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    29/10/2007

    -Une famille observe d’'étranges lueurs au Tampon-

    Dans la nuit de dimanche à lundi, toute une famille du Tampon a observé pendant plusieurs heures d’'étranges lueurs rougeoyantes au fond du jardin. Le lendemain matin, il ne restait aucune trace du passage de cet ONI, objet non identifié.

     

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    Du bruit, les poules qui s’'excitent, le chien qui aboie et enfin, une lueur. “Elle est partie depuis le sol vers le haut et a illuminé ce grand arbre que vous voyez”, raconte Marie-Cristelle Hoarau. Cette mère de famille est le témoin privilégié, avec son mari et ses deux enfants, de l’'étrange phénomène survenu dans la nuit de dimanche à lundi, à Bras de Pontho. Personne d'’autre n'’a assisté à ce spectacle. Heureusement, bien que tremblante de peur, Marie-Christelle a eu le réflexe de saisir son caméscope pour filmer la scène. “J’'avais vraiment peur, explique-t-elle. Je tenais mal la caméra, je n’'ai pas réussi à bien filmer. Même les photos sont ratées.” Les deux minutes de vidéo, d’'assez mauvaise qualité, montrent un premier point rouge puis, après quelques secondes, une autre lueur, aux reflets grisâtres, comme pourrait l’'être un morceau de lave en train de se refroidir. Soudain, sur la droite de l’'objet, de petites masses apparaissent et semblent s’'éloigner en direction de la première lueur. “On dirait des extraterrestres qui sortent de leur vaisseau”, s’'amuse Marie-Christelle, sans vraiment croire à ce qu’elle dit.

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    -PAS SEULS DANS L’'UNIVERS-

     

    Extraterrestre ou pas, cet objet non identifié suscite la curiosité des amis, de la famille et des voisins. “On attend une trentaine de personnes juste pour aujourd’'hui. Tout le monde veut voir la vidéo”, explique l’'un des filles de Marie-Christelle, qui a pu observer les lueurs. La belle-soeœur de Marie-Christelle est ainsi venue hier matin pour voir “la chose”. “Moi j'’y crois, prétend-elle. On n’'est pas seul dans l'’univers”, reprend un autre membre de la famille. Pourtant, malgré la curiosité et l'’euphorie provoquée par la vidéo, personne n’'ose réellement faire référence aux Ovni et à tout ce qui s'’y rapporte. “C’'est étrange. Je n’'avais jamais vu ça de ma vie”, résume la grand-mère qui dormait dimanche soir, mais qui voit comme tous les autres membres de la famille, les extraits en boucle de la vidéo. Le plus étrange, dans cette histoire, c’'est l’'absence de trace laissée par les lueurs. “Ill n'’y a aucune marque au sol, précise Marie-Christelle Hoarau. Lundi matin, j’'ai même demandé au jardinier de regarder s’'il ne restait pas des indices. Il n'’a rien trouvé.” S'’il s’'agissait d’'un pétard, la pelouse devrait être brûlée. Il n’'en est rien. Alors quoi ? Quelle est la nature des lueurs observées de 22h30 à 3 heures du matin par toute cette famille ? Cette nuit-là, la peur a paralysé la famille et personne ne s’'est approché de “l’'objet”. “J’'ai même interdit à mon mari d’'aller voir, assure Marie-Christelle. Mais depuis la maison, on voyait très bien. Ce n’'était pas une braise, ni une boule de feu, ni un pétard. C’'était joli, mais étrange. Je n’'avais jamais vu ça.” Depuis cette fameuse nuit, la famille a du mal à dormir. “J’'espère que les lueurs vont revenir, affirme Marie-Christelle. Cette fois, je ferai de meilleures images

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    Une RR3 à Tampon, Île de la Réunion !

     

    ici un autre cas au tampon en 1968 !

     


     

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    L’'histoire qui va vous être racontée ici est si étonnante qu’elle dépasse de loin tout ce que vous pouvez imaginer en matière d’'aventures et d’'enseignements cosmiques. Le principal témoin de cette rencontre du 3ème type s’'appelle Rose et s’'est éteinte en avril 2000 à l’'âge de 72 ans. Mais son aventure s’'est déroulée en 1952 alors qu’elle était âgée de 24 ans. Il est vrai que cet épisode qui a à jamais marqué la vie de Rose a un petit goût des années 50 mais on peut aussi trouver dans les faits étranges qu’elle a vécus et les thèmes qu’elle aborde des corrélations remarquables avec la théorie révolutionnaire concernant la lune avancée par deux savants soviétiques en 1970. Rose C., en 1979, racontait son incroyable contact du 3ème type dans son livre : « Rencontre avec les Extraterrestres ». Plusieurs ufologues, impressionnés par l’'apparente sincérité de la jeune femme et par les traces physiques engendrées par cette rencontre, ont enquêté sur ce cas exceptionnel.

     

    *** LA RENCONTRE ***

     

     

     C’est le 11 avril 1952 que Rose C., alors âgée de 24 ans, eut sa 1ère expérience de contact avec des êtres étrangers à notre planète. Ce jour-là, elle s'’était rendue à bicyclette, accompagnée de ses chiens, dans le cabanon isolé que possédait sa famille en pleine garrigue, à quelques kilomètres de Nîmes. Peu après minuit, elle fut tirée de son sommeil par le grattement de patte de l’'un des chiens contre la porte du cabanon. Il réussit à soulever le loquet et à ouvrir la porte, après quoi il s'’élança silencieusement au-dehors. L'’autre chien lui emboîta le pas et, sans un seul aboiement, tous deux disparurent dans l’'obscurité. Encore à moitié endormie, Rose se leva, enfila son imperméable, attrapa sa lampe de poche et sortit du cabanon. Elle venait de franchir quelques mètres en direction de l’'autre cabanon, celui qui ne contenait que quelques vieux livres vermoulus, lorsqu'’elle fut éblouie par une violente lumière blanche, comme une sorte de flash. Elle entendit une voix plutôt claire et posée dire : « Que faites-vous ici ? ». « Et vous-même ? », répliqua-t-elle en s'’adressant au jeune homme qui se tenait en face d’'elle, après avoir braqué le faisceau de sa lampe de poche sur le visage de ce dernier. Cet individu, mesurant environ 1m75, ne semblait manifester aucune agressivité envers elle.

     

     

    Elle déclara qu’'elle était là sur ses terres et qu'’elle aimerait savoir ce qu'’il y faisait à pareille heure. Elle demanda où étaient passés ses chiens. Ces derniers réapparurent au moment où elle posait la question ! Elle entendit un léger bruit derrière elle, qui la fit se retourner et hurler de frayeur. Un être de 2m30 à 2m40 de hauteur se tenait près d’'elle et l’'attrapa par le cou avec des mains énormes….

     

    *** LES GEANTS ET LEUR INTERPRETE HUMAIN …***

     

     

     Il y avait 2 « géants » : le plus grand des 2 s’'adressa au jeune homme qui était avec eux dans une langue incompréhensible. Ce dernier déclara à Rose qu’'elle n'’avait rien à craindre d’'eux, qu'’ils étaient pacifiques, et que ses amis voulaient seulement savoir si elle avait quelques livres à leur donner. Alors qu’'ils se dirigeaient tous les quatre vers l’'autre cabanon ( où se trouvaient les vieux livres ), un 3ème géant apparut. Fait étrange, les chiens allèrent à sa rencontre comme s'’ils le connaissaient bien. A la question posée par Rose sur la provenance des visiteurs, l’'homme répondit, en levant les yeux vers le ciel, qu'’ils venaient « de là-haut », mais ni de la Lune, ni de Mars. Elle demanda ensuite comment ils étaient venus sur Terre ; l'’individu braqua alors un court instant le faisceau d’'un appareil sur un coin du terrain qui s'’illumina brusquement comme en plein jour. Rose aperçut alors un énorme objet circulaire, d'’un gris mat, couleur ardoise, qui avait la forme d’'un immense canotier et qui semblait en suspension dans l’'air à environ 1 m du sol, sans appui ni ancrage sur la terre ferme.

     

    Elle ouvrit la porte du réduit et les trois géants lui emboîtèrent le pas. Ces géants étaient beaux, avait la peau mate et ressemblaient un peu à des Hindous. Ils étaient vêtus d’'une combinaison claire métallisée et équipés de sortes de pataugas. Il sembla à Rose qu'’ils devaient chausser au moins du 60 ! Celui qui paraissait être le chef portait au haut du front un objet scintillant ressemblant à une grosse pierre précieuse hémisphérique légèrement allongée. Autour du cou passait une courroie à laquelle était accrochée à la hauteur de l’'estomac une boîte noire équipée de boutons. L’'homme, qui parlait un français parfait, servait donc d'’interprète aux trois géants. Ces derniers expliquèrent qu'’ils venaient d'’un autre monde. Leur stature mise à part, ils auraient du passer, ainsi que je viens de le préciser, pour des Hindous. Deux d'’entre eux étaient des athlètes dans la force de l’'âge, alors que le 3ème, qui semblait être le chef, paraissait nettement plus âgé. Il portait sur le front la « demi-sphère » ci-dessus évoquée, laquelle ressemblant à « une bille de verre noire coupée en deux »….

     

    L’'homme-interprète précisa à Rose qu'’il avait été contacté par ces créatures 20 ans auparavant, alors qu'’il était instituteur et âgé de 25 ans. Rose lui ayant fait remarquer qu'’il ne paraissait pas son âge, il répondit que le temps, « là-haut », passait beaucoup moins vite…

     

     

    *** UNE ETUDE SCIENTIFIQUE DE LA TERRE ***

     

     

    L’'interprète lui présenta un grand sac que portait l'’un des géants ; il l’'entrouvrit pour montrer son contenu : des souches d’'oliviers, d'’amandiers, de thym, divers objets de valeur et quelques pierres. Rose ayant objecté qu’'il n'’y avait dans ce sac rien ne justifiant un aussi long voyage, son interlocuteur répliqua qu'’il recueillaient des échantillons en divers endroits de la planète, ce qui leur permettait d’'évaluer les dégâts occasionnés par les bombes ayant explosé au Japon. L'’instituteur expliqua donc, échantillons à l’'appui, qu'’ils étaient là pour effectuer des prélèvements de minéraux et de végétaux, afin d’'évaluer la gravité des conséquences des explosions atomiques. Ce fut pour lui l’'occasion de dénoncer le comportement destructeur et irréfléchi de l’'Homme, son comportement insensé envers non seulement ses contemporains, mais aussi les générations futures. Il énonça aussi quelques vérités au sujet de certains grands hommes, dont la grandeur s'’était construite sur d'’immenses massacres et sur d'’infinies misères. Quand Rose demanda pourquoi les extraterrestres n'’intervenaient pas, l’'instituteur lui expliqua que chaque fois qu'’ils avaient tenté de le faire, rien de bon n’'en avait résulté. Lors de cette rencontre particulière, elle leur donna un exemplaire du « Comte de Monte-Cristo » d’'Alexandre Dumas, de très vieilles revues d’'une association de médaillés militaires, ainsi que le journal de mode qu'’elle venait d’'acheter. Rose demanda à son interlocuteur humain s'’il n’'avait pas pensé à sa famille quand il était parti avec les visiteurs de l’'Espace ; il répondit qu’'il n’'avait pas de proches parents, que personne ne s'’était inquiété pour lui, à part quelques-uns de ses élèves. A la question : « Vous n’avez jamais regretté d’avoir quitté la Terre ? », il répondit : « Au contraire, on gagne beaucoup en la quittant ».

     

    Le jeune homme lui demanda si elle voulait venir avec eux. Elle eut peur que les géants l’'enlèvent dans leur machine. Elle pensa à son père âgé et à sa petite fille qu’'elle aimait tendrement. Elle répondit qu’'elle voulait rester sur Terre. A ce moment là, le géant à la pierre sur le front s’'adressa à l’'instituteur qui traduisit sa question. Il voulait savoir qui étaient ce vieil homme et cet enfant qu'’il a vus dans les pensées de Rose. C’'est à cet instant que cette dernière prit conscience que le géant était télépathe.

     

     

    *** DE LOINTAINS ANCETRES ! ***

     

     

     Elle leur donna des détails sur sa famille. Au bout de quelques minutes, elle constata que les chiens s’'étaient gentiment installés au pieds des géants. Rose demanda innocemment s'’ils avaient des chiens. On lui répondit qu'’ils avaient tout ce que nous avons sur Terre et que leurs ancêtres nous avaient amenés sur cette planète. La seule différence est que tout est plus grand chez eux : leurs chats ressemblent à de petits tigres et leurs arbres sont immenses. On lui dit que les humains descendent de ces êtres, et au fil des générations tout avait rapetissé. La société d'’où viennent les géants aurait ainsi aménagé une planète pour les renégats, lesquels furent déportés sur Terre. L'’instituteur expliqua à Rose que des milliers d'’années auparavant, les extraterrestres avaient pris possession de la Terre dans le but d’'en faire une sorte de bagne destiné à ceux des leurs qui s’'étaient rendus coupables de divers méfaits. L’'humanité actuelle descendrait donc de ces exilés ! ( Notons au passage que ce scénario de « la Terre bagne cosmique » est décrit d’'une manière quasi-identique dans le livre de G. Adamski « Inside the Space Ships » de 1955 et traduit en français en 1979 sous le titre « A l'’intérieur des vaisseaux de l’'espace » chez M. Moutet ).

     

      Ces êtres lui dirent également avoir amené notre satellite, la Lune ! Ils la trouvèrent dans une autre constellation et la transportèrent jusqu'’à notre système solaire, la plaçant en orbite artificielle autour de la Terre. Le chef des visiteurs fit à l'’intention de Rose une démonstration de lévitation et de téléportation. Alors qu'’ils se trouvaient à l’'intérieur, le chef des géants actionna les boutons de la « boîte » qu'’il portait, dématérialisant une pierre qui se retrouva à l’'extérieur de la bâtisse, sans que la porte eût été ouverte ! De même, il souleva ensuite à distance de grosses pierres qui flottèrent en l’'air comme des ballons. La jeune fille déclara qu'’une grande sagesse émanait de cette impressionnante créature. Elle apprit également que la Lune du monde de ces visiteurs-ancêtres est 3 fois plus grosse que la nôtre, et on lui révéla que tous les 12.000 ans environ la Terre subit un cataclysme déclenché par la bêtise des hommes. Il confia à Rose qu’'en 9405 av. J.-C., la Terre avait été ravagée par un cataclysme provoqué par les humains. On notera que cette date correspond fort bien à l’'époque de la dernière destruction de l’'Atlantide, les dates données par la plupart des sources « canalisées », notamment, tournant autour de 9000 à 10.000 avant notre ère. En outre, si les humains de l'’époque ont été à l’'origine de la disparition de leur civilisation, cela signifie qu'’ils avaient une science et une technologie avancées…

     

     

    *** DES TRACES PHYSIQUES ET PSYCHIQUES DE LA RENCONTRE ***

     

     

    Le séjour sur Terre étant épuisant pour leur organisme, les entités s’'apprêtèrent à repartir : ils montèrent dans le vaisseau, qui décolla et disparut dans un bruit assourdissant, en créant une zone de forte turbulence. A la suite de cette rencontre, Rose eut le sentiment de contacts psychiques répétés avec les personnages qu'’elle avait, le soir, des flashs dans son cerveau, diverses inscriptions apparaissant sur un fond violet. Elle eut aussi des prémonitions de catastrophes, lesquelles se produisirent effectivement peu après. Plusieurs personnes, dont Charles Gouiran, ont constaté chez Rose, vers le milieu des années 1970, la réalité de phénomènes de précognition ou de perception extrasensorielle. On notera que ce témoin privilégié à conservé pendant sa vie une trace tangible et indélébile de cette aventure : aussitôt après cette rencontre du 3ème type. Rose se surprit à se masser instinctivement l’'annulaire droit. Quelque temps après, regardant ce doigt, elle découvrit avec stupéfaction qu'’il était aussi long que le majeur ! Elle compara avec sa main gauche et parvint à la conclusion qu’'à la suite de ce contact, son annulaire droit avait poussé, probablement de 8 ou 9 millimètres ! Cet annulaire droit avait grandi au point d'’atteindre en quelques semaines la taille de son majeur ! Durant les 48 années ayant suivi son contact, de nombreux témoins ont confirmé que Rose possédait effectivement désormais 2 majeurs à la main droite. De plus, il y avait, au centre de la paume de la même main, une cicatrice d'’environ 1 cm à 1,5 cm. Cette cicatrice  protubérante ne s'’est pas effacée au fil des ans. En ce qui concerne l’'allongement du doigt d'’une main, il s’avère nécessaire de faire le rapprochement avec d’'autres cas similaires. A l’'époque un haut responsable du GEPAN ( Groupe d’Etude des Phénomènes Aériens Non Identifiés ) vint la voir et contrôla ses dires et ne put que confirmer son histoire.

     

    D’'autres personnes ont enquêté mais elle n’'en a pas eu de nouvelles. Un autre observateur qui a suivi l’'affaire depuis l’'année 1970, Guy Tarade, célèbre écrivain dont l’'honnêteté ne peut être mise en cause, a déclaré : « J’'ai constaté de visu le fameux doigt. Je peux affirmer qu’'il n'’y avait pas de trucage, qu'’un enquêteur très officiel a également été surpris par cette sorte de métamorphose… » et que « quelques mois avant sa mort, son doigt s’'était encore allongé ! ».

     

    Le 1er cas, rapporté par Joël Mesnard, s’'est produit vers le mois d’'avril 1969, à Balizac ( Gironde ). Alors qu'’elle avait à peu près 17 ans, Catherine fut une nuit interrompue dans son sommeil. Elle conserve un vague souvenir de petits personnages, de couleur claire, près de la cheminée. Elle se cacha sous les couvertures. Le lendemain matin, elle portait à la cheville gauche une blessure affreuse et toute noire. Plusieurs médecins constatèrent l’'existence de cette plaie. Cette blessure se cicatrisa avec une lenteur extrême, le processus de cicatrisation ayant duré à peu près 1 an et demi. Joël Mesnard ayant mentionné le cas de Rose C., Catherine tendit sa main droite : l’'annulaire avait, comme chez Rose, une longueur anormale. Elle présentait donc la même anomalie que Rose C., au même doigt.

     

     

     *** SORTIE HORS DU CORPS ET PYRAMIDES MAGIQUES ***

     

     

     Peu après sa rencontre rapprochée, Rose vécu un nouvel épisode paranormal. Un jour, elle sentit que quelque chose lui empoignait la nuque ; au même moment, elle éprouva une paralysie qui s'’empara progressivement de son corps, et elle se retrouva « debout à l’air libre ». Il s’'agissait donc d'’une sortie hors du corps. Elle aperçut, face à elle, la statue du Grand Sphinx. Il était de couleur rouge-brun. Elle vit aussi 2 grandes pyramides brillantes qui paraissaient couvertes de neige argentée ( craie ? ). Rose fit alors la rencontre d'’un étrange personnage à l’'aspect majestueux et à l’'apparence sévère. Il s’agissait de BELMO, un être que ses compatriotes surnommaient MERI- MEROAN, ce qui peut se traduire par « le Suprême » ou encore « le Valeureux ». Après s’'être enfoncés dans le sol à l'’intérieur d’'un cylindre de verre, ils se retrouvèrent dans une salle taillée dans le granit. BELMO posa alors 3 questions à Rose, et celle-ci donna les bonnes réponses. Elle pu alors découvrir une pièce entièrement constituée d’'or : murs, sols, immenses cubes dorés, objets bizarres… Des objets laissés par quelques sages atlantes pour servir de témoignages aux générations futures. 

     

     

    Il y avait notamment :

     

     

     

    Le Grand-Œoeuvre : il se présente sous la forme de petits grains rougeâtres. Cette poudre est capable de transmuter n'’importe quel matériau en or pur.

     

     

    Le Grand Séparateur : il s'’agit d'’un élixir de longue vie qui arrêterait le vieillissement.

     

     

    Le Grand Orgue : il s’'agit d’'une machine faite de tuyaux enchevêtrés et tordus servant à faire tomber la pluie. La machine à orgone de W. Reich ( voir l’'article des fées & djinns ) présentait, paraît-il, ces mêmes caractéristiques.

     

     

    Le Grand Sens : Rose se mit en face de cette machine et sur l’'écran apparut son image entourée d’'une « auréole colorée, brillante, faite de ce qui semblait être des étincelles bleues et vertes ». Il s’'agit donc d’'un appareil permettant de révéler l’'aura humaine.

     

     

    Le Grand Stimulateur : un appareil destiné à retrouver « la connaissance perdues ».

     

     

    Le Grand Révélateur : il permet de connaître les images du passé.

     

    *** REVELATIONS SUR LE SPHINX ***

     

    BELMO proposa ensuite à Rose de passer certaines épreuves :

     

    La Barque de la Connaissance : cette épreuve consistait à passer 3 jours complets dans une barque en agate ( pierre précieuse ).

     

     

    La Passe de la Grande Confusion : BELMO proposa à Rose de la dispenser de cette épreuve se déroulant dans un lieu « où l’'on ne pèse plus rien, où l’'on peut même marcher sur les murs et au plafond »….

     

     

    La Grande Porte : celle-ci ne pouvant être franchie qu’'au terme des épreuves précédentes. On ne saura rien de la Salle de la Grande Tradition, suite au refus de Rose de passer l’'épreuve de la Barque.

     

     

    BELMO évoqua aussi la Bibliothèque des Sages : il fit allusion aux livres sacrés de THOT ( le Dieu scribe égyptien ) et à l’étoile SIRIUS. BELMO fit aussi découvrir à Rose les différents plans, initialement conçus, du Sphinx à 2 têtes. Celles-ci, dont l’'une était plus haute que l’'autre, se tournaient en quelque sorte le dos. Le 2ème plan montrait le Sphinx tel que nous le connaissons aujourd’'hui, mais intact et avec les pattes de devant bien plus courtes que celles que l'’on peut voir « sur les cartes postales représentant l’énigmatique monument ».

     

    Rose fut informée que lors de la construction du Sphinx un morceau de rocher éclata, le privant ainsi de l’'une de ses têtes. Le secret du Sphinx est : le corps est animal, la tête est esprit. Le 3ème plan représentait le Sphinx à-demi immergé. Sur le poitrail sortant de l’'eau, il y avait le nombre 666. On voyait, sur la tête, plusieurs piques ou pointes. Rose fut informée que ces pointes représentaient les « bannières enroulées » de 10 nations. Cela signifie que lorsque ces bannières seront réunies, la « Fin des Temps » sera proche. Le nombre 666 représente une « entrave, une opposition à l’'évolution naturelle », une immense catastrophe pour le genre humain. Quant au nez abîmé du Sphinx, Rose fut informée que ce n'’était pas un soldat qui avait fait cela mais l’'ancre d’'un énorme navire. A cette époque-là, en effet, le Sphinx était sous l'’eau. Le compagnon de Rose dévoila à celle-ci que le Sphinx fut édifié sous le règne du 1er roi  égyptien : « RAAI », ce dernier ayant vécu il y a près de… 40.000ans !

     

    *** LES SECRETS DE GIZEH ***

     

     

     On notera que la date de 40.000 ans, si elle est conforme avec l'’idée d'’une bien plus grande ancienneté du Sphinx que celle admise par les milieux officiels, n'’en est pas moins conforme à celle donnée par le clairvoyant américain Edgar Cayce. En ce qui concerne la Grande Pyramide, celui-ci avait donné, ainsi que le rappelle Joël Baran, la date suivante de construction : 10.490 à 10.390 avant notre ère. Ce qui n'’a évidemment rien à voir avec la date donnée par les égyptologues ( et matraquée dans les médias et ouvrages scolaires ) : pendant la 4ème Dynastie ( 2600-2500 av. J.-C. ). Quant au Sphinx, il a été construit, selon les archéologues/égyptologues, par Khephren vers 2500 avant notre ère. Néanmoins, qu'’il s'’agisse du Sphinx ou de la Grande Pyramide, diverses contributions de chercheurs font état de datations beaucoup plus conformes à celles données par les sources paranormales. Notons que selon Edgar Cayce, la figure du Sphinx représente le portrait d’'Asriario, conseiller du roi ( et non, comme le pensent certains égyptologues, le visage de Khephren, voire celui de Kheops ). Cela- et d’'autres choses- pourra être découvert, déclara Cayce, « à la base de la patte avant gauche ». Toujours selon lui, Ax-Ten-Tna, 1er conservateur des archives atlantes, mit celles-ci dans des salles qui sont à mi-chemin entre le Sphinx et la Pyramide des Archives – ( non exhumée ). Il précisa aussi que la Grande Pyramide fut construite, disait Cayce, par « l’usage de ces forces de la Nature qui permettent au fer de flotter ». On déplaçait ainsi les pierres à travers l’'espace aérien. Les Atlantes apportèrent leur aide à la construction de la pyramide, et l’'Atlante Hept-Supht fut l’'un des responsables de cette construction…

     

    *** LES GEANTS DU PASSE… ***

     

     

     On trouve dans certaines sources paranormales, ainsi que dans plusieurs mythes et légendes ; la référence à l'’existence de géants dans le passé de la Terre. On mentionne même le fait dans la Genèse. Et qui ne connaît pas les légendes relatives aux Titans et autres Cyclopes ? Voici, parmi d’'autres, une source canalisée faisant état de l’'existence, dans le passé de la Terre, d’'humains de haute stature : Aurelia Louise Jones, qui canalise des Lémuriens de Telos ( cité souterraine sous le mont Shasta en Californie ), écrit qu’'à l’'origine les humains mesuraient environ 4 mètres. Au moment de l’'anéantissement de la Lémurie, ses habitants mesuraient 2,50 mètres. Puis la taille des habitants de la planète diminua encore….

     

    L'incroyable rencontre de Rose C. !

     

     

    Pour compléter votre information, à lire également :

     

     Jean Sendy : « La Lune clé de la Bible » paru chez Julliard en 1968

    Rose C. : « Rencontre avec les extra-terrestres » paru aux Editions du Rocher 

     

    Source : article de la revue-  Le monde de l’'inconnu N° 323-  NOV/DEC 2006

     


     

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     RR3 SUR TOUT LES CONTINENTS

     

    1994- RR3 sur tout les continents

      

    Les rencontres rapprochées du troisième type ( RR3 ) sont extrêmement rares. Pourtant, en 1994, deux cas se sont produits simultanément en des points opposés du globe. Enquête.

     

    Mexique, le 15 septembre 1994. Entre 20 heures et une heure du matin, les contrôleurs du trafic aérien de Mexico observèrent un objet inconnu volant au-dessus le la proche ville de Metapec. Au même moment, la police locale reçut justement une centaine d’appels téléphoniques de personnes annonçant qu’elle voyaient un ovni survoler la ville. Parmi les témoins il y avait deux sœurs, Sara et Erika Cuevas, qui rentraient chez elles à Metapec en voiture au moment où les ovnis furent vus. Alors qu’elles approchaient de la ville, elles virent, elles aussi, le disque lumineux dans le ciel, dont elles estimèrent la taille  à 22 mètres de diamètre. Une fois revenues chez elle, Sara attrapa sa caméra vidéo dans l’espoir d’enregistrer l’événement, mais sa batterie était vide et, lorsqu’elle voulut se raccorder au courant, elle s’aperçut qu’aucun appareil électrique ne fonctionnait… Déçues, les deux sœurs montèrent néanmoins sur la terrasse pour mieux voir de quoi il s’agissait. Pendant qu’elles étaient en train de regarder l’ovni toujours présent, deux objets rouges plus petits en jaillirent et descendirent dans un champ voisin de leur maison. Sara et Erika n’en croyaient pas leurs yeux. Elles étaient tellement médusées qu’il pouvait sembler que les ovnis les avaient paralysées.

     

    *** Les yeux étaient dans le champ ***

     

    Elles virent cette même manifestation extraordinaire se reproduire deux heures plus tard, et cette fois, sept petits disques descendirent à leur tour vers le sol. Il semble que, tandis que les disques se déplaçaient dans le champ, les épis de maïs se soient couchés au sol, formant une grande figure géométrique. D’après des témoins, un disque explosa tout d’un coup et des centaines de petites boules ressemblant à des « yeux » apparurent. C’est à ce moment-là que la plupart des observateurs commencèrent à prendre peur, certains paniquèrent jusqu’à l’hystérie. Le jour suivant, Jaime Maussan, un journaliste de la télévision spécialisé dans les enquêtes sur les ovnis, ainsi que des dizaines d’autres reporters parcoururent la ville pour interroger les témoins. Les enquêteurs louèrent aussi un hélicoptère pour filmer du ciel l’étrange figure qui s’était dessinée dans le champ. Pourtant, malgré toute l’agitation des médias et le grand nombre de témoins, Sara Cuevas n’arrivait pas à convaincre son mari de ce qu’elle avait vu. Sidérée par son scepticisme, elle jura de rester debout toute la nuit, en tenant prête sa caméra vidéo, pour le cas où l’ovni reviendrait. Avec sa sœur Erika, Sara attendit effectivement, mais l’engin ne se manifestait pas. Soudain, au milieu de la nuit, les sœurs remarquèrent une étrange lumière dans le champ derrière leur maison. La lueur était à environ 30 m, mais lorsqu’elles se déplacèrent pour mieux la voir, elles s’aperçurent qu’il s’agissait en fait d’une silhouette lumineuse se tenant au centre de la figure géométrique apparue la veille dans le maïs. Sara attrapa immédiatement son caméscope  et commença à filmer. Pendant trois minutes, la silhouette se tint immobile, silencieuse dans son halo de clarté. Sur la piste de son de la vidéo, on entend seulement les commentaires de Sara murmurant : « Qu’est-ce que c’est que ça ? C’est horrible. Oh mon Dieu… Erika c’est si horrible. » Au bout d’un moment, la créature disparut aussi mystérieusement qu’elle était apparue.

     

    Voici la vidéo

     

    *** Extraterrestre insecte *** 

     

    Quelques semaines plus tard, le professeur Victor Quesada de l’Institut polytechnique de Mexico effectua une analyse informatique de la vidéo des sœurs Cuevas. Il établit que la forme n’était pas celle d’un humain. En fait, une fois sa définition améliorée, l’image montrait une étrange tête qui avait l’air insectoïdale avec ce qui semblait être une petite protubérance en forme de tige, ou une sorte d’antenne unique. D’après Quesada, la « créature » dégageait une forte lumière et elle était trop brillante et trop régulièrement illuminée pour être un mannequin. Il estima que, quoi que ce fût, cela faisait environ 1,30 m de haut et que c’était distant de la caméra d’environ 25 m. Un travail spécifique d’amélioration de la définition sur la partie inférieure du corps montrait qu’il semblait tenir quelque chose, comme un instrument, dans sa main. Malheureusement, les enquêteurs ne découvrirent presque rien d’autres de significatif à Metapec, et il s’est révélé impossible de dire avec certitude ce que les sœurs Cuevas ont saisi sur leur vidéo cette nuit-là. Mais le plus intéressant dans cette histoire est peut-être qu’elle s’est déroulée presque simultanément à une autre rencontre rapprochée en un point opposé du globe. Effectivement, tandis que les Cuevas regardaient l’ovni à Metapec la nuit du 15 septembre, à des milliers de kilomètres de là, en Afrique, les habitants de la ville de Ruwa, au Zimbabwe, vivaient une expérience comparable. Déjà, le 14 septembre au soir, la veille de l’étrange apparition, tout le monde avait déjà les yeux rivés au ciel pour regarder un grand feu d’artifice. Ce soir-là, Cynthia Hind, la coordinatrice du MUFON en Afrique, était en train de travailler dans son bureau d’Harare, la capitale du Zimbabwe, lorsqu’elle entendit une grande explosion. Peu après, elle fut submergée d’appels lui faisant part d’une activité aérienne bizarre. Cherchant une explication rationnelle auprès des organismes officiels, elle apprit qu’après le lancement d’un satellite russe, sa capsule supérieure avait été éjectée, puis avait pénétré l’atmosphère au-dessus de l’Afrique. Cependant, d’autres témoignages décrivant une « lumière brillante en forme de cigare qui se déplaçait à la hauteur de la cime des arbres et changeait sans cesse de direction », n’étaient pas aussi faciles à expliquer de façon rationnelle.

     

    *** Témoignages d'enfants ***

     

    Le lendemain, le 15 septembre, un groupe de jeunes enfants, élèves de l’école primaire Ariel à Ruwa, remarquèrent un objet en forme de cigare qui volait bas dans le ciel. L’objet disparut et, bien qu’ils aient été intrigués, les élèves oublièrent vite ce dont ils avaient été témoins. Pourtant, le 16 septembre au matin, un événement incroyable se produisit à l’école et les enfants le relièrent immédiatement à ce qu’ils avaient vu la veille. Cela commença à 10 heures, lorsque les élèves se précipitèrent hors de leurs classes pour profiter de la récréation dans la cour. Ce matin-là, Colin Mackie, le directeur de l’école, et les 13 instituteurs étaient tous à l’intérieur pour une réunion du personnel ; la récréation n’était donc pas surveillée. Soudain, certains élèves remarquèrent une lumière pourpre qui lançait des éclairs dans le ciel. Un instant après, un grand engin en forme de disque apparut et commença à descendre lentement vers un champ vide près de l’école. Beaucoup d’enfants paniquèrent et se mirent à courir, tandis que d’autres restaient sur place, fascinés. Cynthia Hind, qui fut la principale enquêtrice de l’affaire de Ruwa, a interrogé les enfants deux jours après l’événement. Selon elle, leurs descriptions de l’engin variaient énormément. Par exemple, Marie, une petite fille de dix ans, le décrivit comme un objet dégageant une « lueur dorée si brillante qu’elle était difficile à regarder ». En revanche, Guy, âgé de onze ans, affirma qu’il était « multicolore, avec des rayures noires, vertes et argentées ». Certains décrivaient un seul engin, d’autres avaient vu un engin principal et trois autres plus petits.

     

    *** Un disque en dôme ***

     

    L’ufologue allemand Michael Hesemann, qui a interrogé 44 des enfants en 1997 ( soit trois ans après ), pense que les divergences entre les témoignages ne signifient pas que l’événement ait été inventé. Selon lui, « compte tenu du nombre très important de témoins et du choc de l’événement, il est normal que les descriptions varient ». Cependant, en s’en tenant aux parties concordantes d’un certain nombre de témoignages, les enquêteurs réussirent à conclure que ce qui avait atterri dans le champ était un grand disque lumineux, avec un dôme aplati sur le dessus, entouré de lumières jaunes ou d’embrasures de porte et qui se prolongeait dans sa partie basse par un mécanisme d’atterrissage à trois pieds.

     

    ovni similaire à l'observation de Ruwa

     

    Il semble que lorsque l’engin a atterri, des boules de lumière ou des disques miniatures en sortirent puis commencèrent à voler autour pendant un moment. Certains enfants se mirent à crier et beaucoup rentrèrent en courant dans les bâtiments de l’école. L’émotion retint cependant la plupart des enfants sur le terrain de jeu et, en tout, environ 100 élèves furent témoins de cette rencontre rapprochée. Certains des enfants, les plus courageux, s’avancèrent et montèrent sur un tas de bûches pour mieux voir l’engin qui était à 200 m de là. Alors, au plus grand étonnement des enfants, trois êtres sortirent l’un après l’autre de l’arrière du disque. D’après ces témoins, il semble que l’un des êtres soit resté près de l’appareil tandis que les deux autres allaient vers les enfants dans ce qui fut décrit comme une « lente oscillation ». Les enfants les plus proches des entités les ont décrites comme faisant environ 1,20 m de haut, portant des combinaisons noires, brillantes et moulantes. Deux d’entre eux étaient chauves, mais le troisième avait de longs cheveux noirs. Certains enfants purent voir un bandeau de métal autour de leur tête. Les visages des entités étaient, d’après eux, noirs avec un petit nez et une fine bouche.

     

    *** Messages écologiques ***

     

    Ce qui a le plus marqué les enfants, ce sont les « grands yeux noirs » des créatures qui, d’après eux, ressemblaient à des « yeux de chat ». Il est intéressant de noter que de nombreux enfants prétendent avoir reçu des messages après avoir regardé les yeux des créatures, une méthode de communication qui est souvent rapportée par ceux qui ont été enlevés par des extraterrestres. D’après les ufologues, tous ces messages étaient de la même nature et correspondaient à un scénario classique : les êtres étaient, semble-t-il, soucieux d’alerter les enfants sur la destruction en cours de la planète par l’humanité. Une fois que les êtres eurent délivré leur message, ils retournèrent dans leur engin. Pendant ce temps, plusieurs enfants s’étaient précipités dans l’école pour avertir les instituteurs, mais aucun membre de l’équipe ne voulut d’abord croire leur histoire. La seule adulte qui était à proximité était Alyson Kirkman, de la cafétéria. Un des enfants lui dit :  «  Il y a un petit homme qui court dehors avec un habit d’une seule pièce et un bandeau autour de la tête. Viens vite voir ! » Elle éclata de rire et lui dit « mon œil ». Entre le moment où l’engin avait atterri et celui où l’ovni était reparti prodigieusement vite, dans une explosion de lumière et d’éclairs, il s’était écoulé trois minutes. C’était un temps bien insuffisant pour convaincre les instituteurs en réunion de venir immédiatement voir ce qui se passait. En effet, lorsqu’ils finirent par sortir, l’engin avait déjà disparu. Après avoir écouté les enfants, dont certains étaient hystériques, l’équipe commença à penser que les récits fantastiques des enfants pouvaient bien être vrais. C’est pourquoi ils appelèrent Cynthia Hind.

     

    *** L'activité s'intensifie ? ***

     

     

    Quoi qu’il se soit passé à l’école Ariel ce jour-là, les évènements ont assurément eu un lourd impact sur les enfants, surtout ceux qui ont prétendu avoir été en interaction avec les êtres « extraterrestres ». Comme Sara et Erika Cuevas à Metapec, les enfants de Ruwa furent profondément marqués par leur expérience. Pourquoi ces deux rencontres rapprochées se sont-elles produites presque en même temps ? Les ufologues peuvent seulement dire que cela semble faire partie d’un schéma d’intensification des visites d’extraterrestres sur la Terre.

     

    Certains supposent aussi que c’est le signe d’une étape supplémentaire dans le programme extraterrestre pour faire savoir à l’humanité que nous ne sommes pas seuls dans l’Univers et que nous nous devons de prendre soin de la Terre qui nous héberge

     

    Pour en savoir plus ( en anglais ) :

     

    http://www.ufoevidence.org/cases/case127.htm

     

    La taverne de l'étrange- 13 août 2006


     

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    1954- Rencontre inhabituelle à Quarouble... 

     

    Automne 1954, après s'’être manifesté aux USA, le phénomène Ovni gagne l’'Europe et plus particulièrement la France, le mois de Septembre et Octobre sont riches en apparitions célestes et de ses machines volantes habitées par des êtres non moins étranges qui se posent sur son sol.

     

      

     

     

    Une petite maison au bord d’'une voie ferrée, dans la commune de Quarouble, à proximité de la frontière Franco-Belge, c'’est là que vit la famille Dewilde en cet Automne de l’'année 1954.

     

    Nous sommes dans la soirée du 10 Septembre, Marius lit son journal, sa famille est couchée, l'’horloge de la cuisine indique qu'’il est alors 22h30. Subitement il est attiré par les aboiement de son chien au dehors; …il sort de sa maison, il fait nuit et à quelques mètres sur sa gauche, il distingue une masse sombre sur la voie ferrée, et pense alors qu'’un paysan aura laissé sa charrette de foin là, car les chemins sont mauvais dans cette région et les cultivateurs passent souvent par là pour rentrer leurs récoltes. A ce moment, son attention se reporte vers son chien qui aboie dans la direction opposée, il entend des pas et distingue une silhouette, il braque sa lampe torche et il remarque alors deux curieux personnages, à 4 m devant lui qui marchent dans sa direction, leur taille ne dépasse guère 1m, chacun d’eux porte un casque et une combinaison évoquant la tenue des scaphandriers (les tenues d’'astronautes n'’existaient pas encore à cette époque)….

     

     

     

     

    Poussé par la curiosité, Marius s'’approche des deux êtres lorsque soudain, un puissant rayon lumineux provenant de la masse sombre posée sur la voie est braqué sur lui. Surpris, il tente d’'esquisser un mouvement, mais il ne peut plus bouger ! Il veut crier, mais aucun son ne sort de sa bouche, il se sent littéralement paralysé ; son corps est envahi de picotements. Comme dans un rêve, il perçoit la présence des curieux personnages qui marchent en direction de l’'engin mystérieux. Puis il entend un bruit, semblable à la fermeture d'’une porte à glissière, puis le rayon qui était braqué sur lui disparaît. L'’obscurité règne à nouveau, la sensation paralysante s’'efface, Marius retrouve le contrôle de ses muscles. Il voit alors l’'engin s'’élever silencieusement, et ressent un violent déplacement d’air, l’'objet s'’illumine au fur et a mesure qu’il prend de l’'altitude et n’'est plus qu’'un point rougeoyant qui disparaît dans le ciel obscur. Très éprouvé par son aventure, il se rend à la gendarmerie les prévenir, mais n'’y faisant rien, il va alors au commissariat d'’Onnaing, où il fait une déposition, le commissaire impressionné par l'’émotion du témoin, écarte l’'hypothèse d’'un canular. Le lendemain, des enquêteurs de la police et de la DST ( défense de la sécurité du territoire ) arrivent sur les lieux de l'’incident ; les journalistes débarquent également, et Marius doit inlassablement répété son histoire. Rapidement, les enquêteurs se rendent comptent de la bonne foi du témoin, car d’'autres personnes ont vus également une lueur rouge dans le ciel en direction de Quarouble. A l’'endroit où s'’est posé l’'engin, sur la voix ferrée, trois des traverses de bois du ballast portent des traces; …des marques récentes présentant une certaine symétrie, elles semblent indiquées qu'’une forte pression a été exercé a cet endroit.

     

     

    D'’après les ingénieurs des chemins de fer, la pression est de l’'ordre de trente tonnes. Les pierres à proximité s’'effritent, comme si elles avaient étés calcinées par une haute température. Tout ceci semblait confirmer le récit de Marius Dewilde, aucune solution ne fut donnée et l’'enquête en resta là. …C'’est alors que le 10 Octobre vers midi, un mois jour pour jour, après ces évènements surréalistes, apparaît sur une autre voie ferrée passant derrière la maison de Marius, un objet plat et circulaire surmonté d'’une tourelle, qui repose sur le ballast, à une cinquantaine de mètres des témoins. Plusieurs êtres, apparemment les mêmes que la précédente apparition, se tiennent à proximité de l’'engin. Ils portent des combinaisons gris foncé d’'une matière souple évoquant du plastique où du caoutchouc. L’'un des êtres s'’approche de lui, alors il distingue derrière la vitre du casque qu'’il porte, un visage lui souriant et paraissant du type asiatique. L’'être venu d’'ailleurs se met à caresser la tête du fils de Marius en prononçant des paroles incompréhensibles mais curieusement audibles malgré son casque. Apercevant des poules à proximité, le visiteur se saisit d’'une des volatiles, bizarrement, au lieu de s'’enfuir, la poule se met ventre à terre et se laisse prendre docilement.

     

     

    Après un signe d’'amitié envers les témoins, le visiteur fait signe à Marius de s’'éloigner de la soucoupe, et regagne son bord avec ses autres compagnons. Peu après, l’'engin décolle dans le plus grand silence, suivi des yeux des deux témoins les laissant perplexe. …Cette apparition hors du commun fit une victime, son chien qui dépérit peu à peu et mourut six mois plus tard.

     

     

    Marius Dewilde est décédé le 1er octobre 1996

     

    Source article : Ceux venus d’'ailleurs par J. Lob & R. Gigi – Dargaud Editeur- 1973

     

     

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    Info : du nouveau dans l’'affaire Marius Dewilde

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    Mise à jour le 22 août 2006

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    Homme de terrain passionné par le phénomène ovni depuis 1977, Claude Burkel est ce qu’'on a coutume d’'appeler dans le milieu ufologique un « chercheur ». En 1994, il prend contact avec Marius Dewilde, le témoin d'’une des affaires les plus connues de l’'ufologie française. A plusieurs reprises les deux hommes vont s’'entretenir au téléphone. Puis c’'est la rencontre, à Tours, où demeure Marius. Une rencontre chaleureuse entre les deux hommes. Aidé de ses notes, claude nous livre aujourd’'hui la teneur des confidences que lui fit Marius, et qui laissèrent à jamais une forte et troublante impression dans l’'esprit du chercheur… Marius Dewilde devait décéder deux ans plus tard, le 1er octobre 1996.<o:p></o:p>

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    *** De nouvelles infos ***

     

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    claude burkel avatar 

     

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    Le 12 septembre, soit deux jours après les évènements, à Quarouble, un commerçant anonyme, au volant de sa voiture, est paralysé par un rayon vert émanant d'’un engin qui décolle. Le 13 septembre, c'’est la découverte de trois vaches mortes dans un champ voisin de la maison de la famille Dewilde. Une autopsie révèlera que les bêtes étaient évidées de leur sang. Pour Marius, les ennuis ne font que commencer. Un second atterrissage a lieu un mois plus tard, durant lequel il reçoit deux objets. Le premier, une « valise », est rapidement récupéré par la DST ( défense de la sécurité du territoire ), tandis qu'’il parvient à conserver le second, en dépit des énormes pressions.

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    *** Ma rencontre avec Marius Dewilde ***

     

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    Marius avec son fils devant sa maison 

     

    En août 1994, je me rends à Tours et je rencontre Marius pour la première et dernière fois, dans sa maison, avec son épouse et ses deux chiens. Gitan d’'origine, c'est encore un homme robuste, malgré ses 73 ans. Ses yeux sont vifs et il parle un langage assez rustre avec un fort accent. Il a perdu son bras droit dans des circonstances très étranges. Nous nous connaissons déjà par téléphone, aussi suis-je particulièrement bien reçu. Marius est un homme simple, son langage est rustique, et toute notion scientifique lui est totalement étrangère. La science lui est inaccessible, faute de culture générale, et pourtant de par le contact qu'’il a vécu, il semble capable d'’émettre des concepts très supérieurs aux connaissances actuelles. Tout de suite, il me parle de Marc Thirouin : « C’'est un de mes plus grands amis, l’'un des plus sincères de tous les ufologues », me dit-il. Marius sait que j'’ai travaillé avec lui dans la fin de sa vie, c’'est d’'ailleurs comme cela que je me suis présenté à lui.

     

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    *** Confidences de Marius ***

     

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    Marius et les gendarmes sur le site

     

    <o:p></o:p>

    Nous parlons alors de ces documents que nous nous sommes échangés par voie postale et que nous n'’avons jamais reçus. Il m’'avait prévenu au téléphone : « Ecoutez. Si vous m’'envoyez quelque chose, faites-le en recommandé avec accusé de réception, parce qu'’il y a tellement de courrier qui ne me parviennent pas. Tout est plus ou moins saisi, vous voyez ». Les courriers étaient donc partis en recommandé et ils ne sont jamais arrivés. Après avoir fait le tour de cette disparition postale, Marius me retrace toute l’'affaire de 1954, dont les évènements sont déjà bien connus du public. Il me parle aussi, en des termes affectueux, de son chien Kiki qui lui aussi fut témoin du premier atterrissage et qui tomba malade peu après. Il évoque son fils, âgé de trois ans en 1954, et qui était présent à ses côtés pendant toute cette période. Comme je lui demande où se trouve son fils aujourd’'hui, il me répond qu’il a désormais très peu de contact avec lui. « Mon fils ne veut plus entendre parler de cette histoire. C'’est un garçon qui a peur. Lorsque j’'ai été chez lui, j’'ai vu des ovnis, et cela à 200 km de chez moi. Il a pris son appareil et les a photographiés. Nous avons tous peur. Il y a tellement de menaces. Et encore les menaces… lorsque c’'est verbal… moi je suis manchot maintenant. C’'est pour ça que je n’'en dis pas trop au téléphone, et que je préférais que vous veniez me voir directement chez moi. » Peu à peu une confiance s'’instaure entre nous. Il me raconte alors les problèmes qu'’il a rencontré avec des services de renseignements français et américains.  « Je vais vous dire quelque chose. J'’ai toujours des contacts avec ces « êtres » mais je ne dis plus rien car on est venu m’'assaillir chez moi. J'’ai eu le bras coupé, et ils sont revenus, j'’ai eu quatre côtes cassées et la mâchoire décrochée…. Pour mon bras c'’était en 1971, et c'’est en 1982 ou 83 qu'’ils m’'ont cassé les côtes et la mâchoire. Ils cherchaient ce qui était resté dans ma tête. Mais je ne suis pas fou… »

     

    Marius face aux enquêteurs...

     

    Il me raconte qu'’il a été invité par des ufologues américains, des spécialistes de Roswell, à se rendre aux Etats-Unis. Il devait recevoir un chèque de 10000 dollars. Malheureusement, suspecté d'’espionnage, il ne put répondre à cette invitation. Il n'’a donc pas quitté le territoire, et par conséquent, il n’a jamais reçu l’'argent. « Un jour, me dit-il, j’'ai fait une conférence, j’'étais invité par des amis ( le Gepan ). J’'ai dit tout ce que je pensais du gouvernement, et tout ce que j’'avais sur le coeœur. J’'ai été invité dans beaucoup d’'endroits. J'’ai accepté de passer à la télévision à condition que je dise la vérité sur le gouvernement. Ils ont refusé. Ils ne veulent pas que je raconte des trucs pareils. Pourtant, il faut voir ce que ces « êtres » m’'ont fait vivre. Ils m’'ont donné beaucoup de choses. Ce sont des êtres qui possèdent une science supérieure. Pour eux, nous, nous ne sommes que des bêtes ! » Puis, après une bonne heure de discussion, Marius en est arrivé à me parler de la fameuse « valise » de 70 cm de long et 40 cm de profondeur et autant de largeur, que les « êtres » lui avait confié et qui avait été récupérée par un commandant, un capitaine et deux hommes de troupes en armes, avait été remise aux Etats-Unis à la suite de transactions entre les gouvernements français et américains. « Là encore, me dit-il, on m’'avait promis de l’'argent que je n’'ai jamais reçu ». Il me raconte alors qu'’il a été soumis à la torture par les services secrets. Tout d’abord ce fut pour le faire parler, puis dans un second temps, ce fut pour le rendre fou et le faire passer pour quelqu'’un de dangereux. Ces pratiques ont duré plusieurs années. Puis il y eut les menaces verbales, la surveillance, l’'ouverture de son courrier. D’'après ses dires, tout cela durait encore en 1994.… Je lui ai demandé de m’'en dire un peu plus sur cette valise ou cette boîte. Avant de la cacher dans le tas de charbon de sa cave, Marius l’'avait ouverte et m’a confirmé qu'’il y avait bien toutes sortes de « cadrans » sans aiguille à l’'intérieur. « Ca clignotait ; c’'était de toutes les couleurs. Il n’'y avait pas de relief. » Puis, il m’a expliqué qu’'une fois la boîte refermée, les jointures ont disparu. Elles se sont comme escamotées et il n’'a jamais été en mesure de rouvrir la « boîte ». Le poids de celle-ci devait faire à peu près 5 à 6 kg. Lorsqu'’il tapait dessus, ça résonnait comme si elle était vide…. Vers la fin de notre entretien, il m’a dit qu'’il possédait encore l’'autre objet : une plaque ronde de 10 cm de diamètre et 3 cm d'’épaisseur. Il y avait des signes gravés à la surface qui ressemblait un peu à des crop-circles. Et sans me témoigner la moindre méfiance, il m’a montré la plaque. Je ne sais pas ce qu’elle est devenue maintenant. Toujours est-il qu’il n’'a pas souhaité que je fasse des photos. « Trop dangereux, m’a t-il dit, en précisant que son fils n'’avait jamais eu l’'occasion de voir cette plaque, « Je vais vous dire quelque chose, j'’ai tellement de menaces…. C’'est pas possible Monsieur, j’'ai tout expliqué, on m’a tout pris, tout. Je ne sais pas si vous avez lu le livre… c’'est une véritable trahison qu’ils ont fait là. J’ai raconté quelques petites choses de ma vie, et le directeur… il a tout gardé pour lui…. Tout ce que j’'ai expliqué ne se trouve pas sur mon livre.… Moi j'’ai eu un petit tirage mais ils pris ce que j’'avais dit et ils ont écrit un livre en Amérique et réalisé un film avec ça. Alors, je vous le demande, à qui voulez-vous que je fasse confiance maintenant ? »

     

     

    Au moment de nous séparer, nous avons parlé des poules mortes et des bovins exsangues et vidés de leur moelle épinière. A l’'époque, il avait posé la question aux « êtres »… Leur réponse : « Nous avons besoin de certains de vos éléments pour nos superpositions d’'adaptation aux différentes civilisations… ». Marius avait bien retenu cette phrase qui l’'avait marqué.… Il se souvenait également parfaitement bien de sa visite à bord de l’'ovni, et surtout des bases existantes sur terre. Sa description était précise et il ne manquait aucun détail.

     <o:p></o:p>

    *** Conclusion ***

     

    <o:p></o:p>

     

    <o:p>ICI l'interview téléphonique de Marius réalisé en 1995 par C. Burkel !</o:p>

     

    <o:p></o:p>

    J’'ai eu beaucoup de chance de rencontrer cet homme et de pouvoir discuter avec lui à plusieurs reprises au téléphone. Il n’'est plus parmi nous aujourd'’hui. Le premier atterrissage et les péripéties exceptionnelles qui suivirent ne peuvent pas être mis en doute. Trop de recoupements, trop d’'éléments matériels. Il n’'en est peut-être pas tout à fait de même des évènements qui suivirent. Que penser des pressions militaires ; du rôle des services secrets ; des contacts répétés qu’'il eut par la suite avec ces visiteurs.… Bref au sujet de tout ce qu’il affirma par la suite, je suppose que la raison impose la prudence la plus élémentaire. Qui peut connaître la vérité d’un homme qui fut réellement et brutalement confronté à un phénomène inconnu…? Le 10 septembre 1954, cet homme a vécu une expérience hors du commun. Il n'’était pas fou, en aucun cas, quand je l’'ai rencontré. Tout au long de nos conversations, il était complètement sincère.… Toutefois, si ce qu'’il m’a dit était bel et bien sa vérité, était-ce pour autant conforme à la réalité ? On a vu d'’autres exemples où le « phénomène » pouvait projeter des images, des évènements, des souvenirs dans l’'esprit de certains contactés qui dès lors les tenaient pour réels. D’'un autre côté, il y avait ces courriers recommandés disparus ; il y avait ces objets en sa possession, cette plaque qu'il m’a montré, et ces excroissances de nickel qu'’il disait avoir pris dans le vaisseau par poignées. « Des résidus » lui avaient répondu les « êtres » alors qu'’il leur demandait ce que c’'était.

     

    01cg4.png

     

    Il m’a offert une petite quantité de ces résidus, et peut-être un lecteur pourra-t-il me dire d’'après la photo à quoi peut bien correspondre cette formation métallique pleine, comme si le métal- à la manière d’'un végétal- avait poussé. Certains amis m’'ont dit que ce genre de chose ne pouvait se faire que sous apesanteur… une confirmation serait la bienvenue. Une analyse sérieuse de ce matériel pourrait nous apporter le début d’'une réponse, une fois pour toute.

    D’'une façon ou d’une autre, Marius Dewilde a payé très cher d’'avoir touché du bout des doigts au grand mystère des ovnis. Et quoiqu'’il arrive, il a emporté son secret avec lui… <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Info de la revue Top secret N°17

    <o:p></o:p>

     

    Source-  Claude Burkel

     <o:p></o:p>

    Un livre fut consacré à l’affaire Marius Dewilde et à ses contacts avec ces « êtres »

    « Ne résistez pas aux extraterrestres ». Edition du Rocher

     


     

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    4 commentaires
  • socorro1

     

    1964- L’'affaire Socorro…

     

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    Tout commença le 24 Avril 1964, lors d’'une banale poursuite avec un conducteur qui roulait à vive allure, dans la ville de Socorro au Nouveau-Mexique, ville qui allait par la suite devenir célèbre dans le monde entier, grâce à l’'observation inhabituelle du policier Lonie Zamora.

    Prenant en chasse un automobiliste indélicat, Lonie entendit au loin, une forte explosion et aperçut une flamme bleuâtre dans le ciel, il décida d'’interrompre sa poursuite avec le chauffard et se rendit en direction de l’'explosion, car il est vrai, dans les parages se trouvait un entrepôt de matières dangereuses et explosives, il arriva sur place et ne trouva rien d'’anormal, pas d’'incendie à l’'horizon, sauf qu'’il remarqua sur une colline proche de lui, un engin de forme ovoide, de couleur métallique posé là, qu'’il prend tout d'’abord pour un véhicule accidenté, dans son affolement, il appela le shérif par radio pour signaler qu'’un accident avait eu lieu, car il se trouvait à une distance d'environ 250 m, une fois arrivé sur place, il aperçu deux silhouettes portant des combinaisons blanches qui s'’affairaient autour du « véhicule », mais très vite il se rendit compte que c’'était quelque chose qui lui était inconnu, il était alors à 40 m de l’'engin, il remarqua sur celui-ci, un symbole : 

     

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    un demi-cercle avec une flèche pointant vers le haut d’'environ 40cm de côté. Puis au bout d'’un moment, il entendit une explosion émanant de l’'intérieur de l'’engin, il se protégea alors derrière sa voiture craignant que celui-ci n’'explose, et c'’est là que l’'engin se mit à quitter le sol, il aperçut une flamme sous l’'appareil, le tout dans un vacarme assourdissant, puis il disparut dans le ciel comme un éclair. Entre temps, le shérif arriva et découvrit Lonie totalement abasourdi par ce qu'’il venait de voir ; les deux policiers se rendirent sur le lieu de l’'atterrissage et constatèrent que le sol fumait encore et que des traces subsistaient, là où l’'engin avait décollé.… Par la suite, des enquêteurs militaires arrivèrent et examinèrent scrupuleusement le site, ils recherchèrent des indices et d'’éventuelles traces de radioactivité.

     

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    D'’après la description de l’'engin faite par Lonie, les enquêteurs tenteront de lui expliquer qu'’il aurait pu confondre l’'engin extraterrestre avec un prototype d’'appareil appartenant au programme LEM ( luna exploration module ), mené dans une base d'’essai militaire implantée non loin de la zone d’'observation, sans réussir toutefois à le prouver. Commandité par l'’US Air Force, le projet « Blue Book », était chargé de récolter le maximum d’'information sur les Ovni, mais ce projet fut loin de combler les attentes du public et des ufologues, l’'enquête semblait servir à masquer la vérité …néanmoins, J. Allen Hynek, ancien astronome et conseiller scientifique auprès de l'’US Air Force, se rendit lui aussi sur le site à Socorro, afin d'’enquêter et plus tard il confia que cette affaire reste une des plus intéressante qu'’il lui ai été donné de voir.

     

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    Pour info :

     

    - le réalisateur S. Spielberg fit appel à lui pour son film « Rencontre du 3ème type », tourné en 1977, il fut chargé des questions et des différentes descriptions concernant les ovni, d'’ailleurs l’acteur français F. Truffaut joua dans le film le propre rôle de J. Allen Hynek .

     

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    Pour plus d’'info voir le site :           http://www.rr0.org/

     


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