• LE TRIANGLE DES BERMUDES

     

    Le triangle des bermudes

    Le Triangle des Bermudes est une zone de l’'Océan Atlantique qui est le théâtre d’un grand nombre de disparitions de navires et d'’aéronefs. De nombreuses légendes existent à propos de cette zone.

     

    Cette zone triangulaire de 3,9 millions de km2 délimitée par l’'archipel des Bermudes, la côte est de la Floride et l’île de Porto Rico, surnommée aussi le « Triangle du Diable », serait le lieu de
    mystérieuses disparitions de navires et d'avions depuis le XIXe siècle, bien que des auteurs fassent remonter l'origine du mystère à l'époque de Christophe Colomb. Inspirée par plusieurs
     articles publiés par divers magazines dans les années 1950, l'appellation « Triangle des Bermudes » revient au journaliste Vincent Gaddis dans un article du magazine Argosy en 1964 :
    The Deadly Bermuda Triangle.


    La légende a pris de l'ampleur avec la disparition d’une escadrille de cinq chasseurs bombardiers le 5 décembre 1945 au large de la Floride, connu sous le nom de Vol 19. Au bout d’une heure de vol, la base de Fort Lauderdale reçut un appel du lieutenant leur annonçant qu’ils étaient perdus. Un hydravion, parti à leur recherche, ne revint pas non plus.

    Dans les années 1950, le professeur Wayne Meshejian déclara que le satellite météorologique de la National Océanographic Administration tombait systématiquement en panne chaque fois qu’il passait au-dessus du Triangle des Bermudes : « Une force que nous ne connaissons pas, précisa-t-il, empêche le passage des informations ».

    Le journaliste du Los Angeles Times Howard Rosenberg publia en 1974 un article estimant que plus de 50 navires et 20 avions y seraient disparus au cours du XIXe siècle et que les garde-côtes américains ont répondu à plus de 8000 appels de détresse dans ce secteur. Dans les années 1970, plusieurs ouvrages et articles de journaux sont consacrés au mystère du triangle des Bermudes. Parmi eux, The Bermuda Triangle publié par Charles Berlitz en 1974,
    devient un best-seller et marque le début d'une série d'enquêtes et de contre-enquêtes sur le sujet. Pour expliquer les mystérieuses disparitions, certains auteurs évoquent les extraterrestres, l'influence de l'Atlantide, une distorsion spatio-temporelle ou des champs magnétiques surnaturels tandis que d'autres se prononcent en faveur de perturbations climatiques, de réactions physiques ou chimiques naturelles liées à l'environnement de ce secteur ou encore de défaillances humaines.

     

    Chronologie des disparitions 

     

    L'’histoire moderne des disparitions dans le triangle des Bermudes commencerait au début du XIXe siècle :


     De 1800 à 1850

     

    En 1780, le General Gates – Le navire avait été déclaré inapte à naviguer en 1779, et vendu. 
    En 1800, le USS Insurgent, un navire français capturé par les Américains avec 36 canons et 340 marins.
    En 1800, le USS Pickering.
    En 1812, le Patriot.
    En 1814, le USS Wasp. Disparu lors d’un voyage vers les caraïbes. 
    En 1815, le USS Epervier. Disparu entre Alger pour Norfolk. Le navire transportait un traité de paix pour mettre fin à la guerre de 1812. Sa disparition retarda la fin des hostilités.
    En 1824, le USS Wildcat avec 31 membres d'équipage, le schooner Lynx avec 40 membres d'équipage et le schooner USS Hornet.
    En 1840, le Rosalie.
    En 1843, le USS Grampus.

     

     De 1850 à 1900 


    En 1866, le Lotta, un trois-mâts suédois.
    En 1868, le Viego, un navire marchand espagnol.
    En 1872, la Mary Celeste. Elle fut retrouvée abandonnée et dérivant aux gré des courants deux ans plus tard entre les Açores et Gibraltar.
    En 1880, l’Atalanta, un navire-école britannique avec ses 290 élèves officiers.
    En 1884, le Miramon, une goélette italienne.

