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    Un ptérodactyle vivant retrouvé en 1856 !

                            

     Un véritable monstre. Une découverte d’une grande importance scientifique vient d’être faite à Culmont en 1856 (Haute-Marne).

     

    Des ouvriers occupés à creuser un tunnel qui doit permettre la liaison des voies ferrées de Saint-Dizier et de Nancy venaient de faire sauter un énorme bloc de pierre et étaient en train de le briser en morceaux lorsque, d’une cavité qui s’y trouvait, ils virent soudain sortir un être vivant d’une forme monstrueuse. Cette créature, qui appartient à une classe d’animaux jusqu’ici considérés comme disparus. Elle possède un très long cou et une gueule garnie de dents pointues; elle se tient sur quatre longues pattes qui sont réunis par deux membranes, sans doutes destinées à porter l’animal dans l’air, et sont terminées par quatre doigts armés de longues griffes crochues. Sa forme générale ressemble à celle d’une chauve-souris, et n’en diffère que par sa taille, qui est celle d’une grosse oie. Ses ailes membraneuses, étalées, atteignent une envergure de 3,20 m.

     

    Un ptérodactyle vivant retrouvé en 1856 !

    Pterodactyle tué lors de la guerre de sécession

     

     

    Sa couleur est d’un noir plombé, sa peau est nue, épaisse et huileuse ; ses intestin ne contenaient qu’un liquide incolore comme de l’eau claire. En arrivant à la lumière, ce monstre donna quelques signes de vie en remuant ses ailes, mais il expira bientôt après, en poussant un cri rauque. Cette étrange créature, à laquelle peut être donné le nom de fossile vivant, a été amenée à Gray, où un naturaliste très versé dans l’étude de la paléontologie l’a immédiatement reconnu comme appartenant au genre PTERODACTYLUS ANAS dont beaucoup de reste fossiles ont été retrouvés dans les couches que les géologues désignent sous le nom de Lias. La roche dans laquelle ce monstre fut découvert appartient précisément à cette formation dont le dépôt est si ancien que les géologues le font remonter à plus d’un million d’années.

     

    La cavité dans laquelle l’animal était logé forme un moule exact de son corps, ce qui indique qu’il fut complètement enveloppé par le dépôt sédimentaire (Presse grayloise)

     

    Ref : Extrait de The  Illustrated London News du 9 février 1856, p. 166

      

    Un ptérodactyle vivant retrouvé en 1856 !

     

    la taverne de l'étrange- 26 décembre 2007

     

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  • ALIEN, LE 8 ème PASSAGER

     

    Alien1
     

    Alien (auparavant traduit par Alien, Le huitième passager), est un film britannique réalisé par Ridley Scott, sorti en 1979. C'est le premier film de la saga d'Alien. L'accroche du film est « Dans l'espace, personne ne vous entend(ra) crier ».

     

    -L'histoire du film-

     

    Alien3
     

     Le Nostromo, vaisseau de commerce emportant un équipage de sept personnes, fait route vers la Terre chargé d'une cargaison de minerais. À la moitié du voyage, il doit interrompre sa course pour répondre à un mystérieux message provenant d'une planète inexplorée. Après un atterrissage périlleux, l'équipage découvre les restes d'un gigantesque vaisseau extraterrestre dont l'unique passager, le pilote, semble avoir été tué dans d'étranges circonstances.

    Alien2

    Explorant plus avant les soutes du vaisseau, l'un des membres de l'équipe, Kane, découvre une sorte de caverne remplie d'œoeufs et, voulant en inspecter un, se fait agresser par la créature arachnéenne qu'il contenait. Cette créature s'agrippe au visage de Kane qui est ramené inanimé au Nostromo de toute urgence… Une fois revenu à bord, il est placé en quarantaine avec le parasite toujours accroché à son visage : heureusement, au bout de quelques heures, ce dernier se détache et Kane revient à lui. Mais lors du repas qui suit son rétablissement, Kane est soudainement pris de convulsions violentes et sa cage thoracique explose, libérant un monstre qui menacera tout l'équipage... Tour à tour, les membres seront tués. Jusqu'au dernier ?

