•  

     Des débuts bien périlleux et loin d'être gagné ! A l'époque, en avril 2005, j'ai créer cet endroit, un 1er avril exactement, et oui, je l'ai pas fait exprès mais peut-être cela me porte t-il chance ? Le succès n'était pas gagné et vous vous doutez bien que ça a été pour moi un sacré challenge, un boulot de damné mais fait par un passionné ! Divers sujets y sont traités et ceux pour tout les goûts, il y en a tellement ici que moi même j'ai du mal à m'y retrouver parfois ! C'est ce qui fait ma force, la taverne demande beaucoup d'énergie, faut alimenter la " bête " car la réussite, y'a pas de secret, c'est des mises à jour quasi-quotidiennes, être sur tout les fronts, rapporter des infos, être à l'écoute du monde... Bref, c'est pas de tout repos, car il y a aussi une vie en dehors de la taverne, et je suis tout seul derrière cette petite entreprise ( qui ne connait pas la crise ) ! Beaucoup de témoignages de gens pensent que derrière il y a toute une équipe, ben non, il n'y a que moi... Merci à toutes et tous, pour votre fidélité, votre soutien, vos coms gentils et de votre pub aussi, car le bouche à oreille va très vite et apparemment circule bien !

    Tyron29

     


     

    gif stat

     

     Voici un tableau des stats des visiteurs de la taverne :

     

     2005

     2006

     2007

    2008 

     2009

     JANVIER

     0

     2009

     9237

    28356

    24188

     FEVRIER

     0

     1976

     12564

    22937

     23391

     MARS

     0

     1736

     17978

    27902

    24952

     AVRIL

     0

     1085

     16752

    33053

    23541

     MAI

     0

     1469

     18621

    30091

     25401

     JUIN

     658

     1499

     19064

    24096

     24731

     JUILLET

     254

     2192

     17348

    20967

     27329

     AOÛT

     197

     2297

     17716

    20544

     28576

     SEPTEMBRE

     210

     2420

     20698

    20098

     27956

     OCTOBRE

     881

     4735

     25127

    28036

    31881 

     NOVEMBRE

     2408

     6814

     21090

     26494

    34081 

     DECEMBRE

     2038

     7508

     23271

     22785  31860

     

     

     2010

     2011

     2012

    2013 

     2014

     JANVIER

     34777

    47380 

    32775

     34102 18611

     FEVRIER

     33967

    38195

    26368 

    25855 15246

     MARS

     39586

     49201

    30073 

    24217 

    18400

     AVRIL

     37102

     44885

     45681

    20593

    17024

     MAI

     39581

     46785

    34737 

    24123

     28889

     JUIN

    37593

    41340

    32349 

    17580

     13080

     JUILLET

     37675 

     27516 

    31756

    18546 13470

     AOÛT

    39105 

     37166

    27819

    20947

     22936

     SEPTEMBRE

    36024

     26983

    26271 

    18969

     25598

     OCTOBRE

    39004

     25418

    31431

    23126

     25777

     NOVEMBRE

    39267

     31971

    32286 

     17066

    26436 

     DECEMBRE

     40163

    26028 

    29895 

     21318 25697

     

     

     2015

     2016

     2017

    2018 

     2019

     JANVIER

    23790

     

     

       

     FEVRIER

    20579

     

     

       

     MARS

    24905

     

     

     

     

     AVRIL

    23521

     

     

     

     

     MAI

    22287

     

     

     

     

     JUIN

    20721

     

     

     

     

     JUILLET

    20644 

     

     

       

     AOÛT

    21721

     

     

     

     

     SEPTEMBRE

    21037

     

     

     

     

     OCTOBRE

     

     

     

     

     

     NOVEMBRE

     

     

     

     

     

     DECEMBRE

     

     

     

       

     

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    LES SERPENTS DU CIEL

     

    Depuis 1994, les témoignages se multiplient attestant de la présence de mystérieuses créatures serpentines dans nos cieux. Ces « barres » ou rods sont-elles d’'essence extraterrestres ou s’'agit-il d’'une nouvelle espèce terrestre ?

     

     

    rod1

     

    19 mars 1994, Santiago Ytturia installe en toute hâte son caméscope sur un pied dans le jardin de sa maison de Monterrey, au Mexique. Au cours des semaines précédentes, cette zone a été le théâtre d’un cortège d’'apparitions inconnues et Santiago est déterminé à saisir sur cassette le passage de l'’un de ces mystérieux objets non identifiés. Lorsque tout est prêt, il se met patiemment à scruter le ciel. Après un moment d’attente, il commence à perdre espoir et, alors qu’il est sur le point de renoncer à sa surveillance attentive, un éclair illumine soudain le ciel mais disparaît aussi vite qu’il était apparu, le laissant abasourdi.

     

     

    rod2

     

    Après avoir attendu en vain d’autres manifestations, notre homme en proie à une vive excitation finit par défaire sa caméra du pied afin de visionner la vidéocassette pour s’'assurer qu’'il n’'a pas eu la berlue. En repassant le film image par image, il voit distinctement un ovni briller dans le ciel. Mais ce qui l’'étonnera encore plus, c’'est ce qu’il découvre un peu plus loin. Peu après l’'éphémère apparition de l’'objet volant, Ytturia observe une image très brève, mais parfaitement nette, d’'un objet allongé et pointu à ses extrémités, qui traverse l’'écran à une vitesse incroyable. Il repasse plusieurs fois la séquence : cet objet se déplace bien trop vite pour qu’'il s’'agisse d’'un oiseau ou d'’un insecte et on ne peut le voir qu’'en déroulant la bande image par image. Il comprend immédiatement qu’'il a enregistré un phénomène unique. En revanche, la nature du phénomène et ses rapports éventuels avec l’'activité extraterrestre qui l’a précédé restent un mystère.

     

     

    *** Des « rods » sur tout les continents ! ***

     

     

     rod3

     

     

    Depuis ce premier film, des objets inconnus du même genre, baptisés « barres », ont été filmés en vidéo. L’'américain José Escamilla, producteur de films vidéos et réalisateur, est le premier à avoir enquêté de façon approfondie sur cet étrange phénomène. Aujourd'’hui, il a mis en place une équipe d’'enquêteurs indépendants et, grâce à la démocratisation du caméscope, il a pu se procurer des séquences filmées spectaculaires dans le monde entier, du Royaume-Uni jusqu'’au Mexique en passant par le Canada, la Norvège et les Etats-Unis. Escamilla possède même des séquences de « barres » évoluant sous l’'eau. Malgré la prolifération de ces documents, le phénomène n'’a pas encore livré ses secrets.