     

     De 1900 à 1950 


    En 1909, le Spray, un navire dirigé par Joshua Slocum, considéré comme le meilleur marin de son temps.
    En 1917, le SS Timandra.  Le navire cargo disparu avec ses 21 membres d’équipage en reliant Norfolk et Buenos Aires avec une cargaison de charbon. Aucun message de détresse envoyé, alors que le navire en était capable. 
    En 1918, le Cyclops, avec 300 marins, disparut sans envoyer de SOS.
    En 1920, le SS Hewitt, ce cargo à vapeur disparut en mer.
    En 1921, le Carroll A. Deering fut Retrouvé échoué près de cap Hatteras en Caroline du Nord. Les 11 membres d'équipage avaient disparu.
    En 1925, le SS Cotopaxi avec 32 marins et le Raifuku Maru, un cargo japonais, disparut après avoir envoyé le message suivant : « Danger like dagger now. Corne quick ! » (« Danger poignard. Au secours. Vite ! »).
    En 1926, le Cargo SS Suduffco avec 29 marins.
    En 1938, l’Anglo Australien avec 38 marins. Son dernier message fut : « Temps idéal. Tout va bien ».
    En 1942, le Surcouf. Ce sous-marin de la marine française a disparu dans les Caraïbes. Il a peut-être été abordé par le cargo Thompson Lykes près du canal de Panama. Les deux navires naviguaient feux éteints pour ne pas se faire repérer par les sous-marins allemands. 
    En 1943, un PBY Catalina, un TBF Avenger, un Four Lockheed PV-1 Ventura et un PB4Y Privateer (avions).
    En 1944, un PBY Catalina, un PB4Y Privateer, un SBD-5 Dauntless et un PBY-5A Catalina (avions).
    En 1945, un B-24 Liberator et un PB4Y Privateer (avions), et l'escadrille 19 : cinq avions torpilleurs Avenger.
    En 1947, un C-54 (avion).
    En 1948, le SS Samkey, le Evelyn K, le Star Tiger, un appareil britannique qui assurait la liaison Açores-Bermudes (dernier message : « Conditions météo excellentes. Arriverons à l’heure prévue »), un Douglas DC-3, faisant la liaison entre Porto Rico et la Floride (dernier message : « Nous approchons de l’aéroport… Nous ne sommes plus qu’à 80 km au sud… Nous apercevons les lumières de Miami… Tout va bien. Attendons les instructions pour l’atterrissage »).
    En 1949, un Tudor IV - Star Ariel(avion).

     

     De 1950 à 2000 


    En 1950, un cargo costaricain avec son équipage de 28 hommes par une mer calme, un Grumman F6F-5 Hellcat et un Grumman F9F-2 Panther (avions).
    En 1955, le Home Sweet Home et le Connemara IV (retrouvé dérivant et abandonné).
    En 1958, le Revonoc.
    En 1961, l’Albatross, un voilier école, sombra subitement au large de la Floride emportant avec lui 6 des 19 membres d’équipage.
    En 1963, le SS Marine Sulphur Queen, un pétrolier de 154 mètres jamais été retrouvé, et le Sno' Boy.
    En 1965, le Enchantress et le El Gato.
    En 1967, le Witchcraft avec 2 marins.
    En 1970, le Milton Latrides.
    En 1971, le El Caribe.
    En 1972, le Anita. Ce cargo allemand (20 000 tonnes) transportant du charbon disparut avec ses 32 membres d'équipage. Au même moment, un navire jumeau (le Norse Variant) disparut. Un survivant retrouvé sur un radeau de sauvetage raconta avoir sombré dans la tempête : les vagues ont déchiré la coque et le navire coula rapidement. 
    En 1975, le Dawn.
    En 1976, le Sylvia L. Ossa. Disparu 220 km à l'Ouest des Bermudes.
    En 1978, le SS Hawarden Bridge, retrouvé abandonné dans les Antilles.
    En 1980, le SS Poet, un grand cargo. Ce cargo disparut brutalement au cours d'un voyage entre les Etats-Unis et l'Egypte.
    En 1995, le Jamanic K. Ce cargo effectuait des liaisons entre les îles des Caraïbes. Il disparut après avoir quitté Cap Haiten.
    En 1999, le Genesis, un cargo avec 40 marins. Celui-ci disparut entre Port d'Espagne et St Vincent. Il transportait 465 tonnes d'eau, et du béton. Il reporta des problèmes techniques, puis le contact radio a été perdu. Malgré de vastes recherches, aucune trace du navire n'a été retrouvée.

