• ovnitriangle1988

    L’AFFAIRE DE L’OVNI EN BOURGOGNE ET A L’ILE D’OLERON EN 1977

     

    La Côte-d’Or d’abord, la Charente-Maritime ensuite. Des O.V.N.I. sont apparus au-dessus de ces deux régions au cours du récent mois de novembre 1977. Ou bien un seul O.V.N.I. Car on se demande, bien sûr, si ce,’est pas le même visiteur qui s’est manifesté à plusieurs reprises et en deux endroits différents, impossible, comme toujours, de répondre à cette question.

     

    Quoi qu’il en soit, ces survols présentent plus d’intérêt que d’autres manifestations ufologiques : ils ont donné lieu, en effet, à de très bonnes observations ; ils ont suscité quantité de témoignages précis et circonstanciés qui se recoupent assez fidèlement les uns les autres. Preuves que le public se laisse moins prendre au dépourvu que naguère. Il songe davantage à enregistrer tous les éléments et indices possibles, même s’ils n’ont droit qu’à un très court moment de spectacle.

    Pour la Côte-d’Or, le premier phénomène est intervenu le jeudi 10 Novembre à 7 h 15, l’heure où le soleil se levait. A ce moment précis, un habitant de Corcelles-les-Monts, à 6 km de Dijon, ouvrait la fenêtre et regardait vers le ciel pour deviner le temps qu’il ferait, il s’agit de M. Jean Barbas, sous-chef de gare en retraite, dont voici le témoignage- J’habite au pied du mont Afrique. De ma terrasse je domine Dijon et toute la zone vers Belfort. J’ai un panorama de plusieurs centaines de km et, par beau temps, j’aperçois le mont Blanc. Ce matin-là le soleil n’était pas encore tout à fait levé. Au-dessus des nuages je pouvais voir les trainées des avions de ligne dans les directions nord-sud et sud-nord. Soudain, à 30° au-dessus de l’horizon, j’ai aperçu le « drôle d’engin ».

    Je l’avais pris tout d’abord pour un avion. Il avait trois fois la taille d’une étoile de première grandeur. Il était sombre avec un rond lumineux en son centre. Une sorte de panache lui tombait en son centre. Une sorte de panache lui tombait à l’arrière, alors que les traînées des appareils de lignes sont toujours horizontales. Au bout d’une dizaine de minutes il s’est mis en mouvement. Il suivit une ligne qui passait dans l’axe de ma maison et j’ai pu le voir de plus près. J’ai évalué sa taille à un autorail et demi. Il était arrondi à l’avant, comme une fusée. Difficile d’évaluer l’altitude. Sans doute entre  5000 et 6000 mètres. Il ressemblait, en plus effilé, à ces dirigeables publicitaires que l’on voit évoluer, l’été au-dessus des plages. Il a bientôt disparu au-dessus du mont Afrique à très grande vitesse. Les gendarmes sont venus sur place un peu plus tard. Ils ont entendu le récit. Un récit d’autant plus digne d’intérêt que M. Barbas es plus habitué que bien d’autres à observer et à interpréter le spectacle du ciel : il est adepte de la voile, depuis qu’il a pris sa retraite il navigue sur mer quelque six mois par an.

     

    DES DIZAINES DE TEMOINS

    Cinq jours après ce premier événement, le 15 Novembre donc, la même région fut survolée par des objets mystérieux. Et cette fois, il y eut beaucoup de témoins : des dizaines de Dijonnais et, surtout, des officiers et des hommes de la base aérienne 102 de Dijon-Longvic.

    Soit les personnes les plus qualifiées qui se puissent trouver. Ce fut à 7 h 45, cette fois. On vit apparaître, à l’est de la base, un gros point lumineux accompagné de deux plus petits.

