• Bonjour à tous ! Voici la première de la nouvelle émission de Jean Claude Carton, "Toutes les Etoiles en parlent" enregistrée le samedi 12 janvier 2008 au siège de la taverne. Emission d'une durée de 90 mn, Jean Claude a pu interviewé Claude Burkel & Gilles Job, membre de l'équipe taverne. Voilà, j'espère que cette première émission vous plaira et que d'autres suivront dans le temps ! Merci de laisser vos commentaires, bonne journée ! Tyron & l'équipe  
     
     
     
     
     
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    LES MYSTERIEUX RONDS LUMINEUX DANS LES  MERS


     

     

    Un des rares mystères vieux de plus de 150 ans que la science « subit » sans pouvoir le résoudre. Tel est le cas des « Roues de lumière » sous la mer. Avez-vous eu l’occasion de naviguer au large par une nuit sans lune ? L’expérience est véritablement impressionnante, coincé que vous semblez être, entre noirceur du ciel et les ténèbres insondables des flots. Mais imaginez que, soudain, l’élément marin s’illumine par-dessous et vous offre un spectacle grandiose d’une fête foraine se déroulant au cœur de l’élément aqueux, avec sa féerie de lumières. Pas étonnant que les témoins privilégiés du phénomène en gardant un souvenir indélébile.



    Comme, par exemple, le commandant J.R. Bolder, pendant la dernière guerre ; « Mon bateau venait de franchir le détroit d’Ormuz, raconte-il, à destination de l’Inde. Le second maître m’a appelé sur la passerelle, disant qu’il avait observé quelque chose… A environ quatre quarts sur bâbord avant, il y avait une bande lumineuse qui semblait palpiter, l’examen à la jumelle a montré qu’elle se trouvait dans l’eau et se rapprochait du bateau. A une distance d’un mille environ, ce phénomène est apparu de forme à peu près circulaire, d’un diamètre de 350 à <st1:metricconverter productid="450 m" w:st="on">450 m</st1:metricconverter>, animé par un mouvement rotatif autour du centre, des rayons lumineux en partant et tournant comme ceux d’une roue gigantesque. » Deux autres manifestations similaires furent observées peu après par tous les membres de l’équipage. En fait, depuis plus de 150 ans, les marins (commandants, capitaines, maîtres de navire ou leurs officiers) ont  signalé d’immenses déploiements de ce qu’ils appellent bien naturellement des « lumières » sous surface de certaines mers.


    C’est en ces termes qu’en parle le regretté Ivan T. Sanderson, biologiste américain éminent et fortéen impénitent. Il en avait recensé une centaine de cas entre 1875 et 1964 et, ainsi, avait pu en dégager quelques constantes. Leur lieu de prédilection tout d’abord ; l’Océan Indien, ce qui n’était pas sans poser problème car, bien entendu, il était enclin à y voir un effet de luminescence biologique dû aux noctiluques marins, ces protozoaires qui donnent parfois, la nuit, une opalescence caractéristique à l’eau de mer. Depuis 1970, pas moins de 3 genres d’espèces de crustacés de la famille des Vargula ont été trouvées. Ils produisent de la lumière « froide » pour diverses raisons comportementales, en fabriquant une molécule dite « luciférine » qui, au contact de l’oxygène, émet un rayonnement lumineux. Plus récemment, un sous-marin de poche américain a apporté la preuve que certaines crevettes ou certains minéraux pourraient bien répercuter la lumière qui vient des sources chaudes (350°C) pour éclairer les abysses sous-marins jusqu’à -2500 mètres, eux qu’on croyait totalement obscurs.

