• Nature insolite- rocher 2

    Nature insolite- rocher 2

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    Nature insolite- rocher 2

    Photos reçues par mail

    Ce rocher "étrange" se trouve sur la plage du (village de pêcheur de Meneham) dans la commune de Kerlouan (29).

    A quoi vous fait penser ce rocher ?

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  • Nature insolite - rocher 01

    Agrandissement dessous (cliquez sur la photo pour la voir en taille normale)

    Nature insolite - rocher 01

     

    La nature réserve parfois des formes insolites; ici l'endroit se trouve dans les Côtes-d'Armor (22) à Ploumanach. La photo a été prise le 29 juillet 2016 par un membre de l'équipe "Taverne" en vacance dans le coin. Un rocher a attiré particulièrement son attention : la flèche indique le fameux rocher.

    Que voyez-vous ? A quelle forme vous fait-il penser ? J'attends vos réponses dans les commentaires dessous merci !

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  • Cette chapelle du XVe siècle a des gargouilles en forme de Gremlins et de Goldorak

    Située dans la commune française de Saint-Jean-de-Boiseau en Loire-Atlantique, cette chapelle datant du XVe siècle n’est pas tout à fait un lieu de culte comme les autres. Restaurée dans les années 90, cette curieuse église possède en effet des gargouilles et des pinacles s’inspirant de la culture populaire où se rejoignent Goldorak, les Gremlins ou encore Alien. S'il vous arrive un jourde vous balader du côté de Saint-Jean-de-Boiseau en Loire-Atlantique, surtout ne manquez pas de rendre une petite visite à la chapelle de Bethléem - une très belle église érigée là depuis le XVe siècle.

    Car outre son style Gothique flamboyant, cette chapelle possède aussi et avant tout des pinacles et chimères qui n’ont plus vraiment grand chose à voir avec le style du Moyen Âge ! Alien, Gremlins et Goldorak pour remplacer les pinacles d’origine Restaurée entre 1993 à 1995, cette chapelle pas comme les autres, qui se trouve nichée au cœur d’une forêt située à 20 kilomètres de Nantes, a bénéficié d’une restauration inédite qui a permis de transformer ses pinacles d’origine en sculptures inspirées par la culture du XXe siècle.

    Cette chapelle du XVe siècle a des gargouilles en forme de Gremlins et de Goldorak    Cette chapelle du XVe siècle a des gargouilles en forme de Gremlins et de Goldorak

     

    Alien, Mogwai, Gremlins ou encore personnages issus de la culture manga ornent depuis la restauration les murs de cette bâtisse, les ouvriers de la chapelle ayant fait preuve de toutes les audaces pour restaurer ce lieu de culte de Loire-Atlantique. Ne possédant pas d’indications précises sur la conception d'origine de la chapelle au moment de sa restauration, l'architecte des bâtiments de France, Gwénolé Congard, a fait appel au sculpteur Jean-Louis Boistel afin de recréer des pinacles incluant les 28 chimères qui en ornent désormais les angles.

    Cette chapelle du XVe siècle a des gargouilles en forme de Gremlins et de Goldorak   Cette chapelle du XVe siècle a des gargouilles en forme de Gremlins et de Goldorak

    Une véritable attraction touristique  S’inspirant des codes de la mythologie et du christianisme, le sculpteur a ainsi créé 28 petites sculptures à l'effigie de personnages inspirés de la culture contemporaine et populaire. Goldorak s’occupe ainsi de représenter la droiture, le chevalier des temps modernes. Gizmo le gentil Mogwai, le bon monstre qu'est l'homme. Tandis que le terrifiant Alien sera le léviathan: le néant absolu, celui qu'il ne faut surtout pas réveiller.

    Véritable attraction touristique à elle toute seule, cette église restaurée attire depuis de nombreux curieux qui s’étonnent par ailleurs de découvrir que les nouvelles figurines s’accordent étonnamment bien avec l’imagerie religieuse classique.

    Cette chapelle du XVe siècle a des gargouilles en forme de Gremlins et de Goldorak

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  • Newspaper Rock est une surface rocheuse de 200 pieds carrés dans le comté de San Juan, dans l'Utah, qui est couverte par des centaines de pétroglyphes indiennes  l'art rupestre ciselé et picorait dans la pierre  qui enregistre près de 2000 ans de l'activité humaine dans la région, comme un journal. Bien qu'ils sont typiques de nombreux sites à travers les Etats-Unis, ces pétroglyphes sont un des plus grands, les mieux conservés et facilement accessibles aux groupes dans le Sud-Ouest.

     

    (traduction approximative par Google Traduction)

    Les pétroglyphes disposent d'un mélange de formes abstraites représentant les cultures Fremont, Anasazi, Navajo et anglo humaine, animale et matériel .

    Newspaper Rock est situé juste à côté de l'Utah Route 211 à environ 45 km au nord-ouest de Monticello et 85 km au sud de Moab. Les pétroglyphes peuvent être trouvés sur les verticales des falaises de grès Wingate sur l'extrémité supérieure d'Indian Creek Canyon.

     

    Les gravures de Newspaper Rock ont ​​été inscrites dans le revêtement noir sur le rocher, appelé désert vernis. Desert vernis est un dépôt noirâtre de manganèse de fer qui se forme progressivement sur les faces exposées grès des falaises dues à l'action de la pluie et des bactéries.


