• L'antenne Eltanin- affaire classée !

    L'antenne d'Eltanin est une curiosité océanographique qui fut durant près de 40 ans à l'origine de bien des mystères. Elle doit son origine à un cliché d'une équipe de mission océanographique en 1964 au large de l'Antarctique. Ce cliché représente ce qui semble être, à 4.115 mètres de profondeur, une antenne. Sa présence à cette profondeur suscita bien des controverses :
    Les tenants de théories mythologiques pensaient qu'il s'agissait d'une preuve de l'existence d'une ancienne civilisation technologiquement très avancée qui peupla dans des temps très lointains l'antarctique. Des théories ufologiques avançaient qu'il s'agissait d'un relais extraterrestre. Depuis 2005, il semblerait averé que ce soit une espèce d'éponge très particulière découverte par Alexander Agassiz, la Cladorhiza concrescens.

    L'antenne Eltanin- affaire classée !

     

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  • Le mystère des Cathares et du Mont-Aimé ont inspiré le Sparnacien (d'Epernay) Frédéric Marniquet, co-auteur de " la brigade de l'Etrange ". Lequel a choisi la Champagne et la Russie pour toiles de fond d'une série de meurtres mystérieux.

     

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    Après Ploumanach, la Baie de Morlaix puis Rocamadour, le tome 4 de la brigade le l'Etrange, bande dessinée dont Frédéric Marniquet co-signe les scénarios avec Philippe Chanoinat, a pour théâtre la Champagne mais aussi Saint-Petersbourg. Dans " Le tombeau des Cathares ", les inquisiteurs sont de retour au Mont-Aimé. Polar et surnaturel s'entrecroisent comme dans les précédents albums " agathachristiens " de cette série policière version française. Mais les auteurs ont réalisé un album à part. Les inspecteurs Carette et Guilbert sont mis en retrait et c'est le professeur Lartigues, sous les traits de Peter Cushing (Sherlock Holmes, Docteur Frankeinstein...) qui mène l'enquête. L'intrigue se base sur des faits historiques, mais le scénarios est peuplé de cadavres, qu'on se rassure. Un médecin est mystérieusement égorgé à Paris, on croise un tueur en série d'enfants, des meurtres dans l'Orient-Express, des archéologues brûlés vifs dans la région Champenoise, des fantômes ressurgis du moyen âge et un Tsar disparu... "On avait envie de sortir du schéma systématique et répétitif du polar et de rendre hommage aux Cathares et au Mont-Aimé." Un lieu objet de légendes, où se dressait en 1210 le château fort des puissants comtes de Champagne. C'est sur la place du château fréquenté aujourd'hui par les promeneurs que furent jugés pour hérésie le 13 mai 1239, 183 Cathares, avant d'être brûlés vifs sur une colline de la plaine Champenoise près de Vertus. " J'y suis allé il y a une dizaine d'années. J'y ai ressenti des présences partout, d'âmes qui n'ont pus se libérer." Frédéric Marniquet, fasciné par le paranormal, s'est plongé, pour cette bande dessinée à la trame historique, dans les ouvrages d'Alexandra Schreyer " La champagne mystérieuse " ou encore " les mystères de Saint-Petersbourg " de Vladimir Federovski. Six siècles après le drame, en 1815, à la fin de l'épopée napoléonnienne, le Tsar de toutes les Russies décida de rassembler ses troupes en une fête : en Champagne et sur le Mont-Aimé. 350.000 hommes dit-on. Comment le Tsar pouvait-il connaître cet endroit situé à plusieurs milliers de kilomètres de la Russie ? Autre mystère qui fait gamberger F. Marniquet, la présence d'une cité Cathare souterraine dans la partie Sud du Mont, la légendaire cité de Moymer. Ou quand l'Histoire rejoint la fiction... Pour les habitués de la série : le fil rouge qui relie les albums, c'est le meurtre des parents de l'inspecteur Carette qui lui, a pu échapper aux agresseurs en se cachant. Avis : le meurtrier apparaîtra dans le tome 5.