     

     

    *** Scepticisme ***

     

     

    rod4 

     

     

    Les avis sur l’'origine de ces étranges objets sont partagés. Selon certains spécialistes, il s'’agirait d’'un phénomène extraterrestres, puisqu’'il a été observé pendant des périodes de forte activité ovni. Pour d’'autres, en revanche, il faut y chercher la manifestation d’'une nouvelle forme de vie terrestre. Les sceptiques, quant à eux, renvoient ces théoriciens dos à dos, en estimant qu'’il s'’agit peut-être tout simplement du vol d’'oiseaux ou d’insectes, voire de trucages au moment de la prise de vue. Malgré cette diversité d’'opinions, l'’examen détaillé du stock important de vidéos témoignant de ce phénomène a révélé un certain nombre de caractéristiques communes. Ainsi, la « créature », de forme cylindrique, mesure entre 10 cm et 3 mètres de long, peut voler jusqu’à 300 km/h et semble se déplacer grâce à une membrane solide et ondulante qui vibre à grande vitesse de chaque côté de son « corps ».

     

     

    rod5

     

    Selon Jim Peterson, directeur-adjoint de l’'association MUFON du Colorado, « il est très difficile d'’observer des « barres » à l’œ'oeil nu. En règle générale, elles apparaissent de façon si éphémère et se déplacent si rapidement que le cerveau humain ne parvient même pas à capter leur passage. Par conséquent, elles sont passées pratiquement inaperçues jusqu’à l’'invention du caméscope, qui a permis de les filmer et de les découvrir par hasard grâce à la décomposition de l'’image. » Pourtant, malgré une vitesse de prise de vue pouvant aller jusqu’'à 30 images par secondes ( elle était jusqu’'à présent de 25 images/s ), même les bonnes caméras vidéos professionnelles ne permettent toujours pas d’obtenir une image nette de ces fameuses « barres » qui se déplacent à des vitesses beaucoup trop élevées. Il est en effet techniquement impossible de filmer un petit objet qui se déplace à 200 km/h à très haute altitude sur plus de quelques images. Pour les mêmes raisons, on obtient généralement une image floue qui n’a pas encore permis de déterminer précisément certains aspects de leur morphologie, comme par exemple la présence d’'une tête ou d’'yeux.

     

     

    rod6

     

    José Escamilla attend beaucoup de l'’évolution rapide des technologies : « Nous voudrions disposer d’une caméra capable d’enregistrer 500 images par seconde ! A cette vitesse, il devient possible, par exemple, d'’immobiliser le déplacement d’une balle de revolver et nous pourrions alors en savoir plus sur la structure de cette créature. » Car c'’est justement cette absence de détails qui a suscité de nombreuses critiques. Ces objets cylindriques auraient une origine bien plus simple que ne veulent le croire certains : il pourrait par exemple s'’agir simplement de reflets sur l’'objectif, ou encore d'’oiseaux ou d’'insectes. Escamilla a pourtant une explication technique pour réfuter ces objections. Un reflet dans l'’objectif ne peut se déplacer lorsque l'’appareil est dans une position statique. Il dispose également de séquences où des oiseaux et des insectes ont été filmés en même temps que ces mystérieux objets : « A une vitesse d’obturation de 1/10 000ème de seconde, vous pouvez immobiliser le vol d'’un oiseau ou d’un insecte, afin de l’'identifier. En revanche, le vol de ces objets est tellement rapide que dans la plupart des cas, on n’'obtient qu’'une forme indistincte. De plus, des détails tels que ces membranes ondulante montrent que ces créatures, quelle que soit leur nature, ne sont pas des organismes biologiques connus. Il reste à découvrir de quoi il s'’agit vraiment. »

     

     

    *** Habitat terrestre ***

     

     

     rod7

     

     

    Une vidéo tournée en 1996 a donné un élément de réponse. La séquence, filmée pour la télévision américaine par le caméraman professionnel Mark Lichtle montre des parachutistes en chute libre près de San Luis Potosi, au Mexique.

     

     

    rod8

     

     Comme souvent, les nombreux spécimens de « barres » n’ont été repérés que lors du visionnage de la cassette. Ainsi, en faisant défiler l’image au ralenti, Mark a remarqué que les « barres » se précipitaient à l'’intérieur et à l’'extérieur du champ, et volaient autour des parachutistes. Sur l'’une des séquences, l’'un de ces mystérieux objets faillit même entrer en collision avec l'’un des parachutistes et il modifia sa trajectoire à la dernière seconde. Cette remarquable séquence a été notamment étudiée par Bruce Maccabee, un physicien de la Marine américaine, expert en optique et réputé dans les milieux ufologiques pour ses analyses de films d’'ovnis. Il a confirmé que l’'objet mesurait entre 2 et 4 mètres de long et qu’il ne pouvait donc s’'agir ni d’un oiseau, ni d’'un insecte. Selon José Escamilla, leur abondance dans le ciel du Mexique pourrait signifier que ces créatures ont élu domicile à cet endroit : « C'’est donc là qu’il faut les filmer et les étudier ! »

     

    voir la vidéo de 1996 dans la rubrique " vidéos orbs & rods ".

     

    *** Des images déconcertantes ***

     

     

     rod10

     

     

    En 1997, José Escamilla dispose d'’un stock suffisamment conséquent d'’enregistrements de « barres » pour faire connaître l’'existence de ces créatures aux milieux scientifiques. Il présente donc une sélection de séquences à des zoologistes et des entomologistes de l’'université du Colorado. « Ils n’'en croyaient pas leurs yeux », se souvient-il. « Ils disaient que cela ne ressemblait à rien de ce qu'’ils connaissaient et que cela méritait d’'être étudié de façon plus approfondie. » C’est ce qu’'a fait le biologiste Ken Swartz puisqu'’il étudie le phénomène depuis 1998 : «  Il pourrait s’agir d’entités biologiques, mais il m’est vraiment difficile d’avancer des hypothèses sans spécimen à examiner. Ce sont peut-être des êtres amphibies, puisque l'’on en a vu entrer et sortir de l'’eau. Peut-être même naissent-ils dans l’eau et vivent-ils ensuite dans l’'air ? »

     

    *** Calamar atmosphérique ***

     

     

     rod9

     

     

    S’'appuyant sur le témoignage de personnes qui assurent en avoir vu sur la terre ferme, Swartz avance l'’hypothèse selon laquelle ces créatures présenteraient des similitudes avec la famille des céphalopodes, à laquelle appartiennent notamment la seiche et le calamar. « Certaines personnes m'’ont dit que ces créatures se gonflaient comme un ballon pour se dégonfler rapidement. C’'est donc qu’elles utilisent peut-être le même mécanisme de siphon que le calmar pour se déplacer. » Ken Swartz est surtout intrigué par le phénoménal métabolisme de ces créatures : « Le métabolisme d’'un oiseau-mouche, pourtant incroyablement élevé, est certainement très inférieure à celui que l'’on peut supposer à ces créatures ; à mon avis, pour disposer continuellement de leur fabuleuse énergie, elles doivent absorber chaque jour l’'équivalent de leur poids en nourriture. » Dans ce cas, quelle pourrait être cette nourriture ? Par ailleurs, s'’il s'’agit d’'êtres vivants, pourquoi n’'a-t-on encore découvert aucun cadavre de ces entités ? D’'après Ken Swartz, si on continue le parallèle avec le calmar, « ces créatures n’'ont pas de squelettes et elles pourraient donc se décomposer sans laisser aucune trace ».

