•  

    La mine de Naica fut découverte par des prospecteurs en 1794 et se trouve à 130 km au sud de Chihahua city. Les indiens Tarahumara donnaient à la montagne voisine le nom de Naica. Jusqu'en 1900 exploitée pour l'or et l'argent .Puis la mine ferma vers 1911 pendant la révolution mexicaine. La grotte des épées fut découverte à 400 pieds de profondeur. On décida de fermer la grotte aux cristaux  pour la préserver. Ces cristaux sont en gypse ( sulfate de calcium hydraté- CA SO4 2H2O ). En Avril 2000 les frères Juan et Pedro Sanchez en creusant un nouveau tunnel découvrirent quelque chose d'incroyable: la grotte aux cristaux géants. Certains mesures plus de 10 m !

     

    http://www.canyonsworldwide.com/crystals/index.html
    http://photos.speleo.free.fr/category.php?cat=219&expand=51

    Partager via Gmail Pin It

    3 commentaires
  • La planchette OUIJA

    La seconde moitié du XIXe siècle fut témoin d'un développement très important  du spiritisme en Angleterre. Apparitions et tables tournantes devinrent rapidement une des distractions favorites de la bonne société victorienne. La planche Ouija ( qui tire son nom des mots français et allemand pour dire " oui " ) devint un passe-temps très apprécié lorsque les médiums compétents n'étaient pas disponibles. Sur une planche de bois, allongée étaient gravés les mots oui, non, pourquoi, stop et un alphabet imprimé selon une disposition circulaire ou semi-circulaire. Après avoir baissé les lumières, les participants posaient leurs doigts sur une planchette trouée équipée de roulettes miniatures qui se déplaçaient sur la planche, et formulaient des questions adressées aux esprits. Les utilisateurs de planches Ouija ont témoigné de l'extraordinaire rapidité et de la force avec laquelle la planchette se déplaçait de lettre en lettre pour construire des phrases. Il semble impossible de déceler l'origine des réponses qui reste, aujourd'hui encore, un mystère. Ces messages émanent-ils simplement de l'inconscient ou les consultants sont-ils réellement en contact avec quelque chose qui dépasse notre expérience quotidienne tangible ?

     

    Partager via Gmail Pin It

    6 commentaires
  •  

     pyramide1

     

    LES PYRAMIDES PARLENT-ELLES ?

     

     

    Un groupe de chercheurs espagnols conduit par Ricard Bru est entré, durant le mois d’août, à l’intérieur des trois fameuses pyramides de Gizeh dans le but de vérifier que ces dernières pouvaient stimuler les capacités paranormales des êtres humains. Au cours de ces expériences, le groupe a découvert, avec surprise, qu’après avoir émis un son dont la composition avait été déchiffrée grâce à une ancienne inscription de la Grande Pyramide, ces fameux édifices répondaient par des murmures et autres sortes de bruits.

     

    Info- je n’ai pu situer les dates de cette expérience incroyable. Toutefois,  je pense que cela c’est passé vers le début des années 1990.

    Voici le récit de cette expérience insolite raconté par Ricard Bru !

     

     

    Il y a quelques années, Javier Sierra a écrit un article intitulé : « Les expériences psychiques dans la pyramides de Khéops » sur les potentialités paranormales des pyramides égyptiennes. Dans cet article, mon collègue décrivait les vicissitudes du groupe, supervisé par l’association Torah, vécues dans la pyramide de Khéops ainsi que le grave désaccord qui se produisit postérieurement parmi quelques membres de l’expédition à propos d’une connexion télépathique avec Madrid. A cette occasion, et à cause d’une série de facteurs qui furent expliqués dans ce texte, je ne pus réellement mener à bien le travail de recherche qui m’avait amené à me rendre en Egypte. L’expérience que je me propose aujourd’hui de vous raconter, dans les lignes qui suivent, est en quelque sorte une nouvelle expérimentation sur les possibilités que présentent les pyramides pour une investigation psychique.

