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     C’est l’une des plus belles réussites de l’ère spatiale : à cinq ans et sept mois d’intervalle, la comète Tempel 1 a été explorée par deux sondes différentes... Un succès historique, du à la remarquable longévité des robots spatiaux et aussi à la capacité des ingénieurs et scientifiques américains à oser les utiliser pour des missions pour lesquelles ils n’étaient pas conçus..

     Après la sonde Deep Impact, qui avait visité la comète Tempel 1 le 4 juillet 2005, c’est ce 14 février 2011 que la sonde Stardust a croisé à son tour la comète à moins de 180 km de distance et plus de 10 km/s... La comète est désormais bien mieux connue : la moitié de l’astre seulement avait été photographiée par Deep Impact, c’est désormais quasiment la totalité de sa surface qui est scannée et prête à être cartographiée avec précision. Les planétologues américains espéraient aussi retrouver, sur les nouvelles images de Tempel 1, des régions photographiées cinq ans auparavant par Deep Impact. La comète, entre temps, s’étant approchée du Soleil et ayant été chauffée, érodée par son rayonnement, devait révéler des paysages différents... C’est effectivement ce qu’a montré Stardust : la comparaison des images de 2005 et de 2011 révèle de légères différences topographiques : par endroits, des reliefs ont été effacés, ou se sont creusés, les zones les plus actives de la comète, où probablement jaillissent des geysers glacés lorsqu’elle se rapproche du Soleil, ont été érodées d’une vingtaine de mètres ! Mais, globalement, en presque six ans, la comète n’a pas changé d’aspect : les terrains étranges qui dessinent ses paysages, sont les mêmes : zones de cratères très érodés, usés, vallées lisses, sans structures apparentes à l’échelle des images – qui montrent des détails d’une quinzaine de mètres au maximum – rides, collines de quelques dizaines de mètres de hauteur... La comète est un monde miniature, mesurant 7,6 km x 4,9 km seulement. Minuscule et léger : la densité de la comète est inférieure à celle de l’eau (0,6) et sa masse ne dépasse pas 80 milliards de tonnes. On se souvient aussi que la sonde Deep Impact avait lancé sur la comète Tempel 1 un impacteur de 370 kg qui avait provoqué – en apparence – une gigantesque explosion à la surface de l’astre et projeté dans l’espace un immense et éblouissant panache... L’un des objectifs des astronomes américains était donc de trouver, sur la comète, la trace de l’impact, sous l’aspect prévisible d’un profond cratère... Est-ce un clin d’oeil que la comète a voulu faire aux planétologues, pour les punir de leurs méthodes quelque peu cavalières avec elle ? Toujours est-il que les photos de l’impact prises par Stardust ne montrent rien... Rien ou presque : les planétologues américains déclarent apercevoir, dans la zone touchée par l’impacteur, les traces de l’impact, sous l’aspect de vagues traces bien difficiles à interprêter, mais la vérité oblige à dire que ces infimes différences topographiques peuvent tout aussi bien être dues à cinq ans d’érosion naturelle sur la comète...
     
    La sonde Stardust

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     L'astrophysicien, Craig Kasnoff, a annonce que trois grands objets volent dans l'espace dans notre direction. Leur arrivée est prévu sur Terre pour la mi-décembre 2012 !

    Le site d'examiner réputé pour ses informations dans le domaine de l'Ufologie, vient de délivrer un message qui annonce des révélations faites par un astrophysicien du SETI, Craig Kasnoff. 

     Muffon 2.JPG

     Un très grand nombre d'objets rares se rapprochent rapidement de la Terre - dit Craig Kasnoff  l'astrophysicien. Ne le croyez pas sur parole, mais vous pouvez vérifier cela sur le site pour vous-mêmes. Il recommande d'aller à :

    http://www.sky-map.org

    et d'entrez les coordonnées de l'OVNI géant:

    19 25 12 -89 46 03 - le premier grand objet 
    16 19 35 -88 43 10 - un objet cylindrique 
    02 26 39 -89 43 13 -  un objet arrondi en forme de cercle

    Les participants au projet sont assurés que les installations ou les objets sont tout à fait réels, et que l'agence spatiale américaine de la NASA tente de dissimuler des renseignements importants.

