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    Les extraterrestres envahissent le Centre des sciences de Montréal avec l'exposition
        Extra ou terrestres?


        Rencontrez des créatures d'ici et d'ailleurs

     

        MONTREAL, le 16 avril /CNW Telbec/ - Après Londres, Tokyo et Miami, l'exposition Extra ou terrestres? sera présentée au Centre des sciences de Montréal jusqu'au 1er septembre 2008. On dit d'Extra ou terrestres? qu'elle est la plus imposante et la plus audacieuse exposition du genre à ce jour, explorant la science derrière la recherche d'une vie extraterrestre. Depuis son inauguration à Londres en 2005, Extra ou terrestres? a fait le tour du monde... du moins le nôtre! Extra ou terrestres? sonde notre fascination par rapport à la vie possible sur d'autres planètes. Elle met également en relief les travaux de pointe de scientifiques en vue d'explorer les possibilités réelles d'une vie extraterrestre. Des modules interactifs d'avant-garde permettent aux visiteurs de prendre connaissance de créatures imaginées par des scientifiques.

     

        Divisée en quatre grandes zones thématiques, l'exposition trace un portrait de nos questionnements sur ce qui pourrait venir "d'ailleurs".

     

        Dès leur entrée dans la zone 1 - Le danger venu d'ailleurs, les visiteurs sont accueillis par la "Reine des Aliens", du célèbre film "Aliens, le retour". Du haut de son imposante stature, elle introduit les représentations de créatures qui nous semblent étranges ou effrayantes à la fois dans la littérature, au cinéma ou à la télévision. Du "Danger planétaire" à E.T., en passant par Le Prédateur, les visiteurs découvriront comment ces êtres étranges sont une expression contemporaine de mythes et légendes qui nous animent depuis que le monde est monde.


        A la zone 2 - De la science-fiction à la science, l'exposition examine des êtres réels, mais extrêmement bizarres, vivant sur Terre et parcourt ensuite notre système solaire et l'espace profond à la recherche d'une vie extraterrestre. Les visiteurs pourront observer une collection de créatures étranges qui peuplent nos océans de même que des êtres vivants s'étant adaptés aux conditions extrêmes et rigoureuses de leur environnement, ces créatures permettant aux scientifiques d'évaluer les possibilités de vie extraterrestre.

     

     Dans Les scientifiques imaginent des mondes et des créatures extraterrestres, la zone 3, des scientifiques de calibre international ont inventé deux planètes, Lune Bleue et Aurelia, et les ont dotés de critères précis. En se basant sur les êtres vivants sur Terre et présentés à la zone 2, ils ont ensuite imaginé les formes de vie possibles dans ces deux mondes. Par le biais de deux grands paysages interactifs, les visiteurs peuvent découvrir l'apparence, les habitudes de vie et les comportements de ces créatures imaginaires... mais plausibles!


        Enfin la zone 4 - Les communications extraterrestres, examine les possibilités d'existence d'une intelligence extraterrestre. Cette zone aborde comment les scientifiques écoutent des signaux provenant de l'espace ainsi que les efforts faits pour communiquer avec des civilisations extraterrestres. Les visiteurs pourront écouter des bruits provenant de l'espace et écrire leur propre message à des extraterrestres. "Extra ou terrestres? est fantastique", commente Sara Milne, présidente-directrice générale de The Science of. "Cette exposition a vu le jour grâce à la collaboration d'une équipe extrêmement créative de designers, de rédacteurs et de producteurs de calibre international qui ont concerté leurs efforts pour présenter les recherches les plus actuelles des scientifiques de tous les coins de la planète. Les visiteurs de cette exposition pourront vivre une experience éducative et divertissante tout à fait unique dans un environnement étonnant. Cette exposition est vraiment révolutionnaire."

     

        Le Centre des sciences de Montréal

     

        L'originalité du Centre des sciences de Montréal et la qualité de ses infrastructures lui ont déjà valu en 2001 le prix Attraction touristique de l'année : 100 000 visiteurs ou plus, ainsi qu'une Mention spéciale en 2008, dans le cadre des Grands Prix du tourisme québécois. Le Centre des sciences de Montréal a également obtenu un Prix Excellence de la Société des musées québécois en 2005 et en 2006 pour ses expositions Autopsie d'un meurtre et Rotation X-trême. Le Centre des sciences de Montréal tient à remercier ses partenaires présentateurs TELUS, Pfizer et Hydro-Québec.

