• Donald Trump est-il un voyageur du temps…

    Ce que vous allez lire est véridique et les références aussi… Cela permet de s’interroger sur les boucles temporelles ou sur les intuitions des auteurs, et cela fait penser au roman du naufrage le Titan, bien avant le naufrage du Titanic.

     

    Au XIXe siècle, en 1893,  un auteur de Science Fiction a écrit un livre sur un homme nommé « Le merveilleux Voyage sous terre de Baron Trump», le jeune garçon part en Russie, ou il découvre un passage pour voyager dans le temps. Le mentor qui l’accompagne se nomme « Don…

    Mais ce n’est pas tout, le fils de Donald Trump se nomme « Barron Trump », mais avec 2 « r » au lieu d’un seul du personnage du livre, et « Don » fait penser à « Don »ald,  étonnant non ?

    Voici la couverture du livre:

    Donald Trump est-il un voyageur du temps…

     

    Le livre suivant que l’auteur à écrit est connu sous le titre, « Le dernier président»…

    Un siècle plus tard, en 1950, Trump continue son voyage dans le temps dans une chaîne de télévision de Western, où le personnage nommé Trump promet de construire un mur pour les protéger, voici exactement la réplique :

    « Je suis le seul. Croyez-moi. Je peux construire un mur autour de vos maisons, pour que rien ne pénètre. »

    C’est ce que Donald a fait avec le mur mexicain non ?

    Voici la vidéo de l’épisode :

     

    *

    source de l'article

    Partager via Gmail Pin It

    2 commentaires
  • A-flying-saucer-002

    Cette alternative a l’hypothèse extraterrestre, pour élucider les énigmes agaçantes des ovnis, est aujourd’hui en plein dans l’air du temps. En d’autres termes, les conducteurs des soucoupes volantes sont-ils, non pas des extraterrestres venus d’ailleurs, mais nos descendants à savoir, des terriens du futur, des terrestres extra-temporels ayant maitrisé la technique du voyage dans le temps et venant visiter leur passé. Ainsi les maîtres des soucoupes ne seraient ni des astronautes, ni des spationautes, mais des chrononautes, à l’heure ou l’année 2008 était annoncée comme l’année zéro du voyage dans le temps, cette possibilité ne manque pas d’un regain d’intérêt.


    Il est vrai qu’elle est extrêmement séduisante et féconde et paraît, comme par magie, résoudre nombre de caractéristiques mal comprises du comportement des ovnis. Au point de se demander pourquoi elle n’a pas plus de succès ! Qui donc a eu cette géniale intuition, du moins en France, de ne pas faire arriver ces formes soucoupiques d’une trop lointaine planète inobservable, donc inaccessible, ni surgir d’un inconscient collectif plutôt difficile à comprendre ? C’est un ufologue français disparu :


    René Fouéré (1904-1990), fondateur du GEPA (Groupe d’étude des phénomènes aériens). Il fut l’un de ces ufologues qui ne se contentaient pas de collationner les données mais tentèrent de rationaliser le phénomène. Figurent à ce panthéon, Aimé Michel, J. Allen Hynek… Dans son bulletin du GEPA « Phénomènes spatiaux » n°8 de juin 1966, René Fouéré posait la question : « Les ovnis seraient-ils des revenants du futur ? » 

    02

    René et Francine Fouéré (photo prise le 14/08/1988- source ovni.ch).


    Et de parler carrément de « machines » que nous apercevons (dans le ciel) « qui n’auraient pas besoin d’être en mesure de traverser des distances se mesurant en années-lumière et pourraient être des véhicules à portée restreinte à usage purement terrestre, mais capables de descendre ou de remonter l’échelle du temps ». Ainsi, le premier problème résolu en remplaçant par les vaisseaux spatiaux par des machines à remonter le temps serait celui de la distance incommensurable à parcourir pour venir jusqu’à nous par des voyageurs galactiques voire extra-galactiques. Parmi les autres questions auxquelles l’hypothèse temporelle fournirait « une élégante solution » il y aurait l’aspect humanoïde des conducteurs d’ovnis si contestés par les sceptiques et les exobiologistes pour qui la vie dans l’Univers doit être diverse et variée. Dans le cadre « temporel », leur petitesse corporelle, assortie à une grosse tête, serait symptomatique de ce qu’ils sont (à une date ultérieure indéterminée mais tout de même lointaine tant la notion de machine temporelle semble encore loin de ce qui se préparaient en 2008 dans l’accélérateur de particule (LHC) de Genève), préfigurerait ce à quoi ressemblera la race humaine (évolution naturelle ou artificielle) dans quelques millions d’années, quand elle aura opéré une sorte de foetalisation régressive.

