• Disclose.tv - UFO With Aliens Caught On Camera !!!! Dec. 6, 2013

     

    Encore une vidéo qui arrive bien pour cette fin d'année; vous me direz que c'est trop beau pour être vrai mais je voulais la partager avec vous. Certainement qu'une fois de plus, c'est un montage très bien réalisé qui risque encore de discréditer le phénomène. La désinformation se fait à l'aide de vidéos comme celle-là mais dans certain cas, elles sont vraies et passe à l'insu de tous sauf pour le témoin qui ne s'est pas manifesté et interrogé...

    Je vous souhaite un très bon réveillon de Noël pour demain soir, entouré de vos proches et amis. Joyeuses fêtes de fin d'années et merci à tous !

    Gardez l'oeil ouvert et le bon si possible...

    Aura2

     

    Partager via Gmail Pin It

    9 commentaires
  • La mystérieuse créature pourrait en fait être issue d'un croisement entre un ours brun et un ours polaire.
     
     
    L’énigme de l'«Abominable homme des neiges» a-t-elle été résolue? Selon un chercheur britannique de l’université d’Oxford, le légendaire «yéti» pourrait être le résultat d’un croisement entre un ours polaire et un ours brun. Le généticien Bryan Sykes a expliqué jeudi avoir soumis à des tests ADN une série d’échantillons de poils d’animaux trouvés dans l’Himalaya. «Nous avons trouvé une correspondance génétique totale entre deux échantillons provenant de l’Himalaya et un ancêtre de l’ours polaire», a-t-il dit sur la BBC.
     
    L’ADN de deux créatures non identifiées provenant de la région de Ladakh en Inde et du Bhoutan correspondaient à 100% avec un échantillon prélevé sur la mâchoire d’un ours polaire trouvée sur l’archipel norvégien de Svalbard où il a vécu à une période remontant à au moins 40 000 ans et jusqu’à 120 000 ans. «C’est un résultat passionnant et complètement inattendu, qui a été une surprise pour nous tous», a déclaré le scientifique dans un communiqué.
     
    «Il y a encore du travail à faire pour interpréter les résultats, a-t-il poursuivi. Mais nous pouvons nous interroger sur les explications possibles. Cela pourrait dire qu’il y a une sous-espèce d’ours brun dans l’Himalaya qui descend de l’ancêtre de l’ours polaire.» «Ou alors cela veut dire qu’il y a eu une hybridation plus récente entre l’ours brun et le descendant de l’ours polaire ancestral», a-t-il ajouté. «Si son comportement est différent des ours classiques, comme le rapportent des témoins, cela (son caractère hybride) peut être la source du mystère et de la légende», a estimé le scientifique.
     
    SPÉCIALISTE DES ADN ANCIENS
     
    Le mythe du «yéti», souvent décrit comme une bête mi-homme, mi-singe, a été nourri par des photographies d’empreintes géantes dans la neige, prises par l’alpiniste britannique Eric Shipton lors de son expédition dans l’Everest en 1951. L’alpiniste Reinhold Messner, qui a gravi à de nombreuses reprises des sommets de l’Himalaya et a cru en 1986 avoir aperçu la bête, avait conclu en 1998 dans son livre Ma quête du yéti que l’animal n’existait que dans l’imagination des gens qui le confondent avec l’ours brun de l’Himalaya.
     
    L'homme qu aurait trouvé le mystère du yéti, Bryan Sykes, n'a rien d'un débutant en ADN. Chercheur à l'univiersité d'Oxford, il est connu pour son expertise dans les ADN anciens. En 1989, il avait publié dans revue Nature une étude sur un ADN retrouvé sur des os issus de fouilles archéologiques. Il a conduit de nombreux travaux sur les ADN des différentes tribus des îles britanniques, a participé aux recherches sur Otzi, l'homme momifié retrouvé en 1991 dans un glacier autrichien et planché sur de prétendus descendants des Romanov.
     
    Auteur de divers livres de vulgarisation scientifiques sur ses recherches, il a prévu de publier un livre sur le Yéti au printemps prochain.
     
    *
     
    LIBERATION (AVEC AFP) 17 OCTOBRE 2013
    Partager via Gmail Pin It

    6 commentaires
  • lac natron1
     
    Le lac Natron a les mêmes capacités que Méduse, l’une des trois Gorgones. Les animaux sont transformés en pierre.
     
