• 1/2- Ce que vous devez savoir sur une guerre biologique, psychologique et climatique !

     

    CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR SUR UNE GUERRE BIOLOGIQUE ET PSYCHOLOGIQUE ET CLIMATIQUE


    Chacun de nous a plus ou moins entendu parler de la guerre biologique. On empoisonne, par exemple, en temps de guerre, l’eau de l’ennemi de virus et de bactéries. Il n’y a là rien de nouveau mais ne vous êtes vous jamais demandés où ces agents toxiques sont testés ?

     

     

     

    Voici quelques exemples pour votre information :


    En 1950, un bateau de la US Navy pulvérisa six jours d’affilée des nuages de bactéries – connues sous le nom de bactéries Serratia – au-dessus de la ville de San Francisco en vue de tester la capacité d’attaque et de défense des Etats-Unis au moyen de leurs armes biologiques.

    Les 800000 habitants en ressentirent presque tous les effets. Il est, aujourd’hui, connu que les bactéries Serratia provoquent une sorte de pneumonie qui peut s’avérer mortelle. L’armée dévoila aussi qu’elle avait fait 239 expériences à l’air libre, dont 80 incluaient des germes, entre 1949 et 1969. Cela signifie qu’il y a eu quatre interventions annuelles sur des villes américaines pendant vingt ans ! D’après les rapports de la CIA, celle-ci aussi, pendant la même période, avait bombardé des villes entières de germes et de bactéries. Ces expériences auraient arrêtées après 1969. Mais les Américain ne furent pas seulement bombardés de germes. Ainsi que la NBC le communiquait le 16 juillet 1981, l’Union Soviétique a soumis le nord-ouest des Etats-Unis pendant plusieurs années à des ondes de basse fréquence. Ces ondes radio furent mises sur des fréquences bioélectriques.

     

    Dans le langage technique, elles sont désignées d’ondes, ELF, (Extremely Low  Fréquences = fréquences extrêmement basses). Dite aussi Infra-son. Elles furent découvertes au début du siècle dernier par NIKOLA TESLA (des livres sur Tesla et ses inventions se trouvent dans les livres de l’Energie libre). Tesla collabora avec Edison en 1884 mais il ne tarda pas à se séparer de lui parce qu’il ne partageait pas ces convictions sur la façon de produire l’électricité. Il se mit alors à travailler avec son concurrent Georges Westinghouse. La première centrale à courant alternatif, construit par Westinghouse et par Tesla, fut mise en route en 1892 aux chutes du Niagara. Peu de temps après, Tesla se projeta dans un «  super-espace scicentifique » où, à notre connaissance, aucun chercheur, à cette époque-là, ne put le suivre. Seul le banquier J.P. Morgan (J.P. Morgan & Co. Représentait la N.M. Rothschild & Co. Aux Etats-Unis), Qui avait financé Westinghouse, parut avoir saisi la portée des inventions de Tesla. Celui-ci avait commencé à se servir du champ énergétique entourant la Terre et emplissant l’espace (appelé jadis éther) pour lui conserver l’énergie qui était, évidemment, gratuite. Il utilisa, dans le même temps, le champ énergétique de l’éther pour différentes formes de communication et pour transmission de l’énergie. Des sources d’énergie, telles que le charbon, le pétrole et la force hydraulique, de même que les lignes à hautes tension devenaient donc superflues. Les bateaux, les automobiles, les avions, les fabriques et les maisons pouvaient soustraire l’énergie directement du champ énergétique de l’éther. Fin 1898, lors de ses expériences à Colorado Springs, financées par J.P. Morgan, Tesla allait produire de l’énergie à  partie de l’éther.

