• Des "E.T" ont-ils visité l'époque de la Renaissance?

    Jérôme Cardan est un mathématicien, un philosophe, un astrologue, un inventeur, et un médecin italien né en 1501 et mort en 1576

    Hieronymus Cardanus (francisé en Jérôme Cardan) était un grand mathématicien, philosophe, astrologue, inventeur et médecin italien du XVIème siècle. Il est, encore aujourd'hui, autant reconnu pour son érudition déconcertante que pour son côté extravagant. 

     

    Son père, Fazio Cardano, était un docte juriste milanais et un grand ami de Léonard de Vinci. Celui-ci raconta à son fils qu’un jour il rencontra plusieurs êtres mystérieux. Pour lui, il s’agissait d’esprits. Mais en lisant la description qu’il en fait, on serait plus enclin à penser que ces humanoïdes étaient, en réalité, des extraterrestres. Jérôme Cardan a évoqué ces rencontres du troisième type dans l’un de ces plus célèbres ouvrages intitulé De subtilitate paru en 1550. 

     

    Voici ce qu’il en dit :

     

    « Le 13 août 1491, que j’eus dit mes oraisons à vingt heures du jour, sept hommes me sont apparus comme de coutume, vêtus d'habits de soie, d'un manteau presque de la manière des Grecs, ayant chausses rouges. [...]Ils portaient des chemises resplendissanteset rouges, d'une façon plus étroite qu’habituellement. Elles étaient fort belles. Toutefois ils n'étaient que deux ainsi vêtus lesquels semblaient être les plus nobles : deux autres compagnons suivaient le premier de ces deux qui était le plus grand et rouge : les autres suivaient le second qui était le plus pâle, et le plus petit. Ainsi et par tel ordre étaient ces sept esprits. » 

    « Il n'avait pas écrit s'ils avaient la tête couverte ou non. Ils étaient âgés, presque de quarante ans. Quand il les interrogeait qu'ils y étaient, ils répondaient être hommes presque composés d'air, qui naissaient et périssaient, mais que leur vie était plus longue que la nôtre, laquelle s'étendait jusqu’à trois cens ans. Ils disaient être bien plus unis avec les dieux que le genre humain, toutefois qu'ils étaient infiniment différents de ceux-ci et qu’ils étaient plus heureux ou plus malheureux que nous [...]. Ils disaient que rien ne leur était inconnu, ni livres, ni trésors et que l'infime partie d’entre eux, et les plus viles étaient les Anges des hommes nobles […]. Comme ils n’étaient fait que de corps subtil, qu'ils ne pouvaient nous faire du bien ou du mal, hors mis pour les visions, terreurs, et les sciences. Celui qui était le plus petit, avait trois cens disciples : le premier qui était le plus grand en avait deux cents dans l’académie publique [...].

    Quand mon père leur demandait, pourquoi ils ne révélaient pas aux hommes les trésors, puis qu'ils savaient où ils étaient, ils répondaient être soumis par la loi du prince, et qu’ils risquaient de grande punition s’ils communiquaient tel secret aux hommes. Ils demeurèrent chez mon père plus de trois heures, pendant tout ce temps ils discutèrent avec lui, qui les interrogeait de la cause dit monde : celui qui était le plus grand , disait que Dieu n'avait pas fait le monde d'éternité, au contraire l’autre assurait que Dieu avait créé le monde et que s'il le décidait, le monde périrait. Outre il alléguait quelques propos des disputations d'Averroès. néanmoins que ce livre n'eut été encor vu, il citait les noms de certains livres dont une partie fut trouvée d'autres non : toutefois tous ces liures étaient d'Averroès. Ils confessaient publiquement qu'il était Averroïste. » 

     

    « Qu’il s’agisse d’une histoire ou d’une fable, c’est tel qu’elle fut écrite. Que ce soit une fable l’argument et la conjecture en est grande parce que ces opinions n’approuvent pas suffisamment la religion, et que mon père avec ces esprits n'en était pas plus heureux, ou plus riche, ou plus célèbre que moi, qui n’ait jamais vu d'esprits. Toutefois mon père eut peu à répondre qu'il avait prédit plusieurs choses qui ne purent être connues sans laide des esprits, comme quand il prédit que l’Empereur serait finalement le supérieur en Italie [Charles Quint fut élu empereur des Romains en 1519, NDLR], ce qui à peine advint trente ans après : les esprits malins font menteurs, dit-il, se jouxte à la parole de Vérité, l'esprit malin est le père de mensonge : il disait n'avoir eu en soin les richesses et honneurs, desquelles il fut plus cupides & qu'il était né de petite fortune, et que les premiers commencements avaient empêché la fortune ;

