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    Une grande quête nous est proposée ici ! A la recherche de nos origines, d'un savoir perdu, la connaissance universelle... Tout est parti d'une carte avec deux spirales...

     

    ...des lieux ayant pour racine étymologique « lion », symbole du souffle de vie éternelle dans nombre de civilisations mais également symbole démoniaque pour qui s’égare sur les chemins de la connaissance mystique. A l’image de la dualité incarnée par le lion, une double spirale, figure de la vie éternelle et de l’accomplissement de soi, relie ces lieux de France où il nous faudra découvrir à chaque fois une clé.

    Pour nous y aider, il faudra repérer de multiples indices mis en lumière par la représentation de l’animal sacré au sein d’églises, de chapelles, de mégalithes, de dolmens, de menhirs ou encore de puits celtiques. N’hésitez pas à prendre part à cette quête visant à découvrir la nature et l’origine de l’humanité ainsi que les nombreux mystères qui s’y rattachent.

    Laissez vous guider par cette spirale, transition entre l’au-delà et ce monde, entre le monde concret et la réalité spirituelle. Suivez cet escalier de la tour de guet des templiers, et marchez dans leurs pas pour relever le défi.

     

    Tyron & les membres du forum

     

     

     
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  • «Le plateau d’Arthaz est un triangle des Bermudes»

    par Giancarlo Mariani


    Plusieurs accidents d’'avion ont eu lieu ces dernières décennies à deux pas de la frontière genevoise. "Nous allons faire démagnétiser les terrains!" s’est exclamé, mi-figue mi-raisin, Cyril Pellevat. Le maire d’'Arthaz-Pont-Notre-Dame commentait ainsi la dramatique collision de deux avions de tourisme, samedi après-midi. Ce crash, qui a coûté la vie à un jeune pilote genevois de 22 ans et blessé grièvement un autre pilote français de 62 ans, s’ajoute en effet à une inquiétante liste d’accidents. «Il y en a eu cinq en l’espace de vingt ans», constate l’élu de la commune savoyarde de 596 hectares, située à une dizaine de kilomètres de la frontière.

    Cette statistique donne à certains habitants le sentiment de vivre au coeur d’un mini-triangle des Bermudes. «On a vraiment de quoi s’inquiéter. Un Alpha Jet de la Patrouille de France s’est écrasé en 1987, un planeur dans les années 1980, une montgolfière en 2000 et un petit avion il y a trois ans», se souvient Francis. «On ne peut pas le nier, ils ont vraiment la scoumoune», surenchérit un habitué de l’aérodrome d’Annemasse d’où décollent tous les petits appareils.

    «Les anciens disent que si le ciel nous tombe sur la tête, c’est à cause d’ondes telluriques sur le plateau d’Arthaz», chuchote une riveraine. «Rien n’a été prouvé», coupe le maire. «On va attendre les résultats de l’enquête avant d’envisager une rencontre avec la préfecture et les responsables de l’aérodrome pour revoir les couloirs aériens», répond-il à tous ceux qui continuent à colporter les rumeurs.

     http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2012/08/14/collision-d-avions-en-plein-vol-le-trace-particulier-de-l-aerodrome-d-annemasse-pointe-par-le-bureau-d-enquete

    source : 20mn.ch

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    NOS ANCETRES AVAIENT INVENTE AVANT NOUS DES « INVENTIONS » MODERNES<o:p></o:p>

     

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    Elle est belle, l’'histoire officielle des sciences et des techniques ! Tout est simple, tout est explicable rationnellement dans ce que racontent les manuels. Des hymnes de louanges au dieu Progrès. En fait, si l’'on prend le temps de fouiller dans l’'histoire authentique, on s’'aperçoit bien vite que la vérité est difficile à saisir. Il y a encore des énigmes qui ne sont pas près d’être percées. On ne compte plus les inventions prétendument contemporaines qui furent connues il y a des siècles, voire des millénaires. Pourquoi ont-elles disparu ? Mystère. Sans doute est-ce parce que la technologie est parfois plus importante que l’'invention elle-même.<o:p></o:p>