     

    *** Réponses dans l’'évolution des espèces ***

     

     

     rod11

     

     

    Compte tenu de cette absence de traces matérielles, Ken a cherché une corrélation en étudiant l’'évolution des espèces : « Si l’'on étudie les espèces fossiles, un seul animal présente le même mode de locomotion que ces « rods » ( barres ). Il s’'agit d’'Anamalocaris, le prédateur marin dominant du Cambrien, qui a vécu il y a 400 millions d’années. » Selon le scientifique, cet animal se propulsait grâce à une série de plaques ou de nageoires vibrant à la façon des membranes également vues sur les « rods ». Ken Swartz n’'hésite donc pas à envisager qu’'Anamalocaris ait été l’'ancêtre de ces « rods ». les récents travaux menés par l’entomologiste britannique Steven Wooten pourraient peut-être lever le voile sur le mystère de ces étranges « rods » : en collaboration avec des biologistes spécialistes de paléontologie, ce dernier a en effet élaboré un modèle théorique permettant de savoir à quoi ressemblait l’'ancêtre des insectes actuels, qu’'il a baptisé protopterygote. « Cette créature ressemble à s'’y méprendre à l’'une de ces « barres ». Par conséquent, on ne peut pas écarter l’hypothèse selon laquelle les « barres » sont issues d’'Anamalocaris en passant par les protopterygotes, puis ont évolué de façon distincte. »

     

     

    rod12

     

    Autant d’'hypothèses qui ne font que rendre ces créatures encore plus énigmatiques car pour l’instant, rien n'’est sûr. Qu’elles aient inspiré les mythes sur les « monstres volants » ou qu’'elles représentent l’'évolution d’un insecte préhistorique, elles conservent toute leur magie : soit il s'’agirait d’une forme de vie extraterrestres, soit d’'un phénomène biologique qui a échappé jusqu’'à présent à l'’observation scientifique. Pour sa part, José Escamilla ne se fait pas d'’illusions. Il sait que la capture d'’une de ces créatures sera extrêmement difficile. « Au début, je pensais que cela serait facile, mais après avoir étudié ces entités pendant des années, je pense aujourd’'hui qu’'il est pratiquement impossible de les capturer », affirme-t-il. Et tant que l’'on ne disposera pas d’'un spécimen que l’'on puisse étudier, la question de l’'origine et de la vie de ces étranges créatures demeurera un mystère….

     

     

    *

    http://www.opendb.com/sol/seq.htm

    http://home.flash.net/~storyink/hotrods/hotrods.htm

    http://www.newanimal.org/air-rods.htm

     

    La taverne de l’'étrange- 23 février 2007

     


     

     

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    Noia0a

     

    RAPPORT NOIA

     

    Récit d’un voyage effectué dans le but de constater l’existence d’une porte inter-dimensionnelle en Galice, Espagne, près de la localité de NOIA, près du mont ARO, entre le 3/9/02 dans la nuit et le 7/9/02 au soir.

     

    L’ENDROIT :

     

    La Galice :

     

     

    Noia0

     

    La Galice est une zone géographique des plus riche au monde au niveau mégalithique, on y trouve plus de 3.000 endroits avec ces caractéristiques. (Dolmen, menhirs, restes de villages, labyrinthes…etc… C’est aussi une des zones les plus riche en Espagne au niveau de l’art rupestre et préhistorique ( plus de 500 lieux avec pétroglyphes et grottes, pas encore tous catalogués et étudiés).

     

    Le mont ARO et la localité de NOIA :

     

     

    Sur le mont ARO et à proximité, à côté de NOIA (Noé) où la tradition est de dire que Noé c’est échoué ou posé (selon diverses versions) avec son arche sur le mont ARO (Ararat), après plusieurs mois de dérive. Il y a également dans la zone de NOIA beaucoup de récits sur des géants venus de la mer et aussi sur des réfugiés du déluge dans les cavernes. La ville de Noia contient  entre autres choses, une église gothique au porche impressionnant, représentant les 12 apôtres sous des traits celtiques portant chacun un instrument de musique gaélique.

     

    Les deux villes importantes  les plus proches : LA CORUNA et SAINT JACQUES DE COMPOSTELLE :

     

    La Coruna  au bord de la mer:

     

    Le roi Brath de la tribu gaélique des Tuatha-De Dannan après un voyage en Afrique serait arrivé en Galice, y eût un fils : Breogan qui construisit la fameuse ville de : Brigantia, l’actuelle La Coruna.  Bréogan serait un descendant direct de NOE.

     

    Saint-Jacques de Compostelle dans l’intérieur des terres :

    Sa réputation n’est plus à commenter…

     

     

    LES PERSONNES :

     

     

    Nous étions 8 en tout. ( Il semble qu’il faille être au moins 7 personnes avec leurs énergie et leur travail pour pouvoir avoir l’expérience d’une porte).

     

     

    Une mexicaine : Liza, un chilien-guatemaltèque : Carlos et 5 espagnols ( 3hommes, 2 femmes) et moi-même : M, française. Donc : 4 hommes et 4 femmes. ( Il semble que l’égalité des deux polarités soit importante) . La moyenne d’âge est d’une quarantaine d’année. Et pour le niveau d’études : 5 sur 8 ont fait des études universitaires.

     

    Un mois auparavant, j’étais déjà venue sur les lieux et j’avais fait la connaissance d’un galicien du groupe : Santiago, qui m’avait parlé du lieu et de ce qu’on pouvait y trouver.

     

     

    A part deux couples espagnols, personne ne se connaissait , sauf par e-mail et téléphone.

     

    Personnellement je n’avais eût de contact qu’avec Santiago, l’espagnol et Carlos qui avait voulu me contacter par e-mail. Qu’elle ne fut pas ma surprise en arrivant sur place de reconnaître Liza, comme une de mes correspondantes mexicaine ! Je l’avais rencontrée en Egypte pendant 24 heure en décembre 2001, pendant une de mes démonstrations avec les sons, depuis nous correspondons par e-mail de temps en temps…

     

     

    Noia1

     

    Ce que nous avons en commun :

     

    Une recherche sincère et profonde depuis plusieurs années de tout ce qui concerne l’origine, le bien-être et le futur de l’humanité ainsi que le pourquoi de l’existence  et l’immensité de l’univers. Cette recherche, nos interrogations persistantes, dépassent le cadre de nos simples vies et est devenue au fur et à mesure le centre de notre quotidien. Tous ont à leur actif , plus ou moins, une longue pratique de la méditation.

    Une joie de vivre visible .

     

    Ce qui nous différencie :

     

     

    Nos caractères très différents et plutôt bien trempés.

    Nos provenances.