     

        Renseignements et achat de billets :

     


        514-496-4724 - 1 877 496-4724 - www.centredessciencesdemontreal.com

    Renseignements: Catherine Giroux, Responsable des relations de presse,
    Société du Vieux-Port de Montréal, (514) 283-8085,
    cgiroux@vieuxportdemontreal.com; Source: Société du Vieux-Port de Montréal

     

    source :

     

    http://ovniparanormal.over-blog.com/article-18808564.html

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  • La Radionique a été découverte pour la première fois il y a un siècle par le docteur physicien américain Abrams, qui au cours de ses recherches, avait découvert que les maladies pouvaient être mesurées en termes d’énergies. Il fabriqua un instrument constitué d’une série de potentiomètres qui lui permettait d’identifier et de mesurer les réactions et l’intensité des maladies.

     


    radionique

    article envoyé par M.O

     

    Voici une série d'explications nécessaires pour vous permettre de comprendre comment doivent être manipulés les éléments du panneau frontal dénommé: RADIONIQUE . Les recherches entreprisent pour mettre au points ces appareils  existent depuis environ 60 ans.

     Les boutons sur l'appareil sont gradués numériquement de 0 à 10 où de 10 à 100, cela dépend des fabricants de ces appareils. Les deux plaques jaunes à droite servent; celle du haut, à poser le témoin qui doit être touché à distance par le système radionique; généralement, il est posé sur cette plaque une photo de type "polaroïd" représentant la personne des pieds à la tête , c'est aspect du travail est très important car il faut l'image positive négative pour travailler en radionique. La plaque du bas sert à poser sensiblement l'index et le majeur de la main droite. Il faut ensuite bouger lentement ces deux doigts sur cette plaque en pensant à la question en rapport avec le travail engagé. En même temps et de la main gauche, il faut tourner lentement chaque boutons l'un après l'autre.

     Ce travail une fois terminé permet d'obtenir une série de chiffres au nombre de 12 (cela dépend de la sélectivité de l'appareil) ils sont dénommés: codifications radioniques. Le chiffre donné par chaque boutons est trouvé dès que les doigts de l'opérateur où opératrice "grippent", ou s'arrêtent de bouger sur la plaque, quelque peu enduite de talc. Ces codes représentent, en parties , les énergies de la cible à toucher, l'autre parties des énergies nécessaire provient des énergies et pensées de la personne qui y travaille. Il y a une aiguille métallique d'environ 10 centimètres environ tenue au bout d'un support et qui se loge dans ce qui est dénommé "un puit", il se trouve sur le boitier de l'appareil. C'est avec cette aiguille que sont choisies les fréquences sur lesquelles la personnes doit travailler. Certaines informations nécessaires aux travaux radionique sont données directement par l'appareil grâce à des demandes spéciales.

     La plupart de ces machines sont encastrées dans de grosses valises pour les déplacer facilement. Ces instruments ce branchent sur le courant 110 volts par l'intermédiaire d'un transformateur.

     Il n'est pas possible d'effectuer des travaux très importants sur les domaines "psy" avec une simple machine comme celle décrite ci-dessus. Elle est déjà très puissante si elle comporte une douzaine de boutons opératifs. Pour aller plus loin dans ces domaines des projections psy sous assistances électroniques, il est nécessaire d'avoir un laboratoire complet, non mobile, comportant: des fauteuils radioniques, des casques spéciaux pour voir et entendre à distance, des ordinateurs capables de diriger les signaux jusque sur la cible à atteindre et de les analyser, d'amplifier le signal sortant et d'autres possibilités aussi bien dangereuses les unes que les autres. 

    Je reviendrai plus tard sur l'utilisation de ce genre de matériels interdit et utilisés par deux émissions françaises de "telés-realités". Vous comprendrez mieux comment l'on devient vedettes de la chanson ou du cinéma en rendant "accroc" le public grâce à des ondes puissantes de catégories "psy".

     

    Voilà chers ami de la Taverne. Je reste à votre disposition pour de plus amples informations. Il est vrai que pour une première ça ira, car l'histoire est longue. A bientôt et meilleures salutations. M.O.

     

    http://www.aether.fr/page12.html

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    Le dernier signe reçu en direct par un guide ( 9 avril 2008 )

     

    Jeudi dernier nous devions dire au revoir à une amie - 55 ans seulement - le coeur lâche et pfffuit partie vers les anges notre belle Christine...