     

    Les objections avancées par Sanderson contre la culpabilité des noctiluques valent toujours, hélas. Il faudrait en supposer des milliards synchronisant leur clignotement avec une précision qui dépasse l’entendement. Sanderson a cherché ce qui pourrait induire cet allumage simultané et collectif : une onde électromagnétique ? Mais aucune ne se propage de façon courbe. A moins que sa source soit elle-même en mouvement ! Les roues lumineuses subaquatiques ne seraient, ni plus ou moins, que des O.V.N.I aquatiques, des oanis (objets aquatiques non identifiés). Et qui, parfois, se risque à prendre l’air comme en 1910, quand une roue horizontale lumineuse tournant rapidement au-dessus de l’eau, impressionna profondément l’équipage du vaisseau hollandais Valentin, à minuit, ainsi que le rapporte ce diable de Charles Fort, auquel rien d’extraordinaire ne semble avoir échappé.

     

    DEUX ROUES LUMINEUSES GEANTES 

     

     

    Deux roues géantes furent observées par l’équipage du Vulture, le 15 mai 1879. Elles avaient une quarantaine de mètres de diamètres et tournoyèrent sur la surface de la mer avant de s’enfoncer lentement dans les eaux du golfe Persique. En mai de l’année suivante, le Patna, steamer d’une compagnie britannique des Indes orientales, assista à l’évolution de roues semblables dans la même partie de l’Océan. C’est alors qu’un éclair phosphorescent sous la mer entoura ces objets. Plusieurs années plus tard, d’autres rapports identiques épaissirent le mystère. Le 10 avril 1901, le Kilwa croisa une énorme roue tournoyante à 20 h 30. En 1906, un steamer britannique traversant le golfe d’Oman aperçut une roue géante, et en 1909, un capitaine danois fit une observation similaire dans la mer de Chine. Selon ce capitaine, la roue qui évoluait sur son moyeu au ras des flots était illuminée. Selon certains, ces roues tournoyantes semi aquatiques auraient une origine océanique ou seraient des vaisseaux de l’espace submersibles.


    Source- (Jacques Vallée, Les Phénomènes insolites de l’espace, épuisé : Harold T. Wilkins, Flyng Saucers  ont the Attack, p. 221.)

     

     

     

    la taverne de l'étrange- 13 janvier 2008

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  • Bonjour toutes & tous ! Samedi 12 janvier, dans nos locaux, aura lieu les interviews de Claude Burkel et de Gilles Job, collaborateurs de l'équipe taverne. De main de maître, celles-ci seront menées par Jean Claude Carton; j'interviendrai également sur certaines questions, le tout sera filmer par Angeusa et sera visible bientôt à la taverne et sur la page web de Jean Claude. Nous avons déjà hâte à samedi, vivement la suite. Le meilleur reste à venir !

    Toutes les Etoiles en parlent, la première !

    Tyron29

    http://carton.jeanclaude.free.fr/ 

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  • QUI SONT CES HOMMES EN NOIR ?

     

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    Il n’'y a pas que les ovnis, il y a aussi les sinistres Hommes en noirs, qui se manifestent un peu partout dans le monde. Un phénomène déroutant, où l’'on trouve des Cadillac démodées, ou d’'autres voitures anciennes, des pantalons bien repassés et une ambiance digne des meilleurs films noirs américains…

     

     

    Moi je suis allé au fond du fantastique et j'’ai trouvé la réponse. Pour Albert Bender, le directeur de l'’international des ovnis, dans les époques 80, un groupe amateur américain de recherches sur les OVNIS, cette découverte aurait pu bouleverser l’humanité. Seulement, juste après sa découverte, il a reçu la visite de trois sinistres personnages, tout de noirs vêtus, qui l’ont averti qu’il devait « oublier ». Il a été assez impressionné pour oublier, lui qui clamait déjà, « Je sais ce que sont les ovnis ! » Son intention était de publier ses découvertes dans son magazine (Revue de l'’Espace). Il y réfléchissait quant il reçut cette troublante visite.

