• On a enregistré des messages en provenance de la Grande Ourse

    ON A ENREGISTRE DES MESSAGES EN PROVENANCE DE LA GRANDE OURSE

    La vie émet des radiations. De quelle nature ? Et définissable ou descriptibles de quelle manière. On ne sait trop. Mais les faits sont là : depuis un physicien américain Georges Lawwrence, captés des signaux en provenance de la Grande Ourse. Et ces étranges « messages », ces balbutiements des étoiles sont directement liés à la vie. (Depuis cette date la NASA  poursuit les écoutent en permanence.)

     

    Comment se fait-il que 38 ans plus tard, ces extraordinaires résultats soient encore tenus secrets, alors qu'ils représentent, peut-être, l'un des plus grands événements scientifiques jamais intervenus ? C'est que notre Georges Lawrence n'est pas un chercheur conventionnel : il n'a pas reconnu aux appareils devenus classiques pour la détection des énergies de ou courantes énergétiques venues de l'espace. Jamais de radiotélescope, jamais de compteur de radiations dans son arsenal. De quoi devenir suspect, par définition. Mais essayons de déterminer, en toute bonne fois, en quoi consiste son programme d'investigations hardies entre toutes. Précisons, d'abord, que l'idée d'un champ de radiation lié à la vie n'est pas totalement neuve. Elle fut émise par plusieurs savants, et des plus sérieux, à commencer par le français, le professeur Prat, l'auteur d'un ouvrage très précis « Le champ unitaire », paru aux Presses Universitaires de France.

     Si ce champ de radiations existait, on devait pouvoir, d'une manière ou d'une autre, le détecter. C'est ce que résolut de faire l'Américain Baekster. Il mit au point un appareillage spécial, multiplia les expériences, et obtint, en effet, des résultats à partir des plantes. Du moins l'affirme-t-il. En réalité ses travaux sont très controversés, et Joseph B. Rhines lui-même, le père de la parapsychologie, ne leur accorde nul crédit. Georges Lawrence entreprit, malgré tout, de les reprendre point par point. Il mit en train son propre programme dans le cadre d'une unité californienne de recherches, l'institut Ecola, qui travaille plus spécialement pour le compte de la N.A.S.A.

    Lui aussi conçut des appareils d'un genre nouveau, un ensemble étanche blindé et incapable de recevoir la moindre des radiations électromagnétiques jusqu'ici répertoriées. Ni les ondes de radio, ni les émanations radioactives ne peuvent l'atteindre. Le dispositif est monté sur un tube télescopique qui permet de repérer la direction de la radiation vivante qu'il reçoit. Une radiation qui traverse tous les blindages, et c'est là le premier sujet d'émerveillement. Ainsi outillé il commença ses recherches sur les étendues désertiques de Mojave, dans le sud-est de la Californie. Lui aussi souhaiter capter la radiation vivante émise par les plantes. Or, les plantes sont rares sur ces territoires désolés. Il s'agit surtout de cactus. Mais le fait même que chaque pied soit passablement éloigné des autres permettait une localisation facile de chacune des fameuses radiations. Les choses en étaient là et la chasse aux « sources de vie isolées » se révélait fructueuse quand Lawrence connut la plus grande surprise de sa vie.

     C'était le 29 octobre 1971. Et il capta un signal qui ne provenait pas cette fois, d'un des cactus inventoriés, mais de l'espace, de l'immensité sidérale, du ciel pour tout dire. Et c'était un signal infiniment plus puissant que les autres, un quasi appel en provenance de la Grande Ourse. De sa direction, en tout cas, ou d'une seule de ses étoiles, puisqu'une constellation n'est jamais qu'une figure construite par nous depuis nos points d'observation, ou cosmographique quelconque. Et ce n'était pas tout : ce signal n'était pas un « inconnu », si l'on peut s'exprimer ainsi. Il correspondait à un « champ vivant » déjà connu et plus spécialement étudié par Harold S. Burr, un professeur de médecine de la faculté de Yale.

    Lawrence, après cette fameuse date, a renouvelé avec bonheur son expérience à quantité de reprises. Mais il n'a pas rallié tous les suffrages, vu que la notion même de «  champ vivant » reste contestée par quantités de savants et non des moindres. Est-ce une raison pour ne pas pousser l'affaire plus avant ? La première chose à faire, semble-t-il, serait de confronter le Dr Lawrence avec d'autres scientifiques et techniciens. Rien de plus facile que de le joindre au siège même de ses activités : « Institut Ecola-Post Office Box 3284 - San Bernardino, Californie - 92413 EU »

     Quant aux enregistrements qu'il a fait des radiations en provenance de la Grande Ourse ou de sa zone stellaire, ils ont été déposés à la Smithsonian Institution de Washington, un organisme très sérieux où ils peuvent être consultés. Ce serait la meilleure manière de connaître le fin mot et même d'entamer une étape supplémentaire. Si réellement le dispositif mis en place échappe à tout risque de perturbation par une autre source que celle du « champ vivant » il ne sera plus permis de douter. Mais il faut beaucoup de prudence en pareille matière : n'avait-on pas interprété, naguère, comme des messages d'extraterrestres des émissions en provenance... d'un rasoir électrique. Si, au terme des minutieux contrôles qui s'imposent, la thèse de Lawrence se trouve entièrement confirmé, chercheur pourra s'enorgueillir d'avoir  réalisé le rêve, le souhait le plus cher, et le plus fou du Père Teillard de Chardin. Ce grand savant et philosophe avait désiré, en effet, la mise au point d'un télescope de « détecter la vie et la conscience dans le ciel ».

    Y avait-il donc quelque chose de prémonitoire dans cette séduisante formule ?

     Une telle certitude surviendrait, certes, à point nommé. Car la science de l'astronautique, si jeune encore, traverse une bien inquiétante crise de croissance : le public (donc le contribuable) en assez de voir investir de fabuleux capitaux pour des recherches dérisoires.

    Il est évident qu'on nous interdit sur la Lune depuis Apollo XVII.

    C'est-à-dire que l'astronautique a besoin d'une sérieuse injection d'optimiste. Et que le Dr Lawrence, pour l'heure, paraît avoir donné la meilleure arme  à la N.A.S.A. pour des recherches Ultrasecrètes dans ce domaine depuis ces années là. Aujourd'hui les services secrets, et militaire travail sur, « le champ de radiation lié à la vie, de l'espace ».

    Un appareil de détection de ces radiations à été mis sur le Télescope Hubble à sa réparation de l'espace, le 11 décembre 1993, par les astronautes de la navette Endeavour.

     Extrait  « Univers, Vie, et Raison » Editions Planète. Du savant Dr.Le Pr. Issac Schkloyski. (1976)

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    CLAUDE BURKEL pour la taverne de l'étrange- 20 février 2009

     

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