     

     Hypothèses 


    Parmi les hypothèses scientifiques, on a souvent invoqué des perturbations magnétiques et des « flatulences océaniques », soit des émissions sous-marines d'un gaz hautement inflammable, le méthane qui diminuent fortement la densité de l’eau jusqu’à provoquer une perte de flottabilité (voir hydrate de méthane). Issue de la décomposition d'éléments organiques comme le pétrole et le charbon, comprimé par la grande profondeur et la température très basse de l'environnement, libéré lors de la création de failles par l'activité tectonique. On trouve d'autres gisements importants en Mer du Nord où certaines plateformes de forage, navires et aéronefs ont été engloutis ou été pulvérisés par le même phénomène.


     Le « mystère » contesté 


    En 1975, le bibliothécaire américain Larry Kusche reprit à la source tous les témoignages sur le sujet. Son livre, The Bermuda Triangle Mystery – Solved, démontre notamment qu'une grande partie des disparitions ont eu lieu à d'autres endroits que dans le triangle des Bermudes, et que les ouvrages sur ce thème colportaient surtout des spéculations, sinon des inventions et des mensonges, pour entretenir le prétendu mystère. Ainsi, la Commission d'enquête de la Marine qui a étudié la disparition des bombardiers en 1945 ne remarque aucun fait inexplicable et n'évoque aucune des transmissions radio rapportées par Charles Berlitz dans son best-seller sur le triangle des Bermudes. Les avions, perdus en mission, auraient en fait été victimes d'une panne de carburant et ne pouvaient plus communiquer en raison de la trop grande distance qui les séparaient de leur base. Quant aux navires disparus, ils auraient été pris dans des tempêtes ou victimes de défauts de fabrication qui les ont amenés à couler sans laisser de trace. Selon Kusche, toutes les disparitions, loin d'être des mystères comme le prétendent certains auteurs, peuvent facilement s'expliquer en fonction des conditions météorologiques, de problèmes techniques ou d'accidents naturels (gaz, coraux, etc.).

     

    Le nombre de disparitions rapporté n’'est pas particulièrement élevé si l'on tient compte des facteurs suivants:

     

    La superficie (près de 4 millions de km2).
    L'importance du trafic maritime dans cette zone.
    L'importance des gisements d'hydrate de méthane et de l'activité tectonique de la région.
    Les conditions météorologiques, chaotiques et imprévisibles sous ces latitudes.
    Plusieurs prétendus naufrages se sont révélés par la suite de simples mystifications. Pour certains, le mystère reste à éclaircir. Pour d’autres, il n’y a pas de mystère, sauf peut-être la propagation de la légende sur la base de faits si minces.

     

    Un documentaire diffusé en 2003 par la chaîne National Geographic ne mentionne pas d’anomalie particulière mesurée dans cette zone, hormis une diminution légère du champ magnétique terrestre. Il rappelle en revanche qu'’on y observe les plus violentes tempêtes du globe, avec parfois des vagues scélérates de huit mètres et plus de haut. En ce qui concerne le vol 19, c’'est l'’hypothèse d’une erreur de navigation de l’'instructeur, formé dans les Keys et ayant confondu la topographie des régions survolées avec celles-ci au point de croire que son compas magnétique était déréglé, qui est retenue comme la plus probable, leurs basses réserves de carburant étant responsables de la perte de l’'escadrille, retrouvée par hasard en 2000.

