• DES VAISSEAUX SPATIAUX AURAIENT VRAIMENT VISITE LA TERRE<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    On trouve confirmation dans l’étonnant document scientifique qu’est la Bible !

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    Un faisceau laser participe au spectacle de très grande qualité artistique qui est organisé dans des églises comme Saint-Eustache à Paris. Ce faisceau laser, multiplié par plusieurs générateurs, créé un spectacle lumineux animé qui soutient le texte de l’Ancien Testament. Cette conjonction de l’un des plus vieux textes sacrés du monde et d’une des inventions les plus modernes de notre époque a quelque chose de symbolique. En même temps qu’elle marque un juste retour des choses. La Bible fut, en son temps, un extraordinaire document de science-fiction et de futurologie. Regardez à la loupe et même au microscope, la Bible ne cesse d’être étonnante, par la précision des descriptions se rapportant à certains objets qui évoquent quelque autre civilisations ayant précédé de nombreux siècles, et peut-être même de nombreux millénaires, nos propres civilisations du Bassin méditerranéen. Des équipes de chercheurs scientifiques se sont mis, précisément, à l’étude de la Bible s’efforçant d’y découvrir des indices qui aideraient à expliquer telle ou telle énigme du vieux livre sacré ! (Il est dommage que des éléments manques volontairement dans les manuscrits). Par exemple, le physicien russe M. Agrest a déblayé tout ce qui se rapporte à Sodome et à Gomorrhe.

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    Ses conclusions sont fantastiques ! A l’origine de la recherche d’Agrest, il y a l’énigme de la terrasse de Baalbeck : l’ancienne Héliopolis, un des hauts lieux de l’histoire humaine. C’est aujourd’hui un prodigieux ensemble de ruines et de temples. Les neuf colonnes de Baalbeck sont encore maintenant les plus hautes du monde. On y voit encore le temple de Bacchus, avec son magnifique fronton. La terrasse de Baalbeck, elle-même est absolument étonnante. Des blocs de pierres gigantesques ; certains d’entre eux dépassent 21 m de longueurs. Il y a là une pierre que l’on considère comme la plus grande taillée de l’univers. Elle pèse 2000 tonnes. C’est « la Pierre du Sud ».

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    L’ENIGME DE LA TERRASSE DE BAALBECK

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    Comment fut-elle hissée jusque-là ? Mystère. Même actuellement, avec nos puissants appareils de levage, on serait tout à fait incapable de monter une telle masse de la carrière où elle fut jadis extraite. Comment fut donc édifiée cette terrasse de Baalbeck, aux pierres gigantesques ? Avec quels engins ? En recourant à quelles techniques ? Autant de questions qui restent pour le moment encore sans réponse. Le professeur Agrest est fasciné. Très vite, le mathématicien a calculé qu’il aurait fallu au moins 20.000 hommes, unissant leurs forces, pour déplacer de tels blocs. Mais pourquoi construire un tel dallage, un sol artificiel aussi compact et majestueux ? Est-ce aux alentours que l’on va découvrir les réponses à ces questions ? Oui, car le paysage est grandiose, austère.

     Pourtant, Agrest y découvre des indices extrêmement intéressants : de petits morceaux de verre. Plus exactement des fragments de roches vitrifiées. Ce sont des fragments de roches vitrifiées, noirâtres, qui vont créer la sensation, au sein de ces tectites. On découvre des traces de radioactivités, notamment du béryllium. L’énigme de Baalbeck se complique. Qu’est donc cette radioactivité ainsi gardée en mémoire ? Le professeur Agrest décide de lire tout ce qui a été écrit concernant cette contrée fabuleuse. Il commence par les manuscrits de la mer Morte, que vient de publier un orientaliste américain. Dès les premiers chapitres, c’est la stupéfaction ! Il lit « Les êtres venus du Ciel vivaient sur la Terre, en ces temps là… Et même après, lorsque les fils de Dieu vinrent… » Plus loin, les textes sacrés racontent la fin de Sodome et Gomorrhe. Avant la catastrophe, deux anges sont venus chez Loth, et lui ont dit qu’il devait s’enfuir, et surtout ne pas se retourner.

    Il plut sur Sodome et Gomorrhe du soufre et du feu, Loth vit la fumée du pays, comme la fumée d’une fournaise. La femme de Loth regarda en arrière, et devint une colonne de sel. Le professeur Agrest est lancé sur une piste qu’il pressentait. Il se sent persuadé d’avoir débusqué l’explication tant recherchée. Pendant des mois, le physicien russe va noircir du papier. Finalement, il écrit le mot fin en bas de 600 lignes de textes. Dans les milieux scientifiques, la « bombe Agrest » et diversement reçue. Quel que soit le sentiment d’accueil, la thèse d’Agrest se présente ainsi : en ce temps-là, Abraham s’était établi à l’ombre des chênes de Mamré ; son frère Loth faisait paître ses troupeaux dans la plaine qui s’étend devant Sodome. Ce fut alors que des « êtres venus du ciel » auraient débarqué d’une sorte de bateau volant. Alors Agrest pense à l’aire d’atterrissage de Baalbeck. Il brode tout un récit fantastique. Baalbeck devenant la base de débarquement sur la Terre ces « êtres venus du ciel ». Pour quelle raison y eut-il la catastrophe de Sodome et Gomorrhe ?