    Ce jour-là, dit un témoin, il y avait quelques gros nuages dans le ciel. Ils filtraient les rayons du soleil. Les objets étaient au-dessus, dans le ciel bleu, et brillaient intensément ? Soudain, un des plus petits s’est mis en mouvement. Il a décrit un cercle au-dessus du principal qui était de forme allongée. Et puis plus rien. Les lumières se sont éteintes exactement comme ont peut éteindre, soudainement, la lumière d’une lampe de poche. Parmi les autres témoins on peut encore citer un professeur d’enseignement technique et tous ses élèves : ils ont retardé de quelques minutes leur entrée en classe pour regarder l’insolite spectacle.

    Eux aussi parlent de trois points, un gros et deux petits.

    Voici, à présent, ce que nous a déclaré le lieutenant-colonel Archer, directeur des vols et commandant en second de la 2° escadre de Longvic. Moi-même, je n’ai rien vu. Je n’étais pas au dehors à ce moment. Mais beaucoup d’officiers et de sous-officiers m’ont expliqué minutieusement ce qu’ils ont observé, c’est-à-dire la présence de « chose » mystérieuses dans le ciel. 7 h 45 c’est l’heure précise d’arrivée d’une bonne partie du personnel sur la base. Il y avait donc beaucoup de monde un peu partout autour de nos bâtiment et installations. Beaucoup de témoins dont les récits sont identiques. Je peux préciser encore qu’à cette heure matinale la météo était excellente et qu’on avait une visibilité de 100 km. Aucune approche  d’avion n’était signalée. Quant aux radars ils n’ont absolument rien décelé. Une certitude donc : il ne pouvait absolument pas s’agir d’un avion. De tels spécialistes de la navigation aériennes ne peuvent commettre de confusion de cet ordre. Mais ce que l’on retient surtout c’est la similitude des récits fournis par des témoins, aussi bien les civiles que les militaires aviateurs, qui furent, pour une fois, au nombre de plusieurs dizaines.

    Ce fut le 19, quatre jours après ce survol de Dijon, que la Charente-Maritime fut à son tour « visitée ». Ou, plus précisément, le ciel de l’île d’Oléron. Ce furent trois habitants de Saint-Denis d’Oléron qui virent, au même moment, un objet non identifié. C’était à 8 h 05. Le ciel était parfaitement dégagé. Un retraité d 66 ans. M. Gimming, aperçut, selon sa propre description, « un engin d’une brillance extraordinaire, de forme allongée, avec deux fusées à l’arrière », qui resta immobilisé quelques instants à la verticale exacte de la ville. Ce « cigare » fut contourné, à un moment donné, par « une sorte d’avion » qui s’éloigna le premier. Les récits des deux autres témoins comportant des variantes de détails. Pour ceux-ci, Mme Thoumieux et M. Cazan gade, il y avait aussi un deuxième engin en rotation autour du premier. Mais eux ne le comparent nullement à un avion. Ils le définissent comme une sphère brillante et assez petite (en comparaison de l’autre objet) qui laissait comme une trainée de fumée derrière elle, panache qui resta visible quelques minutes après la disparition définitive des « engins ».

    Certains spécialistes de l’ufologie estiment, nous l’avons dit, qu’il pourrait très bien s’agir des mêmes O.V.N.I. que ceux qui survolèrent la Bourgogne quelques jours plus tôt.

    Ils relèvent, en effet, une concordance des récits : un objet principal de forme allongée et un ou deux autres plus petits et sphériques. Ils notent, en autre, que les heures d’apparition sont identiques (c’est toujours entre 7 h et 8 h du matin) et que l’on est toujours en présence des mêmes comportements : les « petits » tournent autour du « gros » et les départs s’effectuent à la vitesse vertigineuse. Quoi qu’il en soit, voici infirmées, de façon catégorique, toutes les hypothèses de quelconques hallucinations collectives : quantité de récits ont été faits par des personnes qui ne se trouvaient pas ensemble et qui n’eurent pas davantage, ensuite, l’occasion de se rencontrer et d’échanger leurs impressions. Ces observations s’inscrivent, assurément, parmi les plus intéressantes recueillies à ce jour.