     

    Bender était allongé dans sa chambre à coucher en train de somnoler, quand il a remarqué trois visages dans la pièce. Les trois visages sont devenus plus clairs et les détails de leurs vêtements lui sont apparus. Ils étaient habillés en noir, comme des prêtres. Une seule différence : ils portaient des chapeaux d’'un genre démodé, qui masquaient en partie les traits de leur visage. Les yeux des trois hommes se mirent soudain à s'’illuminer, comme des ampoules électriques, et les trois visages firent de même. Alors ils convergèrent tous sur moi. La douleur au-dessus de mes yeux devint presque insupportable. Ils semblaient brûler de l’'intérieur. Ce fut à ce moment que je sentis qu'’ils m’'adressaient un message par voie télépathique. Ces étranges visiteurs ont alors confirmé à Albert Bender que ses spéculations sur la vraie nature des OVNIS étaient absolument justes. Ils lui ont même fourni des détails supplémentaires. L’'amateur d'’OVNIS en sera si terrifié qu'’il n'’aura de repos avant d’'avoir satisfait leur demande ; faire cesser la publication de son journal et dissoudre son association. Les Hommes en noir lui demanderont finalement de ne révéler la vérité à personne et de le jurer sur son honneur de « citoyen des Etats-Unis »

     

    Cette histoire n'’a été connue que bien des années plus tard. Elle est, malgré les apparences, d’'un intérêt capital pour les enquêteurs, sur le problème des OVNIS. Car elle n’'est pas la seule de ce genre ! D’'autres personnes ont ainsi été contactées par des hommes en noirs, dans des pays aussi différents que les Etats-Unis, la Suède, la Grande-Bretagne, le Mexique, et aussi la France. De nombreux détails de ces récits correspondent à la description donnée par Albert Bender. D’autres ne correspondent pas du tout. En fait, ces visites de mystérieuses entités vêtues comme des curés, en civil, sont inquiétantes et posent le problème de savoir s'’il s’'agit d’'une projection mythique ou de la réalité. Le témoignage classique sur la visite de ces Hommes en noir fait état d'’un scénario relativement immuable. Peu après avoir vu un OVNI, le témoin reçoit la visite d'’un enquêteur. Souvent cette visite est d’'autant plus surprenante qu’elle survient très peu de temps après l’'apparition de l’'ovni, alors même que les autorités et la presse n’ont pas encore été averties. En général, l'’enquêteur n'’est pas seul. Trois est le chiffre avancé par plus grand nombre de témoins. Ces enquêteurs agissent comme de vrais policiers et semblent déjà au courant d’'une quantité incroyable de détails aussi variés que le nom de la personne, les circonstances dans lesquelles elle a aperçu l'’ovni, les témoins présents, etc.…

     

    Les trois hommes semblent venir dans une grande voiture noire, presque toujours une Cadillac, mais d'’un modèle périmé. Curieusement, la voiture paraît neuve, sans taches parfaitement entretenues, à l’'intérieur comme à l'’extérieur. Si les témoins a eu le temps de noter le numéro d'’immatriculation, celui-ci est généralement faux. Les visiteurs enquêteurs sont presque toujours des hommes. On rapporte très rarement la visite d'une femme. Leur apparence est strictement conforme à l’'idée que se font les imaginations populaires des agents secrets, complet noirs, cravates noires, chapeaux noirs, chaussures et chaussettes. Par contre, leurs chemises sont d’'un blanc immaculé, et les plis des pantalons impeccables. Ces messieurs ont l’'air de sortir d’'une boutique spécialisée dans la vente de vêtements de deuil. Il arrive qu'’on décrive le visage de ces hommes en noir comme ayant quelque chose d'’étranger. On leur prête ainsi une langue orientale, avec des yeux légèrement bridés. S'’ils n’'ont pas la peau noire, leur teint est plutôt mat.

     

    Par contre, certaines ombres de leur visage sont étranges et on a signalé des Hommes en porteurs d’'une sorte de maquillage. Ces Hommes en noir ne sourient généralement pas et ont des traits relativement inexpressifs. Leurs mouvements sont raides et maladroits, et leur comportement comme emprunté ; s'’ils ne dégagent aucune hostilité directe, ils manquent totalement d’'amabilité et laissent percer une froideur sinistre. Certains de ces hommes en noir se présentent parfois en uniforme de l’'US Air Force ou d’'autres corps de l'’Etat. A l'’occasion, ils exhibent une carte qui peut passer pour officielle. Leurs noms, évidemment, sont faux.

