• Les géoglyphes

     

     

    Ce sont des traces, dessins, figures géométriques, que l'on peut voir et distinguer du ciel par avion et depuis peu par satellite. Dans des pays, comme l'Angleterre, le Chili, le Pérou, les Usa et bien d'autres, des civilisations anciennes ont dessinés à même le sol, des traces, des dessins qui pour certains encore, de nos jours, reste énigmatiques.

     

    *** L'influence chamanique ***

     

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    La diversité des géoglyphes et autres « sculptures telluriques » en Californie et en Arizona est réellement impressionnantes. Tous proviendraient de la même culture, celle des Amérindiens. Les archéologues pensent que les motifs représentent des « formes-pensées », une sorte de transcription des visions et des transes des chamans. Ils donnent ainsi un aperçu unique des rituels d'une culture ancienne. La plupart de ces figures se trouvent près de sites préhistoriques d'art rupestre qui présentent des images similaires, mais à une plus petite échelle. C'est à partir de ces lieux sacrés que les chamans devaient entrer en contact avec le monde des esprits. Le spécialiste de ces lignes terrestres Paul Devereux disait : « Que ce soit dans les déserts de l'ouest des Etats-Unis ou dans la cordillère des Andes sud-américaine, les figures telluriques procèdent toutes de la même culture : le chamanisme. »

     

     

    *** La parole aux esprits ***

     

     

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    La majeure partie des gravures rupestres sont dites « entoptiques », c’'est-à-dire qu'’elles relèvent de sensations lumineuses qui ont pour origine l'oeil lui-même. Elles sont donc en quelque sorte des hallucinations. Mais au cours d’'états de transe ou sous l'influence de drogues psychotropes, le cerveau les interprète comme si elles émanaient réellement du monde extérieur. Les figures géométriques au sol correspondent aux lieux où les chamans entraient en transe. Il est probable qu'ils employaient ces motifs abstraits comme des sortes de cartes symboliques du territoire spirituel qu'ils avaient à explorer. Chez les indiens, le chaman avait en effet la charge d'entrer en contact direct avec des êtres surnaturels ou esprits- contact qui devait assurer quelques fonctions vitales pour la communauté : une chasse ou une pêche favorable, une victoire contre des ennemis, etc. En ce qui concerne les figures animales et humanoïdes, elles représentaient sans doute des personnages mythiques, dotés d'une puissance « surnaturelle »- c'est le cas notamment des animaux symbolisant la virilité ou la force.

     

     

    *** Le mystère Nazca ***

     

     

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    Qui ne s'est pas posé de questions sur les lignes de Nazca ? Les archéologues tentent encore de comprendre la signification de ces figures géométriques gravées dans le sol de la pampa Péruvienne.

     

    Au cours des années 1930, le trafic aérien au-dessus des Andes péruviennes ne cessa pas de ce développer. Au même moment se multiplièrent les récits de pilotes et de passagers mentionnant de vastes tracés visibles sur le sol. En 1926, alors qu'ils étaient à la recherche de vestiges archéologiques dans la pampa de Nazca, Alfred Kroeber et Toribio Mejia Xesspe découvrirent ces fameuses lignes. Ayant grimpé sur une colline, ils furent surpris d’'apercevoir des sillons gravés dans le sol pierreux du désert. Ils crurent d'abord que ces « fissures » étaient les restes d'un ancien système d'irrigation. Ce ne sont que quelques années plus tard seulement qu'ils perçurent leur origine mystérieuse.

     

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    Aux Etats-Unis, Paul Kosok, un chercheur de Long Island, entendit parler de ces lignes mystérieuses. Quand il parcourut la pampa en 1941, il se rendit compte immédiatement que les tracés n’avaient rien à voir avec un quelconque système d'irrigation. Peu de temps après le solstice d'été, il eut l'occasion de voir le soleil se coucher derrière l'extrémité d'une des lignes. Il en conclut qu'il avait sous les yeux « le plus grand manuel d’'astronomie du monde ». Les tracés étaient un calendrier astral. Maria Reiche, une mathématicienne allemande, devait bientôt partager ses convictions.

     

    A partir des années 1940, elle étudia les tracés à pied, les mesura, les répertoria. Elle en assura même la protection, vivant près du site pendant plus d'un demi-siècle.

     

    *** Lire entre les lignes ***

     

     

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    En 1968, Gerald Hawkins, membre de l'’Institut Smithonian de Washington D.C, effectua un relevé des tracés, à la fois sur le terrain, par avion et par ordinateur. Il s'était fait précédemment connaître en interprétant le site de Stonehenge comme un « ordinateur » d'astronomie préhistorique. Mais il ne parvint pas à démontrer de façon stricte que les lignes de Nazca étaient disposées selon les astres. Maria Reiche avait déjà remarqué ce qu'elle avait appelé des « centres en étoiles » : des petites collines ou promontoires d'où partent des lignes en rayons, ces centres étant également reliés entre eux par d'autres tracés. Les nouveaux enquêteurs ont confirmé cette découverte. Et ils ont mis au jour bien d'autres « centres rayonnants », comme on les appelle désormais. Ils ont aussi remarqué des chemins qui semblent avoir été empruntés assidûment- peut-être pour des pèlerinages, mais rien ne permet de le confirmer.

     

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    Un relevé détaillé des lignes a révélé que certaines d'entre elles semblaient être en corrélation avec d'antiques cimetières dans la pampa, ainsi qu'avec d'anciens aqueducs  et arroyos ( lit d'une rivière à sec du désert ). Quelques unes des lignes semblent être orientées vers les montagnes habitées par les dieux de l'eau ou de la pluie, selon la tradition amérindienne. Il y a dans les tracés des amas de pierres et des clairières curieuses où l'on trouve quelquefois des débris de poteries, probablement des offrandes religieuses. La nouvelle étude a donc confirmé les conclusions initiales de Hawkins : rien ne prouve la signification astrale des tracés.

     

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     Quoi qu'il en soit, les lignes de Nazca, en particulier les dessins au sol ou « géoglyphes », ont été faites dans l'intention d'être vues d'en haut. De plus, bien qu'exécutés à très grande échelle, les dessins sont absolument symétriques et bien proportionnés. Ils n'ont donc pu être réalisés que d'après des modèles réduits ou par des équipes au sol dirigées depuis le ciel. Certains chercheurs ont émis ainsi l'hypothèse que le peuple de l'ancienne culture Nazca savait voler en utilisant l'air chaud. Une expérience pratique a d'ailleurs eu lieu, dont les résultats ont prouvé que les anciens habitants pouvaient a priori voler en ballon. Rien ne permet cependant d'affirmer qu'ils l'ont fait réellement.

     

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    Toutefois, ces dessins pourraient avoir un rapport avec le chamanisme, un système religieux tribal dans lequel les pratiquants entraient en transe, afin d'effectuer un « voyage astral » pour communiquer avec les ancêtres, les dieux ou d'autres habitants du monde des esprits. En novembre 1975, l'explorateur américain Jim Woodman transporta à Nazca la montgolfière Condor 1. Il voulait ainsi prouver que les créateurs des lignes de Nazca maîtrisaient le vol. Le ballon était fait d'un tissu semblable aux échantillons prélevés sur les momies des tombes trouvées à Nazca. La nacelle du passager était faite en roseaux, comme en font les habitants du lac Titicaca à 3500m d'altitude dans les Andes. Maria Reiche qui assistait au décollage était ravie. Elle soupçonnait depuis longtemps chez les hommes de Nazca la maîtrise du vol aérien. Mais cette expérience fut loin de convaincre tout le monde. Pour faire décoller le ballon, il fallut creuser une grande fosse pour faire du feu et produire ainsi de l'air chaud. Or, on ne trouve sur le site aucune trace de telles fosses.

     

    Décidément, la pampa de Nazca n'a pas encore délivré son secret

     

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    Info du 24/04/2006

     

    *** Pérou: nouvelle découverte à Nazca ***

     

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    Géoglyphe Nazca Pérou - AFP - Yamagata University

     

     

    Des chercheurs japonais ont mis à jour une centaine de nouveaux motifs sur le plateau de Nazca.

     

    Le mystérieux site archéologique de la plaine côtière du Pérou, à 400 km au sud de Lima,

    vient de révéler de nouveaux dessins et figures géométriques, aux formes jusque là inconnues.

    Ceux-ci ont été découverts dans le sud du plateau, loin de la zone où des centaines de lignes et d'images énigmatiques attirent déjà de nombreux touristes.

     

    «  Nous avons eu confirmation de cela en analysant des photos satellite et en visitant les lieux en mars » a expliqué Masato Sakai, professeur assistant à l'Université Yamagata (nord du Japon). Les dessins et figures géométriques de Nazca, parfois appelés « géoglyphes » , couvrent environ 450 km2 et sont classés au patrimoine mondial par l'Unesco depuis 1994. Ces très grandes lignes et dessins tracés dans le sol entre 500 avant Jésus-Christ et 500 après figurent parmi les grand mystères de l'archéologie. Les chercheurs estiment qu'ils pourraient avoir une fonction rituelle liée à l'astronomie.

     

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    Aura2
     

    La taverne de l'étrange- 15 juin 2006  

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  • D'étranges traces, dessins, symboles, endroits et sites stratégiques, lieux insolites, etc... vu du ciel par Google Earth
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    Le projet Stargate's Jedi Warriors

    La CIA et les médiums


    Un programme ultra-secret qui a englouti des millions de dollars et permis d’époustouflantes victoires. Cela ressemble à de la science-fiction, et pourtant, aussi incroyable que ça puisse paraître, il s’agit bien de faits réels. Pendant plus de vingt ans, la CIA ( central intelligence service ), pour espionner les Soviétiques, a eu recours aux services de voyants et d’extralucides qui lui ont permis d’obtenir des renseignements importants, sans même avoir à traverser l’Atlantique !

     
     

    Convaincue de l’efficacité de ces médiums, l’agence d’espionnage ainsi que l’armée américaine ont mis au point avec ces médiums un programme ultra-secret, baptisé le « Stargate’s Jedi Warriors », auquel elle a consacré plusieurs millions de dollars. James Bond lui-même peut désormais aller se rhabiller…Tout commence à la fin des années 60 ? A cette époque, la Central Intelligence Agency, qui a eu connaissance de la mise au point d’une nouvelle fusée soviétique, voudrait en savoir davantage ? Après avoir utilisé tous les moyens classiques, elle va tenter une première. Une rumeur court à ce moment-là, concernant un chauffeur de poids lourd de Chicago qui serait capable de faire apparaître des images sur des pellicules photographiques vierges, simplement en les collant sur son front… "  Nous étions tous sceptiques avant d’assister à l’expérience, raconte un physicien, membre de la CIA. Et puis, l’image s’est peu à peu dessinée, jusqu’à devenir extrêmement précise. C’était exactement le genre de miracle auquel aucun scientifique n’aurait cru, si nous ne l’avions vu de nos propres yeux ! "

     

    C’est à cette période également, en pleine guerre froide, que les services secrets apprennent, par des rapports alarmants, que les Soviétiques utilisent déjà de leur côté les pouvoirs de médiums pour… tuer des dirigeants américains ! Selon un rapport de la CIA, datant de 1972, les Russes se seraient livrés à des expériences assez effrayantes, comme l’élaboration d’une drôle de machine permettant de provoquer à distance des infarctus. Dès lors, les Américains prennent l’affaire très au sérieux, et ils établissent à leur tour un véritable programme d’espionnage basé sur les pouvoirs extrasensoriels. Dans un premier temps, pour contrecarrer et annihiler le danger soviétique, ils « bombardent » à leur tour les esprits des principaux cadres russes avec des pensées de paix…Quelques années plus tard, l’agence demande à nouveau à un médium d’explorer, grâce  à ses pouvoirs, le quartier général d’une agence de renseignements rivale, située à plusieurs centaines de kilomètres. Non seulement cet homme sera capable de décrire l’endroit avec une étonnante précision, mail il déchiffrera aussi des codes secrets sur des dossiers. Un troisième extralucide, pressenti pour enquêter sur un agent en poste à l’étranger et qu’on suspecte de s’être livré à certaines manipulations sur un registre de comptes, découvre plusieurs détails ignorés de tous, prouvant que cet individu avait effectivement truqué les chiffres. Interrogé, le falsificateur manquera  de tomber à la renverse lorsqu’on lui démontrera de quelle manière il a procédé ! A partir de là, les espions-médiums vont systématiquement être sollicités pour toutes les affaires graves concernant la défense.