     

    En 1975, le cabinet d'assurances Lloyd's de Londres indiquait que le triangle des Bermudes n'était pas plus dangereux que d'autres routes maritimes internationales. En 2006, les compagnies d’assurances ne jugent pas utile de majorer leurs primes pour les navires ou avions amenés à traverser cette zone.

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  • LA CONNAISSANCE DE L’AVENIR


    Les tentatives d’explication de la prédiction impliquent des hypothèses quant à l’avenir. La plus fondamentale est que les évènements futurs n’existent pas encore et ne peuvent donc produire des effets dans le présent. A partir de là, on est nécessairement conduit à envisager diverses conceptions de l’avenir, considéré comme une potentialité existant dans le présent.

     

    Sous une forme simpliste, ces conceptions admettent l’analogie de la graine et de la fleur. A la vue de la graine, le jardinier peut prévoir la fleur future. Certaines prémonitions procèdent en effet d’indices qui parviennent à peine à la conscience : un bruit insolite dans une voiture peut susciter la prémonition vérifiée d’un danger. La faiblesse de cette théorie, sous cette forme, est qu’elle exige du prescient une faculté supérieure d’analyse des signaux non seulement imperceptible aux sens ordinaires, mais impossibles à déduire logiquement.

     

    Dans l’environnement d’un rêveur, quels indices peuvent lui inspirer la pré connaissances d’une catastrophe qui aura lieu six mois plus tard ?

    Comment le futur peut être latent, mais connaissable, dans le présent ?

     

    L’hypothèse de Gerhard Dietrich Wasserman, professeur de physique mathématique à l’université de Durham, en Angleterre, est que tous les événements, existent à l’état de schémas mentaux intemporels, auxquels est associée toute particule vivante ou non de l’univers. Cette idée se réfère en partie à la très ancienne croyance selon laquelle l’univers, le macrocosme, renferme d’innombrables microcosmes, dont chacun reproduit les caractéristiques et l’ordonnance du grand tout. L’homme étant un microcosme de la terre, ses vaisseaux correspond aux fleuves et aux rivières, etc.…

     

    A la fin du XVII° siècle, le grand philosophe et mathématicien allemand G. W. Leibniz écrivain :

     

    Les diffèrent catégories d’êtres, dont toutes,dont l’ensemble compose l’univers, ne sont toutes, dans les desseins de Dieu qui connaît leur hiérarchie essentielle, que les ordonnées d’une seul et même courbe, si étroitement liées qu’il serait impossible d’en intercaler d’autres sans introduire le désordre et l’imperfection.

    Par conséquent, les divers ordres d’êtres, animés ou inanimés, sont si graduellement échelonnés dans leurs attributs et propriétés qu’ils forment une chaîne, aux maillons « si étroitement imbriqués qu’il est impossible de… déterminer avec précision le point où le suivant commence ». Dans cette théorie d’une « chaîne d’êtres », l’animer et donc le spirituel, ou spirituel, se trouvent coordonnés à l’inanimé par une graduation d’attributs partagés. Pour Leibniz, il s’ensuivait qu’une personne douée de suffisamment d’intuition « Verrait le futur dans le présent comme dans un miroir »

