• Une saucisse de Morteau envoyée dans la stratosphère à bord d'un ballon-sonde est portée disparue: un appel à témoin a été lancé mercredi en Suisse, où la charcuterie est probablement retombée, a-t-on appris auprès des porteurs du projet.
     
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    Le ballon-sonde et sa saucisse ont été expédiés mardi par des collégiens de Franche-Comté à 32.000 mètres d'altitude. Équipé d'un GPS, le ballon a logiquement explosé à cette altitude avant de retomber sur terre.
     
    Les radios amateurs qui suivaient la nacelle du ballon "ont perdu le signal du GPS", a expliqué à l'AFP Damien Boichat, professeur de physique-chimie qui anime le club scientifique du collège Saint-Exupéry de Beaucourt (Territoire-de-Belfort), à l'origine de l'expérience. D'après les dernières coordonnées GPS enregistrées à 1.500 mètres d'altitude, la nacelle et la saucisse sont probablement tombées dans "une zone de plusieurs kilomètres carrés au sol, entre Brugg et Zurich", en Suisse, a-t-il ajouté.
     
    Le GPS ne fonctionne plus. "Soit l'atterrissage a été très brusque et l'émetteur est cassé, soit la nacelle est tombée dans l'eau, soit quelqu'un l'a ramassée et mise dans un endroit abrité", a estimé M. Boichat. Un appel à témoins a été lancé par l'Association de défense et promotion des charcuteries et salaisons IGP de Franche-Comté, propriétaire de la saucisse de Morteau et de deux caméras équipant cette nacelle recouverte de plastique doré et brillant.
    L'association a promis, dans un communiqué, "son poids en saucisses de Morteau" à toute personne retrouvant la saucisse.
     
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    "Les recherches continuent", selon Damien Boichat, "on compte sur les promeneurs pour la retrouver, elle n'est pas définitivement perdue". D'après l'appel à témoins, la nacelle a une base carrée de 40 cm sur 40 et fait 30 cm d'épaisseur, et "elle est attachée à un réflecteur radar fait de deux losanges de film plastique argenté entrecroisés."
     
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    Lors d’une expédition sous-marine au large de la Sicile, des archéologues ont mis en évidence 39 lingots d’un mystérieux métal. Les analyses menées sur les vestiges semblent suggérer qu’il s’agit du légendaire orichalque, associé dans les textes antiques au mythe de l’Atlantide.  Il suffit parfois d'une simple découverte archéologique pour relancer une mythique légende. Lors d’une expédition au large des côtes de la Sicile, une équipe d’archéologues italiens a découvert de nombreux lingots dispersés sur le fond marin. Les analyses menées sur ces vestiges témoignent d’une composition inédite qui pourrait bien correspondre à celle l’orichalque. Décrit dans de nombreux textes antique, ce métal rare proviendrait, selon le philosophe grec Platon, de l’île légendaire d’Atlantide. Au total, 39 lingots de forme rectangulaire ont été remontés à la surface. Ils ont été retrouvés aux abords d’une épave gisant dans les eaux peu profondes, à 300 mètres au large de la ville de Gela. L’embarcation aurait échoué il y a près de 2.600 ans et a été découverte en 1988 à quelques mètres de profondeur sous la surface. Selon les archéologues, celle-ci était en provenance de la Grèce ou de l’Asie mineure et se rendait en Sicile. Un métal destiné aux ornements Elle transportait à bord le métal, destiné à être utilisé comme ornement lorsque, prise dans un violent orage, elle aurait sombré avec son précieux butin dans les profondeurs de l’océan. Les lingots représentent une découverte de taille et pour cause, jamais rien de tel n’avait encore émergé de l’histoire. Selon Sebastiano Tusa, archéologue à l’office maritime de Sicile, elle "ouvre d’importantes perspectives pour la recherche et l'étude d’anciennes routes d'approvisionnement en métaux dans la Méditerranée antique". "Nous connaissions l’orichalque d’après les textes anciens et quelques objets décoratifs", précise le chercheur dans un communiqué. Les écrits du passé permettent en effet de se faire une idée sur le mystérieux métal, même si son origine et sa composition ont largement été débattue. Un alliage de laiton et de zinc Selon les historiens, l'orichalque est un alliage ressemblant au laiton, fabriqué à partir de zinc, de charbon et de cuivre. Les lingots nouvellement découverts ont été soumis à une analyse par fluorescence à rayons X afin de mettre en évidence leur composition. Les résultats de cette expérience indiquent une proportion de 75 à 80% de cuivre, de 15 à 20% de zinc et des traces de nickel, de plomb et de fer.
     
    Cette caractéristique a ainsi poussé les chercheurs à penser qu’ils se trouvaient face à de l’orichalque. "Cette découverte confirme qu'un siècle après sa fondation, Gela est devenue une ville riche avec des artisans spécialisés dans la production d'artéfacts précieux", explique le scientifique repris par Discovery News. Ainsi, les lingots étaient très certainement destinés à ces commerces et à la fabrication de nouveaux produits. Attention cependant aux conclusions hâtives. Les lingots ne constituent pas une preuve de l’existence de l’Atlantide, souligne l'équipe d'archéologues. Du métal mais pas d'Atlantide Interrogé par Nextme, Sebastiano Tusa explique : "La découverte des lingots est associée à Atlantide, car dans le Critias, Platon mentionne le métal comme étant présent sur le continent mystérieux et utilisé pour la décoration du temple de Poséidon". Aussi, la découverte du métal légendaire dans une épave ne confirme en rien l'existence de l'Atlantide. D'ailleurs, certains chercheurs évoquent la possibilité qu'il s'agisse seulement d'un métal mêlant laiton, cuivre et zinc sans que cela ne soit réellement de l'orichalque. De leur côté, le Dr Tusa et son équipe envisagent désormais de continuer les recherches à bord de l’épave dans l’espoir de tomber sur d’autres vestiges aussi importants que les lingots. Ces découvertes devraient permettre d’en savoir davantage sur l'histoire de la Sicile et notamment sur l’économie et l’artisanat de la région.
     


    Le mystérieux métal de l'Atlantide découvert dans une épave au large de la Sicile par Gentside Découverte

    Publié par Maxime Lambert, le 05 février 2015
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  • EXCEPTIONNELLE OBSERVATION D’O.V.N.I. DANS L’OISE

     

    Une petite information au sujet de ces observations anciennes, en effet dans les années 70, il y avait plus de contacts qu’aujourd’hui, et il est important de remettre en actualité des événements pour les nouvelles générations afin quelles prennent consciences des véritables raisons de ce problème extraterrestre.

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    Rarement un O.V.N.I. aura été vu de si près et par autant de personnes que dans la région de Clermont, dans l’Oise en 1977. Rarement aussi, une observation de ce genre aura été faite pendant une durée aussi prolongée. L’objet volant non identifié vu dans le ciel du sud de la Picardie est en effet resté, selon les témoins, au moins trois jours dans ce secteur. La description la plus précise de cet O.V.N.I. est fournie par un jeune couple qui circulait dans la soirée du samedi 29 octobre 1977, sur une petite route vicinale reliant le village d’Etouy au hameau de Bizancourt où les deux jeunes gens résident.

     

    COMME UNE ETOILE SEMBLE SE RAPPROCHER

     

    Cette route (A cette époque) M. Alain Bray, 22 ans, ouvrier polisseur à l’usine Quéroy près de Clermont et son épouse Maryline, 19 ans, la connaissaient bien. Elle sillonne sur un plateau délimité par les vallées creusées par deux rivières : la Brêche et l’Arré. Il n’y a sur ce plateau que de vastes champs de céréales, entrecoupés de petits bois. Sur les six kilomètres séparant les deux villages, on ne rencontre qu’une ferme, situé en retrait de la route. (Ferme de Cohen)

    L’endroit est donc parfaitement dégagé et constitue un excellent lieu d’observation pour ceux qui regardent vers le ciel… ou ceux qui en viennent.

    Ce samedi 29 octobre vers 20 heures, M. Alain Bray venait de quitter ses parents à Etouy. Accompagné de sa jeune femme, il conduisait sa « 304 » sur le chemin vicinal. La nuit était claire et laissait voir avec une grande netteté les étoiles qui peuplaient le ciel. Peu après la sortie d’Etony, une de ces étoiles semble être plus près que les autres. Elle attire l’attention de Mme Maryline Bray. La « 304 » avance, l’astre se rapproche. La jeune femme comprend alors que ce n’est pas une étoile, c’est autre chose, mais quoi ? Elle est à la fois captivée et effrayée par cette vision. Elle ne dit rien. Son mari sent son inquiétude. Il se tait lui aussi. La voiture poursuit sa route. L’objet devient de plus en plus proche.

    Il est allongé et très lumineux. Il a la forme d’un ballon de rugby très allongé. Il est légèrement bombé sur le dessus. Bien qu’il dégage une forte lumière, il n’éblouit pas.

    Arrivés à l’intersection du chemin menant à la seule ferme du secteur, M, et Mme Bray voient l’objet. Il se trouve devant eux à moins de cinquante mètres. Il est peut-être à trente mètres du sol. Il paraît avoir un volume comparable à trois fois sa voiture. Mme Bray est alors prise de frayeur. Elle est gagnée par une sorte de crise de nerfs. Elle serre le bras de son mari et l’oblige à faire demi-tour. Ils reprennent alors la direction d’Etouy.

    L’objet les suit jusqu’à l’entrée du village. Après avoir déposé sa femme, M. Alain Bray décide de retourner sur les lieux. Il repart avec son frère. Ils ne tardent pas à revoir l’objet. Il semble, cette fois, s’être posé dans un champ, sur la gauche de la route. Il continue à dégager une lumière tirant sur le jaune et sur l’orange. Les deux hommes décident alors de retourner chercher un appareil photo et des jumelles. Ils reviennent une troisième fois. Mais, il n’y a plus rien, l’objet a disparu. Fortement choquée par la vision qu’elle venait d’avoir, Maryline Bray doit appeler le médecin. Elle restera alitée plusieurs jours.

    M. Alain Bray a, pour sa part, pu réagir avec énergie. A la peur du moment, a succédé la curiosité. Le dimanche 30 octobre, accompagné de son frère et d’autres membres de la famille, ils se rendent à nouveau sur l’énigmatique route d’Etouy à Bizancourt. Leur ténacité est à demi récompensée. Ils voient l’objet, mais de plus loin et moins longtemps. Le lundi et les jours qui suivent M. Bray et les membres de sa famille parlent autour d’eux de ce qu’ils ont vu. Ils constatent alors que plusieurs de leurs connaissances ont aperçu un phénomène identique : le samedi soir, le dimanche soir et même le lundi soir.

    L’objet a été vu depuis plusieurs villages:

    AGUETZ, ROUQUEROLLES, FITZ-JAMES et SANCY-LE-GRAND.

    Ces différents témoignages retiennent l’attention. On ne peut, en effet, à leur sujet parler d’hallucination collective, et ce pour plusieurs raisons. Il faut d’abord remarquer que les habitants de cette région savent parfaitement distinguer ce que voient dans le ciel, de jour et de nuit. Ils se trouvent à proximité des zones d’envoi de l’aéroport de Beauvais de la base militaire de Creil et de la base d’hélicoptères de Margny-lès-Compiègne.

    Les passages d’avions sont fréquents et facilement identifiables.

    On peut écarter aussi l’hypothèse de ballons dirigeable pour les mêmes raisons. Les témoins en ont vu passer dans le secteur et ont pu les photographier. Aucune confusion n’est possible.

    Enfin, et c’est là le plus troublant, ce n’est pas la première fois que des observations de ce genre sont faites dans cette région. Plusieurs témoignages identiques ont été recueillis ces dernières années.

    Ils présentent tous les mêmes curieuses coïncidences !

    A la suite de cette observation particulière, bien des années plus tard je me suis rendu sur place, et j’ai fait des relevés géologiques et une fois de plus j’ai relevé des failles importantes sur les lieux d’atterrissages, il y a un rapport important entre ces objets et les courants telluriques. Ensuite j’ai découvert une carrière de silices d’argile royal, comme d’habitude dans ce genre d’atterrissage, je n’arrive pas à comprendre que nos ufologues de renoms ne pensent pas à ouvrir l’horizon de leurs recherches, et qu’ils restent dans la doctrine de l’école maternelle.


     

    claude burkel avatar
     
    Source : Recherches personnelles, et confirmation par les témoins- Mars 2008
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  • IL N’Y A PLUS DE SAISONS

    UNE REFLEXION QU’ON AURAIT PU FAIRE A TOUTE EPOQUE

    les saisons
     
    A l’aube du 11 novembre 1076, l’hiver saisit l’Europe  dans ses tenailles. Le froid arriva  sans crier gare. En quelques heures le Rhin, à Strasbourg, fut gelé, permettant aux voituriers de franchir le fleuve sans emprunter les ponts. D’une rigueur tout à fait exceptionnelle le froid, sans désemparer, s’obstina jusqu’au mois de mars de l’année suivante. Il faudra attendre 1150 pour retrouver un hiver si féroce que la mer du Nord se trouva gelée jusqu’à trois milles de nos côtes.

     

     

    Ces anomalies ne sont certes pas originales mais il est difficile, faute de pouvoir remonter assez loin dans le temps et surtout par manque d’informations, de saisir le mécanisme mystérieux commandant les coups de folie de la nature. Au-delà d’un siècle, on ne trouve pratiquement rien de  sérieux. Pour collationner les faits, il a été nécessaire de compulser maintes archives, des chroniques familiales aux registres des impôts qui faisaient ressortir les bonnes ou les mauvaises récoltes, en passant par les registres paroissiaux dans lesquels les curés de l’époque notaient tous les événements marquants de l’année en cours, mettant en relief les anomalies saisonnières lorsque celles-ci avaient une importance particulière.

     

    Après le très dur hiver de 1150 aucun texte biographie ne parle plus de rien. Mais voilà qu’en 1407 le général Hiver ouvre de nouveau les hostilités. En quelques heures un froid très vif fera grelotter la France entière. Il est vrai qu’à cette époque les moyens de chauffage, lorsqu’ il y en avait, étaient plutôt rudimentaires.

    En 1494 le froid se déplaça vers le sud. En Italie le port de Gênes est tout bonnement pris dans les glaces le jour de Noël au  grand dam des Génois qui  n’en croyaient pas leurs yeux. En contrepartie et certainement pour se faire pardonner, dame Nature octroya à l’an 1495 un hiver très doux et en 1505 un hiver encore plus tendre puisque les roses se mirent à fleurir en janvier. Las de cette mesure de clémence, 1506 paiera les pots cassés. Juste retour des choses, la mer gèlera à Marseille. En 1540 ce sont les vignes qui gèleront sur pieds à Montpellier un 23 mars. En 1557 Arles contemplera le Rhône pris par les glaces sur sa largeur et les oliviers de Provence mourront par centaines durant les terribles hivers de 1565, 69, 71, 73, 87, et 1595.

    Ce nombre impressionnant d’hivers rigoureux durant la seconde moitié du XVIe siècle jusqu’au début du XVIIe s’est traduit en France, par l’avance spectaculaire des glaciers alpins détruisant autour de Chamonix maints chalets et hameaux. L’épouvante se prolongea lorsque les malheureux habitants, qui n’y comprenaient plus rien, s’aperçurent que l’été ne parvenait pas à stopper l’avance des glaciers qui, tels des bulldozers, emportaient tout dans leur marche silencieuse. Là encore il aurait été fort intéressant de comptabiliser toutes les températures atteintes lors de ces offensives hivernales hors du communs mais hélas, à cette époque l’emploi du thermomètre était fort peu étendu. Ce n’est qu’en 1709 qu’on prendra l’habitude de mesurer les assauts du temps. Cette année-là le thermomètre accusa moins 23 degrés à Paris. On notera de très basses températures en 1870, en 1873, en 1879 où on enregistra moins 33° à Langres, et moins 27° à Commercy et moins 25° à Paris. La ronde des hivers très rigoureux se poursuivit allégrement : moins 25° à Limoges en 1893, des températures extrêmement basses en 1917, 29, 54, 56, et 1967.

    Mais à ces périodes de grande froidure il est encourageant de comptabiliser les époques de très grande chaleur. En 1303 la Seine et Oise, aux alentours de Paris, se trouvaient à sec. Cette année se singularisa par une folle course à l’eau, sources, puits et ruisseaux se trouvant taris. L’an 1504 enregistra une sécheresse exceptionnelle. A Paris la chaleur fut telle que le thermomètre de Cassini et de La Hire éclata. En 1707 nouvelle offensive. Cette fois les animaux qui paieront de leur vie cette insolation exceptionnelle. La France « crèvera » de faim en 1709, les récoltes ayant été brûlées sur pied par un ensoleillement implacable de longue durée. Une accalmie s’ensuivra. On ne retrouvera de telles températures caniculaires qu’en 1790, en pleine Révolution.

    Que faut-il déduire de ces colères intempestives ?

    On sait que le climat actuel de nos régions ne date pas d’une période fort récente, six ou sept mille ans environ. On a déterminé d’autre part que notre pays avait été influencé auparavant par des périodes très froides, à preuve la découverte dans les grottes préhistoriques d’ossements de mammouths et d’ours, animaux particulièrement adaptés aux pays froids et aujourd’hui disparus. Dernière constatation : si, à fin de comparaison, nous prenons le temps qu’il a fait durant les 10 ou 20 années écoulées et le mettions en parallèle avec le temps qu’il faisait il y a cent ans, nous ne relèverions aucune différence notoire.

    Pendant un certain temps on avait misé, pour tenter une explication sur la cause des intempéries exceptionnelles, sur l’état des masses d’air situées aux pôles. Il est exact qu’on les connaissait très mal mais aujourd’hui, alors qu’il semble que ce mécanisme soit parfaitement interprété, la probabilité d’y trouver une explication s’amenuise de plus en plus C’est dans une direction toute autre que les recherches se dirigent maintenant. Sachant que la terre, sans interruption, est bombardée par des particules venues du Soleil ; que les particules sont plus nombreuses et plus agressives durant certains cycles où l’activité magnétiques du soleil est plus forte ; et que l’arrivé de ces particules « suractivées » agresse à son tour la haute atmosphère, il reste à élucider le pourquoi et le comment de cette réaction puis à déterminer quelle influence ceci ou cela peut avoir sur le déroulement cyclique des saisons. De nos jours, sans répit, des centaines d’appareils hautement sophistiqués transmettent des milliers d’informations à la seconde.

    En attendant, le temps semble suivre des alternances dont on n’a pas encore percé les lois. Longtemps on a cherché à mettre en évidence le cycle de 11ans dans l’activité solaire, mais peu à peu les météorologues abandonnent cette piste. La fin du XVIe siècle a été marquée par un notable refroidissement. Le début du XXe par un sensible réchauffement. Mais maintenant au début du XXIe siècle nous venons de trouver la raison. Notre pollution de notre monde moderne enfin le peuple de la planète est responsable, toute notre activité industrielle et en est la cause. Les scientifiques ne disent pas tout au monde, il existe dans la haute atmosphère des trous où s’échappe notre pollution, et cela depuis la nuit des temps ? De plus les Astronomes depuis 30 ans d’observations du système Solaire, se sont aperçu que plusieurs planètes de notre groupe ont perdues une importante partie de leur calotte glacière ?

    Donc notre réchauffement actuel serait dû à notre Etoile « Notre soleil », une

    Déclaration officielle serait catastrophique pour la population, avec une panique qui pourrait sans découler. Dans ce cas c’est pour le bien de tous, restons à notre pollution, qui de toute façon reste un handicap pour toute notre société moderne.

    Seule consolation, c’est qu’il est vraisemblable que beaucoup d’eau coulera encore sous les ponts avant que quelques apprentis sorciers ne découvrent le moyen de maîtriser et de réagir à sa guise les forces de la nature. Celle-ci a, jusqu’alors, parfaitement su faire son ménage. Pourquoi lui retirer notre confiance.


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  • LES ANIMAUX ET LES O.V.N.I.S

    Leur sixième sens les avertit souvent d’une présence que les

    Humains ne décèlent pas.

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    Les animaux « sentent » l’approche de l’orage ou d’événements plus graves tels qu’éruptions volcaniques ou séismes. C’est, pense-t-on, affaire d’ultrasons ou perception d’ondes électromagnétiques. Voir des deux à la fois. Pourquoi ne seraient-ils pas avertis de la même manière, et avec une sérieuse avance sur les humains. Du passage dans notre ciel ou de l’atterrissage sur notre sol de ces fameux « objets volants visuelles de nature inconnue dont l’histoire s’enrichit un peu plus chaque années.

     

    Les milieux scientifiques ont pourtant combattu longtemps cette croyance. Ils ne prêtaient aucune foi aux récits de tant de témoins après les  apparitions des propos tels que : « Ce sont les chiens qui ont attiré notre attention » ou : « les bêtes, dans l’étable, ont fait un tel vacarme que nous sommes sortis. »

    Mais leur attitude est en train de changer. Cette précognition animale est en passe de devenir vérité officielle ; d’où l’intérêt de récapituler les principaux phénomènes en registrés en cette matière, depuis quelque vingt années. Le 29 janvier 1953, un ancien officier de l’armée de l’air américaine fut éveillé par un extraordinaire remue-ménage. Tous les animaux de la ferme s’en mêlaient : les cochons, la basse-cour et même les chevaux qui expédiaient de terribles ruades dans les parois de leur box. Il sortit et vit passer, à faible altitude, un OVNI en forme de disque.

