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    La mine de Naica fut découverte par des prospecteurs en 1794 et se trouve à 130 km au sud de Chihahua city. Les indiens Tarahumara donnaient à la montagne voisine le nom de Naica. Jusqu'en 1900 exploitée pour l'or et l'argent .Puis la mine ferma vers 1911 pendant la révolution mexicaine. La grotte des épées fut découverte à 400 pieds de profondeur. On décida de fermer la grotte aux cristaux  pour la préserver. Ces cristaux sont en gypse ( sulfate de calcium hydraté- CA SO4 2H2O ). En Avril 2000 les frères Juan et Pedro Sanchez en creusant un nouveau tunnel découvrirent quelque chose d'incroyable: la grotte aux cristaux géants. Certains mesures plus de 10 m !

     

    http://www.canyonsworldwide.com/crystals/index.html
    http://photos.speleo.free.fr/category.php?cat=219&expand=51

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  • Le triangle de la Burle

    Le triangle de la Burle

     

    Il y a dans les Cévennes « un triangle de la Mort », véritable Pot-au-Noir, qui a fait plus de 60 victimes ! Le journal local, l'Eveil, résumait par ces mots en octobre 1982 les accidents aériens, la plupart inexpliqués, survenus dans un périmètre situé entre le Mont Mézenc, le Puy-en-Velay et le massif du Pilat ( avec la catastrophe des trois mirages en mai 1987 ). Ce secteur bien délimité semble détenir le redoutable record des catastrophes aériennes. De plus, curieusement, ces calamités se déroulent sur des régions à l'environnement naturel difficile. Ces décors dantesques sont ceux d'un règne minéral absolu et démesuré d'une sauvagerie à couper le souffle. Ici se côtoient et s'imbriquent intimement le tellurisme, le passé des hommes, de la terre, de l'univers, du cosmos, des dieux et l'innommable, dont parfois la Burle, vent magique et terrible, se fait l'écho et la mémoire démesurée.

     

     

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    D'autres dimensions du temps et de l'espace règnent en ces secteurs sur lesquels d'étranges et inquiétantes histoires laissent deviner des évènements rapidement classés dans les registres du légendaires mais quasiment toujours construits sur des réalités qui nous échappent encore. Non seulement un nombre effarant d'avions, et non des moindres, s'écrasèrent sur ce sol cévenol, mais le plus souvent ces catastrophes s'accompagnèrent d'observations d'évènements étranges, dont les plus remarquables sont du domaine des objets volants inexpliqués. La fréquence de ces constats est à un point tel qu'il y aurait lieu de croire les deux phénomènes liés dans cet étrange triangle, dit « de la Burle », dont les sommets, souvent proches de 1200 m d'altitude, atteignent 1458 m pour le grand Tanargue ( Mont Tonnerre ) et jusqu'à plus de  1500 m pour le Suc de la Lauzières.

     

    Ici on parle à voix basse, depuis bien avant les accidents, de pierres étranges dites «  pierres volantes » ( lieu dit Peire-Vole ), « pierres qui baillent » et du « Pas de l'Enfer » qui restent à jamais les tombes tectoniques des aéronefs perdus, littéralement aspirés par d'obscures forces inconcevables toujours inexpliquées scientifiquement. A ces accablants constats d'impuissance d'autres bien plus énigmatiques viennent se joindre, conduisant souvent à des considérations où le rationnel n'a plus guère sa place.

     

    *** Catastrophes aériennes en série ***

     

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    Les catastrophes aériennes recensées sur ce secteur commencent avec la chute, le 3 novembre 1943, d'un bombardier Halifax parachutant du matériel aux résistants locaux. Les détails effarants rapportés par le seul rescapé ( le mitrailleur ) sur les derniers moments précédant le crash seront mis sur le compte de la terreur vécue à ce terrible instant. Le bombardier pris dans un remous incroyable ne répond plus aux commandes, plus aucun instrument ne fonctionne, à une chaleur soudaine succède aussitôt dans la carlingue un froid glacial puis l'impact au sol. A ce rapport s'ajoutent ceux d'A. Mandot et C. Faurion qui entendent l'Halifax tourner en rond, sortent et le voient « entouré d'une multitude de petits feux multicolores de position ». Or en vol de nuit l'Halifax ne disposait pas, vu sa mission, de feux « multicolores de position », mais naviguait au contraire tous feux éteints ! Ce sera le premier rapport inconcevable d'une série qui n'en finira pas de s'allonger. Près d'une quarantaine d'accidents aériens, depuis celui-ci, se succèderont sur ce périmètre qui finira par mériter le surnom de « Triangle de la Burle ». Ce seront de petits appareils de tourisme dont on doutera de la puissance, de la précision des instruments de vol, de l’'expérience des pilotes peu habitués aux changeantes conditions météorologiques locales.