    Alien6

     

    -Anecdote autour du film-

    L'ordinateur du Nostromo est dénommé Maman (Mother en version anglophone). Un certain nombre de matériaux graphiques de H.R. Giger utilisés dans ce film sont des recyclages du projet avorté de Dune par Alexandro Jodorowsky. Nostromo est le nom d'un chef-d'œuvre de Joseph Conrad. La maquette utilisée pour filmer le vaisseau lorsque celui-ci se déplace dans l'espace mesurait plus de 2m40 de long. Quant aux décors intérieurs, ils furent réalisés aux studios Shepperton. Ce film reprend les grandes lignes de Terrore nello spazio (1965) de Mario Bava. L'idée du film repose sur Dark Star, premier film de John Carpenter, qui est son projet de fin d'étude. Le co-scénariste et acteur de ce film, Dan O'Bannon, participera quelques années plus tard à la rédaction du scénario d'Alien. À noter que le principe même du film repose sur une légende antique, celle du Minotaure.

    Alien7

    Le personnage de Ripley était un homme à l'origine. Meryl Streep avait été approchée pour interpréter Ripley. C'est Veronica Cartwright qui devait interpréter le rôle de Ripley à l'origine mais c'est Sigourney Weaver qui fut finalement retenue par les producteurs car son physique était plus androgyne. Un lien inattendu et discret a été créé par Arthur C. Clarke entre Alien et 2010. Le lecteur curieux le trouvera au Chapitre III-18, Le sauvetage. C'est l'artiste d'origine suisse H.R. Giger qui a réalisé seul le design de la créature, considérée aujourd'hui comme une oeuvre d'art. La maquette a été conçue avec de vrais ossements assemblés à de la plasticine sur des tuyaux et des pièces de moteur. C'est ce qu'il appelle la biomécanique. Il n'est pas crédité au générique. En psychanalyse, on peut identifier l'Alien au ça (la pulsion animale) et l'ordinateur — Maman — au surmoi (l'interdit, la loi). Le Nostromo, tiraillé entre les deux, mais les englobant tous à la fois, représenterait peut-être le moi. Une version Director's Cut est sortie au cinéma en 2003 (puis en DVD). Elle ne présente que de légères différences avec l’œuvre originelle : certains plans ont été élagués afin d’améliorer le rythme. Par ailleurs, deux scènes ont été ajoutées : une dispute entre Lambert et Ripley et la découverte du capitaine Dallas enfermé dans un cocon. Dans la version Director's Cut, on apprend que Ridley Scott souhaitait que les acteurs ne soient pas au courant de ce qui allait se passer lorsque l'Alien sort du ventre de Kane (excepté pour l'acteur qui interprête Kane). Il voulait voir sur leurs visages la stupeur et l'angoisse devant cette situation.

    -la créature-

    Alien9

    Le succès du film et de ceux qui suivront tient en grande partie à l'Alien, le monstre de la saga. Il est intéressant de noter qu'on le voit peu dans le premier opus ce qui le rend encore plus inquiétant et menaçant. Son système de reproduction et les différentes phases par lesquelles il passe, avant d'atteindre son « stade » adulte, sont un des points forts de la mythologie de la série : tout commence par des oeufs pondus par une reine desquels jaillissent des parasites arachnéens qui s'agrippent à la face d'un être passant à proximité. Ils pondent alors à l'intérieur du corps de la victime puis se détachent et après un court laps de temps, l'embryon implanté perfore violemment la cage thoracique de son hôte pour s'échapper. L'alien peut alors grandir à sa guise. Il est intéressant de noter que selon l'hôte qui l'a porté, l'alien aura une morphologie différente : humanoïde le plus souvent mais aussi animal comme dans Alien³ où le monstre, sorti d'un chien, marche à quatre pattes (il existe cependant deux versions de cette "naissance", voir l'article Alien³ pour plus de détail), dans Alien vs Predator à la fin du film, on voit un prédator mort soudain on voit son sang vert fluo gicler et un Mi-Alien Mi-Predator en sort.