    Vous avez sans doute découvert le film le Choc de Titans dans lequel Méduse est présentée. C’est l’une des trois Gorgones et possède une chevelure de serpent. Lorsqu’une personne regarde ses yeux, elle est immédiatement changée en pierre. Le concept est presque similaire en Afrique puisque le lac Natron a la possibilité de transformer en pierre les animaux qui s’y baignent. C’est un fait assez surprenant mémorisé par le photographe Nick Brandt en 2011. Ce dernier était en voyage en Afrique et il a découvert dans ce lac très calme, mais mortel des animaux pétrifiés. Il a donc décidé de les mettre dans des positions naturelles pour leur redonner une vie artistique.
     
    60 degrés et un pH de 10.5
     
    Le résultat est saisissant et ce lac Natron a donc attiré la curiosité des scientifiques. Il est situé au nord de la Tanzanie et il se démarque des autres lacs du pays puisqu’il est salé. C’est un détail intéressant puisqu’en présence de sel, l’eau ne peut pas s’échapper, elle peut simplement s’évaporer. Ce n’est toutefois pas le seul lac salé dans le monde et certains sont très connus comme le Grand Lac Salé d’Amérique, il y a également la Mer Caspienne et la Mer Morte. Les scientifiques ont constaté que la température était de 60 degrés et le pH avoisinait 10.5 et cela à cause de la présence du natron qui est un mélange de soude et de bicarbonate de sodium.
     
    Des animaux transformés en pierre
     
    Nick Brandt a révélé dans une interview accordée à LiveScience qu’un contact (humain ou animal) avec ce lac entraînait « une douleur incroyable à la moindre petite coupure ». Les chercheurs savent donc que le contact avec cette eau extrêmement salée entraîne le changement en pierre de l’animal, mais ils ont toutefois des difficultés à savoir de quoi ils meurent. Ils estiment que le lac reflète le ciel comme un miroir. Lorsque les oiseaux s’en approchent, ils pensent qu’il s’agit du ciel et s’écrasent à pleine vitesse. Ils décèdent donc dans ce lac Natron d’Afrique et lorsque l’eau s’évapore, la concentration de soude et de sel augmente. Il est ainsi possible d’y découvrir des animaux changés en pierre. Les photos disponibles sur le site du photographe sont impressionnantes.
     
    *
     
    Image du Blog nounoutiti.centerblog.net
    Source : Nick Brandt 
    Via : Maxisciences
    Partager via Gmail Pin It

    3 commentaires
  • UFOLOGIE

    Les ufologues sont-ils victimes d’une malédiction ?

    Par Raymond Terrasse

    01
    De manière irrésistible, le mot : malédiction, reflète instantanément dans l’esprit des gens, celle qui frappe les découvreurs et tous ceux qui ont pénétré dans le tombeau de Toutankhamon, ce pharaon adolescent de la XVIIIème dynastie égyptienne : ou même qui s’en sont simplement approchés.

     

    En fait, comme une erreur mille fois répétée ne devient pas pour autant une vérité, la fameuse phrase : « La mort abattra de son aile quiconque dérangera le repos du pharaon », selon l’une des formules employées, car plusieurs versions de cette menace circulèrent, N’A JAMAIS EXISTE ! (La grande aventure de l’archéologie, trésors et tombeaux enfouis, R. Laffont). C’est Conan Doyle, père d’un célèbre détective à la loupe, et féru d’ésotérisme, qui le premier, lança l’idée que Lord Carnavon aurait pu être victime de « la malédiction du pharaon ». Depuis cette mémorable et glorieuse découverte archéologique, le temps et les avancées technologiques ont permis de calmer les esprits, et de revenir à une vision plus logique. Lord Carnavon était un généreux mécène qui permit la poursuite acharnée des fouilles jusqu’à leur merveilleuse conclusion.

    02
    Au centre Lord Carnavon et Howard Carter devant l’entrée du tombeau.

    S’il est décédé très rapidement après l’ouverture du tombeau, c’est à cause d’une piqûre de moustique, devenue mortelle par son état de santé déficient, et rendu encore plus fragile par le voyage éprouvant, et son séjour en Egypte. D’ailleurs, celui qui aurait dû être frappé en premier, et de manière foudroyante, est bien le découvreur, Howard Carter ; or, ce dernier vécut encore dix-sept ans, jusqu’à l’âge correct pour l’époque de 65 ans, compte tenu des années passées dans le climat torride égyptien. Bien sûr, les tenants de la malédiction ont cité plusieurs exemples d’accidents ou de décès suspects. C’est vite oublier, outre Carter, ceux qui ont survécu longtemps après leur approche du tombeau. Citons lady Evelyn Herbert, la fille de lord Carnavon, qui fut l’une des quatre personnes à découvrir les objets précieux dans l’antichambre ; Hall et Hauser, les deux dessinateurs de l’équipe. Et tous les touristes et curieux qui se pressèrent pour suivre l’enlèvement de toutes les pièces du mobilier. Sans compter les ouvriers qui participèrent au dégagement des escaliers, et au descellement des portes. Tout ce monde aurait dû être victime d’une véritable hécatombe. Ce qui ne fut pas le cas. Pourtant, la légende est tenace. Toutefois, peut-on l’appliquer aux ufologues ?