     

     

    - LE TROISIEME VOYAGE -

     

    pyramide2

     

     

    C’était mon troisième voyage en Egypte, mais cette fois sans caméra de télévision ni personnage susceptible de perturber mon désir d’approfondir les questions posées et esquissées en Espagne. En tant que directeur d’expériences psychiques du Groupe Torah, il s’agissait-là d’un défi que je ne pouvais repousser plus longtemps. J’irai donc directement aux faits. Ce dernier mois d’août, à la tête d’une équipe de vingt-deux personnes, nous partîmes vers l’Egypte avec la ferme intention de passer deux nuits complètes dans les pyramides de Khéops, Khephren et Mykerinos.

    Parallèlement à cela, nous avions aussi prévu de visiter la Vallée des Rois pour réaliser, grâce à une autorisation spéciale, une expérience dans la tombe de Touthmosis III, ainsi que quelques essais se référant aux sons et aux échos dans le temple d’Horus. L’objectif de cette expérience était différent de celui d’un précédant voyage. Ce qui nous motivait maintenant, c’était le soucis d’établir une communication télépathique car cette possibilité nous avait parue évidente…

     

    Il s’agissait cette fois-ci d’approfondir quelque chose qui, lors des voyages antérieurs, nous avait accompagnés et intrigués : une espèce de « résidu psychique » étrange qui flottait dans l’air. Tous ceux qui étaient sensibles à ce genre de chose étaient d’accord sur ce fait et avaient manifesté ouvertement leur certitude que plusieurs voix étranges nous avaient accompagnés pendant les expériences psychiques. Je dois dire que lors de notre précédent voyage, je m’étais consacré davantage à recopier des informations sur une inscription gravée sur la porte fermée de Khéops (c’est-à-dire celle qui n’a jamais été ouverte ) qu’à réaliser des expériences. Ainsi, mon premier travail, dès mon retour en Espagne, avait été d’essayer de déchiffrer cette inscription codée. Après de multiples cabales, j’étais arrivé à la conclusion qu’il existait, sur la porte de la Grande Pyramide, une « clé musicale » au sens largement mystique ; ainsi je pouvais imaginer que les prêtres de l’époque et leurs assistants avaient entonné des hymnes et des cantiques spéciaux pour imprégner dûment la chambre qui se convertirait en un réceptacle magique. Aujourd’hui, après ce troisième voyage, je pense que je ne m’étais pas trompé.

     

    - RITES DES SONS A KHEOPS -

     

     

     pyramide3

     

     

    A quoi fais-je référence exactement ? Réfléchissons quelques instants à la manière dont se déroulent, de nos jours, les cérémonies liturgiques ou les réponses que nous offrons à nos chers êtres aimés, surtout au moment de l’enterrement et à la grande charge émotionnelle et aux cantiques qui les accompagnent en imprégnant probablement les murs des panthéons mortuaires. Ceci s’expliquerait par le fait que ( et ainsi le croient du moins de nombreux chercheurs actuels qui essaient de faire ressurgir des sons émis dans le passé ) toute parole, tout cantique ou tout son émis par les cordes vocales ou par un instrument de musique, reste suspendu dans l’air à jamais, d’autant plus s’il a été accompagné d’une forte charge émotionnelle. Ainsi donc, en connaissant la technique appropriée, il serait possible de les récupérer.

     

    - LA CLE MUSICALE -

     

     pyramide4

     

     

    Après avoir examiné aussi bien les rituels religieux de l’ancienne Egypte que les informations procurées par certains hiéroglyphes, un des membres de l’équipe, Jordi Vilardell, musicien de profession et membre d’un groupe de jazz fut chargé d’un travail bien particulier : celui de trouver une relation entre la géométrie pyramidale, les matériaux composant la pyramide et le son répétitif si particulier par lequel cette pyramide « parle » :

     

    « Je commençai mon travail en recherchant la vibration et la résonance mécanique d’un modèle simplifié élaboré en fonction de la taille et des matériaux adéquats » explique Vilardell, « jusqu’à l’obtention d’une période de vibrations qui, en l’inversant, me donna sa fréquence. Je traduisis cette valeur en ce qu’en géométrie métrique et projective on nomme champ harmonique, la distance à partir du centre étant la valeur de vibration. Curieusement, si nous soustrayons les vibrations produites entre la troisième et la cinquième note de la tonalité « si bémol majeur », nous obtenons le même intervalle que celui que nous envoyait la pyramide lorsque nous entendions « monte ». Ce qui attira aussi notre attention fut la coïncidence suivante : cette tonalité « si bémol majeur » était utilisée aussi par la franc-maçonnerie et apparaissait souvent, par exemple, dans les compositions de Mozart ».

