• 1/2- DES OVNIS , DES RÊVES ET DES COULEURS

     

    Ceux dont les rêves sont colorés, soit de manière ponctuelle, soit en permanence, savent que les couleurs sont extrêmement pures. En règle générale, les rêves participent à la vie de l’homme, au même titre que les battements du cœur, ou la respiration. C’est à dire qu’ils sont une fonction automatique, inconsciente. Bien que l’on puisse arriver à les programmer ; toutefois c’est une méthode que je ne recommande pas. Le plus souvent, ce sont des conditions extérieures qui les génèrent : la chaleur, le froid, les bruits insolites de la nuit, etc… Parfois, les conditions de l’activité de la journée font surgir des évènements inattendus. Par exemple, revivre en rêve le travail accompli, et s’apercevoir qu’une erreur a été commise.

    J’en parle en connaissance de cause, car c’est ce qui m’est advenu. Quand, arrivé sur mon lieu de travail le matin suivant, j’ai pu vérifier, et constater que l’erreur existait bien. Mon cerveau l’avait inconsciemment enregistrée, et restituée dans la trame du rêve. On sait que les rêves sont en quelque sorte les éboueurs des déchets du cerveau, afin qu’ils ne s’accumulent pas, et finissent par provoquer un engorgement irrémédiable. Supprimer les rêves est similaire à ces grèves des éboueurs, dont le résultat immédiat est l’entassement des ordures ménagères dans les rues, rendant l’air pestilentiel, et mettant la vie de la communauté au bord de la catastrophe sanitaire. L’élimination de la centrale des rêves aboutit en fin de compte, et en peu de temps, à la mort de l’individu par overdose psychique. Pour cette raison de co-existence : activité cérébrale de jour , élimination par les rêves la nuit, nous sommes tous sans exception, y compris les animaux, et peut-être les plantes, obligés de rêver. C’est pourquoi, il est stupide de dire : moi, je ne rêve jamais. Il faut simplement affirmer : je ne me souviens pas de mes rêves.

    J’ai par ailleurs traité des différents rêves : prémonitoires, incarnations passées, inventions…, je ne reviendrai donc pas sur cette question. A présent, je ne veux que soumettre une hypothèse de travail, concernant les OVNI et les couleurs des rêves. Certaines personnes rêvent constamment en couleurs, d’autres uniquement en noir et blanc. Et il existe bien sûr la catégorie intermédiaire, qui combine les deux. Ceci, évidemment, pour les personnes se souvenant de leurs rêves à leur réveil. Pour l’anecdote, l’emploi de la méthode de programmation, relativement dangereuse, que j’ai évoquée, permet de faire des rêves fantastiques, inoubliables, et entièrement colorés. Mon expérience en la matière, m’a permis de déduire que l’on forçait un peu la nature. Par conséquent, cette méthode, pourtant naturelle, n’est pas à mettre entre toutes les mains. Les couleurs des rêves étant entièrement pures, par rapport à celles fabriquées par les hommes, on peut se demander pourquoi ?

    La réponse est peut-être en concordance avec le tableau de la vierge du Mexique, N-D de Guadalupe, qui ne comporte aucun pigment des trois règnes connus sur Terre : minéral, végétal, animal. Les couleurs des rêves étant par définition ‘’ une vue de l’esprit,’’ elles ne participent à aucun de ces trois règnes. Contrairement à celles des humains, dont les ingrédients altèrent la pureté tout en apportant la teinte cherchée, le cerveau, par l’intermédiaire des rêves, serait capable de créer des couleurs d’une pureté absolue, car non entachées par des éléments annexes. Elles sont immatérielles.

    Jusqu’à quel point ?

    A partir de là, les OVNI interviennent. Tous les témoins qui ont vu les couleurs émises par ces objets, ont déclaré avoir été surpris par leur pureté. Excusez-moi de parler de mon cas personnel, mais c’est le seul moyen d’étayer ces affirmations, et d’aller plus avant dans le raisonnement. Lors de ma vision le premier janvier 1990, de l’échafaudage de poutrelles supportant un miroir concave, apparut sous les nuages du Loiret, le bleu brillant du miroir ( qui mesurait aux environs de deux mètres de diamètre, selon mes calculs ultérieurs ), était impossible à définir en langage humain.

    De même, les poutrelles faisaient penser à un assemblage géant de mécano ( estimation par rapport au miroir : 10 mètres sur cinq, curieux pour une technologie hautement avancée ! ), dont j’ignore toujours le type de matériau. Elles étaient colorées dans la masse avec des bandes alternant le bleu et le jaune, le tout pâle. Du jamais vu sur Terre, mais l’ensemble était d’une merveilleuse étrangeté. L’engin porteur, dont la taille devait être à la mesure de l’assemblage, est resté invisible, astucieusement caché au point fixe dans la masse nuageuse couvrant le ciel.

