• 1976- l'observation de l'USS Racine

    LST-1191USS Racine était le treizième des vingt navires de débarquement de chars de classe Newport de la marine américaine qui ont remplacé les navires de débarquement de chars traditionnels à porte avant. Deuxième navire nommé d'après la ville du Wisconsin. 

     

    Le 28 octobre 1976

     

    A 2 jours de San Diego à bord de l'USS Racine LST 1191 sur un "Westpac". Moi et environ 10 autres membres d'équipage, avons observé un étrange objet triangulaire signalé directement derrière le navire par les vigies babord et tribord. 

    Nous étions au quart tournant de minuit, de midi à 4 heures du matin. J'étais à l'arrière du navire équipé d'écouteurs alimentés par le son pour signaler toute lumière ou objet, autrement connu sous le nom de «contacts», à la passerelle.

    Pendant le quart à l'arrière, j'ai observé qu'il n'y avait pas de navires, de contacts ou de feux d'aucune sorte comme prévu, car le Racine naviguait seul et non en convoi. Au bout d'un moment, j'ai entendu les vigies bâbord et tribord parler au téléphone. 

    1976- l'observation de l'USS Racine

     

    photo d'illustration

     

    "On dirait un sapin de Noël"

     

    J'ai alors observé un grand objet triangle jaune/orange directement derrière le vaisseau. Il semblait planer juste au-dessus de l'eau à environ un mile ou moins, tout en maintenant une distance fixe du navire. Pendant ce temps, j'ai entendu beaucoup de bavardages au téléphone, puis quelqu'un a dit :

    « Tais-toi ».

    Après quelques minutes, l'objet a semblé devenir de plus en plus petit comme s'il s'éloignait directement jusqu'à ce qu'il disparaisse. Quand je suis retourné  le pont sur la barre, j'ai vu un opérateur radar sortir du centre d'information de combat. Je lui ai demandé de quoi il s'agissait et il m'a répondu : « Il n'y avait rien sur le radar ». On ne parlait plus de ce qui s'était passé.

    Le lendemain, je saluai un Officier que je connaissais au passage. Je crois que c'était un officier vraiment sympathique et amical. Je lui ai demandé ce que nous avions tous vu pendant notre quart hier soir.

    Il s'est mis en colère et a dit : "Tu n'as rien vu et c'est la dernière fois que je veux en entendre parler". Autant que je m'en souvienne, aucun membre d'équipage n'a plus jamais reparlé de cet incident.

    LST 1191 USS Racine 2-Sided Photo T-Shirt

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  • 1971- le disque de Costa Rica

    Il y a un peu plus de cinquante ans, une caméra automatisée installée à bord d’un avion captura une image intrigante. À gauche de cette photo, prise au-dessus du lac Cote, au Costa Rica, se dessinaient en effet les contours d’un OVNI ressemblant à une soucoupe volante. À ce jour, ce cliché n’a jamais été vraiment été démystifié avec succès. L’image est désormais disponible en haute résolution.

     

    Une photo qui interroge

    Elle est considérée comme l’une des images d’OVNI les plus convaincantes du 20e siècle. La photographie fut prise depuis un avion bimoteur Aero Commander F680 le matin du 4 septembre 1971 par une équipe de l’Institut géographique national du Costa Rica qui étudiait l’impact potentiel d’un projet hydroélectrique prévu autour du volcan Arenal.

    À un peu plus de 3 000 mètres d’altitude, le photographe aérien Sergio Loaiza avait activé la caméra qui devait prendre des images de l’eau et de la forêt tropicale en noir et blanc toutes les vingt secondes. Tout le monde ignorait alors ce que l’objectif avait capturé ce matin-là. Ce n’est qu’après avoir sorti les négatifs pour les étudier que les membres de l’équipe remarquèrent l’objet anormal planant au-dessus du lac Cote.

    1971- le disque de Costa Rica

    Sur le cadre numéro 300 (capturé à 8h25 heure locale) se profile en effet un disque d’apparence métallique brillant à gauche de la photographie. Au fil des ans, la taille de l’objet a été estimée entre trente-cinq et soixante-dix mètres de diamètre.