     

    Selon Jordi Vilardell, le son le plus proche, pour l’oreille humaine, produit par la pyramide, était celui du violoncelle, avec sa modulation si caractéristique qui fut reproduit plus tard sur des synthétiseurs pour trouver la combinaison la plus satisfaisante. Ensuite, la bande fut passée en présence des spécialistes qui avaient vécu l’expérience et tous purent reconnaître le son qu’ils avaient entendu dans la pyramide, et certains d’entre eux d’ailleurs, furent paralysés quelques instants par l’intensité du souvenir. Cette fois-ci, l’objectif de l’expédition était d’essayer de vérifier si les « résidus psychiques » des cantiques et des hymnes se trouvant dans les pyramides pouvaient-être captés grâce à une concentration psychique et enregistrés sur des magnétophones traditionnels ; de plus, il s’agissait de constater que les pyramides sont susceptibles de favoriser la communication mentale entre des individus situés dans chacune d’elles. En dernier lieu, il restait un troisième objectif pour étayer notre investigation : essayer de voir si les « résidus psychiques » sont encore présents dans d’autres endroits d’Egypte, c’est avec l’idée de ce programme ambitieux que je composai l’équipe de travail, en tenant compte des facteurs psychologiques et biologiques de chaque personne qui allait l’intégrer. Grâce à ceci, je pus compter sur la présence, dans notre groupe, de la psychologue Gloria Rosell et de la pharmacobiologiste Beatriz Carbonell. Le reste du groupe fut formé par des « sensitifs » qui avaient vécu des expériences antérieures en Egypte, comme Marga Orenga, Luis Pérez et Elena Bertran, qui m’avaient déjà accompagné lors du premier voyage.

     

    - L’EXPEDITION COMMENCE -

     

     

     pyramide5

     

     

    Nous partîmes pour le Caire le 22 août sur un vol régulier et nous y arrivâmes sans trop de contre-temps. Une fois installés, nous passâmes le premier jour à la réalisation de tests de types psychologiques et médicaux afin d’obtenir des éléments très clairs sur les participants à l’expédition. Quant à la première nuit dans les pyramides, nous la nous attendîmes patiemment ; vingt minutes à peine s’étaient écoulées lorsque nous commençâmes à entendre des réponses. Devant les premières réactions de la pyramide ( que j’expliquerai plus tard ), je décidai d’éteindre les lumières de l’enceinte et de former un cercle avec toute l’équipe pendant que se connectait le son à des intervalles de cinq minutes. La réponse du monument fut constante : les pierres, le substrat psychique ou « quelque chose » d’autre répondait. On entendait simplement « monnntee ». La majorité des membres de l’équipe restèrent paralysés et même les plus sceptiques purent constater la réponse objective au son mégaphonique que nous reproduisions. A six heures trente du matin, nous quittâmes la pyramide avec un évident succès à notre crédit. « Ils nous ont répondu ! » Nous nous disions cela, nous étions euphoriques et nous comprîmes que nous devions passer rapidement à la seconde expérience.

     

    - COMMUNICATION AVEC LES PYRAMIDES -

     

     

     pyramide6

     

    Les pyramides ( ainsi le pensions-nous fermement ) parlaient. Il s’agissait maintenant de les comprendre. Nous passâmes le reste de la journée à échanger nos points de vue, et nous finîmes par mettre en évidence un syndrome déjà observé lors des précédents voyages : après avoir passé plus de quatre heures à l’intérieur de la Grande Pyramide, la majorité d’entre nous avait ressenti d’évidentes perturbations du caractère et du comportement. Nous le baptisâmes « susceptibilité pyramidale », concept qui englobait tout un ensemble de symptômes allant de la perte du sens de l’orientation à un excès d’euphorie, en passant par des vomissements et des diarrhées intempestives, de l’agressivité, des pertes de vue, de l’insomnie et même des rives hystériques. De la même façon, nous nous aperçûmes que le syndrome de « susceptibilité pyramidale » disparaissait environ deux heures après avoir quitté la pyramide et le choc brutal se produisait juste à la sortie. Notre seconde expérience allait se dérouler simultanément dans les trois pyramides principales, c’est-à-dire Khéops, Khephren et Mykerinos.