    Tout d’abord, qu’est-ce qu’un ufologue ?

    Je ne reviendrai sur le sigle : U.F.O. américain, dont la traduction correspondante exacte en français, donne O.V.N.I., simplement pour dire que le franglais ufologue est plus agréable à l’oreille que : ovnilogue. Il y a de nombreuses définitions selon l’esprit de chacun, la base étant : celui qui étudie le phénomène OVNI, ce qui présente une plage assez vaste. Il est possible d’en distinguer trois catégories décroissantes, car il ne suffit pas de lire un livre sur le sujet, ni même de s’abonner passivement à une revue, pour s’intituler ufologue.

    03
    François Truffaut dans le film « Rencontre du 3ème type » de S. Spielberg.

     

    La catégorie principale comprend les enquêteurs bénévoles sur le terrain, interrogeant les témoins, prenant des mesures et des photos, et rédigeant leurs rapports le plus objectivement possible. Certains de ces enquêteurs sont devenus célèbres à travers les livres qu’ils ont publiés. Le plus connu étant Jacques Vallée, qui servit de modèle pour le personnage de Lacombe, à travers François Truffaut, dans le film « Rencontre du troisième type ».

    Mais il y eut aussi : Aimé Michel, Charles Garreau, Jimmy Guieu. Et d’autres encore. Dans toute la France, il y en a plusieurs centaines, plus anonymes, mais qui sont tout aussi méritants, car c’est grâce à eux que l’on peut accumuler les renseignements. On peut y ajouter Jean-Jacques Vélasco, qui en tant que professionnel directeur du Sepra (en 2008), a fait du bon travail, ce qui lui a permis de se convaincre de la réalité du phénomène (OVNI l’évidence, éditions Carnot). Cette catégorie est aussi celle des fondateurs et dirigeants des revues publiées par les différents groupements détaillant tous les rapports, et discutant des différentes options du phénomène OVNI. Ces revues font connaître la deuxième catégorie : celle des « rats de bibliothèques », qui connaissent tout l’historique des atterrissages et des apparitions de la Vierge Marie, puisque ce sont les deux facettes de ce phénomène. Ces « rats » ont l’avantage, non seulement de publier des articles annexes, mais aussi d’apporter leur contribution, en créant de nouvelles voies de recherche : l’orthogéométrie (rubrique ovni à la taverne), qui relie les posés (atterrissage d’ovni) et les apparitions mariales aux hauts lieux préhistoriques et historiques, en accord avec le nombre d’OR.

    burkel et terrasse1
    Claude Burkel & Raymond Terrasse en 2009.

    Et la radiesthésie, lancée par l’ancien enquêteur Claude Burkel, au droit des atterrissages, et qui donne également des résultats spectaculaires à l’emplacement des apparitions mariales. La troisième catégorie, qui est loin d’être négligeable, est composée des volontaires bénévoles qui s’occupent des repas ufologiques (en France et l’étranger), afin de réunir quelques personnes autour d’un plateau-repas, tout en permettant à chacun de s’exprimer, d’apprendre, ou d’approfondir ses connaissances. Ces repas prennent heureusement de plus en plus d’extension, et nombreuses sont les villes qui se targuent de les accueillir. Les ufologues sont donc une autre race de chercheurs, différents des archéologues, car ils n’ont point l’habitude de déranger les mânes des rois, empereurs, ou pharaons endormis depuis des siècles ou des millénaires. Sont-ils pour autant à l’abri d’une malédiction ?

    Il est de fait que certains meurent, à l’instar de n’importe quel être humain, mais que de nombreux autres sont encore vivants. Si Aimé Michel, Jimmy Guieu (à 75 ans) et Bernard Bidault sont décédés, suite à des maladies longues et très douloureuses, Jacques Vallée a fêté, quant à lui, ses 70 ans en 2008. Evidemment, on peut suspecter les crises cardiaques de quelques-uns (le capitaine Ruppelt, chef du projet Blue Book pendant deux ans au début des années cinquante ; le journaliste Frank Edwards auteur de deux livres), voire le cancer des autres, d’être d’origine maudite, c'est-à-dire voulues et provoquées par des êtres, humains ou humanoïdes aliens. Dans quel but ?