     

    Les recommandations reçues avant de partir :

    <o:p></o:p><o:p></o:p>

     

    Reçues de Carlos par e-mail, car celui-ci à déjà vu des portes à plusieurs reprises en Amérique Latine et en a déjà explorée une :

     

    Pour venir, il faut se sentir « appelé »par quelque chose d’intérieur, dans la bonne attitude de confiance et d’ouverture. Et mettre le meilleur de soi-même dans la préparation. Il faut s’entrainer 8 jours à l’avance par un jeûne « liquide »( soupes et jus de fruit quand on le désire). Bien sûr ne pas fumer. Surveiller ses pensées et être « positif ». Santiago, qui lui, en avait déjà vu, mais de loin, me spécifia qu’il fallait s’habiller en matières naturelles pour éviter toutes intéractions électriques et apporter de bons pulls car nous allions vivre 5 jours (Pour moi 4 car j’arrivais un jour en retard) à la belle étoile au sommet d’un mont sauvage bordée d’un côté par l’océan Atlantique, et au pied d’une forêt de pins compacte, sans tentes, sans anoraks et sans duvets (car synthétiques),sans réchaud à gaz … (Il paraît que beaucoup d’autres ont pu accéder à des portes avec un régime moins strict mais Carlos voulait mettre le maximum de chances de notre côté)

     

     

    Noia3

     

    L’ARRIVEE SUR PLACE :

     

    Depuis 4 jours en Espagne, j’arrivais tardivement à NOIA dans la nuit du mardi au mercredi vers 3h 30 du matin, en voiture. Là on m’attendait dans une petite maison du bourg, ou Santiago qui était redescendu du mont pour m’accueillir, contrôla toutes mes affaires. Je laissais sur place : montre , portable, vêtement en partie synthétiques et repartie à pied avec lui,  juste munie de : 2 jeans, des pulls de laine, des t-shirts de coton,  des chaussures de toile, de quoi écrire et mon appareil photo (juste toléré).

     

    On marcha environ 2 heures, pour se trouver au sommet d’un mont en partie recouvert d’une forêt de pins et d’affleurements granitiques. L’accès est difficile : pas de chemin et beaucoup de brousailles, de plus la nuit était brumeuse et très humide.<o:p></o:p>

    Une fois arrivée au camps, je saluais ceux qui était encore réveillés et allais de suite me rouler dans les couvertures que l’on m’avait préparées.<o:p></o:p>

     

    LE SEJOUR :

     

     

    Le lieu est magnifique, très sauvage, et il n’est pas rare que des écharpes de brume recouvrent par pans entiers les versants du mont. L’odeur de l’Atlantique ainsi que le vent sont omniprésents. Les consignes sont de ne pas parler, on échange juste des : "  Bonjour ! Comment ça va ? Passe-moi le sel…etc, mais pas de bavardages…" Le silence sera observé pendant tout le séjour. ( Ceci à pour but d’éviter les conflits d’ego qui ne manquent pas de se manifester dans tout groupe humain, tôt ou tard) Le but est d’être le plus unis possible. Les jours vont s’écouler entre longues méditations, chants de toutes sortes, musique(quelqu’un avait une guitare), observation de la nature, lecture, écriture pour certains et corvées diverses. Nous avions toutes sortes de légumes,  des pommes de terre avec des condiments, des graines et de l’huile d’olive et nous faisions tous les jours une soupe consistante qui constituait notre unique ordinaire. Le plus difficile était le froid la nuit et une journée de pluie intense que nous avons eût au début…

     

     

     

    Chaque jour notre unité se solidifiait : l’atmosphère était plus détendue et les journées passaient plus vite. On m’avait expliqué auparavant que l’ouverture d’une porte inter-nest la plupart du temps un travail collectif. Et aussi que le fait d’être là ne garantit rien à personne, l’idée c’est de ne pas être seulement présent mais d’Etre soi-même dans toute sa différence.

     

     

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    L’EXPERIENCE :

     

     

     

    Le vendredi en début d’après-midi (15 heure, heure du soleil), nous étions en pleine méditation, assis chacun à quelques mètres les uns des autres et nous pensions très fort aux consignes nécessaires à l’ouverture d’une porte dans notre 3ème densité d’espace-temps pour pouvoir connecter à volonté la 4ème densité, ( Eliminer toute négativité, toute peur dans notre esprit, se mettre en état de réceptivité maximum, compassion, humilité et conscience ) quand survint un phénomène :

     

     

    On sentit comme si l’ambiance se chargeait en électricité, en beaucoup d’énergie. On se mit à ouvrir les yeux :

      

     

    Un halo de lumière indigo claire nous couvrait…

     

     

    Mue comme par une obligation je me levais et je vis que Liza et Carlos faisait de même, on monta ensemble doucement la dernière pente du sommet. Les autres qui restèrent assis nous dirent plus tard, qu’en fait, le léger halo indigo nous couvrait et les avait quitté.

    Maintenant nous nous trouvions à 150m devant le groupe.

    Je regardais Liza et Carlos, et d’un commun accord nous avons commencé les clés.

     

    LES CLES :

     

     

    Il existe une clé sonore à actionner : qui est la même partout dans le monde et qui consiste en un mot à moduler de façon particulière, un peu comme un mantra. (Pour les Péruviens, elle est inca, pour beaucoup elle est égyptienne, d’autres disent qu’elle est tibétaine… A mon humble avis , et bien que je l’ai apprise il y a longtemps en Egypte, par les consonances, elle est typiquement sumérienne.) Cela permet d’élever notre fréquence vibratoire et en même temps de procéder à un échange d’information avec la lumière. Il s’ensuit comme une libération d’information.

     

    Et une clé gestuelle : Un geste particulier à exécuter en même temps.

    Et une clé visuelle : Une visualisation à faire.

     

    On commence à entendre, (même ceux assis à l’arrière) un bruit sourd, comme un battement en deux temps résonnant dans les graves.

     

     

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    Au bout d’un moment, à 1m devant nous mais à environ 2m du sol, en hauteur se manifesta d’abord : une demie-lune bleu ciel se transformant en un grand ovale lumineux, azur… De la lumière dorée avait l’air de sortir en spirale de nos plexus, je sentais une énergie débordante et vibrante en sortir. J’essayais d’être calme et de ne pas être bloquée par l’émotion. J’avançais. Alors la porte devint très blanche et très brillante et se manifesta dans toute sa taille et « épaisseur ». Un peu comme un immense nombril ou plutôt : une tornade blanche horizontale avec un tunnel central. Cette porte me parut immense : Une hauteur de 2m75 / 3m avec une largeur d’environ 2m à l’intérieur et les murs apparemment épais d’un peu moins de 50 cm…

     

    Je levais mes mains pour la toucher avec mes deux amis. Personnellement, je sentis un froid intense ( mais les autres me dirent qu’ en fait c’était si brûlant que j’avais ressentie cela.. Je sentis comme une barrière de lumière que je traversais avec ma paume puis une très forte énergie vibrante en un flux permanent ( un peu comme un torrent). J’étais troublée par le fait que la porte se présentait en hauteur (j’avais jamais entendu parler d’un tel cas) et je me demandait mentalement comment j’allais faire pour y entrer, quand, aussitôt pensé, aussitôt fait , je me suis retrouvée dans la porte au début du tunnel. Les murs latéraux sont comme des vagues en forme de tourbillons. Apparence de l’eau, mais quand je touche cela ne mouille pas et n’est pas liquide( une autre densité de l’eau ?) C’est très brillant et j’ai toujours cette sensation de très grand froid quand je touche mais tout mon corps est brûlant, surtout mon front et le dessus de mes pieds. Devant moi le tunnel est long d’à peu prés 7 m.