     

    Mon age est proche du sien. Son mari était vraiment ami avec le mien. Nous avons eu nos petits enfants presqu'ensemble; nous avions dansé tous à des soirées festives organisées par elle et son mari, président d'association... ça choque ces départs de personnes encore jeunes... Et puis voilà vendredi - avis de décès... au revoir chère Christine...enterrement samedi 11 heures mais moi le samedi à 11 heures je m'étais engagée il y a longtemps sur une action où je me devais de ne pas faire faux bond (avec un papa qui a perdu sa fille). Le vendredi on lit vite fait l'heure de l'inhumation dans le journal (samedi 11 heures) - Il fut décidé que j'irai le vendredi au funérarium lui dire au revoir et mon mari se rendrait à 11 h samedi à l'Eglise; là je monte dans mes chambres faire les lits... geste tout bête de chaque matin... Et là, tres clairement, j'entends comme une voix (plutot masculine) me percuter le cerveau "mais voyons pas d'Eglise pour Christine, ce sont des laiques, jamais un de cette famille dans une Eglise ! vous vous trompez : c'est un enterrement civil." Sans réflechir je dévale les escaliers pour choper mon mari :


    "mais dis donc tu ne m'as pas dit que c'était un enterrement civil !"


    Il n'avait pas fait attention non plus... et nous deux de reprendre le journal avec l'avis de décès. En tout petit - à la fin, oui c'était bien précisé que le rendez-vous d'adieu et la cérémonie étaient prévus au cimetière pour obsèques civils... Un signe c'est ça - c'est très subtil - Si je n'y avais porté attention, j'aurais pu aussi bien croire que cette "petite voix" ne provenait que de mon imagination dans ce cas, quelle tête aurait fait alors mon mari devant une porte d'église fermée à double tour ....

     

    Aussi Merci à cette entité, à ce Guide, qui m'a choisi pour que l'on rende vraiment hommage sur place à : amour : notre amie

    ***

    (la finale de cette histoire, c'est que à cette heure  précise - samedi 11 heures - pour aider ce papa à surmonter son deuil, je devais l'emmener à 40 kms dans un batiment religieux pour un dogme encore différent - et là dans cette maison de foi aux milles prières - j'ai consacré autant de prières à la fifille de mon ami, que pour Christine... En communion ainsi avec leurs âmes, il y a parfois des vagues de Joie ou de Divin (je ne sais pas trop comment dire) que vous ressentez très fort et qui vous submergent - Ce fut le cas ... ils savent vous renvoyer la Lumière nos disparus dont le Coeur l'Ame les Souvenirs et l'Amour qu'ils ont pour vous fonctionnent toujours aussi fort).

     

     Pensez à vos défunts VIVANTS - ils sauront alors vous faire comprendre combien vous êtes sur le bon chemin, sur la voie avec Eux, et alors ils vous tendront leur Main-Amour pour vous aider à en gravir le parcours...


     
    Clau qui remercie cet Ange, ce Guide (peut etre son Papa)


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  • Jackie l'Eventreuse

    par Paola Genone


    Et si le tueur en série qui a terrorisé l'Angleterre victorienne était une femme? Les traces d'ADN retrouvées sur des lettres datant de 1888 relancent une piste inexplorée. Ce sont des lettres d'autrefois. Des missives jaunies dont le secret a résisté à l'usure du temps. Au total, il y en a 360, toutes attribuées, à tort ou à raison, à Jack l'Eventreur, l'assassin de cinq prostituées, en 1888, dans l'est de Londres.

     

     

    Ce matin de septembre 2005, cent dix-sept ans après les faits, Ian Findlay, un biologiste écossais vivant en Australie, examine ces documents avec précaution, de ses mains gantées. Tout est là, devant lui, sur une table des Archives nationales britanniques, à Londres. L'une des lettres, écrite à l'encre rouge et tachée de sang, retient son attention. Comme beaucoup d'autres, elle est signée «Jack the Ripper». A ses côtés, Stewart Evans, ancien policier et expert réputé de cette énigme, désigne un autre courrier: «Ici, le meurtrier décrit la façon dont il a éventré sa victime, en lui arrachant le foie après l'avoir égorgée. Seul le coupable pouvait connaître ce détail

    C'est ainsi, en partant de ces archives, que Findlay l'Australien d'adoption et Evans le Britannique vont relancer, à leur manière, ce fait divers d'exception. Après une année de recherches, ils affirment aujourd'hui que la personne qui terrorisa cette année-là l'Angleterre victorienne était peut-être une femme! Jacqueline l'Eventreuse et non Jacques l'Eventreur.