     

    Les 3 tomes précédents de la brigade de l'étrange

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    " Le tombeau des Cathares " éditions Albin Michel

    article du 23 avril 2007 pour le quotidien "L'Union" par Fabienne Nouira-Huet


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  • Blogs : les recours en cas de reproduction illicite de contenu.

    Les blogs, comme les sites, sont soumis à la législation du droit d'auteur. A ce titre, il est possible d'entamer différentes actions en vue de faire cesser la reproduction de contenu non autorisée. Suite à l'article publié le 31 mars dernier sur les blogs (lire la tribune juridique ici du 31/03/05), nombreuses ont été les questions posées sur le fait de savoir ce qu'il convenait de faire lorsqu’un blog reproduit le contenu d'un autre site. Existe t-il ou non des recours ? Si oui lesquels ? Quel courrier type envoyer à l’auteur du blog pour le rappeler à l’ordre ? Reprenons donc ces questions dans l'ordre :

    Peut-on reproduire sur un blog tout ou partie d'un site de tiers ? 

    La question pourrait être élargie ainsi : peut-on reproduire sur un blog des contenus créés ou appartenant à des tiers ? Depuis longtemps les sites Web, pour peu qu'ils soient originaux (bien rare sont ceux qui ne le sont pas !), ont été qualifiés d'œuvre de l'esprit à part entière. Ainsi la plupart des sites ou des blogs sont protégés par le droit d'auteur. Il est donc strictement interdit de reproduire sur un blog tout ou partie d'un autre blog sans avoir préalablement reçu l'autorisation du blogueur en question. Les éléments diffusés au sein d'un site sont eux aussi protégés dans la plupart des cas, qu'il s'agisse de textes, d'images ou de photos. Leur reproduction au sein d'un blog sans autorisation est, elle aussi, interdite sans autorisation préalable. Même s'il n'existe pas encore de jurisprudence au sujet des blogs eux-mêmes, on peut facilement se référer aux jurisprudences qui ont été rendues depuis 1996 à propos des sites personnels et qui sont de deux natures : - les décisions au titre desquelles les sites Web ont été considérés comme des oeuvres de l'esprit à part entière. Par voie de conséquence les blogs devraient naturellement être, eux aussi élevés au rand d'œuvre protégées ; - les décisions plus nombreuses encore qui ont condamné les reproductions au sein des sites Web d'œuvres protégées (texte, imagines, photo, musique, ...), et qui donneront à n'en pas douter les mêmes résultats s'agissant d'œuvres reproduites au sein d'un blog.
    Quelles sont les voies de recours ?
    Les voies de recours sont de différents niveaux qu'il s'agisse de mettre un terme sans délai à la reproduction non autorisée ou d'obtenir un dédommagement ou la punition du fautif. Dans la plupart des cas, il s'agira d'ailleurs de mettre en oeuvre les deux procédures. Si l'objectif est de réagir rapidement pour faire, selon l'expression consacrée, "cesser un trouble manifestement illicite", il faudra interpeller directement le blogueur et/ou son hébergeur. Il convient d'avertir d'abord le blogueur qui est le véritable fautif et, pour ce faire, de lui adresser une mise en demeure de supprimer le contenu litigieux. S'il ne réagit pas à cette mise en demeure, il est possible d'engager un référé pour obtenir du tribunal qu'il ordonne à l'éditeur de supprimer les contenus litigieux. Entre temps, il est possible selon les dispositions de l'article 6 de la loi pour la confiance dans l'économie numérique de "notifier" à l'hébergeur du blogueur l'existence du contenu illicite. Selon la loi, l'hébergeur est tenu de réagir à une notification lorsque le contenu est manifestement illicite. Il est vrai cependant qu'il n'est jamais aisé pour un hébergeur de savoir si une reproduction est un cas manifeste de contrefaçon. De fait la "notification", si elle doit intervenir, doit être aussi précise et justifiée que possible. Dans de nombreux cas, le blogueur utilise un pseudo et il est donc impossible de connaître son identité réelle. Cela implique une démarche supplémentaire qui est destinée à identifier le blogueur. Pour ce faire il convient de présenter au tribunal une requête destinée à faire en sorte que le juge ordonne à l'hébergeur du blog de fournir l'identité réelle du blogueur. Dans bien des cas malheureusement l'hébergeur ne dispose pas de l'identité réelle, mais d'une adresse IP ou d'une adresse électronique. De fait, la même démarche est à renouveler auprès du fournisseur d'accès identifié qui lui, dans la grande majorité des cas, conformément à la loi, dispose de l'identité et de l'adresse réelle du blogueur. Si le juge des référés considère que celui-ci a effectivement commis une faute, il l'enjoindra de supprimer son blog ou une partie de son contenu. Cependant cette procédure ne permet que très rarement d'obtenir un dédommagement du fait du préjudice subi. Pour obtenir une réparation sous forme de dommages et intérêts, il faudra alors engager une action dite "au fond" pour obtenir une décision de condamnation et que le blogueur soit amené à payer pour le préjudice causé.

