• Chers amis !

    Je suis heureux de vous retrouver après ce silence de quelques semaines; je vais donc en profiter pour mettre de nouveaux articles et photos faisant la richesse de notre taverne.  Vous êtes toujours autant à venir nous voir,  j'en suis fier et honoré de part votre présence et passage régulier sur le site. Je serais là cette semaine et garderais l'oeil ouvert sur les lieux. Le mois d'avril a été très fréquenté par les visiteurs du site puisque vous étiez plus de 23.000 à passer nous voir. Ce n'est pas le meilleur score mais je suis flatté de ce chiffre qui signifie bien que cet endroit est devenu incontournable pour beaucoup d'entre vous ! Continuons cette quête ensemble et essayons de trouver réponse à nos questions ! Le meilleur reste à venir...

    Bonne semaine, bon week end prolongé (pour ceux qui font le pont) et bon courage pour les autres !

    Tyron

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  • Bonjour à toutes et tous ! Il est vrai que depuis quelques temps j'ai été moins présent; du fait de certaines contrariétés passagères et de manque de motivation de ma part aussi je pense mettre moins d'informations en ligne à l'avenir... Déjà comme on peut le voir il y a beaucoup d'articles dans un grand nombre de rubriques diverses; il y a de quoi lire, de quoi passer des heures à apprendre, comprendre et essayer de vous informer sur les mystères et autres de ce monde. J'ai des articles sur le coude, comme on dit, et de quoi alimenter la taverne en infos pendant un an au moins. Non, en fait, c'est que je suis déçu car je trouve qu'il n'y a pas assez de personnes qui se donne à fond dans cette recherche alors que nous sommes tous concerner; je pense que plus tôt que de dire "oui" c'est surprenant, bravo ou alors superbe article, je préfèrerai lire dans les commentaires : "très intéressant", je vais vous aider dans vos recherches diverses, etc... Avez-vous besoin d'aide , ou désirez-vous des infos sur tels ou tels sujets ? Bref, nous n'avonçons pas comme ça, l'équipe taverne sera encore là dans dix ans, mais tout ce qu'il y aura de plus ça sera plus d'articles dans les rubriques sans pour autant avancer... Il y a des pistes dans chaque affaire, faut juste un peu de flair, de chance et vous verrez que le fait de découvrir quelque chose pourra se révéler jouissif voir capital pour la suite... D'après des sources, par exemple, personne n'a fait de rapprochement avec la Lune et les disparitions de bateaux et avions dans certains endroits du monde... notamment des disparitions plus importantes lors de grands coéfficients de marée en rapport, bien évidemment, avec la Lune ! Donc vous voyez que l'avis de tous est important mais il faut un minimum de recherche si on veux au moins comprendre le pourquoi du comment... Certaines personnes m'apportent des articles et je les publient volontier puisque mon principe et ma devise est "l'information doit circuler et doit être vu, lu et connu par le plus grand nombre" non ? Savoir c'est bien mais comprendre c'est mieux ! J'ai pas la science infuse mais j'essaye d'avancer avec certains pour une vérité probable ou improbable... Néanmoins nous ne pouvons y arriver seul donc nous avons besoin de l'aide de tous si nous voulons avancer dans le bon sens... C'est ce que je pense, il est vrai que l'on peut pas s'improviser "enquêteur" ou autres devant son pc mais chacun d'entre vous peut aider à sa façon et contribuer au succès et à la pérennité de la taverne, qui a fêter ses quatre ans d'existence le 1er avril 2009 ! Je suis un peu démotiver en ce moment et dès demain je vais oublier Internet pendant un moment car ou je me trouve j'ai pas de connexion... Je récolterai des infos bien sûr et garderai le contact avec certaines personnes de l'équipe mais je n'irais pas au-delà pour le moment... Dites moi ce que vous en pensez et n'oubliez pas (remember) GARDEZ L'OEIL OUVERT ET LE BON SI POSSIBLE ! Tyron
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  • IL N'Y A PAS QUE LE TRIANGLE DES BERMUDES QUI SOIT DANGEREUX...