    L'hypothèse n'est vraiment pas nouvelle. A l'époque, elle avait déjà été soutenue - sans preuves irréfutables - par Frederick Abberline, l'inspecteur de Scotland Yard chargé du dossier. La vraie nouveauté est scientifique: plus d'un siècle plus tard, la génétique vient conforter cette théorie et apporter un nouvel éclairage sur l'une des plus grandes énigmes de l'histoire du crime. Tout cela grâce au Pr Findlay...

     

    Les autres suspects


    Qui était l'Eventreur? Depuis 1888, les suspects n'ont pas manqué. Outre Mary Pearcey, les principaux sont les suivants:

     

    Francis J. Tumblety, un médecin américain, est arrêté en novembre 1888. La police le soupçonne en raison de son passé de charlatan et de sa haine des femmes. Libéré sous caution, il s'enfuit aux Etats-Unis.


    Aaron Kosminski, un coiffeur d'origine polonaise, est suspecté pour ses tendances meurtrières et misogynes. Un témoin le met en cause, mais refuse de confirmer ses propos lors du procès.


    Albert Victor, le prince de Galles (1864-1892), figure lui aussi sur la liste des suspects. Cette hypothèse extravagante fait scandale en 1962, avec la publication d'un ouvrage reprenant les notes du médecin de la reine. Ces documents évoquent les penchants du prince pour le sexe et le sadisme. Cette piste, jugée peu crédible par les spécialistes, n'aboutira pas plus que les précédentes. Cet homme de 39 ans, dont le laboratoire dépend de la Griffith University de Brisbane (Queensland), est connu pour avoir mis au point, en 1997, une technique permettant de retrouver, à l'aide d'une seule cellule (contre 200, au moins, auparavant), l'ADN d'une personne ayant vécu il y a deux cents ans. Depuis cette découverte, la police australienne a fait appel à lui à plusieurs reprises pour élucider d'anciens meurtres. Jamais, pourtant, il n'aurait imaginé que ses compétences en biologie moléculaire le mèneraient un jour à s'intéresser au dossier «Jack l'Eventreur». Il se trouve en fait que sa découverte, rendue publique par l'université d'Oxford, a attiré l'attention des passionnés de cette affaire, toujours nombreux en Grande-Bretagne. «En 2004, raconte-t-il, un collectionneur britannique m'a envoyé une mèche de cheveux ayant semble-t-il appartenu à l'une des proies de "Jack". Cela me paraissait farfelu. Mais j'ai par la suite reçu d'autres mèches provenant des descendants de la victime. J'ai comparé ces ADN...» Le scientifique s'aperçoit rapidement que non seulement les ADN ne correspondent pas, mais que, dans certains cas, il ne s'agit même pas de vrais cheveux! «J'ai réalisé qu'il existait un business incroyable autour de l'Eventreur, que l'on vendait des couteaux, des lettres, des photos, des os... Et pas seulement sous le manteau, mais aussi chez Sotheby. Ce que ces collectionneurs attendaient de moi, c'était ma caution scientifique.»Findlay propose alors ses services à Scotland Yard. Un mois plus tard, la police anglaise l'invite et met à sa disposition les lettres attribuées au tueur et conservées aux Archives nationales. «Au moment où on m'a appelé, je ne connaissais que le mythe de l'Eventreur, poursuit le chercheur. C'est pourquoi j'ai contacté Stewart Evans, surnommé "le ripperologue". Passionné par cette histoire depuis l'âge de 10 ans, cet ancien policier a écrit les livres de référence sur le sujet.»

