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     LA SURVEILLANCE DE NOTRE MONDE

     

    Réunis à Boston (U.S.A.)  Au mois de novembre 1972, sous les auspices de la NASA, des experts en sciences, en sociologie, en théologie et communications spatiales, ont affirmé que nous n’étions pas seuls dans notre Galaxie. L’anthropologue Ashley Montagu déclare que l’homme était si méchant envers ses semblables qu’il devrait d’abord balayer devant sa porte avant de contacter d’autres civilisations.


    Ces civilisations, dit-il, nous considèrent peut-être comme nous considérons les lapins ou le choléra. Nous devrions nous préparer à rencontrer des extra-terrestres et ne pas attendre qu’un contact ait été établi pour décider de ce que nous devons faire. Le Pr Philip Morrison, physicien à l’Institut de Technologie du Massachusetts,  précise que l’homme finira par recevoir un message clair pour l’ensemble de la population, d’une autre civilisation. Ce message sera technique, scientifiquement codé et il pourra venir par petits bouts sur une période de plusieurs mois ou de plusieurs années.


    Le 2 septembre 1921, Marconi capta une émission sur une longueur d’onde inconnue des radios de l’époque. Il fut fermement convaincu d’avoir reçu des communications situées hors de notre espace. Le lendemain, J. Macbeth, directeur de la Compagnie de téléphonie sans fil Marconi, déclarait qu’il s’agisse de perturbations atmosphériques ou électriques puisque les signaux furent captés régulièrement. La seule similitude avec le code utilisé sur notre planète était la lettre V, dans les communications internationales.


    UN VAISSEAU SPATIAL D’UN AUTRE MONDE CROISE PRES DE LA LUNE


    Les expériences de Marconi, dont très peu de gens se souviennent, ont tenté un jeune astronome écossais, M. Duncan Lunan. Ce dernier est persuadé qu’un vaisseau spatial d’un autre monde croise près de la Lune. Il déclare : « Des êtres intelligents appartenant à une autre civilisation nous téléphonent de l’espace extra-atmosphérique et il ne dépend que de nous de trouver le moyen d’entrer en contact avec eux »


    D’AUTRES MESSAGES VENUS D’AILLEURS


    Quelques semaines avant le lancement du premier  satellite artificiel, Spoutnik (le 4 octobre 1957), les stations d’écoute américaines détectèrent des signaux hertziens venant de la proche banlieue lunaire. En 1923, le Pr Carl Stömer et le Dr Balthasar Van der Pol, qui pratiquaient à l’époque des essais de transmission à longue distance, constatèrent que les trains d’ondes qu’ils émettaient, étaient répercutés avec des  retards aberrants. En septembre 1953, à Londres, les téléspectateurs captèrent une mire inconnue qui portait l’indicatif « KLEE, Houston ». L’image était très nette et plusieurs personnes la photographièrent. Après une enquête technique de la B.B.C., il fut reconnu que cette station avait cessé d’émettre trois ans plus tôt ! Le Pr Ronald Bracewell, un astronome américain, déclara en 1960 que les échos anormaux enregistrés trente-sept ans auparavant par Stömer et Van der Pol provenaient d’une station spatiale extra-terrestre qui renvoyait les ondes pour tenter d’établir une communication avec la terre.


    Lors de l’expérience spatiale « APOLLO XII », les Soviétiques satellisèrent « Luna XV » pour obtenir des renseignements sur les signaux déjà enregistrés sous forme de distorsions des champs magnétiques par des sondes soviétiques au moment où des vaisseaux américains, habités ou non, contournaient la face cachée de la lune.


    LA LUNE, UN SATELLITE DIRIGE VOLONTAIREMENT VERS LA TERRE


    Au XVIII° siècle, les astronomes essayèrent de localiser une planète entre Mars et Jupiter, cet espace de 500 millions de kilomètres étant trop vaste pour ne pas en contenir une. Ce corps céleste n’y était pour ne pas en contenir une. Ce corps céleste n’y était pas ou, du moins n’y était plus, détruit peut être par un conflit cosmique. En 1801, l’abbé Piazzi observa la première mini planète qui orbitait dans cette zone, qui en compte 1750 ! Selon l’astronome américain Baade, 55000 astéroïdes pourraient encore être découvert dans cette portion de l’espace. Les savants reconnaissent qu’à première vue, il est étrange qu’entre des planètes de taille très différentient, comme Mars et Jupiter, s’intercale une telle population d’embryons.

    Ils voient dans ceux-ci les débris d’une grosse planète qui aurait éclaté. Les calculs accordent à cette planète fantôme une masse mille fois inférieure à celle de la Terre, ce qui est dérisoire, (on ne tient pas compte dans ces calculs des probabilités de Baade.)

    Ces mini planètes possèdent un fantastique secret qui n’apparut que lorsqu’on en termina la première carte détaillée. L’anneau qu’elles forment porte des traces très nettes et très importantes du passage d’un astre inconnu en son sein. L’astronome  français M.R. Mulder (ingénieur agronome) estime que le bouleversement a été provoqué par la Lune qui aurait traversé le gigantesque anneau d’astéroïdes comme un boulet de canon ! Les Soviétiques Mikhail Vassine et Alexandre Chterbakov assurent que notre satellite est « artificiel » et qu’il a été placé autour de la Terre par une civilisation extraterrestre voici des milliers d’années. Sans ce satellite, pas de marées pas de vie, la Lune est le cœur de la Terre. Ils brouillèrent leur psychisme et limitèrent leur évolution en plaçant à 384400 Km de distance, un globe de 21900000 kilomètres-cubes provoquant une attraction contrôlée. Ne pas oublier la découverte faite par Apollo X  « les Mascons » qui ont perturbés la capsule autour de la lune par une attraction intense a distance régulière, ensuite Apollo XII qui a enregistré des échos d’une demie heure sur la Lune l’or du largage du module lunaire comme une cloche qui raisonne, donc peut être creuse, donc artificielle !


    LES DECOUVERTES DU COLONEL COSTANTINO CATTOI


    Après de longues années et de recherches, notre ami le colonel Cattoi, qui collaborait avec le Centre International d’Etude Magnétique, est parvenu à découvrir l’emploi qu’on faisait dans les époques lointaines, de l’énergie magnétique rythmique (que nos visiteurs de l’espace utilisent encore actuellement !) Dans le passé, l’homme connaissait par instinct et par expérience de nombreux secrets de la nature. Sur toute la surface du globe terrestre, il y avait et il y a encore, des endroits où l’émission d’énergie magnétique terrestre est plus forte qu’ailleurs. Selon le colonel Cattoi, pour reconnaître ces lieux, les Anciens les parquaient par des figures d’animaux considérés comme des maître de la création (lions, tigres, ours, etc) qu’ils sculptaient dans les rochers. Les points de faible émission se voyaient attribuer des images d’animaux faibles (chien, chèvres, mouton, etc.). Ensuite ces indications, les hommes de jadis pouvaient créer des centrales d’énergie qu’ils exploitaient pour différents usages ou pour se défendre. En outre, grâce à ces connaissances, ils étaient parvenus à régler l’émission d’énergie magnétique du centre même de la terre, et, par conséquent, à éliminer de nombreux cataclysmes d’origine tellurique. Mais qui leurs a donné ces connaissances extraordinaires, les Dieux, mais lesquels sont ces Dieux ?


    La redécouvertes de ces anciennes connaissances a permis au Centre International d’Etude Magnétique de créer des appareils d’une puissance exceptionnelle. Quelques points de croisement de telles lignes de forces furent choisis par les Prêtres initiés des civilisations anciennes pour édifier leurs sanctuaires. Et plus tard les Celtes « les puits Celtiques » Sous ces sanctuaires, en partie détruits par le temps et l’ignorance humains, existaient des galeries qui conduisaient à ces cités ou temples souterrains, communiquant  presque tous entre eux, même s’ils sont situés à des distances énormes. Ces cités souterraines remontent à diverse ères géologiques précédant la nôtre. C’est sans doute à l’intérieur de ce monde enfoui que l’on découvrira les maillons qui manquent au chaînon de l’évolution et que l’on comblera les « trous » des périodes préhistoriques. Dans ce lointain passé, il y eut des batailles titanesques entre une civilisation de géants qui habitaient la Terre et des envahisseurs provenant de l’espace, assure le colonel Cattoi, ancien pilote de chasse.


    «  J’ai retrouvé, dit-il les points d’impacts d’astronefs extra-terrestres abattus par les hommes d’ici-bas au moyens d’énergie magnétique émanant de constructions cyclopéennes. J’ai pu détecter grâce à des appareils spéciaux les sites d’Europe où des O.V.N.I. détériorées sont enfouies à quelques mètres seulement du sol. » (1). L’armée depuis les années 2000 fait des  recherches dans la plus grande discrétion de ces fameux lieux. L’archéologue appuie ses révélations à l’aide d’une extraordinaire documentation photographique représentant des corps pétrifiés d’êtres humains et d’animaux de proportion gigantesque, qui témoignent de la bataille dont saint Jean nous parle dans l’Apocalypse.


    SUR LES TRACES D’UNE FABULEUSE CIVILISATION MEDITERRANEENNE


    En 1973  en détaillant des photos aériennes de la région niçoise, notre attention fut attirée par des aménagements de terrains dont la structure géométrique témoignait d’un important travail architectural. Claude Minghelli, du Centre d’Etude et de Recherche d’Eléments Inconnus de Civilisations, transforma ces clichés en vues stéréoscopiques et la vérité éclata. L’édifice qui nous avait polarisé, était une pyramide de plus de 50 m de large et à sa base de près de 200m.

    Situé à la sortie de Nice, le territoire de la commune de Saint-André, ce monument enfoui sous une végétation abondante échappe totalement à la vue des promeneurs.


    Cette construction date de plusieurs siècles, et le célèbre archéologue Octobon assure dans ses écrits, que le lieu fut occupé jadis par les Ligures qui y avaient construit un oppidum. Les architectes qui érigèrent cette pyramide s’aidèrent de la topographie du terrain pour élever ce gigantesque mastaba à trois faces qui s’épaule contre une haute colline. Onze étages successifs pourraient donner à croire que l’édifice a été dressé pour pratiquer la culture en paliers, comme on la pratique dans toute la région, mais une prospection poussée du terrain dément très vite cette hypothèse, car les « planches » sont trop étroites et il n’y a aucune trace de terre ou d’humus pouvant favoriser des plantations. Seuls, de petits pins et des buissons touffus s’accrochent sur un sol ingrat. Aucune recherche sérieuse n’a été effectuée sur les lieux, en 1974 le sommet du monument a été rasé. L’orientation de l’édifice a été calculée avec soin, chaque côté faisant face à un point cardinal. Dernièrement, le monument a été totalement déboisé laissant apparaitre son architecture qui s’apparente aux constructions égyptiennes du même type. Les moines de la communauté de Mérindol qui vécurent sur une colline voisine, en furent peut-être les gardiens. Maintenant, l’édifice fait place à une autoroute, mais il  a eu des découvertes importantes, qui restent secrètes, comme la pyramide de Falicon, toujours au nord de Nice. De nombreux OVNI furent aperçut depuis la disparition de cette construction, et nous de sommes pas loin du Col de Vence…

    *


    Sources : Confidence de Francis Maziére

    Ancien Directeur des Editions Laffont, collection des Livres noirs, 1974


    (1) J’ai eu le privilège d’avoir vu certains endroits ou des restes d’appareils sont encore dans la terre en France, pour ne parler que de notre territoire, sur informations de Francis, quelques années avant sa mort.

     


    31 Octobre 2009

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  •   POURRIONS-NOUS  TRANSMETTRE  AUX  E. T.  NOS  HABITUDES  NEFASTES ?

