandés où ces agents toxiques sont testés ?

     

     

     

    Voici quelques exemples pour votre information :


    En 1950, un bateau de la US Navy pulvérisa six jours d’affilée des nuages de bactéries – connues sous le nom de bactéries Serratia – au-dessus de la ville de San Francisco en vue de tester la capacité d’attaque et de défense des Etats-Unis au moyen de leurs armes biologiques.

    Les 800000 habitants en ressentirent presque tous les effets. Il est, aujourd’hui, connu que les bactéries Serratia provoquent une sorte de pneumonie qui peut s’avérer mortelle. L’armée dévoila aussi qu’elle avait fait 239 expériences à l’air libre, dont 80 incluaient des germes, entre 1949 et 1969. Cela signifie qu’il y a eu quatre interventions annuelles sur des villes américaines pendant vingt ans ! D’après les rapports de la CIA, celle-ci aussi, pendant la même période, avait bombardé des villes entières de germes et de bactéries. Ces expériences auraient arrêtées après 1969. Mais les Américain ne furent pas seulement bombardés de germes. Ainsi que la NBC le communiquait le 16 juillet 1981, l’Union Soviétique a soumis le nord-ouest des Etats-Unis pendant plusieurs années à des ondes de basse fréquence. Ces ondes radio furent mises sur des fréquences bioélectriques.

     

    Dans le langage technique, elles sont désignées d’ondes, ELF, (Extremely Low  Fréquences = fréquences extrêmement basses). Dite aussi Infra-son. Elles furent découvertes au début du siècle dernier par NIKOLA TESLA (des livres sur Tesla et ses inventions se trouvent dans les livres de l’Energie libre). Tesla collabora avec Edison en 1884 mais il ne tarda pas à se séparer de lui parce qu’il ne partageait pas ces convictions sur la façon de produire l’électricité. Il se mit alors à travailler avec son concurrent Georges Westinghouse. La première centrale à courant alternatif, construit par Westinghouse et par Tesla, fut mise en route en 1892 aux chutes du Niagara. Peu de temps après, Tesla se projeta dans un «  super-espace scicentifique » où, à notre connaissance, aucun chercheur, à cette époque-là, ne put le suivre. Seul le banquier J.P. Morgan (J.P. Morgan & Co. Représentait la N.M. Rothschild & Co. Aux Etats-Unis), Qui avait financé Westinghouse, parut avoir saisi la portée des inventions de Tesla. Celui-ci avait commencé à se servir du champ énergétique entourant la Terre et emplissant l’espace (appelé jadis éther) pour lui conserver l’énergie qui était, évidemment, gratuite. Il utilisa, dans le même temps, le champ énergétique de l’éther pour différentes formes de communication et pour transmission de l’énergie. Des sources d’énergie, telles que le charbon, le pétrole et la force hydraulique, de même que les lignes à hautes tension devenaient donc superflues. Les bateaux, les automobiles, les avions, les fabriques et les maisons pouvaient soustraire l’énergie directement du champ énergétique de l’éther. Fin 1898, lors de ses expériences à Colorado Springs, financées par J.P. Morgan, Tesla allait produire de l’énergie à  partie de l’éther.

     