    A Quarouble, en septembre 1954 un habitant, Marius Dewilde, put se livrer à une observation du plus grand  intérêt. Or c’est à son chien qu’il la devait : cet animal s’était mis à hurler en pleine nuit, puis à ramper devant le lit de son maître jusqu’à ce que celui-ci se soit levé. Ensuite  il l’avait conduit en grognant jusqu’à la voie ferrée où était posé un engin mystérieux avec deux personnages de petite taille à proximité.

    Quelques jours plus tard, à Chadeuil, dans la Drôme, un chien mis à aboyer à la mort. Tous ses congénères du voisinage l’imitèrent bientôt, et tous les habitants, à leur tour, surgirent de chez eux, passablement intrigués. Rien ne se passa durant quelques instants encore. Puis  ils virent un grand objet métallique s’élever en silence vers le ciel.

    Le 23 août 1955, à Hopkins-ville, dans l’Etat du Kentucky, plusieurs hommes furent mis en alerte par les aboiements furieux d’un chien d’ordinaire paisible, ils se dirigèrent vers l’endroit que l’animal fixait avec insistance et aperçurent des petits êtres, « de type humanoïde ». L’un d’eux fut assez stupide pour tirer un coup de feu en direction de ces visiteurs, ce qui eut bien sûr pour effet de les faire déguerpir.

    Le 3 septembre 1965, dans un autre Etat américain, celui de New Hampshire, des officiers de police montée furent arrachés à leur sommeil par les hennissements sans fin et les ruades fougueuses de leurs bêtes dans l’écurie. Ils n’eurent que le temps d’apercevoir un objet céleste qui traversait leur ciel à très grande vitesse.

    En décembre 1977, enfin lors des passages d’engins dans le ciel de Haute Provence, les chiens d’avalanche d’un centre de secours en montagne se mirent à hurler durant d’interminables minutes.

    Dans chaque cas, donc, c’est un sentiment de frayeur qui dominait chez l’animal ou les animaux concernés. Amplement justifié, sans doute, car ils semblent bien plus menacées que les hommes eux-mêmes par les passages de vaisseaux spatiaux. On en a vu périr de mort inexplicable « comme celui de Mr Dewilde, son chien Kiki... » Surtout après le passage mais le plus souvent l’or d’un atterrissage d’OVNI.

    En 1953, en Caroline du Sud, quantité  de moutons s’étalèrent, littéralement foudroyées, sur le passage d’un objet mystérieux.

    Le 30 décembre 1966, autre hécatombe d’animaux domestiques en Louisiane. Mais, dans ce ça précis, il t plus surprenant encore : l’OVNI  incriminé, qui s’était posé dans un champ durant un quart d’heure environ, ne fut pas aperçu par les seuls fermiers mais aussi par un physicien américain qui circulait dans la région et qui  parvint à s’en approcher  à une vingtaine de mètres. Ce savant revint sur les lieux le lendemain. Il constata que toute vie sauvage avait disparu aussi : il n’y avait plus, dans un vaste secteur, ni oiseaux,  ni insectes.

    Plus près de nous, à Brazey-en Morvan, tout un lot de brebis fut frappé à mort, en juin 1968 sur le passage d’un objet céleste. Les vétérinaires appelés ne purent fournir aucune explication. Ils furent tout aussi perplexes devant un autre phénomène : des limaces apparurent qui étaient couvertes de taches rouges. Personne n’en avait jamais vu ni entendu mentionner de semblables. Dernière constatation, enfin, nos animaux ne sont pas menacés seulement de mort mais aussi de rapt, d’enlèvement, et aussi de prélèvement d’organes.

