• La NASA a publié une vidéo haute définition, en 4K, extrêmement détaillée montrant la face cachée de la Lune.  

     

    La vidéo rendue publique provient de données recueillies à partir du vaisseau spatial Lunar Reconnaissance Orbiter. Il recrée des points de vue de la Lune que les astronautes d'Apollo 13 ont constaté pendant leur voyage autour de notre satellite en 1970. 

    La vidéo, publiée par le Goddard Space Flight Center de la NASA, montre un ensemble terrestre, un lever de Terre et un lever de Soleil, tous du point de vue de la Lune. 

    *

    source de l'article

    Partager via Gmail

    1 commentaire
  • L’astéroïde Oumuamua pourrait-il être une sonde E.T ? Le Seti enquête...

    Pour le savoir, les membres du programme Seti (Search for Extra-Terrestrial Intelligence) ont décidé d’écouter l’astéroïde Oumuamua avec l’Allen Telescope Array (ATA), un observatoire composé d’un champ de 42 antennes. L’information est révélée par l’astronome américain Franck Marchis, membre du Seti Institute, sur sa page Facebook professionnelle.

     

    Il y partage également un article posté sur le site de Centauri Dreams dans lequel Jill Tarter, célèbre astronome américaine et directrice du centre de recherches du Seti Institute, confirme l’orientation de certaines des antennes en direction de l’astéroïde. 


    Il s’agit là de tenter d’intercepter un signal dans la fameuse bande 1,1-1,9 GHz, où se trouve la raie à 21 centimètres de l’hydrogène : une bande que l’on pense privilégiée pour la communication interstellaire. Les premières analyses de ces écoutes seraient actuellement en cours et l’on pourrait en savoir plus prochainement.

    L’astéroïde Oumuamua pourrait-il être une sonde E.T ? Le Seti enquête...

    source de l'article

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  • Des ovnis autour de notre soleil ?

    Des extraterrestres contrôleraient la quantité de lumière et de chaleur que notre terre reçoit. Et ils récolteraient des rayons du soleil pour faire on ne sait quoi. Voilà la théorie des chasseurs d’ovnis. Les images ont été prises par un observatoire solaire spatial. On voit des corps étrangers et des faisceaux de lumières « sortir » du soleil.

    Posté sur YouTube par le chasseur d’ovnis Myunhauzen74, la vidéo prise par un observatoire solaire spatial est une compilation d’images fixes qui montrent plusieurs points blancs autour du soleil. Cette vidéo a été reprise par Scott C. Waring qui dirige un site très populaire en Angleterre, le « UFO Sightings Quotidien ».

      

    Scott C. Waring a expliqué que cette vidéo lui rappelait une histoire lue quelques années plus tôt concernant deux scientifiques russes qui affirmaient avoir découvert des ovnis « plus grand que la lune ». Ces extraterrestres menaient apparemment une mission quotidienne autour du soleil pour des raisons inconnues. Malheureusement selon Waring cette histoire a disparu du web depuis…

    Des ovnis autour de notre soleil ?

    « Ces extraterrestres mènent des missions clandestines autour du soleil »

    Mais alors que font ces extraterrestres ? Et bien personne ne le sait ! Certains pensent qu’ils récoltent des rayons du soleil. Dans la vidéo l’on voit des corps blancs (pour certains il s’agit d’engins massifs de récolte) autour de la planète qui « tireraient » des rayons du soleil. « Ils peuvent effectivement contrôler le soleil, pour maintenir une température constante sur la terre, ou bien ils pourraient aussi récolter un élément lourd très rare et puissant », explique Waring. Mais selon ce passionné d’extraterrestre, une chose est sûre : « ils sont bien là ! ». « Espérons qu’ils ne font pas une erreur… Voir même qu’ils ne font pas un barbecue de notre planète », s’inquiète-t-il.

     

    La théorie selon laquelle les étrangers mènent des opérations clandestines autour de la source de la vie de la Terre est populaire parmi les chasseurs d’OVNI. En Janvier dernier, un chercheur d’aliens, Tyler Glockner, qui dirige la chaîne YouTube Secure Team 10, affirmait que des images prises par un hélicoptère de la NASA montraient un ovni « sucer le plasma du soleil ». Un ovni dont la taille était 100 fois celle de la terre !