    Cette alternance de couleurs m’a fait penser au fouet et au crochet tenus en main par les représentations des pharaons sur les sarcophages. Il est possible, mais ce n’est qu’une réflexion toute personnelle, que les anciens égyptiens aient vu ce genre de matériau, sans en comprendre la nature, dans un contexte qui les dépassait. Divinisant leurs pharaons après leur mort, il leur auraient accordé ce privilège, en alternant or et lapis-lazuli. Matérialisation approximative, mais loin de la réalité, même si le résultat est clinquant. Cette curieuse association rappelle les dessins animés champêtres, les symphonies sylvestres, dans lesquels, des peintres utilisaient des couleurs issues d’un même pot, mais qui ne se mélangeaient pas. Ils créaient ainsi des arcs en ciel d’un seul coup de pinceau. Pour en terminer avec cette vision, le miroir a lancé un bref rayon cohérent jaunâtre, c’est à dire absolument cylindrique, vers le sol, puis l’ensemble de l’appareillage est remonté dans les nuages, le vaisseau ayant accompli sa mission ; c’est du moins ce que je suppose, sans en connaître la nature.

    Depuis cette magnifique vision colorée, je ne peux m’empêcher de faire le rapprochement avec les rêves. Ainsi que l’a suggéré, calculs à l’appui, le physicien McCampbell dans le livre ‘’ Les soleils de Simon Goulart ‘’ d’Olivier et Boëdec, les concepteurs des OVNI utiliseraient l’excitation des gaz comme source d’énergie. J’ai déjà écrit, que certains témoignages rapportés par Jacques Vallée, laisseraient supposer que ces mêmes entités seraient capables de liquéfier ces gaz excités à température ambiante. Si c’est le cas, les couleurs seraient parfaites, sans aucun pigment des trois règnes, et expliqueraient le tableau de N-D de Guadalupe.

    Cependant, on peut aller encore plus loin. Dans mon article ‘’ Aspects bénéfiques et positifs des OVNI ‘’, j’ai rappelé une maîtrise que l’on a tendance à oublier : le contrôle de l’esprit humain, au point de d’attirer le témoin là où les ufonautes le désirent, de l’obliger inconsciemment à faire remonter à la surface des souvenirs lointains, ou de capter sa décision de se rendre à un endroit particulier, afin de le devancer. Le tout avec une incroyable facilité confinant à l’insolence, tout en respectant son intégrité physique et physiologique. Si la peur risque de provoquer des dégâts irréversibles, l’OVNI s’en va immédiatement. Ce qui est bien sympa, même si nous sommes les cobayes.

    La Sainte Vierge s’introduit dans les rêves du voyant pour lui parler. C’est le cas de Benedetto da Pareto, à gênes en 1490, ou des chevaliers français prisonniers en Orient. Compte tenu de cette hyper Haute technologie OVNI-Apparitions Mariales, et ne prêtant qu’aux riches, serait-il possible que ces êtres tout-puissants arrivent à capter et à matérialiser les couleurs générées par les rêves, pour les utiliser à leur profit ? Avec toute la débauche d’énergie lumineuse qu’ils déploient, et qui semble inépuisable, tout en étant d’une pureté exemplaire, ont-ils trouvé le moyen d’exploiter cette source gratuite et sans limites, que sont les rêves ? Indépendamment de la récupération des couleurs sur le plan énergétique, ils pourraient aussi utiliser les rêves comme scènes du théâtre faërique. Ce serait un moyen bien commode pour les spectacles et les discussions philosophiques concernant les terriens, leurs rêvothèques étant ainsi sans cesse renouvelées.

    On comprendrait mieux pourquoi ils préfèreraient la nuit que le jour, et l’intérêt indifférent qu’ils portent aux humains. Ceux-ci leur fournissant sans le savoir de quoi alimenter leur passion pour les lumières vives, semblables à celles des contes de fées ; et de participer à leur insu, au monde secondaire d’une pièce issue de leur cerveau ( L’expérience peut-être très semblable au Rêve avec lequel on ( les hommes ) l’a ( semble-t-il ) parfois confondue ) ( J.R.R. Tolkien : Faërie ).

    Peut-être aussi, leur respect pour nous est-il dû au fait qu’eux ne rêvent jamais ?

    Si c’est le cas, alors notre supériorité est immense.