     

    Le contact peut prendre la forme d'’un simple interrogatoire ou d’'une mise en garde déguisée. Ces visiteurs donnent souvent l'’impression de bien connaître ce dont ils parlent et, en fait, de déjà posséder les réponses aux questions qu'’ils posent. Ils parlent avec une élocution parfaite et une grammaire presque trop bonne pour être honnête. Selon les témoins, les dialogues engagés avec les hommes en noir sont d’'ailleurs dans le plus pur style des films policiers américains, quand le policier gentil commence à s'’énerver : « Encore une fois, M. X…, J’'ai peur que vous n’'avez pas été honnête.… Ou bien, toujours dans ce genre onctueux, mais plein de menaces, qu'’affectionnent tant les scénaristes d’'Hollywood : M.X…, il ne serait pas très avisé de votre part de poster en rapport sur les OVNIS. » La visite se termine invariablement par une mise en garde : celle de ne rien révéler de l’'incident à qui que ce soit. Celle, aussi, d’'abandonner les recherches en cours (dans le cas où le « visité » est un enquêteur sur les problèmes d'’ovnis). Et les Hommes en noir disparaissent aussi rapidement qu'’ils sont entrés. Il existe bien d’'autres détails troublant à propos de ces visites d’'Hommes en noir.

     

    Est-il possible de savoir quel mystère se cache derrière ces visites faites dans le seul but d'’intimider ?

     

    J’'ai moi-même connu le contact avec ces hommes au mois d’'août 1971  à Villiers-sur-Marne (Val de Marne), cela après mon retour sur le Pic Combeillon, sur le trésor de MAURES avec une affaire d’'ovni, une histoire que mon ami Guy Tarade m'’avait confié. A leur contact je me suis aperçu qu’'ils ne portaient jamais de métal sur eux, pas de montres, de bijoux, bracelets, de chaînes, pas de boucles aux chaussures, pourquoi ? Voilà encore une autre question à répondre !

     

    HOMMES EN NOIR : TROIS TENEBREUSES AFFAIRES

     

    PREMIER AFFAIRE

     

     

    Le cas le plus typique des apparitions de ces Hommes en noir est celui de Robert Richardson, de Toledo (Ohio), aux Etats-Unis. Une nuit de juillet 1967, il rentre en collision avec un objet inconnu qui lui barrait la route. Il en avertit aussitôt un organisme officiel de recherches. A la police qui l'’accompagne sur les lieux après l’incident, il ne peut que relater son aventure. Il roulait à faible vitesse quand il a vu, dans ses phares, un étrange objet lui barrer la route. Incapable de s'’arrêter à temps, il l’a percuté de plein fouet. L’'objet, lui a disparu aussitôt. La police ne relèvera que les traces de la voiture de Richardson. Pourtant, quelques jours plus tard, revenu seul sur les lieux, celui-ci trouvera un morceau de métal, qu’'il estimera provenir d’'un ovni… Tout commence alors. Le lendemain, un peu avant <st1:time hour="12" minute="0" w:st="on">midi,</st1:time> deux hommes se présentent au domicile de Robert Richardson et l'’interrogent  pendant dix minutes. Ils ne se présentent pas et se contentent de la questionner. Ils repartent ensuite dans une Cadillac noire, d'’un modèle vieux de quinze ans. Le numéro, noté par Richardson, se révèlera être un faux. Une semaine plus tard, trois hommes se présentent encore au domicile de notre homme.