     

    A la même heure, avec le même son et refaisant point par point toutes les étapes de l’expérience antérieure, nous allions essayer de réaliser à nouveau ce que le lecteur sait déjà, c’est-à-dire la communication mégaphonique pendant notre méditation. Mais cette fois-ci, trois personnes, une dans chaque pyramide, coordonneraient les expériences. Mon travail se limiterait à passer de pyramide en pyramide, pour contrôler les résultats. Finalement, nous nous réunirions dans celle de Khephren, comme lieu intermédiaire et centre des opérations de la communication du son. Le 25 août, à minuit exactement, nous partîmes de l’hôtel Mena House pour les pyramides. Une grande émotion nous étreignait car nous savions qu’une certaine communication avait bien eu lieu lors de notre dernière visite et il était bien difficile de maintenir le calme parmi les membres de notre groupe.

     

    Une fois arrivé à l’esplanade de Gizeh, nous laissâmes le premier groupe composé de Marga Orenga, Jordi Ambros, Isabel Lopez et Pedro Canudas, dans la pyramide de Khéops. Ensuite, nous nous dirigeâmes, avec le deuxième groupe, vers Mykerinos. Là, avec Luis Pérez comme coordinateur, restèrent Carmen Sancho, Isabel Sanchez, Margarita Bosch et Albert Montserrat. Quant au groupe de Khephren, son responsable était José Pascual. Lui, Marga Orenga et Luis Pérez, avaient des instructions très précises pour pouvoir établir le contact à quatre heures du matin, heure égyptienne. Le reste du temps devrait être employé à préparer et à positionner les équipes et surtout à ce préparer eux-mêmes psychiquement. A quatre heures du matin commencèrent donc les connexions. Afin que le lecteur puisse comprendre très précisément ce qui s’est passé, je reproduirai textuellement les rapports « in situ » que me rendit chaque chef d’équipe au terme des expériences.

     

    *** Rapport N°1/ pyramide de Khéops *** 

     

    pyramide7

     

    « Nous sommes en train de mettre en place l’équipement son ainsi que la caméra spéciale de Jordi. Il est trois heures trente du matin ; nous sommes très nerveux. La lumière s’éteint brusquement. Pedro Canudas sort une lampe électrique et nous nous préparons à la connexion du mieux que nous pouvons. Nous ignorons ce qui se passe dans les autres pyramides. Finalement, j’appuie mon dos contre le sarcophage de Khéops et nous laissons la lampe de poche allumée. Il n’y a pas d’autre source lumineuse dans toute la pyramide… Les autres se relaxent, allongés, avec les yeux fermés. Je les regarde et je distingue à peine leurs formes. Je commence à me sentir bien seule… Quatre heures du matin… Je connecte le son et à quatre heures cinq, je l’arrête. Immédiatement, j’entends derrière moi un murmure de voix graves ; je commence à devenir très nerveuse. A quatre heures quinze commence la nouvelle connexion. Le son envahit toute la salle. Je fixe mon attention sur les « sensitifs » qui sont en train de bouger maintenant. Il y a comme une espèce de couverture blanche qui les recouvre. J’arrête à nouveau la musique et le murmure se fait réentendre. Peu après, j’entends un bruit de pas dans la grande galerie. Nous nous effrayons et nous commençons à avoir très peur. Je regarde fixement en direction de l’entrée de la chambre en m’attendant à voir quelqu’un entrer. Tout à coup, les pas cessent. Les appareils enregistreurs s’arrêtent aussitôt, et cependant, les murmures continuent. A quatre heures trente, je connecte à nouveau le son. Dès que la musique s’arrête, de nombreuses voix se font entendre, comme un bruit de tambour… Je suis pétrifiée car je vois que mes camarades son totalement immobiles sur le sol. Je les appelle et je leur demande ce qu’ils entendent et leurs réponses confirment ce que moi-même j’ai ressenti. Nous sommes ravis de ce contact. Nous nous dirigeons à présent vers le point de rencontre dans la pyramide de Khephren ».