                                  

    par  Raymond   TERRASSE

     

     

    Bien qu’évidentes, je préfère mettre les choses au point, en précisant ce que j’entends par habitudes néfastes ; la drogue en général, le tabac et l’alcool. De façon secondaire, j’y ajoute les produits frelatés, qui, sous l’appellation ‘’ light ‘’, contribuent à berner les naïfs consommateurs, et à déstabiliser leur santé.

     

    Tout en insistant sur le peu d’importance de ces produits par rapport aux trois ravageurs qui débilitent la population, curieusement, celui qui est à la base de cet article, usait et abusait du pernod light dans ses romans de science-fiction de l’édition remaniée. Il l’imposait à ses protagonistes, car il n’y avait pas d’autres choix, même au 24 è siècle !  belle longévité pour un apéritif devenu interstellaire, et sans concurrence. Jimmy Guieu, car c’est de lui qu’il s’agit, arrivait, je ne sais par quel miracle livresque, à faire fumer ses extra-terrestres !

     

    Constatons avec une indulgence amusée, que transmettre cette manie polluante et négative à des non terriens, relève de l’anthropomorphisme exacerbé. Anthropomorphisme, que par ailleurs, dans ses livres ufologiques, Jimmy Guieu dénonçait avec juste raison. Mais souvent, l’auteur laisse son propre personnage envahir la trame de ses univers romanesques. Ce qui irrite parfois, mais ne retire rien à la qualité des aventures décrites. On ne peut que regretter son départ prématuré, à un âge peut avancé, car sans la cigarette, il eut probablement vécu encore fort longtemps. Et il n’est malheureusement pas le seul dans ce cas.

    L’un des premiers à avoir joué le jeu anti-tabac est Morris. Son héros, Lucky Luke, dont le prénom était celui d’une marque de cigarettes, fumait énormément, ce qui ne l’empêchait pas de battre son ombre de vitesse. Puis il devint définitivement non fumeur. On retrouve également ce changement d’habitude dans les films de James Bond.

    Ce qui nous ramène à la question-titre. Elle mérite d’être posée, commentée et méditée. La discussion s’ouvre d’ailleurs par une autre interrogation : qu’est-ce qu’un Extra-Terrestre ?

     

    Paradoxalement, les seuls que nous connaissions, sont les terriens quittant le plancher des vaches sacrées hindoues et des bonnes laitières françaises, pour aller folâtrer hors de l’atmosphère, autour de la planète, à bord des navettes spatiales, de la défunte station Mir, ou de l’actuelle station internationale. Et bien entendu, les astronautes qui ont visité notre banlieue lunaire. Toutes ces personnes, femmes et hommes furent et sont pendant un temps plus ou moins long, déconnectées de notre planète. De ce fait, elles deviennent des non-terrestres ; c’est à dire des Extra.

    Ce qui ne répond toujours pas à la question.

    Si quelqu’un venu d’ailleurs se mêle à la foule, et nous ressemble au point de ne pouvoir le différencier d’un chinois, d’un touareg, d’un iroquois, ou d’un quelconque européen, comment pourrions-nous voir un E.T. dans cette entité ?

    La vie s’est-elle développée sur d’autres mondes de manière absolument identique à la nôtre ? dans ce cas, ces êtres ont-ils pris également les mêmes mauvaises habitudes, ou ont-ils eu la sagesse de s’en abstenir ?

    Si des extra-terrestres sont issus d’une planète où l’élément liquide est le seul à avoir donné naissance à la vie, et se présentent à nous en tant que baleines à bosse, ou comme dauphins, on peut affirmer qu’ils ne toucheront jamais à aucun de ces trois poisons.

    Les seuls contacts qui ont eu lieu, hormis ceux des apparitions mariales, ont été sporadiques, brefs. Si des paroles furent émises ce fut ou à sens unique, ou de manière surréaliste, telle la conversation absurde entre Gary Wilcox et ses martiens. Dans ces conditions, nous n’avons aucun point de repère.

    De même que leurs engins ne portent aucune marque d’identification, sigle ou écusson, jamais les ufonautes ne furent aperçus en train de manger, boire, fumer ou mastiquer un produit quelconque. Excepté dans le cas Joe Simonton, où les lutins lui demandèrent de l’eau du puits, et faisaient cuire quelque chose sur une espèce de gril. En échange, il reçut des gâteaux, dont l’analyse ne révéla que des produits terrestres tout à fait banals. Il ne pouvait évidemment en être autrement.

    Si un E.T. diffère totalement d’un humain, on peut en inférer à coup sûr que ses habitudes et ses modes de pensées suivent un chemin parallèle. Il ne lui viendra pas plus à l’esprit de fumer un bon cigare de la Havane en dégustant un vieil armagnac, qu’à l’un d’entre nous de plonger à dix mille mètres dans l’océan pour faire la bise à un calmar géant. A la limite, il ne s’intéressera pas plus à nous qu’à la couleur du ciel.

    Pourtant, il existe peut-être des catégories intermédiaires entre l’E.T. indiscernable du terrien moyen, et le rocher pensant de Ganymède ?

    Où commence le caractère humanoïde sans être totalement humain ? suffit-il d’avoir une station verticale, une tête, deux bras et deux jambes ? certes non ! l’aspect extérieur peut dissimuler une structure cérébrale sans rapport avec la nôtre, des organes différents.

    Dans ‘’ Arizona zone A ‘’ les Intrus de Jean Bruce, tout en se mêlant aux hommes sans difficulté, possèdent un système digestif atrophié, qui ne leur permet d’ingérer que des bouillies spéciales préparées avec des farine n’existant pas sur Terre. De plus, leur sang flocule au contact de l’alcool, en devenant une sorte de boue grisâtre.

    Toutefois, l’aventure d’Antoine Mazaud à Mourièras, en septembre 1954, fait ressortir une caractéristique qui peut être LA différence entre un homme véritable et un autre semblable, mais venu d’un autre monde : l’étrangeté.

    C’est l’impression que ce brave fermier retint de sa rencontre à la tombée de la nuit, en rencontrant brusquement l’inconnu qui lui donna l’accolade. Il ressemblait à un homme, mais ce n’en n’était pas un. Toutefois, A. Mazaud fut incapable de préciser ce qui motivait un tel sentiment : le silence de l’être, son accoutrement bizarre, sa présence insolite dans ce lieu désert ? comme il n’est pas question d’odeur particulière, ni de sensation tactile anormale ( dureté ou mollesse exagérée des doigts ), on ne saura jamais à quoi attribuer cette étrange impression ressentie. Une chose est certaine ; l’alien n’a pas hésité à toucher le témoin, comme s’il avait la certitude de ne pas le contaminer, ni de l’être lui-même.

    Il y aurait donc là une possibilité d’entités humanoïdes extérieurement, sans être humaines pour autant. Dans ces conditions, y aurait-il une probabilité qu’elles adoptassent nos mauvaises habitudes ? tout dépend de leur philosophie, de leur psychisme, et de leur mode de vie. Mais aussi et surtout, de leur physiologie interne, et de la manière dont leurs organes réagiraient à la fumée de la cigarette, à une injection de drogue, ou une ingestion d’alcool. L’un ou l’autre de ces produits risquerait de les tuer instantanément, de les rendre fous, ou malades au point de les dégoûter à tout jamais de recommencer l’expérience.

    Seuls des êtres vivant dans une atmosphère quasiment identique à la nôtre, pourraient se risquer à tenter l’épreuve, afin d’en avoir une perception personnelle à des fins scientifiques. Encore faudrait-il qu’ils se rapprochassent de notre morphologie générale, et que leur cycle vital fût celui du carbone. Pour des êtres dont la composition cellulaire serait basée sur le silicium par exemple,  la drogue, le tabac et l’alcool n’auraient probablement aucun attrait.

    Mais s’il existe de telles races dans l’univers, peut-être ont-elles des produits similaires, qui minent leurs organismes, et contre lesquels leurs gouvernants tentent désespérément de les mettre en garde ?

    On ne peut pas comparer les différentes races de la Terre avec ces éventuelles entités peuplant d’autres mondes. Sur notre planète, la physiologie est la même, quelle que soit la pigmentation de la peau. Le mode de vie varie en fonction des conditions climatiques. On voit mal un africain soumis à la chaleur écrasante de la savane, se nourrir en permanence de viande de phoque, riche en graisse. A l’inverse, un esquimau ne survivrait pas à un régime fait d’un croûton de pain, d’un oignon et d’un piment. Cependant, ces hommes supportent en commun d’avaler de la nicotine, et d’ingurgiter des rasades d’alcool, non sans dommages pour leurs organismes.

    Peut-être est-il normal pour notre planète laboratoire, de forcer les cobayes humains à se lancer dans une pareille destruction de l’individu ; dans quel but ? si très occasionnellement, un petit verre d’alcool peut apporter une amélioration de l’humeur du moment, et un bien-être passager au corps, on sait que l’abus en est désastreux. Pourtant, rien ne semble vouloir arrêter ce fléau, qui prend au contraire de l’ampleur chez les jeunes. Et il en est de même pour la drogue.

    Ces produit nocifs sont-ils uniquement l’apanage de notre planète, ou exercent-ils également des ravages chez d’autres civilisations extra-solaires ? personnellement, je ne le pense pas, car voyager dans l’espace demande d’avoir l’esprit sain et dégagé des vapeurs d’alcool, ou de l’emprise de la drogue. Quant à fumer dans un milieu confiné, il n’en n’est plus question sur Terre ; alors encore moins dans une fusée de faible volume. Et vu le coût pour envoyer un kilogramme dans l’espace, la cartouche de cigarettes deviendrait un luxe.

    Dans bien des discussions, livres, ou films sur les E.T., nous partons bien souvent du principe anthropomorphe de la dualité mâle-femelle. Donc avec des sentiments d’amour pour le sexe opposé, selon l’immuable et inflexible loi de la physique, combinée à la mystérieuse alchimie cardiaque.

    Mais qu’en serait-il pour un être hermaphrodite, pour lequel la parthénogenèse serait la seule loi de reproduction ? l’attirance pour l’autre n’existerait pas, il y aurait seulement le lien d’appartenance au clan, à la race.

    Comment faire comprendre à cette entité ce qu’est le magnétisme du couple, voire le coup de foudre incontrôlé, que nous-mêmes sommes incapables d’expliquer ? le bonheur d’un homme arborant le plus beau collier du monde, celui formé par les deux bras d’une femme, lui paraîtrait pour le moins incongru, choquant, ou obscène, qui sait ?

    En définitive, à supposer que l’apparence d’un tel extra-terrestre soit humanoïde, carrément humaine au point de passer inaperçu au milieu des terriens, le sentiment d’étrangeté prédominera. La tendresse, la passion, le sacrifice de soi pour la conjointe ( ou le conjoint, les femmes étant encore plus sensibles ), resteraient inaccessibles à cet être. Cette incompréhension le laisserait totalement ignorant du chagrin d’amour, du désespoir de la rupture. Cet humanoïde bisexué trouverait certainement stupéfiant la forme de suicide mentale consistant à se réfugier en permanence dans la drogue ou l’alcool, soi-disant ‘’ pour oublier ‘’.

    Le film ‘’ Mon ennemi ‘’ met justement et admirablement en relief cette opposition entre deux races qui se livrent une guerre sans merci ; les hommes et des lézards humanoïdes, les dracs. Ceux-ci éprouvent une fois dans leur vie le besoin de se reproduire. C’est ce qui arrive sur la planète déserte où ont échoué les deux pilotes désemparés. D’abord antagonistes, ils finissent par devenir amis, au point que l’ancien adversaire, au moment de mourir, demande à l’homme  ( Dennis Quaid ), de protéger son rejeton, et de le présenter au Grand Conseil de sa planète, selon la loi antique. Ce que réussit l’humain, grâce à sa ténacité, et malgré tous les dangers encourus.