     

    Je sens une odeur légèrement métallique. (Cela me fait penser au parfum des débris de quartz chauffé au soleil sur les plages). Une fois bien calmé, j’avance doucement et là je sens une vague de chaleur qui vient vers moi, j’ai la nausée tellement l’énergie dans laquelle je baigne est forte. Quand j’avance, j’ai une légère sensation de résistance sur ma peau (comme si j’entrais dans une substance gélatineuse mais il n’y en a pas). La sensation sous mes pas est molle( un peu comme lorsqu’on marche sur les anciens tapis roulants caoutchoutés).

     

     

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    Je suis fascinée par la beauté des vagues perpétuelles se déroulant dans les murs.<o:p></o:p>

    Au bout j’aperçois quelque chose de sombre. A 1m de la sortie, dans l’ovale je vois un paysage nocturne qui me décontenance beaucoup :

     

     

    Un cirque de très haute montagne , de nuit . Trois sommets noirs se détachant sous un ciel bleu marine, couvert, sans étoiles. Mais à mes pieds, un précipice impressionnant, insondable…( On m’avait dit : Pour aller visiter de l’autre côté, ne t’inquiètes pas il y a toujours un chemin ou des marches, mais là rien…) Le précipice est peu engageant. En me penchant un peu je vois tout en bas, les toits d’une ville plutôt high-tech . ( Toits tous de la même forme et d’aspect métallique) . Un léger halo lumineux recouvre cette citée très discrète. Un grand silence règne. Mon mental reprend le dessus : je me vois pas sauter dans le vide. La peur a pris possession de moi, je sais que c’est terminé, il faut que je rebrousse chemin vite. Quand j’arrive à l’entrée, je remercie dans ma tête pour cette merveilleuse expérience et je me retrouve à nouveau à côté de Liza et Carlos …Tous ont les larmes aux yeux… Le groupe à l’arrière n’a pas vu la porte. Par contre ils m’ont vu totalement disparaître et ils ont vu Liza et Carlos apparaître et disparaître par intermittence quand ils ont levé la main pour toucher la porte.

     

     

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    On resta encore 24 heure, cette fois ci en discutant pour se réhabituer tout doucement à ce qui allait nous attendre en bas. Toutes les pellicules photos du groupe assis ont été comme irradiées par une trop grande lumière. Seul l’enregistrement du bruit fut conservé.

     

    Il paraît que dans toutes les expériences de ce genre, seuls une ou deux ou trois personnes se sentent le droit d’approcher la porte et d’y éventuellement pénétrer…on peux une fois en voire une et même aller de l’autre côté et une autre fois ne rien voir absolument . Tout dépend de l’état d’esprit du moment et la détermination. Mais il faut toujours un minimum de personnes qui restent à l’arrière pour continuer à méditer. C’est une réussite collective. Et seule je n’aurais réussi à rien.

     

     

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     Copyright : MdF - Les dessins sont de : G.B.

     

    La taverne de l’étrange- 16 février 2007

     

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  • Cette rubrique sera consacrée a l'ufologue mexicain Pedro Avila. Et voici pour commencer l'année 2007, un homme qui va faire grand bruit dans les années à venir...J'en avais entendu parler déjà mais là, j'ai l'exclusivité de ces magnifiques photos, avec l'accord de l'EUS ! D'autres photos seront rajoutées dans le temps alors revenez voir car vous allez être surpris par la qualité des photos de cet homme de génie ! Vous pouvez aller voir le site ci-dessous qui vous explique qui est Pedro Avila et vous fait comprendre l'intérêt et l'importance d'une recherche en Infrarouge pour une bonne détection et observation des Ovnis. Pour honorer Pedro Avila ils ont donné son nom à leur programme de recherche scientifique. Donné à la Taverne de l'étrange de la part de l'EUS ( www.europeanufosurvey.com ).

    logoeusmedium

    planchepedro1


    Pedro Avila Rubio est un jeune chercheur Mexicain souffrant de dystrophie musculaire génétique qui à force de courage et tenacité malgré son handicap a réussi à obtenir les meilleurs documents filmés d’ovnis qui soient en IR ( infrarouge ) et vision normale. Il a crée dans son pays tout un réseau de club d’observations ( Ojos de la ciudad ) qui utilisent le système de caméras couplées IR et vision normal. C’est en son honneur que nous avons intitulé ce programme d’éducation grand public, de son nom. Car c’est grâce à lui en quelque sorte que la diffusion de l’existence du phénomène se propage auprès du grand public.

    Pedro Avilale spécialiste reconnu, des prises de photo ovnis au Mexique en Infrarouge est ici sur le site des pyramides de Téotihuacan et l'on voit un ovni derrière lui.

    Copyright- crédit photo Pedro Avila ( www.ovnis.tv )

     
     
     

     ci-dessous prise le 21/1/2007 !

     

    L'ufologue Pedro Avila

    L'ufologue Pedro Avila

    Photos de Pedro de nos jours...

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    5 commentaires
  •  

    RoseCcouv1

     

    L’'histoire qui va vous être racontée ici est si étonnante qu’elle dépasse de loin tout ce que vous pouvez imaginer en matière d’'aventures et d’'enseignements cosmiques. Le principal témoin de cette rencontre du 3ème type s’'appelle Rose et s’'est éteinte en avril 2000 à l’'âge de 72 ans. Mais son aventure s’'est déroulée en 1952 alors qu’elle était âgée de 24 ans. Il est vrai que cet épisode qui a à jamais marqué la vie de Rose a un petit goût des années 50 mais on peut aussi trouver dans les faits étranges qu’elle a vécus et les thèmes qu’elle aborde des corrélations remarquables avec la théorie révolutionnaire concernant la lune avancée par deux savants soviétiques en 1970. Rose C., en 1979, racontait son incroyable contact du 3ème type dans son livre : « Rencontre avec les Extraterrestres ». Plusieurs ufologues, impressionnés par l’'apparente sincérité de la jeune femme et par les traces physiques engendrées par cette rencontre, ont enquêté sur ce cas exceptionnel.

     

    *** LA RENCONTRE ***

     

     

     C’est le 11 avril 1952 que Rose C., alors âgée de 24 ans, eut sa 1ère expérience de contact avec des êtres étrangers à notre planète. Ce jour-là, elle s'’était rendue à bicyclette, accompagnée de ses chiens, dans le cabanon isolé que possédait sa famille en pleine garrigue, à quelques kilomètres de Nîmes. Peu après minuit, elle fut tirée de son sommeil par le grattement de patte de l’'un des chiens contre la porte du cabanon. Il réussit à soulever le loquet et à ouvrir la porte, après quoi il s'’élança silencieusement au-dehors. L'’autre chien lui emboîta le pas et, sans un seul aboiement, tous deux disparurent dans l’'obscurité. Encore à moitié endormie, Rose se leva, enfila son imperméable, attrapa sa lampe de poche et sortit du cabanon. Elle venait de franchir quelques mètres en direction de l’'autre cabanon, celui qui ne contenait que quelques vieux livres vermoulus, lorsqu'’elle fut éblouie par une violente lumière blanche, comme une sorte de flash. Elle entendit une voix plutôt claire et posée dire : « Que faites-vous ici ? ». « Et vous-même ? », répliqua-t-elle en s'’adressant au jeune homme qui se tenait en face d’'elle, après avoir braqué le faisceau de sa lampe de poche sur le visage de ce dernier. Cet individu, mesurant environ 1m75, ne semblait manifester aucune agressivité envers elle.