     

    Des ovnis autour de notre soleil ?

     source de l'article

    Partager via Gmail Pin It

    1 commentaire
  • Publicité de Northrop Grumman pour son futur bombardier (Northrop Grumman)

    L’américain Northrop Grumman a été choisi par le Pentagone pour construire le futur bombardier stratégique de l’US Air Force. Gros plan sur cet appareil qui remplacera le mythique B-52.

     

    C’était le contrat du Pentagone le plus convoité de ces dernières années. Un des plus importants (55 milliards de dollars), depuis celui du chasseur JSF, attribué à Lockheed Martin il y a plus de dix ans. Le ministère de la défense américain a finalement tranché cette nuit : c’est l’industriel Northrop Grumman qui construira le futur bombardier américain, destiné à remplacer les antiques B-52 et le B-1 Lancer. Le groupe de Los Angeles, concepteur du bombardier furtif B-2, grille ainsi la politesse à l’alliance Lockheed Martin-Boeing pour ce contrat de 80 à 100 appareils, dont la livraison devrait commencer au milieu des années 2020.

     

    Quelles seront les caractéristiques de l’avion ? Difficile à dire. Dans ce programme dit L-RSB (Long Range Strike Bomber), aussi surnommé B-3, "tout est classifié, à part le prix unitaire", plaisantait cette semaine William LaPlante, responsable des contrats d’acquisition de l’US Air Force. On sait donc juste que l’appareil coûtera 564 millions de dollars pièce, soit en gros le tarif de cinq Rafale.

    Une "aile volante"

    Le reste est affaire de déductions : l’appareil aura très probablement la forme d’une aile volante, design qui limite sa signature radar. Northrop Grumman maîtrise cette technologie complexe depuis le ruineux développement du B-2, joujou à 1,5 milliard de dollars pièce construit à seulement 21 exemplaires. L’option "aile volante" est crédibilisée par la publicité diffusée durant le dernier Super Bowl par l’industriel américain, qui montrait un appareil au design futuriste protégé par un voile dans un hangar.

    L’appareil, qui sera doté de la capacité nucléaire, devrait aussi afficher une autonomie très conséquente (9.300 km), afin de pouvoir frapper l’ennemi en profondeur en décollant depuis une base américaine. Cette caractéristique semble exclure une vitesse supersonique, qui engendrerait une trop forte consommation de carburant, et donc une portée moindre. L’accent devrait aussi être mis sur les dispositifs de "guerre électronique" (brouillage des systèmes adverses), afin de permettre à l’avion des missions effectuées de jour.

    Mauvais coup pour Boeing

    Avec cette victoire, Northrop réalise un sacré coup fumant : le sixième groupe mondial de défense s’est imposé face aux deux mastodontes du secteur, Lockheed Martin et Boeing, qui trustent respectivement les première et deuxième place du podium mondial. Si Lockheed peut compter sur son programme de chasseurs JSF (ou F-35) pour se consoler (2.457 appareils commandés, 400 milliards de dollars), le coup est rude pour Boeing : le champion américain est en train de sortir de l’aviation de combat, avec la fin de production de ses F-18 et F-15 à l’horizon 2018-2019.

     

    Le géant de Chicago, s’il a gagné le contrat des ravitailleurs américains face à Airbus avec son KC-46A à l’issue d’un appel d’offres contesté, est clairement en perte de vitesse sur ses activités militaires. "Ils pourraient retourner graduellement au statut de fabricant essentiellement civil qu’ils étaient avant l’acquisition de McDonnell Douglas, ou faire une offre sur l’activité d’aviation de combat de Northrop", estime Richard Aboulafia, consultant au cabinet américain Teal Group, cité par Defense News. Plus qu’un simple contrat, le programme de bombardiers B-3 pourrait se révéler le point départ d’une grande refondation de l’industrie militaire américaine.

    B-3, l’incroyable bombardier américain à 500 millions de dollars pièce

    source de l'article

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  • Mars-Discovery
     
    De l'eau à l'état liquide coule à la surface de Mars : c'est ce que vient d'annoncer la Nasa en présentant une étude menée depuis plusieurs années. Ces écoulements, suspectés depuis longtemps, ne correspondent en rien au cycle de l'eau terrestre. Ils seraient créés par l'absorption de l'humidité de l'atmosphère par des sels minéraux. Une découverte qui renforce l'attrait de Mars et dont il faudra tenir compte dans les prochaines étapes de l'exploration robotique et humaine de cette planète.
     
     
    eau1
    Les stries noires visibles à gauche sur cette image en fausses couleurs ont été formées par des écoulements d'eau salée. C'est ce que démontre une analyse indirecte. © Nasa/JPL, Caltech/Univ. of Arizona.
     