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    Accident, expédition punitive ? Qui pourrait le dire un jour ? Josef Blumrich, savant américain d’origine autrichienne, a écrit une revue de science pour l’UNESCO, à l’époque, particulièrement remarquable sur les fameux vaisseaux spatiaux, que le professeur Agrest a imaginés, par le truchement des textes sacrés. La description en est saisissante, elle vient à l’appui des hypothèses favorables à la venue, jadis de visiteurs extraterrestres.<o:p></o:p>

    Plus de détails sur le professeur Agrest, voir le livre « Le Peuple du ciel ». Edition J’ai Lu. 74

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    En 1974, j'ai eu la chance ( l'auteur ) de pouvoir rentrer en contact avec Maurice Chatelain au sujet des missions Apollo.

    Né à Paris, il a habité en Californie depuis 1955 et est spécialiste de l'informatique et des communications dans l'espace. Il a participé pendant vingt ans à la plupart des programmes américains de recherches spatiale et faisant partie de l'équipe de la NASA qui conçut et réalisa la capsule Apollo qui réussit à se poser six fois sur la Lune. Il a toujours pensé qu'il existe d'autres civilisations dans l'espace et des bases lunaires; le contact avec la NASA après tant d'années et les secrets de cette dernière ne pouvant laisser aucun doute pour lui. De nombreux ouvrages ont été publiés en quatre langues et en six éditions différentes. Maurice Chatelain est décédé dans les années 90 et nous a laisser des documents importants.

    Je relate aujourd'hui quelques révélations qu'il a bien voulu nous laisser.

    Il se produit un incident étrange alors que les astronautes arrivaient à proximité de la Lune. Ils entendirent soudain dans leur radio des sons bizarres qui ressemblaient tour à tour à un sifflet de train, à une sirène de pompier, ou à une scie mécanique. Cependant, ces sons étaient modulés et avaient vaguement l'air de messages codés. Il y avait certainement un ovni ou deux dans le voisinage de l'Apollo mais les astronautes n'en parlent pas. Cela ne veut d'ailleurs rien dire, car il est maintenant à peu près certain que la bande magnétique de ce voyage historique sur la Lune a été coupée à plusieurs endroits, chaque fois qu'il était question d'objets non identifié. Le bruit courut même à l'époque que plusieurs amateurs radio avaient capté avec leur matériel personnel la conversation des astronautes sur la Lune.

     

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    D'après ces amateurs, Neil Armstrong et Buzz Aldrin auraient été surveillés pendant toute la durée de leur séjour sur la Lune. Difficile de vérifier, mais Maurice Chatelain rappelle que les conversations des astronautes qui nous étaient transmise à la télévision étaient souvent coupées pendant plusieurs minutes et une grande partie du dialogue entre Houston et les astronautes avait été supprimé ! Pourquoi ? La NASA n'avait aucune raison de nous cacher ce qui se passait sur la Lune, alors que le monde entier était à l'écoute. De toute manière, il semble possible de dire que toutes les missions Apollo ont aperçu des OVNI de près ou de loin, sur la terre ou sur la Lune ou même entre les deux. Il apparaît même possible qu’une civilisation extraterrestres se soit déjà installée en permanence sur la Lune, comme certains investigateurs le prétendent, en France et à l’étranger depuis plusieurs années. Cependant, à part les incidents des missions Apollo dont ils ne sont peut-être pas responsables directement, il ne semble pas que ces visiteurs de l’'espace est une attitude hostile à l’'égard de la race humaine. Il existe des quantités d’'exemples de rencontres terrestres qui prouvent qu’ils ne le sont pas, en tout cas pour cette catégorie là.

     

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    Voyons maintenant ce que nous ont appris les quatre-cents kilos de cailloux rapportés de la Lune par les astronautes américains. La première surprise a été de découvrir que la Lune est très riche en Titanium, métal relativement rare sur Terre, où les minerais les plus riches en contiennent dix fois moins que ceux de la Lune. Les roches lunaires contiennent également un pourcentage important de Beryllium et de Ziconium, qui sont assez rares sur la Terre. Tous ces éléments ont une température de fusion très élevée qui suggère une origine volcanique. Le Titanium en particulier est un métal idéal pour les avions supersoniques et les capsules spatiales de retour dans l’'atmosphère. Une autre découverte incroyable est le fait que, dans les échantillons rapportés par Apollo 11, le sable est d'’un milliard d’années plus âgé que les roches qui ont été trouvées à côté. Ce qui semble indiquer que la Lune a toujours été bombardée par des météores venus du fond de l’'espace. D’'autre part, on avait toujours pensé que la Lune n’'avait pas de champ magnétique propre, d'’abord parce que, sa densité étant beaucoup plus faible que celle de la Terre, elle ne pouvait avoir un noyau de fer et de nickel comme celle-ci, et ensuite parce que les astronautes en orbite autour de la Lune n’'avaient jamais pu détecter un champ magnétique quelconque avec leurs instruments pourtant très sensibles. Or tous les échantillons rapportés de la Lune possèdent un champ magnétique fossile rémanent, ce qui indique que, si la Lune n’a pas de champ magnétique propre, elle a dû passer dans l’'espace avant d’'arriver autour de la Terre, à travers un champ magnétique très puissant qui aurait laissé son empreinte dans les roches de la surface lunaire. (Certains pensent même que la Lune serait un astre artificiel creux !) Cela détruit la théorie d’'une origine solaire ou terrestre de la Lune et renforce au contraire la théorie de son origine cosmique et de sa capture éventuelle par la Terre, qui nous est racontée par de nombreuses légendes très anciennes et suggérée par le calendrier hiéroglyphique de Tiahuanaco. Mais la découverte la plus fantastique faite par Apollo est le fait qu’'il y a de l’'eau sur la Lune, contrairement à ce que l’'on avait toujours pensé jusqu'ici. Les trois premières missions qui avaient débarqué sur la Lune n’'y avaient trouvé trace d’'eau ni même d’'oxydes prouvant qu’'il y en avait eu auparavant. La NASA avait donc déclaré qu’'il n’'y avait pas d’'eau sur la Lune. Cependant, les missions Apollo 12 et 14 avaient laissé sur la Lune deux instruments SIDE ou Superthermal Ion Detector, qui étaient chargés d’'analyser l’'atmosphère lunaire, si faible soit-elle, et d’'en transmettre la composition à la Terre par radio.

