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    Appel de bon sens du 7 octobre 2006.

    Pour avancer les sites ufologiques ne doivent pas se tirer dans les jambes, mais centraliser les informations, en matière d'ufologie on ne peut pas prétendre avoir un droit de diffusion sur telle ou telle vidéo OVNI, ou tel ou tel document, c'est absurde, il faut partager nos connaissances et nos documents et cela sans limite. Revendiquer un copyright  pour le phénomène OVNI c'est aider à la non-divulgation du secret. C'est aux administrateurs ayant des sites ufologiques de comprendre que leur copyright est stupide, et cela pour ne pas tomber dans le jeu de ceux qui veulent mener le monde.
    Alors soyez des Hommes et des Ufologues responsables ! Le copyright OVNI au panier ! L'Humanité a le droit de savoir ! Et pour savoir il faut qu'elle soit au courant ! Et pour être au courant il faut que les vidéos et les documents OVNI soient diffusés le plus possible. Et pour cela, il faut que cela soit partagé par un maximum de monde ! C'est quand même pas compliqué ! Entre-aidons Nous Serrons Nous les coudes ! En matière d'OVNI tout le monde doit savoir, si vous ne voulez pas que cela se sâche alors ne partagez  rien, n'enregistrez rien, gardez tout pour Vous, et laisser les Black Programmes envahir le monde !
     
    Thierry Watheletfondateur de l'ufocom


    source: http://www.ovni007.com/

     

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    Des apparitions célestes ?

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    Les apparitions de la Vierge sont-elles de simples hallucinations collectives ou de véritables miracles ?

     

      

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    Il est 17h 40 dans l’'église Saint-Jacques, à Medjugorje, un petit village de la province de Bosnie-Herzégovine dans le nord de la Yougoslavie. La nef est remplie de fidèles et des milliers d’'autres sont massés à l’'extérieur. Dans le chœoeur, quatre jeunes gens se tiennent devant l’'autel. Soudain, ils fixent leurs yeux sur le mur opposé ; leur regard s’'éclaire comme s’'ils accueillaient quelqu’'un. Avec lenteur, ils tombent à genoux tous les quatre en même temps. Le visage d’'une jeune fille reflète l’'extase et ses lèvres se mettent à bouger. Les trois autres se joignent à elle et commencent à murmurer une prière ; leurs voix se font plus audibles lorsqu’'ils entonnent : « Notre Père qui êtes aux cieux… » D’'autres fidèles suivent leur exemple. Puis, l'’un des jeunes gens bouge à nouveau les lèvres comme s'’il parlait, mais sans bruit, donnant l'’impression aux fidèles de regarder la télévision sans le son. Enfin, les quatre jeunes gens lèvent les yeux vers un point situé à moins d'’un mètre d’eux, comme si un hôte invisible partait.

     

     

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    Le visiteur n’'était autre que la Vierge Marie, la mère du Christ, appelée Gospa en croate, la langue de cette région de la Yougoslavie. Son apparition se reproduit tous les soirs depuis 1981. Elle apporte un message de paix et de réconciliation avec Dieu, grâce à la foi, à la prière et au jeûne. Bien que l’'Eglise continue d'’enquêter sur ces apparitions, Medjugorje est devenu un centre de pèlerinage réputé. Des centaines de milliers de visiteurs des religions les plus diverses se rassemblent chaque année dans ce petit village pour assister au « miracle de la prière ». Car ici, des miracles se produisent quotidiennement. Une pierre de neuf mètres de haut peut se changer, dit-on, en pilier de lumière ou en représentation de la Vierge. Et des milliers de témoins ont vu le soleil danser, tourbillonner, vibrer et émettre des rayons de différentes couleurs. La journaliste protestante Heather Parsons assista à ce dernier phénomène, qui dura quarante minutes, le 24 janvier 1985. Avec stupeur, elle vit des masses nuageuses écrire dans le ciel le mot « paix » en croate et la figure du Christ émerger du disque solaire. D'’autres personnes relatent des évènements plus étonnants encore. Après un voyage à Medjugorje, un couple britannique s’'aperçut que les liens de leurs rosaires s’'étaient transformés en or pur ! On assista aussi à des guérisons miraculeuses. La première fut celle de Danijel Setka, âgé de trois ans, qui fut guéri d’'une paralysie qui l’'avait auparavant empêché de parler et de marcher. En avril 1989, le chanteur irlandais David Parkes se remit presque instantanément d’'une maladie grave de l’'appareil digestif.