    Les récentes découvertes de Curiosity ont démontré que Mars a été habitable dans un passé lointain. Combien de temps a duré cet épisode ? On l'ignore. Et à quand remonte-t-il ? Des milliards d'années sûrement mais combien ? Des réponses à ces questions dépend la possibilité qu'une forme de vie ait pu émerger, voire perdurer si ces conditions favorables à la vie sont toujours présentes aujourd’hui sur Mars.
     
    Cette possibilité peut sembler saugrenue tant la planète Mars apparaît aujourd'hui peu propice à l’apparition de la vie. Mais elle prend tout son sens avec l’annonce de la Nasa qui confirme que de l’eau à l’état liquide s’écoule sur les flancs d'un cratère. Certes, ce n’est pas de l’eau de source : elle est saturée en sel et, dans cette atmosphère froide (bien au-dessous de 0 °C) et à très basse pression (quelques millièmes de la pression terrestre au sol), elle ne reste liquide que très peu de temps. Son destin est soit de geler soit de s'évaporer. Mais ces phénomènes représentent un indice fort laissant à supposer qu’un environnement habitable aujourd’hui n'est pas à exclure.
     
    eau2
    Des traces d'écoulements récents ont depuis longtemps été repérées à la surface de Mars sur les pentes inclinées de certains cratères. De nouvelles analyses montrent qu'il s'agit de saumure. Il serait intéressant d'y envoyer un rover pour les étudier plus en détail. © Nasa/JPL, Caltech/Univ. of Arizona
     
    Du sel comme antigel
     
    La découverte repose sur des observations anciennes. En 2011, des chercheurs de l’université de Tuscon, en Arizona, ont observé des écoulements saisonniers vus par la sonde MRO (Mars Reconnaissance Orbiter) et avaient conclu qu'il s'agissait d’eau mais sans en avoir aucune preuve. On en serait resté là sans la persévérance d’une équipe de chercheurs – dont la Française Marion Massé, post-doctorante au laboratoire de Planétologie et géodynamique de Nantes –, qui a pu analyser le sol par spectrométrie. L'étude a montré que les traces d'écoulements récents (donc après la disparition d'eau liquide) contiennent des sels mélangés à un peu d'eau. On y trouve des chlorates et des perchlorates de magnésium et du perchlorate de sodium.
     
    Cette saumure, contrairement à l'eau pure, peut rester liquide dans la faible pression atmosphérique de Mars. Leur hydratation proviendrait de l'absorption de l'humidité contenue dans l'atmosphère, jusqu'à rendre cette substance liquide et capable de s'écouler si la pente est suffisante. Les travaux, annoncés dans un communiqué de la Nasa, sont décrits dans un article de Nature Geoscience et présentés à Nantes lors d'un congrès de planétologie qui se tient actuellement.
     
    eau3
    Les sels dissous dans l'eau, laquelle proviendrait de l'humidité de l'atmosphère (pourtant très faible), lui permettent de rester liquide dans les conditions de pression et de température au niveau du sol martien. Du moins un certain temps. © Idé
     
    Des cibles prioritaires de prochaines missions martiennes ?
     
    La découverte, bien sûr, n'est pas celle d'un long fleuve tranquille. Cette eau liquide n'existe qu'en très petite quantité dans des écoulements s’étirant sur quelques centaines de mètres, larges de plusieurs mètres et épais de seulement 1 ou 2 centimètres. Cet état liquide ne peut subsister que lors des mois d’été avant de s’évaporer à l’automne. Il n’est pas totalement exclu que des micro-organismes puissent s’y développer pendant cet état liquide mais l'hypothèse n'est pas vérifiable depuis l'orbite. Il faudrait aller sur place, souligne la Nasa, toujours en recherche de crédits.
     
    Se poseraient alors la question de l’accessibilité de ces terrains et celle de l’opportunité de reconsidérer le choix des sites d’atterrissage du rover jumeau de Curiosity qui sera lancé en 2020. Si cette découverte suscite pour la communauté scientifique de nouveaux espoirs quant à la présence de vie sur la Planète rouge, elle offre également aux planificateurs des futures missions habitées la promesse de disposer de zones d’atterrissage où l’eau pourrait être recueillie naturellement, voire consommée après traitement…
    Partager via Gmail Pin It

    5 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique