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    DEUX EXPEDITIONS SUR LES TRACES

    D’UN DINOSAURE RESCAPE DE LA PREHISTOIRE

     

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    Il y a quelques années deux expéditions américaines partent pour les forêts équatoriales du Congo. Nanties de formidables budgets, elles avaient l’'une et l’'autre pour objectif la découverte d’'un dinosaure, rescapé de la préhistoire en plein XXI° siècle, qui gîterait dans un lac de ce pays, le Tele. L’'une de ces expéditions est dirigée par le fils du célèbre spécialiste américain des montres survivants, le professeur Roy P. Mackal, biologiste de formation, ceci à la demande du Vatican. La seconde est placée sous les ordres d’'un ancien de la N.A.S.A., et elle compte en particulier dans ses rangs un zoologiste ghanéen qui a déjà à son actif de nombreuses publications sur la faune insolite de l’'Afrique équatoriale.

     

    L’'expédition de Mackal est arrivée le 12 novembre 2000 sur les lieux, les autres l’'ayant précédé de quelques semaines. Le gouvernement congolais espéré bien que tout ce branle-bas scientifique apportera quelque lumière sur la région mystérieuse dans laquelle se situe le lac Télé. Des choses étranges s'’y passent depuis longtemps. Mackal, que la presse du pays a présenté comme « le savant qui a révélé à l’'opinion internationale l’'existence du monstre du loch Ness et qui tentera d’en faire de même pour le mokele-mbembe congolais », a longuement étudié les traditions locales avant de se lancer dans l'’aventure. On parle d’'une population inconnue qui vivrait sur les bords de ce lac perdu, avec des choses étranges brillantes. On rapporte que les anciens qui se sont risqués dans sa périphérie ont vu des animaux inconnus surgir des eaux et en particulier ce mokele-mbembe (mot à mot, l’'animal le plus puissant qui puisse exister). Il s’'agirait d’un énorme serpent de plusieurs dizaines de mètres de long qui renverse les pirogues et provoque de gigantesques remous dans les eaux du lac.

    En 1975, le pilote personnel de l’'ancien président Marien Ngouabi a effectué une mission de reconnaissance au dessus du lac. Il n’'a pas vu le monstre mais son rapport absolument digne de fois, a pour le moins jeté le trouble dans les esprits. C’est un lac bien étrange, dit-il, et pour cette raison, je l’'ai donc survolé une fois en hélicoptère. En passant à la verticale, tous mes instruments se sont affolés. J'’ai alors essayé de prendre des photos à basse altitude, d’'autant qu’'il me semblait apercevoir des cases sur pilotis au nord du lac. Eh bien, le croiriez-vous, au retour, toutes mes photos étaient blanches. Incroyable n’'est-ce pas ? Il  n'y a donc pas qu'’un monstre antédiluvien à découvrir. C'’est sans doute la raison pour laquelle les deux expéditions ont emmené avec elles des spécialistes du magnétisme, de la radioactivité naturelle et artificielle, et de la géologie en générale. Pour les autochtones, la région est taboue. Seules quelques tribus de pygmées qui vivent dans le nord du Congo se risquent dans ce territoire de marécages qui restent pratiquement impénétrables à qui ne connaît pas les lieux depuis toujours. Outre les légendes de grands serpents, on parle d’'anomalies climatiques, de disparitions inexplicables… et même d’'étrange lueurs dans le ciel qu’'il sera facile pour certains d’'assimiler aux O.V.N.I.

     

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    Je tiens à donner quelques détails sur ce lac.

    Le lac Télé est un lac du bassin du fleuve Congo, situé dans le Nord-Est de la République du Congo. L’'origine du lac est probablement la chute d’'une météorite (ou autre) il y a plus de 80 millions d’'années. Le lac s'’étend sur 6 km de longueur, 5 km de largeurs et une superficie de 23,2 km, profondeur, 500 m environ. Les eaux du lac s'’évacuent par la rivière Likouala-aux-herbes qui s’'écoule dans le fleuve Congo. La presse congolaise, pour sa part, n’'évoque pas l'’hypothèse d'’une base d’'extraterrestres  sur le territoire national. Elle consacre ces derniers temps de nombreux articles aux 2 prochaines expéditions pour mars 2008, fait par la N.A.S.A. et des spécialistes australiens. L’'objet de la mission, porte sur l’'écologie générale de la région de la Likouala et principalement sur la mise en évidence de l'’existence réelle d’'un animal préhistorique dénommé mokele-mbembe, famille des sauropodes et des dinosaures semi-aquatiques de l’'époque mésozoïque. 

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    Mais on murmure dans certaines ambassades et même chez les hauts fonctionnaires congolais qu'’il y a autre chose derrière tout cela. Le monstre du loch Ness n’'a jamais donné lieu à l’'ouverture de tels crédits. La NASA n'’a jamais intervenue sur le loch Ness. Bien sûr, il est difficile de croire à la recherche d’'une base d’'extraterrestres. Alors, on parle de mines précieuses, d’'une capsule spatiale gênante qui serait écrasée là, le tout sur fond d'’espionnage, tous les services secrets sont au courant, comme l’'écrit l’'envoyé spécial du journal de Brazzaville.

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     17 septembre 2007

     

    http://perso.orange.fr/cryptozoo/personalia/mackal.htm

    http://www.paranormal-fr.net/dossiers/mokele-mbembe.php

     

     

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  • LE SECRET DE LA FORÊT D’ORIENT

     

     

    par Claude Burkel 

     

     

     

    C’est au cœur de la forêt d’Orient (AUBE) à 10 km de Troyes, qu’en 1972, mon « initiateur »  un certain Zamouret m’a confié qu’il y avait une porte sur d’autres dimensions. L’ouverture de cette porte ne s’opérait qu’à une certaine période de l’année en rapport avec une constellation correspondante avec des points repères, situés précisément dans la forêt d’Orient, et aux alentours. Jimmy Guieu, à l’époque, m’a également fait part de ses recherches à ce sujet dans les mêmes périodes. Depuis la Loge-aux-Chèvres nous suivons la route forestière du Temple ; nous quittons cette route pour suivre celle de la « fontaine aux oiseaux » ; elle mène à l’étang de Frouasse.

     

    6- Le grand secret...

     

    A mi-chemin se trouve une petite construction à l’état de ruine, apparemment sans importance ; c’est la « FONTAINE AUX OISEAUX » (maintenant sous les eaux à cause de la montée du lac depuis 2003), en fait une authentique porte sur l’espace temps !!! Un secret farouchement gardé au sein des loges initiatiques templières dès le premier siècle de l’existence de l’ordre.

     

    La même année (1972) avec 7 personnes nous avons réalisé des sondages à l’aide de matériel de résonance à ultrason, et sonar, prêté par des chercheurs allemands. Le sondage, fiable jusqu’à 70 mètres de profondeur enregistra de curieux bruits de machinerie ; le site est ultra protégé des nuisances sonores par décret (interdit aux bateaux à moteur, survol d’avions militaires et il n’existe aucune usine où installations quelconque à proximité). J’ai constaté aussi à cet endroit l’existence de fleurs qui ne poussent que dans des zones suffisamment radioactives, en hiver les arbres de cet endroit sont plus chauds que la température extérieure, cela se remarque aussi avec la neige qui fond beaucoup plus rapidement dans cette partie de la forêt…

     

    En juin 1971 une curieuse découverte fut faite dans un bois de sapins proche de la forêt d’Orient si précieuse à l’ordre du Temple. Des témoins découvrirent, carbonisé dans sa Simca 1000, le corps d’un homme. Mr Léon Eveillé, 40 ans, ouvrier chez Simca à Paissy, a qui appartenait le véhicule. Dans cette affaire, plusieurs points restèrent mystérieux. Les glaces de la voiture avaient été totalement liquéfiées par le feu, or les vitres des voitures ne fondent qu’à partir de 1000 degrés au moins, et la température dans ce genre de sinistre ne dépasse jamais les 700 degrés. Certains se rappelèrent alors la curieuse aventure survenue en 1954 à un exploitant forestier de Lusigny s/ Barse qui par une coïncidence étrange se nomme Réveillé. Dans la forêt d’Orient à 20 km de l’endroit où fut découverte la Simca 1000, Mr Réveillé avait vu s’élever un objet lumineux dégageant une chaleur intense.

     

    Si intense que malgré la pluie qui tombait violemment, le sol était resté sec pendant une demi-heure à l’endroit où l’engin avait décollé ! Cet homme est-il entré en collision avec un mystérieux objet céleste posé au sol ? L’idée est à retenir car dans de nombreux cas d’atterrissage d’Ovni la terre subit lors du départ de l’engin, un coup de chaleur supérieur à 2000 degrés. Pour en venir rapidement au dernier événement, je suis repartit avec en forêt à l’ancienne maison du temple le 23 août 2007, dans l’intention de prendre des clichés de toute cette section de forêt. Le ciel était couvert avec de la pluie, humidité maximum, à 9h 37 exactement nous passons devant la maison après en avoir fait le tour, devant le volet gauche nous voyons un cercle blanc, je pense à un panneau, mais il bouge, alors je prends des clichés à répétition, la forme disparaît mais sur l’une des photos il y a un ORB de 1 m20 environ. Il faut remarquer que pendant la prise de ces clichés la pluie s’était arrêté. Sur d’autres clichés des petits cercles sont présents. J’ai fait des centaines de photos dans cette forêt mais c’est la première fois que je vois cela ; j’ai eu des gros problèmes dans ce lieu et j’y est passé des nuits entières, avec des manifestations étranges, mais c’est la première fois que je découvre ces genres de clichés. Ces  exemples sont particulièrement troublants.


    Tyron29- Voici donc ce reportage ou j'interview Claude Burkel pour en savoir un peu plus sur ce secret...

     

     

     

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  • L'antenne Eltanin- affaire classée !

    L'antenne d'Eltanin est une curiosité océanographique qui fut durant près de 40 ans à l'origine de bien des mystères. Elle doit son origine à un cliché d'une équipe de mission océanographique en 1964 au large de l'Antarctique. Ce cliché représente ce qui semble être, à 4.115 mètres de profondeur, une antenne. Sa présence à cette profondeur suscita bien des controverses :
    Les tenants de théories mythologiques pensaient qu'il s'agissait d'une preuve de l'existence d'une ancienne civilisation technologiquement très avancée qui peupla dans des temps très lointains l'antarctique. Des théories ufologiques avançaient qu'il s'agissait d'un relais extraterrestre. Depuis 2005, il semblerait averé que ce soit une espèce d'éponge très particulière découverte par Alexander Agassiz, la Cladorhiza concrescens.

    L'antenne Eltanin- affaire classée !

     

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  • Le mystère des Cathares et du Mont-Aimé ont inspiré le Sparnacien (d'Epernay) Frédéric Marniquet, co-auteur de " la brigade de l'Etrange ". Lequel a choisi la Champagne et la Russie pour toiles de fond d'une série de meurtres mystérieux.

     