    En 1965, le mathématicien et physicien Adrian Dobbs, de l’université de Cambridge, proposa une autre version de cette latente cachée de l’avenir dans le présent. Selon lui, à mesure que les événements se déroulent, ils matérialisent un nombre relativement faible de possibilités de changement qui existent au niveau subatomique. En cours de processus surviennent des perturbations qui créent, dans une autre dimension du temps, ce que Dobbs appelle un « front d’onde psitronique » - lequel peut être perçu par les neurones du cerveau, du moins chez certains sujets particulièrement sensibles, et interprété. Une métaphore nous aidera à comprendre : imaginons un étang, d’où on lance un bateau miniature. A l’opposé se tient un très petit personnage : il ne peut voir le bateau, mais seulement les vagues soulevées par la proue et qui parviennent jusqu’à son côté de la rive. En se propageant à travers l’étang, ces vagues, ou ondes, contournent certains objets, herbes, feuilles, bouts de bois, les uns fixes, les autres à la dérive. Ces objets créent dans le front d’ondes des perturbations que le petit personnage remarque dans le moindre détail.

    Ses observations lui permettent non seulement de se former une image de ces objets, mais aussi de calculer le temps qu’il leur faudra pour dériver jusqu’à lui.

    Dans cette métaphore, le bateau représente un événement qui se déroule dans le temps, et son trajet l’une des nombreuses voies qu’il aurait pu suivre et la dimension du temps où il a lieu. L’étang figure une autre dimension du temps, dans laquelle interviennent d’autres facteurs. Le sillage de proue du bateau est le « front d’onde psitronique » de Dobbs, qui reçoit l’onde et la transforme en prédiction.

    Même en admettant que la théorie de Dobbs soit purement spéculative, de même que son « onde psitronique », par quel mécanisme neuronal un observateur pourrait il distinguer le front d’ondes d’un événement particulier du tourbillon de fronts d’ondes suscités par d’autres événements concomitants ? En outre, plus l’événement serait lointain dans l’avenir, plus nombreux seraient les fronts d’ondes et plus inextricable serait encore le problème.

    Telles sont, dans les grandes lignes, certaine des théories qui considèrent que le futur est une potentialité implicitement accessible dans le présent- et telles sont aussi les difficultés qu’elles soulèvent.


    Cet article fait suite à l’article sur « Les dimensions du temps »

     



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    Avril 2008- Mexique : Une créature poilue attaque les moutons à Pustunich

    La mort bizarre de quatre moutons dans un petit ranch de cette communauté a provoqué l’effarement parmi les habitants locaux, parce que certains disent que c’est à cause des “Chupacabras”. Certains habitants affirment avoir vu un “animal poilu faisant presque deux mètres” dans l’obscurité de la nuit.


    Cette situation a interrompu le sommeil habituel du village, surtout celui du propriétaire du ranch, qui a même décidé de ne plus élever d’animaux pour éviter d’attirer l’entité étrange.
    Selon les faits, les morts étranges de quatre moutons survinrent il y a seulement quelques jours sur la propriété de Ligia Couoh, à Calle 27 entre 16h et 18h.
    Les animaux ne montraient pas de signe de persécution, ils ont seulement deux trous profonds dans le cou. Il n’y avait pas même de sang sur le sol. Ce jour-là l’animal s’est agrippé aux trois moutons et a dû se nourrir de leur sang, le quatrième mouton n’avait que des griffures. Cependant, le jour d’après, le dernier animal est mort. C’était mon dernier mouton, et cette créature est revenue la nuit pour le tuer.“
    J’ai appelé la police et un vétérinaire est venu inspecter l’animal. Elle a dit que les trous étaient profonds et étaient faits par des crocs qui sont recourbés, pas droits.”
    Mme Couoh a dit que l’animal qui a tué son mouton doit voler, car elle a vu du sang répandu à plusieurs endroits. “Peut-être que c’est le chupacabra, car mes voisins ont entendu les cris d’animaux étranges la nuit — et les ont vu — puisque mes moutons ont été tué. Ce jour-là j’étais envahi de peur. J’étais paralysé en voyant la façon dont les animaux ont été tué. J’ai vécu ici depuis 47 ans et je n’ai jamais vu ou entendu parler d’animaux morts ainsi.”
    Ligia Couoh dit que plusieurs familles ont vu une entité étrange de deux mètres de haut la nuit, et ils disent qu’elle est comme un ours.
    D’autres habitants à proximité ont dit que des canards et dindes ont aussi été vidé de leur sang.


    http://actualitedeletrange.unblog.fr/

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  • La créature du lac Pepin City, Minnesota

     

    LAKE CITY, Minnesota (WCCO) - Il y a une créature dans le Minnesota, qui est tellement difficile à voir que 50000 $  de récompense est offert pour preuve qu'elle existe. 