    ***

    2/2- DIEUX EGYPTIENS, OVNI, ET MATERIAU AUX DEUX COULEURS ALTERNEES.

     

    Durant toutes les décennies écoulées de l’Ere Ufologique Moderne, des dizaines de milliers de témoignages ont permis de dresser un catalogue des véhicules utilisés par les touristes ouraniens.

     

    Ils ont également servi à établir les portraits-robots de ces mêmes touristes dans leur généralité. Tout ceci était prévu par eux, pour nous habituer à leur présence. Mais, d’une manière plus subtile, car noyé dans la masse, de temps à autre surgit un cas particulier qui, normalement, devrait nous interpeller. Si je me réfère à ‘’ Passeport pour la Magonie ‘’ de Jacques Vallée, on y trouve évidemment les lutins de Kelly-Hopkinsvillle en 1955, accueillis à coups de fusils par la famille Sutton. Connaissant par avance la réaction des fermiers, et donc prévue au scénario, un champ de force les protégeait des projectiles. Toutefois, on ne les revit jamais plus dans la nomenclature. Peut-être étaient-ils destinés plus spécialement à rappeler que Kelly-Hopkinsville est AUSSI le lieu de naissance du célèbre voyant Edgar Cayce, où il passa son enfance et son adolescence. Le lendemain de cette fusillade - party, le 22 août, près de Riverside en Californie, des enfants eurent des contacts avec des petites créatures à demi-transparentes. Personnellement, je suis à même de confirmer cette semi-transparence, bien que l’apparence à laquelle je pense, soit totalement différente. J’ai déjà cité les deux cas suivants dans mon article ‘’ 5 è état ou 4 è règne ? ‘’, faisant partie des cinq volets du code 607.

    Le N° 789 décrit un engin posté au niveau des arbres, et produisant des couleurs arc en ciel, semblant couler comme un ‘’ fantastique déploiement d’eau ‘’. Le second ( N° 796 ) parle d’un objet qui présentait trois bandes horizontales de lumières bleue, rouge et verte. Il semble évident qu’au milieu du classicisme des témoignages, se dissimulent des étrangetés que nous devrions étudier encore de plus près. C’est le cas du N° 361 de mars 1955, dans lequel le témoin vit trois êtres d’un mètre de haut, à la peau grise, et dont le visage ressemblait à celui d’une grenouille. C’est à rapprocher des hommes-crapauds ornant le bassin de Latone des jardins de Versailles. Tout comme la cinquantaine de ‘’ batraciens ‘’ rencontrés par le témoin en 1976 dans les bois du Banel dans les Ardennes. Ces préliminaires vont nous aider à mieux appréhender un autre volet de ces cas particuliers, que les Responsables des OVNI nous distillent au compte-gouttes ; mais qui peuvent, si l’on s’y attache, aider à faire avancer l’ufologie. Dans le cas traité, il nous faut d’abord remonter à la plus haute antiquité. En ces temps-là, les ‘’ Dieux ‘’ vivaient sur la Terre pour leur plus grand plaisir, mais pas forcément pour celui de leurs hôtes.

    Cependant, ils laissèrent des traces suffisamment indélébiles de leur passage prolongé, pour en imprégner durablement l’esprit des autochtones. Ne parlons pas de l’hélicoptère du temple d’Abydos, des mitraillettes, et de leurs accessoires : les cartouches. Glissons sur les prises de courant, les enregistreurs, les postes de radio ou de télévision-fleurs de lotus, représentés sur de multiples peintures, de messieurs Gruais et Mouny. Tous ces objets sont devenus banals pour nous, mais dénotent dans le contexte des théories archéologiques en vigueur. Il est difficile pour un officiel bon teint, d’admettre que les anciens ‘’ Dieux ‘’ aient pu avoir une existence tout aussi réelle que les instruments qui font partie de notre quotidien. Pourtant, s’il n’y a pas main-mise et silence des mandarins à leur sujet, ces objets enfouis quelque part dans un sanctuaire secret, finiront bien par émerger au grand jour. Ce qui reste mystérieux dans les Connaissances de ces ’’ Divins visiteurs ‘’, c’est un certain matériau qui alterne des bandes horizontales bleues et jaunes, comme faisant partie intégrante, et non peinte sur lui. Bien que nous-mêmes utilisions les couleurs blanche et rouge, pour marquer les rubans et poteaux de signalisation, on imagine mal que ces deux coloris soient simplement des supports de travaux publics. Ils rayonnent d’une manière particulière, comme j’ai pu le constater lors de la vision, en 1990, de l’échafaudage supportant le miroir, et rapportée dans mon article précédent : ‘’ Des OVNI, des couleurs et des rêves ‘’, dans lequel, je faisais pourtant remarquer l’incongruité de cet assemblage hétéroclite sur un engin supposé perfectionné, bien que je ne l’ai pas vu. Mais dont on peut tout de même avancer qu’il déborde largement notre technologie. Toutefois, son utilisation en tant qu’échafaudage, laisse entendre qu’il est commun pour les Responsables des OVNI. Ce qui ne l’empêche pas d’être beau, et sans doute très résistant.