    Alien8

     L'alien a un physique très particulier qui, sur de nombreux points, possède un aspect phallique : son crâne allongé tout d'abord puis sa « langue », organe massif et puissant, avec lequel il perfore le corps de ses victimes et au bout duquel se situe une seconde bouche et enfin une longue queue dont il se sert de l’extrémité acérée comme d'une lance. Son système de défense comprend une sorte de carapace épaisse ainsi qu'une particularité génétique efficace : son sang, extrêmement acide, ronge le métal et brûle l'épiderme de ceux qui l'attaquent, rendant ainsi toute blessure infligée dangereuse pour son auteur. Au fil des différents films, le monstre gardera à peu de choses près le même aspect. On notera cependant dans chaque épisode un alien particulier : une reine puissante et massive dans le second, un alien animal dans le troisième et un alien mi-homme mi-monstre dans le dernier épisode.

    -HR GIGER-

    Alien5

    Hans Ruedi (à l'origine Rudolf) Giger (né à Coire, Suisse le 5 février 1940) est un plasticien, graphiste, illustrateur, sculpteur et designer suisse. Il se passionne très jeune pour la création fantastique et surréaliste et entame des études d'architecture et de dessin industriel à Zurich. Après un emploi de décorateur d'intérieur, il devient artiste à temps plein et se lance dans le cinéma en réalisant divers courts métrages documentaires. Il continue parallèlement de dessiner ses étranges visions fantasmagoriques et cauchemardesques mêlant l'organique et la mécanique et signe des œuvres mutantes à la frontière des deux mondes. Cette nouvelle forme d'art sera nommée par lui-même la biomécanique. Giger était un ami personnel de Timothy Leary.

    Alien10

    Il existe un musée H.R. Giger dans le bourg médiéval de Gruyères en Suisse en face duquel un café est entièrement décoré de sculptures biomécaniques (sièges, bar, voûte).

    Alien11

    Le bar, visible à Gruyères, se trouve à côté du Muséum HR GIGER. L’'inauguration eu lieu en 2003 après 3 années d’'efforts de part la complexité des structures internes et diverses. Le plafond, d’'une hauteur de 5 m, donne l'’impression d'’espace et d’'être à l'’intérieur du vaisseau alien dans le 1er film (Alien, le 8 ème passager).

    Alien12

    J'’y suis passé à deux reprises déjà et je ne m'’en lasse pas. Nous sommes toujours bien reçus à chaque fois par le responsable des lieux, personnage atypique et sympa, d'’ailleurs je lui ai demandé si il n’'était pas apparenter au maître tant je lui trouvais une ressemblance mais il m’'avoua que non. Toujours est-il qu'’à l’intérieur l’'atmosphère qui y règne est surréaliste ; la musique, l’'ambiance, les décors, bref il faut y aller pour s’'en rendre compte !

    Alien13

    Vince, membre de l'équipe taverne.

    Ici l’'on peut voir la spécialité maison avec ou sans alcool, l’'alien coffee, servit sur un plateau en bois ou chaque instrument à sa place gravée ; il y a le café, les deux pots de double crème fraîche de Gruyères, l’'assiette de meringues et sa liqueur chartreuse verte (offerte ce jour-là) à base de plantes. L'’équipe s'’est régalée avant de reprendre la route vers la France.

    Alien14

    L'équipe (une partie) devant le Muséum HR Giger.

    Alien15

     

    Giger a participé également à la création de jeux vidéo avec Darkseed 1 et 2.

    Il est approché, en 1975, pour travailler sur le projet d'adaptation de Dune par Alejandro Jodorowsky pour lequel il conçoit l'’environnement des Harkonnen. Il y travaille jusqu’'en 1977, année où le projet est abandonné, les financiers s’'étant retirés — ses travaux conceptuels sont cependant visibles dans ses livres. Son travail ayant été remarqué, il est engagé pour créer la créature et le vaisseau étranger d’'Alien - Le huitième passager. Il partage l’'Oscar 1980 des effets spéciaux pour ce film. Les 2 premiers épisodes de la série Alien ont connu un grand succès au cinéma. Giger n’'a cependant pas été contacté pour aucun autre film après le premier. Dans Alien 3 ou Alien, la résurrection, sa conception originelle ne se retrouve d’'ailleurs pratiquement plus à l’'écran : les créatures n'y ont jamais été aussi “organiques”, oubliant quelque peu la “biomécanique” du premier film, pourtant concept novateur et fondamental. La participation de Giger à d’'autres films se limite à Poltergeist 2 (1984), sur lequel il ne parvint pas à imposer la démesure macabre conçue pour une scène d’'invocation spectrale. Il travailla aussi sur une créature dont le résultat à l'’écran laisse présager de ce que l’'artiste avait prévu, quoique fugitivement.