    Nous appelons, de nos jours, cette technologie conversion de l’énergie gravitationnelle ou de l’énergie à tachons. Morgan avait bien compris la portée de cette invention : les monocles de l’électricité, du pétrole, de l’essence, du charbon, etc., auraient été menacés. C’est la raison pour laquelle il provoqua l’arrêt des travaux et fit détruire le centre de Tesla à Colorado Springs. Mais Tesla ne renonça pas pour autant. Jusqu’à sa mort le 7 janvier 1943, il accumula une foule d’inventions ; certaines furent révolutionnaires et d’autres eurent une portée qui est, de nos jours encore, à peine commensurable. Ses inventions pourraient même encore en notre 21ème siècle, transformer, en peu de temps, la Terre en un paradis, ce qui, cependant, comme vous le savez, n’est pas souhaité par les « hommes » qui tiennent le gouvernail. Outre ses machines à capter l’énergie de l’éther pour la rendre utilisable, Tesla construisit un « Solid-State-Converter, 1931 ». Celui-ci propulsait un moteur électrique spécial qui, placé dans une lourde limousine, s’avéra avoir les mêmes performances qu’un moteur à essence normal. On fit le test avec la voiture à 130 km/h pendant une semaine – frais de carburants ; ZERO ! Cet appareil, de la taille d’une caisse à vin, produisit assez d’énergie pour répondre aux besoins de toute une maisonnée. Il réussit aussi à provoquer artificiellement des tremblements de terre grâce à l’induction de secousses du champ de tachyons dont la conséquence  est de transmettre des vibrations dans la matière. Un jour, Tesla soumit à un tremblement de ce genre tout un bloc d’immeubles dans une rue de New York. Outre le brevet pour la télécommande de véhicule (1898), il inventa aussi la transmission d’énergie sans fil. Mais ce qui nous intéresse surtout dans le cadre de notre sujet, c’est sa découverte d’ondes stationnaires, et de fréquences extrêmement basses, appelées aussi, « Effet Tesla ». Les expériences de Tesla formèrent le fondement de toutes les recherches modernes dans le domaine de la communication ELF.

     

    Si on expose un champ de tachyons aux ondes ELF et qu’on le dirige vers un être humain, certaines fonctions électriques de son cerveau se déconnectent, ce qui suscite de graves troubles dans sa conscience de veille. Les fonctions neurologiques et physiques subissent un préjudice, dû à un amoindrissement des fonctions intellectuelles, et rendent l’homme, par la même, plus influençable. C’est ce qui est souhaité, c’est évident à la lecture de l’article de l’Associated Press , du 20 mai 1983 où il est dit que l’URSS  utilise depuis au moins 1960 un dispositif connu sous le nom de LIDA qui a pour but d’influencer le comportement humain avec des ondes radios de basses fréquences. On utilisa cet appareil en URSS pour tranquilliser, car il induit un état semblable à la transe. Il permet de traiter des problèmes psychiques et névrotiques ainsi que des problèmes de tension mais on peut aussi s’en servir pour provoquer un état agressif ou dépressif. Des individus, des villes et même des contrées entières de l’URSS ainsi que des Etats-Unis sont, depuis longtemps, soumis à des rayons précis pour susciter certains comportements au moyens d’exemplaires grands modèles de cet appareil LIDA. Il est possible, si on en croit l’US  Défense Intelligence Agency, de faire apparaître dans le cerveau humain des sons et même des mots entiers ainsi que de déclencher par télécommande des attaques d’apoplexie, des défaillances cardiaques, accès d’épilepsie et d’autres maladie. Un des premiers cas de la « guerre invisible » dont eut connaissance le public fut le « signal de Moscou ». Lorsqu’en 1962, on chercha des « micros » à l’ambassade des Etats-Unis à Moscou, on découvrit un rayon à micro-ondes qui était dirigé directement sur l’ambassade. L’étude de la CIA portant le nom de Pandora examina pour quel motif les Soviétiques avaient déclenché cette attaque. On découvrit que ces micro-ondes causaient des maux de tête, d’yeux, des vomissements, de la fatigue, une faiblesse générale, des vertiges, une irritabilité, de l’angoisse, de la dépression, des insomnies, des tensions, une inhibition des facultés intellectuelles, un amoindrissement de la mémoire ainsi que des cancers.

    D’après les informations du conseiller à la sécurité Zbigniew Brzezinski, le personnel de l’ambassade américaine à Moscou accuse le plus haut pourcentage de cancers du monde. Après une courte trêve obtenue à la demande du président Lyndon Johnson auprès du Premier ministre Alexis Kosygin, les Russes continuèrent à bombarder l’ambassade de micro-ondes.