    Aucun de ces objets ne peut être vu de l'hémisphère nord. La deuxième série de calculs sur chaque ligne nous dit que l'"objet" ou "les objets" est ou seront à venir du tréfonds du ciel de l'hémisphère sud. Dans tous les cas, la seule chose que nous puissions faire maintenant, c'est attendre dit Kasnoff.  Bientôt, les objets célestes seront visibles avec un bon télescope.

    Gardez vos yeux sur le ciel ... la vérité est là.
     

     
    source de l'info :  http://www.zone-ufo.com/9317
     
     
     
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    30 JUIN 1908 : UN ETRANGE OBJET HEURTE LA TERRE


     

    On connaît la scène ; ce matin du 30 Juin 1908, la taïga sibérienne, dans la région des Toungousses, à 800 kilomètres au Nord-Ouest du lac Baïka, se mit à tressauter violemment. En même temps, une vive lumière éclate dans le ciel. Et une vague d’intense chaleur brûla les arbres de la taïga. Les rennes qui ne purent fuir assez vite périrent carbonisés. On raconte que des Toungousses crurent que c’était la fin du monde. Pendant plusieurs nuits, un vaste nuage de poussière circula dans le ciel. Ce nuage réfléchissait assez de lumière solaire, pour que les Londoniens puissent encore lire leur journal, dans les squares, passé minuit.


    Pendant des années, on discuta de la nature exacte de ce phénomène insolite. La vérité vient seulement d’apparaître, de manière à peu près irréfutable.

     

    Le premier scientifique à se rendre sur place fut le minéralogiste russe Léonide Koulik. Découvrant les arbres couchés en rond, autour d’une vaste zone désertique, Koulik comprit que le formidable ébranlement de la Toungouska n’avait pas été causé par une météorite. Aucun cratère, pas de fragments disséminés aux alentours. Rien, le sol plat, mais dénudé, sur lequel aucun végétal n’avait repoussé, 19 ans après le cataclysme. C’était cet aspect désolé et désert, qui avait persisté si longtemps qui intrigua le monde scientifique. Pour le russe Astapovitch astronome réputé, et pour le météorologiste anglais Francis Whippie, il ne faisait guère de doute le projectile de la Toungouska eût été un corps céleste peu dense, une comète par exemple. Cette hypothèse remonte à l’année 1962.

    On avait tout de même recueilli, dans la zone dénudée quelques menus morceaux d’oxyde de fer magnétique, appelé « magnétite », ainsi que des gouttelettes vitrifiées de roches.

    Pourquoi cette comète, ou cette minuscule météorite, n’avait-elle pas été aperçue par les astronomes de l’époque ? Parce qu’elle venait de la direction du Soleil, répondit le spécialiste russe des comètes et météorites : Vassilli Fessienkov. Alors, comète, météorite ? Personne ne s’y retrouvait plus. Chacune de ces hypothèses n’était que partiellement satisfaisante. D’autre part, avec la mise en circulation des compteurs de radioactivité, on s’était rendu compte que la zone détruite de la Toungouska était plus radioactive que les environs.

    Alexandre Kazantsiev qui était à la fois scientifique et romancier écrivit l’affaire de la taïga sibérienne à sa façon. Il supposa carrément qu’un vaisseau spatial venu de Mars avait explosé en vue de la Terre, et que son chargement nucléaire avait malencontreusement explosé au-dessus de la fameuse taïga. Le roman finit par devenir plus vraisemblable que toutes les hypothèses scientifiques.