     

    Le triangle de la Burle

     

    Certes il faut bien donner des raisons crédibles à ces catastrophes ! Mais alors, que dire de la technique des puissants appareils militaires à réaction manoeuvrés par des pilotes chevronnés ? Tels les deux Javelins anglais, en 1963, qui s'écrasent inexplicablement, l'un sur Jaujac, l'autre un peu plus loin et dont on ne retrouvera pas le pilote pourtant éjecté avec son siège ? Tel encore un Gloster Météor et un autre F104 qui finiront pareillement. 1965 : deux F104 tombent sur le Mont Mézenc ( près des dents du diable ) poursuivis, rapporteront les témoins, par six petites sphères rosâtres qui ne disparaîtront qu'avec l'arrivée des secours. Idem pour le Fougas-Magister percutant le sol près d'Orcival survolé par « deux soucoupes volantes » vues par les sept premières personnes accourues sur les lieux. Un Jodel, le 23 juin 1969, tombe d'un coup suivi par des « cigares volants et bourdonnants » préciseront deux agriculteurs terrorisés.

     

    Ce Jodel venait curieusement de survoler la centrale nucléaire du Bugey ! 12 août 1969 : trois triangles avec un autre objet lumineux sont vus au col de Goudooze. L'ensemble croise un avion qui s'écrase aussitôt, puis c'est un Wassmer qui n'a que le temps de se poser en catastrophe. Enfin, plus loin, deux chasseurs de Francazal arrivés sur les lieux se percutent en vol !!! 21 novembre, un Mystère IV est en panne inexplicable de radioguidage, ainsi que deux autres avions à réaction qui auront de graves ennuis de moteur au passage de quatre disques luisants et silencieux à la verticale de Saint-Pierreville. Début avril 1970, c'est encore un Mystère IV « accompagné par un ballet de boules lumineuses surgies ( ? ) du Rhône » qui s'écrase enfin près de la Teste. Mai 1970, un Bonanza est signalé en difficulté de vol. On ne retrouvera jamais ni épave ni passager mais les autorités dégageront « une épave d'avion mystère inconnu et non identifiable » ; l'enquête n'ira jamais plus loin. 1er juin 1971, un CESSNA s'écrase à Saint-Front près du lac Arcône. Les habitants précisent alors que fréquemment le lieu est survolé par « des machines volantes et soufflantes ». 1er août 1975, un avion s'écrase à Marat. Les dépositions répétitives des témoins expliquent que l'appareil était surmonté de lumières pâles puis très vives au moment de l'impact. 1979 et 1980 apporteront la même dose d'énigmes et d'accidents d'avions mortels. Mais revenons à présent sur trois catastrophes plus remarquables encore.

     

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    D’abord celle de 1948. L'avion emportant la soeur du président Kennedy s'écrase en un lieu nommé autrefois « terre des loups ». Certains y verront le prolongement de la vieille malédiction lancée par les indiens contre le président Lincoln et étendue à tous ses successeurs. Hasard, bien sûr. Toujours est-il que la soeur de Kennedy entra dans la légende du triangle de la Burle sous le nom de « fée du Pot-au-Noir » ! Ensuite, le 18 septembre 1980 au Mont Devez, un avion en perdition est vu entouré de feu et de fumée. Plusieurs brigades locales recherchent l'épave sans pouvoir la localiser d'ailleurs aucun aérodrôme ne signale de disparition. Qu'avaient vu tous ces témoins, dont des gendarmes ? En février 1981, mêmes témoignages multiples d'un aéronef en difficulté à basse altitude : régime saccadé, feu, fumée. Les recherches ont lieu aussitôt, sans résultat. On retient certaines similitudes entres ces deux affaires dans les rapports d'observations dont certains sont indiscutables : les deux « appareils » en détresse, jamais retrouvés, sont tous deux de couleur très claire et comportent de nombreux éclairages rouges, pris pour des feux de positions ou d'atterrissage. Enquête classée sans suite. Enfin, le 22 janvier 1971, un Nord 262 militaire quitte Villacoublay à 6h. Il est attendu vers 9h à Pierrelatte. Vers 8h le contrôle radar perd son contact. A 1342 m d'altitude, au seuil du Mezilhac, près de la vallée de la Volane, l'appareil s'écrase au Suc du Paradou le mal nommé ?

     

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    Tous les passagers trouvent la mort et l'Etat français perd d'un seul coup les sept premiers cerveaux de sa recherche nucléaire civile et militaire. Curieusement, il y aurait eu au nombre des victimes un cadavre de trop, impossible à identifier. Ce sera l'énigme du huitième passager. Enigme aussi, les récits de ceux qui entendirent cercler l'appareil dont le bruit lourd des moteurs était accompagné de sifflements inhabituels allant jusqu'à couvrir le ronflement grave des turbo-compresseurs de ce genre d’'avion. Enigme encore, les deux formes ovoïdes, aperçues sur les lieux, « sombres et pourtant luisantes ». Les rapports n'en feront pas mention.