     

     

    Elle déclara qu’'elle était là sur ses terres et qu'’elle aimerait savoir ce qu'’il y faisait à pareille heure. Elle demanda où étaient passés ses chiens. Ces derniers réapparurent au moment où elle posait la question ! Elle entendit un léger bruit derrière elle, qui la fit se retourner et hurler de frayeur. Un être de 2m30 à 2m40 de hauteur se tenait près d’'elle et l’'attrapa par le cou avec des mains énormes….

     

    *** LES GEANTS ET LEUR INTERPRETE HUMAIN …***

     

     

     Il y avait 2 « géants » : le plus grand des 2 s’'adressa au jeune homme qui était avec eux dans une langue incompréhensible. Ce dernier déclara à Rose qu’'elle n'’avait rien à craindre d’'eux, qu'’ils étaient pacifiques, et que ses amis voulaient seulement savoir si elle avait quelques livres à leur donner. Alors qu’'ils se dirigeaient tous les quatre vers l’'autre cabanon ( où se trouvaient les vieux livres ), un 3ème géant apparut. Fait étrange, les chiens allèrent à sa rencontre comme s'’ils le connaissaient bien. A la question posée par Rose sur la provenance des visiteurs, l’'homme répondit, en levant les yeux vers le ciel, qu'’ils venaient « de là-haut », mais ni de la Lune, ni de Mars. Elle demanda ensuite comment ils étaient venus sur Terre ; l'’individu braqua alors un court instant le faisceau d’'un appareil sur un coin du terrain qui s'’illumina brusquement comme en plein jour. Rose aperçut alors un énorme objet circulaire, d'’un gris mat, couleur ardoise, qui avait la forme d’'un immense canotier et qui semblait en suspension dans l’'air à environ 1 m du sol, sans appui ni ancrage sur la terre ferme.

     

    Elle ouvrit la porte du réduit et les trois géants lui emboîtèrent le pas. Ces géants étaient beaux, avait la peau mate et ressemblaient un peu à des Hindous. Ils étaient vêtus d’'une combinaison claire métallisée et équipés de sortes de pataugas. Il sembla à Rose qu'’ils devaient chausser au moins du 60 ! Celui qui paraissait être le chef portait au haut du front un objet scintillant ressemblant à une grosse pierre précieuse hémisphérique légèrement allongée. Autour du cou passait une courroie à laquelle était accrochée à la hauteur de l’'estomac une boîte noire équipée de boutons. L’'homme, qui parlait un français parfait, servait donc d'’interprète aux trois géants. Ces derniers expliquèrent qu'’ils venaient d'’un autre monde. Leur stature mise à part, ils auraient du passer, ainsi que je viens de le préciser, pour des Hindous. Deux d'’entre eux étaient des athlètes dans la force de l’'âge, alors que le 3ème, qui semblait être le chef, paraissait nettement plus âgé. Il portait sur le front la « demi-sphère » ci-dessus évoquée, laquelle ressemblant à « une bille de verre noire coupée en deux »….

     

    L’'homme-interprète précisa à Rose qu'’il avait été contacté par ces créatures 20 ans auparavant, alors qu'’il était instituteur et âgé de 25 ans. Rose lui ayant fait remarquer qu'’il ne paraissait pas son âge, il répondit que le temps, « là-haut », passait beaucoup moins vite…

     

     

    *** UNE ETUDE SCIENTIFIQUE DE LA TERRE ***

     

     

    L’'interprète lui présenta un grand sac que portait l'’un des géants ; il l’'entrouvrit pour montrer son contenu : des souches d’'oliviers, d'’amandiers, de thym, divers objets de valeur et quelques pierres. Rose ayant objecté qu’'il n'’y avait dans ce sac rien ne justifiant un aussi long voyage, son interlocuteur répliqua qu'’il recueillaient des échantillons en divers endroits de la planète, ce qui leur permettait d’'évaluer les dégâts occasionnés par les bombes ayant explosé au Japon. L'’instituteur expliqua donc, échantillons à l’'appui, qu'’ils étaient là pour effectuer des prélèvements de minéraux et de végétaux, afin d’'évaluer la gravité des conséquences des explosions atomiques. Ce fut pour lui l’'occasion de dénoncer le comportement destructeur et irréfléchi de l’'Homme, son comportement insensé envers non seulement ses contemporains, mais aussi les générations futures. Il énonça aussi quelques vérités au sujet de certains grands hommes, dont la grandeur s'’était construite sur d'’immenses massacres et sur d'’infinies misères. Quand Rose demanda pourquoi les extraterrestres n'’intervenaient pas, l’'instituteur lui expliqua que chaque fois qu'’ils avaient tenté de le faire, rien de bon n’'en avait résulté. Lors de cette rencontre particulière, elle leur donna un exemplaire du « Comte de Monte-Cristo » d’'Alexandre Dumas, de très vieilles revues d’'une association de médaillés militaires, ainsi que le journal de mode qu'’elle venait d’'acheter. Rose demanda à son interlocuteur humain s'’il n’'avait pas pensé à sa famille quand il était parti avec les visiteurs de l’'Espace ; il répondit qu’'il n’'avait pas de proches parents, que personne ne s'’était inquiété pour lui, à part quelques-uns de ses élèves. A la question : « Vous n’avez jamais regretté d’avoir quitté la Terre ? », il répondit : « Au contraire, on gagne beaucoup en la quittant ».

     

    Le jeune homme lui demanda si elle voulait venir avec eux. Elle eut peur que les géants l’'enlèvent dans leur machine. Elle pensa à son père âgé et à sa petite fille qu’'elle aimait tendrement. Elle répondit qu’'elle voulait rester sur Terre. A ce moment là, le géant à la pierre sur le front s’'adressa à l’'instituteur qui traduisit sa question. Il voulait savoir qui étaient ce vieil homme et cet enfant qu'’il a vus dans les pensées de Rose. C’'est à cet instant que cette dernière prit conscience que le géant était télépathe.