    Finalement les russes de la jeune génération sont vraisemblablement convaincus que leur pays fut le premier et le seul à avoir reçu les visiteurs extraterrestres patrouillant à bord de vaisseaux propulsés par l’énergie nucléaire. Kazantsiev décrivit l’horrible mort des explorateurs arrivant sur les lieux de la mystérieuse explosion. Une mort à petit feu, comme celle des victimes d’Hiroshima. En fait, aujourd’hui, tous calculs faits et refaits, on est certain que ce matin-là, de l’été 1908, la Terre reçut bel et bien une visite extraterrestre : la visite d’une comète. Un chercheur de l’institut Weizmann, Ari Ben-Menahem a établi ce que fut la puissance explosive du projectile : 12,5 Mégatonnes.

    L’altitude de l’explosion : 8 kilomètres 500. L’explosion dégagea une chaleur de plusieurs millions de degrés. La combustion des arbres de l’épicentre contribua à étendre la zone du feu. A l’aide des vieux séismogrammes de l’époque, Ari Ben Ménahem a recréé tous les paramètres essentiels de l’explosion originale. Il les a comparés avec des explosions nucléaires expérimentales, ce qui correspond aux effets d’une explosion thermonucléaires de près 13 mégatonnes. En partant de là, on restitue une certaine physionomie à l’évènement. La comète qui fonce sur la Terre à la vitesse de 28 à 40 kilomètres à la seconde possède un noyau d’environ 40 mètres de diamètres.

    Il aurait fallu que le ciel fût parfaitement obscur pour que la comète du 30 juin 1908 devienne visible à l’œil nu. Mais le matin était déjà bien entamé, quand se produisit cette fantastique collision. Aux dernières nouvelles, les Russes confirment l’hypothèse de Ben-Menahem ; c’est ce que déclare maintenant une communication de l’expédition envoyée sur place par l’institut de Géophysique de Kiev.

     

    CLAUDE BURKEL- juillet 2009

     

     
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     UN VAISSEAU NON IDENTIFIE EN ORBITE TERRESTRE

    LA PREUVE PAR LES PHOTOS DE LA NASA

     

     

     

    Texte de la rédaction de la revue « Top Secret » N°45(oct.nov. 2009)

     

    La rédaction de Top Secret attendait depuis longtemps une telle découverte. Ces dix dernières années nous avons cherché parmi des milliers de clichés de la NASA des images qui pourraient conforter nos hypothèses à propos de visites extraterrestres ou à propos d’un programme militaire spatial « ultra secret » mené en parallèle de celui de la NASA. Nous supposions depuis les déclarations du « hacker » Gary McKinnon et les clichés réalisés par J. L. Walson que ces « vaisseaux extraterrestres et/ou humains » étaient bien là, justes au-dessus de nos têtes… Il ne nous manquait qu’un document photographique irréfutable.

    Or, nous avons peut-être ce « Graal » de l’ufologie après quoi les chercheurs du monde entier ont couru pendant des années. Il s’agit de six clichés indiscutables (de part leur provenance) d’un engin inconnu en orbite autour de la terre. De deux choses l’une, soit cet engin est une création humaine, et dans ce cas c’est la preuve de l’existence de cette fameuse « armée spatiale secrète » évoquée par Garry McKinnon. Une armée en possession d’une technologie secrète qui a exploré et colonisé tout le système solaire au cours des cinquante dernières années. Soit l’engin est extraterrestre, et alors c’est un document historique attendu par les chercheurs du monde entier. Ces six photos inédites sont les plus extraordinaires qu’il nous ait été donné de voir après plus d’une décennie de recherches intensives. Toutes les autres photos d’ovni vous paraîtront bien fades lorsque vous les aurez vues. C’est donc avec beaucoup d’émotion que nous vous livrons ces images accompagnées de nos réflexions. Ces images ont été découvertes sur un site officiel de la NASA. Elles étaient-là, sous nos yeux, et disponibles en libre accès à travers une simple adresse web… mais perdues au milieu de centaines d’autres. Il suffisait d’avoir le courage de les visionner toutes. C’est ce qu’à fait le webmaster du site internet : http://alienforces.wordpress.com

