• Akie Nakata- ses galets en animaux

    Au Japon, l’artiste Akie Nakata est toujours en quête des cailloux durant ses longues promenades. Des pierres lisses qu’elle ramasse et amasse pour leurs formes et qui vont être ensuite minutieusement transformées en renard, chouette, chat, tortue ou crocodile. Son imagination est sans limite et la matière première nombreuse.

     

    Des pierres lisses non taillées

    Ses peintures réalistes et détaillées viennent épouser la forme de la pierre pour faire naître des représentations animales qui sembles presque évidentes. « La forme naturelle de la pierre est une source d’inspiration infinie ». L’artiste ne touche jamais à la forme de la pierre pour arranger une forme ou un contour. Une démarque artistique et proche de la nature qui a débuté durant une ballade au bord d’une rivière un jour où elle a heurté un galet dont la forme lui a rappelé celle d’un lapin. De là est né son art, qu’elle appelle elle-même le « stone art ». Vous pouvez suivre les créations d’Akie Nakata sur un compte Instagram et sur son blog.

    Akie Nakata- ses galets en animaux  Akie Nakata- ses galets en animaux

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  • La dictée la plus dure au monde !

    Cette dictée aurait été rédigée par Prosper Mérimée à la demande d’Eugénie de Montijo, épouse de Napoléon III. Le texte est composé d’une dizaine de lignes mais c’est tellement difficile de l’écrire que Napoléon a fait 75 fautes.

     

    « Pour parler sans ambiguïté, ce dîner à Sainte-Adresse, près du Havre, malgré les effluves embaumés de la mer, malgré les vins de très bons crus, les cuisseaux de veau et les cuissots de chevreuil prodigués par l’amphitryon, fut un vrai guêpier. Quelles que soient, et quelque exiguës qu’aient pu paraître, à côté de la somme due, les arrhes qu’étaient censés avoir données la douairière et le marguillier, il était infâme d’en vouloir pour cela à ces fusiliers jumeaux et mal bâtis, et de leur infliger une raclée, alors qu’ils ne songeaient qu’à prendre des rafraîchissements avec leurs coreligionnaires. Quoi qu’il en soit, c’est bien à tort que la douairière, par un contresens exorbitant, s’est laissé entraîner à prendre un râteau et qu’elle s’est crue obligée de frapper l’exigeant marguillier sur son omoplate vieillie. Deux alvéoles furent brisés ; une dysenterie se déclara suivie d’une phtisie, et l’imbécillité du malheureux s’accrut. — Par saint Martin ! Quelle hémorragie ! s’écria ce bélître. À cet événement, saisissant son goupillon, ridicule excédent de bagage, il la poursuivit dans l’église tout entière. »

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  • Les sculptures hypnotiques d’Anthony Howe

    Anthony Howe n’en finit pas de nous étonner avec son art. Dernier projet en date, des sculptures cinétiques impressionnantes. Ces gargantuesques sculptures sont alimentées par le vent ou des moteurs qui permettent la création de ces mouvements hypnotiques, semblables à des tentacules ou à un vaisseau spatial extraterrestre.

     

    Pesant jusqu’à 725 kg, chaque oeuvre est d’abord construite numériquement pour tester sa capacité de résistance au vent et étudier ses mouvements une fois sur pied. Nommée Di-Octo, In Cloud Light III et Switchback, ces trois dernières réalisations viennent embellir le portfolio de l’artiste.

    Les sculptures hypnotiques d’Anthony Howe

    Cloud III est en acier inoxydable et frôle les 8 mètres de haut. Elle peut résister à des vents d’une extrême violence tandis que Switchback fonctionne à l’aide d’un moteur à engrenages à vitesse variable et peut vivre aussi bien en intérieur qu’en extérieur. D'autres vidéos sur le lien dessous:

     

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  • Bernard Pras- installations anamorphiques

    L’artiste français Bernard Pras nous montre que tout n’est pas comme il le laisse penser, en créant des installations anamorphiques incroyables. Ses œuvres peuvent ressembler à un portrait géant de Dalí, van Gogh, ou même Jimi Hendrix, mais si vous regardez de plus près, vous pouvez voir que c’est une pièce soigneusement aménagée avec des objets colorés quelconques. Tout est affaire d’illusion d’optique !