     

     

    *** DE LOINTAINS ANCETRES ! ***

     

     

     Elle leur donna des détails sur sa famille. Au bout de quelques minutes, elle constata que les chiens s’'étaient gentiment installés au pieds des géants. Rose demanda innocemment s'’ils avaient des chiens. On lui répondit qu'’ils avaient tout ce que nous avons sur Terre et que leurs ancêtres nous avaient amenés sur cette planète. La seule différence est que tout est plus grand chez eux : leurs chats ressemblent à de petits tigres et leurs arbres sont immenses. On lui dit que les humains descendent de ces êtres, et au fil des générations tout avait rapetissé. La société d'’où viennent les géants aurait ainsi aménagé une planète pour les renégats, lesquels furent déportés sur Terre. L'’instituteur expliqua à Rose que des milliers d'’années auparavant, les extraterrestres avaient pris possession de la Terre dans le but d’'en faire une sorte de bagne destiné à ceux des leurs qui s’'étaient rendus coupables de divers méfaits. L’'humanité actuelle descendrait donc de ces exilés ! ( Notons au passage que ce scénario de « la Terre bagne cosmique » est décrit d’'une manière quasi-identique dans le livre de G. Adamski « Inside the Space Ships » de 1955 et traduit en français en 1979 sous le titre « A l'’intérieur des vaisseaux de l’'espace » chez M. Moutet ).

     

      Ces êtres lui dirent également avoir amené notre satellite, la Lune ! Ils la trouvèrent dans une autre constellation et la transportèrent jusqu'’à notre système solaire, la plaçant en orbite artificielle autour de la Terre. Le chef des visiteurs fit à l'’intention de Rose une démonstration de lévitation et de téléportation. Alors qu'’ils se trouvaient à l’'intérieur, le chef des géants actionna les boutons de la « boîte » qu'’il portait, dématérialisant une pierre qui se retrouva à l’'extérieur de la bâtisse, sans que la porte eût été ouverte ! De même, il souleva ensuite à distance de grosses pierres qui flottèrent en l’'air comme des ballons. La jeune fille déclara qu'’une grande sagesse émanait de cette impressionnante créature. Elle apprit également que la Lune du monde de ces visiteurs-ancêtres est 3 fois plus grosse que la nôtre, et on lui révéla que tous les 12.000 ans environ la Terre subit un cataclysme déclenché par la bêtise des hommes. Il confia à Rose qu’'en 9405 av. J.-C., la Terre avait été ravagée par un cataclysme provoqué par les humains. On notera que cette date correspond fort bien à l’'époque de la dernière destruction de l’'Atlantide, les dates données par la plupart des sources « canalisées », notamment, tournant autour de 9000 à 10.000 avant notre ère. En outre, si les humains de l'’époque ont été à l’'origine de la disparition de leur civilisation, cela signifie qu'’ils avaient une science et une technologie avancées…

     

     

    *** DES TRACES PHYSIQUES ET PSYCHIQUES DE LA RENCONTRE ***

     

     

    Le séjour sur Terre étant épuisant pour leur organisme, les entités s’'apprêtèrent à repartir : ils montèrent dans le vaisseau, qui décolla et disparut dans un bruit assourdissant, en créant une zone de forte turbulence. A la suite de cette rencontre, Rose eut le sentiment de contacts psychiques répétés avec les personnages qu'’elle avait, le soir, des flashs dans son cerveau, diverses inscriptions apparaissant sur un fond violet. Elle eut aussi des prémonitions de catastrophes, lesquelles se produisirent effectivement peu après. Plusieurs personnes, dont Charles Gouiran, ont constaté chez Rose, vers le milieu des années 1970, la réalité de phénomènes de précognition ou de perception extrasensorielle. On notera que ce témoin privilégié à conservé pendant sa vie une trace tangible et indélébile de cette aventure : aussitôt après cette rencontre du 3ème type. Rose se surprit à se masser instinctivement l’'annulaire droit. Quelque temps après, regardant ce doigt, elle découvrit avec stupéfaction qu'’il était aussi long que le majeur ! Elle compara avec sa main gauche et parvint à la conclusion qu’'à la suite de ce contact, son annulaire droit avait poussé, probablement de 8 ou 9 millimètres ! Cet annulaire droit avait grandi au point d'’atteindre en quelques semaines la taille de son majeur ! Durant les 48 années ayant suivi son contact, de nombreux témoins ont confirmé que Rose possédait effectivement désormais 2 majeurs à la main droite. De plus, il y avait, au centre de la paume de la même main, une cicatrice d'’environ 1 cm à 1,5 cm. Cette cicatrice  protubérante ne s'’est pas effacée au fil des ans. En ce qui concerne l’'allongement du doigt d'’une main, il s’avère nécessaire de faire le rapprochement avec d’'autres cas similaires. A l’'époque un haut responsable du GEPAN ( Groupe d’Etude des Phénomènes Aériens Non Identifiés ) vint la voir et contrôla ses dires et ne put que confirmer son histoire.

     

    D’'autres personnes ont enquêté mais elle n’'en a pas eu de nouvelles. Un autre observateur qui a suivi l’'affaire depuis l’'année 1970, Guy Tarade, célèbre écrivain dont l’'honnêteté ne peut être mise en cause, a déclaré : « J’'ai constaté de visu le fameux doigt. Je peux affirmer qu’'il n'’y avait pas de trucage, qu'’un enquêteur très officiel a également été surpris par cette sorte de métamorphose… » et que « quelques mois avant sa mort, son doigt s’'était encore allongé ! ».

     

    Le 1er cas, rapporté par Joël Mesnard, s’'est produit vers le mois d’'avril 1969, à Balizac ( Gironde ). Alors qu'’elle avait à peu près 17 ans, Catherine fut une nuit interrompue dans son sommeil. Elle conserve un vague souvenir de petits personnages, de couleur claire, près de la cheminée. Elle se cacha sous les couvertures. Le lendemain matin, elle portait à la cheville gauche une blessure affreuse et toute noire. Plusieurs médecins constatèrent l’'existence de cette plaie. Cette blessure se cicatrisa avec une lenteur extrême, le processus de cicatrisation ayant duré à peu près 1 an et demi. Joël Mesnard ayant mentionné le cas de Rose C., Catherine tendit sa main droite : l’'annulaire avait, comme chez Rose, une longueur anormale. Elle présentait donc la même anomalie que Rose C., au même doigt.

     

     

     *** SORTIE HORS DU CORPS ET PYRAMIDES MAGIQUES ***

     

     

     Peu après sa rencontre rapprochée, Rose vécu un nouvel épisode paranormal. Un jour, elle sentit que quelque chose lui empoignait la nuque ; au même moment, elle éprouva une paralysie qui s'’empara progressivement de son corps, et elle se retrouva « debout à l’air libre ». Il s’'agissait donc d'’une sortie hors du corps. Elle aperçut, face à elle, la statue du Grand Sphinx. Il était de couleur rouge-brun. Elle vit aussi 2 grandes pyramides brillantes qui paraissaient couvertes de neige argentée ( craie ? ). Rose fit alors la rencontre d'’un étrange personnage à l’'aspect majestueux et à l’'apparence sévère. Il s’agissait de BELMO, un être que ses compatriotes surnommaient MERI- MEROAN, ce qui peut se traduire par « le Suprême » ou encore « le Valeureux ». Après s’'être enfoncés dans le sol à l'’intérieur d’'un cylindre de verre, ils se retrouvèrent dans une salle taillée dans le granit. BELMO posa alors 3 questions à Rose, et celle-ci donna les bonnes réponses. Elle pu alors découvrir une pièce entièrement constituée d’'or : murs, sols, immenses cubes dorés, objets bizarres… Des objets laissés par quelques sages atlantes pour servir de témoignages aux générations futures. 