    Ces images appartiennent à l’humanité tout entière. C’est à présent aux médias traditionnels de les reprendre et de les porter à la connaissance du grand public, et de poser les questions qui s’imposent. Mais auront-ils le courage ou la curiosité suffisante pour le faire ? C’est à la NASA de nous expliquer franchement quelle est la nature de cet objet photographié. Un « vaisseau mère » d’une civilisation extraterrestre… ? Un engin de la fameuse flotte spatiale dénoncée par Garry McKinnon ? Je ne doute pas que les sceptiques trouveront une explication rationnelle, une voile à la dérive, un débris, un ballon, ou bien l’habituel grain de poussière. Une chose est sûre, pour nous, les étoiles ne seront plus jamais comme avant, maintenant qu’avec nos yeux nous avons vu l’impossible. Les six clichés de la NASA ont été pris les uns à la suite des autres comme l’indique la numérotation et la référence des images. Ces photos ont été prises par la mission STS 88. Voici la première photo de la série :

     

    STS088-724-65

     



     

    Que penser de cette ombre grise « semi-organique » au fond dans la zone d’obscurité de l’espace ? Apparemment ce n’est pas un satellite artificiel. Ce n’est pas non plus une météorite, alors qu’est-ce donc ? Difficile de se faire une idée. Le cerveau humain a du mal à donner du sens à ces formes, car la présence de cet objet va à l’encontre de tout ce qu’il a appris, de tout ce qu’il croit savoir. De fait l’objet que nous voyons ici est un objet totalement impossible. C’est totalement contraire à tout ce que nous a inculqué le lent conditionnement que nous subissons tout depuis l’enfance. Et pourtant, il est là ; cela se passe juste au-dessus de nos têtes. Ne devine-t-on pas un poste de commandement au sommet de l’ovni ? Des formes structurées ? Des arrondis et des protubérances ? N’y a-t-il pas à l’arrière une petite lumière qui scintille comme le ferait un petit réacteur directionnel ? Et ne devine-t-on pas des ailerons ?...

     

    STS088-724-66

     



     

    Cette fois l’engin a bougé et il est entré dans la zone de lumière. Il se présente sous un autre angle et nous pouvons mieux l’observer à présent. Il semble présenter son nez vers la Terre comme s’il s’apprêtait à pénétrer dans notre atmosphère. On retrouve la protubérance très visible sur le sommet de l’appareil ; car il n’y a plus de doute à présent. Il s’agit bien d’un objet manufacturé d’une taille importante en orbite au-dessus de nos têtes. Observez cette fois encore les ailerons à l’arrière. L’objet fait penser au fameux TR-3A black manta des black programmes américains.

     

    STS088-724-67

     



     

    Difficile encore une fois de se faire une idée précise de l’engin. Celui-ci semble pouvoir changer de forme en fonction de la manœuvre en préparation. A cet égard, on pense encore au TR-3A black manta dont on dit qu’il serait composé d’un alliage à mémoire de forme lui permettant justement de modifier son apparence en fonction des besoins. Une chose est sûre, l’engin n’est pas un débris à la dérive car son assiette semble déterminée et l’engin semble parfaitement profilé pour voler en atmosphère.

     

    STS088-724-68

     



     

    L’aigle déploie ses ailes et plonge vers la Terre. On distingue une série d’ailerons à l’arrière. L’envergure de l’engin semble impressionnante et son vol majestueux.

     

    STS088-724-69

     



     

    Observez attentivement la forme de cet engin. Il n’a vraiment rien de conventionnel. Quel est cette protubérance que l’on retrouve sur l’appareil ? Un moteur à antigravité ?

     

    STS088-724-70

     



    L’ovni est équipé d’une série de lumières de chaque côté de ce qui semble être des ailes. Observez sous le côté gauche de l’appareil les trois petites lumières. Elles ne laissent aucun doute, nous ne sommes pas en présence de reflets lumineux. Ces lumières font penser à une signalétique bien humaine. On a l’impression finalement que l’engin va faire son entrée dans l’atmosphère la tête en bas. A l’arrière, le propulseur principal vient de s’allumer. S’agit-il d’un test militaire secret ? La navette vient-elle de photographier l’arrivée de « visiteurs » ? Pour en savoir plus il faudrait avoir accès aux vidéos de la NASA car la séquence a forcément été filmée.

    Autre cliché mission STS61C-31-2

     



    Une masse sombre triangulaire énorme dans l’atmosphère… (l’aurora ?)

     

    Sommes-nous capable d’imaginer tout ce qui se déroule au-dessus de nos têtes ?

    Peut être s’y déroule-t-il des batailles intergalactiques entre « aliens » sanguinaires assoiffés de pouvoir et de conquêtes. Notre espérance de vie dans un tel milieu ne devrait pas dépasser les quelques heures, voire les quelques minutes… A moins de disposer nous aussi du savoir faire et de la technologie Alien…non ? La NASA trouvera heureusement une explication rassurante  à ces clichés. Sans doute parlera-t-elle d’une illusion d’optique, d’une simple confusion avec des débris spatiaux, ou d’une méprise avec un satellite expérimental. Les arguments paraîtront parfaitement cohérents et crédibles. Mais observez bien ces clichés.

    Cette fois les images ne sont pas floues, et il ne sera pas si facile de dormir tranquille cette nuit. Alors en attendant, gardez l’œil ouvert et le bon, si possible…

     

    Tyron- Août 2010

     
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    Première responsable du réchauffement climatique

      

    Une découverte récente, due au physicien Paul La Violette, expose que le réchauffement global suivant est la dernière glaciation est due à l’effet d'un phénomène cosmique nommé "Grande Onde Galactique".

    Tout cela reste un secret de au niveau pour ne pas mettre en panique la population mondiale, avec tout ce que cela représente au niveau sécurité, tout repose sur le réchauffement planétaire non pas du tout a l’homme.

    Tout les 13000 à 26000  ans, le noyau galactique (un renflement contenant un très grand nombre d’étoiles) émet un puissant rayonnement cosmique. Composé d’électrons de haute énergie et de radiation électromagnétique, (d’ondes radio aux rayons X et gamma), ce rayonnement part du noyau en une « super-onde » à la vitesse proche de celle de la lumière. Lorsque, vingt-six mille années-lumière plus tard, elle atteint notre système solaire, elle modifie le comportement du soleil. Notre système solaire est entouré d’une ceinture de poussière et de débris cosmique appelée  « Nuage d’Oort », selon nos chercheurs, lorsque la super-onde traverse ce nuage, elle entraine apport de combustible, qui fait augmenter la température de surface. Les éruptions solaires augmentent, sa couronne et sa photosphère grandissent et tout cela affecte fortement le climat terrestre, mais également les autres planètes de notre système solaire. En outre, des particules cosmiques qui auraient pénétré  dans l’atmosphère terrestre seraient capturées par le champ magnétique de la planète et formeraient une ceinture de radiation en haute atmosphère. L’énergie injectée dans l’atmosphère de la Terre en un seul jour serait équivalente à une bombe à hydrogène d’un milliard de tonnes. Les effets climatiques perdureraient pendant des milliers d’années. Nos chercheurs voient dans une telle super-onde la cause des bouleversements climatiques qui commencent actuellement. Les mêmes qui mirent fin (entre 15000 et 14150 av. J.C.) à  la glaciation et provoquèrent l’extinction de nombreuses espèces.

    Nous pensons que certains avions peuvent avoir des pannes à  causes de certains champs électromagnétiques pendant les éruptions solaires actuelles. Nous parlons évidemment des avions les plus sophistiqués (le Rafale par exemple) Il serait intéressant de vérifier les accidents avec ces éruptions, ce qui n’a jamais été réalisé... 

      

    Source : Mes recherches personnelles 
     

     Pour la taverne de l'étrange - le 15 Septembre 2009 

     

                                                Claude BURKEL 
     

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