     

    Le français met en place d’innombrables objets récupérés et “dissimule” une image qui ne peut être vue qu’à travers un dispositif particulier ou tout simplement d’un angle précis. Pour créer l’effet anamorphique, Bernard Pras présente attentivement l’ensemble de l’oeuvre et place des objets qui paraissent aléatoires, les sélectionnant par couleur et par taille afin d’en faire apparaître un célèbre portrait ou image à partir d’un seul point de vue. L’artiste utilise des déchets de plastique, de vieilles pilules, boîtes, sacs, emballages, poupées, jouets, instruments de musique, objets ménagers, et à peu près tout ce qui semble bon pour la couleur et la forme dont il a besoin. Les résultats sont tout simplement à couper le souffle !

    Bernard Pras- installations anamorphiques  Bernard Pras- installations anamorphiques

    Bernard Pras- installations anamorphiques

    Bernard Pras- installations anamorphiques Bernard Pras- installations anamorphiques

    Bernard Pras- installations anamorphiques  Bernard Pras- installations anamorphiques

    Si vous n’arrivez pas à visualiser ce que l’oeuvre peut représenter, reculez-vous de votre écran et tout deviendra plus clair.

    D'autres oeuvres de l'artiste sur le lien dessous :

     

    Bernard Pras- installations anamorphiques 

     

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  • Les 10 films a voir sur la conquête spatiale

    Nombreux sont les documentaires et fictions à revenir sur les exploits de certains grands hommes dans l'espace. Voici une liste non-exhaustive de classiques ou de nouveautés à (re)découvrir à l'occasion des 50 ans du premier pas sur la Lune.

     

     «FIRST MAN», DE DAMIEN CHAZELLE (2018)


    Après l’avoir fait danser dans «La La Land», le réalisateur franco-américain Damien Chazelle a demandé à Ryan Gosling d’enfiler la combinaison de l’astronaute Neil Armstrong pour «First Man». L’acteur canadien incarne cette légende qui fut le premier homme à marcher sur la Lune le 21 juillet 1969 lors de la mission Apollo 11. Ce biopic qui retrace les huit années qui précèdent l’alunissage et la phrase légendaire «Un petit pas pour l’homme, un grand pas pour l’humanité», évoque aussi bien l’intimité de l’Américain que les entraînements et les sacrifices nécessaires à un tel exploit.

     

     «16 LEVERS DU SOLEIL», DE PIERRE-EMMANUEL LE GOFF (2018)

     

    Le réalisateur Pierre-Emmanuel Le Goff s’est intéressé à l’astronaute Thomas Pesquet, qui a passé six mois au sein de la Station spatiale internationale (ISS). Ayant pour fil rouge un dialogue imaginaire entre l’homme de 40 ans et Antoine de Saint-Exupéry, l’aviateur disparu en mer, ce long-métrage se concentre sur les travaux de recherche menés lors de la mission Proxima, ainsi que sur le quotidien du scientifique normand. Pour capter ses instants de vie, ce dernier a dû se transformer «en cameraman, preneur de son, pigiste et figurant», et s’est entraîné à manier des caméras très haute définition (6K), ainsi qu’une Go Pro 4K.

     

     «LES FIGURES DE L’OMBRE», DE THEODORE MELFI (2017)

     

    L’histoire méconnue de trois scientifiques américaines au début des années 1960 portée sur grand écran. Ce drame revient sur le parcours incroyable de de Katherine Johnson, Mary Jackson et Dorothy Vaughan qui, grâce à leurs recherches abouties et leurs calculs, ont permis à la Nasa de faire de grandes avancées, dont la mise en orbite de l’astronaute John Glenn.

     

     «SEUL SUR MARS», DE RIDLEY SCOTT (2015)

     

    Avec pour héros Matt Damon, ce film met en scène le combat pour rester en vie d’un astronaute isolé sur la planète rouge. En mission sur Mars, une équipe d’astronautes de la Nasa doit quitter d’urgence son camp de base afin d’échapper à une tempête. Dans la précipitation, Mark Watney est abandonné par l’équipage qui le croit mort parce qu’il a été happé par une antenne satellite emportée par le vent. Pourtant, quelques heures plus tard, Mark reprend connaissance. Résolu à ne pas mourir, il organise pas à pas les moyens qui lui permettront de survivre tandis que sur Terre, la Nasa, qui a remarqué de l’activité à la surface de Mars, organise les secours. Sur un scénario simple et efficace adapté du roman d’Andy Weir par Drew Goddard, «Seul sur Mars» adopte un ton atypique pour un film qui se déroule dans l’espace. L’humour et l’optimisme sans faille du personnage principal accouchent d’un récit divertissant et passionnant qui réussit à distiller aux moments propices le suspense autant que l’émotion.

     

     «INTERSTELLAR», DE CHRISTOPHER NOLAN (2014)

     

    Le cinéaste britannique livre une odyssée SF aussi grandiose qu’émouvante. Dans un futur proche, alors que l’humanité est menacée par une crise écologique sans précédent, Cooper (Matthew McConaughey), producteur de maïs, élève son fils et sa fille au côté du père de sa défunte épouse. Un jour, cet ancien pilote de navettes se retrouve au sein même d’un des laboratoires de la Nasa. Le professeur Brand lui propose de collaborer à une mission secrète : faire équipe avec des scientifiques pour partir au-delà des limites de l’espace connu, grâce à une faille spatio-temporelle, et trouver des planètes susceptibles d’accueillir la race humaine. Ce blockbuster aux effets spéciaux grandioses n’en oublie pas pour autant d’être réaliste et d’évoquer les grands sujets écologiques de notre époque. Philosophique aussi, «Interstellar» s’interroge sur la place et le rôle de l’homme dans l’Univers.

     

     «GRAVITY», D’ALFONSO CUARÓN (2013)

     

    Œuvre folle et novatrice, «Gravity», par son réalisme époustouflant, propulse le spectateur à 10 000 km/h dans l’infiniment grand. En mission à 600 kilomètres d’altitude, Matt Kowalski (George Clooney) et l’ingénieur Stone (Sandra Bullock) effectuent ce qu’ils croient être une banale opération de maintenance. Leur vaisseau est alors pulvérisé par une nuée de débris. Jetés dans le vide, les deux astronautes vont alors se confronter au froid galactique. L’angoisse monte, et les premières minutes resteront longtemps gravées dans l’histoire du cinéma. Prenant, le film est aussi une formidable prouesse technologique. Après un tournage titanesque de quatre ans et demi, et des animations 3D à la limite de la perfection, «Gravity» réussit à placer le spectateur dans le casque et la peau des astronautes.

     

     «SPACE COWBOYS», DE CLINT EASTWOOD (2000)

     

    En 1958, Frank Corvin, Hawk Hawkins, Jerry O'Neill et Tank Sullivan s’entraînent pour partir en mission spatiale. Mais à leur grande surprise, la Nasa ne les choisit pas et choisit d’envoyer un singe dans l’espace. Près d’un demi-siècle plus tard, alors qu’un satellite russe pourrait s’écraser sur la Terre, Franck Corvin est contacté pour sauver le monde, étant le seul à maîtriser ces anciennes machines. Pour assurer cette mission, il décide de partir avec ses trois anciens acolytes. Avec cette épopée fictive, le réalisateur Clint Eastwood rend hommage aux pionniers de l’espace, à l’instar de Chuck Yeager qui fut le premier à franchir le mur du son le 14 octobre 1947.

     

     «APOLLO 13», DE RON HOWARD (1995)

     

    «Houston, nous avons un problème»… Ce long-métrage sur la mission Apollo 13 de 1970 a attiré plus de deux millions d’entrées en France et récoltait 355 millions de dollars de recettes - soit 308 millions d'euros - à travers le monde. Ce film catastrophe avec Tom Hanks en héros revient sur le destin de trois astronautes qui ont failli perdre la vie à cause de l’explosion d’un des réservoirs d’oxygène. Ou comment un vol de routine s’est transformé en cauchemar.

     

     «L’ÉTOFFE DES HÉROS», DE PHILIP KAUFMAN (1984)

     

    Inspiré du livre éponyme de Tom Wolfe, ce classique du cinéma américain nous fait revivre le destin des sept premiers astronautes à conquérir l’espace. Entre entraînements, conférences de presse et instants de vie en famille, on suit ces pilotes d’essai d’après-guerre pendant seize années, du passage au mur du son aux premiers vols spatiaux du programme Mercury. L’interprétation de Sam Shepard, John Glenn et Ed Harris contribue largement au succès de ce long-métrage, dont un grand nombre de plans ont inspiré de futurs films.

     

     «2001 : L’ODYSSÉE DE L’ESPACE», DE STANLEY KUBRICK (1968)

     

    Culte, superbe. 2001 est un chef-d’œuvre. En 1968, soit un an avant le premier pas sur la Lune, Stanley Kubrick signe une production stupéfiante qui se déroule à différentes périodes. Le film allie des effets spéciaux de pointe avec une histoire mystique et philosophique sur le progrès, et la place de l’homme dans l’humanité. Sélectionné par la bibliothèque du Congrès pour son «importance culturelle, historique ou esthétique», «2001 : l’odyssée de l’espace» est ressortie en 2018 dans une version restaurée.

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