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    Après Ploumanach, la Baie de Morlaix puis Rocamadour, le tome 4 de la brigade le l'Etrange, bande dessinée dont Frédéric Marniquet co-signe les scénarios avec Philippe Chanoinat, a pour théâtre la Champagne mais aussi Saint-Petersbourg. Dans " Le tombeau des Cathares ", les inquisiteurs sont de retour au Mont-Aimé. Polar et surnaturel s'entrecroisent comme dans les précédents albums " agathachristiens " de cette série policière version française. Mais les auteurs ont réalisé un album à part. Les inspecteurs Carette et Guilbert sont mis en retrait et c'est le professeur Lartigues, sous les traits de Peter Cushing (Sherlock Holmes, Docteur Frankeinstein...) qui mène l'enquête. L'intrigue se base sur des faits historiques, mais le scénarios est peuplé de cadavres, qu'on se rassure. Un médecin est mystérieusement égorgé à Paris, on croise un tueur en série d'enfants, des meurtres dans l'Orient-Express, des archéologues brûlés vifs dans la région Champenoise, des fantômes ressurgis du moyen âge et un Tsar disparu... "On avait envie de sortir du schéma systématique et répétitif du polar et de rendre hommage aux Cathares et au Mont-Aimé." Un lieu objet de légendes, où se dressait en 1210 le château fort des puissants comtes de Champagne. C'est sur la place du château fréquenté aujourd'hui par les promeneurs que furent jugés pour hérésie le 13 mai 1239, 183 Cathares, avant d'être brûlés vifs sur une colline de la plaine Champenoise près de Vertus. " J'y suis allé il y a une dizaine d'années. J'y ai ressenti des présences partout, d'âmes qui n'ont pus se libérer." Frédéric Marniquet, fasciné par le paranormal, s'est plongé, pour cette bande dessinée à la trame historique, dans les ouvrages d'Alexandra Schreyer " La champagne mystérieuse " ou encore " les mystères de Saint-Petersbourg " de Vladimir Federovski. Six siècles après le drame, en 1815, à la fin de l'épopée napoléonnienne, le Tsar de toutes les Russies décida de rassembler ses troupes en une fête : en Champagne et sur le Mont-Aimé. 350.000 hommes dit-on. Comment le Tsar pouvait-il connaître cet endroit situé à plusieurs milliers de kilomètres de la Russie ? Autre mystère qui fait gamberger F. Marniquet, la présence d'une cité Cathare souterraine dans la partie Sud du Mont, la légendaire cité de Moymer. Ou quand l'Histoire rejoint la fiction... Pour les habitués de la série : le fil rouge qui relie les albums, c'est le meurtre des parents de l'inspecteur Carette qui lui, a pu échapper aux agresseurs en se cachant. Avis : le meurtrier apparaîtra dans le tome 5.

     

    Les 3 tomes précédents de la brigade de l'étrange

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    " Le tombeau des Cathares " éditions Albin Michel

    article du 23 avril 2007 pour le quotidien "L'Union" par Fabienne Nouira-Huet


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  • Blogs : les recours en cas de reproduction illicite de contenu.

    Les blogs, comme les sites, sont soumis à la législation du droit d'auteur. A ce titre, il est possible d'entamer différentes actions en vue de faire cesser la reproduction de contenu non autorisée. Suite à l'article publié le 31 mars dernier sur les blogs (lire la tribune juridique ici du 31/03/05), nombreuses ont été les questions posées sur le fait de savoir ce qu'il convenait de faire lorsqu’un blog reproduit le contenu d'un autre site. Existe t-il ou non des recours ? Si oui lesquels ? Quel courrier type envoyer à l’auteur du blog pour le rappeler à l’ordre ? Reprenons donc ces questions dans l'ordre :

    Peut-on reproduire sur un blog tout ou partie d'un site de tiers ? 

    La question pourrait être élargie ainsi : peut-on reproduire sur un blog des contenus créés ou appartenant à des tiers ? Depuis longtemps les sites Web, pour peu qu'ils soient originaux (bien rare sont ceux qui ne le sont pas !), ont été qualifiés d'œuvre de l'esprit à part entière. Ainsi la plupart des sites ou des blogs sont protégés par le droit d'auteur. Il est donc strictement interdit de reproduire sur un blog tout ou partie d'un autre blog sans avoir préalablement reçu l'autorisation du blogueur en question. Les éléments diffusés au sein d'un site sont eux aussi protégés dans la plupart des cas, qu'il s'agisse de textes, d'images ou de photos. Leur reproduction au sein d'un blog sans autorisation est, elle aussi, interdite sans autorisation préalable. Même s'il n'existe pas encore de jurisprudence au sujet des blogs eux-mêmes, on peut facilement se référer aux jurisprudences qui ont été rendues depuis 1996 à propos des sites personnels et qui sont de deux natures : - les décisions au titre desquelles les sites Web ont été considérés comme des oeuvres de l'esprit à part entière. Par voie de conséquence les blogs devraient naturellement être, eux aussi élevés au rand d'œuvre protégées ; - les décisions plus nombreuses encore qui ont condamné les reproductions au sein des sites Web d'œuvres protégées (texte, imagines, photo, musique, ...), et qui donneront à n'en pas douter les mêmes résultats s'agissant d'œuvres reproduites au sein d'un blog.
    Quelles sont les voies de recours ?
    Les voies de recours sont de différents niveaux qu'il s'agisse de mettre un terme sans délai à la reproduction non autorisée ou d'obtenir un dédommagement ou la punition du fautif. Dans la plupart des cas, il s'agira d'ailleurs de mettre en oeuvre les deux procédures. Si l'objectif est de réagir rapidement pour faire, selon l'expression consacrée, "cesser un trouble manifestement illicite", il faudra interpeller directement le blogueur et/ou son hébergeur. Il convient d'avertir d'abord le blogueur qui est le véritable fautif et, pour ce faire, de lui adresser une mise en demeure de supprimer le contenu litigieux. S'il ne réagit pas à cette mise en demeure, il est possible d'engager un référé pour obtenir du tribunal qu'il ordonne à l'éditeur de supprimer les contenus litigieux. Entre temps, il est possible selon les dispositions de l'article 6 de la loi pour la confiance dans l'économie numérique de "notifier" à l'hébergeur du blogueur l'existence du contenu illicite. Selon la loi, l'hébergeur est tenu de réagir à une notification lorsque le contenu est manifestement illicite. Il est vrai cependant qu'il n'est jamais aisé pour un hébergeur de savoir si une reproduction est un cas manifeste de contrefaçon. De fait la "notification", si elle doit intervenir, doit être aussi précise et justifiée que possible. Dans de nombreux cas, le blogueur utilise un pseudo et il est donc impossible de connaître son identité réelle. Cela implique une démarche supplémentaire qui est destinée à identifier le blogueur. Pour ce faire il convient de présenter au tribunal une requête destinée à faire en sorte que le juge ordonne à l'hébergeur du blog de fournir l'identité réelle du blogueur. Dans bien des cas malheureusement l'hébergeur ne dispose pas de l'identité réelle, mais d'une adresse IP ou d'une adresse électronique. De fait, la même démarche est à renouveler auprès du fournisseur d'accès identifié qui lui, dans la grande majorité des cas, conformément à la loi, dispose de l'identité et de l'adresse réelle du blogueur. Si le juge des référés considère que celui-ci a effectivement commis une faute, il l'enjoindra de supprimer son blog ou une partie de son contenu. Cependant cette procédure ne permet que très rarement d'obtenir un dédommagement du fait du préjudice subi. Pour obtenir une réparation sous forme de dommages et intérêts, il faudra alors engager une action dite "au fond" pour obtenir une décision de condamnation et que le blogueur soit amené à payer pour le préjudice causé.

    Quel courrier type envoyer ? 

    Il n'existe pas à proprement parler de "courrier type" en la matière, car la lettre qui sera adressée devra tenir compte du contexte et de la qualité du blogueur. Mais plusieurs points pourront être abordés : - votre reproche. Il n'est pas possible d'adresser une mise en demeure sans préciser le contexte et le rappel des faits ; - la justification des droits. Il est tout aussi important de préciser le contexte et les droits détenus par la victime, ceci afin de formaliser le fait que le blogueur agit en parfaite connaissance de cause ; - le préjudice. Si préjudice il y a, il importe de rappeler son existence et d'en apporter des éléments de preuve qui, en tout état de cause, seront demandés en phase contentieuse, si cette phase devait débuter. Enfin, la lettre dont il est question devra être libellée comme une lettre de "mise en demeure" et comporter les éléments propres aux lettres de mise en demeure. Pour ce qui concerne la notification à l'hébergeur, il en va autrement puisque l'article 6 de la loi pour la confiance dans l'économie numérique a défini par le détail ce que devait contenir une "notification". Celle-ci devra notamment comporter :
    - une date ;
    - l'identité de celui qui adresse la notification ;
    - l'identité du destinataire de la notification ;
    - la description des faits litigieux ;
    - la localisation précise des contenus litigieux ;
    - les motifs pour lesquels les contenus doivent être retirés ;
    - la copie de la correspondance adressée à l'éditeur ou à défaut la preuve que l'éditeur n'a pas répondu.
     
    source- http://www.journaldunet.com/juridique/juridique051025.shtml

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