     

    *** Les apparitions de la Vierge ***

     

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    Les apparitions de Medjugorje commencèrent très simplement. Le 24 juin 1981, Mirjana Dragicevic, âgée de 16 ans, et Ivan Ivankovic, âgé de 15 ans, qui habitaient le village, décidèrent de se rendre chez une amie qui habitait de l’'autre côté de la colline de Podbro. En chemin, Ivan aperçut une « silhouette étincelante » qui flottait au-dessus de la colline. Effrayé, il alerta Mirjana qui n’'avait rien remarqué. L'’histoire aurait pu en rester là si une de leurs amies ne les avait rejoints, pour leur demander de l’'aider à retrouver un mouton égaré. Les jeunes gens durent pour cela repasser par la colline de Podbro et, cette fois, ils virent tous trois la Vierge avec le Christ enfant. Trois autres adolescents eurent la même vision. Le lendemain, quatre des jeunes gens entreprirent l’'escalade de la colline de Podbro avec deux autres camarades vers 18h15. Des témoins observèrent une vive lumière au sommet ; et surtout, alors qu'’il faut une bonne demi-heure de marche pour l’'atteindre, ils virent les adolescents les rejoindre en cinq minutes. Les jeunes gens dirent avoir vu une très belle jeune fille de vingt-ans environ, aux yeux bleus et aux cheveux noirs. Elle était vêtue d’une robe argentée, sa tête était ornée d’'une couronne d’'étoiles et il y avait un nuage sous ses pieds. Les six enfants eurent la même vision au même endroit tous les jours, jusqu’'à ce que l’'accès à la colline soit interdit. Depuis, l’'apparition se manifeste à l’'intérieur de l’église.

     

     

    *** Des tests scientifiques ***

     

     

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     Lorsque les adolescents voient une apparition, apparemment ils entrent en transe. Le Dr Henri Joyeux de l'’Université de Montpellier effectua des tests en 1984 ; il en déduisit que les enfants n'’étaient pas victimes d'’une hallucination collective et qu'’ils fonctionnaient à un niveau sensible déconnecté de l’'univers physique. D’'autres scientifiques sont parvenus aux mêmes conclusions. Un médecin dirigea un projecteur de 1000 watts sur les yeux des enfants : leurs pupilles ne s’'élargirent pas ! D’'autres tests prouvèrent qu'’ils ne dormaient pas, ne rêvaient pas et n’'étaient pas victimes d'’une crise d’'épilepsie. Un prêtre piqua deux fois une jeune fille à l’'épaule avec une grosse aiguille : le sang coula, mais elle ne ressentit rien.

     

    *** Une apparition fréquente ***

     

     

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    Des apparitions de la Vierge Marie se produisent dans le monde entier depuis le Moyen-Age. Par exemple, l’'autel de Notre-Dame, à Walsingham dans le Norfolk, fut construit en 1061 après une apparition de la Vierge à la châtelaine de l’'endroit. En 1531, elle apparut à un berger mexicain, Juan Diego ( voir l’'article sur la Vierge de Guadalupe ), et lui demanda de construire une chapelle sur les hauteurs de Tepeyac, qui se trouvent aujourd'’hui dans la ville de Mexico. Certains chercheurs ont remarqué des constantes au XIXème siècle. De nombreuses visions apparurent alors à des petits paysans. Le meilleurs exemple en est la révélation de la source de Lourdes à la petite Bernadette Soubirous, en 1858. Dans quelques cas peu nombreux, la Vierge exige prières et pénitences, prédisant parfois des conséquences terribles en cas de désobéissance. Elle confie souvent des secrets. Ainsi, à Medjugorje, Mirjana et Ivan se virent confier dix secrets. Pour les sceptiques, toutes ces visions sont à tel point semblables qu’elles paraissent relever d’'un phénomène de suggestion collective. Quant aux lumineuses boules de lumière aperçues à Medjugorje, elles sont associées à l’'apparition d’ovnis. Mais savoir si ces visions sont réelles ou non est finalement moins important que l’'extraordinaire atmosphère de paix qui enveloppe l’'endroit où elles se manifestent. Lors de sa description des évènements de Medjugorje, en 1985, l’'archevêque de Split expliqua : « Ces apparitions ont fait plus pour l’'Eglise yougoslave que tous les travaux paroissiaux effectués depuis quarante ans. »