    De 1978 à 1984, ils aident ainsi l’armée à de nombreuses reprises pour repérer l’endroit exact où sont détenus les otages américains en Iran. En 1979, ils vont permettrent de déterminer les caractéristiques exactes d’un nouveau modèle de sous-marin soviétique, et en 1981, l’un d’eux, Noreen Renier, prédira la tentative d’assassinat dirigée contre le président Reagan. En 1986, c’est encore grâce à ces agents très spéciaux que l’on pourra repérer le quartier général de Muammar Khadafi dans le désert. Alors que des satellites ultra-sophistiqués n’ont pu localiser l’endroit exact où se terre le colonel lybien- celui-ci changeant de cachette tous les jours- les médiums vont donner des indication si précises que les avions de l’armée pourront bombarder et détruire son campement. On se souvient que le colonel n’a d’ailleurs réchappé que de justesse à cette attaque aérienne. Enfin, en 1988, l’armée américaine obtient également des renseignements sur le lieu où est détenu le colonel W. Higgins au Liban. Les médiums,, après avoir passé au peigne fin tout le pays, au travers de leur « scanner mental », donnent le nom d’un village situé dans le sud, information qui sera confirmée ensuite par un autre otage relâché. Aujourd’hui, la CIA n’est plus la seule à s’intéresser de près au paranormal. L’un des membres de l’éminent congrès américain étudierait très sérieusement certains phénomènes tels que le magnétisme, les visions prémonitoires, à distance, ou encore les pouvoirs psychiques tels que la capacité de déformer des cuillères par la force de la pensée. Et George W. Bush lui-même, désormais vice-président et membre du conseil national de sécurité, lirait tous les rapports publiés sur le sujet.

    De là à imaginer que le phénomène gagne l’ensemble de la planète… Attention, nous sommes déjà entrés dans la quatrième dimension, les médiums sont parmi nous !

    Le projet Stargate's Jedi Warriors


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    La taverne de l’étrange- 4 juin 2006

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     L’histoire méconnue du bout de terre le plus isolé du monde a donné naissance aux légendes les plus folles. Certains ont pensé que les Pascuans étaient d’origine extraterrestre, d’autres préfèrent y voir les derniers représentants de la civilisations des Atlantes…

     

     

     

    *** LA DECOUVERTE DE RAPA NUI ***

     

    Encore aujourd’hui, elle est l’île la plus isolée du monde. 2500 km séparent l’île de Pâques de sa plus proche voisine, Pitcairn, l’île des révoltés du Bounty. Située précisément à 27°8’24’’ de latitude sud et 110°45’50’’ de longitude est, l’île de Rapa Nui est parfaitement isolée au milieu de l’océan, à quelques 4000 km du pays qui la gouverne : le Chili.

    Les 160 km² qui forment le petit paradis pascuan ne sont que la partie émergée de la pointe d’un volcan de 4000 m de haut, dont la base est sans doute toujours en activité. Ainsi la surface de l’île est-elle jonchée de cratères. L’un d’entre eux, celui de Rano Kao, sert de réserve d’eau douce grâce à son magnifique lac aux berges ornées de vignes. La population vit dans ce cadre somptueux avec la lenteur et la sagesse qui caractérisent les insulaires. Pourtant, la civilisation pascuane n’a pas toujours baigné dans cette sérénité.

     

     

     

    L’île fut découverte le 5 avril 1722 par le marin hollandais Roggeween, commandant d’une flottille de trois vaisseaux. Ils abordèrent les côtes le jour qui précédait les fêtes de Pâques, effaçant du même coup le nom charmant que les autochtones avaient donné à cette île voilà quelques siècles : Te Pito No te Henua, ou « Nombril du monde ». Dès lors, les trafiquants d’esclaves vinrent recruter parmi les tribus terrorisées de l’île de Pâques et, en 1862, des navires péruviens embarquèrent à leur bord des centaines de prisonniers.

    Seuls certains eurent la chance de retrouver leur pays et, de leur long voyage, ils rapportèrent la petite vérole, qui décima la quasi-totalité de la population. En 1870, Rapa Nui ne comptait plus que 111 survivants. C’est ainsi que l’histoire de l’île de Pâques s’interrompit, laissant les statues ( Moais ) plantées telles les pièces d’un puzzle que les historiens durent assembler afin de reconstruire ce que leurs aïeux avaient détruit.

     

    *** DES GEANTS DE PIERRE ***

     

     

     

    L’art pascuan de par son nom gigantisme devient alors l’intermédiaire symbolique entre le monde des hommes et celui des dieux. Pourtant, les gigantesques sculptures moaïs n’étaient probablement que l’expression de la volonté de pouvoir et de l’orgueil de la classe dirigeante. Les fêtes de ces géants, orientées vers l’intérieur de l’île, semblent veiller sur les mystères qui voilent leur existence. Ainsi, environ 800 moaïs ont-ils été érigés sur l’île de Pâques.

    Certains sont regroupés sur des plates-formes nommées ahu, dont on imagine qu’elles devaient être les lieux de culte. On a retrouvé sous ces autels des restes humains liés à des rites funéraires.

     

    *** SIGNE DIVIN OU PROUESSE HUMAINE ***

     

     

     

    Toutes ces statues regardent vers l’intérieur de l’île, grâce à leur yeux de corail et à leur pupille d’obsidienne ( verre volcanique de couleur sombre ). Certaines sont surmontées d’un chapeau taillé dans un bloc de scorie rouge. Quant aux statues elles-mêmes, contrairement à ce que prétend la légende moderne et typiquement occidentale, elles ont été taillées dans un tuf ( roche poreuse volcanique ) relativement malléable, à l’aide de pointes de basalte. Pendant longtemps, elles apparurent comme une performance des dieux, mais elles ne sont qu’une prouesse des hommes…

     

    *** DES SCULPTURES AUX DIMENSIONS SURHUMAINES ***

     

     

     

    Les datation indiquent qu’elle ont été taillées entre le 12ème et le 17ème siècle, à une époque où l’île était très boisée. On imagine alors aisément comment des rondins de bois devaient permettre de les transporter de la carrière, sur les flancs intérieurs et extérieurs de volcan Rano Raraku, jusqu’au bord de mer où sont érigés la plupart des moaïs. La plus haute, inachevée, mesure 22 m de haut pour environ 80 tonnes ! Quant à la plus grosse statue toujours debout, elle ne pèse pas moins de 70 tonnes.

     

     

    *** LE MYSTERE DES TABLETTES RONGO-RONGO ***

     

     

     

    De toutes les énigmes de l’île de Pâques, celles-ci est peut-être la plus déconcertante et la plus fascinante. En 1864, dans les habitations de l’île, sont découvertes des tablettes de bois ( rongo rongo ) ou des bâtons couverts de plusieurs espèces de caractères hiéroglyphiques : ce sont des représentations d’animaux inconnus dans l’île que les indigènes tracent au moyen de pierres tranchantes. Chaque figure a son nom, mais le peu de cas qu’ils font de ces tablettes nous font penser que ces caractères, restes d’une écriture primitive, sont pour eux maintenant un usage qu’ils conservent sans en rechercher le sens. Aujourd’hui, on estime à une vingtaine le nombre de ces tablettes réparties à travers le monde dans des musées ou dans des collections privées. Pourtant ces signes gravés et reproduit méthodiquement par ces indigènes qui les tenaient en haute considération mais qui, déjà, avaient tout oublié de leur signification.

     

    L’une de ces tablettes appelée « mamari » se trouve à Rome, à la congrégation du Sacré-Cœur. Elle comporte un millier de signes répartit de manière rigoureusement égale sur chacun de ses côtés. Les signes de la tablette furent comparés à celle de l’écriture Grecque. Il fallait lire le début du texte par le bas à gauche, et après la première ligne, il fallait retourner celle-ci et continuer à lire au-dessus où tout les signes étaient tournés dans le sens opposés. Bien fastidieux tout ça ! Mais en traduisant la tablette par la suite, en français, on s’aperçut que les mots n’avaient aucun sens, ils n’avaient aucun rapport entre eux et ne racontaient pas une d’histoire…Les efforts tentés auprès des pascuans pour obtenir d’eux une traduction des signes rongo-rongo  se sont soldés par des échecs. La signification profonde de ces signes est-elle perdue ? Il n’en reste pas moins vrai qu’un système de communication aussi complexe qu’une écriture s’est développé et a existé au sein d’une société dont on sais qu’elle n’a jamais parvenu à lui donner une explication satisfaisante.

    Le fait que la communauté de Rapa Nui ait éprouvé le besoin d’inventer un système d’écriture est franchement étonnant…mais s’agit-il là d’une invention des pascuans ?

     

    Ainsi, les mystères de Rapa Nui n’en sont pas, et sur quelques énigmes de l’Histoire se sont cristallisés pendant des années les fantasmes les plus fous. Cette île n’en reste pas moins l’une des merveilles du monde, où des géants de pierre ont les yeux tournés vers les étoiles.

    Au fond, la vie qu’on attribuait à ces moaïs dans la tradition pourrait bien reprendre si l’on y croyait très fort…

     

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    Source : Le dossier secret de l’île de Pâques- Franz Kowaks

     

     

     

     

    *** La taverne de l’étrange- 4 mai 2006 ***

     

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  • Chupa00

     

    Découverte par Christophe Colomb en 1493, Porto Rico ou Puerto Rico, est une île de l’une des Antilles, à l’Est d’Haiti, 4 millions d’âmes portoricaines y vivent, la capitale étant San Juan. De bien étranges créatures y sévissent depuis 1995. D’étranges lumières et engins célestes y sont régulièrement observés depuis peu, mais un animal inconnu fait parler de lui, affole la population et décime les animaux se trouvant sur son passage…

     

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    Le Chupacabras, en espagnol, signifiant « suceur de chèvre », qui sévissait hors de la communauté Européenne, aurait été aperçu en Espagne et récemment aux Etats-Unis. Mais de quoi s’agit-il exactement ? Des cas d'apparitions remontent à 800 ans. En Mongolie on le nomme " Prakhestolek ", en Chine " Then Kiang ", en Ecosse " The diabolic murdera ", en Inde " Azra-Brahyana "...

     

    Quel est cet animal mystérieux qui fait des ravages dans la forêt tropicale de l’île depuis 1995 ?

     

    Le mystère reste total. Tout ce qu’on sait de lui, ce sont ses effets dévastateurs et quelques descriptions effrayantes : « Une créature d’un mètre cinquante de haut se tenant debout sur ses pattes arrière, avec de petits bras aux extrémités griffues et un pelage sombre ou verdâtre. Une tête ovale avec une mâchoire protubérante et des canines acérées. Une   langue longue et pointue sortait de sa bouche. Des yeux ovales et rouges, en forme d’amande, ainsi que des narines formées de simples trous, elle se déplaçait comme un kangourou en bondissant sur ses pattes arrière »…

     

    Luis Guadalupe est devant les policiers de Canovanas, une ville de la côte nord-est de l’île, il poursuit sa déposition ainsi : « la bête était de couleur grise, mais son dos semblait changer de couleur, et elle dégageait une épouvantable odeur de soufre. » Ce témoignage, datant d’octobre 1995, pourrait être considéré comme un délire psychopathe si, à travers l’île de Porto Rico, d’autres personnes n’affirmaient avoir fait la même rencontre. Ces témoins parlent eux aussi d’une odeur prononcée, âcre et acide, certains ont aperçu une rangée d’épines, longues d’environ 25 cm, courant sur le dos de la créature et d’autres l’ont entendu émettre un bourdonnement pendant qu’elle changeait de couleur. Nombre de témoignages font également état d’une aptitude au vol. L’animal en question paraît digne de légendes fabuleuses ! On lui attribue la mort de plus de 2500 animaux d’élevage ( moutons, lapins, chèvres ), domestiques ( chiens et chats ), ou sauvages ( rongeurs et oiseaux surtout ). Tous les cadavres de ces animaux présentaient des caractéristiques aussi surprenantes que récurrentes, notamment d’étranges perforations localisées dans le cou ou la tête. Dans bon nombre des cas répertoriés, la carcasse des victimes fut retrouvée totalement vidée de son sang. C’est la raison pour laquelle les Portoricains ont baptisé cette inquiétante créature d’un nom évocateur : El Chupacabras

     

     

     

    Chupa02

     

    Des centaines d’insulaires prétendent l’avoir vu. Un des tout premier témoignages sérieux fut celui d’un policier ayant été chargé d’inspecter les restes d’un mouton mutilé. Sur place, il eut subitement la sensation d’être observé ; en se retournant, il vit dans les fourrés une bête orange d’environ 1,50 mètre de haut avec des yeux jaune orange et une peau de couleur sombre. Il tenta de poursuivre la créature mais fut rapidement saisi de nausées et de fortes migraines…l’homme s’effondra, sans connaissance. Les descriptions de Chupacabras peuvent différer sensiblement d’un témoin à l’autre. C’est pourquoi l’un des spécialistes du dossier, Jorge Martin, rédacteur en chef de la principale revue ufologique de Porto Rico, Evidencia OVNI, préfère utiliser le terme d’ « entités biologiques anormales ».

     

     

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    Sa revue a publié un dessin d’artiste représentant la créature, réalisé à partir de nombreuses descriptions, et ce dessin est considéré comme l’image la plus fidèle du monstre. Dans la mesure où les rapports et les témoignages indiquent que les Chupacabras ne ressemblent à aucune espèce connue, les hypothèses vont bon train quand à leur origine. Certains parlent ouvertement d’un animal mutant, fruit d’expériences bio-génétiques ratées et qu’ « on » aurait relâché dans la jungle. L’ufologue Jorge Martin avance une explication plus rationnelle, paradoxalement : il s’agit selon lui de créatures extraterrestres. Son raisonnement est peut-être simpliste mais, en tout cas, pour relier ce phénomène à l’activité ovni, il s’appuie sur une donnée vérifiée : de nombreuses observations d’ovnis, aperçus en vol stationnaire, furent réalisées dans les zones où précisément on retrouva des animaux étrangement mutilés.

     

    Attaque terrestre ou extraterrestre…la question dépasse les éleveurs, plus pragmatiques : ils exigent que l’hémorragie soit endiguée car leur survie dépend de celle du cheptel. Aussi, comme une bonne partie de la population de l’île, Jorge Martin s’indigne du silence des autorités. « Actuellement, c’est un total gâchis », nous dit-il. « Les cadavres s’amoncellent et les officiels, ceux que nous payons et avons élus pour résoudre nos problèmes ne font, pour l’instant, rigoureusement rien. » En effet, de l’avis des autorités, il s’agit soit d’un phénomène de prédation naturelle, soit d’un comportement humain lié à des pratiques rituelles, type vaudou…l’éventail des possibilités est donc large !

     

     

    Les services vétérinaires publics ont bien été chargés d’une autopsie, qui fut conduite sur une vingtaine d’animaux mutilés, et ce en présence de journalistes. Après examen, le docteur Hector Garcia, chef des services vétérinaires du Ministère de l’Agriculture, confirma son scepticisme quant à l’existence des Chupacabras. « L’autopsie révèle des causes de décès variées, y compris d’origine parasitaire, dit-il. Selon moi, il s’agit vraisemblablement d’actes imputables à des chiens sauvages, voire à des babouins qui, on le sait, ont été introduits sur l’île pour des expériences scientifiques. » L’expertise du docteur Garcia n’a convaincu personne. Elle a au contraire donné l’impression que le gouvernement cherchait à étouffer l’affaire. En effet, cette position officielle selon laquelle il s’agirait de prédateurs naturels, n’explique pas la soudaineté et l’ampleur du phénomène, ni le type de mutilations constatées sur les cadavres, ni d’ailleurs tous les témoignages oculaires. Elle est en outre contredite par d’autres expertises, dont nous révélons ici les résultats.

     

    Lorsqu’un carnivore saisit sa proie, par exemple par la tête ou le cou, on trouve normalement trace des morsures imprimées par chaque mâchoires, et souvent des griffures ou des ecchymoses en d’autres parties du corps, signifiant que le prédateur à maintenu la victime entre ses pattes. Rien de cela chez les proies de Chupacabras. Les animaux attaqués portent, en un seul point du corps, deux ou trois perforations à diamètre très réduit, de l’ordre de 0,5 à 1,3 cm de large. Ces blessures sont en revanche très profonde, de 7,5 à 13 cm, ce qui entraîne une mort immédiate lorsque le cerveau est visé. Quel animal connu est doté de griffes ou de crocs de cette taille ? De plus, le contour des blessures est extrêmement net et demeure ainsi, comme si l’objet perforant les chairs cautérisait la plaie en même temps.

     

     

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    Chez certains spécimens, on ne constata même ni coagulation sanguine, ni rigidité cadavérique, et ce plusieurs jours après la mort : un symptôme totalement incompréhensible. Autres constatations ne cadrant pas avec l’hypothèse d’une prédation naturelle : certains animaux présentaient de larges entailles, jusqu’à 30 cm de long, parfaitement rectilignes et dignes d’une découpe chirurgicale ; d’autres enfin ont subi l’ablation de plusieurs organes ( foie, organes sexuels et excréteurs, globes oculaires, etc. ). Ces derniers éléments ont ouvert l’éventualité de prélèvements opérés par l’Homme, pour satisfaire par exemple aux besoin de rites vaudou. Mais cette explication n’est pas totalement satisfaisante : pourquoi cette recrudescence soudaine de barbarie, et surtout pourquoi en trouve t-on les traces dans toute l’île… ? Très récemment, un ufologue a cherché a approfondir les recherches menées jusqu’à présent. Il s’agit du professeur G. Schellhorn. Il s’est particulièrement attaché aux témoignages de personnes prétendant avoir attaqué un Chupacabras. Dans la ville de Gurabo, un certain Jesus Sanchez découvrit les cadavres de ses lapins dans sa cour.

     

     

    Il décida alors de monter la garde et d’attendre le retour du Chupacabras. Quelques jours plus tard, à 4 h du matin, la bête se présenta et Sanchez réussit à l’aveugler avec sa lampe torche de forte puissance. La créature chercha alors à s’enfuir, mais Sanchez réussit à lui asséner deux violents coups de machettes. Il rapporta texto au Pr. Schellhorn : « Mes coups résonnèrent comme si j’avais frappé un tambour ». Un autre cas où la bête réussit à s’enfuir, apparemment sans dommages, implique Juan Collazo, policier de la ville de Canovanas. L’homme est persuadé d’avoir atteint la bête car il a tiré sur elle pratiquement à bout portant…sans aucun effet notable puisque la créature a disparu. En revanche des échantillons de sang on pu être prélevés sur le lieu même. D’autres échantillons ont été confié à Schellhorn par un capitaine des pompiers. Ce dernier affirme avoir réussi à faire fuir une créature en criant très fort. Dans sa fuite, l’animal laissa quelques poils sur une clôture. Schellhorn a fait procéder à des analyses d’ADN sur ces échantillons.

     

     

    Nous ne disposons actuellement que des seuls résultats sanguins, mais ils sont édifiants : l’un des échantillons ne correspond à rien de connu, les taux de magnésium, potassium ou calcium et le ratio albumine/globuline dépassant largement ceux de toute espèce animale répertoriée.

    Schellhorn a par ailleurs établit l’inquiétante progression du phénomène qui a gagné toute l’île. Si la plupart des observations de Chupacabras sont venues des alentours de Canovanas, après quatre mois, 40 des 70 municipalités de Porto Rico étaient touchées. Certains en déduisent que la créature se reproduit à un rythme rapide. Fait plus surprenant : on signale maintenant des Chupacabras à Miami, au Texas, en Floride, et au nord du Mexique.

     

    On ne sait pas comment ces créatures seraient parvenues à traverser les 1600 km d’océan séparant Porto Rico du continent américain. S’agit-il d’un effet de mode, ou d’une psychose collective qui ferait tâche d’huile dans les communautés portoricaines établies sur le territoire américains ? L’ufologue mexicain Jaime Maussan, a eu vent de ces affaires. « Il y a eu des centaines d’incidents au Mexique, et dans certains cas plus de 60 animaux ont été tués » dit-il.  « Dans presque tous les cas, on trouve des perforations circulaires, généralement au cou. Je ne sais pas s’il s’agit d’un phénomène d’origine extraterrestre ou d’expérimentations génétiques, je sais simplement que le phénomène existe réellement. »

     

     

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    Mais l’ufologue a reçu des témoins prétendant avoir été directement attaqués. Il garde en mémoire la terreur exprimée par ses interlocuteurs, et est convaincu que les témoins disent la vérité. « Croyez-moi », dit-il, « c’est une expérience terrifiante. On ne sait pas à quel point tant qu’on ne l’a pas vécue soi-même. » A Canovanas, la situation s’est dégradé au point de faire réagir le maire de la ville, José Soto. L’examen des cadavres mutilés a conforté le maire dans la certitude que la crainte des Chupacabras était fondée. Ses requêtes auprès du Gouverneur et du Super-Intendant de la police sont pourtant restées sans échos…ce qui n’a pas manqué de rendre furieux cet élu. « Quelle que soit cette créature, elle est intelligente ; aujourd’hui, elle s’attaque aux animaux, mais demain elle pourrait s’en prendre à mes concitoyens. » Par la suite, le maire organisa une série d’expéditions pour tenter de capturer les Chupacabras. Avec l’aide des services municipaux et 200 volontaires fortement armés, le maire a placé des pièges tout autour de la jungle du parc national d’El Yunque. Mais la chasse est restée sans effet…

     

    Une bien étrange créature ! Encore faudrait-il être sûr, d’ailleurs, que le Chupacabras soit véritablement un animal…Ce qui est certain, en tout cas, c’est que la « créature » est dangereuse, puisque nombre d’animaux ont été retrouvés sur l’île de Porto Rico étrangement mutilés et vidés de leur sang. Tout commence en 1995, un jour où la police locale découvre une chèvre morte dans des conditions troublantes. Bientôt, le phénomène se reproduit à une telle fréquence, et les dégâts causés aux éleveurs sont si importants, que le gouvernement doit, en cette année 1995, adopter une résolution et ordonner une enquête pour tenter de clarifier le mystère…

     

    La thèse la plus rassurante serait que ces blessures sont le fait d’un animal connu, les suppositions allant du chien errant, au babouin… Mais ce serait faire peu de cas de l’« affaire » relatée dans la revue Phénomena (N°38) en 1998, qui débute par un simple fait divers : le 17 septembre 1997, un certain Fred Acevedo Martinez est tué dans une rue déserte de l’île. L’information est diffusée sur Chanel 4 et commence à s’étoffer lorsqu’une rumeur se propage : la victime, un militaire de 30 ans, a été tuée par balle après que sa Honda eut été prise en chasse par un 4X4 noir…Un tout-terrain qui disparaît avant l’arrivée de la police. Mais, lors de l’enquête, les policiers découvrent un bien étrange indice sur le siège arrière de la Honda : de la poche d’une tenue militaire, ils extraient une fiole de cristal. Cette fiole contient une sorte de fœtus ! Or, il semblerait bien d’après les témoignages des personnes ayant vu le chupacabras, que ce fœtus corresponde à celui de cette étrange créature.

     

     

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    Après un examen du fœtus, Carlos Soto, vétérinaire sur l’île, fait cette stupéfiante déclaration : il ne s’agit ni d’un fœtus animal, ni d’un fœtus humain. Du jamais vu ! Le bruit court alors que les autorités du pays, en accord avec une « agence fédérale américaine », connaissent l’existence de ce monstre, qui serait ou d’origine extraterrestre ou le fruit d’une expérience génétique !

    Le jeune soldat trouvé mort aurait eu le grand tort de vouloir sortir cette créature de sa base militaire… Les nombreux démentis des autorités ont aboutis, comme il est de règle dans ce cas, à renforcer l’impression qu’on nous cache quelque chose. Et voilà qu’après avoir fait une percée au Guatemala, au Mexique, à Miami et au Costa-Rica, plusieurs témoignages rapportent qu’on a trouvé sa trace en Espagne ! Certains pourront penser que des cadavres d’animaux jalonnant son parcours, il ne s’agit que d’un animal assoiffé de sang.

    Mais ceux qui ont rencontré le chupacabras sont persuadés que ce monstre garde bien des secrets…

     

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    *** Info en provenance du Chili ***

     

    Les chiliens pensent que la NASA a crée les Chupacabras.

    " Les gringos ont fait trois expériences génétiques qui se sont enfuies et ils n'ont rattraper que seulement d’eux d'entres elles " déclare Dagoberto Corante, un architecte Chilien. Les habitants de la ville de Calama et des communautés proches (au nord du Chili) blâment la NASA, l'Agence Gouvernementale Américaine, pour les apparitions et les attaques des mystérieux Chupacabras, lesquels ont causé la ruine a travers les animaux de fermes de la région et d'autres endroits du Chili. Plusieurs douzaines de porcs, de poulets, de lapins, de chèvres et autres animaux ont été tués au nord de Calama et ses environs en avril dernier, leurs corps sont complètements exsangues mais non dévorés par le mystérieux prédateur. Parmi les supposés caractéristiques des Chupacabras, on trouve les capacités de sauter au dessus de murs de trois mètres de haut et de marcher sans encombre au milieu des chiens. La police et les patrouilles de volontaires qui sont partis a sa recherche ont trouvé quelques traces éparpillées, lesquelles sont impossible a identifiées. Une enquête, ordonnée par les autorités, a conclu que les blessures étaient provoquées par des attaques de chiens sauvages, mais personne ne croit ceci. En attendant, de nouvelles attaques de la créature ont eu lieu dans différentes parties du centre et du sud du Chili.

    D'après Dagoberto Corante, une telle créature a été capturée par des éléments d'un régiment local lors d'une opération et ceci a eu comme résultat la mort d'un soldat. Mais les militaires ont refusé de parler sur ce sujet. " Il est dit que l'animal capturé a été gardé toute la journée dans des baraquements du régiment jusqu'à ce que des experts de la NASA arrivent pour l'emmener " observe Corante, qui est bien connu et respecté dans la région ou les Chupacabras ont amené la peur a travers la population. " Le jour ou ces événements ont transpirés, les militaires avaient fermé l'aéroport pendant plusieurs heures pour permettre a un hélicoptère, transportant les scientifiques américains d'atterrir " ajoute t-il, " bien que personne ne sache vraiment pourquoi ils ont fermé l'aéroport pour un hélicoptère. Il y a des appareils capables d'atterrir n'importe ou, et le faire comme cela a entraîné plus de spéculations et de rumeurs "

     

    Mario Ramos, un habitant respecté de San Pedro de Atacaman ou il est boucher, est largement d'accord avec l'histoire de Corante. Il est d'accord sur le fait qu'un soldat est mort durant la capture d'un Chupacabra

     

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    Lucy Guzman, chercheuse portoricaine (www.ovni.net) diffuse cette information qu'elle a elle même reçu d'un enquêteur Chilien, Patricio Borlone Rojas. Ceci rejoint la possible "capture " d'une entité du type Chupacabras. Toutefois les septiques diront que c'est une nouvelle histoire de bouche à oreille. A vous de juger…

    " Ce soir, vers 22h60, heure chilienne, j'ai parlé avec un ami, Miguel X, par téléphone (je garde son nom secret a sa demande). Il m'a raconté l'anecdote suivante, qui a été vécu par un de ses neveux qui fait actuellement son service militaire a Calama, précisément la ville ou " l'activité Chupacabras " se déroule."Quelques nuits auparavant, (entre le 9 et 11 mai) alors qu'il était de garde avec son régiment, il a eu la chance de voir un spécimen de ces Chupacabras et a prévenu immédiatement son supérieur. L'étrange créature effectuait des bonds prodigieux et a donné l'impression, pendant un moment, de flotter dans l'air (peut-être avait elle quelque chose similaire a des ailes ?). il la décrit comme faisant 1m20 de haut, a moitié chevelu et légèrement voûtée sur le dessus, mais aucun autre détail n'est disponible a cause de l'obscurité de cette nuit là. Une patrouille a été envoyée a l'extérieur pour la capturer et plus rien d'autre n'a été entendu les jours suivants sur ce sujet. La chose la plus surprenante est que la patrouille est revenu avec plusieurs " œufs " trouvés a l'endroit ou les créatures ont été prises par surprise. Il a ajouté que la patrouille avait réussi a tuer deux de ces créatures et a en capturer une, et que les carcasses ont été enlevées par du personnel de la NASA. Le point le plus extraordinaire de cette histoire et l'émergence d'un nouveau paramètre, les " œufs ". Devons nous changer notre façon de penser sur ces entités diaboliques a propos de leur moyen de reproduction ? la vérité est dans les mains de ceux qui possèdent l'information sur ce sujet. Pourquoi ne pas dire la vérité une bonne fois pour toute ?

     

    Patricio Borlone Rojas

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    Les Chupacabras attaquent les humains !

    Information du dimanche 25 juin 2000, 10h20

     

     en provenance du Chili par la journaliste Liliana Nunez Orellana


    Aujourd'hui, la situation est plus grave encore, un " Chupacabras a attaqué quatre femmes " dans la région du Chili, Baquenado, Sierra Gorda, (2) et Antofagasda. A toutes, il leur a envoyé des messages télépathiques, elles n'ont pas criées, après avoir été projetées au sol, elles ont du toutes lui obéir contre leur volonté !
    A une autre, accompagnée de son fiancé, la créature lui a ordonné de le tirer vers le vide !!!
    C'est la première fois que de tels faits se produisent, jamais encore, des humains ne s'étaient trouvés dans une telle situation, c'est pour cela que nous faisons appel à toute votre attention.
    Le coordinateur de l'union européenne de chercheurs.


    Claude Chapeau

     Par Liliana Nunez Orellana traduit par Claude Chapeau

    <o:p></o:p> Le journal " Le Mercure " de Calama au Chili, daté du samedi 8 avril 2000, publie dans un communiqué que 70 animaux sont morts en une semaine. En une seule nuit, 25 moutons et 5 chèvres furent assassinées à l’intérieur du corral. Toutes présentaient des blessures de la jugulaire sans aucun signe d’assèchement, quelques uns avaient un estomac vide. Ces faits se sont reproduits dans le secteur nord de Calama spécialement en Chunchuri, ou il a été notifié la mort de bovins. Les deux orifices présentaient d’importantes traces de dents d’animal d’environ un centimètre à un centimètre et demi de diamètre, et particulièrement certaines sur la tête. Quelques uns présentaient de grandes blessures à la hauteur des côtes, une d’elle a été consommée dans sa totalité. D’autres avaient l’estomac coupé à la perfection d’une opération chirurgicale, principalement les brebis enceintes, dont les viscères et la portée n’avaient pas été touchés par la créature. Pedro Villegas et José Salinas, propriétaires de plusieurs fermes comptabilisent une grande perte économique en raison que chaque animal se paie entre 30.000 et 40.000 pesos. La SEREMI (Secrétariat Régional ministériel) indique que ces exécutions sont irréparables en ce sens et qu’elle a produit un effort constant afin d’augmenter le cheptel dans la zone, laquelle subit à la suite de ce massacre un sérieux préjudice. Le journal " Le Mercure " de Calama daté du 9 avril 2000 signale que des effectifs policiers ont mesuré la profondeur des orifices restant dans le cou des animaux et, dont certains atteignaient jusqu'à 6 cm, ce qui permet de déduire qu’elles furent pratiquées à l’aide d’un objet piquant.

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    Si l’idée de l’attaque concerne l’alimentation, il a été démontré que seul le sang chaud est consommé. Il n’y a pas non plus de traces des reptiles mineures qui abondent dans le secteur. Autre fait extraordinairement voyant, c’est qu’en aucun endroit on ne trouve des matières fécales ni d’urines. Cela peut paraître à la fois suspect et mystérieux. La grande quantité de matière consommée pourrait dériver de ces déchets. Qu’est-ce qui peut motiver des attaques exclusivement nocturnes et seulement en fin de semaine lorsque les gardiens des parcelles usent de leur temps de repos ?

     

    Explication des scientifiques

    Les attaques sont dirigées en commun par un même " patron ". Les techniques employées son très avancées pour extraire les organes de l’animal. Les victimes paraissent avoir été mises sous sédatif ou hypnotisées avant l’attaque, ce qui permet à l’agresseur d’agir facilement et apparemment de nuit dans la complète obscurité. Il leur est facile de prendre le sang d’une centaine de brebis en une seule attaque. Les chairs ne sont pas déchirées ni les victimes mangées, seulement une succion pour drainer tout le sang par de petits orifices incisés sur plusieurs endroits du corps principalement sur le cou. Leur choix préférentiel va aux poules et poulets, brebis, chèvres, lapins, porcs, chevaux et bovins. Il a été détecté des indices de radioactivité dans quelques endroits ou se sont produites les attaques. Cette entité biologique non répertoriée comme mammifère vivant sur Terre est anormale dans notre civilisation. Il s’agit d’un bipède d’environ 1m20 ayant approximativement de grands yeux, il semble très rapide et peut se déplacer en effectuant d’énormes bonds... Il a souvent été vu avec des ailes, porte de longues griffes aux doigts et aux pieds similaire aux canidés, mais avec des doigts plus grands, un corps cartilagineux et un pelage rougeâtre court.

    Le journal " Cronica " de Conception daté du 2 mai 2000 indique par un communiqué de presse que le 29 avril dernier, à l’intérieur de " Los Muermos en Puerto Monte " ont été trouvés morts quatre petits cochons de lait à peine nés. Ces derniers représentaient une mystérieuse trace de 13x13 millimètres montrant seulement trois doigts sans avoir de point d’appui d’après l’opinion des carabiniers. Ils présentaient seulement quatre ponctions comme si elles avaient été faites avec un ciseau à la base du cou. Le journal " Le Mercure " de Calama daté du vendredi 5 mai 2000 publie que le 29 avril à Cobija, près de l’anse des pêcheurs située à 60 km au nord de Tocopilla , il a été découvert 40 volailles (canards et poulets) morts vidés de leur sang, étrange affaire sur laquelle plane le mystère le plus absolu. Cette attaque s’est produite il y a juste un mois, mais par crainte nous avons préféré maintenir le silence sur l’événement. En Europe vers la fin du 19 ème siècle, Sir Arthur Conan Doyle, le créateur de SHERLOCK HOLMES a essayé d’éclaircir ces affaires lorsque dans différentes fermes d’Angleterre sont apparus de nombreux cas de mutilations d’animaux. C’était ainsi hier comme aujourd’hui , car il existe plus de cent mille cas identiques dans le monde . Les Etats-Unis, Puerto Rico, Miami, Guatemala, Espagne, Portugal, Les Pyrénées-Atlantiques, et dernièrement le Chili. Aucune explication rationnelle ne vient étayer le mobile de ces attaques qui représente un grand nombre de morts en série.

    Donc, tant qu’une preuve tangible de cette créature ( photo, carcasse ou animal capturé vivant ) n’aura été faite, le doute subsistera. Ces faits sont-ils du à une secte où des prédateurs tout à fait connus ? Le mystère est sans réponse, mais les attaques continuent encore de nos jours…

     

    Tyron29

     

    Le Chupacabras sévit à Porto Rico...

     

    *** La taverne de l’étrange- 2 mai 2006 ***

     


     

     

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