     

    Ils sont habillés en noir. Leur peau est également noire. La conversation s’'engage, dans un anglais teinté d’'accent. Les trois hommes tentent de persuader Richardson qu'’il n’a pas eu d’'accident. Ils lui réclament ensuite le morceau de métal qu'’il a retrouvé sur la route. Quand il leur répond qu'’il est dans un laboratoire officiel pour analyse, les trois hommes menacent et lancent : « Si vous voulez que votre femme reste aussi jolie qu’elle l’'est actuellement, vous feriez mieux de nous rendre ce morceau. » Normalement, personne n’'était au courant de l’'accident nocturne de Robert Richerdson, hormis la police et l’'organisme officiel de recherches sur les ovnis. On peut donc se demander qui étaient ces deux groupes de visiteurs et pourquoi  ils tenaient tant à récupérer une « pièce à conviction »

     

    DEUXIEME AFFAIRE

     

    Après une partie de chasse, un soir de novembre 1961, Paul Miller et trois de ses amis reviennent chez eux, à Minot (Dakota du Nord). Ils aperçoivent soudain dans un champ voisin, une sorte de « silo lumineux » en train d’'atterrir. Ils s’'approchent, croyant voir un avion en difficulté, et ils découvrent deux humanoïdes. Pris de panique, Paul Miller ajuste l’'un d’eux et tire, blessant, semble-t-il, la créature, avant de s’'enfuir. Les quatre amis décident de ne parler de l’'incident à personne. Pourtant, le lendemain matin, trois hommes vêtus de noir se présentent au domicile de Miller, juste avant qu'’il ne parte au travail. Ils se disent envoyés par le bureau gouvernemental, sans d’'ailleurs pouvoir le prouver. Ils affirment être au courant de l'’incident par un « rapport ». Apparemment, ils connaissent tout de Miller : son travail, ses loisirs, ce qui s'’est passé la veille. Ils posent leurs questions comme s'’ils en connaissaient les réponses. Mais ils ne disent rien de l’'humanoïde blessé. Par contre, ils semblent fascinés par les vêtements de Miller, qu'’ils cherchent manifestement à regarder de plus près. L'’incident laissera une telle impression de malaise au chasseur qu'il n’'osera pas en parler avant plusieurs années.

     

    TROISIEME AFFAIRE

     

    Le docteur Herbert Hopkins est un médecin réputé. Agé de cinquante-huit ans, il est en pleine possession de ses moyens. En septembre 1976, alors qu'’il travaille sur un cas d’'apparition d’'ovni, dans le Maine, au Etats-Unis, il reçoit un coup de téléphone. Un homme, qui se présente comme vice-président d’'une association de recherches sur les ovnis, demande de lui parler. Le docteur accepte. Pour guider son visiteur, il descend allumer les lumières extérieures de la maison. C’'est alors qu'’il voit un homme en train de monter les marches. C’'est celui qui vient de téléphoner. Premier mystère : comment a-t-il fait pour accourir aussi rapidement, d'’autant qu’'il n'’y aucune voiture garée sur le parking de la maison ? L’'homme est habille en noir : costume, chapeau, cravate et souliers. Sa chemise est immaculée. Tout, sur lui, a l’'air parfaitement propre et très bien repassé. Deuxième étrangeté : quand il retire son chapeau, l’'homme est glabre ; il n'’a ni cheveux, ni sourcils, ni même de cils.… De plus, sa peau est très pâle, alors que ses lèvres sont rouge vif.

     

    Quelques instants plus tard, le docteur Hopkins s’'apercevra qu’'il s’'agit d’'un maquillage et que l'’homme porte comme un rouge à lèvres. La conversation s’'engage librement. On parle d’'ovnis. Plus le temps passe et plus l'’intensité du discours de l’'Homme en noir diminue. Il va finir par se lever, un peu comme s'’il avait les jambes très faibles, et il dira : « Mon énergie diminue, je dois partir maintenant. Au revoir ». Avant de partir, il affirmera au docteur que deux pièces de monnaie se trouvent dans ses poches. C’est le cas. Par une sorte de suggestion hypnotique, l'’Homme en noir en fera disparaître une, non sans affirmé : « Ni vous, ni quiconque ne reverra cette pièce sur cette planète… ». Titubant légèrement, l’'Homme gagnera la sortie et s’'enfoncera dans l’'obscurité. Le docteur apercevra une lumière très vive sur la route, une lueur plus blanche que celle des phares d'’une voiture.