     

     

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    apparition sur la colline de Podbro en 1981

     

    Le 2 avril 1968, dans le quartier de Zeitoun au Caire, Farouk Mohammed Atwa, employé des transports publics, aperçut une jeune fille vêtue de blanc, agenouillée près de la croix de l’'église copte Sainte-Marie. Il s’'écria : « Ne saute pas ! », et alla chercher les pompiers. Ses collègues appelèrent un prêtre lorsqu'’ils virent la silhouette s’'élever, révélant une forme étincelante enveloppée et entourée de créatures ressemblant à des oiseaux. Quelques instants plus tard, elle disparut ; mais ils avaient eu le temps de reconnaître la Vierge Marie. Tout d'’abord, les apparitions se répétèrent presque chaque nuit ; puis elles s’'arrêtèrent en mai 1971. A la différence des autres manifestations de la Vierge, celle-ci fut silencieuse et offerte à tous. Musulmans et chrétiens se rassemblaient chaque nuit autour de l’'église. De nombreuses conversions et guérisons furent enregistrées. Atwa lui-même bénéficia du premier miracle. Il s'’était blessé à un doigt, qu’'il fallait amputer. Mais lorsqu'il se réveilla au lendemain de sa vision, son doigt était guéri…

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    http://www.virgoasis.com/
    http://www.medjugorje.ie/index.html
    http://www.medjugorje.org.uk/
    http://www.medjugorjebrasil.com/
    http://www.medjugorje-online.com/
    http://www.zeitun-eg.org/zeitoun1.htm
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Bernadette_Soubirous

    http://www.cersanmystical.org/Indexof%20PhotosMiracle%20Events.htm

     

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    La taverne de l'’étrange- 29 décembre 2006 - (mise à jour 22/11/2012)

     

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    Découvrez quelques fantômes qui apparurent dans la vie de certains acteurs de cinéma ou de théâtre. Les fantômes sont souvent considérés comme un présage de malheur, sauf, sans doute, dans l’industrie du cinéma.

     

     

    Ecrivez un script incluant un ou deux fantômes et faites-en un film truffé d’effets spéciaux : le succès est assuré. S.O.S fantômes et Beetlejuice constituent deux bons exemples, parmi bien d’autres, de succès obtenus au box-office grâce à cette formule. Mais on connaît moins les fantômes qui hantent les stars, apparaissant sur le tournage de feuilletons, à l’écran ou se matérialisant en étranges silhouette irréelles.

     

    *** UN CONDUCTEUR FANTÔME ? ***

     

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    Ainsi, la vedette de cinéma et de télévision Telly Savalas vécut une expérience à faire dresser les cheveux sur la tête. Un matin, vers la fin des années cinquante, bien avant qu’il ne devienne le célèbre détective Kojak, Savalas roulait à proximité de Long Island, lorsque sa voiture tomba en panne d’essence. Il décida alors de marcher jusqu’à la station-service la plus proche. Soudain, une Cadillac noire s’arrêta à sa hauteur et le conducteur lui proposa de l’emmener. Arrivés à la station-service, l’étranger lui prêta de l’argent pour qu’il puisse acheter son bidon d’essence. Puis, sur la demande de l’acteur qui souhaitait pouvoir le rembourser, il inscrivit son nom sur un morceau de papier ( Harry Agannis ), ainsi que son adresse et son numéro de téléphone.

     

    Peu après, Telly Savalas téléphona au numéro que l’étranger lui avait donné. Il tomba sur Mme Agannis qui, après un bref silence, répondit : « Harry est mort depuis trois ans. » Stupéfait, Savalas décida de lui rendre visite pour tenter d’éclaircir le mystère. Il découvrit que l’écriture du mystérieux conducteur était identique à celle d’Harry Agannis. De plus, le conducteur de la Cadillac portait le même costume que celui dans lequel M. Agannis avait été enterré. Incapable de porter un jugement définitif sur ce qui lui était arrivé, Telly Savalas avoua : « Jamais je ne pourrai oublier cet incident, même si je doute de pouvoir l’expliquer un jour… »

     

    *** LE SPECTRE DE DALLAS ***

     

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    Tout aussi inoubliable sont les fantômes qui hantent parfois les scènes de tournage, comme celles du feuilleton Dallas. Alors que sa popularité était au zénith, les producteurs furent obligés de supprimer du script le rôle de Jock Ewing, car l’acteur qui l’incarnait, Jim Davis mourut subitement. Personne ne savait que son esprit reviendrait bientôt hanter les studios ! Le premier qui aperçut son fantôme fut un photographe de plateau. Jim Davis se trouvait près de la piscine du tournage et semblait observer ce qui se passait autour de lui avec un plaisir évident. Peu après, l’apparition de l’acteur reprit certains des gestes les plus familiers du personnage de Jock Ewing.