     

     

    *** La loi du silence ? ***

     

    Le triangle de la Burle

     

     

    Nous savons, pour en avoir eu preuve et certitude, que ces phénomènes continuent à se produire sur ce secteur, toujours aux mêmes fréquences. La circulation aérienne use de nouveaux « couloirs » pour survoler ces zones pudiquement appelées « turbulentes ». Et puis, à présent, on tait ces « incidents » survenant encore dans les plans de vol. De temps à autre la presse relate de vagues observations rapidement expliquées par le ballon-sonde ou la retombée de satellite de service. Puis la Burle reprend possession de son triangle maudit. Peut-on se demander si ne pas faire état de certaines choses suffit à les exorciser ? Il est à craindre que non. Aujourd'hui sur ces hauts-plateaux on n'’aime pas trop parler de ce que l'on voit ( ou entend ! ) encore parfois, la nuit ou le jour, dans la tempête ou sous le soleil. Tout ayant été galvaudé, ceux qui ont encore la sagesse de croire ce qu'ils voient et de l'admettre n'osent le rapporter, par crainte du ridicule ou des moyens de pression pour faire taire la rumeur. Combien faudra-t-il encore de crashs aériens pour admettre rationnellement ces phénomènes localisés et décrits ici bien avant l'apparition de nos modernes avions… depuis des siècles ?

     

    *

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     Dorine Bourneton rapporte son témoignage bouleversant dans son livre; elle fut victime, elle aussi du triangle en le survolant, depuis elle est paralysée suite au crash de son avion... 

     

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    Autre livre écrit par Renaud BENOIST, auteur, scénariste, et Président de PROCINE3.

     

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    Le triangle de la Burle

    -Du nouveau suite a un sujet de la revue "Top Secret" n° 107-

     

    https://www.odla.fr/2020/05/14/le-triangle-de-la-burle-terrier-du-lapin-blanc/

     

    Le triangle de la Burle

       

    La taverne de l'étrange- 8 septembre 2006   --> Mise à jour le 15 mai 2020 

     

     

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     L’histoire méconnue du bout de terre le plus isolé du monde a donné naissance aux légendes les plus folles. Certains ont pensé que les Pascuans étaient d’origine extraterrestre, d’autres préfèrent y voir les derniers représentants de la civilisations des Atlantes…

     

     

     

    *** LA DECOUVERTE DE RAPA NUI ***

     

    Encore aujourd’hui, elle est l’île la plus isolée du monde. 2500 km séparent l’île de Pâques de sa plus proche voisine, Pitcairn, l’île des révoltés du Bounty. Située précisément à 27°8’24’’ de latitude sud et 110°45’50’’ de longitude est, l’île de Rapa Nui est parfaitement isolée au milieu de l’océan, à quelques 4000 km du pays qui la gouverne : le Chili.

    Les 160 km² qui forment le petit paradis pascuan ne sont que la partie émergée de la pointe d’un volcan de 4000 m de haut, dont la base est sans doute toujours en activité. Ainsi la surface de l’île est-elle jonchée de cratères. L’un d’entre eux, celui de Rano Kao, sert de réserve d’eau douce grâce à son magnifique lac aux berges ornées de vignes. La population vit dans ce cadre somptueux avec la lenteur et la sagesse qui caractérisent les insulaires. Pourtant, la civilisation pascuane n’a pas toujours baigné dans cette sérénité.

     

     

     

    L’île fut découverte le 5 avril 1722 par le marin hollandais Roggeween, commandant d’une flottille de trois vaisseaux. Ils abordèrent les côtes le jour qui précédait les fêtes de Pâques, effaçant du même coup le nom charmant que les autochtones avaient donné à cette île voilà quelques siècles : Te Pito No te Henua, ou « Nombril du monde ». Dès lors, les trafiquants d’esclaves vinrent recruter parmi les tribus terrorisées de l’île de Pâques et, en 1862, des navires péruviens embarquèrent à leur bord des centaines de prisonniers.

    Seuls certains eurent la chance de retrouver leur pays et, de leur long voyage, ils rapportèrent la petite vérole, qui décima la quasi-totalité de la population. En 1870, Rapa Nui ne comptait plus que 111 survivants. C’est ainsi que l’histoire de l’île de Pâques s’interrompit, laissant les statues ( Moais ) plantées telles les pièces d’un puzzle que les historiens durent assembler afin de reconstruire ce que leurs aïeux avaient détruit.

