• Bonjour à toutes et tous !

    J'ai reçu ce matin ces dessins d'une personne me disant les avoir obtenus par médiumnité. J'aimerai savoir si quelqu'un d'entre-vous à déjà vécu une expérience semblable. Aussi je serai ravi de pouvoir en publier d'autres ici dans cette rubrique. Voilà donc les quatre esquisses ci-dessous :


     
    Voir taille réelle

     

     
     
     

      
     

     
     

     
    Je les trouve magnifique et en y regardant de plus près certaines "formes ou visages" apparaissent, même en les retournant dans divers sens... Ceux-ci ont été donné en exclusivité par son auteur à la taverne de l'étrange. Si vous voulez en savoir plus sur l'auteur, faites le moi savoir !
     
    Tyron

     

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  • Pyramide: Visoko (Bosnien-Herzegowina) 1954

    Des pyramides bâties par une civilisation inconnue auraient été découvertes à Visoko, au nord de Sarajevo. Les touristes affluent. Une manne inespérée pour cette région pauvre.

    Lorsqu'en avril 2005, le musée de Visoko, à 30 kilomètres au nord de Sarajevo, contacte Semir Osmanagic, un Bosniaque qui a étudié les Mayas, c'est pour parler des restes d'une civilisation illyrienne disparue. Personne n'imagine que l'on va bientôt parler de pyramides bâties par une civilisation inconnue.  Très vite, Semir Osmanagic pense que la montagne qui domine la bourgade est une pyramide. Sa forme, en cône parfait, tend vers cette hypothèse. Les fouilles qu'il entreprend en 2006 sont concluantes. 
     

    Après plusieurs mois de recherche géologique et archéologique, Semir Osmanagic a conclu que sous la colline de Visocica se cache une pyramide, datant d'environ 12.000 ans. Semir Osmanagic, qui a intensivement fait des recherches sur des pyramides en Amériques, en Asie et en Afrique pendant 15 années, a écrit plusieurs livres sur le sujet. Il dit qu'il est tout à fait sûr d'avoir trouvé la première pyramide en Europe, et que celle-ci est tout à fait semblable à celles d'Amérique méridionale.
     

    secretebase.free.fr/civilisations/ruines/bosnia/bosnia.htm

     

     

    La taverne de l'étrange- 12 décembre 2008

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  •    Le Grand Chaman Zoulou et Ancien
    CREDO MUTWA
    Sur les Enlèvements par les Extraterrestres et les Reptiliens

    Une Rare & Etonnante Conversation...
    30/09/99 par Rick Martin

    Traduction : Daniel Maury

     

    Les abductions par des Extraterrestres...


     

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    L'HOMME DE FLORES

    L'« Homme de Flores » ou Homo floresiensis est une espèce supposée d'hominidé disparu mesurant environ un mètre et dont le premier squelette fossile a été découvert en septembre 2003, dans une grotte de l'île indonésienne de Flores. Sa qualification d'espèce à part entière fait débat.

    L'Homme de Flores a été découvert par une équipe de paléontologues dirigée par Michaël Morwood (University of New England, à Armidale en Australie) et Radien P. Soejono (Centre indonésien pour l'archéologie de Djakarta). Ils ont fourni un moulage du crâne à Peter Brown qui a pu étudier le squelette sur une période de trois mois. Les premiers résultats ont été publiés dans deux articles de Nature le 28 octobre 2004.

    Les caractères anatomiques d’Homo floresiensis indiquent qu'il pourrait descendre directement d'Homo habilis ou d'Homo erectus, mais c'est moins probable étant donné sa gracilité. Cette découverte a suivi l'annonce de la mise au jour d'outillage lithique acheuléen sur la même île, datant d'environ 800 000 ans et montrant que , contrairement aux hypothèses généralement retenues auparavant, des représentants du genre Homo avaient pu atteindre la Wallacea et au-delà l'Australasie ou l'Océanie proche. La surprise est venue de la datation qui semble indiquer que cette espèce peuplait encore la région de la Wallacea il y a seulement 18 000 ans alors que l'Homo sapiens avait déjà colonisé le reste de la planète dont Flores. Une famille complète d'Homo floresiensis, dont la description est donnée dans la revue Nature le 13 octobre 2005, confirme ces hypothèses.