    Quel courrier type envoyer ? 

    Il n'existe pas à proprement parler de "courrier type" en la matière, car la lettre qui sera adressée devra tenir compte du contexte et de la qualité du blogueur. Mais plusieurs points pourront être abordés : - votre reproche. Il n'est pas possible d'adresser une mise en demeure sans préciser le contexte et le rappel des faits ; - la justification des droits. Il est tout aussi important de préciser le contexte et les droits détenus par la victime, ceci afin de formaliser le fait que le blogueur agit en parfaite connaissance de cause ; - le préjudice. Si préjudice il y a, il importe de rappeler son existence et d'en apporter des éléments de preuve qui, en tout état de cause, seront demandés en phase contentieuse, si cette phase devait débuter. Enfin, la lettre dont il est question devra être libellée comme une lettre de "mise en demeure" et comporter les éléments propres aux lettres de mise en demeure. Pour ce qui concerne la notification à l'hébergeur, il en va autrement puisque l'article 6 de la loi pour la confiance dans l'économie numérique a défini par le détail ce que devait contenir une "notification". Celle-ci devra notamment comporter :
    - une date ;
    - l'identité de celui qui adresse la notification ;
    - l'identité du destinataire de la notification ;
    - la description des faits litigieux ;
    - la localisation précise des contenus litigieux ;
    - les motifs pour lesquels les contenus doivent être retirés ;
    - la copie de la correspondance adressée à l'éditeur ou à défaut la preuve que l'éditeur n'a pas répondu.
     
    source- http://www.journaldunet.com/juridique/juridique051025.shtml

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  • DES VAISSEAUX SPATIAUX AURAIENT VRAIMENT VISITE LA TERRE<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    On trouve confirmation dans l’étonnant document scientifique qu’est la Bible !

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    Un faisceau laser participe au spectacle de très grande qualité artistique qui est organisé dans des églises comme Saint-Eustache à Paris. Ce faisceau laser, multiplié par plusieurs générateurs, créé un spectacle lumineux animé qui soutient le texte de l’Ancien Testament. Cette conjonction de l’un des plus vieux textes sacrés du monde et d’une des inventions les plus modernes de notre époque a quelque chose de symbolique. En même temps qu’elle marque un juste retour des choses. La Bible fut, en son temps, un extraordinaire document de science-fiction et de futurologie. Regardez à la loupe et même au microscope, la Bible ne cesse d’être étonnante, par la précision des descriptions se rapportant à certains objets qui évoquent quelque autre civilisations ayant précédé de nombreux siècles, et peut-être même de nombreux millénaires, nos propres civilisations du Bassin méditerranéen. Des équipes de chercheurs scientifiques se sont mis, précisément, à l’étude de la Bible s’efforçant d’y découvrir des indices qui aideraient à expliquer telle ou telle énigme du vieux livre sacré ! (Il est dommage que des éléments manques volontairement dans les manuscrits). Par exemple, le physicien russe M. Agrest a déblayé tout ce qui se rapporte à Sodome et à Gomorrhe.

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    Ses conclusions sont fantastiques ! A l’origine de la recherche d’Agrest, il y a l’énigme de la terrasse de Baalbeck : l’ancienne Héliopolis, un des hauts lieux de l’histoire humaine. C’est aujourd’hui un prodigieux ensemble de ruines et de temples. Les neuf colonnes de Baalbeck sont encore maintenant les plus hautes du monde. On y voit encore le temple de Bacchus, avec son magnifique fronton. La terrasse de Baalbeck, elle-même est absolument étonnante. Des blocs de pierres gigantesques ; certains d’entre eux dépassent 21 m de longueurs. Il y a là une pierre que l’on considère comme la plus grande taillée de l’univers. Elle pèse 2000 tonnes. C’est « la Pierre du Sud ».