    Et, un beau jour, ces deux instruments, qui étaient à deux cents kilomètres l'’un de l’'autre, indiquèrent en même temps et pendant quatorze heures de suite, la présence de vapeur d’'eau dans l’'atmosphère lunaire ; sans doute en provenance de l’'intérieur, soit à travers une fissure causée par un tremblement de Lune, soit à la suite d’'une éruption volcanique. Il est facile d'’imaginer la sensation provoquée dans les milieux scientifiques par l’'annonce d'’une telle découverte, ou la tête des pontes de la NASA qui firent tout ce qu'’ils purent pour étouffer l’'affaire. Et ceci d’'autant plus que la mission Apollo 15 n’'avait pas réussi non plus à trouver sur la Lune des traces d'’eau ou même d’'oxygène et d’'hydrogène prouvant qu'’il devait y en avoir eu auparavant. C’est à ce moment-là qu'’un officiel de la NASA déclara que les missions Apollo sur la Lune avaient apporté des réponses pour lesquelles nous n’'avions pas encore trouvé les questions.

    C’est alors que le coup de théâtre se produit. En analisant les cailloux rapportés par Apollo 16, on s'aperçut qu'’ils contenaient de l’'oxyde de fer. Or pour oxyder du fer, il faut de l’'eau, ou tout au moins de l’'oxygène et de l'’hydrogène avec lesquels on peut en faire. La NASA se débattit désespérément pour essayer de sauver sa théorie de Lune sans eau mais les faits étaient là. Les roches furent analysées dans les laboratoires de plusieurs universités célèbres, dont celle de Yale et de Cambridge, et les résultats furent nets et définitifs. Il y avait de la rouille sur la Lune et il devait par conséquent y avoir du fer et de l’'eau. Mais cette eau doit se trouver à l'’intérieur de la Lune où il ne sera sans doute pas facile d’'aller la chercher. On sait d’'ailleurs que les astronomes ont aperçu sur la Lune et depuis très longtemps, des choses étranges qui pourraient y indiquer la présence d’'eau et d’'oxygène, et peut-être même de la vie animale ou végétale si vous comprenez ce que je veux dire… En mars 1587, un astronome anglais y aperçu un point très brillant dans la partie obscure, en plein milieu, entre les deux pointes de la partie visible. Le même point brillant fut aperçu au même endroit en novembre 1668 par un autre astronome.

     

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     Ce fut ensuite le célèbre astronome Herschel qui aperçut en 1783 de brillantes lumières au milieu de la Lune pendant une éclipse de Soleil. Il les aperçut de nouveau en 1787 et 1821 et annonca que certains de ces points semblaient se déplacer au-dessus de la surface lunaire. Ces mêmes points lumineux furent aperçus ensuite en 1847 et 1867 par d’'autres astronomes. Ce fut cependant en 1869 que l’'on observa le plus grand nombre de ces points lumineux sur la Lune ; et cela dans la Mare Crisium dont nous parlerons plus loin. Plusieurs astronomes en virent alors des quantités qui se déplaçaient au-dessus de la surface en formations circulaires, triangulaires ou rectilignes, comme obéissant aux ordres d’'un chef d’'escadrille. Le même phénomène fut observé le 13 mai 1870 dans le cratère Platon où des groupes de points lumineux, variant de quatre à vingt-huit, se déplaçaient au-dessus de la surface lunaire avec des allumages et des extinctions en succession rapide qui faisaient penser à la transmission d’'un message lumineux codé semblable à ceux que l’'on utilise dans la marine pour communiquer entre deux navires.

     

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    On apprit alors que le 7 août 1869, vingt minutes avant le commencement d'’une éclipse de Soleil, l’'astronome américain Swift avait observé plusieurs objets lumineux qui traversaient le disque obscur de la Lune en suivant des lignes parallèles comme s’ils volaient en formation. En 1874, l’'astronome français Lamey aperçu, de nombreux points noirs qui traversaient le disque lunaire en formation parfaite. Des observations semblables furent faites en 1892 par l’'astronome hollandais Muller, en 1896 par l’'astronome américain Brooks, et au cours des années suivantes par d’'autres astronomes, mais il serait fastidieux de les citer toutes ici. C’'est cependant en 1953 que fut faite l’'observation la plus étrange. Le 29 juillet de cette année-là, un journaliste scientifique américain observait la Lune avec un télescope, de fort diamètre lorsqu'’il aperçut un énorme pont d’une vingtaine de kilomètres de long au nord de la Mer des Crises.