    Les chercheurs ont baptisé cette nouvelle espèce Homo floresiensis. Sa petite taille peut s'expliquer par l'isolement géographique et l'endogamie. Dans certains ouvrages ou sites de vulgarisation, cette petite taille a valu à l'espèce le surnom de Hobbit, en référence aux romans de J.R.R.Tolkien.

    fr.wikipedia.org/wiki/Homme_de_Flores

     

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  • GEOMETRIE ET MYSTERES DES CHAPELLES MARIALES

     
                                                           
                                             DERRIERE L’ORTHOGEOMETRIE …
                                                           
    Eh oui, il y a bien DES mystères des chapelles mariales. Ce pluriel n’est pas usurpé. Cependant, il n’est pas question ici des oratoires, églises, chapelles, érigés par la population sur sa propre décision, suite à une apparition mariale, mais sans que la Sainte Vierge en ait suggéré l’idée.
    Il convient de préciser que ces chapelles sont uniquement celles demandées expressément par la Sainte Vierge, quelquefois en utilisant des mesures de coercition, lorsqu’elle n’obtenait pas assez vite satisfaction. Vous en conviendrez, c’est déjà là un premier mystère ; pour la Mère du Christ, tout amour en principe, curieuse méthode que de rendre aveugle la voyante ou le curé réfractaire, de laisser la peste s’étendre, ou de faire tomber d’un figuier le pauvre Benedetto da Pareto, sur le mont Figogna à gênes en 1490, mourant, pour le guérir dans la nuit afin qu’il accomplisse la mission qui lui a été confiée, même si elle paraît au-dessus de ses moyens.
     
    Pour agir de manière aussi brutale et dictatoriale, il faut que le motif soit puissant, et dépassant sans doute notre petit entendement de terriens. En me basant sur les livres des spécialistes que sont Joachim Bouflet et Yves Chiron, j’ai pu recenser 43 chapelles à travers le monde. Si ce chiffre ne se prétend pas être exhaustif, il est probablement très proche de la vérité.
     
    Première constatation : c’est très peu par rapport aux milliers de visites de la Noble Dame sur plusieurs centaines de sites durant de nombreux siècles.
    L’explication qui vient à l’esprit est que la Sainte Vierge répartit ses efforts sur trois postes différents ; le prosélytisme religieux, demandant des prières, plus de respect pour le dimanche et les jours saints ; les guérisons (Pellevoisin, Philippsdorf) et les protections en général (apparitions guerrières ). Et enfin, les demandes de chapelles. Celles-ci étant noyées en petite quantité au milieu des grandes manifestations populaires, telles Lourdes ou Fatima, leur nombre passe inaperçu. C’est peut-être justement ce que désirent la Sainte Vierge et les Responsables des OVNI. Le détail de ce qui suit, semble aller dans ce sens. D’où la deuxième constatation : la France se taille la part du lion avec 18 chapelles, dont une en Corse. Le cas de l’Ile Bouchard est particulier ; bien que faisant partie de la géométrie qui suivra, elle n’est pas incluse dans le total planétaire, ni dans celui de la France. Pour la bonne raison que la Sainte Vierge apparut dans la petite église saint- Gilles le 8 décembre 1947. Et dans un article précédent, j’ai émis l’idée que c’est parce que cette église était déjà implantée à l’emplacement voulu. A tort ou à raison bien sûr. Cependant, elle est incontestablement le point focal de cette géométrie très particulière.Ensuite l’Italie annonce 10 chapelles. Cette nation et la France étant les deux grandes filles de l’Eglise, couvrir plus de la moitié du total général, paraît logique. Mais notre beau pays étant sous le patronage direct de la Sainte Vierge depuis février 1638, par la grâce du roi Louis XIII, c’est lui qui est largement en tête du classement.
     