     

    LA MER ET SES MYSTERES...

    Par la force des choses, pour aller d'un continent à l'autre, nous sommes tenus de traverser les mers et les océans. Pour cela, nous avons à choisir entre le bateau et l'avion ; mais quel que soit le moyen de transport utilisé, nous sommes toujours impressionnés par ces immensités bleues qui s'étendent à perte de vue. Eh bien, impressionnés, nous pouvons l'être ! Les raisons ne manquent pas...

     

    La mer a pour mauvaise habitude d'escamoter, quand bon lui semble, n'importe quel engin qui passe à sa portée. Ainsi, à sa surface, les disparitions de navires et d'avions sont très nombreuses. Il y a des accidents naturels, certes, mais il y a aussi bien d'autres cas que la raison ne peut expliquer et pour lesquels on ne peut constater que l'évanouissement pur et simple d'une chose qui pourtant existait bien quelques heures plus tôt. Nous en venons à parler du « Triangle des Bermudes » qui attire l'attention du monde entier depuis plus d'un siècle. Rien que depuis 1945, plus de cent bateaux et avions s'y sont littéralement volatilisés, entraînant avec eux plus de mille marins, pilotes et passagers.

    Parmi tous les évènements qui eurent cet endroit pour cadre, nous pouvons citer quelques cas caractéristiques. Ainsi, en 1880, la frégate-école britannique Atlanta qui, partie des Bermudes pour rallier l'Angleterre, disparut sans laisser la moindre trace avec 209 cadets à son bord. En 1918, le ravitailleur Cyclops, de la Marine de guerre américaine, parti de La Barbade avec 309 personnes, se perdit corps et biens. Le 5 décembre 1945, cinq bombardiers de type « T.B.M. Avengers » qui avaient décollé de Fort Lauderdale en Floride pour un vol d'entraînement disparurent tout bonnement. Leur dernier message fut : « Tout est de travers... étrange. Nous ne sommes sûrs d'aucune direction. Même l'océan ne paraît pas comme il devrait être... Il semble... » Et tout fut terminé. Un gros hydravion Martin-Mariner fut envoyé à leur recherche avec 13 hommes à bord. Il y eut perte de contact radio et on ne le revit jamais non plus. Pour éclaircir la chose, on dépêcha alors un porte-avions, une vingtaine de bateaux et de très nombreux avions qui quadrillèrent la zone des mystérieuses disparitions... Ils ne retrouvèrent aucune trace, aucune épave... rien.


    Le 28 décembre 1948, c'est un D.C. 3 parti de San Juan vers la Floride avec 32 passagers qui disparut à 80 km de Miami, alors qu'il survolait l'océan et se préparait à atterrir. En décembre 1967, le Revonog, un yacht de course de 14 m, disparut en vue de la terre. Et ce ne sont que de simples aperçus... Le sujet est traité à fond dans deux ouvrages que je vous conseille vivement de lire : « Le mystère du triangle des Bermudes » (Belfond, 1975) de Richard Winer qui avant d'écrire son livre, a traversé, pendant quatre ans, des centaines de fois ce fameux triangle ; soit à bord de son voilier, soit à bord de son avion de tourisme. Et « Le triangle des Bermudes » (Flammarion, 1975) par Charles Berlitz qui est expert en plongée sous-marine. Il est certain que cet étrange « triangle du diable » détient un fort pourcentage de pertes inexpliquées de navires et d'avions, mais il ne faut pas se leurrer et croire qu'ailleurs tout est calme et tranquille... La mer kidnappe qui elle veut, où elle veut... Et c'est cela qui est le plus angoissant.