     

    Nous appelons, de nos jours, cette technologie conversion de l’énergie gravitationnelle ou de l’énergie à tachons. Morgan avait bien compris la portée de cette invention : les monocles de l’électricité, du pétrole, de l’essence, du charbon, etc., auraient été menacés. C’est la raison pour laquelle il provoqua l’arrêt des travaux et fit détruire le centre de Tesla à Colorado Springs. Mais Tesla ne renonça pas pour autant. Jusqu’à sa mort le 7 janvier 1943, il accumula une foule d’inventions ; certaines furent révolutionnaires et d’autres eurent une portée qui est, de nos jours encore, à peine commensurable. Ses inventions pourraient même encore en notre 21ème siècle, transformer, en peu de temps, la Terre en un paradis, ce qui, cependant, comme vous le savez, n’est pas souhaité par les « hommes » qui tiennent le gouvernail. Outre ses machines à capter l’énergie de l’éther pour la rendre utilisable, Tesla construisit un « Solid-State-Converter, 1931 ». Celui-ci propulsait un moteur électrique spécial qui, placé dans une lourde limousine, s’avéra avoir les mêmes performances qu’un moteur à essence normal. On fit le test avec la voiture à 130 km/h pendant une semaine – frais de carburants ; ZERO ! Cet appareil, de la taille d’une caisse à vin, produisit assez d’énergie pour répondre aux besoins de toute une maisonnée. Il réussit aussi à provoquer artificiellement des tremblements de terre grâce à l’induction de secousses du champ de tachyons dont la conséquence  est de transmettre des vibrations dans la matière. Un jour, Tesla soumit à un tremblement de ce genre tout un bloc d’immeubles dans une rue de New York. Outre le brevet pour la télécommande de véhicule (1898), il inventa aussi la transmission d’énergie sans fil. Mais ce qui nous intéresse surtout dans le cadre de notre sujet, c’est sa découverte d’ondes stationnaires, et de fréquences extrêmement basses, appelées aussi, « Effet Tesla ». Les expériences de Tesla formèrent le fondement de toutes les recherches modernes dans le domaine de la communication ELF.

     

    Si on expose un champ de tachyons aux ondes ELF et qu’on le dirige vers un être humain, certaines fonctions électriques de son cerveau se déconnectent, ce qui suscite de graves troubles dans sa conscience de veille. Les fonctions neurologiques et physiques subissent un préjudice, dû à un amoindrissement des fonctions intellectuelles, et rendent l’homme, par la même, plus influençable. C’est ce qui est souhaité, c’est évident à la lecture de l’article de l’Associated Press , du 20 mai 1983 où il est dit que l’URSS  utilise depuis au moins 1960 un dispositif connu sous le nom de LIDA qui a pour but d’influencer le comportement humain avec des ondes radios de basses fréquences. On utilisa cet appareil en URSS pour tranquilliser, car il induit un état semblable à la transe. Il permet de traiter des problèmes psychiques et névrotiques ainsi que des problèmes de tension mais on peut aussi s’en servir pour provoquer un état agressif ou dépressif. Des individus, des villes et même des contrées entières de l’URSS ainsi que des Etats-Unis sont, depuis longtemps, soumis à des rayons précis pour susciter certains comportements au moyens d’exemplaires grands modèles de cet appareil LIDA. Il est possible, si on en croit l’US  Défense Intelligence Agency, de faire apparaître dans le cerveau humain des sons et même des mots entiers ainsi que de déclencher par télécommande des attaques d’apoplexie, des défaillances cardiaques, accès d’épilepsie et d’autres maladie. Un des premiers cas de la « guerre invisible » dont eut connaissance le public fut le « signal de Moscou ». Lorsqu’en 1962, on chercha des « micros » à l’ambassade des Etats-Unis à Moscou, on découvrit un rayon à micro-ondes qui était dirigé directement sur l’ambassade. L’étude de la CIA portant le nom de Pandora examina pour quel motif les Soviétiques avaient déclenché cette attaque. On découvrit que ces micro-ondes causaient des maux de tête, d’yeux, des vomissements, de la fatigue, une faiblesse générale, des vertiges, une irritabilité, de l’angoisse, de la dépression, des insomnies, des tensions, une inhibition des facultés intellectuelles, un amoindrissement de la mémoire ainsi que des cancers.

    D’après les informations du conseiller à la sécurité Zbigniew Brzezinski, le personnel de l’ambassade américaine à Moscou accuse le plus haut pourcentage de cancers du monde. Après une courte trêve obtenue à la demande du président Lyndon Johnson auprès du Premier ministre Alexis Kosygin, les Russes continuèrent à bombarder l’ambassade de micro-ondes.

    En se servant des armes psychotoniques, c.-à-d. des armes Tesla relativement faciles à construire, il est aisé de priver de sa conscience de veille tout soldat qui part à l’attaque et de lui enlever, ainsi, toute agressivité. Voici un article du « Magazine 2000, n° 97, du décembre 1993 » où on communique à propos des nouvelles armes psychotoniques.

    Vous souvenez-vous des images de la guerre du Golfe lorsque des milliers de soldats irakiens sortirent de leurs tranchées en capitulant ? Ils se rendirent même aux journalistes qu’ils prenaient pour des soldats et ils furent la proie bienvenue des canons de l’artillerie américaine, bien qu’ils aient brandi leurs drapeaux blancs. De plus en plus d’experts militaires sont  persuadés que ce n’est pas le ravitaillement insuffisant des troupes de Saddam Hussein qui a provoqué cette capitulation soudaine et massive mais que se sont bien les armes psychotroniques de « Mind-Control » des Etats-Unis. Quelques-unes de ces super-armes de hautes technologies se servent des effets qu’ont les ondes de fréquences radio sur le cerveau humain. Ainsi que le relate en janvier 1993 un rapport de la revue spécialisé «  Aviation Week and Space Technology », le ministère de la défense des Etats-Unis équipe maintenant des fusées avec du matériel qui peut provoquer des pulsions électromagnétiques (EMPs) pour paralyser l’ennemi sans devoir se servir pour autant de composantes atomiques, biologiques ou chimiques. Avec ce type d’arme, le premier but est de couper les systèmes électriques ennemis. D’autres appareils produisent des ultrasons, des ondes de sons ELF (fréquences extrêmement basses) qui provoquent des nausées et des vomissements et perturbent à l’extrêmement le sens de l’orientation des personnes ciblées. Ces armes ont un rayon d’action d’au moins 2500 kilomètres. De même qu’on peut réduire l’agressivité, de même peut-on susciter des foyers d’agression, par exemples des guerres civiles, des soulèvements populaires, des suicides collectifs, de la haine, etc. Les journaux pour spécialistes initiés mentionnent occasionnellement les armes Tesla. Il s’agit d’armes qui, pour être efficaces, utilisent le potentiel énergétique inépuisable du champ de tachyons de l’espace. Les autorités les plus célèbres en la matière sont le colonel de l’armée américaine et physicien Thomas E. Bearden, le physicien américain Sidney Hurwitz et le physicien américain Guy Obelensky. Les deux derniers travaillent, depuis des années, activement pour la défense israélienne. En 1969, Hurwitz avait construit une arme Tesla qui, dans un rayon de 300 mètres, augmentait ou réduisait énormément le potentiel de gravitation des métaux. Hurwitz, pouvait, par ex. alourdir un petit pistolet et changer les dimensions, si bien que toutes munitions devenaient inutilisables. Il poussa plus loin son expérience jusqu’à mettre en lambeaux le métal de l’arme comme s’il s’agissait d’une pâte friable. (Ces expériences furent filmées, on peut les voir, entre autres, sur trois vidéo intitulées « UFOs – von der Legende zur Wirklihkeit – OVNIs – de la légende à la réalité). (Top Secret, et, Der Kontaki « le contact » de la Royal Atlantis Film GmbH, Tél : 19-49-89-9043171. Ces vidéos contiennent aussi des interviews avec Thomas E. Bearden !).

     

    LA CONDUITE DE LA GUERRE METEOROLOGIQUE

     

    Avant d’entamer ce sujet, portons notre attention, d’abord, sur le temps atmosphérique.

    On suppose que le problème majeur du temps anormal que nous avons aujourd’hui vient du fait que la Terre se refroidit lentement alors que la teneur en CO2  a doublé, créant, ainsi, le réchauffement de notre atmosphère, ce qui correspond à «  l’effet de serre ». Un rapport de la Neue Solidarität du 24 février 1993, relate :

    Comme on a pu le lire récemment dans la revue renommée « Nature, il y a une discordance énorme entre « la catastrophe climatique » prophétisée par les plus grands ordinateurs du monde et la réalité.

    Le manque d’indices pour le réchauffement de l’atmosphère dû à l’effet de serre au-dessus de l’océan Arctique au cours des quarante dernières années. D’après les modèles de la circulation atmosphérique, on prévoit un plus grand réchauffement dû à l’effet sous serre sous les hautes latitudes. La plupart des tendances ne sont pas statistiquement significatives. En particulier, nous n’avons pas constaté de réchauffement assez étendu sur la surface tel que les modèles de climat le prédisent ; en effet, nous avons découvert pour les saisons d’automne et d’hiver une tendance significative de refroidissement au-dessus de l’ouest de l’océan Arctique. Cette discordance fait comprendre que les modèles de climat de nos jours ne reflètent pas avec justesse les processus physiques qui influencent les régions polaires.

    Moria Timms (chercheur Egyptien sur les sciences anciennes) dit que les stations de surveillance du cercle polaire rapportent une baisse de température de plus de 6° C depuis ces trente dernières années.

     

    La Neue Solidarität  écrit :

     

    Il serait quand même prématuré d’en conclure que les modèles de serre soient déjà dépassés, pour la simple raison qu’on ne peut les réfuter avec des mesures ni avec d’autres faits scientifique. Ils sont irréfutables parce qu’ils n’ont rien à voir avec des données scientifiques. Les modèles de climat sont des instruments manipulables sociologiquement parlant, ils permettent, grâce à des paramètres externes en nombre suffisant, d’établir à partir de données d’observation quelconques des scénarios de catastrophes avec un « potentiel d’exécution » politiques maximal. C’est pourquoi nous prévoyons que justement les données de l’étude de Kahl – qui contredisent, aujourd’hui, apparemment les modèles de climat – vont compter déjà dans quelques semaines parmi les meilleures preuves de la thèse de l’effet de serre. Il ne faut pas sous-estimer la flexibilité de ce modèle.

     

    Un sujet dont on ne parle jamais dans les médias est l’arrivée éventuelle d’une époque glaciaire. Il y a beaucoup d’éminents météorologues et géologues qui en sont venus à la conclusion, à l’aide d’échantillon de roches et de terres prélevés pendant des dizaines d’années et d’autres tests, que la futur période glaciaire se ferait sentir dans les cinquante années à venir. D’après eux, une époque glaciaire serait indépendante de l’effet de serre produit par la pollution de notre atmosphère. Déjà dans quelques décennies, la progression du froid compenserait la hausse actuelle du réchauffement. Il est encore plus inquiétant d’entendre l’affirmation qu’une diminution du rayonnement solaire d’un pour cent suffirait à déclencher la prochaine période glaciaire. La réduction du rayonnement solaire par la pollution est moins inquiétante que l’éventualité d’une gigantesque éruption volcanique qui pourrait considérablement obscurcir la lumière du soleil. Des nuages de poussières de cendres fines dus à une telle éruption peuvent demeurer des années dans la stratosphère et abaisser les températures au sol de plusieurs degrés. On en entend très rarement parler dans les médias. En ce qui concerne la pollution, vous ne devriez donc pas non plus croire tout ce que racontent les médias. Il y a, de plus, des preuves que l’énorme bouleversement causé au temps en 1982 er 83 par EL Nino dans l’océan Pacifique a été provoqué intentionnellement par une intervention des Soviétiques dans l’ionosphère. Le phénomène appelé El Nino est une perturbation du temps d’origine naturelle dans la région du Pacifique qui se produit environ tous les dix ans. En général, il provoque d’importantes chutes de pluie dans des petites parties du Pérou et dans une zone limitée en face de la côte ouest de l’Amérique du sud. Cependant, lorsque El Nino eut lieu en 1982 et 83, ses effets furent énormément changés : les alizés à l’équateur qui soufflent de l’Est en Ouest dans l’hémisphère Sud, pour ainsi dire, refoulés, ce qui retint les courants d’eau chaude qui s’écoulent normalement vers l’Asie. L’eau se  mit alors à refluer et à s’accumuler devant la côte ouest de l’Amérique du Sud. Pour des raisons inconnues des météorologues, les alizés se mirent à souffler dans la direction apposée, ce revirement apporta des chutes de pluie diluviennes au Pérou et causa des périodes de sécheresse en Australie. Ces alizés provoquèrent aussi des tremblements de terre, des coulées de boue ainsi que des tornades dans le Sud de la Californie et le long de la côte est de l’Amérique du Nord et de l’Alaska.

