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    Un document de Pierre Dupuis pour en savoir plus sur Stonehenge et le mètre...
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    Théorie intéressante de Pierre de l'équipe taverne. Laissez votre avis. Vous pouvez le contacter à l'adresse ci-dessous. Merci ! 

     

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  • SpookHill01
     
    par I. Ziegler et J.P. Thomas (d’après le Skeptical Inquirer) - SPS n° 198, juillet-août 1992
     

    "Sur cette route en pente, les voitures, les oranges, les ballons laissés à eux-mêmes remontent spontanément la côte, sous l’'effet d’'une mystérieuse anomalie gravitionnelle." Ce genre de phénomène paranormal est repris de temps à autre par un magazine à sensation ou par une émission de l’'audiovisuel. Seul le lieu du miracle varie, pour qu’'on ait pas l’'air de reprendre une histoire déjà usée.

    Il y a quelques années, un journaliste sceptique en a fait un poisson d'’avril. Il a situé le miracle sur une route bien connue de la côte d’'Azur. Avec l’'idée de faire sourire les lecteurs. Le résultat a été très différent de ce qu'’il attendait. Il a reçu plusieurs lettres dont les auteurs attestaient la réalité du phénomène. Ils avaient même tenté de descendre la côte en roue libre, moteur arrêté. La voiture avait tendance à repartir en arrière, remontant la côte. Formidable ! Mais ce n'’est pas en avril, c’'est dans un numéro daté d'’octobre 1990 que le Wall Street Journal a publié un article sensationnel intitulé Spook Hill ("la colline fantôme") déconcerte les scientifiques et défie les lois de la gravité. Ce périodique, tout en s'’intéressant surtout aux problèmes de la Bourse, donne aussi des informations situées dans d'’autres domaines. Tout en honorant jusqu'’alors sa réputation de journal sérieux. Spook Hill se trouve dans la rue principale de Lake Wales, une ville du centre de la Floride. Vue d’'une de ses extrémités, cette voie donne l'’impression de descendre en pente douce, avant de remonter brusquement. Sur place, des panneaux proposent aux conducteurs d'’arriver jusqu’'au point le plus "bas" de la pente douce, et là d'’arrêter le moteur en laissant la voiture au point mort. Elle se met alors à reculer, remontant la pente qu’elle vient de descendre. L'’illusion est frappante. Connue depuis longtemps, elle attire les visiteurs. En fait c’'est la disposition de l’'environnement, combinée avec un petit virage de la route, qui trompe l’'observateur. Vu perpendiculairement, sous un angle différent, le prétendu "point le plus bas" se trouve plus haut que la route qui l’'y mène en pente douce, avant de tourner un peu et de prendre une pente plus accentuée. Si on laisse là une voiture à elle-même, elle va redescendre tout naturellement à reculons, sans aucune intervention d'’une force mystérieuse. C'’est ce qu’'explique dans le Skeptical Inquirer un informaticien nommé Guss Wilder, tout en s’étonnant que le reporter du Wall Street Journal, R. Johnson, se soit laissé berner de cette façon. Ou bien n'’a-t-il connu cette histoire que de seconde main, comme c’'est souvent le cas pour dans ce genre d’affaire ? Ce n'’est pas tout. Si l'’on en croit Johnson, un autre reporter a exploré le site avec un niveau de maçon (règle métallique portant un tube plein d'’eau avec une bulle d’'air dont la positon indique la pente). Il aurait ainsi vérifié que dans la première partie de la route, celle-ci descend jusqu'’au fameux point déclive, avant de remonter. C'’est ici que les choses se compliquent. Si le niveau indique que la rue est en pente descendante, c’'est que l’'eau qu’elle contient est attirée vers le bas par la gravité. Or d’'après le même reporter, les voitures abandonnées là (ou n'’importe quel objet déposé sur la chaussée, une orange par exemple) seraient attirées en sens opposé, vers le haut de la prétendue pente, par la mystérieuse "anomalie gravitationnelle".