    04
     
    En supposant qu’ils aient approché une Vérité qu’il ne fallait pas dévoiler, leur décès subit, alors qu’ils étaient reconnus en bonne santé générale, ne pouvait qu’attiser les soupçons, contraires à la discrétion recherchée. D’autre part, les moyens de répandre l’information ne manquent pas ; que ce soit la presse écrite ou parlée, journaux, radio, télévision, le téléphone, le courrier postal, les enregistrements divers, et maintenant Internet. Depuis cinquante ans, il est difficile, même impossible, de museler quelqu’un sans que cela déclenche une alerte inopportune. D’autant que la meilleure méthode, qui existe depuis des temps immémoriaux, est l’intoxication, la divulgation de fausses nouvelles ou informations, mélangeant le vrai et le mensonge, sans que l’on puisse faire la différence. L’affaire Roswell, le crash supposé d’un OVNI et la récupération des corps des passagers, en juillet 1947, est l’exemple même de cette intoxication. Présentée tout d’abord comme véridique, puis officiellement démentie, et transformée en expérience utilisant des ballons-sondes plus ou moins secrets, cette affaire est restée en sommeil durant une trentaine d’années ; avant de refaire surface, avec des amplifications et des exagérations, de part et d’autre des tenants et des sceptiques, et force livres à l’appui des deux thèses.

    05

    Au point qu’à l’heure actuelle, il est absolument impossible d’avoir une certitude absolue dans un sens ou dans l’autre. Tout se résume à une conviction personnelle sans preuves. Et quand on y réfléchit bien, on s’aperçoit que toute cette embrouille est uniquement le fait des ufologues ; les autorités américaines, civiles ou militaires, ne sont pas intervenues, se contentant de compter les points. Alors à quoi bon attirer l’attention sur quelqu’un, en provoquant volontairement son trépas prématuré ? De plus actuellement, les évènements bougeant à grande vitesse, nous sommes envahis, entourés, encerclés, ficelés, emberlificotés dans un salmigondis de fausses vérités et de vrais mensonges, d’images extraordinaires laissées diffusées certainement volontairement par la NASA. Cependant, si celle-ci est contactée, elle fait la sourde oreille.

    Prenez la photo de Phobos, le plus gros des satellites martiens ; chacun peut y voir clairement un monolithe géant sur le flanc d’un cratère. C’est un parallélépipède visiblement artificiel sans doute possible, semblable à ceux décrits par Arthur C. Clark dans les films 2001 et 2010. Pourtant les astronomes en sont toujours à douter que la vie existe ailleurs que sur la Terre.

    Le fameux monolithe sur Phobos, à droite agrandi.
     
    Ah évidemment, si quelqu’un avait la preuve formelle que des gouvernements, et plus précisément celui des Etats-Unis, avaient partie liée avec des étrangers à notre planète, ceux-ci ayant des bases souterraines à leur disposition, il faudrait impérativement museler le témoin gênant. Mais qu’appelle-t-on une preuve en la matière, et à l’époque où l’on fabrique de vrais faux billets de banque avec une imprimante laser ? Des affirmations gratuites ? Des photos numériques retouchées sur Photoshop ? Des films flous ? Un dialogue enregistré en langue inconnue ? Du sang non humain que seuls des spécialistes peuvent analyser ? Voire un cadavre ? L’autopsie de celui de Roswell a fait long feu. L’idéal étant l’exposition sur la place publique d’un ou plusieurs spécimens vivants de ces entités venues d’ailleurs, devant des centaines de journalistes affamés, et les caméras de télévision. Mais dans ce cas, cela deviendrait officiel, et il n’y aurait plus besoin d’éliminer les gêneurs.

    Ce qui, vous en conviendrez, est impossible sans l’accord de ces êtres, et des autorités incriminées. Pour la bonne raison que ces aliens, s’ils existent, sont en sûreté, et totalement inaccessibles au commun des mortels. Et comme les « informations » qui circulent à leur sujet, sont invérifiables, confuses, contradictoires, fantaisistes (il n’y aurait pas moins de sept races différentes installées sur Terre !), contenant en elles-mêmes les doutes qu’elles prétendent vouloir dissiper, il n’est absolument pas nécessaire de museler les informateurs. Au contraire, en laissant la liberté totale de répandre ces rumeurs, la confusion est encore plus grande, en partant justement du principe, que si c’était vrai, l’auteur aurait été neutralisé avant de parler. Le suicide de Morris K. Jessup en est la parfaite illustration, et un des rares cas liés précisément aux OVNI, ou le doute est permis. Mais il faut préciser qu’il ne s’agit pas d’une banale histoire de cadavres d’ouraniens sortis d’un placard. Non, nous parlons de l’expérience de Philadelphie.