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    L’ENIGME DE LA TERRASSE DE BAALBECK

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    Comment fut-elle hissée jusque-là ? Mystère. Même actuellement, avec nos puissants appareils de levage, on serait tout à fait incapable de monter une telle masse de la carrière où elle fut jadis extraite. Comment fut donc édifiée cette terrasse de Baalbeck, aux pierres gigantesques ? Avec quels engins ? En recourant à quelles techniques ? Autant de questions qui restent pour le moment encore sans réponse. Le professeur Agrest est fasciné. Très vite, le mathématicien a calculé qu’il aurait fallu au moins 20.000 hommes, unissant leurs forces, pour déplacer de tels blocs. Mais pourquoi construire un tel dallage, un sol artificiel aussi compact et majestueux ? Est-ce aux alentours que l’on va découvrir les réponses à ces questions ? Oui, car le paysage est grandiose, austère.

     Pourtant, Agrest y découvre des indices extrêmement intéressants : de petits morceaux de verre. Plus exactement des fragments de roches vitrifiées. Ce sont des fragments de roches vitrifiées, noirâtres, qui vont créer la sensation, au sein de ces tectites. On découvre des traces de radioactivités, notamment du béryllium. L’énigme de Baalbeck se complique. Qu’est donc cette radioactivité ainsi gardée en mémoire ? Le professeur Agrest décide de lire tout ce qui a été écrit concernant cette contrée fabuleuse. Il commence par les manuscrits de la mer Morte, que vient de publier un orientaliste américain. Dès les premiers chapitres, c’est la stupéfaction ! Il lit « Les êtres venus du Ciel vivaient sur la Terre, en ces temps là… Et même après, lorsque les fils de Dieu vinrent… » Plus loin, les textes sacrés racontent la fin de Sodome et Gomorrhe. Avant la catastrophe, deux anges sont venus chez Loth, et lui ont dit qu’il devait s’enfuir, et surtout ne pas se retourner.

    Il plut sur Sodome et Gomorrhe du soufre et du feu, Loth vit la fumée du pays, comme la fumée d’une fournaise. La femme de Loth regarda en arrière, et devint une colonne de sel. Le professeur Agrest est lancé sur une piste qu’il pressentait. Il se sent persuadé d’avoir débusqué l’explication tant recherchée. Pendant des mois, le physicien russe va noircir du papier. Finalement, il écrit le mot fin en bas de 600 lignes de textes. Dans les milieux scientifiques, la « bombe Agrest » et diversement reçue. Quel que soit le sentiment d’accueil, la thèse d’Agrest se présente ainsi : en ce temps-là, Abraham s’était établi à l’ombre des chênes de Mamré ; son frère Loth faisait paître ses troupeaux dans la plaine qui s’étend devant Sodome. Ce fut alors que des « êtres venus du ciel » auraient débarqué d’une sorte de bateau volant. Alors Agrest pense à l’aire d’atterrissage de Baalbeck. Il brode tout un récit fantastique. Baalbeck devenant la base de débarquement sur la Terre ces « êtres venus du ciel ». Pour quelle raison y eut-il la catastrophe de Sodome et Gomorrhe ?

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    Accident, expédition punitive ? Qui pourrait le dire un jour ? Josef Blumrich, savant américain d’origine autrichienne, a écrit une revue de science pour l’UNESCO, à l’époque, particulièrement remarquable sur les fameux vaisseaux spatiaux, que le professeur Agrest a imaginés, par le truchement des textes sacrés. La description en est saisissante, elle vient à l’appui des hypothèses favorables à la venue, jadis de visiteurs extraterrestres.<o:p></o:p>

    Plus de détails sur le professeur Agrest, voir le livre « Le Peuple du ciel ». Edition J’ai Lu. 74

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  • 02

     

    En 1974, j'ai eu la chance ( l'auteur ) de pouvoir rentrer en contact avec Maurice Chatelain au sujet des missions Apollo.