     

     

     *** Rapport N°2/ pyramide de Mykerinos ***

     

    pyramide8

     

     

    « A peine entré, je propose aux « sensitifs » de s’asseoir commodément dans la chambre royale. Tout est prêt pour la première émission de sons. Nous remarquons une chaleur anormale qui va s’estomper peu à peu par la suite. Il est quatre heures juste et je connecte le mégaphone… Les lumières font mine de s’éteindre puis se mettent à clignoter. Albert est appuyé contre un mur sur lequel, simultanément et au rythme de la musique, apparaît un visage. Isabel se retourne, très concentrée ; nous n’entendons rien de plus. A quatre heures quinze, je commence la nouvelle émission. Carmen éclate en sanglots, je ne leur dis rien et je continue à observer. J’entends des pas à l’extérieur de la salle ; la lumière passe spontanément de la couleur blanche à une couleur ambrée. Je sors rapidement vers l’escalier, mais il n’y a personne. Je continue d’entendre des pas, puis c’est le silence absolu. A quatre heures trente, j’entame la dernière émission…

     

    Changement de position d’Albert. La tache, sur le mur, a vraiment pris forme humaine et donne l’impression qu’elle veut parler. L’air commence à se raréfier. Je deviens nerveux. Je fais en sorte que tout le monde se lève. Quelque chose d’étranges est en train de s’emparer de nous et je monte les escaliers. Je sens que je m’étouffe. Carmen portés par une sorte d’intelligence, nous commençons à déambuler à travers la salle sans but précis. Albert m’appelle et me dit qu’il sent comme un courant électrique lui traverser le corps. Nous sommes comme enivrés. Margarita se met à rire. Nous l’imitons tous sans pouvoir nous arrêter. Nous essayons de sortir comme nous pouvons de la pyramide, mais quelque chose nous retient. Je m’agrippe à la ceinture de Carmen pour pouvoir marcher et nous sortons en courant avec la certitude qu’effectivement quelque chose essaie de s’emparer de nous. Nous nous dirigeons rapidement vers Khephren. Il est cinq heures du matin ».

     

     *** Rapport N°3/ pyramide de Khephren ***

     

    pyramide9

     

    « Je place Elena et André à l’intérieur du sarcophage pendant que les autres s’installent tout autour. Je commence l’émission à quatre heures du matin très précisément… André se trouve mal. Nous interrompons l’émission et je lui ordonne de sortir de la chambre. Il commence à vomir et finalement Ricard Bru vient le chercher. Tout de suite après, on commence à voir un faisceau de lumière blanche et à entendre des murmures, tous les « sensitifs » entendent des murmures, tous les « sensitifs » entendent la même chose. Nous avons l’impression de ne pas être seuls. A quatre heures quinze, je connecte à nouveau le mégaphone, à ce moment-là, on peut entendre des voix très distinctement, nous sommes très ébranlés et je finis par faire la troisième émission. Presque simultanément, toute la chambre royale de Khephren se remplit de voix et de musique. Je pense que ce sont les gardiens qui se trouvent à l’extérieur de la pyramide. C’est ainsi que je sors de la salle et que je vais vérifier personnellement. Mais en arrivant dehors, je constate qu’il n’y a absolument personne. Je retourne auprès du sarcophage et je m’aperçois que la chambre toute entière résonne comme si des centaines de personnes s’y trouvaient réunies. Toute mon équipe est très affectée et nous attendons que Ricard Bru arrive avec les deux autres groupes ».