    07
    L’expérience de Philadelphie en 1943 consistait à rendre invisible l’USS ELDRIDGE.

    Ceux qui ont vu le film, ou lu les livres de Vincent Gaddis (les vrais mystères de la mer, en anglais invisible horizons, 1965, France-Empire) qui dévoila le sujet, ou de C. Berlitz, en1979, plus détaillé (opération Philadelphie ; J’ai LU) comprendront parfaitement. Pour les autres, une explication succincte s’impose. Cette expérience, qui se serait déroulée en 1943, était destinée à émettre un champ d’énergie capable d’englober un navire, et de le rendre invisible aux regards de l’ennemi. Mais cette expérience, réalisée sans l’aide d’ordinateurs qui n’existaient pas encore, afin de pouvoir effectuer des simulations, et déceler d’éventuels effets secondaires, aurait été une réussite sur le plan matériel, mais catastrophique pour l’équipage embarqué sur le navire cobaye. Morris K. Jessup était professeur d’astronomie et de mathématiques, et il a écrit quatre livre sur les OVNI. C’était donc, chose exceptionnelle, un scientifique officiel doublé d’un ufologue. C’est son premier livre qui fut le révélateur indirect de l’expérience de Philadelphie, quand en 1956 un exemplaire parvint à l’Office des Recherches Navales avec des annotations indiquant une connaissance très poussée des OVNI, et une référence à cette expérience de 1943. L’ONR remit le livre à Jessup, pour examen.

    D’après Vincent Gaddis, il était question de deux genres d’êtres vivants dans l’espace, de vortex, et de champs magnétiques et de gravitation…etc. Or, le 20 avril 1959, le corps du savant fut retrouvé dans sa voiture, asphyxié à l’aide d’un tuyau branché sur l’échappement ; l’enquête conclut au suicide. Depuis quelques mois, il paraissait nerveux. Or, si Jessup a eu accès à des renseignements ultra confidentiels concernant l’expérience de Philadelphie, ils lui furent communiqués par la Marine. Alors pourquoi le mettre dans la confidence, pour l’éliminer quelques années plus tard ? Par ailleurs pourquoi Jessup se serait-il suicidé, surtout de cette manière, sans laisser une note expliquant son geste ? Serait-il allé trop loin dans une connaissance interdite, et découvert un secret capital derrière le secret de l’expérience ? Difficile de démêler l’imbroglio de cette affaire. Comme pour Roswell, elle a pris une ampleur qui dépasse le cadre original, puisque maintenant, on affirme que c’est cette expérience qui a ouvert la porte d’autres dimensions à des races extra-terrestres.

     
    Ah oui, il y a aussi les hommes en noir, ces mystérieux M.I.B., révélé par Gray Barker dans son livre de 1956 « Ils en savaient trop sur les soucoupes volantes » (éditions du Châtelet), à propos de l’affaire Albert K. Bender. Ce directeur de revue annonçait dans un numéro de tout révéler sur l’origine des OVNI, et qui suite à cette visite inquiétante de trois hommes mystérieux, abandonna son projet, et mit fin à la publication de sa revue, en octobre 1953. Cependant, quatre ans plus tard, Bender publia un article dans la revue de Ray Palmer« Flying Saucers », intitulé « Quand la vérité est connue », dans lequel, il ne révèle rien, sinon se plaindre de harcèlement depuis sa rencontre avec les hommes en noir. Cela fait 56 ans (en 2013), et la vérité reste à connaître.
     
    Curieusement, Gray Barker a adressé une lettre à Morris K. Jessup le 29 mars 1956, pour lui parler de son livre, alors que Jessup était déjà au courant de l’expérience de Philadelphie, depuis le 13 janvier. Jimmy Guieu, au courant de la sortie prochaine du livre de Barker, avait effleuré le thème des M.I.B. dans « Black-out sur les soucoupes volantes », (Fleuve Noir), avant d’en écrire un roman complet « Chasseurs d’hommes » en 1960. Depuis, les M.I.B. ont inspiré le cinéma, et une flopée d’articles, dont le dernier (en 2008) de Claude Burkel, dans la revue TOP SECRET N°35. Notons cependant, que si ces hommes, dont le comportement fait penser à celui des androïdes, proférèrent des menaces envers les témoins, ils n’ont jamais été jusqu’à les mettre en pratique. Ce n’est pas l’étude du phénomène OVNI- apparitions mariales qui représente un danger pour les ufologues ; c’est ce qui se cache derrière. Tant que l’on ne parvient pas à jeter un coup d’œil derrière ce paravent, il n’y a aucune crainte à avoir.
     