    L’épisode final montre la cérémonie d’intronisation de son neveu-lézard chez les dracs, préludant ainsi à la paix entre les deux peuples.

     

    Comme on peut s’en douter, ce film, qui sortit sur les écrans français en 1986, n’eut qu’un succès d’estime, malgré sa valeur. Le concept homme-lézard bisexué passant au-dessus de la tête du commun des mortels, plus habitué à celui de mâle-femelle. Heureusement, ce film existe dans le commerce en DVD et en français, sous son titre original ‘’Enemy Mine ‘’. Pour les ufologues, comme pour ceux qui parlent à tort et à travers, il y a de quoi méditer et nuancer leurs propos.

    Notons que les dracs sont vivipares, comme les humains, à l’inverse des femmes martiennes d’E.R. Burroughs du cycle John Carter, qui elles, pondent un œuf.

    Il n’est pas impossible, que pour prendre contact officiellement avec les autorités, les Responsables des OVNI attendent, indépendamment du développement de notre sagesse et de notre fraternité, que nous mettions définitivement un terme à la production de drogues, de tabac et d’alcool. Ce qui d’ailleurs libèrerait énormément de terrain pour cultiver des céréales plus consistantes, et plus utiles à l’alimentation de la population mondiale. Alors que celle-ci, à l’heure actuelle, est menacée par une famine monstre.

     

    Cependant, si des extra-terrestres débarquaient sur notre planète, il existe une possibilité, et le même danger que lors des colonisations. Les conquistadores ont fait cadeau des maladies vénériennes aux amérindiens, et quelques siècles plus tard, ce sont les colons qui ont décimés les indiens autochtones d’Amérique avec de l’alcool de bas étage.

    Si ces extra-terrestres possèdent des produits au moins aussi nocifs que nos trois poisons, et que ceux-ci soient assimilables par nos organismes, ne risquerions-nous pas de nous voir à notre tour décimés par cet apport étranger ?

     

     

                                           *     *     *

     

     

                                                  Raymond   TERRASSE , le  22 mai 2008.

     

     

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  • Comme il est fréquent de trouver des détritus là  où s’arrêtent les touristes sur la route des vacances, il n’est pas rare de découvrir des résidus de différentes natures là  où se posent les OVNI. Ce n’est peut-être pas très  écologique, mais lorsqu’il s’agit des rejets d’une chose dont on ne connait pratiquement rien, cela ne peut que nous intéresser et nous passionner, dans la mesure où  cela peut nous apporter de nouveaux renseignements précieux. 

     

    Sans se poser, les OVNI surprennent parfois en laissant tomber une étrange matière que l’on a pris l’habitude d’appeler « cheveux d’anges » et qui sont des fils blanchâtres et floconneux qu’il ne faut pas confondre avec les « fils de la vierge » qui sont, eux, des fils d’araignées. Voyons donc quelques exemples de chutes d’une telle substance.

    Le 17 octobre 1952 à Oloron-Sainte-Marie, dans les Pyrénées-Atlantiques, de nombreuses personnes furent témoins des évolutions d’un objet en forme de cigare qui libéra une trentaine de « soucoupes volantes » pendant que des fils blanchâtres étaient observés descendant lentement vers le sol. Ces fils offraient une petite résistance à la traction et se dissolvaient dans l’air après peu de temps. Dix jours plus tard, à Gaillac dans le Tarn, se produisait le même phénomène. Un long cylindre évoluait dans le ciel en compagnie d’un grand nombre d’objets de forme discoïdale. De tout cela se détachait une matière bizarre ressemblant à de la laine de verre. Les personnes qui en prirent dans leurs mains eurent la surprise de voir cette espèce de coton devenir gélatineux avant de disparaître complètement comme s’il avait fondu. Ce jour-là, des officiers de gendarmerie furent témoins de l’évènement ; ils ne purent que constater l’importance de la chute. Il y avait des filaments partout. Aux Etats-Unis, des photos qui furent faites pendant de tels cas montrent que ces « cheveux d’anges » peuvent recouvrir les lieux d’une couche considérable.

    Le 27 octobre 1964 une pluie de « cheveux d’anges » eut une drôle de conséquence. En effet, les équipes de football de Florence et de Pistoia qui disputaient un match à Florence ce jour-là, arrêtèrent leur jeu pendant que les 10.000 spectateurs du stade levaient la tête pour contempler les évolutions de deux boules lumineuses qui survolèrent le terrain de sport à trois reprises. Des filaments de couleur blanche descendirent du ciel sur Florence et ses environs. Un élève ingénieur eut la présence d’esprit de déposer un peu de cette matière dans un tube de verre stérile qu’il porta rapidement à l’Institut de Chimie de l’Université de Florence. Dans les laboratoires, les professeurs Giovanni Canneri et Danilo Cozzi firent une rapide analyse microscopique et spectrographique. Ils découvrirent du bore, du silicone, du calcium et du magnésium. Ils déclarèrent en outre, qu’une fois allumés, les filaments brûlaient en laissant un résidu transparent et soluble. Conclusion fut tirée que l’on était en présence d’une substance à structure macromoléculaire. Après les « cheveux d’anges » nous retrouvons la couleur blanche dans la substance poudreuse laissée sur le sol lors de certains atterrissages.

    Ainsi, le 5 novembre 1954 à la Roche-en-Brenil, un objet posé dans un pâturage et près duquel furent observés trois humanoïdes, laissa, en s’en allant, une substance blanchâtre et une empreinte en forme de cercle de trois mètres de diamètre dans laquelle le sol avait l’apparence de la cendre. Le 31 janvier 1963 à Ganada de Algosaray en Argentine, deux frères remarquèrent des traces dans l’herbe après avoir vu un objet atterrir puis repartir. Dépêchée sur les lieux, la police découvrit une poudre blanchâtre qu’on ne put expliquer. Une matière semblable fut trouvée le même jour sur un autre lieu d’atterrissage, à Tucuman, toujours en Argentine. A Boggabri en Australie, de la poudre blanche fut prélevée sur un terrain extrêmement tassé et marqué de trous. En novembre 1971, dans l’Etat du Texas, des témoins racontèrent avoir vu, près du sol, un objet volant d’une luminosité aveuglante. Une enquête fut ouverte et un collaborateur du docteur Hyneck révéla que la terre, à l’endroit où semblait s’être posé l’objet, avait une teneur en calcium de 20 à 30% supérieure à celle des environs immédiats. Cette anomalie se manifestait sur une portion de terrain qui avait la forme d’un anneau. Fait curieux, peu après l’évènement, cet anneau devenait luminescent lorsque la nuit tombait. « Le sol était comme recouvert d’une poudre blanche et la surface formait une croûte cassante et fragile. » Il est à noter que sur l’emplacement de telles traces, la végétation ne repousse plus.

    Le 5 août, à Beugnies dans le nord de la France, le fils de l’adjoint au maire de la ville découvrit une trace en forme de cercle d’un diamètre de 5,50m, constitué par une bande de matière blanchâtre et brillante d’une largeur de 15 cm. La même substance était visible sur le feuillage d’une haie toute proche. Des prélèvements furent faits. Comme les voitures après un stationnement, les OVNI laissent souvent des traces suspectes sur les lieux de leur pose momentanée. Le 3 octobre 1954, près de la Rochelle, un objet de 5m de diamètre sur 2,50 m de hauteur abandonna des tâches huileuses. Le 9 octobre, c’est à Briatexte, dans le département du Tarn, qu’un autre disque de 6 m de diamètre laissa des tâches brunes et huileuses. Et, le 28 juillet 1966, à Montsoreau, dans un champ de blé, un engin lumineux ayant fait son « nid » sur une surface de 3 m de diamètre couvrit le sol d’une substance on ne peut plus huileuse. Parfois, ce sont des gouttes d’un liquide étrange qui attirent l’attention des enquêteurs. Ainsi, dans un vignoble de Saint-Gervazy dans le Gard, en juillet 1965, trente pieds de vigne portaient sur leurs feuilles d’étranges brûlures provoquées par des gouttelettes d’un produit gras. Le matin du 19 août de la même année, deux étudiants virent un grand disque lumineux atterrir dans un champ près de l’Institut Polytechnique National Mexicain à Mexico. En plus des marques d’un tripode sur le sol et de l’herbe brûlée, des savants de l’Institut trouvèrent des gouttes d’un liquide qu’ils qualifièrent d’étranges. Il faut bien avouer que ce mystérieux liquide a quelquefois de curieuses propriétés.

    En 1964 à Atlanta aux Etats-Unis, un représentant nommé Parham, conduisait sa Chevrolet sur une route déserte vers une heure du matin quand soudain il vit un objet brillant fonçant sur lui. Le moteur de son véhicule eut des râtés et notre homme dut s’arrêter sur le bas-côté de la route. L’objet descendit alors juste au-dessus de la voiture où la chaleur devint suffocante. Vivement effrayé, monsieur Parham fut soulagé lorsqu’il vit l’engin s’éloigner quelques instants plus tard. Il alla conter son aventure à la direction de l’aviation fédérale de l’aéroport de Spartanburg. Les enquêteurs examinèrent la voiture et découvrirent qu’un liquide avait abîmé la peinture du toit et du capot. Les tâches furent analysées de plus près à l’aide d’un compteur Geiger… Il fut alors établi qu’elles étaient radioactives. Nous retrouvons cette radioactivité le 16 août 1968, date à laquelle les services de renseignements de l’aviation argentine et la commission de l’énergie atomique de Buenos-Aires enquêtèrent ensemble sur un cas d’atterrissage. A l’endroit où le témoin déclara avoir vu l’objet, il fut découvert une tâche de 50 cm de diamètre. A l’aide des compteurs Geiger, on releva que cette portion de terrain était fortement radioactive. Là ne s’arrête pas la liste des résidus que l’on peut, éventuellement, rencontrer sur les lieux de pose des mystérieuses machines de nos visiteurs spatiaux. On peut encore trouver différentes matières toutes plus étranges les unes des autres. Ainsi, le 12 mai 1962, après un atterrissage à Bahia-Bianca en Argentine, on découvrit des résidus carbonatés. Les laboratoires de l’Université nationale du sud firent des analyses qui révélèrent la présence d’une forte proportion de carbonate de calcium et des traces de carbonate de potassium. Le 11 septembre 1967, après le passage d’un OVNI dans la province de Santa Fe, des résidus furent analysés, on y rencontra des traces de carbone, de magnésium, de fer, de nickel et d’aluminium.

    Le même jour, toujours en Argentine, au cours d’une terrible tempête, toute une famille observa un grand objet lumineux qui laissa une matière d’odeur désagréable ressemblant à de la suie. A Belo-Horizonte au Brésil, on découvrit près d’un lieu d’atterrissage, des grains noirâtres, légers et de forme irrégulière qui s’écrasaient facilement entre les doigts en dégageant une odeur désagréable. Ces grains furent portés à l’Institut central des géosciences de l’université fédérale de Minas-Gerais. Les résultats, comme trop souvent, ne nous sont pas parvenus. Enfin, il arrive que l’on puisse récolter des rejets métalliques, comme ce fut le cas dans le sud-ouest du Brésil le 14 décembre 1954. Ce jour-là, à Campinas, un grand nombre d’habitants de la ville aperçurent, dans le courant de l’après-midi, trois objets de forme discoïdale dont l’un paraissait en difficulté. En effet, il oscillait très fortement et ne pouvait conserver son altitude. Celui-ci descendit jusqu’à une centaine de mètres du sol et c’est alors que les témoins entendirent plusieurs coups sourds qui semblaient correspondre aux mouvements saccadés du disque. Avançant par bonds successifs, l’objet laissa échapper un mince filet de liquide argenté. Puis, il reprit de l’altitude et s’éloigna avec les deux autres objets, comme si de rien n’était. Des recherches dirigées par les autorités furent rapidement organisées pour retrouver trace du mystérieux liquide ainsi tombé du ciel. Il en fut retrouvé sur les toits et sur les chaussées ; et plusieurs dizaines de grammes furent recueillis et remis au gouvernement. Un porte-parole de ce dernier déclara, quelque temps plus tard, que la matière était de l’étain. Heureusement, tout le métal n’était pas tombé dans les mains des autorités… Le docteur Risvaldo Maffei, chimiste de son état, en avait ramassé un peu… Il déclara, pour sa part, que si le métal en question contenait bien de l’étain, il contenait surtout 10% d’autres métaux, qu’il n’était pas parvenu à identifier.