    Il s’'empressa d’'annoncer sa découverte aux astronomes officiels qui le prirent pour un fou, mais sa réputation fut sauvée par le célèbre astronome Wilkins qui avait pris la peine de vérifier lui-même, et qui devait lui, aussi, observé cet énorme pont entre deux collines qui bordaient la Mer des Crises des photos furent prises. L’'astronome anglais Moore aperçut le pont, lui aussi, mais comme Wilkins, il pensa qu'’il pourrait avoir une origine naturelle, bien qu'’il n’'y ait sur la Lune, ni vents, ni rivières pour sculpter et bien que ce pont n’'ait jamais été observé auparavant. Un autre astronome réussit même à voir la lumière du Soleil passer en dessous du pont qui semblait avoir une forme géométrique parfaite et ne pouvait par conséquent avoir une origine naturelle. Actuellement le pont a disparu !

    Les astronomes anglais ont également observé sur la Lune des dômes lumineux ayant jusqu’'à deux cents mètres de diamètres et auquels il semble difficile d’'attribuer une origine naturelle. Le premier de ces dômes fut observé le 26 septembre 1953 par Wilkins et Thornton et ce qui est inquiétant, c’'est qu'’on en voit de plus en plus et qu’'on en a compté plus de deux cents sans arriver à déterminer s’'ils sont d’'origine naturelle ou artificielle. Ces dômes ont été aperçu et photographier par les astronautes des missions Apollo 16 et 17 qui n’'ont pas réussi, non plus, à savoir de quoi ils étaient faits ; mais ils ont remarqué qu’'ils étaient transparents et d’'une couleur différente de celle du sol environnant. Les astronautes américains ont observé en orbite des constructions géométriques rectangulaires qui n’'ont certainement pas une origine naturelle. (Dossier NASA). Des constructions semblables avaient d’'ailleurs déjà été photographiées par les Russes sur le bord occidental de la Mer de la Tranquillité, à l’'aide de satellites orbitals lunaires.

    Mais tout le monde avait pensé que les photos russes devaient certainement être truquées ! Et cependant, ces photos montraient huits menhirs géométriquement disposés qui, d’'après les ombres projetées sur le sol lunaire, semblaient avoir au moins six mètres de diamètre et vingt mètres de hauteur. Elles montraient aussi une sorte d’'obélisque isolé qui paraissait avoir près de soixante mètres de hauteur et projetait sur le sol une ombre gigantesque semblable à celle du monument dédié à G. Washington dans la ville du même nom. D’'autres photos, prises par un satellite russe le 4 février 1966 en survolant l’'Océan des Tempêtes montraient d’'autres menhirs pointus et géométriquement disposés qui semblaient avoir une cinquantaine de mètres de hauteur et qui, comme les précédents, étaient d’'une couleur beaucoup plus claire que le terrain environnant.

    Ce qui semblait indiquer qu’'ils n’'avaient pas toujours été là et qu’ils n’'y étaient sans doute venus tout seul. Les astronautes américains ont également aperçu en orbite des pyramides très pointues ressemblant à des clochers d’églises, qui étaient disposées de façon géométrique et à côté d’'un immense rectangle de couleur plus claire que celle du terrain environnant. Cela fait immédiatement penser à la Grande Pyramide et à l’'esplanade située au pied de sa face nord, sur laquelle l’'ombre de sa pointe se déplaçait rapidement, avec des longueurs et des vitesses angulaires différentes suivant les heures, les jours et les saisons.

     

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    Au cours de la mission Apollo 16, les astronautes aperçurent au cours de leur descente sur la Lune, des blocs de pierres bien taillés et alignés du sud-ouest au nord-est qui devaient sans doute être destinés à effectuer des observations astronomiques; peut-être sur les mouvements apparents de la Terre, comme nous le faisons nous même pour observer les mouvements apparents de la Lune et comme le faisaient déjà les Egyptiens, il y a des milliers d’'années. Je n'’irai pas jusqu'’à prétendre que les Egyptiens sont allés sur la Lune, mais il se pourrait très bien que les Sélénites soient venus visiter ceux-ci il y a très longtemps.

    C'’est sur cette pensée réconfortante et pleine de promesses d’avenir que nous terminerons cette revue des expéditions lunaires et des révélations fantastiques qu’elles nous ont apportés sur nos voisins de l’'espace. Qui oserait nier en bloc, après cela, le sérieux des interprétations de vues aériennes ou spatiales. Pour notre sujet présent, celui d’'une éventuelle « présence » sur la Lune, je forme d’'ailleurs le souhait de voir le plus grand nombre de personnes se pencher sur ces énigmatiques images. Car il y aurait, de toute évidence, un grand intérêt à confronter les diverses interprétations. Et qui sait s’'il ne se découvrirait pas, dans le lot quelques observateurs surdoués, de véritables visionnaires de ces ombres et lumières ! Rien de plus facile que d’'essayer, si le cœoeur vous en dit. N'’importe qui peut se procurer des bons tirages photos de la NASA à l’'adresse suivante :

    Space Photographe Post Office Box 486 Bladensburg, Maryland 20710 (ETATS UNIS).