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    Prenons par exemple le cas de James Watt. Après qu'’il eut inventé une machine à vapeur capable d’'entraîner des roues, ses collaborateurs le pressèrent de mettre en service un système de traction à vapeur. Il n’'en fit rien, sachant bien que la traction animale serait supérieure tant qu'’on ne parviendrait pas à fabriquer industriellement des rails. Il fallut qu’'on inventât des laminoirs pour qu’'enfin naisse le chemin de fer. C'’est peut-être pour des raisons semblables que des inventions du passé ont sombré dans l'’oubli. Mais elles ont néanmoins existé. Voici un peu plus de cinq millénaires, les hommes découvrirent l'’usage du cuivre et bien vite, s'’aperçurent qu'’en y ajoutant de l’'étain ils obtenaient du bronze, un alliage plus solide. Puis une quinzaine de siècles avant notre ère, le fer apparut.<o:p></o:p>

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    Progressivement, on sut le rendre plus dur en le transformant en acier et il fallut encore attendre quelques siècles pour apprendre à le tremper. Cela, c’'est en gros, l’'histoire officielle de la métallurgie. Mais l’'histoire réelle est quelque peu différente. Même s’'ils ne savaient pas produire d'’une façon industrielle, nos ancêtres connaissaient des métaux et des alliages beaucoup plus subtils. Et comme on sait, grâce aux vestiges de fours anciens, qu'’ils ne pouvaient dépasser des températures de l’'ordre de 1200 degrés, on est obligé de conclure que c’'est à des procédés alchimiques qu'’ils recouraient. L’'aluminium a envahi la vie courante. On la trouve partout, des cuisines jusqu’'aux engins spatiaux. Or, sa métallurgie est relativement récente. Il est extrait de l’alumine, la base de toutes les terres argileuses. C’'est donc le métal le plus répandu à la surface du globe et, pourtant, il était encore ignoré au début du XIXe siècle.<o:p></o:p>

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    DU BRONZE D’'ALUMINIUM IL Y A 1700 ANS<o:p></o:p>

     

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    Vers 1807, Sir Humphrey Davy, célèbre chimiste et physicien anglais, inventeur de la lampe de mineur qui porte son nom, découvrit le potassium et le sodium, puis soupçonne l’'existence de l'’aluminium sans pouvoir l’'isoler. Cinquante ans encore furent nécessaires pour qu’'on l’'obtienne grâce à une méthode chimique assez rudimentaire. Ce n’'est qu’'après la découverte de l’'électrométallurgie et surtout du procédé électrolytique de Paul-Louis Héroult, en 1865, qu’'on put enfin le produire d’'une manière industrielle. Quant au bronze d’'aluminium, alliage d’'aluminium et de cuivre, il est encore plus récent puisqu’'il a été inventé par Henri Sainte-Claire-Deville dans les années 1890. Or, il faut réviser complètement ces notions historiques que l’'on enseigne encore dans tous les instituts de métallurgie : les Chinois connaissaient le bronze d’'aluminium dès le IIIe siècle de l’ère chrétienne ! C'’est vers la fin des années 50 que l’'archéologue Yan Hang  fit dans un champ funéraire de la province de Kouang-Sou  une surprenante trouvaille. Dans la tombe du seigneur de la guerre Chu Chu, contemporain des empereurs T’sin, il trouve une ceinture funéraire ornée de plaques ajourées dans un métal qu’il ne put pas identifier tout d’'abord. Ces objets furent envoyés à des fins d’'expertise à l'’institut de physique appliquée de l'’académie des sciences qui les soumirent à une analyse spectrale.<o:p></o:p>

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    Et là, il fallut se rendre à l’'évidence : ces ornements étaient ciselés dans un alliage comprenant 85 % d’'aluminium, 10% de cuivre et 5% de manganèse. Bien sûr, la métallurgie du cuivre et du bronze existait dans l’'antiquité. Mais, pour réaliser ce bronze d’'aluminium, ramollir le cuivre ne suffisait pas, il fallait encore le porter à  un état proche de l’'ébullition, c'est-à-dire 2300°. A l'’époque où vivait Chu Chu, les maîtres de l'’alchimie chinoise comme Cho Tu-po, Ko-Houng et surtout Wai Po-yang, auteur du traité fondamental, le Ts’an-t’ong K’l, cherchaient plus le « cinabre intérieur », c’est-à-dire l’'immortalité, que le « cinabre extérieur », correspondant à la simple transmutation des métaux. Mais les prédécesseurs de l’'époque des « royaumes combattants » étaient passés maîtres dans l’'art de la forge alchimique. Il suffit de voir dans les musées les étonnants miroirs divinatoires de bronze pour s’'en rendre compte. Sans doute ont-ils aussi maîtrisé la métallurgie de l’'aluminium, secret qui s’'est perdu pendant seize siècles. Changeons d'’époque et de siècle. La lecture de vieux papyrus égyptiens nous enseigne que les prêtres d’'Hermès Trismégiste savaient tremper le cuivre. Fort bien, mais au XXIe siècle, nous ignorons encore cette technique et notre cuivre reste flexible. Deux siècles avant notre ère, le roi Euthymène, grand rival d’'Antiochus de Syrie, régnait sur la Bactriane, l’'actuel Turkestan. Les pièces de monnaie qu’'il fit frapper intriguèrent les archéologues par leur aspect. Une analyse chimique a révélé qu’elles contenaient du nickel, comme la nôtre, mais, nous n’'avons maîtrisé la métallurgie du nickel que depuis peu. Enfin, dans « le matin des magiciens » Louis Pauwels et Jacques Bergier rapportent la découverte par l'’anthropologue J. Alden Mason sur l’'Attiplano péruvien d’'ornements en platine fondu, métal dont le point de fusion est de 1730°.<o:p></o:p>