    La nature de cet objet inhabituel fut évidemment débattue au fil des ans. Certains arguaient qu’il s’agissait d’un canular ou d’une simple illusion d’optique, quand d’autres y voyaient une véritable soucoupe volante pilotée par des extraterrestres. Plusieurs spécialistes ont bien étudié la photographie au cours des décennies suivantes. Des rapports publiés en 1989 et 1990 n’avaient alors témoigné d' »aucune preuve de défauts optiques, de canular délibéré ou de support pour d’autres explications prosaïques« . Malgré tout, le cliché continue d’interroger.

    1971- le disque de Costa Rica

    Une version haute résolution

    Esteban Carranza, citoyen du Costa Rica, a récemment reçu une copie du négatif original trouvé dans les Archives nationales du Costa Rica après le décès de son oncle l’année dernière. Après avoir discuté de l’image avec Sergio Loaiza, le technicien qui a pris la photo, il l’a ensuite proposée à un laboratoire photo du Kansas où elle fut soumise à un scanner à tambour. Il s’agit d’une sorte d’appareil photo de haute précision capable de numériser des images à une résolution très élevée.

    1971- le disque de Costa Rica

    Plus récemment, l’équipe d’UAPMedia UK a récemment mis la main sur cette version numérisée ICI

    « C’est une photographie vraiment intrigante, qui capte totalement l’imagination. Je suis toujours impressionné de voir à quel point elle a l’air « correcte ». Quant à sa véracité, je ne peux pas me prononcer. Cependant, elle semble définitivement beaucoup plus convaincante que beaucoup d’autres images que j’ai vues au fil des ans« , a déclaré Graeme Rendall, auteur de UFOs Before Roswell et Flying Saucer Fever, à UAPMedia UK.

    Cette image ne règle évidemment toujours pas complètement le débat sur ce qui a vraiment été capturé au-dessus du volcan costaricien. Elle pourrait néanmoins relancer la discussion autour d’autres images ou vidéos de phénomènes aériens non identifiés.

    1971- le disque de Costa Rica

     

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  • Etonnant OVNI photographié en 1972 au Québec

    Un jour d'automne 1972, un témoin, qui est resté anonyme, se promenait près du lac Maniwaki, dans la province de Québec (au Canada) quand il a observé un grand OVNI en forme de cône posé sur le sol ou planant à très faible altitude.

    L'homme a indiqué que l'objet volant non identifié était de très grande taille puisqu'il mesurait de 60 à 70 pieds de hauteur. Au moment où il l'a remarqué, l'engin a commencé à prendre de l'altitude. Sans hésiter, il s'est saisit de son appareil photo afin d'immortaliser cette incroyable chose.

     

    Cet étrange vaisseau avait la forme d'un cône et il était semblable à certains OVNI observés auparavant à Mesa (dans l'Arizona), à Ipamari (au Brésil) et à Cocoyoc (au Mexique).

    Il avait l'air métallique et possédait une couleur argentée, Autour de lui, il y avait 12 globes métalliques apparemment fluorescents positionnés autour sur sa partie inférieure. Quatre autres, plus petits, étaient visibles sur la partie la plus étroite en haut de l'engin.

    Le témoin a indiqué que les 12 sphères étaient d'une couleur rouge-orange alors que celles du haut étaient rosées.

    L'OVNI n'avait aucun rivet ou attache visible, comme s'il avait été fabriqué à partir d'une seule et même pièce.

    Le témoin de cette scène a aujourd'hui disparu de la circulation si bien qu'il est désormais impossible aux spécialistes d'enquêter sur cette affaire et d'analyser convenablement cet étonnant cliché.

     

    Etonnant OVNI photographié en 1972 au Québec

     

     

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  • EXCEPTIONNELLE OBSERVATION D’O.V.N.I. DANS L’OISE

     

    Une petite information au sujet de ces observations anciennes, en effet dans les années 70, il y avait plus de contacts qu’aujourd’hui, et il est important de remettre en actualité des événements pour les nouvelles générations afin quelles prennent consciences des véritables raisons de ce problème extraterrestre.

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    Rarement un O.V.N.I. aura été vu de si près et par autant de personnes que dans la région de Clermont, dans l’Oise en 1977. Rarement aussi, une observation de ce genre aura été faite pendant une durée aussi prolongée. L’objet volant non identifié vu dans le ciel du sud de la Picardie est en effet resté, selon les témoins, au moins trois jours dans ce secteur. La description la plus précise de cet O.V.N.I. est fournie par un jeune couple qui circulait dans la soirée du samedi 29 octobre 1977, sur une petite route vicinale reliant le village d’Etouy au hameau de Bizancourt où les deux jeunes gens résident.

     

    COMME UNE ETOILE SEMBLE SE RAPPROCHER

     

    Cette route (A cette époque) M. Alain Bray, 22 ans, ouvrier polisseur à l’usine Quéroy près de Clermont et son épouse Maryline, 19 ans, la connaissaient bien. Elle sillonne sur un plateau délimité par les vallées creusées par deux rivières : la Brêche et l’Arré. Il n’y a sur ce plateau que de vastes champs de céréales, entrecoupés de petits bois. Sur les six kilomètres séparant les deux villages, on ne rencontre qu’une ferme, situé en retrait de la route. (Ferme de Cohen)

    L’endroit est donc parfaitement dégagé et constitue un excellent lieu d’observation pour ceux qui regardent vers le ciel… ou ceux qui en viennent.

    Ce samedi 29 octobre vers 20 heures, M. Alain Bray venait de quitter ses parents à Etouy. Accompagné de sa jeune femme, il conduisait sa « 304 » sur le chemin vicinal. La nuit était claire et laissait voir avec une grande netteté les étoiles qui peuplaient le ciel. Peu après la sortie d’Etony, une de ces étoiles semble être plus près que les autres. Elle attire l’attention de Mme Maryline Bray. La « 304 » avance, l’astre se rapproche. La jeune femme comprend alors que ce n’est pas une étoile, c’est autre chose, mais quoi ? Elle est à la fois captivée et effrayée par cette vision. Elle ne dit rien. Son mari sent son inquiétude. Il se tait lui aussi. La voiture poursuit sa route. L’objet devient de plus en plus proche.

    Il est allongé et très lumineux. Il a la forme d’un ballon de rugby très allongé. Il est légèrement bombé sur le dessus. Bien qu’il dégage une forte lumière, il n’éblouit pas.

    Arrivés à l’intersection du chemin menant à la seule ferme du secteur, M, et Mme Bray voient l’objet. Il se trouve devant eux à moins de cinquante mètres. Il est peut-être à trente mètres du sol. Il paraît avoir un volume comparable à trois fois sa voiture. Mme Bray est alors prise de frayeur. Elle est gagnée par une sorte de crise de nerfs. Elle serre le bras de son mari et l’oblige à faire demi-tour. Ils reprennent alors la direction d’Etouy.

    L’objet les suit jusqu’à l’entrée du village. Après avoir déposé sa femme, M. Alain Bray décide de retourner sur les lieux. Il repart avec son frère. Ils ne tardent pas à revoir l’objet. Il semble, cette fois, s’être posé dans un champ, sur la gauche de la route. Il continue à dégager une lumière tirant sur le jaune et sur l’orange. Les deux hommes décident alors de retourner chercher un appareil photo et des jumelles. Ils reviennent une troisième fois. Mais, il n’y a plus rien, l’objet a disparu. Fortement choquée par la vision qu’elle venait d’avoir, Maryline Bray doit appeler le médecin. Elle restera alitée plusieurs jours.

    M. Alain Bray a, pour sa part, pu réagir avec énergie. A la peur du moment, a succédé la curiosité. Le dimanche 30 octobre, accompagné de son frère et d’autres membres de la famille, ils se rendent à nouveau sur l’énigmatique route d’Etouy à Bizancourt. Leur ténacité est à demi récompensée. Ils voient l’objet, mais de plus loin et moins longtemps. Le lundi et les jours qui suivent M. Bray et les membres de sa famille parlent autour d’eux de ce qu’ils ont vu. Ils constatent alors que plusieurs de leurs connaissances ont aperçu un phénomène identique : le samedi soir, le dimanche soir et même le lundi soir.

    L’objet a été vu depuis plusieurs villages:

    AGUETZ, ROUQUEROLLES, FITZ-JAMES et SANCY-LE-GRAND.

    Ces différents témoignages retiennent l’attention. On ne peut, en effet, à leur sujet parler d’hallucination collective, et ce pour plusieurs raisons. Il faut d’abord remarquer que les habitants de cette région savent parfaitement distinguer ce que voient dans le ciel, de jour et de nuit. Ils se trouvent à proximité des zones d’envoi de l’aéroport de Beauvais de la base militaire de Creil et de la base d’hélicoptères de Margny-lès-Compiègne.

    Les passages d’avions sont fréquents et facilement identifiables.

    On peut écarter aussi l’hypothèse de ballons dirigeable pour les mêmes raisons. Les témoins en ont vu passer dans le secteur et ont pu les photographier. Aucune confusion n’est possible.

    Enfin, et c’est là le plus troublant, ce n’est pas la première fois que des observations de ce genre sont faites dans cette région. Plusieurs témoignages identiques ont été recueillis ces dernières années.

    Ils présentent tous les mêmes curieuses coïncidences !

    A la suite de cette observation particulière, bien des années plus tard je me suis rendu sur place, et j’ai fait des relevés géologiques et une fois de plus j’ai relevé des failles importantes sur les lieux d’atterrissages, il y a un rapport important entre ces objets et les courants telluriques. Ensuite j’ai découvert une carrière de silices d’argile royal, comme d’habitude dans ce genre d’atterrissage, je n’arrive pas à comprendre que nos ufologues de renoms ne pensent pas à ouvrir l’horizon de leurs recherches, et qu’ils restent dans la doctrine de l’école maternelle.


     

    claude burkel avatar
     
    Source : Recherches personnelles, et confirmation par les témoins- Mars 2008
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  • automobile

    Le dimanche 16 juillet 1972, vers 2 h 20 du matin, un professeur de musique de 52 ans, Atilio Brunelli, et un retraité de l’industrie de 58 ans, Serverino Porchietto, quittent Balnearia (Argentine) où ils viennent de participer à un banquet amical pour Cordoba (à 185 km) leur lieu de résidence. Porchietto qui conduit sa Ford Falcon (modèle 1968) sur la route qui leur est très familière. Ils roulent à 90 km/h de moyenne, dépassent Arroyito (à 76 km de Balnearia). Rien d’anormal jusqu’ici.

    Sans comprendre comment, ils se trouvent tout à coup sur la route, peu avant la localité de Monte-Cristo (à 81 km d’Arroyito), sans se rappeler avoir croisé Transsito, Santiago Temple, Rio Primo (que la route traverse), et Piquillin. Mettant cela sur le compte d’une quelconque illusion nocturne, ils parcourent en quinze à vingt minutes les 28 km séparant Monte-Cristo de Cordoba, où ils arrivent à 3 h 30 précises. Ils sont toutefois intrigués par la rapidité du voyage, qui ne les a pas même fatigués. Le lendemain matin, un des fils de Mr Porchietto constate avec stupéfaction que la Ford a consommé 12,5 litres pour effectuer le trajet Balneria-Cordoba, au lieu des 25 litres d’ordinaire nécessaires.

    Dans la même matinée du 16, quelques heures après son réveil, Mr Porchietto se rappelle brusquement certains faits, qu’il relate à sa famille. Selon lui, vers 3 h 10  du matin, alors qu’il a dépassé Arroyito depuis trois à quatre minutes un flash blanc illumine le sol comme en plein jour et un objet sombre est alors repéré dans le ciel par Mr Brunelli. Tous deux voient peu après à une cinquante mètres à gauche de la route une sorte de convoi de chemin de fer. Le phénomène est constitué par une quarantaine de rectangles verticaux lumineux, orangés, de 3 m de haut et 75 cm de large, espacés de 50 cm et alignés horizontalement sur 50 m. En fait, aucune voie ferrée ne passe à cet endroit… (La voie ferrée existante passe à dix mètres de la route, et non à cinquante). Puis, Mr Porchietto se souvient de s’être approché de Monte-Cristo, le reste du voyage se déroulant normalement. Les choses évoluent différemment pour Mr Brunelli qui ne se rappelle rien hors de son réveil le dimanche matin. Il ressent par contre un fourmillement ou engourdissement de la région dorsale droite, circonscrit à un cercle parfait d’un centimètre et demi de diamètre, sans que cela soit visible par une altération de la couleur de la peau. Ce cercle reste insensible durant deux minutes, puis, après une nouvelle sensation de fourmillement croissante, tout rentre dans l’ordre : ce curieux processus physiologique se répète par périodes de quatre jours, quatre à cinq fois par jour. D’autre part, la tension artérielle de Mr Brunelli, jusqu’ici élevée (18/5) se stabilise désormais à 14 (sans qu’il subisse un quelconque traitement médical).

    Le 17 juillet, vers midi, une des filles de Mr Brunelli, qui vient de s’entretenir avec Mr Porchietto, demande à son père s’il ne se serait pas passé quelque chose lors de son voyage. Stupéfait. Mr Brunelli se remémore alors la suite de faits déjà relatés par son ami. Il avait tout oublié durant trente-trois heures… Les deux amis ne prêtèrent pas, selon eux, autrement attention à ces observations, alors qu’ils sont ordinairement très curieux. Leur confrontation va permettre l’émergence d’autres détails. Ainsi, Mr Brunelli se rappelle avoir constaté peu après l’observation de l’éclair et de l’objet que l’automobile avait une douceur de marche exceptionnelle, tandis que M. Porchietto aurait noté une sensation de balancement, comme si l’auto volait littéralement à quelques centimètres du sol. Autre détail étrange, Mr Porchietto, grand fumeur, ne se souvient pas d’avoir fumé une seul cigarette jusqu’à son arrivée à Cordoba. Or, plusieurs membres de la famille Isaia aperçurent justement vers 3 h du matin, durant cette même nuit, alors qu’ils roulaient vers Cordoba.

    (Leur lieu de résidence) et se trouvaient à hauteur de Frontera (à 23 km de Blancaria), un flash blanc intense… en direction d’Arroyito. Mais la question est de savoir ce qui s’est passé juste entre Arroyito et Monte-Cristo, tout au long de ces 81 km franchis en une quinzaine de minutes (de 3 h à 3 h 15). On notera de plus que les 12,5 litres auraient – compte tenu d’une consommation de 25 litres aux 185 km – permis de couvrir une distance d’environ 93 km. Or, la longueur du trajet mémorisé est d’environ 104 km (Balnearia- Arroyito = 76 km, et Monte-Cristo-Cordoba = 28 km). La différence de 11 km pourrait même être ramenée à zéro si l’on reprend les calculs compte tenu d’une consommation de 20 litres aux 175 km, consommation théorique de la Ford Falcon. Le fait que Mr Porchietto n’ait plus fumé après l’observation ne constituerait-il pas un facteur d’authenticité, dès lors que l’on ne peut effectivement pas fumer lorsqu’on a perdu conscience… ?

    D’autres « trains » seront observés en Argentine. Début juillet 1972, Mr Emilio Albaire et sa famille aperçoivent de nuit à Colonia Helalco, dans la province de Santiago del Estero, en Argentine, un objet de 50 m de long muni de fenêtres d’un vert bleuâtre, qui se pose à environ un km, puis file sous la forme d’une sphère rouge. Le 8 juillet 1972, Mr Carlos Altamirano et Melle Aurora et Maria Angelica Bracamonte observent vers 22 h, tandis qu’ils roulent près de Santiago del Estero, une boule de feu qui explose devant leur véhicule, puis voient vers 23 h 45, alors qu’ils sont près de Lavallé et de Colonia Helalco, à 800m sur leur droite, un objet de 50 m de long muni de fenêtres verdâtres de la taille d’une porte chacune.

    (REF : OVNI,un desafio a la ciencia, ano II sept 1975, n° 8 – Phénomènes spatiaux n° 35, mars 1973, p, 23.)

    Le cercle insensibilité cité par Mr Brunelli n’est pas le seul exemple connu. Il pourrait avoir été causé par l’impact d’un faisceau lumineux paralysant. L’un peut remarquer à cet égard que c’est justement le témoin présentant ce cercle d’insensibilisation qui aura eu le plus mal à retrouver, ne serait-ce qu’en partie, la mémoire. On comprend mal toutefois qu’un examen ait pu se dérouler si vite. A moins d’admettre une manipulation temporelle (absolument inexplicable par la théorie de la relativité, dans ce cas précis). L’on a pu ainsi prendre récemment connaissance de l’enlèvement, le 25 avril 1977 au chili, d’un caporal par un OVNI (accompagné d’un second objet identique éloigné) : sa disparition dura 15 minutes, mais il réapparut porteur d’une barbe de cinq jours… (Dépêches A.F.P. 049, 17 mai 1977 ; 016, 18 mai 1977 : 099 et 101, 19 mai 1977).

    La relativité ne saurait non rendre compte d’un tel phénomène.

    (Un détail important pour les personnes qui travaillent dans la recherche ufologique, faire des recherches sur les endroits d’apparitions OVNIs car ils ont un rapport en fonction, des éléments magnétiques, gravimétriques, géologiques et géographique, il n’y a pas de recherches fait par nos chers ufologues dans cette direction ?).

    *

    *claude burkel avatar

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