    Sur certains clichés de la NASA on parvient même à distinguer des coupoles transparentes. Quelle interprétation donner à ces éléments d'’informations si chichement distribués ? On peut songer à une civilisation lunaire bien antérieure à toute civilisation terrestre, vu qu'’il semble définitivement prouvé, à présent, que la Lune est plus ancienne que la Terre. Mais ne peut-on envisager aussi l'’hypothèse d'’extraterrestres venus d’'une planète lointaine et qui se serviraient de la Lune comme station-relais ? N’'oublions pas que des astronautes ont parlé, aussi d'’objets volants non identifiés qui les ont suivis sur une partie plus ou moins longue des divers trajets.

    Mais, sur ces rencontres encore, la NASA a jeté son voile étouffant de silence. Si ces responsables se décidaient à parler, quel retentissement connaîtraient leurs révélations ! Et quelle étape fabuleuse serait franchie, soudainement, dans notre connaissance de l’'Univers !

     

    d'autres photos d'anomalies lunaires et martiennes ici !

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    LA TAVERNE DE L'ETRANGE- 14 SEPTEMBRE 2007

     

    Des bases extraterrestres sur la lune ? 


     

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    Voilà un article intéressant datant de 1946 dans le quotidien L’Etoile du soir. <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    *** Un homme a failli se tuer au fond d’un gouffre pyrénéen***<o:p></o:p>

    …J’ai suivi un homme qui a choisi la date anniversaire de la cessation des hostilités en Europe pour découvrir un message caché dans un gouffre inexploré. Qui est-il ? D’où vient-il ? Je l’ignore. Je veux assister tout simplement à un exploit sportif peu ordinaire d’un inconnu et l’aider dans une descente qui peut être mortelle. Nous sommes quatre, trois paysans et moi. A le suivre dans l’ascension du pic de Cambeillon où se trouve l’entrée du gouffre. Nous gravissons des sentiers rocailleux et abrupts, traversons des prés, escaladons des rochers, passons à gué de petits ruisseaux. Le chemin devient de plus en plus rude à l’approche du Cambeillon. Le soleil brille. Une brise légère nous rafraîchit. Nous sommes silencieux et recueillis. Un homme joue sa vie non pas par intérêt, mais avec cette idée toute simple que de sa réussite dépend l’avenir du monde. Cet inconnu est arrivé ici guidé par sa foi. Il est passé par Paris, Nice, Nîmes, Perpignan, Toulouse, Albi, pau et, finalement Oloron-Sainte-Marie.<o:p></o:p>

    *** LE TRESOR DES MAURES ***<o:p></o:p>

    Il dédaigne trois gouffres pour s’arrêter devant un quatrième que personne ne connaissait dans la région. Il ne s’est pas soucié de cette légende locale, transmise d’Esquiül à Barcus, à la veillée, qu’il existe dans l’une des grottes un trésor qui aurait été déposé par des Maures il y a dix siècles. Depuis, toutes les tentatives qui ont eu lieu pour le récupérer ont été vouées à l’échec. Un prêtre, avant de mourir, n’avait-il pas confié à ses ouailles trop curieuses : « Ce trésor est sacré. Nul ne pourra le récupérer qu’aidé de Dieu. » Un radiesthésiste affirma, en 1938, qu’il y avait de l’or. Il entreprit des recherches en compagnie d’un ingénieur, fit sauter à la dynamite des galeries souterraines. Un matin, il refusa le concours de son compagnon, partit seul et ne revint plus. Quant au gouffre sans nom, dissimulé par les ronces et des orties à flanc de colline, nul ne s’y était aventuré. Le messager de Douaumont le découvrit le 19 décembre 1945, dans la nuit et sous la pluie. Deux fois, il descendit dans ces profondeurs, au péril de sa vie.<o:p></o:p>

    *** LA DESCENTE DANS LE GOUFFRE ***<o:p></o:p>

    Aujourd’hui ( mai 1946 ), il recommence cette périlleuse exploration. Avant d’accéder au gouffre, nous pénétrons dans une grotte. A l’aide d’une corde, nous descendons une quinzaine de mètres avant d’atteindre la première plate-forme. L’humidité et le froid nous pénètrent. Nous devons ensuite ramper pour atteindre l’ouverture du gouffre. Nous préparons les cordes qui doivent servir à la descente de l’homme. Une ouverture béante, une cheminée profonde, étroite et lisse… Le mystère est là, à soixante mètres sous terre. De grosses araignées courent le long des roches rongées par l’érosion. Une chauve-souris, affolée par la lumière, virevolte au-dessus de nos têtes. La descente commence. Personne n’a le courage de parler. Lui seul commande la manœuvre d’une voix tranquille : « Laissez couler la corde… Arrêtez !... Continuez !... Stop !... M’entendez-vous ? » Quelques pierres se détachent, tombent dans les profondeurs avec bruit. Quelques secondes après, l’écho de leur chute se répercute lugubrement. De grosses mouches nous assaillent. Nous sommes transis. Pourtant il faut rester. Au bout d’une corde, nous tenons la vie d’un homme. Je sors, n’en pouvant plus. L’air est devenu trop rare. Les jeunes Basques sont restés. Ils tiennent la corde, mais le manque de lumière les effraye. - Remontez !... Remontez !...- C’est fini… sauvez-vous ! dit l’individu d’une voix étouffée. Mais les paysans veulent sauver l’homme malgré le danger, malgré lui.<o:p> </o:p>

    *** LA PAIX REGNERA SUR LE MONDE ***<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Je suis dehors, inquiet et impatient. Après une attente interminable, les quatre hommes apparaissent enfin, l’un derrière l’autre, exténués, haletants, les traits tirés. Mais l’inconnu est heureux. L’exploration a réussi. Le gouffre continuera de garder son secret…<o:p></o:p>

    *<o:p></o:p>

    La taverne de l’étrange- 11 septembre 2007


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    CES ETRANGES PERSONNAGES QUI ONT VOYAGE DANS LE TEMPS

    <o:p></o:p>

     

    <o:p> </o:p>C’'est le rêve de tous les hommes depuis le début de l'’humanité : voyager dans le temps, revivre les grands moments qui ont marqué notre histoire dans le passé ou, au contraire, se propulser dans l’'avenir pour essayer de savoir se qui nous arrivera dans cent, deux cents ou deux millions d'’années.<o:p></o:p>

    <o:p> *</o:p>

    Le célèbre romancier H.G. Wells avait déjà imaginé une machine à explorer le temps en 1895 et ce thème a été repris, depuis par tous les grands auteurs de science-fiction.  Ray Bradbury invente ainsi un héros qui peut se mouvoir à volonté dans le passé et le futur. Celui de Barjavel dans « Le voyageur imprudent » entend même agir sur les événements du passé. Et au siège de Toulon, il essaye de tuer la jeune Bonaparte pour changer le cours de l’'histoire. Dans la réalité peut-on vraiment se promener dans le temps comme on le fait dans l’espace ? Certains répondent que oui.

    Ces médiums, tout d’'abord, ont parfois la faculté de revivre les événements du passé. Ils sont alors des psychomètres. Découverte à la fin du siècle dernier, la psychométrie souleva d'’enthousiasme de nombreux savants. Et, de ce fait, en voyageant dans le passé, des médiums ont aidé à des découvertes historiques. Miss Beaumont, une jeune Anglaise, plus connue par son surnom de médium Rosemary, revivait ainsi à loisir la vie de la cour du Pharaon Amenhotep III, qui vécut 1500 ans avant notre ère. En décrivant les coutumes de ce temps, elle donna une foule de renseignements précieux à un fameux égyptologue, Howard Hulme. Certaines personnes qui ne sont pas médiums réussissent parfois à dépasser aussi les barrières  du temps, sans le vouloir. Le cas le plus célèbre de ces voyages extraordinaires est l’aventure arrivée dans le parc de Versailles, le <st1:date day="10" ls="trans" month="8" w:st="on" year="19">10 août 19</st1:date>01, à deux Anglaises, miss Moberly et miss Jourdain. Les deux femmes se promenaient, cet après-midi-là, dans le parc, avec l’intention de visiter le petit trianon. Elles se trouvèrent alors en présence de deux hommes portant de longs manteaux et de curieux tricornes. Devant le Petit Trianon une jeune femme dessinait. Elle portait un grand chapeau gris clair posé sur de longues boucles. Un homme leur dit alors de ne pas rester là, il leur indiqua un chemin et, soudain, les deux femmes se retrouvèrent dans leur univers quotidien. La sensation d’oppression disparut et elles croisèrent de nouveaux les visiteurs du XXe siècles. On sut, après enquêtes, que la vision des deux femmes correspondait parfaitement à l’état où se trouvait le Petit Trianon en 1770 ? Et la jeune femme qui peignait était certainement la reine Marie-Antoinette. Ce jour d’août 1901 miss Moberly et miss Jourdain avaient fait un curieux bond dans le passé. D’'autres individus, eux, ont tout aussi fortuitement fait une incursion dans le futur.

     

    * Un Anglais nommé M.P. Schiel a publié, en 1896, une nouvelle qui racontait la terreur répandue dans toute  l’'Europe par une bande de monstrueux criminels qui saccageaient, tuaient et brûlaient les cadavres : « les SS ».<o:p></o:p>

    * L'’écrivain américain Morgan Robertson, en 1898, quatorze ans avant le naufrage du TITANIC, racontait la catastrophe survenue à un super-transatlantique nommé le Titan. Tout concordait dans le récit avec ce qui  serait la véritable tragédie.<o:p></o:p>

    * Le <st1:date day="7" ls="trans" month="12" w:st="on" year="19">7 décembre 19</st1:date>39, un habitant de l’'indiana fut  amené au poste de police parce qu’il  s’'amusait  à écrire à la craie, sur tous les trottoirs, cette  inexplicable inscription : « Remember Pearl Harbor »  « Souvenez-vous de Pearl Harbour ». Deux ans donc, avant l’'attaque japonaise sur la base du Pacifique.

    Certains savants n’'excluent plus l'’hypothèse, chère aux romanciers, d’'une  machine à remonter le temps.

    « La technique actuelle nous permettra bientôt de manipuler le temps », à déclarer le cosmonaute  soviétique Kosirev. « Les progrès de la connaissance de l’'univers nous donnerons les moyens d’'explorer à la fois le cosmos et le temps à travers d'’autres dimensions ». Déjà en 1946, un ingénieur astronome, Emile Drouet, avait réalisé une maquette de machine à explorer le temps. Faute d’'argent, il ne put jamais réaliser son projet grandeur nature. Mais des savants  reprennent ses idées actuellement en Angleterre, en Suisse et même en France, en 2006 les services secrets de l'’armée travaillent sur ce projet. Si ces voyages sont possibles dans un avenir plus ou moins lointains, cela signifie que nos petits-enfants ou arrière-arrière – petits – enfants pourront voyager dans le passé, revenir au XXe siècle ou remonter encore au-delà. Et cela veut donc dire que dans le passé on doit déjà retrouver la trace de ces visiteurs venus du futur.