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    Qu’'était donc l'’orichalque des Anciens ? Nul ne le sait avec précision. Chez les Grecs, ce mot désignait tantôt le cuivre pur, tantôt le laiton ou l’'airain (bronze). Mais il y avait d'’autres mots pour désigner ces métaux, alors pourquoi se servir de cet orichalque dont l’'étymologie, « airain de montagne », ne veut rien dire d’'explicite ? N’'aurait-ce pas été, ainsi que prétend une vieille légende, le métal des Atlantes, sans doute oxydable puisqu'’il n’'est pas parvenu jusqu'’à nous. Les Anciens avaient remarqué que si l’'on frottait de l’'ambre sur de la laine cette matière attirait les petits objets. C’'est dû tout simplement à un phénomène d’'électricité statique et c’'est pourquoi l’'électricité tire son nom de l’'ambre, qui se dit elektron en grec. La connaissance des phénomènes électriques est en somme toute récente. La première pile fut inventée dit-on, par Volta en 1800. Elle était constituée par des piles (d'’où sont appellation) de disques de cuivre et de zinc isolés les uns des autres par des rondelles de drap trempées dans l’'eau acidulée. Le musée de la compagnie General Electrique, aux Etats-Unis, renferme une pile qui, lorsqu’'on y ajoute de l’'eau acidulée, produit un courant électrique suffisant pour argenter de petits objets par galvanoplastie. Opération toute simple, croyez-vous. Oui, mais cette pile se présente sous la forme d'’un vase de terre cuite contenant des cylindres de cuivre et des barreaux de fer isolés par de l’'asphalte. Elle a été construite aux environs de III° siècle de notre ère et découverte en 1936 par l’'archéologue Wilhelm Koenig en Irak, en effectuant des fouilles près de Khujut Rabua, sur le site abritant une ancienne communauté de mages persans.

     

     

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    Sous le règne de Philippe le Bel vivait à Paris un cabaliste juif du nom de Rabbi Ye’hiel.

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    Lorsque les persécutions obligèrent ses co-religionnaires à prendre la route de l’'exil, lui seul put rester à Paris par dérogation royale. On voyait chez Ye’hiel un clou fiché dans un mur de son laboratoire et relié par un fil a un marteau de la porte d’'entrée. Quand des visiteurs mal intentionnés frappaient à sa porte, il touchait le clou et, aussitôt, tous ceux qui avaient le malheur d’'être en contact avec le marteau recevaient une violente décharge capable de les jeter à terre. En outre, Ye’hiel avait chez lui un flacon de cristal qui émettait une vive lueur et lui permettait de s’'éclairer la nuit. Il l’'aurait même montré au roi, lit-on dans de vieilles chroniques. Le cabaliste possédait-il les secrets de l’'électricité ? Certainement, sinon comment expliquer ces étranges phénomènes.<o:p></o:p>

