• Quand vous emménagez… Ne réveillez pas les morts !

    Au moment d’emménager dans une nouvelle maison : dépoussiérer, laver, repeindre, imprimer sa note personnelle à la déco, c’est bien, mais ça ne suffira pas à faire de cette maison la vôtre. Il vaut mieux demander aux pouvoirs invisibles qui habitent là de nous accueillir, sans quoi… Témoin l’histoire de Charlotte et Jean-Marc…

     

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    Autrefois, le premier objet qu’on introduisait chez soi, c’était un crucifix. Ce n’était pas afficher sa foi. Plutôt se protéger. En Afrique du Nord, en Chine, en Thaïlande, on a encore conscience de cela : en emménageant quelque part, on bouscule les esprits du lieu. Superstition ? Ou connaissance de réalités subtiles ? Car il est des maisons qui ont tout pour être agréables, et se révèlent invivables. Elles chassent leurs occupants !

    C’est dans la tête, affirme notre époque pétrie de rationalisme. Une petite poignée de psys ne le pensent pas. Leur chef de file, le psychiatre Carl Wickland, estime que des nuages d’énergie peuvent nous perturber. Nuages qui seraient tout simplement les esprits de défunts, des esprits attardés sur terre, attachés au lieu où ils ont vécu et les marquant de leur empreinte. En langage courant, des fantômes. Toujours selon le Dr Wickland, 70 % des personnes mentalement perturbées seraient en réalité « infestées » par des esprits violents, désespérés ou stupides… Car, précise-t-il, « la mentalité d’un décédé est la même qu’avant son trépas, la mort ne le rend pas meilleur ». Et il suffit d’un rien pour réveiller ces esprits des lieux. Quelques petites notes jouées au piano, et voilà que la vie de Charlotte et Jean-Marc a basculé dans le film d’épouvante…

     

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    L'appartement au-dessus de la fameuse boucherie

    Tout a commencé par une excellente affaire : Jean-Marc Mariole et sa femme, Charlotte, ont visité les deux étages de la maison, au-dessus de la boucherie, à louer pour 600 €uros par mois. Cela faisait des semaines que le couple visitait des appartements dans les environs de Manchester, en Angleterre. Un duplex à ce tarif-là, c’est donné ! Le contrat de location a été signé le soir même.

    DES COUPS VIOLENTS EBRANLENT LES MURS

    Quelques jours plus tard, le couple déménage dans leur nouveau logement du 26 Church Street, à Frodsham. Ils sont tellement contents qu’ils n’ont pas cherché à savoir pourquoi le loyer était si bon marché. Dommage, il aurait mieux valu qu’ils sachent…

    Jean-Marc Mariole, un musicien de 65 ans, originaire de l’île Maurice, a passé presque toute sa vie en Angleterre. Il y a travaillé avec des rocks stars. Charlotte, une Française de 53 ans, s’est mise récemment à la chanson. Mariés depuis peu, ils ont décidé de se consacrer à un disque qu’ils feront ensemble. C’est précisément pour y travailler en paix qu’ils ont choisi de venir vivre ici, à Frodsham, un gros bourg isolé dans la campagne. Le cadre idéal, à l’écart de toute agitation. Du moins en apparence. Les époux Mariole se consacrent à l’aménagement de leurs deux étages. L’endroit semble ne pas avoir été habité depuis longtemps… Jean-Marc, qui joue du piano et de la guitare, s’installe un studio d’enregistrement. Comme son matériel est coûteux, il place ici et là des alarmes, et des caméras de surveillance au plafond. De quoi décourager les voleurs. Sauf qu’ici, ce ne sont pas vraiment les voleurs qu’il faut craindre…

    La maison s’avère agréable, commode, d’un calme absolu. Un soir de mai 2010, Jean-Marc, son studio enfin installé, se met à jouer de la danse, de la musique électro percutante. Mais ce joyeux vacarme, apparemment, filtré malgré l’insonorisation dérange quelqu’un : Jean-Marc entend de violents coups frappés contre les murs. Le boucher ? Impossible, il a quitté sa boutique, à cette-là. Il doit bien y avoir une cause, mais-laquelle ? Des travaux ? Il n’y pense plus quand il va se coucher avec Charlotte, mais-là, stupeur : ils entendent cogner à la porte de leur chambre. Quelqu’un est entré dans la maison ! Jean-Marc se lève et ouvre. Personne. Pourtant, les coups continuent, c’est inexplicable ! Le musicien, pas fier, retourne s’allonger auprès de son épouse, elle aussi terrifiée. Et voilà que les draps du lit se soulèvent et s’agitent, comme secoués par une main folle et invisible !

     

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    Cette fois, le couple s’enfuit. C’est dans un hôtel des environs qu’il finit sa nuit, sans réussir à fermer l’œil. Un fantôme ? Le couple ne veut pas y croire. Ils retournent dès le lendemain chez eux, au 26 Church Street… Mais est-ce vraiment chez eux ? A première vue, tout est redevenu tranquille. Si bien que peu à peu la peur s’estompe. Pour un temps. Quelques semaines plus tard, alors qu’il est en train de répéter au piano une mélodie mélancolique, Jean-Marc voit les touches du clavier se mettre  à jouer toutes seules ! Au même instant, il sent une forte odeur de tabac à pipe dans son dos. Il se retourne brusquement. Il n’y a personne dans la pièce. Son imagination lui aurait-elle joué un tour ? Non. Charlotte est elle aussi incommodée par l’odeur entêtante du tabac. Et ça continue… Une nuit, le couple est réveillé en plein sommeil par des cris de bébé. Cela vient du grenier. La trouille au ventre, Jean-Marc y grimpe. La pièce est vide. Et silencieuse. Mais à peine est-il redescendu que les pleurs reprennent de plus belle ! Et les Mariole, une nouvelle fois, terminent la nuit à l’hôtel.

    Durant des mois, les malheureux vont être persécutés par ces manifestations hostiles. Le simple fait d’être là a réveillé les esprits, diagnostiquerait le Dr Wickland, car « la lumière magnétique provenant des vivants « suffit à les attirer… Mais il y a pire : sans doute ce couple d’artistes dégage-t-il une intensité émotionnelle « en résonance » avec les nuages d’émotions qui imprègne les murs. En effet les « mal morts », esprits restés à la lisière entre deux mondes, se déchaîneraient surtout en présence de personnes qui créent une « atmosphère mentale » spéciale autour d’eux : les adolescents à fleur de peau, les gens particulièrement sensibles ou… les artistes, comme Charlotte et Jean-Marc.

     

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    DES OMBRES BLANCHES AU-DESSUS DU PIANO

    Ces rémanences du passé, ces brouillards d’énergie, ni tout à fait pensée, ni tout à fait matière, vont rendre leur quotidien terrifiant… Un jour, ce sont les portes de placard qui claquent. Un autre jour, le rideau de douche ne cesse de s’ouvrir et de se fermer, avec un bruit de crissement affreux. Puis les phares de la voiture s’allument d’eux-mêmes dans la nuit, des ombres blanches dansent au-dessus du piano, une silhouette assise apparaît dans l’escalier. La presse locale, qui a eu vent de l’affaire, arrive en masse à Frodsham, en avril 2011. Le couple sente bien qu’on ne les croit pas. Pourtant, une équipe de télé visionne les vidéos ces caméras de surveillance. Et là, surprise : on voit nettement des ombres blanches en train de flotter au-dessus du piano. Va-t-on enfin prendre l’affaire au sérieux ?

    Quoi qu’il en soit, il est trop tard. Les époux Mariole préfèrent rentrer en France…

    Par la suite nous apprendrons que la bâtisse date des années 1850. C’est un irlandais, un type qui a réussit dans la laine, qui l’a fait construire. Le bon vivant, toujours la pipe au bec… On a encore son portrait à la mairie, dans les combles, raconte un élu. Bref il s’est installé là avec son épouse. Et tout de suite, le malheur s’est abattu sur la famille. La femme est morte en couches… L’Irlandais ne s’en est jamais remis. Il s’est occupé de son fils nouveau-né. Mais un jour, le gosse s’est tué à son tour en tombant dans l’escalier. Le père est mort de chagrin. Depuis, on dit que le fantôme de l’Irlandais n’a jamais pu quitter l’endroit. L’odeur de tabac que les locataires sentaient, c’était lui, sa pipe : la musique triste, ça le faisait revenir… Ainsi donc, le fauteur de troubles, c’était cette âme en peine…

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    Source- Revue Horoscope N° 737 d’août 2011

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    http://www.dailymail.co.uk/news/article-1361391/Paranormal-Activity-Couple-spend-3-000-hotels-ghosts-force-home.html

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  • heracleion

     

     

     

     

    Elle gisait par une trentaine de mètres, mais au bout de trois ans de fouilles et quatre de recherches géophysiques, la cité perdue est devenue réalité. Nous sommes dans l’ancienne et mythologique ville de Heracleion (pour les Grecs) ou bien Thonis (pour les Egyptiens), et les premières images sont exceptionnelles, car les eaux ont étonnement et magnifiquement conservé l’ancien port, plaque tournante du commerce international et centre religieux actif.
     
    La ville retrouve la lumière après 1 200 ans passée dans les profondeurs de la mer Méditerranée, enlisée dans le sable et la boue. La cité a été découverte par 30 mètres de profondeur à Aboukir, près d'Alexandrie, il y a huit ans. Les recherches ont été effectuées par Franck Goddio et son équipe archéologique liée à IEASM, Institut européen pour l’archéologie sous-marine.
     
    Les chercheurs ont découvert de nombreuses épaves, des pièces d'or athéniennes ainsi que des stèles géantes flanquées d’écritures égyptiennes et grecques. La découverte comprend 64 bateaux, des statues de 4.8 m, 700 ancres et d'innombrables pièces de monnaie en or et autres artefacts. Plus impressionnant, la ville engloutie révèle de splendides objets religieux cachés. Parmi eux, une immense sculpture de pierre. Plus d'images sur le lien ci-dessous :
     

       

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    Ghisham Doyle pour WikiStrike 

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  • SUR LA PISTE DU SASQUATCH

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    Par Jean-Baptiste Degras (chercheur indépendant)

     

    Le Yéti de l’Himalaya, le Sasquatch du Canada, le Bigfoot d’Amérique du Nord, l’Almasty d’Asie centrale ou l’Orang-pendek de Sumatra, plusieurs études scientifiques se sont penchées récemment sur une question récurrente dans les milieux cryptozoologiques : ces créatures existent-elles ? Aujourd’hui, certains chercheurs spécialisés n’hésitent pas à répondre… oui ! Le point dans cet article. 

    DES TEMOIGNAGES NOMBREUX AUX QUATRE COINS DU MONDE

    L’année 2012 a été particulièrement prolifique pour les amateurs de cryptozoologie, notamment en ce qui concerne l’existence supposée du Yéti, une créature mystérieuse à l’allure humaine qui hanterait les hauteurs de l’Himalaya, mais aussi les contrées sauvages d’Amérique du Nord et du Canada, où elle est alors appelée Bigfoot ou Sasquatch. Plusieurs observations pertinentes sont venues s’ajouter aux indices déjà collectés depuis une cinquantaine d’années. Car les témoignages évoquant l’abominable homme des neiges sont très fréquents ! Dès 1924, un récit très détaillé de rencontre avec un Sasquatch nous provient d’Albert Ostman, un bûcheron en vacances en Colombie-Britannique.

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    Ce dernier a affirmé avoir été capturé par une famille de Bigfoot (un couple et ses deux enfants) alors qu’il cherchait des mines d’or abandonnées dans une forêt de conifères. Après plusieurs jours de captivité, il parvient à s’échapper et raconte sa pittoresque aventure trente ans plus tard. On y apprend que la créature est un primate humanoïde entièrement recouvert de poils, mais dont le visage rappelle celui des humains, mesurant environ 2,50 mètres pour plus de 200 kilos, doté d’épaules puissantes et d’énormes biceps avec des avant-bras allongés. Ses mains et ses pieds sont immenses ; Ostman note que le gros orteil semble disproportionné et plus puissant que les autres, sans doute pour pouvoir escalader des surfaces rocheuses et escarpées. Ce « géant poilu » possède en outre un langage structuré relativement évolué et communique avec les autres membres de sa tribu. Son régime alimentaire semble se composer exclusivement de végétaux, tandis qu’il dort dans une grotte. Un autre témoignage en provenance du Canada est celui de William Roe, en 1955. Travailleur dans une entreprise de construction routière, il aperçoit un Sasquatch alors qu’il gravit le Mont Mica pour atteindre – lui aussi – une mine d’or abandonnée.

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    Prenant d’abord la créature pour un grizzly, Roe se rend compte qu’il s’agit en fait d’un être sauvage couvert de poils, au torse massif et dont la face rappelle aussi bien le gorille que l’homme. Sa démarche est celle d’un être bipède : c’est le talon qui touche d’abord le sol lorsqu’il se déplace. Un demi-siècle plus tard, des milliers d’autres récits continuent de s’accumuler, avec parfois des « preuves » photographiques et même des films vidéo, la plupart du temps de très mauvaise qualité. Intrigués par les informations concordantes sur le Yéti faites par des témoins vivants parfois à plusieurs milliers de kilomètres de distance, quelques scientifiques ont alors décidé d’étudier le phénomène avec des méthodes rigoureuses.

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    LA SCIENCE FACE AU BIGFOOT

    Plusieurs expéditions scientifiques ont ainsi été mises sur pied dans l’espoir d’apercevoir un Sasquatch dans son habitat naturel, ou au moins de découvrir des indices de sa présence, tout particulièrement des empreintes de pas ou des restes de fourrures. Mais aucune de ces équipes n’a formellement identifié un Bigfoot… jusqu’à début 2012, date à laquelle une délégation internationale composée de scientifiques russes, américains, canadiens, suédois et estoniens a annoncé dans un communiqué détenir des « preuves irréfutables » de l’existence d’une créature identifiée comme un Yéti ! L’animal anthropomorphe aurait été observé dans la région russe de Kemerovo, en Sibérie. « Lors d’une expédition dans la grotte Azasskaïa, les participants ont collecté des preuves irréfutables démontrant que l’homme des neiges vit dans la contrée de la Choria montagneuse. (…) Des empreintes de l’homme des neiges, son antre supposée et différents marqueurs avec lesquels le Yéti délimitait son territoire ont été trouvés. Dans l’une des empreintes découvertes, le scientifique russe Anatoli Fokine a trouvé des poils appartenant potentiellement au Yéti. (…) Ces études feront en sorte que la société et les médias prendront plus au sérieux ce qui concerne [le Yéti]. Les données du centre d’études pourront être utiles aux biologistes, aux médecins et à d’autres scientifiques » précise le communiqué.

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    Il semble que dans ces régions beaucoup de témoins ont pu voir cette créature ; l’espèce qui est connue dans la région mesurerait entre 1,60 et 2,20 mètres. Les scientifiques estiment à 95% la probabilité qu’ils aient affaire à un Yéti et les chercheurs de l’expédition militent depuis pour la création à l’Université d’Etat de Kemerovo d’un centre d’études du Yéti. Les choses se sont encore accélérées en avril 2012, quand un généticien britannique et un zoologiste suisse ont lancé un nouveau programme de recherche spécialement dédié à l’identification du Bigfoot. Les deux scientifiques comptent profiter des progrès de l’analyse médico-légale de l’ADN pour passer au crible un maximum d’échantillons biologistes – poils, os et tissus organiques – attribués au Yéti ou à ses nombreux « cousins » éparpillés sur la planète. Certains échantillons sont majoritairement issus du musée de zoologie de Lausanne, collectés pour la plupart par le zoologue et cryptozoologiste regretté Bernard Heuvelmans. D’autres proviennent d’institutions scientifiques, de collectionneurs ou des particuliers. Ces analyses ADN permettront de trier le bon grain de l’ivraie parmi les indices matériels à la disposition des chercheurs. Les résultats du programme devraient être rendus publics très prochainement.

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    GIGANTOPITHEQUE, L’ANCÊTRE DU YETI ?

    Des naturalistes ont tenté d’identifier l’ancêtre du Sasquatch afin d’en savoir plus sur les origines de la créature. Un certain consensus s’est formé autour d’un ancien primate géant, le Gigantopithecus blacki, qui vivait il y a plus de 500.000 ans dans une zone s’étendant du Nord du Vietnam au sud de la Chine. L’hypothèse d’une survivance de l’espèce expliquerait les observations d’hominidés géants et poilus dans les zones montagneuses, comme l’exprime Pascal Picq dans « Les origines de l’Homme » : « La lignée asiatique des hominoïdes, ou famille des pongidés, connaît une grande expansion entre 16 millions et un million d’années. Elle comprend, notamment, le groupe des Sivapithèques (ou singes de Siva, l’un des trois grands dieux de l’hindouisme) dont on a retrouvé des fossiles en Inde, au Pakistan et en Chine. Ce groupe donne des espèces « géantes », comme les Gigantopithèques, les plus grands singes connus. Ces derniers ne disparaissent que très récemment, il y a entre un million d’années et 500.000 ans. La fameuse légende du Yéti doit certainement quelque chose à ces imposants mais paisibles mangeurs de bambous ». La théorie est séduisante ; quelques Gigantopithèques auraient survécu et vivraient dans des zones de haute altitude, se dissimulant dans des grottes ou des cavernes formées par les anfractuosités des montagnes himalayennes ; ses poils épais le protégeant des grands froids.

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    UNE EXISTENCE BIENTÔT OFFICIELLE ?

    Une autre étude, parue en novembre 2012, est encore plus prometteuse. Melba S.Ketchum, une vétérinaire américaine de l’Etat du Texas, est convaincue que le Bigfoot existe depuis qu’elle a effectué des analyses ADN sur des échantillons d’un supposé Yéti. Un communiqué de la société DNA Genetics publié par le magazine scientifique LiveScience confirme la découverte : « Une équipe de scientifiques peut attester que leur étude d’ADN de cinq ans, actuellement en relecture, confirme l’existence d’une nouvelle espèce d’hominidé hybride, couramment appelé ‘Bigfoot’ou ‘Sasquatch’, vivant en Amérique du Nord ».

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    Mais Melba S.Ketchum va encore bien plus loin ! Elle estime en effet que le Bigfoot serait un cousin de l’espèce humaine et qu’il serait apparu il y a approximativement 15.000 ans. Des individus hybrides seraient nés suite à l’accouplement de Sasquatch avec des femmes humaines… « Nos données indiquent que le Sasquatch d’Amérique du Nord est une espèce hybride le résultat d’un croisement entre un mâle d’une espèce inconnue d’hominidé et d’une femelle Homo sapiens » ajoute le communiqué. On ne connaît pas encore les détails de cette étude ; tout au plus sait-on que la vétérinaire et ses collègues ont travaillé à partir de trois génomes nucléaires complets issus de prétendus échantillons de Yéti, dont la provenance reste pour l’instant secrète. De nombreuses interrogations demeurent donc, mais ces travaux ont d’ores et déjà capté l’attention de la communauté scientifique, comme le confirme le site spécialisé Maxiscience.com :

    « Le mystère reste donc entier aujourd’hui et ne pourra se dévoiler que lorsque l’étude de Ketchum sera enfin publiée. Si la vétérinaire détient réellement la preuve qu’elle affirme alors la preuve sera faite que Bigfoot existe bel et bien. De quoi captiver l’attention du monde entier et d’inciter les scientifiques à partir à la recherche de la créature. Mais si ce n’est pas le cas, aucun doute que les spécialistes n’en resteront pas là et tenteront encore et toujours de prouver son existence ».

    Ces derniers mois ont donc été particulièrement excitants pour les chasseurs du Yéti. Les progrès de la génétique et l’intérêt que portent certains scientifiques à ce sujet permettent désormais d’espérer une validation prochaine de l’existence officielle de Bigfoot. Patience !

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    -Source-

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    MONDES ETRANGES N°18 de janvier 2013

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  • UN MONSTRE MARIN RETROUVÉ ÉCHOUÉ EN NOUVELLE-ZÉLANDE

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    La carcasse d'un animal doté de dents effrayantes a été récemment retrouvée sur une plage de la baie de l'Abondance, au nord de la Nouvelle-Zélande. Des analyses sont en cours pour identifier celui que l'on surnomme déjà le "monstre marin".
     
    La cadavre de cet animal non identifié, long de près de neuf mètres, a été retrouvé par une certaine Elizabeth Ann sur la plage paradisiaque de Pukehina, dans la baie d'Abondance, au nord de la Nouvelle-Zélande. La trouvaille a été faite peu après les violentes tempêtes qui ont affecté la région d'Auckland à la mi-avril. La charogne, fortement dégradée présente une tête prohéminente doté d'une machoire impressionnante.
     
    De la partie inférieure du corps, il ne reste presque plus rien, probablement du fait d'un séjour prolongé dans l'eau ou de l'appétit de poissons plus classiques, attirés par l'aubaine alimentaire.Une vidéo de cet énigmatique cadavre a été diffusée sur YouTube sous la forme d'un appel à témoins. Objectif : identifier l'animal malgré son apparence aussi informe qu'impressionnante.
     
    Plusieurs hypothèses ont d'ores et déjà été avancées. On a évoqué une murène géante, un crocodile marin, un dauphin ou même un animal préhistorique venu des abysses. Selon un scientifique, interrogé par les médias néo-zélandais, il pourrait ne s'agir "que" d'un orque ou baleine tueuse, une espèce que l'on peut rencontrer au large de la baie d'Abondance ou dans les îles Fidji. 
     

    http://www.directmatin.fr/insolite/2013-05-08/video-un-monstre-marin-retrouve-echoue-en-nouvelle-zelande-461186

     
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    Ray Harryhausen  
    Un des grands pionniers des effets spéciaux au cinéma, Ray Harryhausen, connu pour son travail dans des films tels que "Jason et les Argonautes" (1963) et "Le choc des Titans" (1981), est mort mardi 7 mai 2013 à l'âge de 92 ans à Londres, a annoncé sa famille. 
    Les commentaires laudatifs ont afflué en provenance d'Hollywood dès l'annonce de la disparition de cet homme né en 1920 à Los Angeles, créateur de la Dynamation (technique de combinaison des prises de vues réelles et de miniatures) dans les années 50. 
    "Ray nous a tous grandement inspirés dans l'industrie" des effets spéciaux, a ainsi réagi George Lucas, le réalisateur de la célèbre série "La Guerre des Etoiles". 
    "L'art de ses premiers films, avec lesquels la plupart d'entre nous ont grandi, nous a tellement inspirés. Sans Ray Harryhausen, il n'y aurait probablement pas eu de Star Wars", a-t-il ajouté. 
    Quant au réalisateur néo-zélandais Peter Jackson, il a dit de sa saga "Le Seigneur des anneaux" que c'était son "film Ray Harryhausen", car "il n'aurait jamais été fait, pas par moi en tout cas" sans l'apport de ce maître des effets spéciaux.
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    Aura2
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