    Et contrairement peut-être à Morris K. Jessup, qui a pu éventuellement franchir cette barrière, aucun ufologue de renom, ou plus obscur, n’a eu accès à un secret d’Etat tel que sa vie aurait pu être menacée. Pour preuve, Jacques Vallée, pourtant bien placé lui-même dans ce domaine, et qui est toujours en bonne santé, à la page 412 de sa « Science interdite » (O.P édition) annonce les disparitions des différents ufologues américains qu’il a côtoyés pendant des décennies, à des âges relativement avancés, dont le record est détenu par Donald Keyhoe, 90 ans, décédé en 1988. C’est le professeur James Macdonald, qui réussit à se suicider en 1971, après une première tentative ratée. La mort d’Allen Hynek en 1986, suite à une tumeur cérébrale. Les époux Lorenzen, très influents ufologues, se sont éteints à deux ans d’intervalle, en 1986 et 1988 ; cancer pour l’un, problèmes respiratoires pour l’autre. John Fuller, qui avait écrit un livre best-seller sur le cas des époux Barney et Betty Hill, est mort d’un cancer du poumon en novembre 1990 à 76 ans. Enfin, Vallée précise que c’est le 28 décembre 1992, que le célèbre pionnier français Aimé Michel à rendu l’âme.

    Ainsi donc, il n’existe pas de malédiction du style de Toutankhamon pour les ufologues en général. Toutefois, pour les ufologues français, nous avons l’assurance que ce n’est pas une, mais bien trois malédictions, qui planent en permanence sur leurs têtes. Celle des Autorités qui les surveillent, comme s’ils s’apprêtaient à comploter contre l’Etat. Il n’est pas de réunions, repas ufologiques, conférences, qui ne soient couverts par au moins un membre des Renseignements Généraux. C’est ainsi qu’à Chalons en Champagne en octobre 2005, lors du premier congrès ufologique européen, tous les participants actifs furent photographiés, filmés, enregistrés, catalogués, fichés. Il n’est d’ailleurs pas impossible que les communications téléphoniques ou courriel, soient ponctuellement surveillées, si l’on en juge par certains incidents bizarres, qui ne peuvent s’expliquer autrement. Néanmoins, c’est sans importance, puisque nous avons la conscience tranquille.

    La deuxième malédiction est celle des scientifiques officiels et des médias, qui se liguent pour se gausser de cette pseudo-science, et des efforts de ces femmes et de ces hommes, qui veulent propager l’idée pourtant logique, que nous ne sommes pas seuls dans l’univers. Enfin, celle du grand public, qui dans sa majorité, suit les déclarations « rassurantes » des journalistes et des « savants », et de ce fait, ignore totalement le monde de l’ufologie. Ces trois groupes d’adversaires devraient adopter comme devise et l’écrire en lettres d’Or, car leur collant parfaitement à la peau, la remarque désabusée de Jacques Vallée constatant la débandade de l’ufologie américaine :

    « J’ai honte de notre silence, de ce refus de reconnaître la présence de l’inconnu. » (Science Interdite page 414).

    Fort heureusement, et parce qu’ils ont l’âme chevillée au corps, aucune de ces trois malédictions n’est mortelle pour les ufologues.

    *

    Source- Les mondes de l’étrange n° 12 de mai/juin 2008

    Aura2
    -Liens-

     

     

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Exp%C3%A9rience_de_Philadelphie

    Partager via Gmail Pin It

    2 commentaires
  • LE MYSTERE DES CHEMTRAILS

    chemtrails01
    Chemtrails sur la Bretagne en 2007

     

    Que cachent les chemtrails, ces traînées chimiques qui n’ont aucun rapport avec les lignes blanches qui apparaissent dans le sillage des avions ? Faut-il crier au complot ? Que se passe t-il réellement au-dessus de nos têtes ?

    Vous avez tous remarqué, n’est-ce pas, ces traînées blanches qui zèbrent le ciel bleu par temps clair puis s’effilochent avec le temps pour finalement envahir tout l’horizon ? Ce phénomène, relativement récent, est d’autant plus suspect… qu’il s’y attache de forts relents de dissimulation entre l’explication triviale : ce sont les avions qui volent très haut et laissent ces traînées de condensation et d’autres hypothèses beaucoup plus inquiétantes, voire délirantes. Un livre publié au Québec parle même de « tracés de la mort » ! C’est au début des années 1990 que ce type de nuages né de traînées blanches fut signalé pour la première fois en Amérique. Les premiers témoignages en France dateraient de 1997.