     

     Depuis les années 1800, les résidents autour du lac dans le lac Pepin City, racontent qu'ils ont repéré un monstre de mer. Ils l'appellent, Pepie. «C'était très étrange», a déclaré Larry Nielson, qui dit qu'il a vu la mystérieuse créature. " "Nous avons regardé pour un certain temps et nous avons vu pendant environ 15 minutes et ne pouvait pas savoir ce que cela pourrait être." Steve Raymond partage la même histoire. "Maintenant, je suis la troisième personne qui l'a signalé. Je me souviens distinctement de trois protubérances, avec une bosse ressemblant à une tête», se souvient Raymond de son expérience sur le lac Pepin.  La première observation de la créature date d'avril 1871. Un artiste a essayé de montrer ce que le monstre pouvait ressembler, il avait un regard hypnotique avec des yeux rouges. "Donc, on ne sait jamais ce que vous allez voir ici», a déclaré Nielson

     Les plaisanciers ont raconté des histoires d'être attaqué alors que sur l'eau, première audition plusieurs frappe fort sur la coque, suivie par plusieurs violentes-et-vient fluctuations du bateau. Nielson veut que les gens essayent de voir par eux-mêmes parce que ce mystérieux monstre a échappé aux appareils photos depuis plus d'un siècle. Il offre 50000 $ à quiconque apportera une preuve photographique. "L'idée derrière la récompense, c'est de faire en sorte que vous filmiez la créature avec une caméra. Vous pouvez capturez Pepie, mais la pire chose qui va se passer, c'est que vous allez obtenir des photos de quelques-uns des plus beaux paysages au monde», dit Nielson. Cette récompense est également un outil de marketing pour Lake City. Le bureau de tourisme local espère que la chance sera au rendez-vous afin d'obtenir de l'argent pour la région et que les touristes affluent. Nielson et Raymond n'avons pas besoin de plus la preuve de la part du public, car ils sont déjà d'accord sur ce qu'ils ont vu dans le lac.

    La créature du lac Pepin City, Minnesota 

    source de l'info ici !

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  • LES DIMENSIONS DU TEMPS

     

    Pour expliquer le phénomène de prophétie, on invoque souvent la thèse que le temps à plusieurs dimensions : au lieu de se dérouler de façon linéaire, le passé précédant le présent, et le présent précédant le futur, le temps pourrait, dans une autre dimension, être vécu comme simultané, en une coexistence du passé, du présent et du futur.


    La manière la plus aisée de rendre concevable cette notion des dimensions insolites du temps est de se référer aux dimensions familières que sont la longueur, la largeur, et la hauteur. Celles-ci, à leur tour, se conçoivent facilement à partir d’un point géométrique, qui a une localisation dans l’espace, mais nulle étendue. Un point déplacé dans l’espace trace une ligne, dont la seule dimension est la longueur. Une ligne déplacée dans l’espace engendre un plan à deux dimensions : la longueur et la largeur. Un plan déplacé dans l’espace engendre un volume, possédant les trois dimensions de longueur, de largeur et de hauteur. A l’inverse, en partant d’un volume, nous constatons que la coupe transversale d’un cube (à trois dimensions) est un plan (à deux dimensions), que la section d’un plan est une ligne (à une dimension) et que la section d’une ligne est un point, sans dimension. De cela, on peut interférer qu’un corps à trois dimensions est la section transversale d’un corps à quatre dimensions, ou encore qu’un corps à trois dimensions déplacé d’une certaine façon engendre un corps à quatre dimensions.

    Mais de quelle sorte de corps un volume pourrait-il être la section transversale ? Et dans quelle sorte de direction nouvelle pourrait se déplacer un corps à trois dimensions pour engendrer un qui en ait quatre, puisqu’un mouvement en haut ou en bas, en avant ou en arrière, ou d’un côté à l’autre ne saurait produire qu’une figure plus grande, mais non d’une dimension nouvelle ? La réponse est l’élément duré. Car, dès qu’un objet cesse de durer, il cesse d’exister. Au trois dimensions familières doit donc s’ajouter la quatrième dimension de la durée. Un corps ordinaire à trois dimensions devrait donc se considérer comme en possédant quatre, et un corps à trois dimensions serait celui qui n’aurait que la longueur, largeur et hauteur, mais pas la durée. Un tel objet est-il possible ? Oui, mais uniquement de façon hypothétique, de même que le point, la ligne et le plan n’existent pas objectivement. Toute ligne visible a une largeur comme une longueur (et une durée), de même que tout plan visible a une certaine épaisseur en plus de sa longueur et de sa largeur.

    Quel mouvement, donc, doit subir un volume par acquérir quatre dimensions ?

    Nous avons déplacé un plan en hauteur pour obtenir un cube : donc le déplacement d’un cube (hypothétique) dans la dimension du temps devrait engendrer un corps (réel) à quatre dimensions. Que signifie le mouvement dans la dimension du temps ?

    Ce doit être un mouvement dans une direction nouvelle, ni latérale ni verticale. Existe-t-il d’autres sortes de mouvement ? Pour commencer, il y a le mouvement de la rotation de la terre sur elle-même imprime à tout objet terrestre. Ce qui paraît immobile ne l’est donc pas. Et l’on peut dire aussi d’un corps à trois dimensions qu’il est la section transversale, hypothétiquement immobile, d’un corps réel, dont la quatrième dimension, la durée, est inséparable du mouvement que la rotation terrestre imprime à une chose. D’autres mouvements inévitables sont ceux de la terre autour du soleil, du soleil autour du centre de la galaxie, de la galaxie autour de quelque point inconnu. Etant donné que tout corps perceptible est en fait soumis à tous mouvements simultanément, on peut dire que toute chose possède ces dimensions. Comme ces mouvements et les dimensions qu’ils impliquent ne nous sont perceptibles que dans une structure temporelle, nous pouvons les désigner comme des dimensions-temps.

    Si la durée est un des aspects du temps, que peuvent être les autres ? Parmi plusieurs possibilités, citons l’apparition et la disparition, le changement et la récurrence. De toutes ces possibilités, seul la durée est perceptible. Quand nous disons d’une chose qu’elle apparaît ou disparaît, en réalité, nous énonçons le fait que nous remarquons soudain son existence ou sa cessation d’existence. Nous n’avons pas perçu le phénomène intermédiaire d’apparition ou de disparition. De même, nous parlerons de changement, concept formé par la perception d’un ensemble de caractéristiques qui existent, ou cessent d’exister. Nous inférons ainsi, sans les observer, la récurrence du coucher et du lever du soleil, le passage des saisons, la croissance d’un enfant. Et cependant, les choses apparaissent ou disparaissent, changent ou réitèrent. Dans notre esprit, elles sont hypothétiques avec la réalité dans d’autres dimensions du temps, de même que l’hypothétique corps tridimensionnel devient réel (perceptible) dans la dimension du temps appelée durée.

    Si l’accès à de plus hautes dimensions du temps est la propriété d’un corps, il doit être, en théorie du moins, la propriété de tous les corps. On peut supposer que cet accès s’opère au moyen de modes ou de niveaux de conscience paranormaux, dont l’une des manifestations est la prophétie et l’autre le poltergeist.


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