     

     

    On ne retrouvera aucune trace de l'’engin.

     

     

    Quelques jours plus tard, Maurenn, la belle-fille du docteur, devait recevoir une visite au moins aussi étrange. Un couple, cette fois ! L'’homme et la femme paraissaient âgés d’'une trentaine d’'années, et ils portaient des vêtements démodés. La femme avait un air bizarre, avec sa poitrine tombante et ses hanches curieusement faites. Tout deux marchaient à petits pas, comme s'’ils avaient peur de tomber. Pendant tout l’'entretien, qui portera sur des questions personnelles et sur la vie quotidienne, l'’homme ne cessera pas de « câliner » sa compagne, non sans demander à Maureen et à John, son mari, si c’'était bien ainsi que cela se faisait…. Il finira d'’ailleurs par poser des questions très particulières sur l’'intimité de Maureen. L’'entretien cessera brutalement et les deux êtres partiront, sans même dire au revoir à ceux qui les avaient accueillis.

     

     

    Comment expliquer ce genre de visites ?

     

     

    Depuis le début de ce siècle, il semble que ce genre de personnages devient moins fréquent dans le monde. Il semble bien que les visiteurs utilisent une gamme diversifiée de véhicules :

     

    Années 60 et 70, utilisation de Cadillac, Plymouth, Limousine noires aux USA.

    Fin des années 60, une Volkswagen au Brésil.

    Années 70, une Mustang rouge en Espagne.

    Années 50, une 2CV en France.

    Années 70, une R 16, France Troyes.

    Années 80, une Volkswagen bleue en France, près de Melun.

     

     

    *

    Ref: The UNIX Pained, N° 39

    Jacques Bergier

    The Brother from Another Planet

    Space Review

    Aux confins de l’Univers, 474, 475, 486, 487

     

    Aura2

     

    la taverne de l'étrange- 10 janvier 2007

     


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  • LA PYRAMIDE DE KHEOPS

     

    1- Une enquête longue et difficile...

     

     

     

    UNE NOUVELLE HYPOTHESE ARCHITECTURALE TRANSFORMEE EN THEORIE DES 12 CONTRAINTES INCONTOURNABLES

     

    Les pyramides recèlent encore bien des mystères, entre autres quant aux techniques utilisées pour leur construction. L’auteur du livre "le mystère de la construction des pyramides" ose présenter au public une hypothèse des plus révolutionnaires et complètement inédite. Un éclairage particulièrement convaincant qui nous transporte littéralement dans ce lointain passé et nous dévoile enfin une véritable relecture plausible des capacités scientifique et techniques des ingénieurs de Kheops.

     

    Le premier ouvrage de cet auteur autodidacte résume en 12 chapitres méthodiques et clairs cette fabuleuse épopée de 23 années durant lesquelles des dizaines de milliers d’hommes se sont acharnées à ériger ce prestigieux monument. Cette théorie est le fruit de dizaines d’années de réflexion et de méticuleuses observations. En fait, un document rare et une base de travail pour les spécialistes architectes et historiens notamment. Depuis que le génial Champollion a résolu le mystère des hiéroglyphes et posé par la même les paramètres liés à cette grande aventure architecturale des milliers de chercheurs ont tenté en vain d’y apporter une explication judicieuse. Pour la grande pyramide 2 300 000 blocs de pierre, dont un granit de 70 tonnes, ont été hissés jusqu’à 146 mètres de haut.

     

    Nous voici donc cette fois en face d’une proposition d’un scénario logique et scientifique qu’ont probablement suivi à cette époque les concepteurs du monument.