    Ensuite, la Suisse et l’Espagne présentent trois chapelles, suivies du Portugal avec deux. Le Mexique, la Belgique, la Turquie, l’Inde, l’Argentine, la Slovénie, l’Allemagne et la Grèce, se contentent d’une chapelle. Mais quelle chapelle en ce qui concerne le Mexique, puisqu’il s’agit de N-D de Guadalupe et de son portrait virginal de Haute Technologie !
    C’est donc une bonne partie du globe terrestre qui est couverte par la volonté de la Sainte Vierge. Pour quelle raison ? Car il y en a forcément une ; ce n’est pas un simple caprice de star, et les mesures punitives dont j’ai parlé plus haut, sont là pour le prouver. Personnellement, et indépendamment de toute idée religieuse, je pense que c’est pour le bien des terriens, une manière de protection, comme la couverture radar installé par chaque pays. Par contre, protection contre qui ou contre quelle menace future, là est la question. D’autant que de nombreuses chapelles sont installées sur des points hauts, parfois d’un accès très difficile. Or dans ces cas, ce n’est certainement pour éprouver la piété des fidèles, qui passe au second plan, mais plus probablement pour des raisons stratégiques, qui nous échappent.
    Le problème est que le phénomène OVNI dans son ensemble, et comprenant donc les apparitions mariales, se positionne sur des siècles, et dépasse en longévité la pauvre petite durée de vie humaine. Ce qui nous empêche de survoler la stratégie générale, ni même d’en avoir une faible idée. D’autant que nous commençons seulement à nous en apercevoir. Autrement dit, il est à peu près certain que seuls, nos lointains descendants s’en approcheront. Si toutefois ils continuent le travail amorcé actuellement. Et si bien sûr, nous avons des descendants ; la décadence s’accentuant, c’est loin d’être certain.
    Le Puy-en-Velay remonte au Vè siècle ; ensuite les autres s’étalent du 11è siècle à nos jours du vingtième (Fatima 1917, Banneux 1933), et ce n’est probablement pas terminé.
    Nous sommes donc dans l’incapacité de pouvoir tirer des conclusions ou une finalité, ne connaissant ni la fin ni la raison profonde de ces implantations.
    La seule possibilité qui nous reste, est de tenter de faire un tri, ce qui est l’objet de la présente étude, et d’essayer de voir ce que la géométrie peut apporter de positif. Mais travaillant comme d’habitude sur des cartes, seules les chapelles situées en France peuvent servir de repères. Jusqu’à ce qu’un jour, peut-être un ordinateur puissant nous permettra de tout vérifier, et d’aller jusqu’au bout de la quête sur le plan planétaire.
    Nous avons au total, y compris l’Ile Bouchard, 18 chapelles en métropole et une en Corse. Celle-ci n’étant pas accessible sur la carte générale où un centimètre égale dix kilomètres, ce sont donc les 18 qui seront répertoriées.
    Première surprise : seules trois sont situées en Bretagne, et l’Ile Bouchard à 42 kilomètres au sud de Tour. D’où la grosse stupéfaction : les 14 restantes se placent dans la partie sud de la France, avec une concentration entre les Pyrénées Atlantiques et les Alpes Maritimes. Ce qui couvre un rectangle d’environ 550 kilomètres sur 160, soit une superficie de 88.000 kilomètres carrés. Ce qui représente approximativement un sixième de la France (551.500 : 88.000 = 6.26). C’est extraordinaire, et passé complètement inaperçu des théologiens, trop préoccupés par le côté religieux.
    Plus symptomatique encore : si on fait le rapprochement avec les 202 atterrissages d’OVNI du vingtième siècle, répertoriés sur le sol français par E. Zurcher dans son livre : Les apparitions d’humanoïdes (pour un peu il aurait pu y inclure la Sainte Vierge !), on en compte trente-deux dans ce même rectangle. La proportion est identique (202 : 32 = 6.31).
    A noter en passant, incidemment toutefois, que les deux quotients sont proches du double de PI (3, 14).
    De plus, 39 % de l’ensemble datent du règne de Louis XIV ! a croire que sur sa lancée, Cotignac (1519) a fait des émules. N-D de Guiaudet, en Bretagne remonte à 1692, Querrien en 1652, et dans le sud, Marciac (1653), Pardies (1661) et Le Laus, récemment reconnue par le Vatican (1664), sont alignés ! Nous y reviendrons. Théopolis chère à Roger Corréard est de 1656. Montaigut (N-D d’Alet) près de Toulouse date de 1673, après une première apparition au 11è siècle. A comparer aux 41 % des chapelles métropolitaines par rapport au total mondial. Rappelons que Louis XIV est né en 1638, a été roi à 5 ans, régné seul pendant 54 ans, et est mort à 77 ans en 1715.
    Indépendamment, il y eut la visite de Saint Joseph, à Cotignac, sur le mont Bessillon, en 1660. Et l’apparition mariale de Celles près de Foix, non incluse car n’étant pas une demande de chapelle, est également de 1686, toujours donc sous le règne du roi soleil. Quant à Garaison (1510 ou 1520) et Utelle (1520) au-dessus de Nice, elles encadrent parfaitement Cotignac. Rien de tout ceci n’est anodin ! Derrière l’orthogéométriepour continuer le sous-titre volontairement tronqué, se cache une autre géométrie plus subtile dans sa discrétion. On remarquera que dans l’orthogéométrie classique, ces chapelles participent avec les autres apparitions mariales, au milieu des atterrissages d’OVNI
     