    *

    -DIFFERENTES DES ECHAPPEMENTS D’AVIONS-

    Contrairement aux traînées de condensation communes nées de l’échappement des avions qui s’estompent rapidement au fur et à mesure de l’avancement de l’appareil – ces lignes blanches sont bien connues et causées par la vapeur d’eau libérée par la combustion issue des réacteurs aérobies (moteurs) des jets, laquelle se condense en petits cristaux – les « chemtrails » (« trails » pour traînées et « chem » pour chimiques) sont persistantes (parfois plus d’une heure) et leur étalage remplit bientôt le ciel tout entier lequel prend cet aspect caractéristique laiteux. Une nébulosité anormale et suspecte.

    Force est de constater que l’« ennuagement » de notre ciel semble être en constante progression si l’on en croit le taux global d’ensoleillement dont les dernières mesures montrent qu’il est, lui, en diminution, certaines zones terrestres subissant des variations allant jusqu’à plusieurs pourcents par an. Ces « chemtrails » ont été remarquées, certes en Amérique et au Canada, mais aussi en Australie, en Afrique du Sud et en Europe.

    chemtrails03
     
    Généralement blanches (et non pas sombres comme un nuage d’orage dont on a appris à se méfier depuis des lustres), leur caractère « virginal » est un symbole avancé de pureté totalement trompeur, foi de chimiste qui sait bien que la couleur de la vapeur d’une substance chimique n’est nullement liée à sa toxicité. D’ailleurs, les « chemtrails » ne sont pas toujours blanches et ont été maintes fois signalées comme colorées. Pour ce qui est de leurs formes, elles dessinent des X et des H, mais aussi des cercles, des S, et, parfois même les motifs d’un « quadrillage » dont la régularité exclurait un phénomène aléatoire pour en accréditer un d’« intentionnel » !

     

    Quant à leurs conditions d’apparitions, si ce n’est le plus souvent celles reliées au passage d’avions en altitude, on les a corrélées aux conditions météorologiques (juste avant ou après une pluie, un orage), à la période du jour (coucher du soleil) et à l’indice UV de la journée (surtout quand il dépasse 6) ; ce qui devrait permettre de les prévoir. Car l’origine naturelle des « chemtrails » avancée par l’explication officielle de l’aviation interrogée – une condensation anormale de vapeur d’eau à haute altitude dispersée par des vents atmosphériques (!) – est largement contestée.

    -DU COMPLOT…-

    La thèse la plus défendue, appuyée elle-même par l’appellation de « chemtrail », est que ce sont des avions, effectivement, qui sont les responsables, non pas cependant du fait des dégagements normaux de leurs réacteurs mais plutôt de celui de systèmes de libération (épandage) de produits chimiques (certains avions auraient été trouvés avec des réservoirs supplémentaires) qui sont rapprochés des déversements auxquels procède l’agriculture ou autres moyens d’accroître la productivité céréalière. Des campagnes de pulvérisation à haute altitude du style de celles de démoustication au sol !

    chemtrails02
     
    Sans tomber dans la « conspirationnite » aiguë (thèse du complot), prenons connaissance seulement des possibilités. De quoi largement déjà s’inquiéter. Pluies artificielles, modification voulues du climat, manipulation de la météo (projet HAARP), opération militaire, arme climatique, expérience radar, guerre cybernétique en préparation, il y a l’embarras du choix. Certains parlent même « d’intentions occultes » !

    Quelles substances chimiques seraient ainsi déversées dans le ciel à notre insu par des avions qui auraient depuis longtemps disparus de l’horizon quand les traces visibles (traînées) se transforment en cirrus artificiels ? Et à quelles fins ? Il y a controverse entre ceux qui croient à une obscure « expérimentation » sur les populations et les autres qui assimilent tous ces faits à des « idées qu’on se fait ». Si ça se trouve, consécutivement à la lecture de cet article, vous allez voir des « chemtrails » partout ! Et j’en serais le responsable ! Il s’agirait d’une manifestation du comportement bien connu des sciences sociales à savoir que les observations les plus banales peuvent paraître suspectes dès lors qu’on les « regarde autrement » ! Une légende urbaine, un délire paranoïaque, une vue de l’esprit… A vous de juger.

    -…AU CHANGEMENT DE CLIMAT-

    Regardons aujourd’hui la thèse dite « climatique » avancée pour expliquer les « chemtrails » : les produits chimiques déversés au-dessus de nos têtes viseraient à manipuler le climat. Et de ne pas avoir de mal pour étayer de telles allégations sur des propositions qui ne datent pas d’aujourd’hui dont le caractère utopique n’est peut-être plus de mise. Déjà dans un rapport du Président des Etats-Unis Lyndon B. Johnson de 1965 et aussi dans un autre de la NAS de 1992, un projet n’hésitait pas de parler, pour augmenter l’albedo (réfectivité) de la Terre de répandre de très petites particules réfléchissantes au-dessus de larges zones océaniques.

    chemtrails04
    Nuages Cirrus

     

    Ceci afin de palier à l’effet de serre provoqué par l’augmentation de la concentration en gaz carbonique dans l’air par la combustion du pétrole ! Moyen : faire écran au rayonnement solaire qui arrive sur Terre ! La transformation en cristaux de glace réfléchissant la lumière de la vapeur d’eau des moteurs d’avions à haute altitude n’est-elle pas déjà en quelque sorte un moyen déjà utilisé à l’insu de tous pour diminuer l’impact du changement de l’équilibre radiatif de notre planète dû à la pollution ? On peut s’interroger en voyant les avions voler toujours plus haut. En tout cas, cette hypothèse a l’avantage de coller à l’explication officielle des « chemtrails », ce qui n’est pas une remarque anodine. Ainsi, les plus gros pollueurs de la planète n’auraient-ils pas trouvé un moyen de pallier le réchauffement climatique et de diminuer l’effet de serre, non, pas en abaissant leurs émissions de CO2, mais en créant justement artificiellement des nuages aptes à réfléchir les rayons et la chaleur solaires (authentiques) ? Une alternative au protocole de Kyoto impliquant encore plus de pollution !

    -ON CROIT RÊVER !-

    La menace de la diminution de la fameuse couche d’ozone qui nous protège de certains rayons ultra-violet très nocifs a aussi été agitée pour nous contraindre à ne pas laisser notre poste de TV en veille ! Moyen dérisoire de nous culpabiliser à outrance alors que la pollution atmosphérique individuelle humaine (respiration) n’a rien de comparable avec celle provenant des flatulences bovines ! Les épandages de produits chimiques à base de baryum et d’aluminium aptes à « désactiver » (j’ai lu « neutraliser ») le CO2 dans l’atmosphère viseraient à créer une couche d’ozone « artificielle » (sic) sans se soucier que ces substances chimiques vont retomber un jour au sol et passer généralement par nos alvéoles pulmonaires !

    Tout cela, bien sûr, à l’insu des populations, lesquelles en subiraient au quotidien les effets secondaires sur leur santé. Pour maintenir dans l’ignorance la population, on camouflerait des directives générales sous de fausses suspicions faciles à révoquer en doute : tel, par exemple, celui d’expérimentations, à notre insu, d’armes climatiques ! A l’appui de cette théorie, des analyses de prélèvements de ces « chemtrails » qui auraient révélé des polluants chimiques mais aussi bactériens (mycoplasmes, dont on sait que certains sont hautement pathogènes) !

    chemtrails06
     
    Sans verser dans la paranoïa qui y voit, entre autres, le contrôle de la population (démographique ?) ou le blocage de l’évolution (!) dans le cadre d’un Nouvel Ordre Mondial, je conclurai donc ainsi : rien ne prouve que ces « chemtrails » sont autre chose que des traînées d’avion égarées puis descendues des hautes altitudes. Mais en attendant que ce « rien » ne se transforme en « quelque chose », n’est-il pas légitime de s’interroger ?

    Aucun média important ne semble en tout cas s’en soucier et c’est cette indifférence face à quelque chose que tout le monde peut constater de visu tous les jours qui interpelle… Si vraiment ce sont des rejets de vapeur d’eau par les réacteurs des avions qui, dans certains cas, peuvent ainsi se transformer en nuage artificiel capable de s’établir durablement, pourquoi ne pas en informer largement la population ?

    chemtrails05
     
    Gardez l’œil ouvert et le bon si possible…

    *

    Article de Michel Granger

     Source- le magazine « Le monde de l’inconnu » d’août/septembre 2009 n°339

    *

    -Liens-

    http://www.chemtrails-france.com/

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_des_chemtrails

     

     http://actu-chemtrails.over-blog.com/

    Partager via Gmail Pin It

    16 commentaires