• Les vagues d'OVNIS sont-elles cycliques ?

    LES VAGUES D’OVNIS PEUVENT-ELLES ÊTRE EXPLIQUEES ?

     

    Cet article n’a pas pour but de donner des résultats définitifs mais de présenter certaines méthodes qui permettraient d’analyser la variation de fréquence des apparitions d’OVNIS par vague à partir de fichiers et de comparaisons.

     

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    Le rapprochement entre le phénomène des OVNIS et l’idée d’une « invasion » ou d’une « exploration » de la Terre par des créatures venues d’une autre planète a été fait dès les observations de 1947. C’est à la poursuite de cette idée que se sont aventurées les premières personnes qui aient recherché une périodicité dans la fréquence d’apparition du phénomène, et une coïncidence entre ses maxima et les oppositions de MARS, voir de VENUS. Toutes ces études furent faites graphiquement est semblèrent montrer, en général, la nécessité de considérer une certaine corrélation avec la distance de la planète MARS pour interpréter convenablement les courbes obtenues. Il semblerait que la coïncidence avec l’opposition de MARS se vérifie excellemment pour la période couvrant les cinq maxima de 1950-52-54-56-67 ( figure 1).

     

     

    En fait le problème déterminant, toutes les tentatives faites jusqu’ici étant insuffisantes sur ce point, est celui du nombre des données de base. Le nombre total d’observations qui furent effectivement faites sur le globe depuis 1944 est impossible à estimer. Au moins 10000 observations suffisamment précises en dates, et venant de toutes les régions du globe, pourraient actuellement être rassemblées. Nos propres évaluations d’un coéfficient de corrélation entre les fréquences des observations et la distance de MARS étaient basées sur un peu plus de mille cas. Les évaluations précédentes s’appuyaient sur quelques centaines de données seulement. En fait la périodicité des observations d’OVNIS n’est pas la seule caractéristique intéressante. Son étude permet d’orienter la recherche vers tel ou tel type d’interprétation physique mettant en jeu des effets périodiques comparables. Il serait intéressant de trouver un cycle général de 11 ans (comme le soleil avec un cycle maximum et minimum) par exemple, ou encore une corrélation avec des explosions nucléaires, ou tremblements de terre. Mais une analyse complète, séparant les effets cycliques d’une variation générale, et tenant compte de l’effet du « bruit » en étudiant sa répartition, est beaucoup plus utile. C’est une méthode de traitement élémentaire de la variation de fréquence que je propose de développer ici, en restant à un niveau très intuitif et en n’introduisant que des modifications théoriques tels que l’introduction d’une pondération définie en fonction de la densité de la population ou de la situation géographique de la région où chaque série d’observations est faite, me paraisse de nature à masquer les phénomènes.

    Dans les méthodes usuelles, on cherche à décomposer une distribution de fréquence en variations caractéristiques. Elles sont classées en quatre groupes principaux :

    TYPE 1- Variations à long terme.

    TYPE 2- Variations cycliques.

    TYPE 3- Variations saisonnières.

    TYPE 4- Variations irrégulières.

    L’analyse de la série consiste en la description de ces composants à partir de l’hypothèse que la fonction du temps observée peut être décomposée en un produit de quatre fonctions respectivement responsables des quatre variations ci-dessus. Nous allons suivre cette méthode (en renonçant à mettre en évidence une composante saisonnière) pour aboutir à une description empirique générale de la variation de fréquence réservant pour une suite des études objectives plus poussées, mais aussi moins susceptibles d’interprétation immédiate. Dans cette étude, nous prenons comme point de départ un catalogue général d’observations rassemblant plus de 3000 cas.

    Si l’on prend comme intervalle élémentaire une durée d’un quart de mois, on obtient à partir de ce catalogue une répartition de 2708 observations en 768 intervalles. Plus de 300 de ces observations appartiennent au TYPE 1, 44 au TYPE 2, et 270 au TYPE 3, tandis que le TYPE 4 fournit la plus importante contribution avec 1187 cas. Les courbes de variation de la fréquence annuelle pour trois catégories spécialement intéressantes sont données (figure 2).

     

    Les fluctuations observées apparaissent comme nettement liées, mais l’existence d’une forte « tendance » contribue à masquer les effets périodiques qui peuvent exister dans la répartition originale. La première opération consiste donc à évaluer cette tendance générale pour éliminer, et à bloquer dans cette élimination la majeure partie de la composante irrégulière.

     

    *** LES VARIATIONS CYCLIQUES ***

     

    La nouvelle distribution est alors adoucie à son tour, donnant la courbe (figure 3) qui dépend essentiellement de la composante cyclique qui est notre principale inconnue. En effet, les variations saisonnières, si elles existent, ne sauraient être mises en évidence avec précision dans cette étude élémentaire, et l’espoir d’une analyse détaillée à ce point doit être abandonné tant que des catalogues d’observations beaucoup plus étendus n’auront pas été réunis. (Ce qui n’était pas encore réalisé en 2006 ?). Le problème de l’analyse de la composante cyclique revient à la recherche d’un phénomène périodique représentant la courbe de la Figure 3.

    Une méthode intuitive pour conduire cette recherche consiste à étudier en fonction des valeurs de la « période », le comportement d’une certaine mathématique qui représente l’erreur que nous ferions si nous représentions les variations du nombre de cas par une courbe simple. Le minimum de cette erreur nous indiquerait la meilleure représentation, c’est-à-dire la meilleure période. Sans entrer dans plus de détails, disons simplement que, lorsqu’on effectue ce calcul, on trouve deux minima, qui correspondent aux valeurs suivantes de la période : un an trois mois et deux ans deux mois. La seconde. La seconde valeur est précisément la période des rapprochements de la planète MARS. La première est peut-être une coïncidence numérique, car le maximum correspondant se déplace lorsque l’on complique l’expérience, alors que la seconde reste toujours à la même place. Le fait d’avoir trouvé une période très proche de celles des oppositions de MARS pour la fonction périodique en question est évidemment important. Il peut-être considérer comme une confirmation, dans un domaine plus étendu, de nos premières études élémentaires rappelées Figure 2. Cependant, nous sommes encore loin d’un résultat qui pourrait être retenu comme une démonstration claire de cette retenu comme une démonstration claire de cette corrélation, et je rappelle que ces calculs ne sont présentés qu’à titre d’illustration.

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    *** LA CORRELATION AVEC MARS ***

     

    Pour analyser la fréquence des vagues d’observations d’OVNIS au cours des 30 dernières années, il faut noter que cet intervalle de temps est encore insuffisant pour tester de manière absolument significative l’existence d’une période de plus de deux ans. (Les ufologues sont rares sur le terrain actuellement !) Mais nous avons trouvé une périodicité d’un an et un mois environ. Elle apparaît assez clairement et pourrait indiquer une confirmation de la période trouvée plus haut (exactement le double) ou un déplacement du maximum secondaire que nous avions aussi remarqué : la question n’est donc pas réglée. Nous avons aussi utilisé une autre technique de calcul en effectuant la « cross-corrélation » de la courbe des observations et de la distance TERRE-MARS. Certains chercheurs privés ayant d’autre part avancé l’idée d’une corrélation avec les oppositions de VENUS, qui serait nette, d’après leurs données, dans cette période récente nous avons décidé de ne pas exclure cette possibilité et de donner, sans conclusion définitive évidemment, les résultats des deux expériences. Toute tentavive d’association d’un phénomène physique terrestre à un mouvement astronomique est excessivement complexe.

    Nous connaissons actuellement de nombreux phénomènes terrestres liés à des cycles astronomiques, particulièrement aux effets physiques intervenant sur le soleil (comme par exemple le réchauffement du soleil lié aux différences de climat sur la TERRE). Mais une relation avec la proximité d’une planète ne peut être interprétée que sur deux plans : le plan psychologique (la proximité de la planète et par conséquent sa brillance dans le ciel local étant à l’origine d’une certaine catégorie émise d’interprétation, d’hallucination et d’illusion) et sur le plan, qui est évidemment plus attirant pour l’imagination des conceptions « extra-terrestres », où des « OVNIS » seraient des engins pilotés en provenance d’une autre planète où d’une dimension différente. Nous avons donc là un moyen supplémentaire d’obtenir des indications sur les principales théories en présence.

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    Pour conduire cette expérience, nous avons dressé une liste des distances de MARS et VENUS, d’après une table astronomique usuelle en conservant quatre valeurs par mois comme la fréquence des apparitions des OVNIS. Ils nous semblent pourtant que l’idée que la corrélation avec VENUS reste inférieure à celle observée avec MARS, et que, d’autre part, une périodicité de l’ordre de 25 mois, s’introduit objectivement dans la distribution de fréquence originale. On ne peut donc que souhaiter que le calcul soit repris lorsque des données de base plus étendues auront été rassemblées. En effet, il est possible de doubler le nombre de données utilisées dans cette étude en incluant les nombreux documents européens et américains qui n’ont pas encore été dépouillés, et à notre avis ce travail doit être fait avant que l’on puisse espérer aboutir à une conclusion définitive (il est vrai qu’Internet devrait nous aider rapidement).
     
    Lorsque ces nouvelles données auront été obtenues, il sera possible de critiquer sérieusement les hypothèses avancées par certaines personnes concernant une seconde périodicité superposée à une corrélation avec MARS. Il serait plus intéressant de reprendre cette question si certaine vagues étaient qualitativement différentes de certaines autres, comme celle de 1990 par exemple, ou si le décalage entre le maximum et l’opposition de MARS était constant, comme on l’a suggéré, avec le déroulement des saisons martiennes, des photographies de la planète rouge prouve cette théorie. Aucune recherche scientifique reconnue n’a été encore faite, seul des groupes privés sont arrivés à cette conclusion. Pour nous, nous sommes donc disposés à entrer en relation avec tous les groupements officiels ou privés qui accepteraient de discuter sérieusement les conditions d’une centralisation de l’information.

     

    A mon avis à titre personnel, et d’après les ensembles de recherches astronomiques, la planète MARS sera un élément important pour le passage des OVNIS dans une porte spatio-temporelle à l’échelle du système solaire. En effet la position dans l’espace de certaines planètes proches de la TERRE, aurait une relation très étroite avec les vagues d’OVNIS ; ceci reste à prouver par une étude très sophistiquée, et cette fois-ci d’une manière très scientifique dans l’astrophysique. L’important de cette porte spatio-temporelle représente d’après moi l’exemple d’un passage d’un vaisseau de grande dimension, tandis que celles des transferts de dimensions sur la TERRE représentent des portes de capacités très inférieures pour des objets ou personnes. Reste à prouvé, mais surtout à expérimenter ces fameuses portes sur des lieux très précis comme les chambres initiatiques qui sont en relation avec les courants telluriques (étude en cours), beaucoup de découvertes vont venir apporter de l’eau a notre moulin dans les années à venir…

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    http://www.extraterrestres.net/html/ejulien03.php

      

    La taverne de l’étrange- 12 novembre 2007

    « Une RR3 à Tampon, Île de la Réunion !TOUTANKHAMON exposé au public ! »
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  • Commentaires

    1
    visiteur_Laurence77
    Lundi 12 Novembre 2007 à 15:41
    Article tr?int?ssant, comme d'habitude ;-)
    Merci !
    2
    visiteur_Top
    Lundi 12 Novembre 2007 à 20:51
    Si les portes spatio-temporelles s'av?nt ?e vrai, alors ??minerait un des grands argument que les sceptiques ?a r?it?es vaisseaux venu d'ailleur utilisent souvent. A savoir "vu la taille de l'Univers, il faudrait des 100taines d'ann? avant qu'ils puissent atteindre la Terre, donc c'est impossible".
    3
    visiteur_Awac
    Mercredi 14 Novembre 2007 à 10:46
    Super-interressant ! ca expliquerai pas mal de choses. H?s, ce n'est qu'une hypotese. on le saurat un jour de toutes facon.

    PS: j'ai vu votre article dans le dernier top secret et je dois de vous feliciter car il etait vraiment bien :-)
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