    Né à Paris, il a habité en Californie depuis 1955 et est spécialiste de l'informatique et des communications dans l'espace. Il a participé pendant vingt ans à la plupart des programmes américains de recherches spatiale et faisant partie de l'équipe de la NASA qui conçut et réalisa la capsule Apollo qui réussit à se poser six fois sur la Lune. Il a toujours pensé qu'il existe d'autres civilisations dans l'espace et des bases lunaires; le contact avec la NASA après tant d'années et les secrets de cette dernière ne pouvant laisser aucun doute pour lui. De nombreux ouvrages ont été publiés en quatre langues et en six éditions différentes. Maurice Chatelain est décédé dans les années 90 et nous a laisser des documents importants.

    Je relate aujourd'hui quelques révélations qu'il a bien voulu nous laisser.

    Il se produit un incident étrange alors que les astronautes arrivaient à proximité de la Lune. Ils entendirent soudain dans leur radio des sons bizarres qui ressemblaient tour à tour à un sifflet de train, à une sirène de pompier, ou à une scie mécanique. Cependant, ces sons étaient modulés et avaient vaguement l'air de messages codés. Il y avait certainement un ovni ou deux dans le voisinage de l'Apollo mais les astronautes n'en parlent pas. Cela ne veut d'ailleurs rien dire, car il est maintenant à peu près certain que la bande magnétique de ce voyage historique sur la Lune a été coupée à plusieurs endroits, chaque fois qu'il était question d'objets non identifié. Le bruit courut même à l'époque que plusieurs amateurs radio avaient capté avec leur matériel personnel la conversation des astronautes sur la Lune.

     

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    D'après ces amateurs, Neil Armstrong et Buzz Aldrin auraient été surveillés pendant toute la durée de leur séjour sur la Lune. Difficile de vérifier, mais Maurice Chatelain rappelle que les conversations des astronautes qui nous étaient transmise à la télévision étaient souvent coupées pendant plusieurs minutes et une grande partie du dialogue entre Houston et les astronautes avait été supprimé ! Pourquoi ? La NASA n'avait aucune raison de nous cacher ce qui se passait sur la Lune, alors que le monde entier était à l'écoute. De toute manière, il semble possible de dire que toutes les missions Apollo ont aperçu des OVNI de près ou de loin, sur la terre ou sur la Lune ou même entre les deux. Il apparaît même possible qu’une civilisation extraterrestres se soit déjà installée en permanence sur la Lune, comme certains investigateurs le prétendent, en France et à l’étranger depuis plusieurs années. Cependant, à part les incidents des missions Apollo dont ils ne sont peut-être pas responsables directement, il ne semble pas que ces visiteurs de l’'espace est une attitude hostile à l’'égard de la race humaine. Il existe des quantités d’'exemples de rencontres terrestres qui prouvent qu’ils ne le sont pas, en tout cas pour cette catégorie là.

     