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    Est-il exclu d'’imaginer que certains hommes préhistoriques ont été à même de découvrir l’'énergie nucléaire ? Cela semble une galéjade, mais pourtant il existe des piles atomiques naturelles transformant l’'uranium 238 en uranium 235, cet isotope qui permet le déclenchement des réactions atomiques. En prospectant des gisements uranifères de la région d’'Oklo, au Gabon, des géologues se sont en effet aperçus que l'’un d’entre eux contenait en très grandes proportions cet uranium 235, ce qui allait à l’'encontre de toutes les théories scientifiques. Les spécialistes estiment que cette mine est vieille d’'un million d’'années. Et peut-être davantage, antérieurement même à l’'apparition de l’'homme sur la Terre. Est-ce vraiment un phénomène naturel ou peut-on penser que des voyageurs venus d’'une autre planète, ayant besoin du précieux isotope, ont déclenché le processus d’'enrichissement, tout comme nos techniciens  en blouse blanche de Fontenay-aux-Roses n’ont su le faire qu'’en 1948, année de « divergence » » de la pile Zoé ?<o:p></o:p>

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    L'’ARCHE D'’ALLIANCE UN CONDENSATEUR D’'ENERGIE ?<o:p></o:p>

     

     

    Cette petite Zoé, aujourd’hui bien dépassée, n’a-t-elle pas eu un ancêtre dans l’Arche d’Alliance, le coffre sacré dont Jéhovah aurait dicté le plan à Moïse sur le mont Sinaï ?

     

     

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    Citons in extenso la partie de l'’Exode qui fait mention, cela vaut la peine : « Tu feras, en bois d’'acacia, une arche longue de deux coudées et demie, et même largeur et hauteur. Tu la plaqueras d'’or à l'’extérieur et à l'’intérieur, et tu garniras son pourtour d’'une moulure d’'or. Tu fonderas, pour l'’arche, quatre anneaux d'’or et tu les fixeras à ses quatre pieds. Tu feras aussi des bornes en bois d’'acacia que tu revêtiras d’'or et tu engageras dans les anneaux fixés sur les côtés ces barres qui serviront à son transport. Les barres resteront dans les anneaux de l'’arche et n’'en seront point ôtées. Tu feras aussi un couvercle d’'or pur. Tu façonneras au marteau deux chérubins d’'or aux deux extrémités du couvercle, de façon qu’'ils fassent corps avec lui. Ils auront les ailes déployées vers le haut… » Et Jéhovah ajoute, mais nous reviendrons là-dessus : « Tu déposeras dans l’'arche le témoignage que je donnerai. »

     

     

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    Nulle part, dans les religions antiques, y compris dans les rites hébraïques antérieurs à la sortie d’'Egypte, on ne trouve de tels objets liturgiques. Il s'’agit donc de quelques choses de totalement inédit dans l’'histoire. La nature des parois : sandwich de substance résineuse (le bois d'’acacia) entre deux plaques de métal bon conducteur (l’'or pur) correspond parfaitement à un appareil électrique, un condensateur en l’'occurrence. Les indices abondent : les barres de bois nécessaires pour porter l’'arche, le choc frappant ceux qui touchaient l’'arche ainsi que le rapporte la Bible, les chérubins aux ailes déployées pouvant faire office d'’antennes. Serait-ce un condensateur d’'électricité statique ou un capteur d’'électricité atmosphérique ? Dans ce dernier cas, Moïse, héritier des secrets des prêtres égyptiens, aurait connu le secret de la conservation de l’'énergie électrique, ce que nous ignorons encore.

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    Mais qu’'est-ce-que ce fameux « témoignage » de Jéhovah ? S’'il s’'agissait réellement des Tables de la Loi, comme on le dit, pourquoi attendre que l’'arche soit construite avant de les donner à Moïse ? Parce qu’'il y a danger à s’'en approcher avant qu'’il soit enfermé dans son abri, Rappelons que Moïse institua un corps sacerdotal particulier, les lévites, chargés de la garde de l’'arche, ils ne restaient jamais longtemps près du vaisseau sacré, se relayant sans cesse et quittant Jérusalem pour la campagne après chaque tour de garde. A l'’âge de cinquante ans, ils prenaient leur retraite, fait unique dans les annales de l'’époque. La garde de l'’arche était donc dangereuse ? Auquel cas, la seule explication possible, c’'est qu’'il s’'agissait en réalité d'’un réacteur atomique dont Moïse aurait volé le secret aux Egyptiens, d'’où l’'ardeur mise par les armées du Pharaon à se lancer à sa poursuite. Et le « témoignage » de Jéhovah ne serait que le noyau radioactif permettant de déclencher la réaction. Cela expliquerait également les étranges malaises de ceux qui ne prenaient pas de précaution. Au temps du grand prêtre Héli, les Philistins s’'en emparèrent pendant quelques jours et furent atteints, dit la Bible, d’'hémorroïdes. Selon Louis Charpentier, se serait une erreur de traduction et il faudrait lire hémophilie ou leucémie, maladie due au rayonnement. Le roi Salomon redoubla même de précautions puisqu’'il interdit au grand prêtre de s'’en approcher plus d'’une fois par an.<o:p></o:p>