    Cette alternance de bleu et de jaune, m’a fait penser aux masques mortuaires des pharaons, qui présentent, toutes proportions gardées, la même similitude ; bande de lapis-lazuli suivie d’une en or, et ainsi de suite. On peut évidemment dire qu’il s’agit d’une simple coutume dans la coiffe des égyptiens, coutume reportée avec plus d’ostentation dans le rite funéraire. Ce n’est pas impossible bien sûr, mais alors qu’elle est l’origine de cette coutume ? on en revient à ce matériau inconnu. Il est possible que ce matériau dont nous ne possédons pas l’équivalent dans la table de Mendeleiev, ait suffisamment marqué l’esprit des égyptiens de l’antique Antiquité, à l’instar de la croix ansée, constamment tenue en main par les ‘’ Dieux’’. Ce matériau aurait été copié de manière très approximative, avec des éléments rappelant les teintes, les plus nobles possibles. A savoir l’Or et le lapis-lazuli. Ceci pour ajouter à la divinité du pharaon décédé, porteur de la barbe et de la croix ansée, ce qui lui était refusé de son vivant. Ce qui signifierait que si les OVNI actuels utilisent cet étrange matériau, son importance aurait gardé toute sa force à travers les âges. Ce qui en dit long sur sa valeur sur le plan spatial. Si c’est un métal natif, loin derrière les trans-uraniens, sa radio-activité doit être neutralisée pour une utilisation sans danger. Et on peut assurément dire qu’il vient d’ailleurs.

    Si c’est un produit de synthèse, il est d’un très haut niveau technologique, puisqu’il existerait depuis des millénaires. Et sans doute facile à fabriquer dans la quantité voulue, même s’il est très précieux. Par simple comparaison, si l’or sur Terre était tellement abondant que chaque terrien pourrait posséder gratuitement une vaisselle de ce métal, cela ne l’empêcherait pas de garder toute sa Noblesse. A ne pas confondre avec sa richesse. Mais le tour de force le plus impressionnant serait d’ avoir fait quelque chose de merveilleux de ce matériau divin en introduisant cette alternance bleue-jaune, sans délimitation précise mais rayonnante. Le miracle est encore plus grand, si c’est un produit naturel ; car sa vision, aussi brève soit-elle, laisse des traces indélébiles. Dans ce cas, sur quelle planète peut-on le trouver ?Contrairement aux films d’horreur et d’épouvante dont bien des personnes se délectent ( mais seraient-elles aussi réjouies dans la réalité ? ), et qui montrent des créatures cauchemardesques assoiffées de sang humain, l’étrange et l’inconnu peuvent être fascinants de beauté faërique. Les exceptionnelles et sublimes images des habitants des abysses océaniques, saisis dans leurs mouvements lents et gracieux, et leurs lumières stupéfiantes, en sont l’illustration parfaite. C’est avec ce genre de regard qu’il faut voir les OVNI, et ce qu’ils peuvent apporter de positif pour alimenter nos rêves.

    Et l’on peut comprendre alors qu’à force d’avoir sous les yeux, probablement de manière fréquente, ce matériau aux deux couleurs, les égyptiens anciens l’aient considéré comme digne d’accompagner leurs pharaons dans l’au-delà, en lui substituant des matières les plus nobles et précieuses possibles. Sans s’illusionner, je pense, sur le côté artificiel de ce rituel, mais sincères dans leurs convictions.

    Raymond TERRASSE, le 11 janvier 2008.

     

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    Bonjour toutes & tous !