    A première vue, elles n’ont donc aucune raison d’être différenciées. Il faut les décompter séparément, pour s’apercevoir que le sud de la France accapare à lui seul plus d’un tiers du total planétaire, sur un sixième de la superficie de l’hexagone. C’est une concentration extraordinaire, qui ne peut qu’interpeller une fois découverte.
    Il est d’ailleurs plus qu’étonnant que les théologiens ne se soient pas penchés sur cette proportion hors du commun, et cette géographie particulière. Pendant et après le règne de Louis XIV, ils auraient pu s’interroger sur ce curieux aspect des visites mariales ; rien qu’entre 1652 et 1664, il y eut quatre demandes de chapelles en seulement douze années !
    L’autre point sur lequel je ne m’attarderai pas, outre qu’un bon tiers des chapelles françaises est demandé par la Sainte Vierge sous le règne de Louis XIV, est que N-D de Garaison à un bout, et Utelle à l’autre extrémité, côté italien, se placent dans la même décennie que Cotignac (1510-1520). Il y a là peut-être quelque chose à creuser, mais ce n’est qu’une présomption personnelle. Je me contente de la souligner sans affirmer quoi que ce soit. Il est simplement utile de ne rien laisser dans l’ombre, afin qu’éventuellement, d’autres puissent y trouver matière à réflexion.
    On retrouve dans l’ufologie et la théologie le fameux cloisonnement des spécialités (volontairement, je n’emploie pas le mot : sciences, pour ne pas choquer les puristes trop chatouilleux). Chacun travaille dans son coin, avec ses idées bien ancrées, bien souvent préconçues, et dont on ne veut pas démordre ; surtout quand il s’agit de religion. Pas question de sortir de ce domaine sacré et intouchable. La Sainte Vierge est la Sainte Vierge, c’est tout. On constate bien qu’elle est différente à chaque fois, en taille, en âge, en apparence général, mais on ne s’étonne pas ; c’est normal qu’elle se transforme suivant la région ou le pays, tout en parlant toutes les langues. C’est la vision traditionnelle du théologien.
    L’ufologue qui admet que les apparitions mariales font partie intégrante du phénomène OVNI, en constatant qu’elles participent avec les atterrissages à une géométrie très particulière, voit les choses différemment. En étudiant ces apparitions l’esprit non encombré par l’aspect religieux, il se rend compte que leurs manifestations sont les mêmes que celles des ufonautes. Dans les deux cas, on s’adresse à des personnes non préparées à ces rencontres par leur faible niveau de connaissances, sans que ce soit péjoratif. Ce n’est pas injurier quiconque que de dire que plus on en sait, plus on constate son ignorance. Ce qui est valable pour l’auteur de ces lignes.
    D’autre part, les arrivées et départs de la Sainte Vierge et des OVNI emploient la même technique : comme une chandelle qu’on éteint, ou montée vers le ciel, pour les départs. L’instant d’avant il n’y avait rien, puis brusquement, la Sainte Vierge ou l’OVNI est là. Parfois, les ufonautes et la visiteuse céleste sont déjà en place sur le lieu de passage du témoin ou du voyant. Ces derniers les découvrant à leur grande stupéfaction.
    Quant à l’aspect de la Reine du ciel, il est aussi varié que celui des ufonautes. S’agit-il dans les deux cas, d’une transformation volontaire d’une seule sorte d’entité, ou ces aspects sont-ils représentatifs de plusieurs personnages ?
    Question intéressante qui débouche sur une conclusion évidente, mais difficile à mettre en place dans l’état actuel de la mentalité humaine : il faut impérativement que l’ufologue et le théologien travaillent de concert, sans parti pris. Ou qu’un théologien soit également ufologue, ou que celui-ci soit théologien. Cruel dilemme, quant on sait que justement, ce qui différencie les deux, est justement le côté religieux des apparitions.