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    C’est peut-être aussi une erreur de traduction qui a fait prendre pour de l’or le plomb plus apte à protéger de la radioactivité.<o:p></o:p>

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    A quoi servait cette pile atomique ? On sait que les Hébreux l’'emportaient dans leurs expéditions militaires, mais rien ne prouve que c’'était en tant qu’'arme. Il est possible que cet appareillage réalisant la désintégration de la matière et la transformation isotopique ait été considéré uniquement comme le symbole du grand œuvre, des secrets de l’'alchimie. Exactement comme les appareils électriques du XVIIIe siècle qui n’'avaient pas d'’usage pratique et ne servaient qu’'à satisfaire la curiosité des habitués des cabinets d’'amateurs. Qu’'est donc devenue cette arche énigmatique. C’'est pour elle que Salomon fit construire par Hiram, l’'ancêtre de la franc-maçonnerie, le temple de Jérusalem où elle était conservée dans le saint des saints. On en perd la trace à partir du sac de la ville par Nabuchodonosor, mais il est certain qu’elle ne figurait pas dans le butin des Babyloniens. En 1118, neufs chevaliers, parmi lesquels Hugues de Payns, se rendirent à Jérusalem, avec l'’accord du pape et de l’'abbé de Cîteaux, sinon sur leur ordre.<o:p></o:p>

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    Après un entretien secret avec Baudoin II, roi de Jérusalem, ils reçurent l’'autorisation de s'’installer dans les ruines du temple et n’'en sortirent pas avant longtemps, s’'y livrant à de mystérieuses besognes. Ces chevaliers furent les fondateurs de l’'Ordre du Temple, dont Hugues de Payns fut le premier grand maître, leur mission était-elle de retrouver l’'arche dont on connaissait en haut lieu le secret ? Certains historiens, dont Louis Charpentier, déjà cité, semblent le croire. Selon d’'autres théories, c’'est l’'arche qui serait le vrai Graal et non le vase dans lequel Joseph d’Arimatie bu le sang du Christ. C'’est elle que les chevaliers de la table ronde ont recherchée en vain. Au début du XVIIe siècle, les Rose+Croix – les vrais  prétendaient disposer d’'une arme capable de raser des villes entières qu'’ils appelaient le « cosmolotthrentes ». Est-ce qu’il s’'agissait d’une bombe A dont la fabrication aurait été rendue possible grâce à l'’arche ? Si l’'on croit une autre thèse l’'arche aurait été sauvée par les gnostiques et transmise par eux aux cathares, dont elle aurait constitué le « secret » tant cherché. En 1972 lors de mes propres recherches, j’'ai été amené à passer la nuit dans les ruines du vieux château, (a cette époque l'’accès au château ne posait pas de problème) dans l’'attente des premiers rayons du soleil du solstice d’été. La clarté lunaire baignait les vénérables parois de pierre, mais certaines lueurs paraissaient anormales, comme si elles étaient dues à une phosphorescence. Je pris d’'abord cela pour une illusion d’'optique et, de toute façon, je n’'avais pas de compteur Geiger qui m’'aurait permis de déceler une trace de radioactivité, même légère. Le lendemain matin, en inspectant le sol de la salle basse du Donjon, je découvre quatre trous cylindriques disposés en carré d’environ deux coudées et demie de coté. (Ils sont peut-être encore existants en 2008 ?)

     

     

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    A quoi servaient-ils ? Aucun spécialiste d'’architecture médiévale n’'a pu me le dire. Etait-ce le réceptacle des pieds de l’'arche ? Rien ne me permet de l’affirmer, mais qui sait ?