     

    *** DES GEANTS DE PIERRE ***

     

     

     

    L’art pascuan de par son nom gigantisme devient alors l’intermédiaire symbolique entre le monde des hommes et celui des dieux. Pourtant, les gigantesques sculptures moaïs n’étaient probablement que l’expression de la volonté de pouvoir et de l’orgueil de la classe dirigeante. Les fêtes de ces géants, orientées vers l’intérieur de l’île, semblent veiller sur les mystères qui voilent leur existence. Ainsi, environ 800 moaïs ont-ils été érigés sur l’île de Pâques.

    Certains sont regroupés sur des plates-formes nommées ahu, dont on imagine qu’elles devaient être les lieux de culte. On a retrouvé sous ces autels des restes humains liés à des rites funéraires.

     

    *** SIGNE DIVIN OU PROUESSE HUMAINE ***

     

     

     

    Toutes ces statues regardent vers l’intérieur de l’île, grâce à leur yeux de corail et à leur pupille d’obsidienne ( verre volcanique de couleur sombre ). Certaines sont surmontées d’un chapeau taillé dans un bloc de scorie rouge. Quant aux statues elles-mêmes, contrairement à ce que prétend la légende moderne et typiquement occidentale, elles ont été taillées dans un tuf ( roche poreuse volcanique ) relativement malléable, à l’aide de pointes de basalte. Pendant longtemps, elles apparurent comme une performance des dieux, mais elles ne sont qu’une prouesse des hommes…

     

    *** DES SCULPTURES AUX DIMENSIONS SURHUMAINES ***

     

     

     

    Les datation indiquent qu’elle ont été taillées entre le 12ème et le 17ème siècle, à une époque où l’île était très boisée. On imagine alors aisément comment des rondins de bois devaient permettre de les transporter de la carrière, sur les flancs intérieurs et extérieurs de volcan Rano Raraku, jusqu’au bord de mer où sont érigés la plupart des moaïs. La plus haute, inachevée, mesure 22 m de haut pour environ 80 tonnes ! Quant à la plus grosse statue toujours debout, elle ne pèse pas moins de 70 tonnes.

     

     

    *** LE MYSTERE DES TABLETTES RONGO-RONGO ***

     

     

     

    De toutes les énigmes de l’île de Pâques, celles-ci est peut-être la plus déconcertante et la plus fascinante. En 1864, dans les habitations de l’île, sont découvertes des tablettes de bois ( rongo rongo ) ou des bâtons couverts de plusieurs espèces de caractères hiéroglyphiques : ce sont des représentations d’animaux inconnus dans l’île que les indigènes tracent au moyen de pierres tranchantes. Chaque figure a son nom, mais le peu de cas qu’ils font de ces tablettes nous font penser que ces caractères, restes d’une écriture primitive, sont pour eux maintenant un usage qu’ils conservent sans en rechercher le sens. Aujourd’hui, on estime à une vingtaine le nombre de ces tablettes réparties à travers le monde dans des musées ou dans des collections privées. Pourtant ces signes gravés et reproduit méthodiquement par ces indigènes qui les tenaient en haute considération mais qui, déjà, avaient tout oublié de leur signification.

     

    L’une de ces tablettes appelée « mamari » se trouve à Rome, à la congrégation du Sacré-Cœur. Elle comporte un millier de signes répartit de manière rigoureusement égale sur chacun de ses côtés. Les signes de la tablette furent comparés à celle de l’écriture Grecque. Il fallait lire le début du texte par le bas à gauche, et après la première ligne, il fallait retourner celle-ci et continuer à lire au-dessus où tout les signes étaient tournés dans le sens opposés. Bien fastidieux tout ça ! Mais en traduisant la tablette par la suite, en français, on s’aperçut que les mots n’avaient aucun sens, ils n’avaient aucun rapport entre eux et ne racontaient pas une d’histoire…Les efforts tentés auprès des pascuans pour obtenir d’eux une traduction des signes rongo-rongo  se sont soldés par des échecs. La signification profonde de ces signes est-elle perdue ? Il n’en reste pas moins vrai qu’un système de communication aussi complexe qu’une écriture s’est développé et a existé au sein d’une société dont on sais qu’elle n’a jamais parvenu à lui donner une explication satisfaisante.

    Le fait que la communauté de Rapa Nui ait éprouvé le besoin d’inventer un système d’écriture est franchement étonnant…mais s’agit-il là d’une invention des pascuans ?

     

    Ainsi, les mystères de Rapa Nui n’en sont pas, et sur quelques énigmes de l’Histoire se sont cristallisés pendant des années les fantasmes les plus fous. Cette île n’en reste pas moins l’une des merveilles du monde, où des géants de pierre ont les yeux tournés vers les étoiles.

    Au fond, la vie qu’on attribuait à ces moaïs dans la tradition pourrait bien reprendre si l’on y croyait très fort…

     

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    Source : Le dossier secret de l’île de Pâques- Franz Kowaks

     

     

     

     

    *** La taverne de l’étrange- 4 mai 2006 ***

     

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