    Ainsi, loin des Bermudes, entre 1945 et 1954, neuf navires disparurent sur la route maritime entre le Japon et l'île de Wake. En 1967, en un mois, deux cargos ne donnèrent soudainement plus de nouvelles dans la mer des Philippines. L'année suivante, trois chalutiers : le Saint-Romanus, le Où vas-tu ?, le Kingston Peridot et un autre bateau nommé le Heidrun II disparurent, par temps calme, au large de l'Islande. Il ne faudrait pas penser que seules de petites embarcations se perdent de cette façon incompréhensible. D'immenses navires s'évanouissent tout aussi facilement et viennent s'ajouter à la longue série des mystères de la mer. Le 26 juillet 1909, le Waratah, un navire de 16.800 tonnes part de Durban en Afrique du Sud pour se diriger vers Cape Town. Il disparaît avec ses 200 passagers. Le 16 mars 1928, un bâtiment de 10.000 tonnes Le Prince Asiatique quitte Los Angeles pour Yokohama. Il passe au large d'Hawaii... on ne le retrouvera jamais. Le Copenhague disparaît au début de 1929 dans le Pacifique, à la latitude de l'île de Pâques... C'était le plus grand voilier du monde. La liste pourrait encore s'allonger : - en 1954, le Général San Martin de 9589 tonnes - en 1965, le Nordic star de 7124 tonnes - en 1967, le Denny Rose de 6656 tonnes et le Santa-fé de 8338 tonnes - en 1971, l'Illiganbay de 5203 tonnes - en 1973, le Anita de 20.000 tonnes... et combien d'autres encore...

    De toutes ces tonnes, il ne reste rien... pas la moindre tache d'huile, pas le moindre petit bout d'épave. Alors, que penser ? Qu'est-il arrivé ? L'énigme est vraiment de taille. Nous ne sommes pas au bout de nos surprises, car la mer se permet quelques variations et décide quelquefois de ne garder que l'équipage du bateau qu'elle laisse partir à la dérive. Le cas le plus célèbre est certainement celui de la Marie-Céleste qui fit couler beaucoup d'encre. Ce brigantin britannique fut découvert en 1872 alors qu'il errait, toutes voiles dehors, dans les eaux des Açores. Dans les cabines, des tasses de thé tiède étaient disposées, prêtes à être bues. Il ne manquait aucune chaloupe... mais l'équipage avait entièrement disparu. Le bateau mystérieusement désert fut sérieusement étudié et on y découvrit des traces d'abordage par « quelque chose ». Il y avait, en effet, des rainures faites par un instrument tranchant, de chaque côté du bateau, et cela à une cinquantaine de centimètre au-dessus de la ligne de flottaison.

    Ces traces furent déclarées « très récentes et non dues à l'action du temps ». Le mystère resta entier et rappela à l'époque, l'aventure de la Rosalie qui fut retrouvée en 1840 sans personne à bord. C'était un grand navire français qui faisait route vers La Havane. Les voiles étaient hissées et la cargaison était intacte ce qui écartait l'éventualité d'une attaque par des pillards. Plus proche de nous, le cargo Zebrine fut, lui, découvert au large de Cherbourg en octobre 1967 entre Flamouth et Saint-Brieuc. Il était totalement désert et à bord rien n'était déplacé, tout respirait le calme et la tranquillité... du linge séchait encore sur le pont. Le 7 février 1953 un bateau à moteur, le Holchu fut retrouvé entre les îles Nicobar et Andaman. L'équipage était absent. Un repas avait été préparé, aucun désordre ne régnait et la radio fonctionnait. Voilà... le mystère est à son comble.

    On constate, on s'interroge et on n'y comprend décidément rien. Les constructions navales sont très au point et le matériel radio est à toute épreuve... Alors, comment se fait-il qu'en plein XXe siècle les équipages de certains navires continuent de s'évanouir sans lancer le moindre appel... ? Peut-être n'en n'ont-ils même pas le temps... Quelle est donc cette chose qui aspire les bâtiments et les avale littéralement ? Je laisserai la conclusion à Patrice Gaston qui est l'auteur de « Disparitions mystérieuses » (énigmes de l'univers, Robert Laffont 1973) et qui déclare : « Nous n'éprouvons aucune crainte à exposer, ni à débattre de thèmes trop longtemps considérés comme inaccessibles aux profanes car nous n'apportons que des faits précisément accessibles à tous. Notre force réside d'ailleurs dans leur accumulation. Il n'est pas nécessaire d'entrer dans des considérations abstraites pour s'ouvrir l'esprit aux mystères de notre planète, et même du cosmos, car c'est une simple question d'information. »


    EXISTE-T-IL UNE ZONE MAUDITE AU LARGE DE PALERME ?

     

    Que se passe-t-il dans la mer Tyrrhénienne ? Sommes-nous en présence d'une de ces zones troubles du globe, de ces aires où règne l'angoisse, de ce que l'on a surnommé les « cimetières du diable » à l'instar du célèbre triangle des Bermudes et autres ovales du Diable ? Les faits sont là.

    Depuis 1978, on a relevé de nombreuses disparitions inexpliquées d'avions survolant cette partie de la Méditerranée comprise entre la Sardaigne, le golfe de Naples et la Sicile, qui ont fait cent quatre-vingt-dix-huit victimes. Bien entendu, à chaque fois, les commissions d'enquêtes, qu'elles soient le fait des autorités militaires et civiles ou des compagnies privées concernées, n'ont pu conclure. Leurs dossiers se terminent toujours par une interrogation qui en dit long. Et comme, dans ces cas-là, on répugne à envisager une cause irrationnelle ou dépassant notre entendement, on se contente de « noyer le poisson », comme on dit vulgairement. Les pêcheurs qui ont l'habitude de relever leurs filets dans cette zone, les caboteurs qui relâchent à Palerme savent très bien que depuis des temps immémoriaux il s'y passe des choses dont on ne parle qu'à voix basse dans les tavernes des ports entre deux verres de marsala. Et qui ne connaît pas ce proverbe : « tomber de Charybde en Scylla », hérité des temps lointains où, sur leurs galères et autres trirèmes, les nautes de l'époque, s'ils réussissaient à éviter le terrible tourbillon de Charybde, dans le détroit de Messine, séparant la Calabre de la Sicile, s'écrasaient, poussés par les courants, sur les récifs de l'îlot de Scylla ?

    Pour en revenir à notre époque, à ce dossier angoissant que les pilotes des compagnies italiennes n'osent pas évoquer en public, remarquons que les tragédies les plus récentes ont commencé en 1978 ; le 22 février de cette année, un jet privé s'est écrasé dans le golfe Terrasini. L'enquête conclut : « cause indéterminée ». Dans ces mêmes eaux, plusieurs chalutiers ont sombré corps et biens avant d'avoir pu émettre le moindre appel. Et à chaque fois, les météorologistes affirment que le temps était au beau fixe. A la fin de la même année, le 23 décembre, un DC-9 s'échoue dans la mer alors qu'il se préparait à atterrir sur l'aéroport de Palerme. Le bilan de cette catastrophe est lourd : cent huit victimes ! Presque un an jour pour jour après cet accident, c'est le tour d'un appareil de l'U.S. Air Force, un avion radar de type Prowler qui disparaît. Le 27 février 1980, un DC-9 d'Itavia explose en vol à la latitude de l'île d'Ustica, faisant quatre-vingt et une victime. Passons sur les autres accidents dont l'énumération serait fastidieuse. Passons également sur les appareils qui ont réussi in extremis à échapper à des perturbations inexplicables. Le 16 juin 1980, alarmé par ces séries noires, le syndicat autonome des pilotes de ligne a publié un communiqué faisant état de cinquante-huit collisions évitées de justesse. Le 15 mai 1982, le pilote d'un DC-9 de l'A.T.I. effectuant le trajet Milan-Palerme a réussi par miracle à redresser son appareil, violemment secoué par le passage d'un engin non identifié. De là à parler d'un OVNI, il n'y a qu'un pas qu'il faudrait pourtant bien se garder de franchir. Par « non identifié », nous ne signifions pas forcément qu'il s'agit d'un vaisseau piloté par des voyageurs de l'espace.

    Le problème n'est pas là. Le problème, vital pour les milliers de touristes qui vont survoler cette région dans l'avenir, c'est qu'il s'y passe quelque chose de mystérieux. Disons même de « déroutant » si le qualificatif de mystérieux résonne désagréablement aux oreilles des responsables, un peu trop rationalistes, de notre sécurité.

    *

    Source- archives et recherches personnelles- Mars 2009

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  • BUGARACH, PARMELAN, MONT MEZENC

     TROIS MONTAGNES BIEN ETRANGES...



    LE BUGARACH

    Mont rocheux situé dans l'Aude, à 5 km de Rennes-le-Château, le Bugarach est soupçonné d'abriter en son sous-sol un lac gigantesque qui serait le refuge d'une base extraterrestre. Malgré nos déplacements sur place et nos efforts, nous n'avons pas réussi à trouver une entrée qui nous permettrait d'accéder à ce fameux lac. Les faits marquants entourant ce mont sont connus depuis longtemps par les habitants de la région : des lumières étranges sont aperçues survolant le massif rocheux, des manœuvres militaires qui empêchent l'accès côté sud sont fréquentes, des récits faisant état de rencontres du troisième type sont nombreux. Les perturbations magnétiques sont monnaie courante et les personnes qui vivent tout autour de la montagne y sont habituées... De même, les téléphones portables se mettent hors services lorsque l'on s'approche d'un peu trop près, ainsi les ordinateurs portables  qui se trouvent irrémédiablement endommagés. Il même arrivé que des batteries des caméscopes VHS fondent littéralement ! Si ce lieu fait partie des endroits à éviter pour un pilote civil, l'armée, elle, ne semble pas avoir de problème particulier : lorsque nous nous y sommes rendus avec une équipe du Département d'Investigation du R.A.C.E, un jet de l'armée de l'air nous survola, passant non seulement au-dessus de nos têtes mais également au-dessus du pic !...

    Après une enquête auprès des villageois qui n'a rien donné, nous avons rencontré une femme qui nous a affirmé avoir non seulement rencontré des « êtres venus d'ailleurs » mais également avoir vécu pendant plus de huit ans avec l'un d'entre eux puis elle s'en était débarrassée car il l'agaçait ! Elle nous a annoncé également porter un implant extra-terrestre lui permettant de communiquer directement avec « ses amis ». Nous n'avons pu vérifier... Cette femme n'avait pas l'air tout à fait « saine d'esprit ». Il est important de signaler que ce lieu semble « fabriquer » les illuminés avec une grande facilité.

     

    LE PARMELAN

    C'est un autre mont rocheux, situé en Haute-Savoie près d'Annecy. Les habitants de ce lieu observent de temps à autre des boules lumineuses, entendent des bruits étranges, similaires à des crashs d'avions mais, curieusement, on ne retrouve aucune carcasse de quelque aéronef que ce soit. Malgré des fouilles organisées sur tous les flancs de cette montagne, aucun avion n'a jamais été retrouvé, que ce soit au sommet ou sur ses flancs. Tout comme pour le Bugarach, les manœuvres militaires y sont légion. Ce n'est pas encore un lieu interdit de survol, mais étant donné les « catastrophes aériennes » fréquentes en ce lieu, cela ne saurait tarder... Plus mystérieuse encore est l'attitude de la population de Dingy-Saint-Clair, village situé au pied du Parmelan : les habitants semblent tout ignorer des phénomènes ; à les en croire, personne n'a jamais vu quoi que ce soit. Pourtant, de nombreux articles de presse font état de boules lumineuses, de crashs fantômes et autres manifestations connexes. Cela peut-il signifier que les journaux locaux affabulent ? Ou bien est-ce la population qui ne dit mot ? Peut-être ont-ils subi des pressions et ont-ils eu des « consignes » ? Si tel est le cas, de la part de qui ? S'il ne s'agit que d'affabulations de la part de certains journalistes, dans quel but ?

     

    LE MONT MEZENC

    A la frontière de la Haute-Loire et de l'Ardèche, entre le Nelay et le Vivarais, le mont Mézenc, ancien volcan, s'élève à 1753 m d'altitude. Depuis l'Antiquité, le Mézenc et ses alentours passent pour être un « locus terribilis », un lieu terrible à l'instar du site de Rennes-le-Château en pays cathare, car il s'y produit quantité d'évènements étranges. Le Mont Mézenc fait partie de ce que l'on nomme « le Triangle de la Burle ». La Table d'Or « pleine de lueurs », une des légendes du Mézenc, nous parle d'une sorte d'objet magique dégageant de puissantes vibrations capables, dit-on, de transformer l'espace sensoriel d'un individu. Parmi les énigmes entourant cette contrée, mentionnons aussi les fréquentes apparitions de « boules de feu » d'une assez grande taille qui poursuivent promeneurs, voitures ou avions. Plus inquiétant encore et surtout dramatiques, sont les nombreux accidents d'avions ou même disparitions en plein vol (!) qui se produisent dans les environs du Mézenc, parfois précédés de l'apparition des fameuses boules de feu... une cinquantaine de crashs depuis 1943 dont quarante demeurent vraiment inexplicables. D'après les pilotes qui ont survolé ce lieu, les appareils subiraient d'importantes perturbations, peut-être dues à une sorte de force magnétique qui affolerait les instruments de bord. Plus d'infos ci-dessous :


      
    http://tyron29.kazeo.com/Le-triangle-de-la-mort-,a369426.html

    Source : Le monde de l'inconnu N°296 d'avril/mai 2002

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  •  

    LE MONSTRE DU LOCH-NESS A-T-IL EMIGRE A BORNEO ?

    Des clichés de ce qui ressemble à un serpent géant nageant dans une rivière de Bornéo alimentent actuellement toutes les discussions des habitants de l’île.

    D’après une légende de Bornéo, le Nabau, un serpent terrifiant de 30 mètres, avec une tête de dragon et sept narines hanterait les rivières de l’île. Personne n’en avait entendu parler depuis quelques années, mais aujourd’hui, des villageois habitant prêt du fleuve Baleh pensent que cette créature mythologique est revenue. Des photos montrant cet énorme serpent sont apparues dernièrement sur internet.

    Les images ont été prises depuis un hélicoptère par le membre d’une équipe chargée de surveiller les courants de la région, alors qu’il se trouvait en vol stationnaire au-dessus de la rivière Baleh.

    Mais les clichés ont soulevé de nombreux débats pour savoir si elles étaient réelles ou trafiquées avec un logiciel de retouche photo. Même le respectueux quotidien New Straits Times de Kuala Lumpur ne se prononce pas sur la véracité des photos, mais préfère laisser le libre choix à ses lecteurs.

    Pour de nombreuses personnes, la rivière visible sur les clichés ne serait pas Baleh. D’après ces dernières, le fleuve est de couleur verte sur les photos, alors qu’elle serait brune en réalité. Mais cette réponse ne convient pas à certains villageois. Ces derniers affirment que d’autres images de la créature auraient été prises à différents endroits du fleuve, ce qui prouverait que l’animal y réside.

     

    Photo rajoutée le 23 avril 2016

    Un serpent géant à Bornéo !

     

    source : newsoftomorrow.org

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