     

    Bien d’'autres secrets sont perdus à jamais. De quelle nature était la « pierre magique » des anciens Vikings ? A l’'étude des Sagas, il se pourrait que ce soit un générateur de lumière polarisée. Il est également possible que les Egyptiens connaissaient un procédé pour émettre de la lumière monochromatique, c'est-à-dire un faisceau laser. Dans ce cas, ils auraient été parfaitement capables de faire des hologrammes, de projections d'’images virtuelles en relief.<o:p></o:p>

     

    LE LASER D’'ARCHIMEDE<o:p></o:p>

     

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    Archimède se flattait de pouvoir brûler une flotte ennemie assiégeant Syracuse en concentrant sur elle les rayons du soleil à l’'aide de miroirs. N’'est-ce pas plutôt encore d’'un vrai laser qu'il s’'agit ? Cessons d’'énumérer toutes les inventions disparues, le feu grégeois qui n'’était certainement pas fait seulement de poix et de naphte, les calculatrices précolombiennes dont il ne reste que les « quipos », la tête parlante du pape Sylvestre, le globe volant muni d'’une hélice horizontale que l’'on voit sur une peinture ancienne du musée de Chantilly, les milliers de procédés de techniques et de tours de main oubliés. La place me manque pour cela. Regrettons cependant que certaines inventions n’'aient pas été photographiées. Au Ve siècle, cela aurait été possible, puisque, bien que l’'histoire officielle fasse remonter l'’invention de la photo aux travaux de Niepce et de Daguerre, il existe dans un monastère du mont Athos un parchemin établissant qu’'au Ve siècle un moine du nom de Panselinos n’'en ignorait rien. Il introduisait dans une sphère creuse munie d’'une lentille de verre des plaques de cuivre exposées à des vapeurs chimiques et révélées à l'’aide de mercure. C’'est-à-dire exactement comme en Daguerrotypie. En 1923, le Suisse Rudolf Steiner fonda sa propre secte après avoir rompu violemment avec la théosophie dont il avait été l’'un des plus importants disciples. Pour lui, il y avait deux mondes, correspondant aux deux magies, la noire et la blanche. L'’initiation à cette dernière permettait de connaître les secrets de l’'univers. C'’est une thèse banale, mais, au lieu de se consacrer à des pratiques magiques tout aussi banales, Steiner s'’en servit pour découvrir ou retrouver des secrets perdus. C’'est à lui que l’'on doit entre autres les engrais permettant de faire de l’'agriculture biologique et, en médecine, le recours aux oligo-éléments métalliques comme agents thérapeutiques. On est en droit de se demander s'’il existe de vraies inventions. Inventer, c’'est peut-être se souvenir. Par la magie, la tradition du grand oeuvre ou, inconsciemment, ce que les savants appellent l’'intuition.

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    Se souvenir du passé ou du futur ?<o:p></o:p>

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    Si le temps n'’était pas cette succession d'’instants, comme l’'affirment les physiciens, s'’ils connaissaient des sinuosités, des contours, des « plis », se souvenir du futur ne serait pas une utopie réservée aux seuls auteurs de sciences-fictions.<o:p></o:p>

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    Sources : Recherches personnelles de mes 50 ans sur le terrain<o:p></o:p>

    Et l'’aide de Jean-Luc BERAULT !

     

     

    claude burkel
     

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    <o:p>La taverne de l'étrange- 9 novembre 2008</o:p>

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    un témoignage bouleversant, celui de Picu Aymaran...

     

    Les annales médicales nous apprennent qu’'il n’'est pas rare qu'’un malade, ayant été déclaré mort par la faculté, revienne à la vie pour une période plus ou moins longue.Ces résurrections sont particulièrement dramatiques lorsqu’'elles ont lieu au moment où la famille procède à la mise en terre du défunt. Ce genre d’événement est plus fréquent qu’'on ne le croit. Au cours de mes recherches, dans mes archives, il y a eu trois cas semblables, rien qu’en France.

     

    On a surtout parlé de celui d’'un paysan de la Nièvre qui ne dut son salut qu'’à un retard dans la cérémonie d'’inhumation. Après avoir été ramené d'’urgence à l’'hôpital, le vieillard regagna sa famille, pour la quitter, pour de bon cette fois, quelques semaines plus tard. Mais l’'aventure la plus extraordinaire qu'’il nous ait été donné de connaître est celle d’'une Bolivienne de 52 ans,  Picu Aymaran qui, restée « morte » pendant cinq longs jours, revint parmi les vivants auxquels elle a raconté sa fantastique visite au paradis.  – Je sais que j’'ai réellement été morte pendant tout ce temps, a-t-elle déclaré. Les expériences que j’'ai connues, les sensations que j’'ai éprouvées, les spectacles dont j’'ai été témoin ne peuvent s’'expliquer que d’'une seule façon :


    mon âme avait quitté mon corps et suivi le chemin qui mène au paradis.