    Comment expliquer alors que l’'eau du niveau ne subisse pas l’'effet de l’'anomalie, et qu’elle ne monte pas vers le haut, comme les autres objets posés au sol ? La seule conclusion possible, c'’est que Johnson n'’a jamais procédé à l’'expérience qu'’il décrit, et qu'’il a trompé ses lecteurs. Guss Wilder, le collaborateur du Skeptical Inquirer, a tranché le débat en se rendant sur place avec son propre niveau. Il a constaté que contrairement à ce qu'’on prétend, la première partie de la rue est montante, comme la deuxième, avec seulement une pente moins prononcée. De plus, les bouches d’égout n'’ont pas été placées au prétendu point le plus bas, mais bien en aval. Les ingénieurs de la ville savent probablement mieux situer les montées et les descentes que les journalistes du Wall Street Journal. Comment ceux-ci font-ils pour suivre les cours de la Bourse ? Toujours d’'après le Wall Street Journal, plusieurs scientifiques - trois géologues et un psychologue - se seraient déclarés "déconcertés" par l’'étrange anomalie du Spook Hill.

    Ouestionnés à nouveau par un collaborateur du Skeptical Inquirer, tous ces scientifiques se sont déclarés effectivement très surpris, non par le Spook Hill, mais par les propos que leur avait prêtés l’interviewer du Wall Street Journal. J.A. Kapchan, psychologue à l’université de Miami, déclara : "Sans aucune information, je suis incapable d’'avancer la moindre hypothèse qui expliquerait le phénomène. En conséquence je serais enclin à croire à l’'illusion d’'optique. De toute façon je compte me rendre sur place bientôt..." Quant à A. Bardazzo, du département de géologie de l’'université de Floride, il se borna à affirmer sèchement qu'’il n’avait jamais visité cet endroit, que ses propos avaient été sortis de leur contexte par le Wall Street Journal, et qu’il souhaitait n’être plus mêlé à cette absurdité...

    spookhill3
     
    Où sont donc les scientifiques "déconcertés", "éberlués" par le phénomène de Spook Hill ? Peut-être se cachent-ils dans le "triangle des Bermudes", auquel le Wall Street Journal fait également référence ?

     

    source de l'article ici...

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    LA LEGENDE DES NEUF PAS
    (Légende de Guédelon)

     

    Au hameau des Révillons prés de Treigny, vivaient deux familles en litige pour des droits sur un héritage et deux bornes limites déplacées. La Broisine, veuve depuis l'été, après un an de mariage, et cependant enceinte, devait défendre ses droits et ceux de cet enfant à naître face au voisin avare et méchant. L'affaire, portée devant le bailli de Saint-Fargeau, se jugeait en cette fin d'année. Nulle route n'existait à cette époque et, pour plaider sa cause, Broisine avait donc près de 3 lieues (12 km) à parcourir par les vieux chemins de traverse. Accompagnée de son cousin Phorien, elle a longuement attendu son tour, parmi les chicanes paysannes, avant de gagner son procès. Il est donc fort tard quand elle quitte la salle du tribunal, son cousin s'attardant dans les cabarets pour savourer cette victoire, en promettant de la rejoindre vite. Satisfaite, mais pourtant frissonnante d'appréhension, elle repart par la forêt. Elle se sent bien isolée au milieu de cette nature glaciale, dans ce silence absolu. Soudain, un léger bruit, comme un crissement de feuilles... Quelque chose a remué. Au milieu du chemin un homme est apparu, un fusil à pierre à la main. II ricane sournoisement. Une fuite éperdue à travers les ronces, sous "fouels" (hêtres) et charmes. L'homme rejoint sa proie, épaule et tire à bout portant. Encore neuf pas de douleur et... le silence. Seul le vent pleure à la cime des grands arbres. La Broisine gît, ensanglantée. L'homme cache son fusil sous les basses branches, charge le corps sur ses épaules et s'en va en direction de l'étang de Guédelon tout proche. Une pierre au cou du cadavre, un bruit sourd, un clapotement sur le rivage : le crime sera-t-il à jamais ignoré et impuni? Le criminel revient chercher son fusil à l'endroit du forfait mais s'empêtre dans des empreintes que la lune éclaire : neuf pas, les derniers de sa victime. Troublant ! II recouvre les lieux de quelques feuilles, se promettant de revenir le lendemain pour effacer toute trace de ce forfait. Peine perdue, car semaine après semaine, de nouveau il pioche, tasse, écrase la terre, détruit plus profondément les pas, mais inexorablement ceux-ci réapparaissent.
    La justice ne retrouva pas le criminel, mais l'opinion publique s'émut, s'inquiéta de voir cet homme sinistre toujours roder dans les bois. On l'épia, le surprit.
    Avoua-t-il avant de mourir, fixant ainsi la légende ?

     

    source de l'info ici...