    Les artistes anciens ont dessinés plus de 650 figures et motifs sur la roche en gravant la surface de la roche avec des outils aiguisés pour enlever le vernis de désert et d'exposer la roche légère dessous. Les chiffres sont plus âgés eux-mêmes deviennent de couleur plus foncée que le nouveau vernis se développe lentement.


    Les premières sculptures ont été faites il ya près de 2.000 ans par le peuple Anasazi qui ont été mieux connus pour leurs pierre et de terre logements plutôt que leur art. Les personnes Fremont, qui étaient contemporains de l'Anasazi, ont également contribué à la Newspaper Rock.

     

     

    Ils gravés cadres encombrants humains avec torses trapézoïdales, ainsi que certains des mouflons d'Amérique, et probablement beaucoup des handprint et empreinte formes. 

    Plus tard, les Utes et peuple Navajo ajouté chiffres représentant les chasseurs à cheval, et des images de boucliers des guerriers et des roues.

     

    Les sculptures les plus récentes ont été faites dans le début du 20e siècle, par les premiers explorateurs des temps modernes de cette région qui ont laissé leur marque avec les initiales et noms gravés tout autour des marges de ces anciens, images ineffables.

    La Newspaper Rock, dans l'Utah .

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  • Dans la forêt de la Montagne noire, près d'Arfons se dresse une étrange stèle, portant une gravure passablement mystérieuse. C'est la pierre de Miamont. Elle a mauvaise réputation dans les légendes, étant un lieu propice aux sortilèges... Mais qu'en est-il vraiment, derrière la légende, de cet énigmatique caillou ?

    L'étrange pierre de Miamont (Arfons, Tarn).

     

    La légende des pièces maudites.

     

    Il est dit que l'on aperçoit parfois près de la stèle, d'étranges pièces dorées ou argentées. Il ne faut absolument pas y toucher, sous peine d'encourir le plus grand des malheurs. En effet, les pièces sont "ensorcelées": elles ont été laissées là par des gens malades ou infirmes. Si vous les ramassez ces écus, le mal dont leurs anciens propriétaires étaient affectés passera en vous... 

     

    Une légende commune. 

    L'étrange pierre de Miamont (Arfons, Tarn).

    Une telle légende est assez commune dans le Tarn, d'après les recherches de la Talvera. A la coix du Banquet près de St Salvy dans le Sidobre, il y avait également des pièces d'or qu'il fallait bien se garder de ramasser. 

     

    Selon les différentes versions de la légende, ces pièces ensorcelées sont laissés par des humains qui veulent se défaire d'une maladie, ou bien  par le Drac ou le diable qui se sert ainsi de la cupidité des humains pour les garder sous son emprise.

     

    La légende des objets enchantés ou maudits est donc une constante en occitanie. La pierre de Miamont ne semble pas faire exception.

     

    Un carrefour.

     

    Mais quelle est la véritable fonction de cette pierre ? Lle lieu-dit de Miamont (à défaut de la pierre elle-même) semble avoir pendant longtemps joué ce rôle de carrefour, ce qui nous permet de remonter de la légende à l'histoire. En effet, si on lit l'histoire d'Arfons, on apprend que ce caillou désormais perdu au milieu des forêts était jadis un point de passage obligé pour traverser la montagne : 

     

    "Le chemin d'Arfons aux Escoussens commence à Arfons et finit à la Fontaine de Miemont ou Miamont". 

     

    "Le chemin d'Arfons à la Prade commence à la Fontaine de Miamont et finit au Traouc Escur". 

     

    Cela suppose l'existence d'une fontaine, qui serait associé au lieu-dit Miamont. Est-elle située près de cette pierre ? Le nom commun le laisse supposer.

     

    La piste du nom.

     

    Diverses formes sont attestées: Miamont, Miemont, Miechmont (sur les cartes de l'IGN): quelle peut être la signification de ce nom ? Peut-être de l'occitan "mièch" (demi), et de "mont" ? Le "demi-mont" ? Je ne suis pas assez savant en phonétique occitane pour confirmer cette hypothèse.

     

    Une borne ?

     

    Autre hypothèse intéressante à propos de cette pierre: on lit souvent que c'est une borne. A l'appui de cette interprétation, on interprète la gravure qu'elle porte comme des armoiries. 

     

    L'étrange pierre de Miamont (Arfons, Tarn).

     Ce qui est certain, c'est que la pierre de Miamont a servi de borne à l'époque moderne, car des traces de peinture rouge subsistent sur sa partie sommitale. Mais en était-il de même autrefois ? Si c'était une borne, quelles armoiries sont-elles représentées ? La forme générale est bien celle d'un écu. On croirait voir, dans la partie supérieure de l'emblème, trois ornements grossièrement sculptés qui ressemblent à des fleurs de lys (ou des oiseaux ?). Dans la partie inférieure, une espèce de croix entre deux Y penchés (voir photo ci-dessus).

     

    Et si c'était une borne, quels territoires délimitait-elle, et à quelle époque ? Lorsque les Hospitaliers ont délimité leur sauveté au Moyen-âge à Arfons, ils l'ont fait avec des croix, et non avec une borne comme celle-ci, à en croire l'histoire d'Arfons.

     

    Bref...

    L'étrange pierre de Miamont (Arfons, Tarn).

    Sur cette énigmatique pierre, plus d'interrogations que de certitudes... J'en appelle aux savants lecteurs !

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