     

    Et devant les quelques personnes incrédules qui l'’écoutent, Picu Aymaran fait le récit suivant :


    D’abord, je dois vous dire que ces jours ne m’'ont pas paru aussi longs. Ma notion du temps était bien différente. J’'ai eu l’impression qu'’il ne se déroulait que quelques heures entre le moment où j’'ai quitté mon corps pour m’'aventurer dans l’'astral, puis dans les plans supérieurs et celui où j’'ai enfin réintégré mon enveloppe charnelle. « Mort », puisqu'’il faut bien l’'appeler ainsi, n’'a pas à proprement parler été une expérience désagréable. J’'ai simplement eu la sensation de glisser dans un autre niveau de conscience. Je n'’ai vraiment ressenti de douleur qu’'au moment où je suis vraiment détachée de mon corps. Je sais que plusieurs heures avaient dû s’'écouler, puisque, étant restée dans la chambre, j’'avais pu voir les médecins s’'agiter autour de moi. Ensuite s’'agiter autour de moi. Ensuite, les infirmières avaient fait ma toilette et ma famille était venue : d’abord mon mari, puis mes filles, enfin mes parents éloignés. Je savais que cela avait duré davantage que quelques minutes.

     

    SUSPENDUE DANS L'’AIR

     

    Le plus curieux était de me retrouver suspendue dans l’'air et contempler, trois mètres plus bas, mon corps inerte, le mien. Et tous ces gens qui s'’agitaient autour de mon lit avec lesquels je ne pouvais plus communiquer. Je souffrais surtout de voir pleurer mon mari et mes filles. J’'avais envie de descendre vers eux, de leur crier. Mais non, je ne suis pas morte, je suis encore près de vous, je vous aime toujours, mais je savais que cela m’'était impossible. Enfin, le dernier lien se rompit et je sentis que je m'’élevais. Je planais quelques instants au-dessus de l'’hôpital, puis j’'entrai vraiment dans un autre plan astral. C’'était très étrange. Je me trouvais parmi de curieuses créatures immatérielles qui flottaient dans l’'éther autour de moi. A mesure que je montais, ces créatures se faisaient de plus en plus nombreuses. Je commençais aussi à percevoir des plaintes, des gémissements, semblables à ceux qu’on attribue aux fantômes. Dans le lointain, j’'entendais une musique indéfinissable. Enfin, j’'arrivai au pied d’un bel escalier dont l’'extrémité se perdait dans ce qui me sembla être des nuages. De chaque coté de l’'escalier, des êtres divinement beaux me regardaient monter. Je grimpai l’'escalier sans effort, irrésistiblement attirée vers le haut, comme si j’'avais pris place sur de ces « escalators ». En approchant de la dernière marche, j’'entendais de plus en plus distinctement les accents d’'une merveilleuse mélodie. Et soudain, devant moi, se présentèrent les Portes du Paradis. Des portes immenses, majestueuses et dorées qui s’'ouvrirent pour me laisser le passage. A l'’intérieur, tout n’'était que calme et beauté. Le paradis n'’est pas un endroit ennuyeux. Il y a des paysages inouïs, aux couleurs fantastiques, qui n’'existent pas sur terre. Il y a des rivières qui coulent, des montagnes qui s’'élancent à l’'horizon à l'’horizon, des prairies à l'’herbe tendre...

    Mais tout cela est mille fois plus beau que tout ce qui peut exister sur terre. Dans ce lieu, on n'’a aucun désir, sinon celui d’'y rester pour l’'éternité. Car c’'est la satisfaction de tous les sens (car ils subsistent, même après la perte du corps charnel). C’est la satisfaction totale, cet état que les philosophes appellent l’'extase. Dans l’'air, une musique d'’une grande douceur flotte en permanence. Je me souviens aussi d’'une odeur, d’'un parfum comme les terriens n'’en auront jamais tant il est exquis. J’'ai vu la Gloire du Seigneur et je me suis approchée de Lui, heureusement de passer dans cet endroit ma vie éternelle. C'’est à ce moment que j’'ai entendu une voix m’'enjoignant de retourner sur terre. J’'ai compris qu’'il fallait que j’'obéisse et, malgré mon regret, j’'ai dû refaire en sens inverse le chemin que j’'avais déjà suivi.