    Cette trace, selon les disciples du voyage dans le temps, elle existe. Et c’'est l’'explication de nombreux mystères qui planent encore dans notre univers.<o:p></o:p>

    * Il y a 2000 ans, on a trouvé dans un navire qui avait fait naufrage dans les îles grecques un appareil astronomique.

    * L'’empereur Néron s'’était vu offrir par un visiteur inconnu un gobelet… en plastique !

    * On a retrouvé dans les ruines de Ninive une lentille astronomique… taillée à la machine de notre époque, et à Bagdad au milieu de vestiges datant de 226 après, J.C. une série de piles électriques.

     

    Tous ces objets d'’un autre siècle auraient fait un voyage dans le passé. «  Ils sont tous en expositions dans différents musées du monde  ». Avec qui ? En compagnie de voyageurs venus du futur, bien sûr. Car il n’en manque pas dans notre histoire de ces personnages connus, ou plus anonymes, dont le savoir paraissait extraordinaire et en avance sur leur temps. Le curieux Michel Scott qui vécut à la cour de Frédéric II de Hohenstaufen et qui savait tout, est de ceux-là. Et le roi Arthur, et le curieux empereur chinois Fo Hi, qui semblait immortel. Et le mystérieux John Dee qui vécut à la cour d’Elizabeth 1. Et notre immortel comte de Saint-Germain. Parmi les voyageurs du temps il y aurait, encore le célèbre écrivain italien Dante. Dans « la divine Comédie » il fait en effet, allusion a l’électricité non encore découverte et fait une description de la Croix du Sud, une constellation totalement inconnue de l’Italie du moyen Age. Le Pape Sylvestre II qui vivait à la fin du Xe siècle avait inventé l’orgue à vapeur, l’horloge à pendule, une tête de robot, un appareil qui décrivait le cours des planètes et le paratonnerre  bien avant Benjamin Franklin. Sous Saint Louis vivait un curieux juif, nommé Jekiel, qui semblait bien connaître aussi l’électricité. Quand il touchait un clou planté dans un mur de son laboratoire, une flamme bleuâtre s’en dégageait en crépitant. Dans les tableaux du peintre flamand Jérôme Bosch on trouve de curieux oiseaux qui ressemblent tout à fait à des avions. « Mais l’extraordinaire, commente  Robert Charroux, commence lorsqu’on s’aperçoit que, sans l’ombre d’un doute, la nef-oiseau porte une antenne munie d’un instrument pour mesurer les angles qui n’est autre que le goniomètre qu'’inventa, trois siècles plus tard, le Français Carangeot. » Jonathan Swift, l'’auteur des « Voyages de Gulliver » publiés en 1726, nomme les satellites de Mars et donne les distances et la période de rotation avec une précision déconcertante.

     

    En 1729, un écrivain français Tiphaine de la Roche, explique dans un livre avec fort de détails le principe de la photo en couleur ! On connaît aussi les découvertes « embarrassantes » de Léonard de Vinci, l'’aéroplane, le sous-marin, le scaphandre, etc.… Mais le plus extraordinaire de tous ces voyageurs du temps, c'’est sans doute, le mathématicien italien Roger Boscovich,  il vivait en Dalmatie, au XVIIIe siècle, et pourtant dans ses ouvrages, il parle de la théorie des quanta, de la mécanique ondulatoire, de la théorie de la relativité. Il fait  une description de la véritable nature de l’atome. Et se réfère même à la constante de Planck… une règle mathématique qui ne sera énoncée que deux siècles plus tard.

     

    Comment expliquer de tels prodiges sinon que nous sommes visités depuis longtemps par des voyageurs du futur ?

     

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    Il se pourrait bien que ce soit eux les mystérieux initiateurs « venus d’au-delà des mers » dont  on trouve la trace chez tant de populations primitives. Ce pourrait bien être eux, également, ces curieux  pilotes d’'OVNIS venus dont ne sait où mais dont le savoir est indéniablement beaucoup plus avancé que le nôtre. Les OVNIS ne seraient pas l’œ'oeuvre d’'extraterrestre mais d'’extratemporels. Des êtres du futur qui auraient découvert la machine à explorer le temps et qui de leur XXIIIe, XXXVIIe ou millième siècle viendraient nous visiter, ayant dominé  le temps comme nous l’'aurons bientôt fait de l'’espace.

     

    *

    Cet article a été donné à la taverne de l’'étrange par son auteur, Claude Burkel, célèbre enquêteur et ufologue de renom. Il écrit également pour la revue Top Secret et on peut le lire dans le dernier numéro. Dorénavant, Claude collaborera avec l’'équipe et nous fera partager ses propres enquêtes sur le terrain, son savoir et bien d'’autres articles passionnants ; nous l’'en remercions à l’avance !<o:p></o:p>

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    *** 4 septembre 2007 *** <o:p></o:p>

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    Aura2
     

     

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    4 commentaires
  • meteor1

    METEOR CRATER

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    Il y a plusieurs milliers d’'années, un « missile » cosmique percuta la Terre, creusant un cratère colossal dans le paysage aride du désert de l’'Arizona aux Etats-Unis.