     

    - EPILOGUE DE L’EXPERIENCE -

     

     

     telechargement

     

     

    Nous avons donc pris connaissance du résumé des expériences décrites par les chefs d’équipes. A cinq heures du matin, nous nous retrouvâmes tous dans la pyramide de Khephren et nous connectâmes à nouveau le mégaphone. Tout de suite, comme par magie, toute la pièce s’emplit de bruits de voix, de tambours et de sons graves. Il n’est pas besoin de dire qu’à ce moment-là, l’équipe toute entière se troubla et nous atteignîmes les limites de ce que nous étions en mesure de pouvoir supporter. Mais il n’y avait aucun moyen d’enregistrer les voix : les caméras vidéos et les enregistrements de son étaient bloqués. Nous essayâmes encore plusieurs fois de capter le son impressionnant qu’émettait la chambre, mais nous n’y arrivâmes que partiellement. A sept heures du matin, je fis sortir tout le groupe. Nous étions à bout de forces mais même ainsi nous fûmes victimes d’une forte attaque de « susceptibilité pyramidale » dont j’ai décrit plus haut les symptômes.

     

    Pendant plus d’une heure, nous nous sentîmes complètement saouls, sans pouvoir recouvrer nos esprits. Le jour suivant, après nous être bien reposés, nous partîmes vers le sud pour effectuer une expérience similaire dans les couloirs secrets, non ouverts aux touristes, du temple d’Horus. Cependant, nous dûmes interrompre cette nouvelle tentative car Jordi Ambros se cassa une cheville en tombant dans un puit. Finalement, nous mîmes un terme à ces expériences dans la Vallée des Rois en pénétrant ( ainsi que je l’ai commenté antérieurement ) dans la tombe de Touthmosis III où le groupe tout entier se livra à une expérience de méditation. Et là, à notre grande surprise, au bout de vingt cinq minutes, nous pûmes entendre, une fois encore, les fameuses voix. La conclusion était claire, on pouvait entendre un son dans toutes les tombes égyptiennes, même si chacune comportait ses particularités et ses codes propres que nous devions analyser tombeau après tombeau. Je ne sais toujours pas comment il faudrait analyser de telles « découvertes » en Egypte.

     

    Ce qu’il y a de certain, c’est que nous pensons retourner là-bas prochainement, pour y poursuivre nos investigations. Cependant, et malgré les nombreuses zones d’ombres que présentent celles-ci, il y a quelque chose qui nous paraît incontestable : le son ancestral, les voix, les hymnes anciens ne sont pas perdus. Ils demeurent là-bas en attendant d’être « réveillés » et écoutés…

     

    *

     

    article extrait de la revue " Incroyable & scientifique " N°1 ( bi-mensuel ) qui malheureusement n'existe plus de nos jours. Il y eu 14 parutions de 1994 à 1997.

     

    *

     

    info du 17 mars 2007

     

    j'ai reçu un message interne de R. Bru me disant qu'il me prêtrais son matériel ou ses résultats de l'expérience vécue ici mais il ne m'a pas laissé son adresse e-mail donc je lui répond par ici :

     

     

    Holà Ricardo !


    Mucho placer recibir noticias tuyas. Claro que me interesa mucho tu material, me puedes
    enviar el material que quieres. Le gustan mucho tus articulos a las personas numerosas que vienen en mi blog. He hecho traducir esta carta y todo lo que me enviaras por mi querida amiga Marina, asi puedes continuar a escribirme en espanol. Danos de tus noticias, lo que haces ahora etc...Y sobre todo enviame tu direccion e-mail a la mia :


     taverne.etrange@gmail.com


    Muchas gracias:
     
    Un muy cordial saludo


    Tyron29

     

     

     

    sphinx01

     