    En se servant des armes psychotoniques, c.-à-d. des armes Tesla relativement faciles à construire, il est aisé de priver de sa conscience de veille tout soldat qui part à l’attaque et de lui enlever, ainsi, toute agressivité. Voici un article du « Magazine 2000, n° 97, du décembre 1993 » où on communique à propos des nouvelles armes psychotoniques.

    Vous souvenez-vous des images de la guerre du Golfe lorsque des milliers de soldats irakiens sortirent de leurs tranchées en capitulant ? Ils se rendirent même aux journalistes qu’ils prenaient pour des soldats et ils furent la proie bienvenue des canons de l’artillerie américaine, bien qu’ils aient brandi leurs drapeaux blancs. De plus en plus d’experts militaires sont  persuadés que ce n’est pas le ravitaillement insuffisant des troupes de Saddam Hussein qui a provoqué cette capitulation soudaine et massive mais que se sont bien les armes psychotroniques de « Mind-Control » des Etats-Unis. Quelques-unes de ces super-armes de hautes technologies se servent des effets qu’ont les ondes de fréquences radio sur le cerveau humain. Ainsi que le relate en janvier 1993 un rapport de la revue spécialisé «  Aviation Week and Space Technology », le ministère de la défense des Etats-Unis équipe maintenant des fusées avec du matériel qui peut provoquer des pulsions électromagnétiques (EMPs) pour paralyser l’ennemi sans devoir se servir pour autant de composantes atomiques, biologiques ou chimiques. Avec ce type d’arme, le premier but est de couper les systèmes électriques ennemis. D’autres appareils produisent des ultrasons, des ondes de sons ELF (fréquences extrêmement basses) qui provoquent des nausées et des vomissements et perturbent à l’extrêmement le sens de l’orientation des personnes ciblées. Ces armes ont un rayon d’action d’au moins 2500 kilomètres. De même qu’on peut réduire l’agressivité, de même peut-on susciter des foyers d’agression, par exemples des guerres civiles, des soulèvements populaires, des suicides collectifs, de la haine, etc. Les journaux pour spécialistes initiés mentionnent occasionnellement les armes Tesla. Il s’agit d’armes qui, pour être efficaces, utilisent le potentiel énergétique inépuisable du champ de tachyons de l’espace. Les autorités les plus célèbres en la matière sont le colonel de l’armée américaine et physicien Thomas E. Bearden, le physicien américain Sidney Hurwitz et le physicien américain Guy Obelensky. Les deux derniers travaillent, depuis des années, activement pour la défense israélienne. En 1969, Hurwitz avait construit une arme Tesla qui, dans un rayon de 300 mètres, augmentait ou réduisait énormément le potentiel de gravitation des métaux. Hurwitz, pouvait, par ex. alourdir un petit pistolet et changer les dimensions, si bien que toutes munitions devenaient inutilisables. Il poussa plus loin son expérience jusqu’à mettre en lambeaux le métal de l’arme comme s’il s’agissait d’une pâte friable. (Ces expériences furent filmées, on peut les voir, entre autres, sur trois vidéo intitulées « UFOs – von der Legende zur Wirklihkeit – OVNIs – de la légende à la réalité). (Top Secret, et, Der Kontaki « le contact » de la Royal Atlantis Film GmbH, Tél : 19-49-89-9043171. Ces vidéos contiennent aussi des interviews avec Thomas E. Bearden !).

     

    LA CONDUITE DE LA GUERRE METEOROLOGIQUE

     

    Avant d’entamer ce sujet, portons notre attention, d’abord, sur le temps atmosphérique.

    On suppose que le problème majeur du temps anormal que nous avons aujourd’hui vient du fait que la Terre se refroidit lentement alors que la teneur en CO2  a doublé, créant, ainsi, le réchauffement de notre atmosphère, ce qui correspond à «  l’effet de serre ». Un rapport de la Neue Solidarität du 24 février 1993, relate :

    Comme on a pu le lire récemment dans la revue renommée « Nature, il y a une discordance énorme entre « la catastrophe climatique » prophétisée par les plus grands ordinateurs du monde et la réalité.

    Le manque d’indices pour le réchauffement de l’atmosphère dû à l’effet de serre au-dessus de l’océan Arctique au cours des quarante dernières années. D’après les modèles de la circulation atmosphérique, on prévoit un plus grand réchauffement dû à l’effet sous serre sous les hautes latitudes. La plupart des tendances ne sont pas statistiquement significatives. En particulier, nous n’avons pas constaté de réchauffement assez étendu sur la surface tel que les modèles de climat le prédisent ; en effet, nous avons découvert pour les saisons d’automne et d’hiver une tendance significative de refroidissement au-dessus de l’ouest de l’océan Arctique. Cette discordance fait comprendre que les modèles de climat de nos jours ne reflètent pas avec justesse les processus physiques qui influencent les régions polaires.

    Moria Timms (chercheur Egyptien sur les sciences anciennes) dit que les stations de surveillance du cercle polaire rapportent une baisse de température de plus de 6° C depuis ces trente dernières années.

     

    La Neue Solidarität  écrit :

     

    Il serait quand même prématuré d’en conclure que les modèles de serre soient déjà dépassés, pour la simple raison qu’on ne peut les réfuter avec des mesures ni avec d’autres faits scientifique. Ils sont irréfutables parce qu’ils n’ont rien à voir avec des données scientifiques. Les modèles de climat sont des instruments manipulables sociologiquement parlant, ils permettent, grâce à des paramètres externes en nombre suffisant, d’établir à partir de données d’observation quelconques des scénarios de catastrophes avec un « potentiel d’exécution » politiques maximal. C’est pourquoi nous prévoyons que justement les données de l’étude de Kahl – qui contredisent, aujourd’hui, apparemment les modèles de climat – vont compter déjà dans quelques semaines parmi les meilleures preuves de la thèse de l’effet de serre. Il ne faut pas sous-estimer la flexibilité de ce modèle.

     

    Un sujet dont on ne parle jamais dans les médias est l’arrivée éventuelle d’une époque glaciaire. Il y a beaucoup d’éminents météorologues et géologues qui en sont venus à la conclusion, à l’aide d’échantillon de roches et de terres prélevés pendant des dizaines d’années et d’autres tests, que la futur période glaciaire se ferait sentir dans les cinquante années à venir. D’après eux, une époque glaciaire serait indépendante de l’effet de serre produit par la pollution de notre atmosphère. Déjà dans quelques décennies, la progression du froid compenserait la hausse actuelle du réchauffement. Il est encore plus inquiétant d’entendre l’affirmation qu’une diminution du rayonnement solaire d’un pour cent suffirait à déclencher la prochaine période glaciaire. La réduction du rayonnement solaire par la pollution est moins inquiétante que l’éventualité d’une gigantesque éruption volcanique qui pourrait considérablement obscurcir la lumière du soleil. Des nuages de poussières de cendres fines dus à une telle éruption peuvent demeurer des années dans la stratosphère et abaisser les températures au sol de plusieurs degrés. On en entend très rarement parler dans les médias. En ce qui concerne la pollution, vous ne devriez donc pas non plus croire tout ce que racontent les médias. Il y a, de plus, des preuves que l’énorme bouleversement causé au temps en 1982 er 83 par EL Nino dans l’océan Pacifique a été provoqué intentionnellement par une intervention des Soviétiques dans l’ionosphère. Le phénomène appelé El Nino est une perturbation du temps d’origine naturelle dans la région du Pacifique qui se produit environ tous les dix ans. En général, il provoque d’importantes chutes de pluie dans des petites parties du Pérou et dans une zone limitée en face de la côte ouest de l’Amérique du sud. Cependant, lorsque El Nino eut lieu en 1982 et 83, ses effets furent énormément changés : les alizés à l’équateur qui soufflent de l’Est en Ouest dans l’hémisphère Sud, pour ainsi dire, refoulés, ce qui retint les courants d’eau chaude qui s’écoulent normalement vers l’Asie. L’eau se  mit alors à refluer et à s’accumuler devant la côte ouest de l’Amérique du Sud. Pour des raisons inconnues des météorologues, les alizés se mirent à souffler dans la direction apposée, ce revirement apporta des chutes de pluie diluviennes au Pérou et causa des périodes de sécheresse en Australie. Ces alizés provoquèrent aussi des tremblements de terre, des coulées de boue ainsi que des tornades dans le Sud de la Californie et le long de la côte est de l’Amérique du Nord et de l’Alaska.

     

    Cet exemple explique précisément les conséquences des ondes ELF qui sont envoyées à travers la Terre vers l’ionosphère à l’aide d’un émetteur renforçateur Tesla pour provoquer de gigantesques vagues stationnaires. Celles-ci servent  alors de mécanisme pour bloquer le temps atmosphérique afin de provoquer de façon soudaine un bouchon inattendu avec les alizés soufflant d’Est en Ouest dont nous venons de parler. Outre le dommage que cause la modification du temps au moyen des ondes ELF sur les structures naturelles du temps, sur le rythme des marées et outre les maladies qu’elle provoque chez l’homme, elle a aussi un effet négatif sur les animaux qui, c’est bien connu, sont dépendants des courants chauds du vent et de la mer pour se déplacer. Ils sont dérangés dans leur rythme naturel et donc condamnés à morts. Des volées d’oiseaux qui recherchent leur île habituelle pour y nicher ne la trouvent plus et des baleines perdent toute orientation à causes des changements des courants de la mer.

    Le lecteur ne devra pas perdre de vue que dans le cas d’une éventuelle période glaciaire, il n’aura pas beaucoup d’alternatives pour échapper à cette situation ainsi qu’aux conséquences de la pollution. Ceci ne touche cependant guère l’élite qui est très conscience, depuis au moins 1957, des conditions dévastatrices subies par notre environnement. Cette année-là, les scientifiques les plus éminents se rencontrèrent à Hunts-ville, en Alabama, pour exploiter les données et les informations de programme de satellites nouvellement installés. Un des participants, le Dr Carl Gerstein, fit le pronostic suivant : La pollution de la couche supérieure de l’atmosphère et les centaines de milliards de tonnes de CO 2 qui s’y sont accumulées, auraient des conséquences catastrophiques d’ici la fin du siècle. On en arriva à penser qu’au cours du siècle prochain, la vie humaine ne serait plus possible à la surface de la Terre. Il s’ensuivit le plan qui, de nos jours, est sûrement connu par la plupart des spécialistes d’OVNIs et dont la publication coûta à plusieurs personnes. Il s’agit de l’ALTERNATIVE 3.


    LE PLAN ETAIT LE SUIVANT :

     

    ALTERNATIVE 1 : faire exploser une ogive nucléaire dans la stratosphère pour permettre au CO2 de se volatiliser dans l’espace.

    ALTERNATIVE 2 : la construction de gigantesque villes souterraines autonomes où seraient évacuée l’élite de la société, qui pourrait y séjourner jusqu’à ce qu’il devienne à nouveau possible de vivre à la surface de la Terre.

    ALTERNATIVE 3 : la colonisation d’une autre planète, ex. de Mars.

    ALTERNATIVE 1 : elle fut déclarée, plus tard, trop dangereuse et fut exclue du plan. Par contre, les deux autres alternatives furent lentement mais sûrement mises en place.

    ALTERNATIVE 2 : d’après mes recherches, elle comprend 75 villes souterraines dont 65 sur le seul continent de l’Amérique du Nord, une dans les Alpes suisses, une au Transvaal, en Afrique du Sud, et une à Pine Gap, en Australie. Parmi les villes souterraines aux Etats-Unis se trouvent les bases souterraines de Dulce Base à New Mexico ; l'Area 51 à Groom Lake, au Nevada : le Country Club à Maryland et Los Alamos, surnommé «  Dreamland », en Californie. On y mène aussi des expériences génétiques sur l’homme (des clones), on y fait des essais en vol et on y reconstruit des OVNIs, qui se sont écrasées et on y teste  des inventions, telles que les groupes motopropulseurs pulsar.

     

    En avril 1962, Jan Van Helsing interviewais une dame à Sidney en Australie qui ne désire pas  être nommé ici. Elle avait travaillé pour une équipe de nettoyage en Australie et elle avait pénétré, dans le cadre de son travail, dans la base souterraine de l’armée de l’air, PINE GAP. Elle rapporta les faits suivants malgré les lourdes menaces qu’elle reçut : Pine Gap aurait environ 6 km de profondeur et fonctionnerait grâce à l’énergie libre, avec des lacs souterrains, des trains suspendus, des cultures de fruits et légumes, etc. D’après des informations officielles, Pine Gap peut suivre sans problème à une attaque atomique (Vous trouverez plus de renseignements sur PINE GAP dans le livre, Cosmic Conspiracy, de Stan Dejos.

    ALTERNATIVE 3 : Ce projet se serait concrétisé à partir de 1959. On avait déjà construit des soucoupes américaines à la fin des années 50 avec l’aide de scientifiques allemands qui avaient participé à la construction des soucoupes en Allemagne, entre autre grâce à Victor Schauberger (Vril 7) et grâce à la technique basée sur l’étude des engins retrouvés écrasés au sol à l’ouest des Etats-Unis. On lança un projet secret, parallèle au programme spatial officiel, afin d’étudier la surface lunaire à l’aide des ses nouvelles techniques. A partir de 1960, on se mit à construire deux bases lunaires occupées par les Américains et les Russes, situées à l’est de la « MARE IMBRIUM ». Ce furent les bases  - ARCHIMESDES BASE – et – CASSINI BASE-, d’après les noms des deux cratères où elles furent érigées. Ces bases lunaires étaient des stations intermédiaires, en vue de voyage vers Mars.

     

    En janvier 1977, le collaborateur de la NASA  Harry Carmell transmis ces films des bases, à Sir William Bellantine, un radioastronome connu. En février 1977, Bellantine  eut un redevez-vous avec John Hendry, dirigeant d’un journal inter (national, pour commenter la sortie d’un film sur Mars, Bellantine mourut mystérieusement d’un accident d’automobile en se rendant chez Hendry. Grâce à l’aide de la femme de Bellantine et de Carmell, le film arriva finalement entre les mains de l’équipe de télévision de « Science Report », à la station anglaise – Scepter TV--. Il fut diffusé à l’émission suivante de « Science Report ». La station de télévision reçut peu après, l’avertissement, qu’on allait lui retirer sa licence si jamais elle continuait à traiter ce même sujet. Le film qui avait été pris du cockpit de la soucoupe permet de voir brièvement les instruments qui se trouvent devant le pilote et qui montrent que la pression extérieure de l’air est à 700 millibars et la température extérieure à 4° C. Les astronautes dont les voix sont enregistrées jubilent d’allégresse et s’exclament, entre autres : Nous sommes le 22 mai 1962, nous sommes sur Mars – nous avons de l’air pour respirer.

     

    LE MIEUX EST DE VOUS FAIRE VOTRE PROPRE OPINION SUR MARS. LES VILLES SOUTERRAINES ENVISAGEES DE L’ALTERNATIVE 2, EXISTENT BEL ET BIEN. ON PEUT SE POSER LA QUESTION SUIVANTE : SI ON A REALISE L’ALTERNATIVE 2, POURQUOI N’AURAIENT-ONT PAS REALISE L’ALTERNATIVE 3 ?

    *

    Article de mon ami Claude Burkel


    Source : Extrait du livre interdit en Europe et au Etats-Unis de JAN VAN HELSING.

    Printed in Canada – Gran Canaria – Spain – Monsieur FELIX

    Chemin des Costes 1030 – F-06140 Tourrettes sur Loup

    Fon & Fax 93 59 25 70.

     

    *

    à suivre : 2/2- Cratère Hale sur Mars- une évidence possible de civilisation


    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique