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    Aussi mignons soient-ils, les chats représenteraient une menace pour leurs maîtres, selon des chercheurs de l'Université de Michigan. 
     
    Pourtant réputés pour leur aptitude à diminuer le stress, notamment lorsqu'on les caresse, ils pourraient dans certains cas favoriser l'anxiété chez les humains qui les côtoient. A l'origine de ces symptômes se trouve un parasite dont les chats sont fréquemment porteurs, Toxoplasma Gondii. Ce dernier se trouverait notamment dans les déjections du félin. 
     
    Pour établir le lien entre l'anxiété et le parasite, les chercheurs ont étudié les échantillons sanguins de 450 adultes. Ils ont ensuite constaté que les échantillons dans lesquels se trouvaient des anticorps au parasite correspondaient aux cobayes présentant des Troubles anxieux généralisés (TAG). Mieux, ils se sont rendus compte que les cobayes présentant le plus haut niveau d'anticorps étaient en moyenne trois fois plus sujets aux TAG. 
     
    Un excès de dopamine dans le cerveau
     
    Selon les chercheurs, si certains anticorps servent à détruire les parasites de Toxoplasma Gondii, d'autres prennent la direction du cerveau. L'étude affirme ainsi que le parasite entraînerait un excès de dopamine dans le cerveau, qui perurberait la transmission des signaux entre les cellules et provoquerait les troubles. Les TAG se traduisent par un état d'anxiété constant, accompagné d'une accélération du rythme cardiaque, de l'agitation et un souffle plus rapide.
     
    Ce n'est pas la première fois que Toxoplasma Gondii est mis en cause pour son impact sur la santé humaine. Il est ainsi déconseillé depuis longtemps aux femmes enceintes d'approcher les chats, car le parasite peut entraîner des fausses couches ou la mort du nourrisson à la naissance. 
     
    Les chercheurs ont toutefois tenu à relativiser le danger : dans 80% à 90% des cas, la toxoplasmose n'entraîne aucun symptôme, et le porteur en s'en aperçoit pas. Ce, alors qu'on estime que près d'un tiers de la population sera infectée à un moment ou un autre. Afin de minimiser le risque, il est toutefois conseillé de porter des gants lorsqu'on change la litière du chat. 
     
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    Le nombre de morts est 14 fois plus important que le nombre de vivants sur notre planète. Seuls 6,8% de tous les êtres humains qui sont passés sur Terre sont actuellement en vie.   Saviez-vous que nous vivions entourés du spectre de plus de 100 milliards d'êtres humains ? C'est en tout cas la sensation que l'on peut avoir à la lecture d'un article du site américain FiveThirtyEight, repéré par Slate, qui donne la chair de poule. La journaliste Mona Chalabi, spécialiste de data journalisme s'est amusée à décompter le nombre d'être humains qui sont passés par la planète Terre depuis le début de l'humanité.   Depuis que l'être humain existe, environ 108,2 milliards de personnes sont mortes. Ces données s'appuient sur les calculs de Carl Haub, démographe au Population Reference Bureau. A ce chiffre, il faut soustraire les 7,4 milliards d'êtres humains qui vivent actuellement sur Terre.   Ce qui revient à dire que 6,8% de tous les êtres humains qui sont passés sur Terre sont actuellement en vie. Ou, si on le formule différemment, que les morts sont 14 fois plus nombreux que les vivants.   Le mort moyen est jeune, rural et de sexe masculin   Mais cette proportion devrait changer avec la croissance démographique. En 2050, la population mondiale devrait en effet atteindre les 9,7 milliards d'êtres humains. Le nombre de morts ne serait ainsi "plus que" 11 fois plus important que le nombre de vivants.   L'article présente également le portrait robot du mort moyen. Il est relativement jeune, puisque l'espérance de vie entre 3500 et 2000 avant JC n'était que de 36 ans et de 17 ans entre -4000 et -3000. Il est plus souvent de sexe masculin, puisqu'il naît plus de garçons que de filles. Enfin, il est majoritairement issu du monde rural: seule 29% de la population mondiale vivait en en ville en 1950.
    http://lci.tf1.fr/insolite/les-morts-sont-14-fois-plus-nombreux-sur-terre-que-les-vivants-8678751.html
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  • Quizz36

     
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    La très sérieuse agence fédérale « Center for disease control and prevention » a souhaité rassurer l’Amérique et le monde en général en publiant au sujet des diverses attaques de « zombies » qui ont secoué l’Amérique au début de l’été 2012, un démenti à propos de leur existence : « aucun virus ni maladie qui ramènerait les morts à la vie, ou qui présenterait des symptômes similaires aux zombies » n’existerait. Pourtant le public reste perplexe, et pour cause, rien ne justifie ces meurtres d’un nouveau genre.

     

    « Zombie apocalypse » c’est à ce jour la troisième recherche la plus utilisée sur le moteur Google aux Etats-Unis. On pourrait penser à une excentricité de la part de nos voisins d’outre-Atlantique, pourtant on ne peut leur reprocher de se montrer prudent ou même prévoyant quant à la possibilité d’une attaque massive de zombies. Les faits ne jouent pas en la faveur de l’agence fédérale (CDC) qui a rappelé qu’aucun virus zombie n’avait été détecté. Alors comment expliquer la succession de faits-divers monstrueux survenus au début de l’été 2012 ?

    IL MANGE LE VISAGE D’UN SDF

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    La scène puis la victime en haut et Eugene Rudy en bas. La victime après…

    La paranoïa débute le 26 mai 2012 lorsqu’un Américain est abattu alors qu’il dévorait le visage d’un SDF… vivant ! « L’homme était en train de le déchirer en morceaux avec sa bouche » raconte un témoin. « Je lui ai dit de descendre, mais il continuait de manger l’autre, de lacérer sa peau. Un officier de police est arrivé et lui a dit de descendre plusieurs fois, puis a fini par grimper sur la cloison et, une fois en face de lui, a répété : « Descendez ! » ; mais l’homme s’est juste retourné, avec un morceau de chair dans la bouche, et a grogné. »

    Les témoignages sont hallucinants, dignes d’un mauvais film d’horreur à petit budget, mais ils sont bien réels. Le cannibale de Miami, rapidement appelé le Zombie de Miami, sera finalement abattu par les forces de polices alors qu’il continuait à manger le visage du SDF. Le plus étrange, et alarmant, c’est qu’il n’a pas fallu une seule balle pour arrêter le macabre festin. Plusieurs coups de feu ont été nécessaires pour stopper Rudy Eugene.

    Après une autopsie, les autorités américaines ont expliqué la force physique du zombie par la prise d’une nouvelle drogue dérivée du LSD, le « bath salts », comprenez littéralement « sels de bain ». Une drogue vendue en toute légalité sur plusieurs territoires américains et qui aurait pour symptômes d’augmenter la chaleur corporelle (E. Rudy était nu au moment des faits), la force physique, l’agitation, l’agressivité et de créer de nombreuses hallucinations. Un homme devenant fou suite à la prise de drogue au point de tuer un autre peut ressembler à un fait divers sordide, mais banal. Pourtant, le cannibale de Miami s’inscrit dans du jamais vu. L’attaque s’est produite en milieu urbain, en pleine journée, sans même se cacher des regards. Comme une pulsion cannibale que l’on attribue aux zombies. Habituellement les cas d’anthropophages montrent que les agresseurs n’opèrent que la nuit et à l’abri des regards indiscrets. Un fait que personne n’oubliera.

    CES AUTRES FAITS QUI INQUIETENT

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    Un cas ne suffit pas pour justifier l’inquiétude de la population américaine. Le Zombie de Miami a été le premier, mais rapidement d’autres faits similaires se sont succédés. A peine remis de l’histoire de Miami, voilà qu’un scénario encore plus barbare ébranle l’Amérique. Un étudiant à la Morgan University de Baltimore, dans le Maryland, a le 31 mai 2012 assassiné son colocataire avant de le découper en morceaux, et manger son cœur, ainsi que plusieurs bouts de son cerveau. Alexander Kinyua, responsable des faits, a été arrêté pour assassinat. La victime était portée disparue depuis quelques jours. Différents bouts de son corps ont été retrouvés dans un container proche de la maison du meurtrier.

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    Rappelez-vous aussi de l’horrible histoire de Lukka Rocco Magnotta, qui a tué, violé et mangé un jeune homme avant de disparaître dans la nature. Cet homme toujours recherché (à l’époque) a commis ces atrocités à Montréal. Aimant se mettre en avant, il a filmé l’horreur de son geste et l’a posté ensuite sur Internet. On y voit ainsi le jeune homme blanc sur un fond de « True Faith » du groupe New Order, mimer une scène du film Basic Instinct avec un pic à glace, avant de découper sa victime…

     

    PEUT-ON PARLER DE ZOMBIE ?

    Etymologiquement parlant, on pourrait. Le mythe du zombie a été déformé par la filmographie et les nouvelles séries télévisées, mais à son origine, le zombie est une pratique vaudou réelle, qui consiste à administrer une puissante drogue et plonger la victime dans un état cataleptique. Cette drogue permet de suspendre les sensations et les mouvements volontaires, sans pour autant perdre conscience. La victime entend tout ce qu’il se passe, mais ne réagit pas comme il le faudrait. Cette définition s’approche donc bien du fait-divers de Miami. Si l’on considère en revanche le zombie comme un homme revenu d’entre les morts, l’apocalypse n’est pas pour demain. En considérant le zombie comme un monstre, mangeur de chair, psychologiquement instable et drogué, une invasion de zombie est scientifiquement plausible ! C’est ce qu’affirme une virologue de l’Université de Floride (à Miami évidemment), dans un documentaire de National Geographic. Cet entretien dévoile qu’une pandémie de zombies pourrait naître avec la combinaison du virus de la rage avec celui de la grippe mutée. Samita Andransky tente néanmoins de rassurer le public « Il est théoriquement possible mais extrêmement difficile de créer un virus hybride rage et grippe en utilisant des techniques modernes de génie génétique ».

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    -SOURCE-

    Le Monde Inconnu n°358 d’octobre/novembre 2012

     

    -LIENS-

     

    http://www.20minutes.fr/monde/945015-20120601-etats-unis-etudiant-arrete-apres-avoir-tue-mange-cur-partie-cerveau-colocataire

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  • Cette sculpture colossale du 16e siècle a des pièces cachées à l’intérieur
     
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    Cette sculpture colossale épique d’un homme dans une montagne a été créée à Florence vers la fin des années 1500 par le sculpteur de renommée italien Giambologna en tant que symbole des montagnes rocailleuses Appenine d’Italie.
     
    La statue renferme un magnifique secret – l’intérieur est constitué de plusieurs pièces avec différentes fonctions qui donnaient vie au colosse. Il est cru que l’espace dans sa tête fût conçu pour un foyer qui, lorsqu’allumé, expirait de la fumée de ses narines.
     
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    Le monstre qu’il tient dans sa main gauche crachait de l’eau d’un ruisseau souterrain.
     
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