    Une fois à Londres, Findlay découvre le monde de Jack the Ripper. Evans l'entraîne dans le quartier de Whitechapel. «Je le suivais, désorienté, dans le dédale de ruelles où furent retrouvés les corps des prostituées, se souvient-il. Evans me décrivait la façon dont elles avaient été mutilées, me montrait leurs photos... Nous avons bu une bière au Britannia Pub, sous les fenêtres de l'appartement où la police découvrit le cadavre de Mary Kelly, le 9 novembre 1888. J'avais l'impression de voir Jack rôder dans les rues...» Le lendemain, aux Archives nationales, Findlay examine les lettres. Sa mission: trouver une trace d'ADN permettant de remonter à l'assassin. Evans l'aide en sélectionnant les missives qu'il estime authentiques - une quinzaine sur 360. Findlay constate alors que la plupart d'entre elles, manipulées par des centaines de policiers depuis 1888, portent une multitude d'empreintes. Même celles qui sont protégées par des pochettes de plastique se révèlent inexploitables: «Sous le plastique, les traces s'étaient détériorées, rendant impossible tout travail sur l'ADN.» Il trouve tout de même des résidus de la salive laissée par l'expéditeur lors du cachetage des enveloppes. Mieux: en soulevant les timbres - jamais ôtés jusqu'alors - Findlay découvre des fragments de peau, d'ongles et de cils. Il recueille tous ces indices dans des éprouvettes, y compris le sang - délibérément laissé sur le papier par l'assassin - d'Elizabeth Stride, la troisième prostituée victime de l'Eventreur. De retour en Australie, le chercheur travaille des mois dans son laboratoire avec une équipe de cinq personnes. «Je n'avais pas le droit à la moindre erreur, raconte-t-il. A chaque test sur une cellule, je ne disposais que d'une tentative pour pénétrer le noyau où se cachait le possible profil génétique de l'Eventreur. Autre difficulté: ces cellules, vieilles de cent dix-sept ans, avaient été rendues inaccessibles par une protéine qu'il fallait neutraliser.» Après plusieurs échecs, des échantillons provenant de deux lettres livrent leur secret. L'ADN découvert est celui d'une seule et même personne: une femme!

     

    La réponse à l'énigme enterrée au cimetière de Newgate.

     


    En signant ses crimes «Jack l'Eventreur», celle-ci aurait donc cherché à brouiller les pistes. «On peut retenir cette hypothèse, poursuit Findlay. En 1888, deux témoins avaient affirmé avoir vu l'une des victimes, Mary Kelly, courir dans une rue de Whitechapel quatre heures après le constat de sa mort... Pour l'inspecteur Abberline, la personne qui s'enfuyait n'était autre que l'Eventreuse, déguisée en Mary Kelly.» Selon Stewart Evans, l'un des suspects identifiés par Scotland Yard à l'époque était une sage-femme corpulente, Mary Pearcey. La police avait, semble-t-il, de bonnes raisons de la soupçonner: en 1890, elle fut accusée d'avoir égorgé la femme de son amant à la manière de l'Eventreur, et fut même pendue pour ce meurtre le 23 décembre 1890. Comment savoir si l'ADN identifié par le biologiste est celui de Mary Pearcey? «Il faudrait exhumer son cadavre. Evans et moi l'avons envisagé, dit Findlay sur un ton amusé. Mais la loi anglaise l'interdit, car il ne reste aucun survivant dans cette affaire.» Une seule possibilité: récupérer un morceau du squelette en violant la tombe. Stewart Evans sait où est enterré le corps: «Au cimetière de Newgate, à Londres. Sur la pierre tombale, cette seule inscription: "1866-1890".»

     Reposera-t-elle en paix?

     

    http://www.lexpress.fr/info/societe/dossier/faitdiv/dossier.asp?ida=455611

     


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  • Je crois que la fête juive de Pourim m'a sauvée cette année...

    e-mail reçu le 27 mars 08

    En effet ce soir là je devais me coucher de bonne heure et puis je fus retenue et en msn et au téléphone par deux amies avec qui j'ai papoté plus que prévu... (j'aime bien papoté - car avec elles ce qui nous relie aussi ce sont nos parcours ésotériques et spirituels).
    Et puis elles sont juives toutes deux, alors comme c'était le week end de la fete de Pourim, on en a parlé longuement... Soudain, j'entends la cheminée s'emballer comme un gros boeuf qui souffle et je m'apercois une fois entrée dans mon salon que celui ci est envahi de fumée - c'est très âcre et ça fait mal aux yeux. La vitre de l'insert est portée au rouge tellement ça chauffe. Mon mari avait tout simplement oublié de fermer le loquet en bas de l'insert, celui qui fait appel d'air pour que le feu prenne... après il faut le fermer... mais là lui est qui tres soigneux et précautionnaux.. pour le coup ce soir là il l'avait oublié !!! Sans Pourim on grillait peut etre comme des lapins car la maison est très grande - les chambres en plus sont à l'étage et personne, sans ma présence, n'aurait rien entendu !! et la cheminée est énorme ... un feu de celle-ci aurait au moins fait de sacrés dégats... Après avoir mis carrément de l'eau sur le flamme ça s'est calmé  - et j'ai remercié très chaleureusement Mordechée et Esther, ainsi que mes 6 millions d'amis, qui étaient certainement là, et dont j'avais ressenti la présence le vendredi matin précédent...


    Clau qui continue - shalom !


    Prochainement : le dernier signe reçu en direct par un guide !

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