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    Il y a environ de 30.000 à 50.000 ans, plusieurs millénaires avant que les premiers êtres humains arrivent en Amérique du Nord, une énorme roche s’'écrasa sur la Terre près du canyon Diablo, entre les villes de Flagstaff et de Winslow, en Arizona. Il creusa une immense dépression en forme de soucoupe, d'’une largeur de 1250 m et d'’une profondeur de 174 m. Si on regarde depuis le désert plat environnant, le cratère, haut de 45 m, ressemble à une modeste ligne de faîte, si bien que le trou béant qu'’il dissimule ne fut découvert par les Européens qu’'en 1871. Au début, on croyait qu'’il était d'’origine volcanique, comme des cratères semblables déjà explorés ( tel Sunset Crater, situé à côté ). En 1890, des fragments de fer furent découverts dans les débris. Bien que leur importance n’'ait pas été immédiatement reconnue, certains savants commencèrent à remettre en question l'’hypothèse d’'une origine volcanique du cratère et à en proposer une autre : cette vaste dépression aurait été causée par l’'impact sur Terre d’un corps d'’origine extraterrestres. Après avoir examiné le site en 1902, Daniel Barringer,'it que, puisque le cratère était à peu près circulaire, le corps qui l’avait créé devait se trouver au centre. Plus tard, il constata qu'’une balle de fusil tirée dans la boue molle, même sous un angle fermé, creuse toujours un trou rond. Il déduisit de cette expérience, et du fait que les strates rocheuses sur le versant sud-est du cratère étaient élevées de plus de 30 m par rapport aux strates environnantes, que la météorite était tombée du nord à angle fermé et qu’elle était profondément enfouie sous le versant sud-est. Le forage commença sur le site. A 305 m, un nombre croissant de fragments en fer et en fer-nickel fut trouvé. A 420 m, la mèche se bloqua complètement, prise, semble-t-il, dans de la matière météoritique dure. Les fonds manquèrent et le forage cessa en 1929, mais la communauté scientifique était à présent persuadée que le cratère avait bien été formé par l’impact d’une météorite. La taille du « missile » qui percuta le désert de l’Arizona reste un sujet de spéculation. Au cours des années 1930, les savants estimèrent son poids à 14 millions de tonnes et son diamètre à 122m. Des calculs ultérieurs ramenèrent le poids de la météorite à 2 millions de tonnes et son diamètre à 79 m.

     

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    Les estimations actuelles envisagent un poids de 70.000 tonnes et un diamètre de 30 m. Mais même si la taille de l’'objet était celle de l’estimation la plus basse, sa collision avec notre planète n’'en resterait pas moins cataclysmique. Pour creuser un tel cratère, il devrait avoir percuté la Terre à environ 70.000 km/h. L'’impact prodigieux généra une déflagration équivalant à 500.000 t d’explosif, quarante fois plus dévastatrice que la puissance de la bombe atomique qui détruisit Hiroshima, projetant 100 millions de tonnes de roche pulvérisée dans l’atmosphère. Il rejeta aussi les matériaux qui forment maintenant les bords du cratère. Des gouttes de métal liquide en provenance de la météorite s’'éparpillèrent sur une zone de 260 km2, certaines étant projetées à 11 km du point d’'impact.

     

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    Nombre de ces fragments avaient la taille de cailloux, mais les plus gros pesaient jusqu’à 630 kg. Les matériaux sur le bord du cratère et ceux qui furent rejetés à l’'extérieur consistaient en un mélange de grès et de calcaire- les restes de dépôts riches en fossiles du lac préhistorique qui couvrait autrefois cette région. Une épaisse couche de ce mélange, appelée « breccia », couvre aujourd'’hui le fond du cratère. Dans les années 1930, des sommes importantes furent consacrées au forage du breccia afin de localiser les dépôts de fer qui pourraient être profitablement exploités. Des traces de fer-nickel furent trouvées à des profondeurs de 260 m ; au-dessous de ce niveau, la roche était déplacée. L’'emploi des techniques les plus modernes, en particuliers des relevés sismiques, magnétiques et gravitationnels, suggère que les restes de la météorite se trouvent sous le versant sud, mais qu'’il ne reste que 10% de la masse originelle. Le reste s’est vaporisé au cours de l’'impact et s’est condensé pour former des débris de fer-nickel. En 1960, des traces de deux formes rares de silice, la coésite et la stishovite, furent découvertes dans le cratère. Ces deux matériaux peuvent être créés artificiellement dans des conditions extrêmes de température et de pression, et la stishovite peut se former sous pression au plus profond de la Terre, mais elle se transforme en quartz avant d’'atteindre la surface, si bien que sa présence à l’'état naturel sur le site est la preuve d'’un impact colossal. Dès lors, tout doute sur l'’origine de la formation du cratère disparut et la croyance de Barringer dans l’origine météoritique du cratère fut confirmée. Le Meteor Crater est le cratère le plus accessible au monde, il a reçu le statut spécial de « site naturel national » en 1967. A présent, il est réservé à la recherche scientifique, bien que les visiteurs puissent avoir accès au fond du cratère- sur permission spéciale- en descendant un sentier raide.

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    <o:p>tyron en 2005 sur les lieux ( lol ).</o:p><o:p></o:p>

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    La taverne de l'’étrange- 1 septembre 2007

    Aura2

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    http://www.meteorcrater.com/index.php<o:p></o:p>

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Meteor_Crater<o:p></o:p>

    http://www.barringercrater.com/

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