     

    Ensuite, ce fut au tour de Miss Ellie, jouée par Barbara Bel Geddes, de voir le fantôme. Elle était tombée malade après la mort de l’acteur et projetait de quitter le tournage du feuilleton, lorsque Davis lui apparut. Tout d’abord, elle crut que le fantôme de l’acteur n’était qu’un reflet du portrait de Jock Ewing dans la vitre. Elle se retourna, ne vit rien, mais entendit la voix de Davis, qui lui demandait de poursuivre le tournage, car « les petits avaient besoin d’elle ! » Absolument certaine d’avoir été en contact avec l’esprit de l’acteur, elle décida de continuer à jouer dans Dallas, comme il le lui avait conseillé, pour la joie de millions de téléspectateurs. Les sceptiques attribuèrent les fantômes de Dallas à une habile stratégie publicitaire. Quoi qu’il en soit, ils eurent autant de retentissement que la fameuse question : « Qui a tué J.R ? »

     

     

    *** REEL OU IMAGINAIRE ? ***

     

     Ces fantômes peuvent-ils être uniquement le produit de l’imagination ? Jenny Randles, spécialiste des phénomènes paranormaux, a réuni des centaines d’anecdotes sur ce thème, concernant des acteurs de télévision et de cinéma du monde entier. Selon elle, la sensibilité spécifique qui aide les acteurs et les actrices à incarner leurs personnages les rend aussi beaucoup plus réceptifs aux évènements mystérieux. Comme preuve de sa théorie, Jenny Randles raconte l’étonnante expérience vécue par l’actrice Dorothy Tutin lors des répétitions du film Les Diables. L’histoire reprenait les évènements qui s’étaient déroulés à Loudun au XVIIème siècle, notamment l’exorcisme d’un groupe de nonnes possédées par les démons. On répéta une des scènes devant un groupe de vraies religieuses. « C’est alors que quelque chose d’extraordinaire se produisit, raconta l’actrice. Les nonnes furent brusquement prises d’une hystérie similaire à celle décrite dans l’histoire. »

     

    *** LA MAISON HANTEE ***

     

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    Susannah York, une autre actrice anglaise, vécut, elle aussi, une bien étrange expérience. Alors qu’elle recherchait une maison, elle emmena son époux visiter dans l’Essex une spectaculaire demeure du XVIème siècle comportant douves et pont-levis. Ils en tombèrent immédiatement amoureux et demandèrent à l’agent immobilier la permission d’y passer la nuit. Mais lorsque l’obscurité tomba, l’actrice se sentit oppressée par une impression affreuse qui la laissa sans souffle et elle finit par s’évanouir. Ne voulant pas abandonner, le couple revint le week-end suivant ; mais Susannah York éprouva les mêmes sensations horribles. Cette fois, elle fut prise d’une peur panique de rester prisonnière dans cette demeure si le pont-levis ne fonctionnait pas. Du coup, elle décida de ne pas acheter cette étrange maison.

     

    L’agent immobilier ne fut guère surpris : avant elle, de nombreux acquéreurs potentiels avaient déjà éprouvé les mêmes sensations, dues, semble t-il, à la présence du fantôme d’une femme jadis morte noyée après avoir sauté dans les douves alors que le pont-levis refusait de s’abaisser ! Mais heureusement, tous les fantômes n’annoncent pas un malheur.

     

    L’acteur Bob Hoskins, qui devint célèbre avec Mona Lisa et, surtout, Qui veut la peau de Roger Rabbit ? affirme que l’apparition d’un fantôme bouleversa favorablement sa vie. Cet événement se produisit alors qu’il n’était pas encore connu, un jour qu’il travaillait sur le marché du Covent Garden à Londres. Soudain, il eut la vision d’une religieuse du Moyen-Age. « Mes camarades de travail m’expliquèrent que des fantômes de nonnes hantaient les caves et que lorsque vous en aperceviez un, la chance vous souriait par la suite », expliqua plus tard l’acteur. C’est ce qui se produisit. Bob Hopkins connaît maintenant une réussite professionnelle, financière et privée.