    *

    Sources : Extrait des révélations des journalistes de l’époque (En particulier Patrick FORESTIER) dans mes archives personnelles

     

    claude burkel avatar
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    ENLEVEE PAR DES EXTRATERRESTRES

     

    Le récit que je présente ci-dessous peut paraître incroyable, ahurissant. Mais, vous le verrez, des gens ayant la tête sur les épaules lui accordent un certain crédit. Un docteur en physique nucléaire ne prend pas facilement des décisions à la légère. Quelle qu’en soit l’explication, l’aventure vécue par une jeune fille mérite qu’on s’y arrête. Que s’est-il passé  vraiment passé cette nuit-là ? Des êtres venus d’ailleurs sont-ils vraiment intervenus ? Ce qui est certain, en tout cas, c’est qu’il y a un mystère. Pourquoi Hélène Giuliana aurait-elle menti ? Il n-y a aucune raison pour qu’elle affabule. D’ailleurs, matériellement, elle ne pouvait pas le faire, car elle était sous hypnose. Dans la région de Valence, Giuliana ont provoqué de nombreuses réactions, toutes plus passionnées les unes que les autres.

     

    Même les plus sceptiques ont été obligés de se rendre à l’évidence : dans la nuit du 10 au 11 juin 1976 il s’est passé quelque chose d’extraordinaire sur la RN 539, à quelques kilomètres de Romans, à la hauteur du « Pont du Martinet ». Hélène Giuliana est une jeune fille de 20 ans qui habite chez ses parents, agriculteurs à Hostun, dans la Drôme. Les cheveux coupés, a la garçon, un visage aux traits fins, Hélène est considérée comme une fille intelligente et bien équilibrée.

     

    Elle est employée de maison  chez le maire du village, M. Bouvier, qui dit le plus grand de son temps, elle, ne raffole  pas des films et des histoires de science-fiction. Elle préfère aller danser, le samedi soir, comme toutes celles de son âge et mener la vie quelquefois insouciante des filles de 20 ans. Pourtant, Hélène a vécu une aventure que peu d’êtres humains ont vécu jusqu’à aujourd’hui ; elle a pénétré dans une soucoupe volante. Le 10 juin 1976, en compagnie d’une amie et de deux copains, Hélène se rend à Valence avec sa 4 L blanche.

    Souvent, en semaine elle va au cinéma. Ce jeudi là, les jeunes gens verront, le film « vol au dessus d’un nid de coucou ». Au retour, Hélène boit un verre avec  ses amis, de minuit à une heure du matin, à Romans, puis rentre chez elle à Hostun, distant de 17 km. D’habitude elle met une vingtaine de minutes pour faire ce trajet qu’elle connait par cœur.

     

    La nuit, la circulation est intense sur cette nationale, parcourue par de nombreux routiers. A 6 km de Romans, la route longe la rive gauche de l’Isère et passe sur un pont appelé le « Pont du Martinet ». Soudain la voiture a des ratés. « Sur le moment j’ai pensé à une panne d’essence explique Hélène, puis je me suis rappelé que j’avais fait le plein avant d’aller au cinéma. Quant à la défaillance technique, cette idée ne m’a effleuré car ma voiture a toujours bien marché. Quoi qu’il en soit, au bout de quelque mètre, le véhicule cale et les phares s’éteignent. C’est alors que le phénomène apparait, terrifiant : A 25 mètres de moi, raconte Hélène, au-dessus du pont j’ai vu une lueur rouge orangée en forme de dôme, je ne sais pas pourquoi sur le coup j’ai pensé à la mort ; puis j’ai mis mes mains devant mes yeux ». Au bout de quelques instants, la lueur a disparu. Affolée, elle repart pour rentré chez elle. Elle est tellement effrayée, qu’elle rate une signalisation qu’elle connait portant depuis des années, et fait deux kilomètres de plus. Une fois arrivée, elle se précipite dans la chambre de sa sœur et la réveille en sursaut.

     

    « Hélène, qu’est-ce qui te prend ? demande celle-ci : 4 heures du matin ! » Hélène reste stupéfaite. Ce n’est pas possible, il ne peut pas être 4 heures ! Il y a à peine une demi-heure qu’elle a quitté ses amis à Romans. C’est là que réside le mystère et que tout le monde va s’interroger. Qu’a fait Hélène pendant ces deux bonnes heures, à tel point qu’elle ne s’en souvient même pas.

     

    POUR SAVOIR LA VERITE

     

    Le lendemain elle parle de son aventure à ses parents, puis à son patron. La nouvelle fait vite le tour de la région et Monsieur André Revol, de Saint-Marcellin, enquêteur à la commission d’études « Ouranos » entre en contact avec elle. Il lui propose une séance d’hypnose avec M. Stéphane Dey, habitant Grenoble, et qui a déjà travaillé au Canada, et aux U.S.A. Après bien des réticences Hélène fini par accepter ; après tout, elle a envie de savoir ! Et le 22 juillet, à Saint-Marcellin, l’expérience a lieu. Hélène dit des choses étonnantes. Quand M. Revol lui répète ses propres paroles, une fois éveillé, elle ne veut pas le croire.

     

    Le 18 août, l’expérience est répétée une deuxième fois en présence d’une équipe de télévision de FR 3 Lyon, de M. Chaloin, un des pionniers de l’Ufologie, de M. Pierre D. docteur en physique nucléaire, de deux journalistes locaux du Dauphiné libéré, M. Gérard Moulinet et Jean Louis Ruchon ainsi que de M. Revol et Dey. Pendant 40 minutes, Hélène Giulina répètera mot pour mot ce qu’elle avait dit la première fois, jamais elle ne se contredira.

    Ce sont M. Drey et Ruchon qui poseront les questions.

    « Je vois une lumière, dira la jeune fille. J’ai mal aux yeux. Je vois deux nains qui s’approchent et qui ouvrent la portière gauche. Ils me portent vers la lumière. Je me retourne et ma voiture a disparu. J’entre dans l’engin par une porte en fer. Les nains m’arrivent à la taille. Ils sont revêtus d’une combinaison sombre…noire.  Ils ont de gros yeux. Ils sont moches. »

     

    A ce moment M. Dey lui tend un stylo et une feuille de papier et Hélène commence à dessiner lentement ce qu’elle voit dans son inconscient : puis elle poursuit.

     

    « La pièce est haute et arrondie. Tout est en fer. J’ai peur. Ils m’allongent sur une sorte de table et me mettent des espèces de menottes aux pieds et aux mains. Ils mettent aussi une sorte de serviette sur le front. Dans la pièce il y a des lumières blanches, rouges, jaunes… Soudain un des nains, trace des ronds sur mon pull-over avec une espèce de boite, ressemblant à une lampe électrique. Puis je me retrouve dehors. L’engin à trois pieds de trois mètres de haut environ et dessous des lumières clignotent. »

     

    Est-ce qu’ils vont revenir demande M. Ruchon ?

     

    Je ne sais pas, répond Hélène. Pas tout de suite en tout cas. Il y a trop de monde autour de moi. Peut-être dans six mois.

     

    L’expérience est terminée. Hélène se réveille et demande un verre d’eau. Quand elle écoute son enregistrement, qui a été diffusé le mardi 24 août 1976 sur FR 3, elle n’arrive pas à y croire. Et pourtant… Il est difficile de croire que la jeune fille ait pu mentir en affirmant deux fois la même chose. Et puis il y a tout de même des faits troublants. Tout d’abord, ce décalage de deux heures et puis la voiture que ne peut rester au milieu de la route aussi longtemps sans éveiller la curiosité d’un automobiliste de passage. Actuellement, le pull-over est examiné au centre d’énergie atomique de Grenoble, afin de savoir s’il reste des traces décelable (Nous sommes en 2008, le Pull-over, reste toujours en examens... et toujours rien après 32 ans !)

    Une autre expérience sous hypnose sera tentée en présence, cette fois-ci d’éminents spécialistes et de savants. Ensuite ? Hélène a essayé de reprendre, comme si de rien n’était.

    Tout le village a parlé pendant longtemps de cette histoire.

     

    Une chose est sûre en tout cas : il s’est passé réellement quelque chose d’extraordinaire cette nuit là pour Hélène.

    *

    Extrait : Nostra N° 230 du 1 Septembre 1976 de Patrick FORESTIER

     

    Claude Burkel

    Claude Burkel pour la taverne de l'étrange- Janvier 2008

    *

    P.S : A l’heure de ce jour Hélène est mariée et a 2 enfants ; elle ne veut plus entendre parler de cette histoire.

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    poteauufo

     

    1977- CONCENTRATION D’O.V.N.I. EN SAONE-ET-LOIRE

     

    ETUDE DES ANCIENNES OBSERVATIONS EN FRANCE

     

    CINQ OBJETS VOLANTS ONT ETE OBSERVES EN TROIS MOIS DANS LA REGION DE BAUDRIERES

     

    En ce soir de février 1977, du côté de Baudrières, le grand silence des nuits d’hiver a envahi depuis longtemps déjà la plaine bressane qui s’étale le long de la Saône. Au hameau de Saugy, dans leur maison isolée du bourg, les époux Bergerot et leurs enfants sont soudain tirés de leur sommeil par un hurlement étrange qui les plonge aussitôt dans l’effroi.

     

    Ce n’est ni la plainte d’un oiseau de nuit, ni le glapissement d’un renard en chasse. Ce n’est pas non plus l’appel d’un klaxon. Ces notes lugubres qui crèvent les ténèbres à quelques centaines de mètres de la maison, semble-t-il, sont celles d’une sirène aux accents mystérieux.

    On aurait pu penser qu’il s’agissait de l’avertisseur d’une ambulance américaine, dira le lendemain Bernard Bergerot. Pour l’instant, cet homme sensé et plein de sang-froid demeure quasi paralysé de peur dans son lit auprès de son épouse terrorisée. Car le vrombissement mystérieux enfle et se prolonge interminablement. Puis, soudain, tout s’apaise. Longtemps, dans le silence revenu, les Bergerot vont chercher le sommeil. Le lendemain, avant de partir pour le travail à Chalon-sur-Saône, Bernard Bergerot, sa femme et son fils s’interrogeront en vain sur le phénomène.

     

    Ils ne relèvent aucune trace suspecte dans le bois voisin qu’ils vont parcourir avec les enquêteurs. Ce n’est que plus tard, qu’ils s’assureront qu’ils n’ont pas fait un cauchemar en apprenant qu’à quelques centaines de mètres de chez eux, les époux Moiceau ont été réveillés cette nuit-là par le même hurlement insolite qui les a, eux aussi, plongés dans une sorte d’angoisse indéfinissable. Mme Bergerot n’a pas oublié ces notes lugubres lorsque trois semaines plus tard, le 28 février 1977 vers 19 h 30, elles retentissent à nouveau à proximité de sa maison. Une fois de plus glacée d’effroi, elle serre contre elle sa petite fille. Son mari n’est pas encore rentré du travail et Patrick, son fils, 15 ans, vient de sortir pour raccompagner jusqu’au portail Noël Thibert et Serge Gros, deux de ses amis venus lui rendre visite.

    Lui aussi demeure paralysé au pied de l’escalier extérieur, mais ce n’est pas seulement le bruit insolite qui le cloue au sol, c’est la vision qu’il découvre au-dessus du bois situé à environ 1,5 km de la maison, il raconte.

    « Alors que le nuit était déjà tombée depuis plus d’une heure, j’ai vu soudain le bois illuminé comme en plein jour par un soleil d’été. Puis, j’ai cru que je rêvais : une boule de la grosseur de deux pleines lunes, légèrement ovale descendait en saccades sur le bois. Elle était violette en son centre et rouge sur les bords. Des flammèches s’en échappaient et des feux jaunes et bleus clignotaient sue les côtés. C’était à la fois fascinant et terrifiant, si bien que je ne peux dire si j’étais paralysé par le peur ou par l’admiration. Au moment où il allait atteindre la cime des arbres l’engin lumineux s’est incliné puis il a disparu comme s’il avait atterri dans le bois. Les lumières se sont alors éteintes brusquement et le bruit qui nous effrayait tant, ma mère et moi, a cessé. Compte tenu de la distance à laquelle je voyais cet engin, j’estime qu’il pouvait avoir 15 à 20 mètres de diamètre ». Pour démontrer, s’il en était besoin, que le jeune Patrick n’avait pas été victime d’une hallucination, il aurait suffit à Lucien Génelot et Pierre Dumont, les enquêteurs du cercle ufologique de Louhans, de retenir les témoignages de Mme Bergerot et des deux visiteurs. Tous n’ont-ils pas entendu le sinistre hurlement qui descendait du ciel ?

    De plus, la montre de Patrick n’a telle pas été détraquée à partir de l’observation de ce phénomène ?

    Toutefois les enquêteurs devaient renforcer ces témoignages par celui de deux jeunes femmes de voisinage : Mme Odile et Catherine Gillet. Le lendemain de «  l’atterrissage » au hameau de Saugy, vers 6 heures du matin, elles sont à leur tour réveillées par un vrombissement venant du ciel. Le bébé qui dort dans la chambre voisine se met à pousser des cris de terreur.

    Pour le calmer sa mère veut allumer la lumière, mais en vain. Le courant reste coupé tant que se prolonge le bruit infernal. N’est-ce pas la panne classique que l’on relève dans un secteur sillonné par un O.V.N.I. ? Bientôt, une nouvelle observation va curieusement démontrer qu’en cet hiver, un mystérieux engin a choisi pour base ce bois de BRESSE.

     

    Dans cette soirée du 17 mars, vers 21 heures, les Bonnot, un jeune couple de cultivateurs, terminent leur journée de labeur. Leur ferme est bâtie sur le sommet d’une des rares collines qui dominent la plaine du Baudrières. De cette hauteur on découvre un large paysage et, en cette nuit de début  de printemps le ciel clair permet de deviner à environ 3 km de là le bois de Saugy où quelques jours plus tôt Patrick Bergerot a vu «  atterrir » la sphère incandescente.

    Soudain, Liliane, la jeune fermière s’arrête, bloquée au milieu de la cour. Son regard vient d’être attiré par un énorme dôme lumineux qui descend lentement au-dessus de la masse sombre de la forêt.

    « Il pouvait mesurer 60 mètres de diamètre, dira-t-elle. Il était de forme ovale et sa couleur allait du rouge à l’orange. Il descendait si lentement qu’il donnait l’impression de stationner à la cime des arbres. J’ai appelé mon mari puis mes enfants et mes parents. Nous étions tous sidérés et ne savions que dire devant cette merveille. Nous avions beau prêter l’oreille, nous n’entendions aucun bruit. Nous l’avons admiré pendant une dizaine de minutes, puis il a disparu, nous laissant supposer qu’il avait atterri. » ? Comment oserait-on soupçonner ce jeune couple de cultivateur très évolués, d’avoir  été le jouet d’une « vision ». Pourquoi s’il était ainsi, éprouverait-il le besoin de confier cette vision à Mme Bergerot, leur tante, en ignorant que cette dernière  a été quelques semaines plutôt bouleversée par ce phénomène.

    Dès le lendemain matin, ils lui font part, par téléphone, de leur curieuse observation.

    « Le dôme lumineux n’était pas loin de votre maison, dit Liliane Bonnot à sa tante. C’est pourquoi j’ai pensé que vous l’aviez vu, vous aussi. » Non, les Bergerot n’ont pas, cette fois, pas été alertés par la sirène et ils n’ont pas vu l’engin. » Mais ils racontent à leur nièce leurs observations précédentes et c’est ainsi qu’ils lui confirment qu’elle n’a pas été victime d’une hallucination. Dès lors les langues vont se délier et de nombreux témoins vont se manifester dans toute cette région ; Roger Lonjaret voit, le 1 avril suivant, une « boule de feu » dans le ciel de Savigny ; Maryse Thibert n’en croit pas ses yeux lorsqu’en sortant de son travail, elle voit passer à basse altitude, entre Pont-de-Vaux et Cuisery une boule dorée et silencieuse.

    D’autres habitants de ce coin de Bresse se mettent à raconter  d’étonnantes observations nocturnes mais refusent de donner leur nom. Par chance pour les chercheurs qui se penchent désespérément sur les moindres indices pour tenter d’arracher aux O.V.N.I. sonores leurs mystères, il reste, du côté de Baudrières des témoins sincères qui ne sont ni fous, ni sourds, ni aveugles.

    Pour ma part après une visite sur place en 1978, j’ai pu constater que les lieux d’atterrissage, que les témoins ont remarqué n’avait jamais été mentionnés dans aucun rapport, et en visitant ces lieux, des traces de brûlures sur des arbres étaient encore visibles nettement dans les branches.

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    Source : Recherches personnelle/mars 2008

     

    Claude BURKEL

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    MYSTERIEUX ENGIN DANS LES ALPES DE HAUTE-PROVENCE

     

    Je viens encore aujourd’hui faire connaitre pour les nouvelles générations une histoire ancienne sur un évènement insolite dans les Alpes de Haute-Provence, afin de permettre plus de compréhension dans les recherches Ufologiques.

     

    Cette fois, ce sont des militaires qui ont aperçu à deux reprises des O.V.N.I. dans les Alpes de Haute-Provence, à proximité de la frontière franco-italienne du col de Larche. Il était un peu plus de 20 heures, le mercredi 8 décembre 1976, lorsque, à bord de leur voiture, les sergents-chefs Gaborris et Charrins de la section montagne du 11 éme B.C.A., ont aperçu l’étrange phénomène. Ils venaient de quitter le village de Meyronnes pour rejoindre leur cantonnement, au hameau de Maison-Méane, lorsque le conducteur stoppa net son véhicule :

     

    « Ils avaient remarqué dans le ciel un objet sombre, de forme circulaire et de la taille d’un gros avion » explique le commandement Vauson de la brigade des chasseurs alpins de Barcelonnette. « Cette forme, lumineuse en son centre, qui pouvait se situer à 600 mètres au-dessus d’eux, s’est alors stabilisée avant de disparaître au bout d’une minute, derrière les montagnes ».

     

    SANS AUCUN BRUIT

     

    Venant d’Italie et se dirigeant vers le nord-est, les deux militaires pensèrent tout d’abord que cette forme allongée était en fait un avion des lignes régulières. En arrivant à leur cantonnement, ils racontèrent leur aventure. C’est alors que les chasseurs alpins les informent que, précisément à 23 heures, tous les chiens de la section montagne avaient hurlé à la mort d’une façon impressionnante et inhabituelle. Le lendemain jeudi, les deux sous-officiers retournèrent aux mêmes endroits, toujours à 23 heures, mais accompagnés d’un douanier et d’un autre sous-officier. Quelle ne fut pas leur stupéfaction quand ils aperçurent, au même endroit, et au même moment, quatre formes dans le ciel d’une couleur rouge sombre. Venant toujours de la même direction, ils se déplaçaient sans aucun bruit, en parfaite ligne droite, vers le col de Mirandole, entre 500 et 1500 mètres.

     

    « Brusquement, l’un d’eux s’est détaché des autres, raconte le commandant Vanson, et s’est dirigé vers les témoins qui ont eu très peur. Puis soudain, l’engin a disparu à une vitesse incroyable, ainsi que les trois autres. » A leur arrivée à Maison-Méane, les sous-officiers apprirent que de nouveau, à 23 heures, les chiens avaient hurlé à la mort. C’est alors qu’ils décident d’avertir la gendarmerie en présentant un rapport rédigé sur les constatations faites au cours des deux précédentes soirées. Le chef de brigade de gendarmerie de Barcelonnette, le capitaine Jean-Yves Montfort en personne, passa les nuits de vendredi, samedi, et dimanche au col de Larche en compagnie de chasseurs alpins. Mais le phénomène ne devait plus réapparaître. Malgré la surveillance constante du secteur, aucun fait anormal ne fut constaté. Pour le moment, l’enquête est toujours sans réponse. Il est reconnu que ces témoins sont dignes de confiance et tout à fait sains d’esprit. De plus, ces hommes habitués à la haute montagne savent apprécier les distances et les phénomènes naturels. Il y a enfin la panique des chiens qui, eux aussi connaissent les réactions naturelles, ces chiens ne réagissent pas s’ils ne perçoivent pas quelque chose d’inhabituel.

    *

     

     Sources : Rapport militaire de la 11ème B.A.C.

     

     

    CLAUDE BURKEL

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     DES O.V.N.I EN CÔTE D’OR

     

     

    Jeudi 11 novembre 1976, dix-huit heures. La voiture de patrouille de la gendarmerie de Châtillon-sur-Seine (Côte-d’Or) après une tournée de routine, s’apprête à regagner son quartier général lorsque le regard du conducteur est attiré par les évolutions, dans le ciel, de trois étranges sphères fortement lumineuses. Ces sphères sont à haute altitude. L’une est immobile à la verticale de Buncey. Les deux autres se dirigent vers le sud-ouest.


    Suivie à la jumelle par les représentants de l’ordre la sphère principale, jusqu’alors en sustentation, procède à des sauts de puce de part et d’autre du point fixe représenté, au sol, par le petit bourg de Buncey, en bordure de la forêt de Chatillon. Puis, brusquement, elle disparaît à grande vitesse en prenant le même cap que les deux autres.


    LES TROIS SPHERES DE BUNCEY


    Ne ressemblant à aucun avion, hélicoptère ou autre appareil volant connu, il faut bien se rendre à l’évidence, comme l’ont fait les gendarmes : les trois « sphères » de Buncey ne sont rien d’autre que des O.V.N.I. Le plateau de Langres étant d’ailleurs un de leurs lieux de prédilection et Buncey se situant à la lisière nord-ouest de ce plateau. Ce spectacle insolite, plusieurs personnes y ont assisté. Tout d’abord une habitante du petit bourg. Madame Perreau, qui a parfaitement suivi le ballet des mystérieux engins et dont le témoignage  concorde parfaitement avec celui des gendarmes. D’autre part, par Madame Japiot, de Buncey également, garagiste, dont le récit apporte quelques précisions à ces observations.


    « Il était environ 18 heures, dit Madame Japiot. Je regardais la télévision. Soudain mon regard a été attiré au dehors par une lumière insolite, un objet rond lointain, fortement lumineux et semblant se diriger tout droit vers mon habitation. » Durant quelques secondes je n’ai su que penser. Puis l’objet grossit, de plus en plus rapidement. Il se stabilisa brusquement à une centaine de mètres de chez moi, comme s’il avait voulu atterrir. Il était plus gros qu’une voiture. Il ne faisait aucun bruit, se balançait tout doucement,  en émettant des jets lumineux de couleurs différentes sur le sol, où le vert primait nettement. Je ne peux pas dire que j’ai eu réellement peur. Disons que j’étais angoissé, que je ne me sentais pas dans mon assiette.

    Alors j’ai voulu que d’autres profitent de ce que je voyais. Je suis sortie prendre ma voiture et, à l’instant même où j’allumais les phares, l’engin s’évanouit, sur place, comme happé par la nuit.


    Par la suite j’ai appris que d’autres témoins avaient vu les trois sphères lumineuses, à peu près à la même heure que moi, mais très haut dans le ciel. Pour mon compte je n’ai vu qu’un seul engin mais croyez-moi, je m’en souviendrai longtemps. A la suite de ce rapport, je me suis rendu sur place, et j’ai pu de mes propres yeux l’endroit ou l’engin  décrit par Madame Japiot n’a pas vu atterrir au sol pourtant il y avait une cercle noir que les gendarmes n’ont jamais mentionnés malgré ma demande pourquoi ?



    Sources : Enquête personnelle sur place avec Mr Pierre MORET (1976)

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