    Depuis toujours nous avons eu la visite d’engins inconnus qui nous arrosèrent de matières mystérieuses. Et si nous remontons dans le temps, nous apprenons qu’en mai 1652, près de Rome, une masse de gelée poisseuse tomba du ciel au moment même où un grand objet lumineux était observé. En mars 1796, une grosse masse de gelée tomba à Lusatia d’une « boule de feu aérienne ». Ainsi, de tout temps, d’étranges substances sont tombées sur la terre ; ce n’est pas « le Livre des Damnés » de Charles Fort qui nous contredira. Et, si parfois les OVNI larguent de mystérieuses matières, nous n’avons pas encore en main les éléments nécessaires à leur compréhension. 

     

    Tyron & Claude Burkel 

    Source : données personnelles et archives diverses. Avril 2009

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    LES ETRANGES PHENOMENES CREES PAR LES O. V. N. I.

    Des moteurs stoppés net à proximité d'objets non identifiés, des phénomènes divers, lumières tronquées, lampes ou phares de voitures et même de maisons qui s'éteignent. Je précise de surcroît, qu'un champ magnétique ne pouvant suffire à créer de telles perturbations.

     Un soir de novembre 1953, tout un quartier résidentiel de New Havent, dans le Connecticut, fut plongé dans une totale obscurité. Au moment de cette « extinction des feux » inattendue, ceux qui se trouvaient dehors virent une sphère rouge orangé de la taille d'un ballon de football, décrire une courbe dans le ciel puis s'immobiliser, une minute environ à trois mètres du sol. Dans les secondes du départ de la boule la lumière fut de nouveau dans la cité. En août de l'année suivante, un « cigare volant » évolua au dessus de Tananarive devant quelque 26000 témoins. Et ce fut, encore, une gigantesque panne d'électricité, qui dura 15 minutes.

    En 1967, trois OVNI en forme de gros disques survolèrent le mont Miriam, au Brésil. Panne, encore, sur les quartiers les plus proches, et baisse sensible de courant dans le secteur voisin.

     Nous supposons que ce genre d'appareil récupère de l'énergie sur les lignes de hautes tensions.

     La même année, un gros objet plongea dans les ténèbres de la ville de Tamoraroa, dans l'illinois. Tout redevint normal quand la chose s'éloigna.

    En 1968, ce fut, le 22 juillet, au tour de Salta, en Argentine, d'avoir tout à la fois son long objet lumineux, et sa panne. Puis à celui de Rome le 3 août. Mais c'est en 1865, aux Etats-Unis, que tous les records furent battus. Les pannes se succédèrent, la plus tristement célèbre fut celle du 9 novembre : à 17 h 30  la ville de New York fut privée de courant. C'était l'heure de la sortie des bureaux et d'innombrables personnes furent immobilisées dans les ascenseurs ou dans le métro. Il se trouva aussi des millions de témoins pour observer des points lumineux dans le ciel, restant immobiles. L'un de ces points put être photographié, et l'agrandissement, que reproduisit le magazine Time, montra une sorte de disque au-dessus d'un gratte-ciel.

    Bien d'autres objets, furent signalés dans tout le Nord-Est et quantité de journaux locaux en ont porté témoignage.

    Mais les OVNI ne provoquent pas systématiquement des ruptures électriques. Pas plus qu'ils n'arrêtent à tous les coups les moteurs de voitures, cela dépend, je pense de leurs origines.

    Pour en revenir a des exemples, dans l'Eure, le 27 octobre 1954, un motocycliste, qui vit un engin éblouissant posé dans un pré, eut son moteur bloqué net. Exactement le même jour, dans le Pas-de-Calais, le camion d'un livreur fut survolé par une lueur aveuglante. Ce fut, encore le blocage de moteur, avec, en prime l'extinction des phares.

     En Corse, dans la nuit du 21 au 22 juillet 1973, une voiture s'arrêta brusquement, moteur s'arrêta brusquement, moteur calé. Les phares s'éteignirent, cette fois encore, et l'autoradio n'eut plus que des sortes d'éructations (plaintes sonores). Le chauffeur leva alors les yeux vers le ciel et assista au passage d'un disque très brillant. Phénomène plus extraordinaire encore ; dès que l'engin se fut éloigné le moteur se remit en marche de lui-même, sans recours à la clef de contact. En Espagne, en mars 1975, le chauffeur du président du Conseil général de la province de Cadix vit un objet métallique passer à très faible distance de son véhicule, (environ dix mètres), lequel fut secoué violemment et, finalement, s'arrêta. Un le 11 septembre de la même année deux personnes qui avaient aperçu près de Maubeuge, un énorme objet lumineux voulurent s'en approcher. Quand elles ne furent plus qu'à 200 mètres environ le moteur de leur voiture s'arrêta net et les phares refusèrent leur concours. Une dizaine de véhicules qui se présentèrent en sens inverse, dans les minutes qui suivirent, subirent exactement les mêmes désagréments.

     Mais ce n'est pas encore le record absolu, puisqu'un OVNI  a réussi, un peu plus tard, à provoquer simultanément la paralysie de 500 voitures en Argentine.

     Les avions ne sont pas épargnés, semble-t-il, eux qui évoluent dans l'atmosphère, tout comme les OVNIS. Bien des pilotes se sont déjà plaints d'avoir été « taquinés », suivis, contournés, frôlés, et d'avoir connu, des soubresauts qui semaient la panique à bord, avec des avaries diverses et affolement des appareils de navigation. Voici l'un des témoignages les plus précis : dans la soirée du 14 août 1957, dans le ciel de Rio Janeiro, un C-47 des Varing Airlines passa à proximité d'un disque brillant. L'éclairage, immédiatement, cessa de fonctionner, la radio se tut et les moteurs eurent des ratés. Puis quand le mystérieux objet s'éloigna et disparut dans les nuages, tout redevint normal.

    Bien des perturbations furent enregistrées, également dans les réseaux de communications et télécommunications. Voici une des aventures les plus extraordinaires survenues à cet égard : le 25 août 1966, dans la salle de radio installée dans un ensemble anti-atomique en béton à trente mètres sous terre, d'une base de missiles intercontinentaux du Nord Dakota, l'officier de service constata avec stupeur qu'il ne pouvait plus communiquer avec le reste du monde, ni par téléphone ni par radio. Cet importun disparut, finalement. Mais en laissant après d'autant plus d'inquiétude, de terreur qu'aucun circuit de sécurité n'avait averti de son approche, puis de sa présence. L'ont su plus tard que tous les missiles étaient bloqués au sol. On connaît d'autres exemples. Dans la nuit du 24 au 25 juin 1967, à Asuncion, au Paraguay, les télétypes  furent paralysés tous ensemble sur le passage d'un groupe OVNI en formation parfaite. La même nuit, à Rosario, en Argentine, les émissions de radio et de télévision furent sérieusement perturbées. Et la tour de contrôle de l'aéroport fut incapable durant plusieurs minutes, d'émettre ou de capter les messages. En présence de tels faits, les techniciens ont bien sûr songé à l'intervention d'une formidable énergie électromagnétique. En plus des exemples déjà cités ils ont retenu la mésaventure survenue à un prospecteur, le 24 juin 1947, donc une date encore plus ancienne. Cet homme, Fred Johnson, travaillait aux monts Cascade, aux Etats-Unis, quand il aperçut six objets en déplacement silencieux dans le ciel. Il constata, dans le même moment, que l'aiguille de sa boussole dansait, dans son boîtier, une véritable sarabande.

     Rien de plus révélateur, certes. Mais les chiffres retenus par les physiciens pour cette énergie électromagnétique ont de quoi effarer : il faudrait, semble-t-il, un champ magnétique égal à deux millions de Gauss pour couper l'allumage d'un moteur. Or, dans l'état actuel de nos connaissance nous de pouvons, nous, les humains, créer une telle force.

    CLAUDE BURKEL pour la taverne de l'étrange-5 janvier 2009

     

     

     

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  • QUE SIGNIFIENT

    CES ETRANGES INSCRIPTIONS SUR CERTAINS O.V.N.I. ?
     
     
     
    Il y a un point sur lequel les spécialistes de l’ufologie ne nous paraissent pas avoir suffisamment insisté dans les savants travaux qu’ils ont publiés sur le mystère des Objets volants non identifiés depuis des années. C’est l’énigme de ces étranges inscriptions, symboles ou graphismes, lettres ou chiffres parfois, que certains témoins ont distinctement remarqués sur la paroi des engins qu’ils observaient.
     
    Les rapports, pourtant, ne manquent pas. En les compilant et en effectuant les recoupements qui s’imposent, on peut même dire qu’il existe, au travers des témoignages, tout un « langage d’immatriculation de ces véhicules extraterrestres dirigés ». Certains chercheurs, qui ont remarqué le fait, n’ont pas voulu y porter de l’intérêt. A leur avis, les rapports concernant ces signes mystérieux ne sont que fantasmes de la part des témoins. Atteints de la psychose des étrangers de l’univers, les témoins ont plus ou moins consciemment projeté hors d’eux-mêmes, dans ce qu’ils ont vu ou cru voir, des symboles n’existant en fait que dans leur esprit.
     

             

    1988, Ludovico Granchi, Rio - Ecriture gravée sur les drônes américains (Caret- voir ovnis-usa.com).

     C’est une objection valable quand on a affaire à des psychopathes de l’engin volant non identifié. Mais il se trouve que des photographies ont été prises et que les graphismes ou symboles en question y apparaissent nettement. De même, des témoins qui n’ont pas pu se consulter, qui vivent aux antipodes et qui ne présentent aucun caractère pathologique ont vu exactement la même chose au cours d’observations différentes. Il y a donc un mystère qui n’a rien à voir avec l’imagination et un quelconque phénomène hallucinatoire. Parmi ces documents photographiques, l’objet ovoïde observé en juin 1967 dans les environs de Madrid, par exemple. On discerne nettement une sorte de H barré sur sa branche horizontale tandis que les deux branches verticales affectent un mouvement parabolique très net vers l’extérieur. Ce même symbole a été au moins huit fois à travers le monde, toujours sur des engins de forme ronde ou ellipsoïdale. Parfois, le graphisme mystérieux est interprété avec certaines variantes. En 1966, près de la capitale espagnole encore, le témoin José Luis Jordan observe un OVNI qui porte à sa base le même symbole dépourvu de barre verticale mais souligné par trois points sombres à ses extrémités. En Australie, quatre ans plus tard, six observations ont affaire à un OVNI qui porte sur ses flancs le H barré à plusieurs exemplaires
     
     
    SIGNES CABALISTIQUES
     
     
     
    écriture ummite - le symbole de San José de Valderas en 1967
     
    On a voulu interpréter ésotériquement ce symbole. Des commentaires l’ont rapproché de certains signes cabalistiques connus en lui donnant une interprétation ou une autre. Ce sont sans doute ces extrapolations qui ont gêné plus d’un ufologue sérieux. Lorsque le mysticisme s’empare de l’observation d’un phénomène objectif, il est évidemment souhaitable de prendre un peu de recul. Les divagations de certains ne sauraient pourtant empêcher la réalité contrôlable d’un grand nombre de témoignages. Voyons les principaux.
     
    Dès la fin du siècle dernier, on note, dans les rapports qui commencent à se multiplier sur des objets célestes encore plus difficiles à identifier en ce temps-là qu’aujourd’hui, des observations de lettres et de signes distinctifs. En avril 1897, une foule entière observe un OVNI dans le ciel de Girard, Illinois. Sur un des côtés de l’engin, on voit nettement une grande lettre M. Quand l’engin atterrira, dans les environs de la ville, d’autres observateurs signaleront la présence de cette lettre. Comme le H barré, ce M est assez fréquent sur la base ou les flancs des OVNI. Parfois, il est dessiné selon un graphisme assez original qui rappelle les lettres chinoises ou japonaises, à moins que ce ne soit les signes cabalistiques dont il a été question plus haut. Dans les montagnes de San Bernardino, en Californie, un matin de février 1954, A.P. Wheeler, un ingénieur en mécanique, observe un OVNI au sol. Sur le côté de l’appareil, il note la présence de deux M superposés, traités un peu à la manière des signes cunéiformes assyriens. Sur la gauche, d’autres symboles ; une forme de F curieusement stylisé, deux 8 et un point entouré d’un cercle. A huit mois de cette observation, Wheeler, qui s’intéresse désormais très sérieusement l’ufologie, se trouvent en présence d’un autre engin.
     
    écriture vu par G. Adamski en 1952 sur le mont Palomar- autre écriture similaire découvert en 1963 sur un mégalithe.
     
    Cette fois, il n’assiste à aucun atterrissage. Mais il voit nettement les mêmes signes sur ses parois. Il se demande si le 8 n’est pas notre symbole de l’infini ? Et si les autres graphismes ne correspondent pas à un langage mathématique plutôt qu’à une « immatriculation » au même sens terrestre du terme. Malheureusement l’étude ne sera pas poursuivie. On a souvent vu des étoiles ou des motifs plus ou moins nets rappelant leur forme. Trois enfants en ont signalés une sur un objet qui planait au-dessus de la mer dans les environs de Cap Canaveral en juin 1966. Est plus près de nous en 2006 au mois de janvier. D’autres personnes ont vu là même chose.
     
    Beaucoup de rapports signalent la présence de chiffres, diversement associés à des figures géométriques ou à des symboles divers. Sur un OVNI au sol, Haskell Raper, de Provençal, en Alabama, discerne une série de lettres et de chiffres entremêlés. Un U et un N sont clairement visibles. Mais Raper était peut-être trop troublé (il l’a reconnu) pour se souvenir de la suite du message. Morris Helin, un autre observateur qui se trouve à deux reprises, en avril 1971, en présence d’un OVNI ovoïde, note dans les minutes qui suivent ce qu’il vient de voir, de peur de l’oublier ; 1 X 1 4 7 8… Un matin de mars 1966, à huit miles de Temple, au Texas, un engin en forme de cigare bloque l’autoroute 70. Sur ses flancs, plusieurs témoins remarquent la présence de lettres et de chiffres. Seul un certain Eddie Laxan sera capable de se souvenir de leur détail après avoir été hypnotisé à plusieurs reprises. Cela donnait la combinaison TL 4138 ou 4738. D’autres fois, ce sont des triangles ou des X pointés, des croix de toute forme et de toute taille, des cercles étrangement ponctués ou des motifs complètement dépourvus de signification apparente.
     

     symboles vu par A. Villas Boas lors d'une abduction, en 1957, au Brésil.

     
    Certes, il faudrait examiner chaque cas avec la plus grande attention et s’assurer tout d’abord que le témoin n’affabule pas. Nous avons vu que, la plupart du temps, son observation est tout à fait objective. Pour ma part il semble qu’il y a une relation entre les lettres ou chiffres avec les signes retrouvés dans les champs ! Reste donc à décrypter le message ou plutôt à découvrir la raison d’être de sa présence sur les flancs d’un OVNI. Il est peu probable que d’éventuels extraterrestres cherchent à communiquer avec nous à travers ces signes. Ceux qui ont imaginé qu’ils nous proposaient des symboles lourds de signification occulte en évoluant dans le ciel de notre planète se sont certainement trompés. Ils doivent tout de même disposer de moyens moins simplistes pour entrer en contact avec nous. Les signes, quand ils sont bien réels, encore une fois, peuvent correspondre à un système d’immatriculation des engins. Peut-être y pourrions-nous lire un indice de leur provenance. Peut-être encore ont-ils un rapport avec une manœuvre ponctuelle, ce qui expliquerait que certains témoins les aient vus changer pendant l’observation
     
    Il faudrait chercher à découvrir la clé de cette nouvelle énigme. Il serait important que nos ufologues de nouvelles générations se penchent sur ces questions.
     
     
    Claude BURKEL pour la taverne de l'étrange- 24/11/2008
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    DES NUAGES INTELLIGENTS NOUS VIENDRAIENT D’AUTRES MONDES...

     

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

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    UNE NOUVELLE HYPOTHESE QUI DOIT REVOLUTIONNER L’UFOLOGIE MODERNE

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    On classe parmi les « formations globulaires », phénomène atmosphérique qui se produit quand le Soleil est à la limite d’une masse nuageuse, ce qui cause une illusion optique donnant l’impression d’apercevoir un objet globulaire. Actuellement, et si l’on excepte les inévitables pseudo-observations qui ne sont que des canulars de m’as-tu-vu, la plupart des observations rejetées par les spécialistes des OVNI concerneraient soit les formations globulaires, soit des amas nuageux de forme bizarre. Or, cette rigueur scientifique, louable en soi, a sans doute conduit à ne pas tenir suffisamment compte des « choses » ayant la forme de nuages et venant réellement d’autres mondes.

     

    <o:p></o:p> 

    Un journal américain « le True Flyng Saucers et Ufos Quaterly » a écrit il y a quelques années, une étude approfondie de tous les cas observés de nuages se comportant comme des OVNI.<o:p></o:p>

    Certains sont plus que troublants. Une nouvelle hypothèse, étayée sur un ensemble de faits longtemps passés inaperçus, est en train de révolutionner le monde de l’ufologie (sauf en France !)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Aujourd’hui, il n’y a pratiquement plus de scientifiques pour nier l’éventualité d’une vie extragalactique. Les missions complexes des sondes, le prouvent et la tentative d’entrer en relation avec des habitants de l’espace a reçu la caution de personnages officiels. Toutefois, ces extraterrestres que l’on admet comme plus que probables ont-ils la possibilité de venir nous rendre visitent ou, en d’autres termes, les OVNI viennent-ils de l’espace. En  l’absence de preuves officielles la question reste ouverte. Parmi des amis a moi, certains nient cette possibilité, s’appuyant sur la fragilité des témoignages recueillis et arguant du fait qu’il n’y aurait qu’une chance infinitésimale que les extraterrestres choisissent la Terre parmi les milliards de planètes de l’univers. Toutefois leurs convictions ne rencontrent pas un assentiment général, car de fortes présomptions permettent de répondre par l’affirmation à la question en suspens. La majorité des cas observés concerne soit une émission de vapeur ou de fumée destinée à cacher aux regards humains un engin conventionnel, un peu comme on se sert d’obus fumigènes pour rendre invisibles à l’adversaire des mouvements de troupe, soit une masse gazeuse inconnue faisant partie intégrale du système de propulsion de l’engin. On peut en effet concevoir une enveloppe moléculaire ou gazeuse non soumise à la gravitation qui entraînerait en roulant sur elle-même un esquif spatial placé en son centre. Elle serait en somme pour l’engin inconnu ce qu’est la chenille pour un char d’assaut. Aussi, quelques chercheurs vont plus loin et se demandent si l’on ne serait pas en présence d’une forme de vie intelligente prenant l’aspect d’une formation nuageuse qui serait en même temps et leur corps et leur engin spatial. Ce genre d’hypothèse, basée sur des éventualités scientifiques, défie l’imagination et il est nécessaire d’échapper à notre mode de pensée habituel pour le concevoir. Un peu comme cela se passait quand Einstein commençait à bâtir sa célèbre théorie. Un de nos graves défauts est de toujours faire de l’anthropomorphisme, c'est-à-dire tout ramener a la conception de l’être humain. Quand on a commencé à parler d’extraterrestres, on a supposé naturellement que les habitants des mondes infinis étaient faits à peu près comme nous, compte tenu des conditions de vie sur les autres planètes. De là les nombreuses descriptions de «  petits hommes verts » et autres élucubrations. C’était oublier que la vie organique et la vie intelligente pouvaient revêtir des milliers de formes, bien éloignées des nôtres. Qu’est-ce que la vie ? Cette question semble simpliste, mais il est difficile d’y répondre. Pour les biologistes, les caractéristiques de la matière vivante sont de pouvoir réaliser naturellement à une température moyenne et à un degré de Ph, ni acide ni basique des réactions qui demandent en laboratoire des températures élevées  et un milieu soit acide, soit basique.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’analyse chimique de la matière vivante n’est pas satisfaisante, car ses constituants, qu’il s’agisse du carbone, de l’oxygène, de l’hydrogène, de l’azote, des sels minéraux, se trouvent également dans la matière inerte. En partant de la définition des biologistes, on juge donc vivante toute combinaison répondant à un certain nombre de critères comme le métabolisme, la croissance, la reproduction et la transformation de l’information, c’est-à-dire une réaction aux stimuli externes. Ces définitions sont importantes car l’aventure spatiale a fait naître une nouvelle science, l’exobiologie, ou biologie de l’extérieur et les savants qui s’en occupent vont se trouver dans l’espace confrontés à des problèmes inconnus. La première expérience de grande ampleur pour déceler des traces de vie dans l’espace fut réalisée avec la sonde Viking, lancé à la fin de l’été 1975, et qui au terme de son voyage, s’est posée le 20 juillet 1976 sur la surface de Mars. Le principe des essais effectués par l’appareillage automatique de cette sonde consistait à mélanger à un échantillon de sol martien une solution nourrissante pour voir s’il se produirait une réaction métabolique, donc pour voir si des micro-organismes allaient « manger »  ce qu’on leur donnait.<o:p></o:p>

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    <o:p></o:p>

     

     

    LA VIE SUR MARS<o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

     

     

    Les résultats furent ambigus et n’ont pu être analysés parfaitement. Rien ne permet donc de conclure à la présence de vie, rien ne permet non plus de la nier (depuis cela à bien changer !) Ce que l’on peut dire, c’est que les résultats suivants nous donnent une forme de vie martienne différente de ce que l’on avait prévu ! Il existe de nombreuses planètes constituées par une sphère gazeuse d’hydrogène, d’eau d’ammoniac, cette sphère devenant de plus en plus dense au fur et à mesure qu’on s’éloigne des couches supérieures en allant vers le centre.

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    D’autres planètes, comme Jupiter, par exemple, sont plus ou moins fluides, avec un cœur solide entouré d’une masse gazeuse dense formé de méthane et de cristaux d’ammoniac. Les spécialistes qui ont étudié quelle forme de vie pouvait subsister sur ces astres en sont arrivés à la conclusion qu’il ne pourrait s’agir que d’être bizarres, sortes d’immenses sacs remplis de gaz, flottants dans les nuages de méthanes et se nourrissant de poussières organiques de l’espace. Pour en donner une idée, on peut les comparer à un troupeau de baleines flottant dans l’océan et filtrant l’eau à travers leurs fanons pour en retirer le plancton. Ces êtres pourraient très bien être dotés d’intelligence, mais ne disposant pas de membres pour transformer leur environnement, ils seraient à tout jamais incapables de bâtir une civilisation fondée sur une technologie, donc dans une autre dimension non matérielle. Cependant, ces êtres en forme de gaz seraient encore des organismes complexes, d’une intelligence supérieure à la nôtre. Des savants à la compétence reconnue par leurs pairs ont fait un pas de plus en postulant l’existence d’une vie totalement différente de nous. C’est le cas entre autres des astronomes Woolf et Fred Hoyle. Le premier affirme que l’on peut trouver autour de certaines étoiles une matière interstellaire douée d’intelligence.

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    Sir Fred Hoyle, lui, a imaginé un « nuage noir » composé de la même matière interstellaire, extrêmement diffus, au point que l’on serait en présence d’un « presque vide » pensant et raisonnant. Rappelons à ceux qui taxeraient ces hypothèses de rêveries gratuites que Woolf et Hoyle sont de véritables scientifiques. Quant aux auteurs de science-fiction, il leur est souvent arrivé de postuler l’existence d’intelligences évoluant en l’absence de corps palpable, dans des conditions proches des hypothèses scientifiques. Il est temps que nos fameux ufologues qui écrivent tant de livres, tiennent compte de ces données lorsqu’ils effectuent le recensement et l’analyse des observations d’OVNI. Chaque fois qu’apparaît dans le ciel une formation nuageuse ayant un aspect insolite, différent des formes habituelles des nuages, et ne se déplaçant pas de la même façon, les témoins doivent noter toutes les caractéristiques et si possible en prendre des photos, car il y a toutes les chances pour qu’il s’agisse d’une manifestation de la vie galactique.<o:p></o:p>

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    Source :  Recherches personnelles dans mes dossiers 

     

    La taverne de l'étrange- 29 octobre 2008


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    2 juillet 1947 : L'affaire du crash de Roswell<o:p></o:p>

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    Il n’y a aucun doute que le 2 juillet 1947, quelque chose est tombé du ciel au Nouveau-Mexique. Quelque chose oui, mais quoi ? Cette affaire est vite devenue le Saint Graal de l’ufologie. La thèse la plus probable il y a quelques décennies était le crash d’un prototype militaire. Mais cette affaire a connu nombre de rebondissement de part des témoignages de gens ayant eu un rapport direct avec ces faits. Voici un résumé de l'affaire Roswell ainsi qu'une liste des protagonistes qui ont été, de près ou de loin, témoin des évènements de Roswell en juillet 1947. Certains ont parlé bien après les faits et se sont confier des années après.

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    Mac Brazel<o:p></o:p>

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    C'est par lui que toute l'histoire commença... Mac Brazel est un fermier-éleveur de moutons. Son ranch est situé au nord-ouest de la ville de Roswell au Nouveau-Mexique. Dans la soirée du 2 juillet 1947, un orage violent sévit sur le paysage désertique du Nouveau-Mexique. Vers 21h50, Brazel entend une violente déflagration. Le lendemain, il découvre sur ses terres des débris éparpillés sur plusieurs centaines de mètres. Ceux-ci proviennent d'un « objet » qu'il ne peut identifier sur le moment. De part le passé il avait déjà trouvé deux ballons atmosphériques, mais là, il n'avait rien vu de semblable. Après avoir récupéré quelques-uns des matériaux, Brazel se précipite chez ses voisins : Floyd et Loretta Proctor, et leur fait part de sa trouvaille. Jamais jusqu'à ce jour ils n'ont vu pareils matériaux : une sorte de papier aluminium que l'on pouvait écraser, mais qui reprenait toujours sa forme initiale, qu'on ne pouvait ni couper ni brûler (de nos jours nous savons qu'il existe des métaux qui ont une « mémoire » interne mais à cette époque...). Bref, Brazel leur propose de se rendre sur les lieux de sa découverte mais ils déclinent son invitation. Mercredi 6 juillet, le fermier décide d'en parler aux autorités et va donc avertir le shérif du comté de Chaves, George Wilcox, de la présence des débris sur son champ. Puis, après quelques discussions dans son bureau, ils décident d'appeler les responsables de la base militaire de Roswell (seul groupe de bombardiers atomiques à l'époque) qui dépêche immédiatement trois militaires au bureau du shérif.

    Le premier est le commandant de la base, le colonel Blanchard, et les deux autres sont des officiers des renseignements, le major Jesse Marcel et le capitaine Cavitt Sheridan. Par la suite, un détachement militaire et trois camions, se rendent sur place pour inspecter le champ du fermier ; les débris seront chargés et ramenés à la base aérienne de Roswell. De retour à la base, une partie des débris est acheminée par avion vers la base militaire de Fort Worth, avant d'être expédiée à la base de Wright Field, et l'autre à l'Andrews Air Force Base (Washington DC). Le même jour, un autre site de crash d'un vaisseau spatial est découvert à environ 4 kilomètres au sud-est du premier. Un petit groupe d'archéologues a découvert le site quelques minutes avant l'arrivée des militaires.

    Ils y trouvèrent la partie principale d'un vaisseau spatial écrasée ainsi que quatre petits corps humanoïdes. L'accès du terrain est interdit. La Une du journal local raconte qu'une soucoupe volante s'est écrasée à Roswell. Le 8 juillet, le colonel Blanchard ordonne au lieutenant Walter Haut l'émission d'un communiqué de presse pour annoncer la récupération du reste d'une épave d'un disque volant. Le même jour, le Pentagone envoie une équipe sur place à Roswell, puis une conférence de presse est organisée. Le général Roger Ramey affirma que les débris retrouvés étaient ceux d'un ballon sonde. Plusieurs témoins auraient été menacé par l’armée d’après des rumeurs. Le premier, Mc Brazel doit changer sa version des faits ; puis, un an plus tard, il quitte la région de Roswell pour ouvrir une boutique. Ses voisins diront qu’on a acheté son « silence ». A ce jour, plus de cent personnes ont été entendus par les chercheurs, William Moore et Stanton Friedman, sur cette affaire de Roswell.

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    Jesse Marcel (officier des renseignements de la base de Roswell)<o:p></o:p>

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    Jesse Marcel fut l'un des deux premiers militaires à visiter le site des débris après le crash de l'ovni en juillet 1947. Lorsque Sheridan Cavitt et le major Jesse Marcel arrivent sur le site du crash, ils constatent la vaste étendue recouverte de débris qui s'étaient répandus sur environ 1200 mètres de long et plus d'une centaine de mètres de large. Ils ramassèrent les fragments qu'ils trouvèrent et les chargèrent dans la Jeep. Jesse Marcel affirme que les débris ramassés n'avaient rien à voir avec un ballon-sonde, ce n'était pas non plus des morceaux d'avions ni de fusées. Jamais jusqu'à ce jour il n'avait vu de tels matériaux. Il y avait trois sortes de débris : la première ressemblait à du bois de balsa, de petites plaques comportant des signes ou des symboles qui rappelaient les hiéroglyphes, et que l'on ne pouvait ni briser, ni brûler. La seconde avait l'aspect du parchemin, de couleur brune, très résistante, et la troisième ressemblait à des feuilles d'étain, aussi fines que le papier étain des paquets de cigarettes, mais ce n'était pas de l'étain. Le poids de ces débris était dérisoire. L'après-midi suivant, le 8 juillet), l'ensemble des débris fut chargé dans un B-29 sur l'ordre du colonel Blanchard et le tout fut transporté à Fort Worth par voie aérienne. Il était prévu que Jesse Marcel vole jusqu'au terrain de Wright, dans l'Ohio, mais quand il s'est présenté sur la base de Carswell, à Fort Worth, le général Ramey s'est opposé à son embarquement. Il a pris l'affaire en main, a dit la presse que les débris n'étaient que les restes d'un ballon météo. Le major Jesse Marcel est décédé en 1982.

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    Williams Hugh Blanchard (commandant de la base de Roswell)<o:p></o:p>

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    Général américain né à Boston en 1916. Il étudie dans le Massachusetts, sort diplômé de l’école Phillips Exeter et entre à l’United States Air Force (USAF). En 1943, il sert avec la première escadrille de B-29 en Chine et participe à de nombreuses opérations de bombardement. Après la guerre, il est nommé commandant de la 509ème escadrille de bombardement à Roswell. Il participe avec Jesse Marcel aux essais atomiques de l’opération Crossroads sur l’atoll de Bikini. Le matin du 8 juillet 1947, après avoir ordonné au lieutenant Walter Haut d’annoncer à la presse la récupération d’un disque volant, Blanchard sera injoignable pendant près de trois semaines.

    Quatre mois après l’évènement, il se livre à un ami, Arthur Quiddy :

    « Je vais te dire une seule chose : ce que j’ai vu, je ne l’ai jamais vu ailleurs de toute ma carrière. »

    Il n’a plus jamais reparlé de Roswell. Il meurt le 31 mai 1966 à Washington.

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    Cavitt Sheridan (témoin des débris du crash)

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    Cavitt Sheridan était à l’époque lieutenant-colonel responsable du Counter Intelligence Corps (CIC), service de contre-espionnage de l’armée américaine, à la base de Roswell, en 1947. Le dimanche 6 juillet, le colonel William Blanchard ordonne au major Jesse Marcel, responsable de la sécurité de la base de Roswell, d’aller inspecter le champ de débris où vient de se produire le crash d’un ovni. Conduit par le fermier William Brazel, le propriétaire du champ, Jesse Marcel se fait accompagner par Cavitt Sheridan. Là, Sheridan prend connaissance des débris qui, selon lui, « ressemblent à des bâtons carrés de bambou d’un quart à un demi-pouce carré, très léger… je me souviens avoir reconnu ce matériel comme cohérent avec un ballon météo ». A ce jour, le lieutenant-colonel Sheridan est le seul témoin visuel vivant de ce champ de débris. Il continue encore à penser que les débris qu’il a trouvé étaient ceux d’un ballon météo.

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    Gerald Anderson (témoin visuel des créatures)<o:p></o:p>

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    Ancien chef de la police à Rockaway (New Jersey) et adjoint du shérif du comté de Taney. Il a été le témoin visuel de créatures extraterrestres lors du crash de Roswell le 2 juillet 1947. A l'époque des faits, Gerald était âgé de cinq ans. Originaire d'Indianapolis, il avait gagné le Nouveau-Mexique avec sa famille en juillet 47. Deux jours après leur arrrivée, son père, son frère, son oncle Ted et son cousin Victor partirent en voiture dans le désert pour ramasser des agathes. C'est en descendant à pied dans une ravine qu'ils observèrent quatre êtres : deux d'entre eux présentaient toutes les apparences de la mort, un autre semblait agoniser et le dernier n'avait pas l'air blessé. Ces êtres mesuraient environ 1,20 mètre, leur tête était très grosse par rapport à leur corps, et leurs yeux en amande étaient d'une couleur sombre. Les créatures se tenaient dans l'ombre d'un disque argenté d'un diamètre d'environ 15 mètres. L'objet devait avoir été contraint à un atterrissage en catastrophe

     et avoir percuté un petit promontoire avant de s'immobiliser. Anderson gardera le silence pendant près de quarante-trois années. Il se confia d'abord à des spécialistes en ufologie, puis en janvier 1990, à une chaîne de télévision. Stanton Friedman, physicien nucléaire, fut frappé par les corrélations existantes entre les souvenirs d'Anderson et d'étranges détails qu'il possédait déjà. Il prit contact avec John Carpenter, médecin psychiatre qui exerçait à Springfield. A la demande de Friedman, Carpenter conduisit de nombreux entretiens avec Anderson, qui fut également interrogé sous régression hypnotique. Les résultats obtenus stupéfièrent Friedman.

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    Dennis Glenn (l'employé des pompes funèbres à Roswell)<o:p></o:p>

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    Employé des pompes funèbres dans la ville de Roswell au moment de l'affaire. Dennis Glenn était aussi ambulancier à la base militaire de Roswell, il conduisait les soldats qui s'étaient blessés à l'extérieur de la base. Le mardi 8 juillet 1947, il reçut un appel téléphonique de l'officier de la morgue de la base. Il tenait à savoir la taille des plus petits cercueils hermétiques disponibles et voulait savoir le temps qu'il faudrait pour en obtenir un. Glenn lui répondit qu'une journée suffirait. Moins d'une heure après cette étrange conversation, l'officier rappela afin de se renseigner sur les procédures de préparation pour des corps restés plusieurs jours dans le désert et demanda quel pouvait être l'effet de certains produits sur les tissus et le sang. Glenn Dennis se proposa d'aller à la base afin de le renseigner mais l'officier déclina son offre en lui affirmant que ces renseignements étaient destinés à une utilisation future. Une heure plus tard, Glenn était appelé pour transporter un blessé à la base. Vers 17h, il garait son ambulance près de l'infirmerie à côté d'une autre ambulance. La porte était restée ouverte. Curieux de nature il regarda à l'intérieur du véhicule ; là il put voir des débris avec d'étranges écritures, comme des hiéroglyphes. Deux militaires se trouvaient à côtés de l'ambulance. Glenn conduisit le blessé dont il avait la charge jusqu'à l'infirmerie, puis se rendit à la salle des employés. Peu de temps après, il vit sortir une infirmière d'une salle d'examens avec un masque sur la bouche. Elle lui dit :

    « Mon Dieu, va-t-en d'ici ou tu vas t'attirer des ennuis ! » Elle entra dans une autre pièce gardée par un capitaine qui demanda à Glenn son identité. Deux soldats l'escortèrent hors de l'infirmerie puis jusqu'aux pompes funèbres. Le lendemain matin l'infirmière rappela Glenn. Ils se retrouvèrent au club des officiers. Elle était très nerveuse. Avant de raconter son histoire, elle lui fit promettre de ne jamais mentionner son nom. Elle lui raconta qu'elle était entrée dans une pièce pour y chercher du matériel et elle avait surpris deux médecins qui effectuaient une autopsie. Ceux-ci lui avait demander de rester afin de prendre des notes. Elle dit à Glenn n'avoir jamais vécu quelque chose d'aussi horrible. Elle dessina une esquisse des corps avec des bras allongés de mains à quatre doigts avec des petites ventouses à l'extrémité des doigts. Les têtes étaient disproportionnées, les yeux placés profondément sous les arcades, le nez plat, constitué seulement de deux orifices ; la bouche n'était qu'une fine fente, et du cartilage semblait faire office de dents. Deux petits orifices se trouvaient à la place des oreilles. La peau était sombre, imberbe. Une semaine plus tard, Glenn Dennis essaya de contacter à nouveau cette infirmière, mais le capitaine Wilson lui répondit qu'elle avait été transférée...

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    Walter Haut (l'officier des relations publiques de la base de Roswell)<o:p></o:p>

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    Le lieutenant Walter Haut était l'officier des relations publiques à la base militaire de Roswell en 1947. Le 7 juillet, le colonel Blanchard ordonna à Haut d'envoyer un bulletin d'information à la population déclarant que l'armée détenait une soucoupe volante. Plus tard, il lui précisa que le major Jesse Marcel, l'officier des renseignements, s'était déplacé sur le champ du ranch où s'était écrasé le vaisseau et avait récupéré des débris qui avaient été amenés à Fort Worth, au Texas, et remis au général Ramey, commandant de la 8ème Force aérienne. Le colonel lui donna des instructions visant à réaliser un communiquer et à le transmettre aux organes de presses locaux que représentaient, à ce moment-là, deux journaux et deux stations de radio. Il envoya le communiqué de presse aux médias concernés. A son retour à la base, des appels téléphoniques venant du monde entier cherchant à obtenir des précisions sur l'objet tombé en la possession de l'armée américaine harcelèrent l'officier. Toute l'affaire cessa lorsque le général Ramey informa la presse à Fort Worth que les débris qui lui avaient été confiés par le major Marcel n'étaient en fait que les morceaux d'un ballon-sonde...

    Par la suite, Walter Haut a donné de nombreuses interviews. Il n'hésita pas à affirmer que l'histoire du ballon-sonde fut une couverture pour dissimuler la vérité. Non seulement il resta persuadé qu'un objet extraterrestre s'était bien écrasé à Roswell, mais Jesse Marcel lui aurait confié que ces débris étaient des matériaux qu'il n'avait jamais vu auparavant et qu'il ne croyait pas qu'ils aient fabriqués ou manufacturés sur cette terre.  Walter Haut démissionna de l'armée en avril 1948.

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    Lincoln La Paz (docteur et météorologiste US Air Force)<o:p></o:p>

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    Le docteur Lincoln La Paz (1897-1985), est un météorologiste américain, il est également ancien consultant pour l'US Air Force pendant la Seconde Guerre mondiale. Après le crash d'un objet volant non identifié en juillet 1947 à Roswell, il demanda à survoler la zone où s'était abîmé l'appareil. Il découvrit un autre lieu où l'objet aurait pu ricocher sur le sol pour redécoller. A cet endroit, le sable avait fondu sous l'effet d'une chaleur intense et s'était transformé en une substance pareille à du verre. Le docteur La Paz recueillit de ce sable modifié ainsi que divers morceaux de métal. Williams Rickett, ancien membre du service de contre-espionnage attaché à la base militaire de Roswell, évoqua le fait que l'appareil pût appartenir à une civilisation extérieure à la planète.

    La Paz partagea son avis, mais estima qu'il ne s'agissait là que d'une spéculation qui n'apparaîtrait pas dans son rapport.

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    Robert Porter (fit partie de l’équipage du B-29)<o:p></o:p>

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    Robert Porter fut témoin dans l’affaire du crash de Roswell. Il faisait partie de l’équipage qui transporta vers la base militaire de Fort Worth des morceaux de ce qui leur avait été présenté comme les débris d’une soucoupe volante, enfermés dans des petits paquets de dimension comparable à des cartons de chaussures. Robert Porter tint l’un de ces paquets entre ses mains. Il était si léger qu’il semblait vide. Le chargement fut ensuite acheminé vers la base de Wright Field, à Dayton, dans l’Ohio.

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    James Ragsdale (témoin du crash)<o:p></o:p>

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    Témoin dans l’affaire Roswell. Une nuit de juillet 1947, James Ragsdale dit Jim, se trouvait en compagnie de son amie dans une région située à une soixantaine de kilomètres au nord-ouest de Roswell. Le jeune couple se tenait à l’arrière du pick-up, il y avait un très fort orage, de nombreux éclairs zébraient le ciel. Soudain, il y eut un grand flash, identique à une intense et lumineuse explosion accompagnée d’un bruit de tonnerre. Puis un objet passa au-dessus des arbres en arrachant leurs cimes, et stationna entre deux énormes rochers à 50 mètres du pick-up. Au lever du jour, le jeune couple roula en direction du sud-est. Ils arrivèrent aux abords d’une falaise où gisait l’épave d’un aéronef. Ils sortirent du pick-up afin de ramasser quelques débris, puis s’empressèrent d’aller montrer ces étranges matériaux au Blue Moon, une taverne populaire. Peu de temps après, la porte de la maison de la jeune femme sera fracturée et les débris ramassés sur le lieu du crash envolés.

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    Frankie Rowe (témoin des débris du crash)

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    Elle est la fille d’un pompier de Roswell, âgée de douze ans lors de l’affaire du crash en juillet 1947. Frankie attendait dans la caserne des pompiers que son père la ramène à la maison. Un soldat arriva et montra une pièce métallique qu’il disait avoir prise sur le site du crash. Le matériau était gris et avait l’apparence d’une feuille d’aluminium. Quand il la froissait ou la roulait en boule, la feuille se dépliait d’elle-même. Les pompiers furent incapables de la déchirer et de la brûler.

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    Walt Whitmore (c’est lui qui interviewa Mc Brazel)<o:p></o:p>

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    Fils du propriétaire de la station de radio KGFL de Roswell. Walt Whitmore emmena chez lui le fermier William « Mac » Brazel, témoin qui avait trouvé ces débris du crash dans son champ. En compagnie de Georges Roberts, actionnaire minoritaire et directeur de la station de radio, ils enregistrèrent le témoignage du fermier, entretien qu’ils comptaient diffuser le lendemain. Puis, le lendemain, Georges Roberts reçut un appel de Washington lui déconseillant fortement de passer l’enregistrement sur les ondes sous peine de perdre sa licence sous trois jours :

    « Nous savons que vous détenez une certaine information et nous voulons vous dire que si vous la diffusez, il est possible que la licence de votre station soit menacée. Nous vous suggérons de ne pas le faire. » L’entretien ne fut jamais diffusé.

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    Arthur Exon (témoin des tests sur les débris à Dayton)<o:p></o:p>

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    Arthur Exon est officier à la carrière exemplaire. En juillet 1947, alors qu’il était déjà lieutenant-colonel, il fut affecté à Wright Field- base américaine de l’US Air Force située près de Dayton. C’est dans cette base que l’armée américaine allait entreposer l’épave d’un engin extraterrestre qui venait de s’écraser à Roswell. Peu après le crash, Arthur Exon eut connaissance du transfert des débris et des corps provenant du crash. Selon lui, de nombreux échantillons furent apportés dans les laboratoires d’évaluations. Il affirme que les scientifiques qui approchèrent et testèrent ces matériaux étaient abasourdis devant « ces trucs qui sortaient de l’ordinaire ». Il y avait des morceaux qui pouvaient être facilement déchirés, d’autres étaient extrêmement fins, mais d’une résistance absolument incroyable, au point de ne pouvoir être déformés par de lourds marteaux. Une partie semblait sans consistance, mais d’une dureté d’enfer, et une autre ressemblait à du papier d’aluminium très résistant. Les chercheurs étaient conscients que les matériaux qu’ils avaient entre les mains étaient quelque chose de nouveau. Quoi qu’ils aient pu découvrir,  Arthur Exon affirme qu’il n’a jamais été informé des résultats. Certains chercheurs émirent l’idée que les matériaux qu’ils avaient étudiés étaient peut-être d’origine russe, mais le consensus tournait autour d’une origine extraterrestre.

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    la taverne de l'étrange- 27 août 2008

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    Le ministère britannique de la Défense a publié mercredi (14/05/08) tous les documents sur les observations d'objets volants non identifiés entre 1978 et 1987 au Royaume-Uni.

     

    info issue du site: http://www.lefigaro.fr/

     

    Deux petits hommes verts qui tentent d'enlever un pêcheur, une soucoupe volante au-dessus de Waterloo Bridge à Londres et des lumières colorées se déplaçant dans le ciel au-dessus de Liver­pool. Entre 1978 et 1987, le Royaume-Uni a reçu la visite d'étranges visiteurs, si l'on en croit les cen­taines de témoignages dévoilés hier à l'occasion de l'ouverture des archives secrètes du ministère de la Défense britannique sur les ovnis.

     

    Les documents concernés ont été déclassifiés et sont désormais disponibles sur le site Internet des Archives nationales britanniques. Ils seront accessibles gratuitement pendant un mois.

     

    L'initiative n'est pas une première. En mars 2007, le Centre national d'études spatiales (Cnes), en France, avait déjà mis en ligne ses dossiers sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés (PAN). Selon les officiels du ministère de la Défense britannique, 90 % des té­moignages sont liés à des phénomènes relativement banals, comme des ballons météorolo­giques, la pleine lune ou des nuages lumineux dans la haute at­mosphère, mais 10 % résistent à l'explication. Malheureusement, ce n'est pas dans ces archives que l'on trouvera matière à les élu­cider. En effet, ces témoignages n'étaient collectés que pour des questions liées à la défense.

     

    Lumières rouges et vertes

     

    Dès que les militaires étaient sûrs qu'il ne s'agissait pas d'un prototype d'avion secret soviétique, «ils ne s'y intéressaient plus du tout» raconte David Clarke, du département de journalisme et de communication à l'Université de Sheffield, qui a rédigé une in­troduction sur les dossiers mis en ligne. Ce passionné d'UFO (ovni en anglais) a aussi relevé que le nombre de dépositions avait doublé en 1978 et 1979, après le film de Spielberg sur les ovnis, Ren­contres du troisième type, sorti en 1977. Seule une poignée de dépo­sitions ont fait l'objet d'une en­quête de la part des autorités. Quelques-unes sont assez farfelues. Le 21 février 1982, des clients sortant d'un pub rapportent avoir vu des lumières rouges et vertes clignoter dans le ciel. La direction des sources lumineuses correspondait exactement à la position de… l'aéroport londonien de Gat­wick !

    Certains des documents consignés par les militaires sont des courriers de particuliers envoyés aux autorités. Un individu a par exemple demandé quel était le plan des armées britanniques en cas d'invasion extraterrestre. Un autre, prêt à rendre service, a en­voyé des schémas dessinés à la main censés expliquer comment fonctionnent les vaisseaux extraterrestres.

    Mais certaines dépositions ré­sistent encore à toute explication, comme les étranges signaux ra­dars enregistrés par la Royal Air Force et des contrôleurs aériens civils.

     

    http://www.nationalarchives.gov.uk/ufos/

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    Avant de passer au vif du sujet voici quelques infos sur Steve Fossett :


     


    Steve Fossett est un richissime aventurier américain, né le 22 avril 1944 à Jackson (Tennessee). Disparu le 3 septembre 2007 dans le désert du Nevada, il est déclaré officiellement mort le 15 février 2008 par le tribunal des successions de Chicago. Fossett, qui fit sa fortune dans les services financiers, est devenu célèbre grâce à ses cinq tours du monde sans arrêt : en solitaire en ballon, en bateau, et en solitaire en avion. Fossett a établi 116 records dans cinq disciplines différentes, dont 60 sont toujours valides.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Steve_fossett

     La mystérieuse disparition de STEVE FOSSETT

    Steve Fossett, le célèbre aventurier de l’impossible, détenteur de 116 records du monde homologués, disparu le 3 septembre 2007 aux commandes de son petit avion monomoteur Bellanca au-dessus d’une région montagneuse et isolée du Nevada, ne serait pas mort contrairement à ce que l'on croît ! En effet, Steve Fossett ne se serait pas écrasé avec son avion mais aurait atterri dans une zone mystérieuse du désert du Nevada où il aurait découvert une ville semi-souterraine habitée par une civilisation inconnue très avancée !

    l'avion Bellanca de Steve avec lequel il disparu...

       Il serait revenu voir sa femme pour la rassurer et lui dire "qu'il allait tout expliquer à tout le monde en temps voulu". Incroyable ? Oui, peut-être mais d'autres avant lui ont fait de telles découvertes tout aussi incroyables alors pourquoi pas Steve Fossett ?

     
       Lisez ce qui suit et réfléchissez à tout cela... La Terre contient bien plus de mystères que l'esprit humain est capable d'en imaginer !

     Patrick DELSAUT

     Ecrit par Simon

    Mon avis que Steve Fossett a apparemment découvert un chemin vers la quatrième dimension m'a valu de recevoir un nombre d'e-mails que vous ne pourriez pas imaginer ! Fait intéressant à noter, parmi les nombreux e-mails bizarres que j'ai reçu, il y a notamment celui-ci que je me dois partager avec vous les gars.

     Cher Simon,

     J'ai lu votre rapport sur la disparition de Steve Fossett. Je suis choqué que l'actualité médiatique a complètement ignoré l'histoire. J'ai vraiment l'impression qu'il y a une sorte de conspiration d'une organisation qui ne veut pas que nous connaissions la vérité au sujet de la grande découverte de M. Fossett. Contactez-moi si vous voulez plus d'informations.

     M.

     Je suis un bon ami de Steve. Nous nous sommes rencontrés par l'intermédiaire d'un organisme de bienfaisance pour lequel je travaille. Il s'est souvenu de moi la première fois que nous nous sommes rencontrés, et au fil du temps nous avons construit une grande amitié. Je ne dirais pas que nous étions les plus proches des amis, mais nous étions assez proches. Dans les semaines précédant sa disparition, nous avons eu peu de contacts. Nous avons communiqué une ou deux fois par SMS et avons parlé principalement par le biais du répondeur téléphonique. Dans l'un de ces messages, il a mentionné qu'il avait fait "une grande découverte qui allait changer le monde" et qu'il allait essayer de s'organiser afin que je puisse lui rendre visite dans les prochaines semaines pour témoigner moi-même. Il semblait très insistant, mais Steve était toujours excité pour quelque chose de nouveau. Qu'il s'agisse d'un nouvel avion, un nouveau jouet, un nouveau record du monde, il a toujours été enthousiaste au sujet de quelque chose. Donc, sur le moment je n'ai pas fait trop attention et j'ai supprimé le message. Si j'avais su ce qui allait arriver. Enfin j'ai pu récupérer son portable sur lui quelques jours avant qu'il ne disparaisse. Il m'a dit que je devais venir à son ranch sans plus de raison, parce qu'il avait trouvé un chemin vers un tout nouveau monde. Évidemment, je lui ai demandé en plaisantant ce qu'il avait bu. Mais Steve ne blaguait pas. Il m'a dit qu'il avait repéré une mystérieuse "lumière blanche" de forme circulaire sur le terrain au cours de l'un de ses vols de reconnaissance dans le coin. Il a dit qu'il n'avait jamais remarqué cette "lumière" avant. Il m'a dit qu'il est revenu à la maison sans enquêter, mais qu'il a continué à penser à la "lumière", d'où elle peut provenir, car il était dans une région désertique. Il est allé vers la "lumière" mais je ne pourrais pas l'expliquer. Il a dit qu'il est retourné quelques jours plus tard pour enquêter, mais la "lumière" était en quelque sorte déplacée d'environ un quart de mille au nord. Il a alors atterri. C'est comme si la "lumière" avait senti qu'il approchait, elle s'est alors immédiatement déplacée vers la colline voisine. Il a dit qu'il ne pouvait pas croire ce qui se passait en face de lui et il a essayé d'appeler chez lui pour le dire à Peggy. Mais son téléphone ne fonctionnait plus mystérieusement. Comme il s'approchait, il vit que la "lumière" était en fait un grand "trou", et il y avait plusieurs humanoïdes bleus qui se déplaçaient à  l'intérieur. Personne ne semblait le remarquer tandis qu'il s'approchait, et il commençait à voir ce dont il s'agissait; c'était comme une nouvelle société en place, semi-souterraine, la semi-exposée à la lumière du soleil, juste là au milieu du désert. Il m'a dit qu'il y est retourné plusieurs fois au cours des deux jours suivants, et chaque fois le "trou de lumière blanche" avait changé de place. Je lui ai demandé pourquoi il n'a pas consulté de spécialistes là-bas, des ufologues, et il a dit qu'il l'avait fait, mais que ni lui ni eux n'avaient osé intervenir ni entrer en contact avec ces humanoïdes. Il a continué d'insister pour que je vienne lui rendre visite et m'a dit qu'il allait m'emmener là-bas. J'étais quelque peu effrayé et je me demandais si mon ami avait perdu l'esprit, et je lui ai dit : "je vais voir ce que je peux faire" pour lui rendre visite bientôt et j'ai alors rapidement raccroché le téléphone. Ce fut la dernière j'ai entendu de mon ami Steve Fossett.

     M.

     Mais attendez. Si vous pensez que cela est bizarre, attendez de voir la suite...! 

     Salut Simon.

     

    Peggy & Steve Fossett

     J'ai pensé que vous seriez intéressé par cette mise à jour sur l'histoire de Steve Fossett. Depuis la disparition de Steve, j'ai gardé le contact avec Peggy, la femme de Steve. Aucun de nous deux n'avait parlé de cet "épisode" même si elle savait que j'étais au courant. Au cours de cette dernière nuit (ou très tôt ce matin, devrais-je dire), elle m'a appelé à la maison et était complètement paniquée. Elle a dit qu'elle avait essayé de joindre sa famille et ses amis proches au téléphone , mais que personne n'a répondu. Elle criait haut et fort et j'étais encore à moitié endormi lorsqu'elle m'a soudainement réveillé. Elle m'a dit que Steve était venu la maison et lui a parlé. Voici ce qu'elle a dit. Les mots peuvent ne pas être exacts parce que j'étais encore au lit sans rien pouvoir écrire, mais ce que j'ai compris de l'histoire entre ses sanglots est à peu près ceci :

     Peggy avait passé la soirée avec des amis à la maison qui ne sont pas restés longtemps. Elle s'était assise ensuite dans le salon pour regarder la télévision pendant un certain temps, et elle s'est s'endormie sur le canapé. Elle se réveilla quelques temps plus tard et est allée à l'étage pour se brosser les dents dans la salle de bain avant d'aller au lit. Steve est tout à coup arrivé alors qu'elle se brossait les dents avec la porte des toilettes ouverte, semble-t-il. Il n'est pas "apparu" dit-elle, il marchait normalement jusqu'à la porte. Peggy était dans un état de choc terrible. Elle ne l'avait pas entendu venir. Elle a dit qu'il n'était pas comme un fantôme ou quelque chose de bizarre, il avait l'air plutôt normal sauf qu'il portait une chemise blanche avec un étrange collier qu'elle n'avait jamais vu et un pantalon blanc. Il a dit avec sa voix normale qu'il ne voulait pas réveiller les voisins d'en-bas. Il lui a dit ne pas avoir peur et de ne pas se mettre en colère. Et pendant qu'il parlait, il se tenait à quelques pieds de distance et il ne s'est jamais approché d'elle. Il a dit qu'il avait été dans un tout nouveau lieu où l'argent et la guerre n'existait pas. Il a dit calmement qu'ils devaient cesser de le chercher, qu'ils ne trouveraient jamais ni lui ni son avion. Il lui a dit qu'il l'aimait beaucoup et qu'il ne pouvait pas expliquer, mais que nous saurons tous en temps voulu. Il lui a demandé de faire preuve de patience et de confiance en lui. Il a dit qu'il était venu juste pour qu'elle ne s'inquiète plus et lui faire savoir qu'ils seront bientôt de nouveau ensemble. Il lui demanda de ne parler à personne de tout ceci, qu'il allait tout expliquer à tout le monde en temps voulu, et il est parti tranquillement comme il était venu. Peggy m'a dit qu'elle resta immobile sous le choc pendant de longues minutes et ensuite, elle est allée autour de la maison pour enquêter car elle n'avait pas entendu les portes s'ouvrir. Elle ne fut pas surprise de ne rien trouver. Rien ne s'est passé, et la seule preuve qu'elle avait de cette visite étaient quelques impreintes de pied sur le tapis à l'étage. Je ne savais pas quoi dire à mon amie au téléphone, ni à mon épouse qui me demandait qui criait au téléphone si tard. Je ne sais pas quoi vous dire Simon, je n'ai jamais pensé de toute ma vie qu'il pourrait se passer quelque chose comme ça à moi ou à un de mes proches amis. J'ai essayé de parler de ce fantôme à divers spécialistes mais tous m'ont dit que je voulais gagner de l'argent avec cette histoire parce que mon ami Steve est quelqu'un de célèbre. Je vous assure, je veux pas d'argent ni faire parler de moi dans les médias, je voulais juste partager cette histoire étrange avec quelqu'un qui m'a convaincue. Un journaliste du New York Times m'a qualifié de "nut job", mais je vous assure, je suis sain de corps et d'esprit, et j'ai vraiment espoir qu'un jour mon ami Steve reviendra et clarifiera tout ceci…

    M.

     http://patrick.delsaut1.club.fr/La_mysterieuse_disparition_de_Steve_Fossett.html


     

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