    D’autre part, il reste encore de nombreux ufologues qui ne veulent pas entendre parler de la Sainte Vierge en tant que simulacre divin, ce qui évidemment, les paralyse dans leurs recherches. Et d’autres encore, qui ne veulent pas mélanger les visites mariales avec celles des OVNI, estimant que ce sont deux phénomènes séparés. C’est bien le manque d’ouverture d’esprit qui fait que l’ufologie a du mal à sortir de l’ornière dans laquelle elle s’embourbe.
    Il serait donc temps que l’on accorde un peu plus de crédit à la conjonction : posés d’OVNI-apparitions mariales, en acceptant le postulat (même si l’orthogéométrie le démontre), d’une origine commune. Ce qui amènerait à en considérer tous les paramètres sans aucun a priori, ni rejet d’aucune sorte.
    L’objection suivant laquelle nous ignorons si tous les OVNI qui survolent impunément la planète, distancent nos avions les plus « rapides », ou paralysent les bases militaires, ont une seule et même origine, ne tient pas.
    Arriver à déterminer une fois pour toutes, et indubitablement, la parfaite identité OVNI-apparitions mariales, est prioritaire. Ce point acquis dans un sens ou dans l’autre, sera une avancée ufologique de première grandeur, qui déblaiera le terrain, avant d’aller plus loin.
    Je pense donc avoir amené le bulldozer à pied d’œuvre, et poussé sur le côté le premier tas de terre, avec toutes les variations de l’orthogéométrie générale. Il ne me reste plus, avant de laisser la place aux autres conducteurs de travaux, qu’à peaufiner la besogne avec la présentation des croquis de cette étrange géométrie.
    Etrange en effet, et très spéciale, car ces chapelles demandées, exigées plutôt, avec une insistance des plus suspectes, comme soulignée plus haut, forment une caste à part. En effet, si elles sont déjà incluses dans l’orthogéométrie générale, au milieu des atterrissages d’OVNI, elles n’admettent qu’elles-mêmes dans ce dernier canevas. Impossible de leur adjoindre d’autres apparitions mariales, ni un posé d’OVNI. Deux ou trois de ceux-ci ne sont pas très loin d’une ligne, sans être directement concernés.
    Autrement dit, tout semble avoir été calculé pour que ces demandes de chapelles soient un domaine bien particulier, et fermé sur lui-même, quand elles sont considérées à part des autres apparitions mariales. Tout en participant, je le répète, à l’orthogéométrie générale, comme n’importe qui peut le vérifier.
    Comme si on avait voulu et espéré éviter d’attirer l’attention sur elles !
    Je n’insisterai pas, les croquis parlant d’eux-mêmes, bien qu’au nombre de quatre seulement. Le plus complexe est l’un de ceux de toute l’orthogéométrie qui m’a opposé le plus de difficultés pour le dessiner. Cependant, je le considère comme une des merveilles du genre au point de vue de la conception. J’ai déjà par ailleurs exprimé mon admiration pour le travail accompli par la Sainte Vierge et consorts, tout en ne ménageant pas mes critiques sur leurs méthodes, mais je dois dire que là, je suis resté pantois. C’est une création hors norme, d’autant qu’il a fallu louvoyer pour que les chapelles mariales restent entre elles.
    Autre point important ; L’Ile Bouchard est la pièce maîtresse de ce canevas dans tous les croquis. Preuve que si elle ne fut pas une demande directe, c’est parce qu’elle se trouvait déjà implantée au bon endroit ; la Sainte Vierge le confirmant en y apparaissant dans l’église Saint-Gilles. Soulignons d’ailleurs que Gilles signifie protection. Est-ce justement un clin d’œil à la destination finale de toutes les chapelles mariales ?
     
    Croquis N° 1 :
     
    Ce premier triangle scalène par ses trois côtés différents, n’a pourtant rien de quelconque. Il est même stupéfiant dans sa simplicité. Si Marsanne et Montaigut, qui forment la base sont toutes deux du 11è siècle, et en prime une deuxième apparition de 1673 pour la dernière citée, L’Ile Bouchard se place en pointe.
    Mais ce sont les trois médianes qui sont les véritables vedettes. Celle issue de Marsanne pour atteindre le milieu opposé, passe par Lescure (1717). Et la droite Montaigut-milieu de Marsanne-L’Ile Bouchard, coupe N-D de Verdale (11è siècle également). La troisième qui descend de L ‘Ile Bouchard n’a pas de chapelle mariale sur son trajet, mais elle ne démérite pas. Après avoir coupé le milieu de la base, elle continue pour passer exactement par le milieu de Lourdes- Utelle (1858-1510), comme par hasard. Enfin dernière surprise ; partant du milieu de Marsanne-Montaigut, une ligne file directement sur Querrien en Bretagne (1652) après avoir transité par N-D de Verdale.
     
    Croquis N° 2 :
     
    Cette fois, il ne s’agit pas de triangle, mais de quatre lignes dans lesquelles sont impliquées six chapelles mariales. Deux de ces droites partent de L’Ile Bouchard, pour aller vers Pardies (1661) et N-D de Garaison (1510 ou 1520) ; celle-ci se trouvant sur le trajet Lourdes-Théopolis (1656). Les milieux de ces deux lignes sont traversés par une autre partant de Utelle. Figure simple, encore fallait-il pouvoir la codifier, de même que la suivante.
     
    Croquis N° 3 : ci-dessous :
     
    En effet, c’est presque un copier-coller, avec L’Ile-Bouchard-Utelle, dont le milieu est coupé par la droite Marciac-Lescure. Comme pour N-D de Garaison, Marciac, célèbre actuellement pour son festival annuel de jazz, est l’intermédiaire entre Pardies et Le Laus. Onze années séparent ces trois apparitions mariales placées en ligne droite. Ce qui, à mon sens, dénote bien une volonté de géométrie. Quant au pourquoi de ce faible écart temporel, il reste évidemment dans l’ombre. Il est donc étonnant, au bas mot, qu’aucun théologien ne se soit pas avisé de cet alignement ; d’autant qu’il ne gêne en rien la catholicité, et qu’il se situe en plein début de règne de Louis XIV.
     
    Croquis N° 4 : ci-dessous également :
     
     
    Nous terminons par le super triangle de cette étude. S’il n’a pas été facile à dessiner, ce n’est rien à côté des efforts qu’il a dû coûter aux Responsables des OVNI, et du mal de tête que leur ordinateur s’est certainement offert, pour réaliser ce tour de force.
    C’est un modèle d’ingéniosité, avec un triangle de base comportant un côté commun au premier croquis : L’Ile-Bouchard-Marsanne. Lourdes est le troisième équipier. Mais au final, ce sont onze chapelles mariales qui sont concernées ; ce qui représente rien moins qu’un quart du total planétaire. De plus, ce triangle est gigantesque, approchant les 83.000 kilomètres carrés. Bref, de l’Art dans ce qu’il a de plus grand.
    Bien entendu, c’est encore une histoire de milieux, mais en partie seulement. Une droite partant de Lourdes, coupe Lescure avant de toucher le milieu de L’Ile Bouchard-Cotignac (1519, désormais célèbre pour son opération Louis XIV). De même, de Thorame-Haute (15è s), une ligne rejoint N-D de Verdale, avant d’atteindre le milieu de Lourdes-L’Ile bouchard.
    Cependant, le plus extraordinaire est que le milieu de Lourdes-Marsanne sert de point de départ à deux trajectoires pour le moins inattendues. L’une passant par Lescure, monte vers Banneux (1933) en Belgique ; belle promenade de 800 kilomètres. L’autre, traversant le Puy-en-Velay, aboutit à Mariastein en Suisse (13è s.).
    Si de Marsanne nous traçons la perpendiculaire à Lourdes-L’Ile bouchard, nous créons l’opportunité que deux lignes se jettent au pied de cette hauteur ; le Puy-en-Velay- Lescure prolongée, et Utelle-Thorame-Haute, également poursuivie jusqu’à son terme.
    Il est difficile de se rendre compte de la complexité de cette figure, tant les explications semblent aller de soi. Pourtant, si le décryptage paraît relativement, j’allais écrire enfantin, disons à notre portée, la codification elle, ne fut certainement pas exempte de difficultés. Surtout que sa mise en pratique s’est étalée sur des siècles.
     
    Ultime précision : dans cette étude, je n’ai pas réussi à intégrer deux des chapelles de Bretagne, et celle de Corse. A savoir pour cette dernière, Campitello (1899). Quant aux bretonnes, il s’agit de Coatcoustronnec, plus connue sous le vocable de N-D du Guiaudet (1692), et de Lescouet-Gouarec (1821). Peut-être appartiennent-elles à une autre géométrie européenne ou mondiale, qu’il m’est impossible d’appréhender.
     Que dire de tout ceci en conclusion ? Peu de choses, l’essentiel ayant précédé les croquis.
    Un seul point important à mes yeux, et sur lequel nous n’insisterons jamais assez.
    Les apparitions mariales, tout comme les atterrissages d’OVNI, qui sont leur alter ego, fonctionnent à l’envers. Ou si l’on préfère, les lieux primordiaux, les chefs de file, n’arrivent que lorsque l’orchestre est installé. Ce qui empêche toute orthogéométrie générale tant qu’ils ne sont pas à leur place.
    Il fallut attendre 1947 pour voir L’Ile Bouchard tomber dans l’escarcelle de la Sainte Vierge. Sans quoi toute cette étude ne pouvait se réaliser.
    En ce qui concerne les OVNI, c’est Trans-en-Provence qui joue ce rôle. Avant le 8 janvier 1981, il était quasiment impossible de se faire une idée de la géométrie ufologique.
    Est-ce que cela signifie que nous sommes au bout du tunnel, et que la finalité de tous ces tracés sur différents niveaux va nous être enfin dévoilée ? Sans être pessimiste, je ne le crois pas. Si comme je le subodore, Les Responsables des OVNI considèrent les terriens comme des demeurés mentaux, avec juste raison, hélas, il est certain qu’ils ne nous feront pas cadeau du secret de leur stratégie.
     
    Raymond TERRASSE- 11 septembre 2008 pour la taverne de l'étrange
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