    Cette rubrique sera celle de Clau (Claudine Claves-Contet). Elle nous apportera des réponses à nos questions. Clau reçoit des messages des défunts, car "ils" viennent la voir afin de lui donner des informations sur leurs proches ici bas. Elle a écrit également un livre "Vivre..." qu'elle a auto-produit et qu'on peut commander par e-mail :

     

     claudine.1008@gmail.com

     

    "Bonjour visiteurs de la Taverne - moi c'est clau -
     grâce à tyron et isa, je peux m'exprimer ici et vous faire connaitre un peu mon histoire... celle-ci n'est pas banale. Je remercie chaque jour tous les gens qui m'ont permis de vivre ce si beau et si enrichissant parcours et ce n'est jamais fini... je dis les gens car ce chemin est jalonné de rencontres avec des âmes de l'au-delà toutes plus belles les unes les autres et de personnes vivantes qui n'ont pas été mises sur mon chemin par hasard, mais qui forment au contraire toute un magnifique puzzle où les synchronicités et les fils tissés ne peuvent être le fruit de simples coïncidences. A part une mini-NDE vers l'âge de trois ans, et une grand-mère qui était persuadée de la vie de l'autre côté, rien ne me prédestinait à ce chemin là que je qualifierai aussi de très belle élévation spirituelle. Et puis un beau jour, on vous soulève un tant soit peu le voile et ce que vous découvrez est splendide, vous avez alors envie de le faire savoir au monde entier, car il ne vous appartient plus, il est si beau et il peut aussi aider les personnes en souffrance de la perte d'un être cher. Car voilà, cela commence par le décès de deux personnes jeunes de ma famille, à quatre années d'intervalle, dans les années 80. J'ai commencé à avoir des perceptions, quelques rêves prémonitoires aussi. Puis les choses se sont renchaînées et de plus en plus belles, et de plus en plus vite, et de plus en plus de preuves qui nous ouvrent les yeux bien grands sur 'la vie après la vie
    ". Et que dire de personnes totalement étrangères à vous, à votre famille, à votre pays, à vos traditions,  à votre religion, et même à votre époque qui viennent vous emmener là où vous n'auriez jamais dû aller, qui vous font  vivre ce que vous n'auriez jamais dû voir, qui vous font connaître ce que vous n'auriez jamais dû savoir et qui vous font surtout prendre conscience que votre vie ne sera plus jamais la même et qu'elle est embellie à jamais...
     
    A bientôt..


    bien à vous


    Claudine Claves-Contet

    Association La voie des dauphins à Dôle (39)
    Présidente : Lucienne Clerc
    Tél : 03 81 86 61 41


     

     

      interview de Clau chez elle près de Dijon- 38 mn


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  • Une drôle de veillée funèbre s'est déroulé dans le petit village chilien d'Angol : un octogénaire s'est relevé de son cercueil, sous le regard effaré de ses proches qui étaient en train de le pleurer. Les membres de la famille de Feliberto Carrasco, un retraité de 81 ans, étaient convaincus que sa dernière heure avait sonné, après qu'on a découvert son corps inanimé et froid. Sans prendre le soin, d'appeler le médecin pour constater le décès, ils avaient contacté une société de pompes funèbres, avant de la parer de son plus beau costume pour l'enterrement. "Je ne pouvais pas le croire. J'ai pensé que je me trompais et j'ai fermé les yeux", raconte son neveu Pedro en relatant l'évènement au quotidien Ultimas Noticias, dans son édition. "Quand je les ai rouverts, mon oncle était en train de me regarder. Je me suis mis à pleurer", poursuit-il. De son côté, le "miraculé" a affirmé n'avoir senti aucune douleur, se contentant de réclamer un simple verre d'eau.

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    source: quotidien Le bien public (Dijon), les dépêches du 21/1/2008

     

     
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  • Bonjour toutes & tous ! Voici un message de Gilles pour nos visiteurs :

     

    Merci aux centaines de personnes qui me soutiennent par le biais de la Taverne (videos,articles et commentaires) j'ignore ce jour si cela se traduit par une évolution des ventes chez l'éditeurs car j'ai beaucoup investi pour le projet livre 1 (droits de production, d'édition, iconographie )  je n'ai toujours rien touché en ce 19 janvier 2008, le contrat d'édition prévoit un versement (50 centimes par livre ?) à partir du 1000e vendu en librairie. (impossible à vérifier sans notoriété !) mon déficit est supérieur à 25000 € car j'ai du protéger le brevet du principe découvert qui devrait tôt ou tard effacer les affirmations sans fondement en fait indémontrables impossible à modéliser. Actuellement mon deuxième ouvrage se trouve sur l'ordinateur de ma maison de production qui tarde à agir pour boucler le projet pour des raisons qui restent à éclaircir. De mon côté je pense récupérer le travail  réalisé pour activer la sortie de celui-ci suite à vos demandes nombreuses et impatientes, encore faut-il trouver un autre partenaire pour terminer la phase de production et procéder à l'édition. Concrètement je cherche un autre éditeur pour aboutir à la parution du deuxième livre destiné à tous. Merci bien !