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    LA PIERRE AUX NEUF GRADINS

    Dans la région de Pontarion, dans la Creuse, se trouve un site rocheux étrange qui aujourd'hui demeure un mystère archéologique. Eparpillés sur une petite hauteur en plein bois, d'énormes blocs de pierre, semblent avoir été taillés par d'antiques habitants du secteur, mais dans quels but ? On peut voir ici et là  des " cuvettes " taillées dans la pierre et souvent situées au sommet d' énormes blocs dont la partie supérieure semble avoir été aplanie, ces " cuvettes ", parfois parfaitement cylindriques, donnent aussi naissances sur leur circonférence à des rigoles qui  aboutissent à leur tour dans d'autres cuvettes situées en contrebas sur le même bloc de pierre . L'étrange escalier à neufs marches, la régularité des cuvettes, le tracé curieux des rigoles  pourrait faire penser qu'il s'agit peut-être d'un antique travail humain, mais qu'en est-il exactement...? On ne peut s'empêcher de penser, en se promenant sur ce site situé au sommet d'un petit mont, à un très ancien lieu de sacrifices...

    http://anicet.lecorre.free.fr/neufgradins.htm
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_aux_neuf_gradins

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  • A la fin du XIXe siècle, pendant plusieurs dizaines d'années, la rumeur a couru qu'un groupe de personnes étranges, qui se tenait soigneusement à l'écart de la population locale, s'était installé à proximité du mont Shasta, en Californie. On racontait que ces gens faisaient de brusques apparitions en ville pour échanger des pépites ou de la poudre d'or contre des produits de première nécessité. Elancés, gracieux et agiles, ces étrangers avaient le front haut et de longs cheveux bouclés. Ils portaient de curieux vêtements, dont une sorte de coiffe ornée d'une languette descendant du front jusqu'à l'arête du nez. De temps en temps, on apercevait de vives lumières dans la forêt, et l'on entendait une musique extraordinaire. Lorsqu'un villageois s'approchait de trop près, il était invariablement refoulé " par un homme de très grande taille, le visage caché, qui prenait l'intrus par le collet et le renvoyait d'où il venait ". Ceux qui se sont montrés en ville, en particulier à Weed, raconte Wishar Cervé, parlaient anglais à la perfection, avec une pointe d'accent britannique. Ils ne semblaient pas disposés à répondre aux questions. Les marchandises qu'ils achetaient étaient toujours payées en pépites d'or, dont la valeur était bien supérieure à l'achat effectué, et ils refusaient qu'on leur rendît la monnaie, affirmant que l'or n'avait aucune valeur pour eux et qu'ils n'avaient pas besoin d'argent. . "D'autres visiteurs trop curieux prétendaient avoir été momentanément frappés de paralysie. Les tentatives pour approcher cette mystérieuse tribu restèrent toutes sans effet. Les étrangers prenaient la fuite ou semblaient disparaître dans les airs.  Au début du XXe siècle, on racontait aussi que les voitures refusaient d'avancer à proximité de la zone habitée par ces étrangers- une caractéristique fréquente de ce type de rencontre." Lorsqu'une lumière s'allumait, commente Cervé en 1931, les automobiles s'arrêtaient, comme si le circuit électrique ne fonctionnait plus ". D'autres témoins ont parlé d'animaux étranges, différents de tous ceux qu'ils avaient pu voir jusque-là, et qui fuyaient à leur approche. Certains disaient aussi avoir vu des objets volants : Des centaines de personnes affirment avoir remarqué de curieux vaisseaux qui flottaient dans les airs. Certains affirment qu'ils atterrissaient sur les plages de l'océan Pacifique et continuaient leur course sur l'eau. D'autres les ont vus redécoller pour gagner les îles. Récemment, un groupe de joueurs de golf, à proximité des contreforts de la Sierra Nevada, a vu distinctement un vaisseau argenté s'élever dans le ciel et disparaître derrière les crêtes. Cet avion très particulier ne ressemblait à aucun modèle connu, et on n'entendait aucun bruit de moteur. Cette mystérieuse peuplade venait-elle du continent perdu de Lémurie, comme le supposent Cervé et la Rose-Croix, ou d'une autre planète ? Il est bien difficile de répondre à cette question.

    Bibliographie- Contacts Extraterrestres ( Alien Base ) aux Presses du Châtelet, 1999.
    par Timothy Good

    http://www.lemurianconnection.com/fr/montshasta.htm
    http://www.snowcrest.net/camera/

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