     

     

    Il y avait notamment :

     

     

     

    Le Grand-Œoeuvre : il se présente sous la forme de petits grains rougeâtres. Cette poudre est capable de transmuter n'’importe quel matériau en or pur.

     

     

    Le Grand Séparateur : il s'’agit d'’un élixir de longue vie qui arrêterait le vieillissement.

     

     

    Le Grand Orgue : il s’'agit d’'une machine faite de tuyaux enchevêtrés et tordus servant à faire tomber la pluie. La machine à orgone de W. Reich ( voir l’'article des fées & djinns ) présentait, paraît-il, ces mêmes caractéristiques.

     

     

    Le Grand Sens : Rose se mit en face de cette machine et sur l’'écran apparut son image entourée d’'une « auréole colorée, brillante, faite de ce qui semblait être des étincelles bleues et vertes ». Il s’'agit donc d’'un appareil permettant de révéler l’'aura humaine.

     

     

    Le Grand Stimulateur : un appareil destiné à retrouver « la connaissance perdues ».

     

     

    Le Grand Révélateur : il permet de connaître les images du passé.

     

    *** REVELATIONS SUR LE SPHINX ***

     

    BELMO proposa ensuite à Rose de passer certaines épreuves :

     

    La Barque de la Connaissance : cette épreuve consistait à passer 3 jours complets dans une barque en agate ( pierre précieuse ).

     

     

    La Passe de la Grande Confusion : BELMO proposa à Rose de la dispenser de cette épreuve se déroulant dans un lieu « où l’'on ne pèse plus rien, où l’'on peut même marcher sur les murs et au plafond »….

     

     

    La Grande Porte : celle-ci ne pouvant être franchie qu’'au terme des épreuves précédentes. On ne saura rien de la Salle de la Grande Tradition, suite au refus de Rose de passer l’'épreuve de la Barque.

     

     

    BELMO évoqua aussi la Bibliothèque des Sages : il fit allusion aux livres sacrés de THOT ( le Dieu scribe égyptien ) et à l’étoile SIRIUS. BELMO fit aussi découvrir à Rose les différents plans, initialement conçus, du Sphinx à 2 têtes. Celles-ci, dont l’'une était plus haute que l’'autre, se tournaient en quelque sorte le dos. Le 2ème plan montrait le Sphinx tel que nous le connaissons aujourd’'hui, mais intact et avec les pattes de devant bien plus courtes que celles que l'’on peut voir « sur les cartes postales représentant l’énigmatique monument ».

     

    Rose fut informée que lors de la construction du Sphinx un morceau de rocher éclata, le privant ainsi de l’'une de ses têtes. Le secret du Sphinx est : le corps est animal, la tête est esprit. Le 3ème plan représentait le Sphinx à-demi immergé. Sur le poitrail sortant de l’'eau, il y avait le nombre 666. On voyait, sur la tête, plusieurs piques ou pointes. Rose fut informée que ces pointes représentaient les « bannières enroulées » de 10 nations. Cela signifie que lorsque ces bannières seront réunies, la « Fin des Temps » sera proche. Le nombre 666 représente une « entrave, une opposition à l’'évolution naturelle », une immense catastrophe pour le genre humain. Quant au nez abîmé du Sphinx, Rose fut informée que ce n'’était pas un soldat qui avait fait cela mais l’'ancre d’'un énorme navire. A cette époque-là, en effet, le Sphinx était sous l'’eau. Le compagnon de Rose dévoila à celle-ci que le Sphinx fut édifié sous le règne du 1er roi  égyptien : « RAAI », ce dernier ayant vécu il y a près de… 40.000ans !

     

    *** LES SECRETS DE GIZEH ***

     

     

     On notera que la date de 40.000 ans, si elle est conforme avec l'’idée d'’une bien plus grande ancienneté du Sphinx que celle admise par les milieux officiels, n'’en est pas moins conforme à celle donnée par le clairvoyant américain Edgar Cayce. En ce qui concerne la Grande Pyramide, celui-ci avait donné, ainsi que le rappelle Joël Baran, la date suivante de construction : 10.490 à 10.390 avant notre ère. Ce qui n'’a évidemment rien à voir avec la date donnée par les égyptologues ( et matraquée dans les médias et ouvrages scolaires ) : pendant la 4ème Dynastie ( 2600-2500 av. J.-C. ). Quant au Sphinx, il a été construit, selon les archéologues/égyptologues, par Khephren vers 2500 avant notre ère. Néanmoins, qu'’il s'’agisse du Sphinx ou de la Grande Pyramide, diverses contributions de chercheurs font état de datations beaucoup plus conformes à celles données par les sources paranormales. Notons que selon Edgar Cayce, la figure du Sphinx représente le portrait d’'Asriario, conseiller du roi ( et non, comme le pensent certains égyptologues, le visage de Khephren, voire celui de Kheops ). Cela- et d’'autres choses- pourra être découvert, déclara Cayce, « à la base de la patte avant gauche ». Toujours selon lui, Ax-Ten-Tna, 1er conservateur des archives atlantes, mit celles-ci dans des salles qui sont à mi-chemin entre le Sphinx et la Pyramide des Archives – ( non exhumée ). Il précisa aussi que la Grande Pyramide fut construite, disait Cayce, par « l’usage de ces forces de la Nature qui permettent au fer de flotter ». On déplaçait ainsi les pierres à travers l’'espace aérien. Les Atlantes apportèrent leur aide à la construction de la pyramide, et l’'Atlante Hept-Supht fut l’'un des responsables de cette construction…

     

    *** LES GEANTS DU PASSE… ***

     

     

     On trouve dans certaines sources paranormales, ainsi que dans plusieurs mythes et légendes ; la référence à l'’existence de géants dans le passé de la Terre. On mentionne même le fait dans la Genèse. Et qui ne connaît pas les légendes relatives aux Titans et autres Cyclopes ? Voici, parmi d’'autres, une source canalisée faisant état de l’'existence, dans le passé de la Terre, d’'humains de haute stature : Aurelia Louise Jones, qui canalise des Lémuriens de Telos ( cité souterraine sous le mont Shasta en Californie ), écrit qu’'à l’'origine les humains mesuraient environ 4 mètres. Au moment de l’'anéantissement de la Lémurie, ses habitants mesuraient 2,50 mètres. Puis la taille des habitants de la planète diminua encore….

     

    L'incroyable rencontre de Rose C. !

     

     

    Pour compléter votre information, à lire également :

     

     Jean Sendy : « La Lune clé de la Bible » paru chez Julliard en 1968

    Rose C. : « Rencontre avec les extra-terrestres » paru aux Editions du Rocher 

     

    Source : article de la revue-  Le monde de l’'inconnu N° 323-  NOV/DEC 2006

     


     

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