     

    Voilà concernant son info, peut-être que quelqu'un pourra l'aider, en attendant laisser vos impressions et suggestions éventuelles. Gilles est méritant et il est dommage que son projet n'aboutisse pas. Laisser lui des commentaires car il les affectionnent particulièrement !

    Merci à tous ! Tyron


     

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    VOYAGES PSYCHEDELIQUES

    Le pouvoir des plantes hallucinogènes permet-il de laisser l’esprit errer librement dans les fantasmes de notre royaume intérieur ? Ces plantes permettent-elles à ceux qui les ingèrent de pénétrer une autre dimension de la réalité ?

    PLANTES HALLUCINOGENES

    Dans la forêt amazonienne et dans le bassin de l’Orénoque, en Colombie et en Equateur, pousse une sorte de vigne grimpante au nom savant de Banisteriopsis Caapi. Son écorce, bouillie ou trempée dans l’eau avec d’autres ingrédients naturels, produit la substance hallucinogène la plus consommée dans le monde, le yajé ou ayahuasca, « vin de l’âme ». A fortes doses, il peut effectivement devenir ce qu’un pharmacologue décrit comme la « porte chimique » d’un autre monde. Dans les sociétés tribales, absorber des plantes hallucinogènes n’est pas considéré comme une distraction, un simple « voyage d’agrément ». Ce sont des plantes sacrées, au cœur des traditions et des croyances. Le yajé, en particulier, est très révéré. Ethnobotaniste à l’université de Harvard, Wade Davis a passé plus d’un an en Amazonie à étudier les plantes hallucinogènes, sous l’autorité du professeur Richard Evans Schultes, psychopharmacologue de réputation internationale. Avant son départ, davis a demandé quelques conseils à Schultes.  Il m’a dit : « porte toujours ton casque, ne t’encombre pas de bottes car les serpents mordent toujours dans le cou, et ne reviens pas sans avoir essayé le yajé », se souvient Davis.

    « Le yajé, c’est tout sauf agréable », dit-il encore. Même pour les plus expérimentés, l’ingestion de ce breuvage est généralement suivie de différents symptômes : vertiges, sueurs, spasmes convulsifs, nausées, vomissements, diarrhées, écoulement nasal, terreur et pulsions agressives. Mais ensuite, l’expérience est extraordinaire. On est transporté dans un royaume merveilleux et sans limites que l’on perçoit aussi clairement que la réalité. Ainsi débarrassé de son enveloppe charnelle, l’être peut se déplacer sans se mouvoir. Il communique avec ses ancêtres, les dieux, les esprits des animaux ou des premiers êtres humains. Il possède toute la connaissance, il comprend l’univers et la place que l’homme y occupe, il dispose de toutes les réponses. Un chaman apprendra ainsi à guérir les malades, il découvrira l’identité d’un criminel, saura retrouver un objet perdu, localisera le gibier ou résoudra un problème qui se pose à la communauté. Il entrapercevra même une partie de l’avenir. S’il le désire, un chaman peut aussi profiter de cet état privilégié pour investir le corps d’un animal ou d’un oiseau. <o:p></o:p>

    VOL CHAMANIQUE<o:p></o:p>

    Le chaman peut également « voler », au sens figuré, bien que cette expérience subjective soit si forte qu’il puisse véritablement y croire. La sensation de vol sous hallucinogène est un phénomène très ancien commun à de nombreuses cultures. Elle est à l’origine d’une image si puissante qu’on ne l’a toujours pas oubliée : la sorcière sur son balai. Au Moyen Age et pendant la Renaissance, on croyait que les sorcières s’envolaient ainsi pour aller danser et s’accoupler avec les démons. En réalité, elles utilisaient un onguent magique à base de substances telle la belladone, dont elles s’enduisaient le corps. Lorsque le produit entrait en contact avec une plaie, il provoquait des hallucinations et la sorcière « s’envolait ». S’il n’y avait pas de blessures, il fallait alors, pour s’assurer que la substance pénètre bien, l’appliquer intérieurement. Son goût répulsif interdisant l’absorption buccale, il ne restait donc qu’une solution… le balai ! Au fil des siècles, cette image s’est peu à peu édulcorée jusqu’à pouvoir illustrer les livres d’enfants. Cette expérience transcendante n’est pas le privilège exclusif du chaman. Dans certaines communautés, tout le monde boit le yajé à diverses occasions. Ce breuvage est souvent considéré comme un remède puissant pour lutter contre les maux physiques ou moraux. Il confère une agressivité utile au guerrier et, à petite dose, il améliore la vision nocturne du chasseur (cette dernière qualité n’a rien de mystérieux, puisque le yajé dilate la pupille). Les habiles chasseurs de la tribu AMAHUACA attribuent leur sensibilité exacerbée à l’esprit animal qui, sous l’influence du yajé, leur permet d’étudier les mouvements de leur proie. Les TUKANOANS utilisent le yajé pour communiquer avec leurs ancêtres et pour explorer les cieux. Dans son étude sur la tribu KOFAN, Wade Davis écrit : « Le yajé est source de sagesse, c’est l’ultime moyen de connaissance pour la société tout entière. Boire le yajé, c’est apprendre. Il permet d’acquérir le pouvoir et de diriger l’expérience du divin. »