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    Voyons maintenant ce que nous ont appris les quatre-cents kilos de cailloux rapportés de la Lune par les astronautes américains. La première surprise a été de découvrir que la Lune est très riche en Titanium, métal relativement rare sur Terre, où les minerais les plus riches en contiennent dix fois moins que ceux de la Lune. Les roches lunaires contiennent également un pourcentage important de Beryllium et de Ziconium, qui sont assez rares sur la Terre. Tous ces éléments ont une température de fusion très élevée qui suggère une origine volcanique. Le Titanium en particulier est un métal idéal pour les avions supersoniques et les capsules spatiales de retour dans l’'atmosphère. Une autre découverte incroyable est le fait que, dans les échantillons rapportés par Apollo 11, le sable est d'’un milliard d’années plus âgé que les roches qui ont été trouvées à côté. Ce qui semble indiquer que la Lune a toujours été bombardée par des météores venus du fond de l’'espace. D’'autre part, on avait toujours pensé que la Lune n’'avait pas de champ magnétique propre, d'’abord parce que, sa densité étant beaucoup plus faible que celle de la Terre, elle ne pouvait avoir un noyau de fer et de nickel comme celle-ci, et ensuite parce que les astronautes en orbite autour de la Lune n’'avaient jamais pu détecter un champ magnétique quelconque avec leurs instruments pourtant très sensibles. Or tous les échantillons rapportés de la Lune possèdent un champ magnétique fossile rémanent, ce qui indique que, si la Lune n’a pas de champ magnétique propre, elle a dû passer dans l’'espace avant d’'arriver autour de la Terre, à travers un champ magnétique très puissant qui aurait laissé son empreinte dans les roches de la surface lunaire. (Certains pensent même que la Lune serait un astre artificiel creux !) Cela détruit la théorie d’'une origine solaire ou terrestre de la Lune et renforce au contraire la théorie de son origine cosmique et de sa capture éventuelle par la Terre, qui nous est racontée par de nombreuses légendes très anciennes et suggérée par le calendrier hiéroglyphique de Tiahuanaco. Mais la découverte la plus fantastique faite par Apollo est le fait qu’'il y a de l’'eau sur la Lune, contrairement à ce que l’'on avait toujours pensé jusqu'ici. Les trois premières missions qui avaient débarqué sur la Lune n’'y avaient trouvé trace d’'eau ni même d’'oxydes prouvant qu’'il y en avait eu auparavant. La NASA avait donc déclaré qu’'il n’'y avait pas d’'eau sur la Lune. Cependant, les missions Apollo 12 et 14 avaient laissé sur la Lune deux instruments SIDE ou Superthermal Ion Detector, qui étaient chargés d’'analyser l’'atmosphère lunaire, si faible soit-elle, et d’'en transmettre la composition à la Terre par radio.

    Et, un beau jour, ces deux instruments, qui étaient à deux cents kilomètres l'’un de l’'autre, indiquèrent en même temps et pendant quatorze heures de suite, la présence de vapeur d’'eau dans l’'atmosphère lunaire ; sans doute en provenance de l’'intérieur, soit à travers une fissure causée par un tremblement de Lune, soit à la suite d’'une éruption volcanique. Il est facile d'’imaginer la sensation provoquée dans les milieux scientifiques par l’'annonce d'’une telle découverte, ou la tête des pontes de la NASA qui firent tout ce qu'’ils purent pour étouffer l’'affaire. Et ceci d’'autant plus que la mission Apollo 15 n’'avait pas réussi non plus à trouver sur la Lune des traces d'’eau ou même d’'oxygène et d’'hydrogène prouvant qu'’il devait y en avoir eu auparavant. C’est à ce moment-là qu'’un officiel de la NASA déclara que les missions Apollo sur la Lune avaient apporté des réponses pour lesquelles nous n’'avions pas encore trouvé les questions.

    C’est alors que le coup de théâtre se produit. En analisant les cailloux rapportés par Apollo 16, on s'aperçut qu'’ils contenaient de l’'oxyde de fer. Or pour oxyder du fer, il faut de l’'eau, ou tout au moins de l’'oxygène et de l'’hydrogène avec lesquels on peut en faire. La NASA se débattit désespérément pour essayer de sauver sa théorie de Lune sans eau mais les faits étaient là. Les roches furent analysées dans les laboratoires de plusieurs universités célèbres, dont celle de Yale et de Cambridge, et les résultats furent nets et définitifs. Il y avait de la rouille sur la Lune et il devait par conséquent y avoir du fer et de l’'eau. Mais cette eau doit se trouver à l'’intérieur de la Lune où il ne sera sans doute pas facile d’'aller la chercher. On sait d’'ailleurs que les astronomes ont aperçu sur la Lune et depuis très longtemps, des choses étranges qui pourraient y indiquer la présence d’'eau et d’'oxygène, et peut-être même de la vie animale ou végétale si vous comprenez ce que je veux dire… En mars 1587, un astronome anglais y aperçu un point très brillant dans la partie obscure, en plein milieu, entre les deux pointes de la partie visible. Le même point brillant fut aperçu au même endroit en novembre 1668 par un autre astronome.

     

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     Ce fut ensuite le célèbre astronome Herschel qui aperçut en 1783 de brillantes lumières au milieu de la Lune pendant une éclipse de Soleil. Il les aperçut de nouveau en 1787 et 1821 et annonca que certains de ces points semblaient se déplacer au-dessus de la surface lunaire. Ces mêmes points lumineux furent aperçus ensuite en 1847 et 1867 par d’'autres astronomes. Ce fut cependant en 1869 que l’'on observa le plus grand nombre de ces points lumineux sur la Lune ; et cela dans la Mare Crisium dont nous parlerons plus loin. Plusieurs astronomes en virent alors des quantités qui se déplaçaient au-dessus de la surface en formations circulaires, triangulaires ou rectilignes, comme obéissant aux ordres d’'un chef d’'escadrille. Le même phénomène fut observé le 13 mai 1870 dans le cratère Platon où des groupes de points lumineux, variant de quatre à vingt-huit, se déplaçaient au-dessus de la surface lunaire avec des allumages et des extinctions en succession rapide qui faisaient penser à la transmission d’'un message lumineux codé semblable à ceux que l’'on utilise dans la marine pour communiquer entre deux navires.

     

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    On apprit alors que le 7 août 1869, vingt minutes avant le commencement d'’une éclipse de Soleil, l’'astronome américain Swift avait observé plusieurs objets lumineux qui traversaient le disque obscur de la Lune en suivant des lignes parallèles comme s’ils volaient en formation. En 1874, l’'astronome français Lamey aperçu, de nombreux points noirs qui traversaient le disque lunaire en formation parfaite. Des observations semblables furent faites en 1892 par l’'astronome hollandais Muller, en 1896 par l’'astronome américain Brooks, et au cours des années suivantes par d’'autres astronomes, mais il serait fastidieux de les citer toutes ici. C’'est cependant en 1953 que fut faite l’'observation la plus étrange. Le 29 juillet de cette année-là, un journaliste scientifique américain observait la Lune avec un télescope, de fort diamètre lorsqu'’il aperçut un énorme pont d’une vingtaine de kilomètres de long au nord de la Mer des Crises.

    Il s’'empressa d’'annoncer sa découverte aux astronomes officiels qui le prirent pour un fou, mais sa réputation fut sauvée par le célèbre astronome Wilkins qui avait pris la peine de vérifier lui-même, et qui devait lui, aussi, observé cet énorme pont entre deux collines qui bordaient la Mer des Crises des photos furent prises. L’'astronome anglais Moore aperçut le pont, lui aussi, mais comme Wilkins, il pensa qu'’il pourrait avoir une origine naturelle, bien qu'’il n’'y ait sur la Lune, ni vents, ni rivières pour sculpter et bien que ce pont n’'ait jamais été observé auparavant. Un autre astronome réussit même à voir la lumière du Soleil passer en dessous du pont qui semblait avoir une forme géométrique parfaite et ne pouvait par conséquent avoir une origine naturelle. Actuellement le pont a disparu !

    Les astronomes anglais ont également observé sur la Lune des dômes lumineux ayant jusqu’'à deux cents mètres de diamètres et auquels il semble difficile d’'attribuer une origine naturelle. Le premier de ces dômes fut observé le 26 septembre 1953 par Wilkins et Thornton et ce qui est inquiétant, c’'est qu'’on en voit de plus en plus et qu’'on en a compté plus de deux cents sans arriver à déterminer s’'ils sont d’'origine naturelle ou artificielle. Ces dômes ont été aperçu et photographier par les astronautes des missions Apollo 16 et 17 qui n’'ont pas réussi, non plus, à savoir de quoi ils étaient faits ; mais ils ont remarqué qu’'ils étaient transparents et d’'une couleur différente de celle du sol environnant. Les astronautes américains ont observé en orbite des constructions géométriques rectangulaires qui n’'ont certainement pas une origine naturelle. (Dossier NASA). Des constructions semblables avaient d’'ailleurs déjà été photographiées par les Russes sur le bord occidental de la Mer de la Tranquillité, à l’'aide de satellites orbitals lunaires.