    Alien4

    Même chose pour La Mutante (Species - 1995) où la fin du film lui a échappé, des images de synthèse, trop graphiques et “propres” prenant le dessus. Une entité matricielle et meurtrière, où le gore s’allie à ses obsessions ésotériques, a contribué au succès relatif du film. Giger s’est investi encore dans Death Star et Hellraiser in Space, produisant de nombreux dessins et peintures, finalement non portés à l’'écran. Le groupe Emerson, Lake & Palmer (ELP) lui commande la pochette de l'album Brain Salad Surgery en 1973. Il travaille aussi sur les pochettes de plusieurs autres disques comme l'album solo KooKoo de Deborah Harry (Blondie), Attahk de Magma, Pictures du groupe suisse Island et le poster accompagnant le Frankenchrist des Dead Kennedys. Il a aussi conçu le pied de micro pour Jonathan Davis chanteur du groupe KoRn. Ainsi qu'une pochette de disque pour le groupe de métal suisse Celtic Frost et une autre pour le groupe de Death Metal brittanique Carcass. En 1985, il conçoit la machine à faire la pluie dans le clip "Cloudbusting" de Kate Bush, où Donald Sutherland tient le rôle principal. C'est lui qui a crée les décors de scène du Mylenium Tour (1999-2000), la troisième tournée de la chanteuse française Mylène Farmer. Le décor était la statue de la déesse Isis.

    Aura2

    la taverne de l'étrange- 21 décembre 2007 (mise à jour le 8 avril 2013)

    Tyron

    http://pserve.club.fr/alien.html

    http://michalovski.free.fr/index.html

     


     

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    LE PAPE  PIE XII ET L’ASSOMPTION<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    A l’intention du lecteur : Attention ce texte n’est pas de moi. J’ai trouvé en 1975 dans un bois situé entre Barges nord-Est et le Vercors au Sud-Ouest, tout près de l’ancienne abbaye de la chaise Dieu (La grande Chartreuse), dans un cahier certainement perdu par un Moine ? A chacun de juger ce texte…<o:p></o:p>

    Le conclave de 1939 fut un conclave unique dans les annales. Elu dès le 2° tour (en 12h 07). Après le traditionnel tour de politesse, le Cardinal Pacelli exigea une élection de confirmation. Cela ne s’était jamais vu, c’était une entorse évidente au légaliste, mais comme il était déjà Pape, les Cardinaux. Obtempérèrent. On alla déjeuner puis, après quelques heures passées, j’ignore à quoi,  un 3° tour eu lieu. A 17 h 27 le pape déjà élu fut réélu une 2° fois, à l’unanimité moins une voix. On avait pas vu une élection aussi rapide depuis 1559. Ce fut un Pape déroutant, savant physicien, mathématicien et astronome, il annonça une jour qu’il avait vu le soleil faire des sauts au zénith, rééditant pour sa Sainteté le miracle dont avaient déjà été gratifiés en mai 1917, d’obscurs bergers de Fatima (Portugal). Habile diplomate, il était en train de réaliser la concentration industrielle des églises chrétiennes, et d’éminents protestants hantaient les couloirs du Vatican, quand il proclama le dogme de L’ASSOMPTION. L’Assomption, comme chacun sait, et « La conséquence de la réunion miraculeuse du corps et de l’âme de Marie mère de Dieu ». Mais ériger cela en dogme, cela revient à décréter que : Si quelqu’un, ce qu’à Dieu ne plaise, osait volontairement nier ou mettre en doute ce que nous (Pape) avons défini, qu’il sache qu’il aurait fait complètement défection dans la foi divine et catholique. Les protestants écoeurés, partirent en claquant les portes. Peut-être Pie XII a-t-il voulu en proclamant le dogme de l’Assomption, indiquer que c’était l’esprit de Marie qui avait rejoint (au moment de la proclamation sans doute) son corps enfoui jadis en Palestine. Ce que cela change, si cela est ? Un peu de patience… Les médicaments homéopathiques sont utilisés non seulement pour soigner les hyper-émotifs suggestionnables, mais aussi en médecine vétérinaire, avec succès, si le diagnostic a été bien établi. On peut raisonnablement admettre que l’autosuggestion ne joue guère, dans la guérison d’un cheval par l’homéopathie. On prend une goutte de produit actif et la met dans un litre de solvant pur, puis une goutte de cette première dilution va dans un autre litre de solvant pur, puis en continue. Très rapidement l’analyse la plus poussée ne peut plus discerner quel produit a été dilué dans le solvant. Or, moins il y a de produit actif, plus la dilution est poussée, plus le médicament se montre actif. On ne sait pas pourquoi, mais c’est comme cela. La centième dilution est plus active que la dixième. Notons en passant que l’analyse la plus poussée ne permet pas de déceler un corps dilué s’il y a moins de 1 gramme pour 10000 litres de solvant. Une solution de mosaïque de tabac reste virulente à une concentration de 10 puissances 14.<o:p></o:p>