    La plupart des expériences vécues sous l’influence du yajé s’expliquent facilement par les croyances traditionnelles et les attentes inconscientes du sujet. Cependant, il reste certains points obscurs. La plupart des hallucinogènes induisent des visions (même si peu sont aussi « réelles » que celles que provoque le yajé), mais leur nature diffère énormément d’une personne à l’autre. Avec le yajé, rien de tel. Même chez les sujets qui ne connaissent pas les traditions d’Amérique du Sud, il provoque des apparitions d’énormes félins et de serpents. Ce phénomène, qui intrigue les psychologues depuis longtemps, reste inexpliqué. Certains prétendent qu’il pourrait s’agir de « peurs primales », de « souvenirs génétiques » ancrés dans les gènes et réactivés par la drogue. Les membres des sociétés chamaniques ont une autre explication : ces images existent bel et bien dans le monde pour lequel le yajé nous offre un passeport… Les artistes locaux dépeignent souvent leurs expériences de la drogue, et leurs visions sont si récurrentes qu’un ethnobotaniste remarque : « Quelqu’un qui regarderait un peintre en plein travail s’exclamerait immédiatement : ‘’ C’est ce qu’on voit après trois verres de yajé ! ‘’» La nature collective de ces visions corrobore un autre effet étrange, qui lui aussi se produit en dehors de tout contexte culturel : après avoir bu le yajé, on peut pénétrer dans la pensée des autres. Les biochimistes qui ont isolé, dans le Banisteriopsis, une substance aujourd’hui appelée harmine, auraient aussi bien pu la baptiser « télépathine ». « On dit que les chamans auraient le pouvoir d’appeler les animaux de la forêt de telle façon que les apprentis puissent les voir, explique Wade Davis. Je n’ai aucun mal à y croire. »

    Dans ces circonstances particulières, qu’un individu puisse projeter ses pensées de telle manière qu’un autre les perçoive n’est peut-être pas aussi extraordinaire qu’il y paraît. Les hallucinogènes induisent souvent un certain degré de synesthésie (perception d’une sensation provoquée par la stimulation d’un autre sens ou, en d’autres termes, faculté d’ « entendre » les couleurs, de « goûter » les formes ou de « voir » les sons). Lors des cérémonies du yajé, le chaman chante souvent. Par une sorte de réponse synesthésique, l’assistance peut « voir » ses propos prendre vie. Les psychopharmacologues qui ont étudié la diméthyltryptamine, ou DMT (présente dans d’autres plantes entrant dans la composition du yajé, et qui devient active combinée avec l’harmine), ont souvent évoqué le « langage visuel », cette manière de transmettre pensées, concepts et mots par l’intermédiaire d’images tridimensionnelles. Demandez à Wade Davis de vous décrire sa propre expérience du yajé, il vous montrera aussitôt un exemplaire du manuscrit qu’il a rédigé lors de son voyage en Amazonie. « Je suis désolé, je ne vois aucune autre manière d’évoquer le yajé, dira-t-il en vous présentant sa prose enivrante. Cela n’a rien à voir avec le LSD, que l’on prend de nos jours en guise d’amuse-gueule. Je ne me drogue pas, mais, pour mon travail, j’ai expérimenté plusieurs hallucinogènes d’origine végétale. J’ai toujours trouvé cela intéressant. Avec le yajé, c’est tout autre chose… On entre dans un monde terrifiant. Quand les Indiens parlent d’affronter le Jaguar, ils ne plaisantent pas. »

