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    Un requin-lutin, une espèce rare de requin préhistorique surnommé «l'alien des abîmes», a été capturé au large de l'Australie et remis à un musée qui a montré mardi l'étrange animal. Vivant dans les grandes profondeurs, le requin-lutin a un nez aplati, un corps rose et flasque et des dents en forme de clou.

    Il mesure entre trois et quatre mètres de longueur à maturité. «Il est assez impressionnant. Il n'est pas hideux, il est beau», a assuré le responsable des collections de poissons de l'Australian Museum, Mark McGrouther.

    «Ce n'est pas courant d'en attraper un et il est d'ailleurs assez rare de croiser cet animal», a-t-il également indiqué, précisant qu'il s'agissait seulement du quatrième requin-lutin du musée. Il a été capturé en janvier par un pêcheur près d'Eden, au large de la côte sud-est de l'Australie, à environ 200 mètres de profondeur. Le corps de l'animal en excellent état a été remis à ce musée de Sydney après un passage par un aquarium.

    Il propulse sa mâchoire et attrape tout ce qui passe»

    Le requin-lutin est présent dans les océans Pacifique, Atlantique et Indien. Bien qu'on sache peu de choses sur cet animal, dont le nom scientifique est «Mitsukurina owstoni», il est considéré comme un fossile vivant, datant de quelque 125 millions d'années. Le requin-lutin est doté d'une mâchoire étonnante qu'il déploie en avant dès qu'une proie est détectée puis qu'il rétracte sous son nez charnu en forme de pelle.

    «Il ratisse le fond sous-marin puis quand il détecte un petit poisson, un calamar ou un crabe, il propulse sa mâchoire et attrape tout ce qui passe», a expliqué Mark McGrouther.
     
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  • Lac Khyargas-Nuur1
     
    Un groupe de chercheurs russes est revenu des rives du lac mongol Khyargas Nuur. Ils ont essayé de découvrir d’où venaient les traces qui apparaissent régulièrement sur les rives du lac. Elles pourraient appartenir à un grand reptile.
     
    Les grandes traces sur les rives du lac Khyargas Nuur ont été découvertes au milieu des années 1980 lorsque des membres d’une expédition géologique soviético-mongole dirigée par Viktor Iarmoliouk s’étaient arrêtées là pour se reposer. Les années suivantes, les géologues y ont encore fait une halte à plusieurs reprises. Des zoologues y sont allés aussi. À chaque fois, les scientifiques ont vu des groupes de traces relativement fraîches, s’étalant à plus d’un kilomètre et demi de l’eau, comme si un reptile était sorti de l’eau et était resté un bon moment sur le sable.
     
    Les hypothèses voulant que ces traces proviennent d’un animal habitant sur la terre ferme ou qu’elles aient été laissées par l’homme ont été réfutées. Celle sous-tendant qu’elles aient pu être formées par les vagues ou le vent a aussi été écartée. Le rivage du lac Khyargas Nuur est un lieu désert et inhabité, se trouvant à une centaine de kilomètres du village le plus proche. Les nomades avec leurs animaux et les clients de l’auberge de tourisme à proximité ne passent pas près des rives. De plus, les géologues ont une nuit entendu des mugissements provenant du milieu du lac.
     
    Toutefois, aucune expédition zoologique ou hydrologique sérieuse ne s’est rendue sur les rives du lac mongol. Il y a cependant des amateurs qui explorent différents sites étranges. L’écrivain et homme public Igor Grichine s’est rendu au lac Khyargas Nuur avec le groupe cet été. C’est la deuxième fois qu’il y va, la première était en 2010. Cette année, ils se sont armés de bon matériel, dont une sonde acoustique de dernière génération.
    « La dernière fois, à côté des traces de tailles différentes, nous avons trouvé des os qui ne peuvent pas appartenir à un autre animal en Mongolie. Nous pêchons assez souvent des poissons avec des traces de dents. Tout le monde sait qu’il n’y a qu’un seul genre de poisson, Oreoleuciscus, qui vit dans ce lac, et il n’a pas de dents. Cette année, à l’aide d’un catamaran et d’une sonde acoustique, nous avons pu trouver les traces au fond du lac. Cela nous pousse à penser que soit elles appartiennent à plusieurs individus de tailles différentes, soit qu’elles proviennent de différentes parties du corps d’un même animal, » raconte Igor Grichine.
     
    Lac Khyargas-Nuur2
     
    Qui plus est, les trappeurs ont aperçu sur le rivage des sillons, comme si quelqu’un avait tiré une barge ou un canot sur le sable. Mais il y a nulle part où prendre un tel engin au Khyargas Nuur. Les chercheurs en ont donc conclu qu’il s’agissait de traces de pierres que les animaux auraient pu bouger. En fouillant un peu dans la littérature, ils ont appris que les habitants préhistoriques des fonds marins, comme les plésiosauriens, avalaient des pierres. Sans elles, ils ne pouvaient pas digérer. Valéri Nikolaïev, zoologue et chercheur à la réserve de Valdaï, qui n’a pas eu l’occasion d’aller au Khyargas Nuur, partage l’hypothèse de l’existence d’un reptile préhistorique géant. Il explique que les gens ne vont pas près du lac parce qu’ils ont peur d’un animal inconnu, qu’ils appellent « baleine ».
     
    « La population locale mongole, même si elle ne passe pas très loin du rivage, ne s’intéresse pas du tout au lac. De plus, ceux qui vivent assez près du Khyargas Nuur disent que d’énormes créatures y vivent. C’est évidemment une légende, un mythe, mais il y a de nombreux cas dans l’histoire de la science où des animaux ont été découverts grâce à de tels incroyables récits. Prenons par exemple le panda ou le “fossile vivant”, le cœlacanthe, un poisson qui n’a pas changé depuis 400 ans, l’okapi de la famille des Giraffidés. Ils étaient tous une légende au début. »
     
    Le maitre du Khyargas Nuur pourrait être un animal vestige, qui pourrait dater de la période préglaciaire. Dans les régions sud de la planète, en Asie centrale y compris, tous les animaux n’ont pas eu à subir la glaciation. Les chercheurs pensent que les fleuves mongols de la région sont des restes d’une mer pléistocène préhistorique et que le poisson Oreoleuciscus, dont pourrait se nourrir le mystérieux reptile, est un genre vestige.
    Des observations ultérieures de scientifiques chevronnés et d’équipements de haute qualité pourraient bien sûr résoudre ce mystère de la nature. Cependant, l’audacieux groupe d’Igor Grichine n’a pas encore réussi à s’agrandir. Il est convaincu que le rivage désert du lac, semblable à la surface de Mars, effraie et n’est pas très accueillant.
     
    « Aussi étrange que cela puisse paraître, tous les zoologues qui devaient partir avec nous pour l’expédition se sont désistés au dernier moment. Honnêtement, cet endroit n’est pas très accueillant. Nous avons l’impression que tous les éléments réagissent à notre présence. Cette région est très sèche, mais dès que nous nous sommes installés, il y a eu des bourrasques et de la pluie pendant quatre jours. Il y avait de l’orage. Mener des recherches dans le lac est difficile, et même risqué à cause des tempêtes et des rafales de vent. On peut être emporté en une seconde à un endroit d’où on ne peut pas se sortir. »
    Cependant, les trappeurs n’abandonnent pas et espèrent que l’année prochaine ils pourront relancer une expédition avec des scientifiques.
     
    Monstre Du Loch Ness - GIFMANIA
     
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  • OVNI de la Baltique - OCEAN X, une équipe perplexe...

     
     
    ll faut l'admettre : le mystère de l'OVNI de la Baltique s'épaissit ! Quelque chose d''unique et de totalement inconnu s'est révélé lors des plongées vers le mystérieux objet submergé au fond de la mer Baltique.
     
     
    L'équipe de l'océan X, à plusieurs reprises, a plongé vers l'objet en forme de cercle dans la mer Baltique et a découvert quelque chose d"inédit. D'abord les plongeurs ont pensé qu'il s'agissait juste de pierre ou d'une falaise rocheuse, mais après de nouvelles observations de l'objet cela semble être un immense champignon !
     
    Unique et énigmatique !!!
     
    L'équipe a remarqué un fait étrange : à l'approche de l'objet leur matériel ne fonctionnait plus ! Ce qui ralentit considérablement l'étude de cet immense "champignon"
    La caméra sous-marine ainsi que les outils d'observation utilisant le satellites étaient hors d'usage ! Stéphane Hogeborn plngeur de l'expédition, témoigne de ces anomalies et estimes que celles-ci sont uniques. En outre, les plongeurs ont évolué 200 mètres plus loin, et leur équipement fonctionnait de nouveau !
     
    L'objet émet sans doute des rayonnements radioactifs... Encore une énigme qui laisse perplexes les experts.
     
    « C'est la chose la plus étrange que j'ai jamais vue en tant que plongeur professionnel », admet Peter Lindberg, l'un des membres fondateurs de océan X.
    À l'heure actuelle, les scientifiques se penchent sur des échantillons de l'objet , et des experts en imagerie effectuent le traitement des données à partir du navire dans l'espoir de faire la lumière sur le mystérieux objet.
    Cet objet submergé non identifié fait la Une de la presse anglo-saxonne depuis plus d'un mois car sa nature est pour le moment l'une des plus grandes énigmes de ces dernières années ! En effet, un tel mystère est extrêmement rare.
     

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    L'OVNI de la Baltique fait de nouveau la Une des journaux !
     
     
    photo non contractuelle
     
    L'expédition Ocean X s'est rendue sur les lieux où avait été repérée une étrange formation du fond marin que certains percevaient comme un vaisseau spatial.
     
    On nous cache tout, on nous dit rien ? (Jacques Dutronc)
     
    Une équipe de plongeurs a été envoyé pour procéder à un examen approfondi.
     
    Pourtant l'un des responsables de la mission Dennis Asberg a déclaré : « Tout est top secret maintenant , en raison des risques, j'espère que vous comprenez tous qu'il ne s'agit pas d'un jeu. La vérité sera révélée dans peu de temps. »
     
    Une première analyse des images prises lors de la plongée a été effectuée à bord du navire Ocean X et a révélé que l'objet ne ressemblait à aucun autre navire coulé , notamment en raison de sa taille et de sa forme circulaire.
     
    En outre, les plongeurs ont rapporté à la surface un objet inhabituel. Nous disposons de peur d'informations sur la nature cet objet mystérieux car l'équipe est restée très vague.
     
    OCEAN X a découvert quelque chose d'unique, d'anormal !
     
    Il ne s'agit pas d'un énorme rocher ou d'une falaise rocheuse, l'objet est apparu plutôt comme un champignon énorme avec une ouverture sur la partie supérieure, entouré d'étranges cercles de pierres couvertes à ce qui ressemble à de la suie.
     
    En Juillet 2011, la vidéo des images SONAR postée sur YouTube avait rapidement fait le buzz.
     
    Certains y ont vu un navire russe, un vaisseau extraterrestre antique, d'autres un vestige de la légendaire Atlantide... A suivre...
     
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    Un article publié le 29 mars par Z.Royer, sur le site anglophone ''Apparently Apparel'' fait l'effet d'une bombe !
     
     
    Le triangle des Bermudes abriteraient des structures pyramidales de verre !
     
     
    Des pyramides sous-marines auraient été découvertes à une profondeur de deux mille mètres, elles auraient été identifiées à l'aide d'un sonar, selon l'océanographe Dr Verlag.
     
    Royer rappelle que des scientifiques américains et français ont récemment exploré les fonds marins du Triangle des Bermudes et auraient  trouvé une pyramide dont la base mesure  300 mètres, et dont la hauteur serait de 200 mètres de hauteur.
     
    Cette structure serait faite de verre ou de cristal !
     
    Interrogations et hypothèses
     
    L'auteur s'interroge sur l'origine de cette structure ( a-t-elle été construite sur des terres ravagées par un cataclysme et donc engloutie? ) et sur l'authenticité de la découverte (s'agit-il d'un hoax élaboré?)
     
    Si cette découverte est vraie, elle viendrait apporter des arguments en faveur de ceux qui situent l’Atlantide au fond de l’Océan Atlantique.
     
    Le prophète Edgar Cayce était un fervent défenseur de cette légende, il situait l’Atlantide près de l’île de Bimini, dans les Bermudes.
     
     
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