     

    Cet exemple explique précisément les conséquences des ondes ELF qui sont envoyées à travers la Terre vers l’ionosphère à l’aide d’un émetteur renforçateur Tesla pour provoquer de gigantesques vagues stationnaires. Celles-ci servent  alors de mécanisme pour bloquer le temps atmosphérique afin de provoquer de façon soudaine un bouchon inattendu avec les alizés soufflant d’Est en Ouest dont nous venons de parler. Outre le dommage que cause la modification du temps au moyen des ondes ELF sur les structures naturelles du temps, sur le rythme des marées et outre les maladies qu’elle provoque chez l’homme, elle a aussi un effet négatif sur les animaux qui, c’est bien connu, sont dépendants des courants chauds du vent et de la mer pour se déplacer. Ils sont dérangés dans leur rythme naturel et donc condamnés à morts. Des volées d’oiseaux qui recherchent leur île habituelle pour y nicher ne la trouvent plus et des baleines perdent toute orientation à causes des changements des courants de la mer.

    Le lecteur ne devra pas perdre de vue que dans le cas d’une éventuelle période glaciaire, il n’aura pas beaucoup d’alternatives pour échapper à cette situation ainsi qu’aux conséquences de la pollution. Ceci ne touche cependant guère l’élite qui est très conscience, depuis au moins 1957, des conditions dévastatrices subies par notre environnement. Cette année-là, les scientifiques les plus éminents se rencontrèrent à Hunts-ville, en Alabama, pour exploiter les données et les informations de programme de satellites nouvellement installés. Un des participants, le Dr Carl Gerstein, fit le pronostic suivant : La pollution de la couche supérieure de l’atmosphère et les centaines de milliards de tonnes de CO 2 qui s’y sont accumulées, auraient des conséquences catastrophiques d’ici la fin du siècle. On en arriva à penser qu’au cours du siècle prochain, la vie humaine ne serait plus possible à la surface de la Terre. Il s’ensuivit le plan qui, de nos jours, est sûrement connu par la plupart des spécialistes d’OVNIs et dont la publication coûta à plusieurs personnes. Il s’agit de l’ALTERNATIVE 3.


    LE PLAN ETAIT LE SUIVANT :

     

    ALTERNATIVE 1 : faire exploser une ogive nucléaire dans la stratosphère pour permettre au CO2 de se volatiliser dans l’espace.

    ALTERNATIVE 2 : la construction de gigantesque villes souterraines autonomes où seraient évacuée l’élite de la société, qui pourrait y séjourner jusqu’à ce qu’il devienne à nouveau possible de vivre à la surface de la Terre.

    ALTERNATIVE 3 : la colonisation d’une autre planète, ex. de Mars.

    ALTERNATIVE 1 : elle fut déclarée, plus tard, trop dangereuse et fut exclue du plan. Par contre, les deux autres alternatives furent lentement mais sûrement mises en place.

    ALTERNATIVE 2 : d’après mes recherches, elle comprend 75 villes souterraines dont 65 sur le seul continent de l’Amérique du Nord, une dans les Alpes suisses, une au Transvaal, en Afrique du Sud, et une à Pine Gap, en Australie. Parmi les villes souterraines aux Etats-Unis se trouvent les bases souterraines de Dulce Base à New Mexico ; l'Area 51 à Groom Lake, au Nevada : le Country Club à Maryland et Los Alamos, surnommé «  Dreamland », en Californie. On y mène aussi des expériences génétiques sur l’homme (des clones), on y fait des essais en vol et on y reconstruit des OVNIs, qui se sont écrasées et on y teste  des inventions, telles que les groupes motopropulseurs pulsar.

     

    En avril 1962, Jan Van Helsing interviewais une dame à Sidney en Australie qui ne désire pas  être nommé ici. Elle avait travaillé pour une équipe de nettoyage en Australie et elle avait pénétré, dans le cadre de son travail, dans la base souterraine de l’armée de l’air, PINE GAP. Elle rapporta les faits suivants malgré les lourdes menaces qu’elle reçut : Pine Gap aurait environ 6 km de profondeur et fonctionnerait grâce à l’énergie libre, avec des lacs souterrains, des trains suspendus, des cultures de fruits et légumes, etc. D’après des informations officielles, Pine Gap peut suivre sans problème à une attaque atomique (Vous trouverez plus de renseignements sur PINE GAP dans le livre, Cosmic Conspiracy, de Stan Dejos.

    ALTERNATIVE 3 : Ce projet se serait concrétisé à partir de 1959. On avait déjà construit des soucoupes américaines à la fin des années 50 avec l’aide de scientifiques allemands qui avaient participé à la construction des soucoupes en Allemagne, entre autre grâce à Victor Schauberger (Vril 7) et grâce à la technique basée sur l’étude des engins retrouvés écrasés au sol à l’ouest des Etats-Unis. On lança un projet secret, parallèle au programme spatial officiel, afin d’étudier la surface lunaire à l’aide des ses nouvelles techniques. A partir de 1960, on se mit à construire deux bases lunaires occupées par les Américains et les Russes, situées à l’est de la « MARE IMBRIUM ». Ce furent les bases  - ARCHIMESDES BASE – et – CASSINI BASE-, d’après les noms des deux cratères où elles furent érigées. Ces bases lunaires étaient des stations intermédiaires, en vue de voyage vers Mars.

     

    En janvier 1977, le collaborateur de la NASA  Harry Carmell transmis ces films des bases, à Sir William Bellantine, un radioastronome connu. En février 1977, Bellantine  eut un redevez-vous avec John Hendry, dirigeant d’un journal inter (national, pour commenter la sortie d’un film sur Mars, Bellantine mourut mystérieusement d’un accident d’automobile en se rendant chez Hendry. Grâce à l’aide de la femme de Bellantine et de Carmell, le film arriva finalement entre les mains de l’équipe de télévision de « Science Report », à la station anglaise – Scepter TV--. Il fut diffusé à l’émission suivante de « Science Report ». La station de télévision reçut peu après, l’avertissement, qu’on allait lui retirer sa licence si jamais elle continuait à traiter ce même sujet. Le film qui avait été pris du cockpit de la soucoupe permet de voir brièvement les instruments qui se trouvent devant le pilote et qui montrent que la pression extérieure de l’air est à 700 millibars et la température extérieure à 4° C. Les astronautes dont les voix sont enregistrées jubilent d’allégresse et s’exclament, entre autres : Nous sommes le 22 mai 1962, nous sommes sur Mars – nous avons de l’air pour respirer.

     

    LE MIEUX EST DE VOUS FAIRE VOTRE PROPRE OPINION SUR MARS. LES VILLES SOUTERRAINES ENVISAGEES DE L’ALTERNATIVE 2, EXISTENT BEL ET BIEN. ON PEUT SE POSER LA QUESTION SUIVANTE : SI ON A REALISE L’ALTERNATIVE 2, POURQUOI N’AURAIENT-ONT PAS REALISE L’ALTERNATIVE 3 ?

    *

    Article de mon ami Claude Burkel


    Source : Extrait du livre interdit en Europe et au Etats-Unis de JAN VAN HELSING.

    Printed in Canada – Gran Canaria – Spain – Monsieur FELIX

    Chemin des Costes 1030 – F-06140 Tourrettes sur Loup

    Fon & Fax 93 59 25 70.

     

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    à suivre : 2/2- Cratère Hale sur Mars- une évidence possible de civilisation


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