    puis il disait qu'il pouvait avoir un Ange plus grand et excellent que les autres : et quoique les esprits ne se montrent, ils n'aident chacun selon l'opportunité : il disait que son Ange s’était manifesté, non que les autres Anges s’étaient manifesté aux autres hommes, soit parce qu'il était utile, soit parce qu'il avait la conscience nette, étant un homme de bien et de religion , ou soit parce qu'il avait reçu d’un espagnol mourant une conjuration. »

    Dans cet extrait Jérôme Cardan parle d’Anges venus du ciel. Or, d’après ce qu’il nous dit, ces Anges débâtaient de l’existence même de Dieu et de sa création. Sachant que les Anges, dans la Bible, sont très proches de leur Créateur, comment pourraient-ils remettre en cause son existence ? Il serait inconcevable pour n’importe quels théologiens qui se respectent de penser que des anges pourraient être athés.

    En prenant en compte nos connaissances d’aujourd'hui, l’hypothèse extraterrestre semble, de ce fait, parfaitement coller …

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  • Abducté de manière systématique depuis la plus tendre enfance, Jérôme ancien Policier, nous narre les vicissitudes de son existence depuis qu'il est la proie d'un phénomène qui touche toute sa famille.

     

    Bretagne- Jérôme enlevé par des E.T

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  • 3 adolescents enlevés par des aliens en 1974

    Le samedi 3 juillet 1974, trois témoins auraient été enlevés par des extraterrestres alors qu'ils se trouvaient ensembles dans la ville de Fairview, dans l’État du New Jersey. Au cours de cette aventure, ils auraient été emmenés à bord d'une soucoupe volante ...

    Au moment des faits, c'est-à-dire entre 6 et 9 heures du matin, ces adolescents jouaient au basket. Le temps était clair et ensoleillé et ils se trouvaient juste en face d'une caserne de pompiers de la ville. Alors qu'ils marchaient vers la maison d'un ami, ils remarquèrent que la zone était anormalement vide de voitures alors qu'habituellement il aurait dû y avoir « 50 ou 100 personnes dans le parc. »

    Dans le ciel, l'un d'eux vit une lumière aux couleurs de l'arc-en-ciel. Puis, un instant plus tard, il remarqua la présence d'une soucoupe métallique argentée et brillante. Cet engin possédait des fenêtres rondes et teintées. Ce dernier partagea son observation avec ses deux amis qui purent eux-aussi le voir. En s'approchant, l'engin émettait un bourdonnement et un puissant vent.

    Ils étaient tous paralysés et ils ne pouvaient donc pas s'enfuir. Plus tard, ils rentrèrent à la maison sans toutefois se souvenir avoir marché jusque là-bas. Le témoin discuta de cet incident avec ses deux amis (aujourd'hui décédés) et ils n'avaient aucun souvenir d'avoir été dans un vaisseau spatial. Quant à lui, il se souvenait avoir vu des « tables d'opération », et qu'ils se tenaient tous à environ 30 pieds de distance. L'OVNI paraissait plus grand à l'intérieur qu'à l'extérieur, peut-être 400 pieds de diamètre. Il y avait environ 25 humanoïdes, mesurant environ 4 pieds de hauteur. Il y en avait 10 à 15 autour de lui tandis que le reste se trouvait autour de ses amis.

    Les créatures avaient la peau de couleur grise, de grandes têtes rondes et de grands yeux noirs. Les créatures le touchaient partout. Ils parlaient par télépathie et ils semblaient être surpris quand les aliens ont réalisé qu'il pouvait les entendre. Dans sa jeunesse, sa mère lui avait dit que, dans la famille, beaucoup possédaient des capacités psychiques.

    Le témoin demanda à ses kidnappeurs pourquoi ils étaient là. Il avait l'impression qu'ils étaient très gentils, curieux et qu'ils ne lui voulaient aucun mal. Le témoin pense que ces aliens ont soigné ses amis d'une maladie cardiaque qu'ils portaient tous les deux, rallongeant ainsi leur espérance de vie.

    A l'intérieur du vaisseau, il se souvient avoir regardé par la fenêtre le terrain de basket où ils avaient joué. Il pouvait voir d'autres êtres se déplacer dans les longs couloirs. Il précise que l'objet laissait, derrière lui, une traînée multicolore.