    La taverne de l’étrange- 7 mars 2007

    Partager via Gmail Pin It

    6 commentaires
  • (ASP) - Février 2001- La fin du monde n'a pas eu lieu. L'expérience qui, de l'avis des plus pessimistes, devait produire un trou noir qui engloutirait la Terre, a parfaitement réussi, mais ses conséquences sont restées circonscrites au laboratoire. Et, surprise, les Américains vers lesquels tous les regards étaient tournés depuis cet automne ont été pris de vitesse : c'est en Suisse, au laboratoire CERN de physique des particules, qu'a été réalisée cette expérience.Dans leur communiqué, les physiciens d'une vingtaine de pays annoncent que ce qu'ils ont fait, c'est de " créer un nouvel état de la matière "; ou, plus exactement, de recréer un état de la matière qui a déjà existé... mais qui est disparu depuis environ 15 milliards d'années. Cet état de la matière, le plasma quark-gluon pour les intimes, n'aurait en effet existé que pendant les premiers millièmes de seconde de notre univers. En d'autres termes, on aurait recréé au CERN, pendant un très, très bref instant, les conditions qui existaient immédiatement après le Big Bang. Est-il besoin de le souligner, les premières fractions de secondes après le Big Bang représentent, pour autant qu'on puisse se les imaginer, l'enfer : la chaleur y est telle que même les atomes ne se sont pas encore formés, la température étant trop élevé pour que protons, neutrons et électrons puissent s'unir. En fait, même les protons et leurs confrères ne peuvent pas s'unir et leurs constituants -les quarks, entre autres- sont éparpillés dans une " soupe " que, faute de meilleur terme, on a baptisé le plasma quark-gluon. Après quelques fractions de seconde, à mesure que la température s'est abaissée, cette " soupe " s'est estompée et a laissé place aux particules qui nous sont plus familières. Réussir à créer ce plasma quark-gluon en laboratoire a donc pour but de mieux comprendre la nature même de la matière -et, au passage, nos propres origines. Cet exploit constitue le point culminant de six ans de travail pour les physiciens des hautes énergies. Depuis 1994, ceux du CERN utilisent un accélérateur de particules géant -un cercle de six kilomètres !- pour provoquer des collisions à très, très haute vitesse entre des atomes. La force de ces collisions est telle que la température à la " surface " de ces atomes est, pendant un bref instant, amenée à un niveau dépassant les deux millions de millions de degrés -100 000 fois plus chaud que le coeur du Soleil ! Ce qui, en théorie, serait suffisant pour recréer ces conditions d'il y a 15 milliards d'années. Et c'est ce qui s'est passé. Du moins, c'est ce qu'on croit qui s'est passé : on parle ici d'une quantité de matière tellement infime- un atome à la fois- et pendant si peu de temps -moins d'un milliardième de milliardième de seconde !- qu'on a intérêt à être prudent. " Toutes les données nous conduisent à conclure que nous avons maintenant des faits probants suivant lesquels un nouvel état de la matière a été créé... lequel présente plusieurs des caractéristiques du plasma quark-gluon tel qu'il avait été théoriquement prédit. " Bref : c'est probablement lui, mais c'est pas encore sûr. La prochaine manche appartient aux Américains du RHIC (Relativistic Heavy Ion Collider), dans l'Etat de New York, eux vers qui un doigt accusateur avait été pointé en août dernier (" des scientifiques veulent créer un trou noir qui pourrait engloutir la Terre ") et dont l'expérience devrait finalement avoir lieu en mai. Bien qu'ils soient sans doute frustrés d'avoir été coiffés au poteau, il n'en demeure pas moins que leur équipement peut produire deux à cinq fois plus d'énergie que celui du CERN -du moins, pour l'instant, puisqu'un autre projet est en chantier au CERN- et qu'il permettra donc, peut-être, de confirmer ce que le CERN n'a pu qu'effleurer. Mais qu'on se rassure, pour produire un trou noir, il faudrait des millions de fois plus d'énergie, et non pas deux à cinq fois plus...

    *

    www.sciencepresse.qc.ca/archives/cap1402001.html

     

     
    Partager via Gmail

    4 commentaires
  • mainanimal1

    La main inconnue !


    Cette main ou patte a été trouvée en Australie en 2006, dans le Queensland du Nord, sur une porte. Des cris et hurlements ont été entendu la nuit par des témoins. Le lendemain, le fermier l'a retrouvé. Par la suite, des experts ont examinés ce " membre " et ne sont pas arrivés a identifier son propriétaire. Des hypothèses vont vers un grand kangourou rouge, d'autres optent pour un ours mais personne n'en est vraiment sûr !

    Plus d'infos ici !!!

    Partager via Gmail Pin It

    5 commentaires