    POUVOIRS MAGIQUES

    D’après certaines sources, les premiers hommes croyaient que les plantes et les champignons hallucinogènes étaient des dons divins conférant des pouvoirs magiques. Dans certaines sociétés tribales contemporaines, cette croyance persiste. Terence McKenna, un psychopharmacologue renommé qui n’hésite pas à bousculer les idées établies, a modernisé cette théorie : selon lui, les champignons sont un moyen de communication extraterrestre qui permet aux habitants de la planète Terre d’entrer en contact avec une intelligence supérieure. « Malheureusement, une fois dépouillés de toute rhétorique, les arguments de McKenna se révèlent dépourvus de fondement. » Les hallucinogènes semblent fonctionner commes des catalyseurs capables de stimuler des facultés existant à l’état potentiel dans l’esprit humain. La pratique chamanique, par exemple, ne repose pas exclusivement sur les drogues : les chamans obtiennent parfois l’état mental désiré en jouant d’un instrument. Les rythmes prolongés et répétitifs troublent les circuits du cerveau et provoquent des modifications assez proches de celles causées par les substances psycho-actives. Les adeptes d’autres religions pratiquent la méditation, entrent en transe ou s’isolent en se privant de tout contact sensoriel afin de transcender leur état mental habituel. Nombre des expériences associées à des hallucinogènes peuvent se produire spontanément, sans aucun stimulus extérieur.<o:p></o:p>

    CONSCIENCE MODIFIEE

    Pour un petit nombre de personnes, la synesthésie est une faculté permanente, une caractéristique innée. Il ne s’agit pourtant pas exclusivement de phénomènes subjectifs. En effet, les impressions sensorielles additionnelles sont les mêmes pour tous les individus. La note si bémol, par exemple, évoque invariablement la couleur verte, tandis que le la dièse est décrit comme jaune. La synesthésie semble héréditaire, mais les chercheurs sont loin de comprendre par quel gène elle se transmet. Elle n’est peut-être pas un don surnaturel ; au contraire, elle ferait partie du potentiel humain. Ainsi, les sujets doués de synesthésie ne seraient pas nés avec une faculté exceptionnelle, mais avec une déficience… Le sommeil conduit lui aussi à des états de conscience modifiée. En entrant dans la phase de sommeil, on atteint un stade hypnagogique, une sorte de no man’ land mental où l’on imagine souvent voir des formes et des dessins géométriques. Ce phénomène, courant sous l’emprise de substances hallucinogènes, est, dans un cas comme dans l’autre, dû à des connections neuroniques anarchiques, résultat naturel d’un dysfonctionnement du cerveau lorsque l’état de conscience s’amenuise. D’autres personnes voient des images flottantes de visages ou entendent leur nom juste avant de s’endormir, d’autres encore perçoivent des bribes de musique, de conversation ou de poésie, et certaines sentent des odeurs, le plus souvent de fleurs ou de nourriture.

    RÊVES EVEILLES

    C’est également entre le sommeil et la veille, lorsque l’esprit se trouve dans un état peu habituel, que beaucoup prétendent avoir des sortes de prémonitions, des rêves éveillés qui semblent prédire l’avenir. S’il est vrai que les hallucinogènes donnent à la vie l’apparence d’un rêve, les rêves font souvent vivre des expériences similaires : perceptions sensorielles exacerbées, impression de posséder la sagesse, de comprendre l’univers dans sa globalité. On a d’abord pensé que ce phénomène était réservé à ceux qui avaient, à un moment ou un autre, fait usage de drogues psycho-actives ; en d’autres termes, on croyait qu’il s’agissait de souvenirs d’expériences antérieures liées à la drogue. Cependant, certains éprouvent les mêmes sensations sans avoir jamais touché à la drogue. Et ceux qui ont pris des hallucinogènes disent ne voir que peu de différences entre les deux types d’expériences, ce qui renforce l’hypothèse que la drogue n’apporte rien de nouveau, mais qu’elle stimule un potentiel existant. On considère souvent les expériences vécues sous l’influence de la drogue ou en rêve comme « inférieures » à la réalité ; certains estiment au contraire que, ainsi débarrassés de notre mode de pensée rigide, nous trouvons là l’occasion de mettre en œuvre, enfin, des capacités sous-jacente dont nous n’avons encore pas pris la mesure. Certains anthropologues pensent que c’est l’usage des hallucinogènes qui a initié l’humanité aux concepts d’expérience mystique, de spiritualité, de magie, et a ouvert d’autres champs de connaissance. Il n’est pas totalement exclu que la religion elle-même soit née de la rencontre de l’esprit humain et des hallucinogènes.

    D’autres sont persuadés que les hallucinogènes ont joué un rôle encore plus grand dans l’histoire de l’humanité. Ainsi Terence McKenna va jusqu’à affirmer que la clé de notre évolution mentale réside peut-être dans l’ouverture d’esprit rendue possible par l’expérience psychédélique…

    Source : Aux Frontières du réel, le nouveau dossier par Jane Goldman- 1997

     

    La taverne de l'étrange-18 janvier 2008

     


     

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