    L’exemple le plus ancien que j’ai pu recueillir se rapporte à la nuit du 21 avril 1897 ; au siècle dernier, donc, Alexandre Hamilton, cultivateur, dans le Kansas, fut réveillé par le tapage de ses animaux dans les étables voisines. Il sortit et aperçu un étrange engin aérien au dessus d’un pré, à quelque 200 mètres  de la maison.  Deux de ses commis le rejoignirent et tous trois s’approchèrent jusqu’à 50 mètres environ de la chose, laquelle réduisait encore son altitude jusqu’à n’être plus qu’à 10 mètres du sol. Une sorte de câble lumineux en sortit un genre de lasso avec une forme circulaire, et en un instant, une génisse fut capturée et disparue dans l’appareil. Terrorisés, les témoins s’enfuirent alors. Mais le lendemain ils retrouvèrent, la peau, la tête, et les pieds de la victime à 5 Kms du lieu de l’enlèvement, les coupes étaient nettes. Les visiteurs invisibles avaient-ils donc pratiqué sur place une autopsie de la bête ? Ou bien étaient-ils amateurs de viande, comme les humains.

    Le 14 novembre 1964, à Isola, en Italie du Nord, un OVNI se posa à proximité d’une ferme. Si l’on se rapporte au journal de la région du 16 du même mois, le propriétaire de la ferme vit sortir 4 petits  hommes, marchèrent vers lui, le paralysèrent «  avec un rayon », puis se dirigèrent vers le clapier et firent main basse sur ses lapins.

    Le 6 novembre 1957 fut une date bien plus extraordinaire à cet égard. Ce jour-là, à Dante, dans le Tannasses, le jeune Everett Clarke fit sortir son chien à 6 h 30 du matin. Contrairement à l’habitude, l’animal s’enfuit assez  loin, Everett le retrouva au terme d’une longue marche : il se retrouva  avec beaucoup d’autres chiens du voisinage ; et cette petite meute aboyait à qui mieux mieux autour d’un engin étrange posé  sur l’herbe.

    Quatre « humanoïdes » étaient là aussi et tentaient de capturer les animaux. Ils renoncèrent, finalement, devant les crocs menaçants, et  réintégrèrent  leur bizarre engin de forme allongé, qui s’éleva très vite sans faire le moindre bruit.

    Mais les « petits êtres » n’avaient pas dit leur dernier mot. On devait les retrouver (eux ou bien leurs frères) quelques heures plus tard au New Jersey dans une campagne isolée. Le propriétaire John Trasco les vit apparaître près de lui alors qu’il donnait à manger à son chien. Non plus quatre mais trois qu’il décrivit comme de teint très jaune avec des yeux énormes.  Ils voulaient prendre mon chien, moi je ne voulez pas dit-il ?  J’ai crié, et les étranges créatures se sont enfuies dans leurs engins. Le 15 décembre 1967, enfin, dans le Colorado, plusieurs habitants ont vu passer un « grand objet » dans le ciel. Le même jour, un cheval disparut. On  retrouva son cadavre un peu plus tard ; plusieurs de ses organes avaient été  prélevés d’une manière professionnelle.

    Les choses en sont là, malgré de nombreux autres exemples qui ont pendant les années suivantes s’est poursuivit, actuellement en 2006, plus de 2800 cas ont été recensés dans le monde. Tout n’est pas crédible, certes mais beaucoup sont digne de foi. Telle que celui de Mr Dewilde, que j’ai rencontré particulièrement quelque année avant sa mort, et qui ma fait remarquer l’enlèvement des quelque poules par la visite qu’il a eu en septembre 1954. Pourquoi des kidnappings d’animaux, mais aussi d’hommes, de femmes, d’enfants par de quelconques extraterrestres ?

    On sait que quelques personnes, de par le monde, se flattent d’avoir voyagé dans un OVNI jusqu’à de mystérieuses  planètes. Il reste que des humains disparaissent chaque année par milliers, 5000 officiellement  sans laisser de trace. Nous ne comptons pas les disparitions des faits divers.

    Nous devons dire que personne jusqu’à cette date n’a parlé de la disparition des animaux, voilà une erreur énorme, les soit disant professionnels de l’ufologie n’ont jamais pris cela en considération. Je pense que nous avons une recherche dans ce domaine qui a été négligé volontairement pour des raisons de paniques.

    Nous pouvons penser que des mutations d’animaux sont en cours, ce qui pourrait expliquer au cour des temps, et même actuellement, l’apparition de bêtes qui ne ressemble à rien de ce que nous connaissons sur Terre. Tout cela évidemment est toujours une supposition, mais il faut y réfléchir sérieusement, et surtout ne pas passer dans l’absurde.

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    Courton- le- bas le 17 février 2007

    claude burkel avatar
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