     

    DE RETOUR SUR TERRE

     

    Lorsque j’'ai été de retour sur terre, je me suis rendue compte que mon corps ne se trouvait plus sur le lit d’'hôpital où je l’'avais quitté. J’'ai du le chercher. Heureusement que, dans l’'état où j’'étais, les distances ne comptent pas. J’'ai finalement retrouvé mon enveloppe charnelle au cimetière, au moment où le prêtre aspergeait mon cercueil d’'eau bénite et où le fossoyeur s’'apprêtait à jeter dessus la première pelletée de terre. C'’est alors que j’'ai hurlée dans mon cercueil, ce fut la panique totale évidemment, je ne raconte pas la suite…


    Ce récit de Mme Picu Aymaran, qui reprit ses activités d'’institutrice dans la cité de Chaobomba, où elle réside, a suffisamment impressionné les autorités religieuses pour que celles-ci décident de faire une enquête sur son cas. Pendant plusieurs jours, plusieurs prêtres se sont entretenus longuement avec elle, lui posant des questions très précises, lui faisant reprendre certains passages de son histoire. Ils en ont noté soigneusement les réponses, les ont même enregistrées, et n’'ont négligé aucun détail. Il existe une possibilité, a confié un homme d’'église, pour que Mme Aymaran soit réellement montée jusqu’'au Paradis et en soit ensuite redescendue, il y a eu un miracle (Cela me semble trop facile à dire ?) Les autorités médicales sont plus circonspectes. Mais pour elles, il subsiste un grand mystère. Mme Aymaran était cliniquement morte au moment où elle a quitté l'’hôpital. Ce fait est attesté par deux médecins différents. Il n’'a pas été effectué d’'électro-encéphalogramme ? Mais le cœoeur ne battait plus et il aurait fallu un miracle pour le remettre en marche. Or, ce miracle s’'est bien produit, mais au bout de cinq jours. C’'est-à-dire longtemps après que toutes les fonctions vitales aient été normalement arrêtées. 

    UN ETAT D’'HIBERNATION

     C’'est pourquoi le cas de Mme Aymaran pose aujourd'’hui encore une grande énigme, aussi bien à la science qu'’à la théologie. Dieu, (ou un extraterrestre supérieur) lui a-t-il ordonné de revenir sur terre pour annoncer aux hommes de ne pas craindre la mort ? Et avoir gardé le corps en état par de moyen inconnus de notre civilisation. Ou bien s'’est-elle tout simplement trouvée, pendant cinq jours, dans une sorte d'’état d’'hibernation ressemblant à la mort (un état que certaines drogues peuvent produire) et pendant lequel elle à rêvé son étrange voyage ? Nous ne connaitrons la réponse à cette question, que lorsque nous mêmes auront franchi la dernière frontière.


    Sources : Recherches sur les mystères de la mort de Franck BROWN ; Collection  J’AI LU (1974)

    Aura2

     

    La taverne de l'étrange- 6 novembre 2008

     


     

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  • Les restes de Steve Fosset identifiés...

     Les ossements retrouvés non loin de l'épave de l'avion de Steve Fossett sont bien ceux du milliardaire, selon les résultats d'analyse ADN rendus publics lundi par la police.

     

    Ils avaient été découverts avec des effets personnels.

    Les restes de Steve Fosset identifiés...

    "Le shérif (du comté de Madera) John Anderson a reçu des résultats concluants des analyses ADN de deux os retrouvés à environ 800 mètres à l'est du site de l'accident d'avion de Steve Fossett", selon un communiqué des services du shérif du comté. "Un laboratoire chargé des affaires criminelles du département de la Justice de Californie a déterminé que l'ADN contenu dans ces éléments découverts le mois dernier correspondait avec l'ADN de Steve Fossett", selon la même source. Ces os avaient été retrouvés à environ 800 mètres de l'endroit où les débris de l'appareil ont été découverts le 1er octobre. L'appareil, un Bellanca 8KCAB (N240R), était porté disparu depuis le 3 septembre 2007. Steve Fossett avait décollé ce jour-là de la piste de son ranch dans la localité de Yerington dans le Nevada (ouest). Il n'avait pas déposé de plan de vol et n'est pas revenu au bout des trois heures prévues. Après un mois de recherches intensives en 2007, les autorités du Nevada avaient suspendu les opérations de secours et en février 2008, un juge de Chicago avait reconnu officiellement le décès du milliardaire, âgé de 63 ans.


    source : 20minutes.ch

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