     

    Un dispositif d’une extrême ingéniosité, fondé sur une étonnante maîtrise des lois physiques, de la géométrie et de la mécanique du mouvement, a permis les démultiplications indispensables à la réalisation de cette prouesse technique. Au passage, l’efficacité de ce système remet en question la conviction selon laquelle les conditions de travail des ouvriers étaient atroces. De récentes fouilles archéologiques mettent d’ailleurs en évidence la qualité de l’intendance et le soin apportés à ces travailleurs de l’extrême. En outre, les technologies mises en œuvre révèlent un degré de maîtrise de l’énergie que notre époque ultra consommatrice gagnerait à méditer. Et ce n’est pas tout, 45 siècles avant Taylor et Ford, une telle réalisation témoignait d’une production organisée et standardisée avec même des travaux confiés à des sous traitants. Enfin, dans ces pyramides dotées de surprenantes propriétés astronomiques,  la barque solaire symbolisant le voyage de l’âme ne s’apparente-t-elle pas à nos actuels engins spatiaux qui fouillent les confins de l’univers ?

    Tyron


     

    1-UNE ENQUETE LONGUE ET DIFFICILE

    par Gilles Job (8/1/08)

     

    Pour moi, auteur du livre, mon aventure de candide scientifique commence dans le milieu des années 60 avec la découverte de la dynamo et l’ampoule électrique de Thomas Edison. L’opération qui consiste à faire tourner ce petit rotor métallique, véritable usine à électrons, exerce sur ma  personne une fascination grandissante. Au fil du temps je m’intéresse très vite aux petits moteurs électriques très présents déjà dans les jouets de l’époque. Me voici malgré moi entraîné dans une spirale irrésistible, comprendre l’éclairage en va et vient en 220 volts cette fois, réaliser des branchements en parallèle ou en série, et aussi la découverte de ces magnifiques grandes ampoules présentent dans les premiers postes de radio de grand-père. Survient le choc pétrolier de 1973 et cette visite inopinée au cœur de la centrale hydroélectrique de  Revins dans les Ardennes alors en construction. Quelqu’un explique à mon père venu livrer du carrelage pour la finition du poste de travail le principe de base qui régit le fonctionnement de ce type de centrale. Je découvre alors la véritable puissance motrice de l’eau en chute organisée qui vient animer de gigantesques dynamos appelées turbines ou alternateurs. L’énergie blanche tellement celle-ci est propre, l’exploitation maîtrisée de la chute des corps elle-même en lien direct avec la gravitation universelle.

     

    Plus encore, j’apprends aussi cette particularité liée à ces équipements qui la nuit ont un fonctionnement inverse alors que trop d’électricité produite par les centrale nucléaires ne trouve preneur il devient possible de transformer la génératrice en moteur ce qui permet ainsi de reconstituer plus haut le stock de houille blanche contenue dans les réservoirs. Par ce biais détourné il est donc possible de stocker et de sauver une partie de l’énergie en surproduction, phénomène que je décrirai plus tard comme le ‘principe d’inversion’ et sur lequel je devrai revenir plus longuement car j’y vois un lien direct avec la mécanique industrielle de Kheops.

     

    L'’intérêt pour la question cruciale de l’élévation des millions de pierres de la pyramide de 7 000 000 de tonnes estimées m’apparaît, nous sommes en 1980 et ma recherche globale sur la force descendante de Newton et ascendante d’Archimède m’accapare particulièrement. A ce moment je tiens en main une photographie qui met en relief la disproportion hallucinante entre la géante de 146 mètres et une autre très petite. Je perçois clairement qu’une révolution s’est produite en ces temps reculés que je compare à l’évolution technique des objets volant de l’appareil de Blériot à la fusée Ariane. Je n’ai jamais cru à un système archaïque comme la rampe qu’elle soit droite ou circulaire, encore moins  à  une violence quelconque pour propulser une pierre de 70 tonnes à plusieurs dizaines de mètres de hauteur, la réponse est ailleurs.

     

     

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