    L’apparition de fantômes n’est donc pas nécessairement synonyme de malchance !

     

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    Aura2

     

    La taverne de l’étrange- 26 décembre 2006 


     


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    Maudit à jamais

     

     

    Les objets qui portent malheur !

    Le diamant "Hope"

     

    Certains trésors du passé possèdent-ils le pouvoir de tuer leurs malheureux propriétaires ?Les biens maudits entraînant le malheur et la mort de leurs propriétaires alimentent depuis toujours les histoires d’horreur. Des objets inanimés peuvent-ils réellement jeter un mauvais sort à ceux qui les convoitent ? Ou bien leur pouvoir apparent ne réside-t-il que dans l’esprit d’individus animés d’un terrible sentiment de culpabilité ?


     

    Aujourd’hui, la malédiction possède à peine plus de force qu’une parole méchante, mais il y eut des époques où l’on pensait que les anathèmes étaient capables de jeter un mauvais sort entraînant le malheur, voire la mort. Beaucoup constituaient des instruments de vengeance dirigés contre ceux qui s’étaient emparés par la force de ce qu’ils convoitaient. D’autres malédictions jouaient une fonction protectrice. En renforçant certains tabous, elles permettaient à l’Eglise et à l’Etat de préserver leurs trésors. La fabuleuse richesse qui, dit-on, se trouve enfouie avec les pharaons égyptiens est protégée par une malédiction. Depuis l’ouverture et le pillage des premiers tombeaux par des explorateurs occidentaux, les histoires d’objets maudits poursuivant leurs victimes par-delà la tombe abondent.

     

    Une des plus célèbres de ces malédictions concerne le couvercle apparemment « hanté » d’un sarcophage appartenant au British Museum. Découvert dans les années 1860, il semble avoir été le cercueil d’une prêtresse thébaine d’Amen-Ra. Il avait la réputation d’apporter la malchance à tous ceux qui le touchaient. L’histoire veut que l’un des premiers propriétaires du couvercle, Douglas Murray, perdit un bras dans un accident de chasse peu de temps après l’avoir acheté. Le couvercle fut ensuite emprunté par une journaliste londonienne qui, presque aussitôt, vit mourir sa mère, rompit ses fiançailles et contracta une maladie étrange.

     

    *** La malédiction de la momie ***

      

    Les objets qui portent malheur !

     

    Les méfaits de ce porte-malheur macabre se poursuivirent après la donation du couvercle au British Museum par D. Murray. Un égyptologue trouva la mort alors qu’il en étudiait les inscriptions et un photographe produisit une série de clichés où l’on voyait, prétendait-il, le visage paisible peint sur le dessus se tordre avec malice. Dans les années trente, le sarcophage avait acquis une réputation mondiale et les donations affluèrent, ainsi que des requêtes pour que des fleurs soient déposées près de lui. Le British Museum se sentit obligé de nier toutes les rumeurs de malédiction, mais d’autres récits de morts étranges sur les sites de fouilles archéologiques continuèrent à alimenter les spéculations les plus diverses sur le contenu des tombeaux des pharaons et sur leur protection par des malédictions macabres. Bien que passionnantes, la plupart de ces histoires sont totalement fantaisistes. Les égyptologues pensent aujourd’hui que les malédictions inscrites sur les murs des chambres funéraires des pyramides constituaient un avertissement destiné aux responsables de leur entretien. Par ailleurs, la science a établi un lien entre la mort des premières personnes qui entrèrent dans les tombeaux et la présence dans ceux-ci de bactéries inconnues, enfermées là depuis l’Antiquité.

     

    *** Des crânes hantés ***

      

    Les objets qui portent malheur !

     

    En revanche, d’autres histoires d’objets ensorcelés semblent défier toute explication rationnelle. Parmi les nombreux récits de reliques maudites ayant provoqué le malheur de leurs propriétaires, plusieurs cas de crânes « hantés » ont été enregistrés par le chasseur de fantômes Robert T. Hopkins. Parmi les plus célèbres, figure l’histoire du crâne de William Corder, le meurtrier de la Grange Rouge qui trouva la mort avec sa maîtresse à Polsted, en Angleterre, en mai 1827. Quelque cinquante ans après son exécution, les restes du cadavre de Corder devinrent la propriété d’un certain Dr Kilner. Celui-ci sépara le crâne du squelette, polit l’os pour le rendre brillant et exhiba fièrement son trophée macabre dans sa clinique. Kilner se vantait de sa vision scientifique du paranormal. Ceci ne l’empêcha pas de voir sa vie bouleversée par des évènements étranges. Tout d’abord, sa bonne et lui aperçurent un étranger portant un costume victorien aux abords de la clinique.