    Mais tout le monde avait pensé que les photos russes devaient certainement être truquées ! Et cependant, ces photos montraient huits menhirs géométriquement disposés qui, d’'après les ombres projetées sur le sol lunaire, semblaient avoir au moins six mètres de diamètre et vingt mètres de hauteur. Elles montraient aussi une sorte d’'obélisque isolé qui paraissait avoir près de soixante mètres de hauteur et projetait sur le sol une ombre gigantesque semblable à celle du monument dédié à G. Washington dans la ville du même nom. D’'autres photos, prises par un satellite russe le 4 février 1966 en survolant l’'Océan des Tempêtes montraient d’'autres menhirs pointus et géométriquement disposés qui semblaient avoir une cinquantaine de mètres de hauteur et qui, comme les précédents, étaient d’'une couleur beaucoup plus claire que le terrain environnant.

    Ce qui semblait indiquer qu’'ils n’'avaient pas toujours été là et qu’ils n’'y étaient sans doute venus tout seul. Les astronautes américains ont également aperçu en orbite des pyramides très pointues ressemblant à des clochers d’églises, qui étaient disposées de façon géométrique et à côté d’'un immense rectangle de couleur plus claire que celle du terrain environnant. Cela fait immédiatement penser à la Grande Pyramide et à l’'esplanade située au pied de sa face nord, sur laquelle l’'ombre de sa pointe se déplaçait rapidement, avec des longueurs et des vitesses angulaires différentes suivant les heures, les jours et les saisons.

     

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    Au cours de la mission Apollo 16, les astronautes aperçurent au cours de leur descente sur la Lune, des blocs de pierres bien taillés et alignés du sud-ouest au nord-est qui devaient sans doute être destinés à effectuer des observations astronomiques; peut-être sur les mouvements apparents de la Terre, comme nous le faisons nous même pour observer les mouvements apparents de la Lune et comme le faisaient déjà les Egyptiens, il y a des milliers d’'années. Je n'’irai pas jusqu'’à prétendre que les Egyptiens sont allés sur la Lune, mais il se pourrait très bien que les Sélénites soient venus visiter ceux-ci il y a très longtemps.

    C'’est sur cette pensée réconfortante et pleine de promesses d’avenir que nous terminerons cette revue des expéditions lunaires et des révélations fantastiques qu’elles nous ont apportés sur nos voisins de l’'espace. Qui oserait nier en bloc, après cela, le sérieux des interprétations de vues aériennes ou spatiales. Pour notre sujet présent, celui d’'une éventuelle « présence » sur la Lune, je forme d’'ailleurs le souhait de voir le plus grand nombre de personnes se pencher sur ces énigmatiques images. Car il y aurait, de toute évidence, un grand intérêt à confronter les diverses interprétations. Et qui sait s’'il ne se découvrirait pas, dans le lot quelques observateurs surdoués, de véritables visionnaires de ces ombres et lumières ! Rien de plus facile que d’'essayer, si le cœoeur vous en dit. N'’importe qui peut se procurer des bons tirages photos de la NASA à l’'adresse suivante :

    Space Photographe Post Office Box 486 Bladensburg, Maryland 20710 (ETATS UNIS).

    Sur certains clichés de la NASA on parvient même à distinguer des coupoles transparentes. Quelle interprétation donner à ces éléments d'’informations si chichement distribués ? On peut songer à une civilisation lunaire bien antérieure à toute civilisation terrestre, vu qu'’il semble définitivement prouvé, à présent, que la Lune est plus ancienne que la Terre. Mais ne peut-on envisager aussi l'’hypothèse d'’extraterrestres venus d’'une planète lointaine et qui se serviraient de la Lune comme station-relais ? N’'oublions pas que des astronautes ont parlé, aussi d'’objets volants non identifiés qui les ont suivis sur une partie plus ou moins longue des divers trajets.

    Mais, sur ces rencontres encore, la NASA a jeté son voile étouffant de silence. Si ces responsables se décidaient à parler, quel retentissement connaîtraient leurs révélations ! Et quelle étape fabuleuse serait franchie, soudainement, dans notre connaissance de l’'Univers !

     

    d'autres photos d'anomalies lunaires et martiennes ici !

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    LA TAVERNE DE L'ETRANGE- 14 SEPTEMBRE 2007

     

    Des bases extraterrestres sur la lune ? 


     

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