    On peut que s’émerveiller devant ce miracle de la nature. <o:p></o:p>

    Pour revenir à la Sainte mère de Jésus, vierge ou pas, elle a indubitablement vécu. Quand elle est morte, elle a été enterrée. La décomposition a transformé son corps en engrais, la décomposition et cet engrais à fait poussée les plantes. Des animaux ont mangés ces plantes. Des hommes se sont nourris de ces plantes et de ces animaux Ces hommes sont morts, on les a enterrés. Et les dilutions ont continué, pendant dix-neuf siècles. Pie XII a-t-il voulu proclamer, par son dogme que le temps écoulé depuis la mort de Marie était enfin suffisant pour que chaque chrétien ait en lui quelques atomes de ce qui fut l’enveloppe charnelle de la dite dame ? Les chrétiens se sont-ils enfin suffisamment multipliés pour que la dilution soit suffisamment poussée ?<o:p></o:p>

    Est-ce cela, LA RESSURECTION DE LA CHAIR ?<o:p></o:p>

    Si Teilhard de Chardin a pu publier malgré de sérieuses entorses à l’orthodoxie, serait-ce pour bien souligner que Pie XII  admettait lui aussi le lien (somme toute pythagoricien) entre le quanta spirituels et le quanta matière ? Apparemment oui, puisque en proclamant son dogme, le scientifique Pie XII ne pouvait guère imaginer le corps de Marie allant rejoindre son âme au ciel. Détail curieux, cette annonce nous a été faite un mois après que le « Soleil » ait indiqué à Pie XII notre entrée dans le signe du Verseau. Dans ce Verseau où, ayant tous en nous un nombre d’atomes de la Sainte mère de Dieu, nous aurions droit ou plutôt le droit théologique de considérer que chacun de nous, parcelle de l’occident chrétien, est aussi une sorte de parcelle de mère de dieu collective. Aurions-nous, désormais, le droit et les dispositions requis pour enfanter notre Dieu, pour la durer du Verseau ? C’est ce que nous on légué le Zodiaque. Vous êtes remis de votre émotion, chère mère de dieu et congénère ? Je ne vous ai jamais dit que c’était vérité d’évangile. C’est simplement une hypothèse : Pie XII a bien l’air de nous suggérer cela dans sa langue inspirée de celle de Jésus et de Moïse.<o:p></o:p>

    La langue qui était aussi celle de Pharaon chez Moïse fut instruite. Nous avons tout le reste du livre pour tenter de déterminer, par une série d’expérience cartésienne, si Moïse, Jésus et Pie XII déraisonnaient. Et en tirer quelques hypothèses. En attendant, voici un peu de Mathématiques :<o:p></o:p>

    Le diamètre en moyen des atomes entrant dans la composition du corps humain est de 2.10-/8cm. Il y a donc 1.25.10-/23 atomes par cm/3 d’humain. En considérant que Marie était une pauvre et ne devait pas peser plus de 50 Kg. Il n’y avait pas moins dans son corps 6.25.10-/2 atomes. La surface de la Terre est de 51.1.10-/8 km/2. En admettant une profondeur de pénétration moyenne de 1000 mètres dans la croûte terrestre et dans la mer, on doit trouver 1.22.10-/19 atomes  de Marie par km/3 de matière, dans le globe, soit 1220 atomes de Marie dans chaque cm/3, de mer, de flore, et de faune. Cela fait une soixantaine de millions d’atomes de Marie par humain vivant, et environ trois fois plus, évidemment, par tête, si l’on considère que la répartition a dû être réservée, pendant de longs siècles, à l’occident chrétien. Je n’étais pas dans la confidence de Pie XII et j’ignore absolument le nombre minimum et maximum d’atomes de Marie que doit contenir un corps appelé à abriter une âme déogène. J’ignore également quelle surface occupe l’occident chrétien, j’ai donc gaillardement négligé ces détails en me contentant d’un ordre de grandeur. L’Eglise aurait, en somme, des raisons valables pour interdire l’incinération  des morts, qui supprime des maillons dans la chaîne.<o:p></o:p>

    Père CHARLES BENOIT.

    <o:p></o:p>

    la taverne de l'étrange- 19 décembre 2007


     

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  • Reportage réalisé en décembre 2007 à Rueil (Marne) lors d'un marché gourmand au Domaine de Bacchus, propriétaire Mr & Mme Billard.

    Ce musée raconte la vie des vignerons champenois dans les années 20. Les 170 santons mesurent 30 cm de hauteur et raconte les diverses phases, la vie, le travail des vignerons de cette région sur une plate-forme de 75 m2. La taverne de l'étrange y était car les propriétaires du Domaine avait organisé un marché gourmand le 8 & 9 décembre. Nous avons passé 2 jours là-bas, le tout dans une ambiance sympa, bien conviviale. Merci à eux de nous avoir permit de filmer ce musée et surtout un grand merci à Mr Billard pour cette visite commentée. A très bientôt et pourquoi pas à l'année prochaine lors du prochain marché gourmand !

     

    http://www.domaine-bacchus.com

    Tyron 

       

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  •  

    TROIS ANS AVANT LE LANCEMENT DE SPOUTNIK 1, UN SATELLITE ARTIFICIEL TOURNAIT DEJA AUTOUR DE LA TERRE. IL N’ETAIT NI RUSSE, NI AMERICAIN. AUJOURD’HUI, LES SAVANTS SONT OBLIGES D’ADMETTRE QU’IL VENAIT DE L’ESPACE.

     

    Les archives de l'inexplicable !

     

     

    « Un satellite artificiel existe dans l’espace sidéral. Depuis plus d’un an, il tourne à une vitesse vertigineuse autour de la terre. Son orbite toutefois, se rétrécit sans cesse inexorablement, mois après mois, jour après jour, minute après minute, il s’approche de notre planète. Une poignée d’hommes seulement sont au courant de son existence, mais cette apparition céleste a déjà exercé une influence déterminante sur l’attitude des grands gouvernements de notre planète. »

     

    Cette révélation sensationnelle a été faite en 1955 dans l’hebdomadaire de Milan, IL CANDIDO, par un singulier personnage, un certain Franck E. Pagani. Dans une lettre adressée au directeur de ce journal, il expose, avec un grand luxe de détail, la plus prodigieuse aventure de notre siècle. Mais qui est-ce Franck E. Pagani ? L’homme a disparu aussitôt  après avoir livré les renseignements qu’il détenait, son corps n’a jamais été retrouvé… Mais ce que l’on sait, c’est que l’auteur du rapport sur le satellite artificiel, si discret sur sa personne, fournit des informations très précises sur une série d’événements qui, pour la plupart des hommes politiques et des chefs militaires, sont restés enveloppés de mystère.

     

    L’aventure à commencé en juillet 1954, lorsque les observateurs de la base américaine de White Sands découvrirent à plus de 1000 km d’altitude des corps qui décrivaient une orbite autour de la Terre. Ne s’agissait-il pas de satellites lancés dans l’espace par une puissance étrangère ? Aussitôt averti, le Pentagone envoya le professeur Clyde Tombaugh (le célèbre astronome qui avait découvert en 1930 la planète Pluton) à l’observatoire du mont Palomar « doté du plus puissant télescope du monde à cette époque » afin de déceler la nature et la provenance de ces étranges apparitions célestes. Le savant déclara qu’on devait être en présence de deux météores non désintégrés. Au lieu de poursuivre leur course dans l’infini cosmique, ils auraient été freinés par la force d’attraction terrestre et seraient devenus ainsi des satellites dociles de notre planète.

    Le professeur La Paz, de l’Université de Californie, émit un avis différent.

     

    Les archives de l'inexplicable !

     

    Selon lui, la chute d’un corps dans l’espace sidéral ne pouvait pas être arrêtée par la force d’attraction de la terre. Cette force, estimait-il, devait avoir, sur un météore, l’action d’un aimant. C’est donc qu’elle l’attirait irrésistiblement vers le sol. En effet, pour qu’un objet puisse rester suspendu dans l’espace, il doit ou bien être plus léger que l’atmosphère terrestre, ou bien être doté des moyens de propulsion puissants qui  lui confèrent la possibilité de défier la loi de la gravitation. Or les météores sont des corps solides, excessivement lourds. La supposition qu’ils pourraient devenir des satellites de la terre serait, affirmait le professeur La Paz, en contradiction avec toutes les règles de la physique. Car dans ce cas, au lieu d’exercer sa puissance d’attraction, la terre, par un processus inexplicable, interdirait à ce corps étranger de pénétrer dans son atmosphère. Le calme revint à la base de White Sands et au Pentagone. Mais le 24 avril 1955, la Maison Blanche recevait de l’Observatoire du mont Palomar, une nouvelle alarmante : un des deux « météores » s’était approché de 50 km, tandis que l’autre avait disparu. L’hypothèse du professeur Clyde Tombaugh se trouvait ainsi démentie.

     

    D’urgence, le Président Eisenhower convoqua en session extraordinaire le Comité de Sécurité nationale des Etats-Unis. Après plusieurs heures de délibération, ses membres arrivèrent à la conclusion suivante : le corps qui tournait autour de la terre n’était pas un météore, mais un satellite artificiel lancé dans l’espace par l’Union Soviétique. Celle-ci, avec l’aide des techniciens allemands, Heinrich Grunov et Hellmuth Goeltrup, avait réussi à devancer les Etats-Unis dans ce domaine. La situation fut considérée comme « excessivement grave ». Même les plus  farouches adversaires des négociations avec l’U.R.S.S. admirent que le contact avec les dirigeants soviétiques devait être établi d’urgence. Le 10 mai 1955, les trois puissances  occidentales invitaient le chef du gouvernement de Moscou à une conférence à l’échelon le plus élevé. La réponse arriva avec une rapidité surprenante. Le 14 mai, Moscou se déclarait prêt à accepter l’invitation, mais, le même jour, la radio soviétique, annonçait la formation d’un Comité d’études pour la navigation interplanétaire sous la présidence du célèbre atomiste Kapitze. Cette coïncidence ne fit qu’augmenter la confusion qui régnait à Washington.

     

    Les Russes voulaient-ils utiliser leur satellite artificiel comme argument décisif à la conférence des Grands ?

     

    En apparence, les quatre Grands se rencontrèrent à Genève le 18 juillet, parfaitement détendus. Mais après trois jours de tâtonnements et de discussions confuses, coup de théâtre : Ike déclara que les Etats-Unis n’avaient pas de secrets à cacher au monde. Leurs bases, leurs usines, leurs installations atomiques, pouvaient être survolées et photographiées par les Russes, à conditions que ces derniers fussent disposés à accorder les mêmes possibilités aux pilotes de l’Air Force yankee. Par cette proposition inattendue, Eisenhower espérait obtenir des indices précieux. Si les dirigeants de l’Union Soviétique l’acceptaient, ils reconnaissaient implicitement que toutes les armes connues : aviation, bombes atomiques ou à l’hydrogène, etc., étaient considérées par eux comme dépassées, et qu’ils ne comptaient plus désormais que leur satellite artificiel. Or, en installant sur une telle station spatiale un système d’énormes miroirs, il serait possible de concentrer le foyer des rayons solaires sur n’importe quel point du globe. On imagine le désappointement du Président des Etats-Unis. Toutefois, ni d’un côté, ni de l’autre, la question du satellite artificiel ne fut abordée. Ce n’est qu’une semaine plus tard, après le retour d’Ike à Washington, que l’Amérique prit la décision de dévoiler au monde où elle en était de ses travaux. Jimmy Haggerty, secrétaire de presse de la Maison Blanche, annonçait le 29 juillet ; « Le Président Eisenhower a approuvé la fabrication d’un satellite gravitant autour de  la terre ».

     

     

    Les Russes, estimait-on à Washington, devaient réagir à cette annonce et communiquer au monde que leur satellite tournait déjà autour du globe. Mais à la surprise des initiés, M. Khrouchchev déclara que les hommes de sciences soviétiques étaient prêts à collaborer avec leurs collègues américains pour le lancement d’un engin spatial. Soudainement, on commença à voir clair. Comme les spécialistes de Palomar, les astronomes de l’Observatoire de Leningrad avaient du découvrir le corps étranger dans le ciel. Avertis par eux, les dirigeants soviétiques avaient probablement conclu qu’il ne pouvait s’agir que d’un satellite artificiel construit par les Etats-Unis, et ils s’étaient donc empressés d’accepter l’invitation à Genève, afin de savoir comment les Américain entendaient exploiter leur victoire. Ainsi, la conférence à l’échelon le plus élevé aurait été provoquée, soutenait Franck E. Pagani dans son rapport, par des interprétations erronées, données simultanément à la Maison Blanche et au Kremlin, d’un phénomène que les savants russes et américains n’avaient pas réussi à élucider.

     

    UN VAISSEAU D’OUTRE-TERRE

     

     

     

     

    Mais si aucune des grandes puissances n’a pu revendiquer la paternité du bolide évoluant dans le ciel à 28.000 km à l’heure, d’où venait-il ? Faut-il revenir à l’hypothèse formulée en juillet 1954 par le professeur Clyde Tombaugh et le considérer comme un météore ? Avec angoisse les astronomes de Palomar et de Léningrad constatèrent que le redoutable engin s’approchait encore de la terre avec une régularité que seul un instrument de grande précision pouvait avoir. De juillet 1954 à avril 1955, il était descendu de 50 kms. 90 minutes lui étaient nécessaires à l’époque pour faire le tour de la terre. Selon Franck E. Pagani, ces observations auraient obligé les hommes de sciences russes et américains à admettre qu’il ne pouvait s’agir que d’un satellite artificiel. Ces origines, toutefois, ne seraient pas terrestres : il aurait été lancé par une autre civilisation d’une autre planète. Aussi fantaisiste qu’une telle hypothèse puisse paraître, les savants ne sont jamais parvenus à trouver une autre explication, même en 2007. A l’époque, on se posait une urgente et angoisse question : « que se passera-t-il si le satellite continue d’approcher la Terre ? » A notre échelle, ses dimensions étaient gigantesques. En effet, son diamètre dépassait 10 kilomètres.

     

    Les archives de l'inexplicable !

    L'observatoire du mont Palomar

     

    Dans son rapport, Franck E. Pagani soutenait que les dirigeant des grandes puissances gardaient le secret à ce sujet afin d’éviter la panique. Ils espéraient en outre pouvoir arrêter le monstre avant qu’il ait provoqué une catastrophe. En tout cas, il semble que la première mission de SPOUTNIK 1 aurait été de donner aux spécialistes des renseignements supplémentaires sur l’objet mystérieux qui hantait leurs nuits de travail. L’orbite de Spoutnik 1 été aligné sur notre celle du mystérieux satellite. Depuis, on sait que, comme son prédécesseur, le satellite a mystérieusement disparu de notre ciel. C’est-il volatilisé, ou bien a-t-il regagné sa planète d’origine ? Avec le recul, il est étrange de constater qu’à cette même époque se déclancha la deuxième grande vague mondiale d’observations d’O.V.N.I.

     

     

    Cet énigmatique engin n’était-il pas, un vaisseau mère transportant dans ses flans des centaines d’engins ou de capsules capables de survoler la Terre à basse altitude, voire même d’atterrir ?

     

    En tout cas les gouvernements dirigeants la planète sont aux courants.

     

     

    D’après les Archives confidentiel de Georges HUMET 1955

     

     

     

    Les archives de l'inexplicable !

    La taverne de l'étrange- 15 décembre 2007

     

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