     

    Puis, le docteur fut sans cesse importuné par des bruits de respiration et de murmures. Enfin, il fut réveillé une nuit par des craquements venant de la pièce en-dessous. En descendant les escaliers, le docteur sentit un vent glacé. La porte de son cabinet était ouverte. Il y pénétra et trouva la boîte qui contenait le crâne brisée ; celui-ci, transporté sur une étagère, ricanait méchamment. Les recherches prouvèrent que personne n’avait pu pénétrer dans le bureau. Le médecin terrifié rendit les restes du criminel au père de Robert T. Hopkins qui leur fit donner une sépulture chrétienne. Les troubles cessèrent aussitôt.

     

    *** La veste de l’étrangleur ***

     

     Les objets qui portent malheur !

     Thora Hird

     

    Les crânes ne sont pas les seuls objets à attirer de mystérieuses forces maléfiques. Un objet aussi banal qu’un vêtement peut se transformer en porte-malheur, comme par exemple la veste en forme de boléro qui appartint au théâtre du duc d’York, à Londres, et surnommée « la veste de l’étrangleur ». En 1948, l’actrice comique Thora Hird apparut sur scène revêtue de cette veste. Au bout de quelque temps, elle fut horrifiée de découvrir que celle-ci rétrécissait à chaque représentation, à tel point qu’elle l’étouffait. Lorsque la doublure de Hird eut fait la même expérience, les autres membres de la troupe essayèrent la veste à leur tour : les résultats furent identiques. Un acteur faillit en mourir et la femme du directeur garda des marques rouges autour de la gorge.

     

    On ne connaissait pas alors l’histoire de ce vêtement et aucune explication à ces faits étranges ne put être fournie, jusqu’à ce que la veste fut enfin reliée au meurtre brutal d’une jeune fille qui avait été noyée par un amant jaloux, porteur de la veste en question, dans une bassine d’eau. Que des objets comme la veste de l’étrangleur contiennent des forces psychiques ou qu’ils focalisent les peurs de leur propriétaire est une question qui demeure sans réponse. Il est certain, toutefois, que plus les objets sont rares et précieux, plus les malédictions qui les entourent sont sinistres.

     

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    Les objets qui portent malheur !


    Le diamant Hope, une des nombreuses pierres précieuses à avoir suscité des récits pittoresques, aurait coûté la fortune et la vie à son premier propriétaire. Par la suite, il fut lié aux messes noires du XVIII ème et à la malheureuse reine Marie-Antoinette. Plus récemment, la pierre a été associée au suicide, au meurtre ou à la faillite de ses divers propriétaires et un sultan aurait perdu son trône à cause d’elle. Mais, depuis qu’elle se trouve à la Smithsonian Institution de Washington, elle n’a porté préjudice à personne. La malédiction aurait-elle pris fin ou n’a-t-elle jamais existé ailleurs que dans l’imagination de certains ?

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    http://www.dinosoria.com/crane_cristal.htm

    http://81032.aceboard.fr/81032-2111-2549-1-crane-cristal.htm#id68746


    La taverne de l’étrange- 23 décembre 2006

     

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  • La malédiction de la gitane

     

    Pendant plusieurs années, le Derby d'Epsom fit l'objet d'une malédiction. L'histoire veut que, l'année marquant le tournant du siècle, une gitane du nom de Lee prédit que le cheval " Blew Gown " devait remporter la course. Elle en était à tel point convaincue qu'elle inscrivit sa prédiction sur un morceau de papier. Mais, lorsqu'on lui fit remarquer que le cheval s'appelait en réalité " Blue Gown ", sans le " w " dans le premier mot, la gitane fut prise d'une rage folle de ce que l'on se moque d'elle. D'où sa malédiction : tant qu'elle vivrait, aucun cheval dont le nom comprendrait un " w " ne pourrait gagner cette course. Et, aussi étrange que cela puisse paraître, c'est ce qui se produisit. Lorsque la gitane mourut en 1934, sa famille paria sur un cheval nommé " Windsor Lad " qui l'emporta à 7 contre 1 !

     

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