    Finalement, quand il est rentré chez lui, sa mère trouva quelque chose de changé en lui, sans savoir quoi …

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  • bloc operatoire
     
    Les récits de rencontres du quatrième type, ces enlèvements par de petits hommes verts rapportés sous hypnose, s’expliqueraient par un réveil accidentel au cours d’une anesthésie générale.
     
    "Ils m’ont retourné sur le dos et jai vu que la personne qui m’examinait tenait en main une très longue aiguille. J’ai bien regardé cette aiguille. Elle était plus grosse que toutes les aiguilles que j’avais jamais vues." Tel est le récit fait par Betty et Barney Hill de leur expérience à bord d'une soucoupe volante, après avoir été enlevés près de Franconia Notch, dans le New Hampshire, en 1961. Un récit qui fut à l'origine du bestseller The Interrupted Journey (Le voyage interrompu, deux heures à bord d'un ovni, publié chez France Loisirs).
     
    Des milliers de témoignages similaires ont été recueillis dans les années 1960, plus particulièrement aux Etats-Unis. Et cette histoire est devenue le scénario type des téléfilms de science-fiction des cinquante dernières années. Mais, pour Anne Skomorowsky, psychiatre au New York Presbyterian Hospital et collaboratrice régulière du Scientific American, Barney Hill n’a sans doute jamais rencontré un ovni sur les routes mal éclairées et isolées du New Hampshire. Il s’est très probablement réveillé accidentellement lors d’une opération d’ablation des amygdales sous anesthésie générale.
     
    Cauchemar éveillé
     
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    La psychiatre en veut pour preuve le rapport publié en septembre dernier par le Royal College of Anaesthetists sur les réveils peropératoires et dont les conclusions viennent, à son sens, étayer la thèse d’un psychanalyste de Columbia University, David F. Forrest. Dans un rapport intitulé “Alien Abduction: A Medical Hypothesis”, publié en 2008, Forrest postulait qu’une conscience accidentelle durant une anesthésie générale se trouvait probablement derrière ces relations d'enlèvements par des extraterrestres. Le psychanalyste avait notamment relevé certains éléments du scénario classique de l’enlèvement : des humanoïdes verts avec d’énormes yeux se tiennent autour du sujet allongé sur une table froide, sous une lumière très vive. Une situation identique à celle vécue par le patient dans un bloc opératoire, où son corps est exposé à un chirurgien et à ses assistants, tous porteurs de masques et de blouses vertes. 
     
    Le rapport du Royal College of Anaesthetists souligne pour sa part les troubles psychologiques importants, parfois permanents, qu’entraînent les accidents d’anesthésie. Les deux tiers des personnes interrogées pour l’étude témoignent d'un sentiment d’impuissance et de peur panique au moment de leur réveil en pleine opération. Plus de 40 % d’entre elles ont souffert de troubles modérés à sévères et certaines ont été déclarées invalides en raison de troubles de stress post-traumatique importants.
     
    Stress post-traumatique
     
    Pour Anne Skomorowsky, l’enlèvement par des extraterrestres pourrait donc bien être l’une des pires séquelles du réveil peropératoire. Mais sûrement pas la seule, indique la psychiatre. Par exemple, “si vous détestez le jazz et si vous avez déjà subi une opération chirurgicale, cela s’explique peut-être par un souvenir. Comme ce fut le cas de l’une des personnes interrogées dans l’étude du Royal College of Anaesthetists. Autrefois amatrice de jazz, elle a développé une aversion étrange à l'égard de cette musique après son opération. Des années plus tard, elle s’est souvenue avoir entendu, en pleine opération, l’un de ses morceaux de jazz préférés dans le bloc opératoire".
     
     
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  • LA TRES REMARQUABLE AVENTURE D’OSCAR IRIART

     

    UN AVENTURE OUBLIEE  ET POURTANT ?

    Oscar-Iriart
     
    Juillet 1968- Argentine : Le jeune Oscar Iriart, un garçon de quinze ans, fils d’un fermier de Sierre China, dans la province de Buenos Aires, se promenait à cheval, un matin, dans la campagne environnante. Lorsqu’il aperçut deux « individus » qui lui faisaient signe d’approcher.

     

    Oscar, qui possède déjà un diplôme de comptabilité et a la réputation d’avoir l’esprit vif, descendit de cheval et s’approcha. Les deux hommes lui parurent tout à fait normaux, sinon « qu’ils avaient le regard fixe et les jambes à demi-transparentes ». A travers elles, il pouvait en effet voir l’herbe. Cela lui parut quand même étrange. Mais la conversation, aussitôt s’engagea… en espagnol apparemment.

    Les visiteurs : Vous allez connaître le monde.

    Oscar : Pour sûr… Lorsque j’aurai assez d’argent.

    Les visiteurs : Non nous vous emmènerons. Nous ne pouvons vous prendre maintenant parce que nous sommes trop chargés.

    Du doigt, ils montrèrent une machine volante à trois pieds, de forme elliptique, posée dans le champ. Puis, ils tendirent au jeune garçon une enveloppe en lui recommandant de la tremper dans une mare d’eau. Ce que fit Oscar sans difficulté, la prairie étant pleine de mares. A sa grande surprise, l’enveloppe et ses mains ressortirent sèches de l’eau. L’enveloppe, très « terrienne » d’aspect, contenait un message écrit en espagnole d’une écriture des plus « primaires » « Uste va conocer el Muundo P. Volardor ».

    (Voulez connaitre le monde. S. Volante). Au mot Uste, il y avait une faute d’orthographe : le d manquait, note Oscar qui ne perdait pas aisément l’esprit. Mais déjà, les deux individus étaient remontés dans leur engin et décollaient verticalement et à grande vitesse.

    Oscar eut l’impression de s’arracher au sommeil. Il courut vers son cheval et le trouva paralysé, ainsi que son chien. La terreur, alors, l’envahit. Quelques minutes passèrent avant que le cheval et chien puissent remuer. Oscar grimpa aussitôt sur sa monture et galopa comme un fou jusqu’à la ferme de ses parents. L’affaire fit grand bruit. Non que quelqu’un prit au sérieux l’enveloppe et le message. Mais des voisins incrédules s’étaient rendus sur les lieux et avaient découvert «  trois trous profonds de 12 centimètres qui formaient dans le sol un parfait triangle isocèle dont la base mesurait 2 mètres et chacun des côtés 1,58 m ».

    Maintenant, le pays était divisé en deux camps, les soucoupistes et les antisoucoupistes. Parmi ces derniers se trouvaient cinq personnalités de Sierre China, dont le boucher Carlos Marinangeli et le sergent de police Raül Coronel. Au cours de la soirée, passé au Sierre China Social Club, les cinq amis décidèrent d’aller examiner les traces laissées par l’engin, afin de confondre les auteurs de ce qu’ils estimaient être un « canular ».

    Et voici à 11 h 30 du soir, pataugeant dans les champs boueux, à la lueur de torches électriques, plaisantant gaiement sur les soucoupes volantes et les petits hommes verts. Quand, tout à coup, apparut dans le ciel, zigzaguant au dessus de la prairie à très faible altitude, une chose lumineuse qui se dirigeait droit sur eux. Les cinq hommes se jetèrent à plat ventre sur le sol. Raul Coronel sortit son revolver de service et, sans même faire les sommations d’usage, s’apprêtait à tirer lorsque son ami le boucher le détourna de ses funestes projets. On ne savait pas à qui on avait affaire ; mieux valait être prudent ! La soucoupe volante prit de la hauteur et disparut dans la nuit. A ses supérieurs, le sergent Coronel ne put que répéter, hagard : « Si, si, señores les soucoupes volantes, elles existent ! » On jugea utile de le déplacer.

    Quant au jeune Oscar, l’enquête a révélé qu’il ne s’intéressait  pas du tout à la science-fiction.

    Il y a là une mystification qui pour nous est indubitable.

    On est étonné que la très réputée Flyng Saucer Review, d’où nous avons tiré cette mystérieuse et fantastique histoire, paraisse la prendre en considération. Il est vrai que les revues spécialisées dans les O.V.N.I. ont tendance, sans vraiment les accréditer, à tenir pour possibles tous les cas d’observations tant qu’il n’est pas prouvé qu’il y a eu mystification.

    Ce qui ne dit pas la suite de l’histoire :

    Oscar Iriart  a eu une suite avec les extraterrestres, mais tout a resté dans le secret absolu, avec même des menaces de mort ! Pour qui en parlerait.

    Source : D’après FLYING SAUCER REVIEW

    par

     

    claude burkel avatar

    Lien pour votre information (esp.) :

    http://www.ignaciodarnaude.com/contacto_alienigena/Donatti,Contacto%20E.T.1968,Argentina.htm

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