    03


    On évacuerait aussi le problème du trop grand nombre d’observations – une exploration spatiale envisage plutôt un débarquement en bonne et due forme que des incursions sporadiques étalées sur plus d’un demi-siècle voire beaucoup plus – les visiteurs pouvant provenir de différentes époques du futur. L’intérêt persistant des chrononautes pour la Terre – parmi les autres exoplanètes – s’expliquerait facilement par le fait qu’elle a été le berceau de leur propre espèce ! Plus de problème de langue non plus. Quoi d’étonnant à ce que les explorateurs français du futur fréquentent la France à une époque reculée pour eux, actuelle pour nous, et s’expriment dans notre propre langue ?

    Quant aux apparitions/disparitions subites d’ovnis, comme s’ils se matérialisaient ou dématérialisaient, ce serait justement au moment où ils basculent dans un autre temps, dans un sens ou dans l’autre, à aller ou au retour, que se produirait le phénomène ; ce qui n’affecterait en rien une certaine « matérialité » des ovnis et de leurs occupants (traces, effets sur l’environnement etc.). De même le problème des ovnis du passé interprété dans le cadre de la thèse des « anciens astronautes en visite sur terre et semblant avoir marqué, voire orienté, les civilisations anciennes, pourrait être vu dans le cadre d’une sorte d’ « amplificateur culturel à réaction positive, le futur s’agrandissant lui-même par réinjection dans le passé de fragments de son acquis » (sic, R. Fouéré).

    LES OVNIS SONT-ILS DES MACHINES A REMONTER LE TEMPS ?


    Article de Michel Granger pour la revue « Le Monde de l’Inconnu » n°333 d’août/septembre 2008


     

    Partager via Gmail Pin It

    5 commentaires
  • Mardi 1er avril 2014
     
    Bonjour toutes et tous !
     
    Ayant beaucoup d’amis depuis la création de la taverne de l’étrange en 2005, ce jour est béni pour moi puisqu’aujourd’hui cela fera 9 années que j’ai créé ce lieu dédié aux mystères de ce monde. Une chose n’arrivant jamais seule, je remercie mon ami « Starman » pour le travail élaboré ci-dessous ; nous en avons parlé longuement depuis quelque temps et lui avait demandé un article bien défini. Après quelques mois passés Starman m’a contacté pour me demander si c’était toujours ok pour l’article en question. Après lui avoir demandé une introduction avant la diffusion de cet article afin qu’il explique simplement le pourquoi du comment, je suis en mesure de pouvoir lui répondre que ce jour est enfin arrivé puisque tout les ingrédients sont réunis ! Sans plus attendre je vous laisse et vous souhaite une bonne lecture.
     
    Tyron
     

     
    « Starman »- Lecteur de la Taverne de l'étrange depuis ses premiers jours et toujours étonné d'y découvrir des articles valables sur l'inconnu ; je décide, après plus d'une année d'attente, de lui proposer la diffusion de cette histoire que je qualifie ici de la plus mystérieuse connue de moi-même à ce jour. Habitué aux cours de plusieurs décennies de recherches sur les phénomènes inconnus, à réfléchir aux problèmes d'objectivités que posent les phénomènes inconnus face à la science, je me demandai si pour une fois, nous ne serions pas en possession d'éléments fabuleux !
     
    Si la diffusion de cette histoire à été "tentée", alors que nuls n'en parla jamais jusqu'à ce jour, il n'en restera pas moins que sa continuité positive se fera certainement, surtout pour tenter de clarifier son mystère, et surtout pour rendre un vibrant hommage au créateur de ce qui pourrait bien être la première machine à voyager dans d'autres dimensions. 
    Finalement, avoir le dernier mot pour qualifier une telle aventure vous reviens ; étant donné que la plupart des personnes lisant les articles sur la Taverne de l'étrange ont des idées sur les phénomènes et histoires qui y sont racontées.
     
    Et une dernière petite phrase pour la suite des événements : Vive la liberté d'expression !
     

     

    Hebergeur d'image

    Découvrez un voyage fantastique ! Celui dont vous n'avez jamais entendu parler !
     
    Pourriez-vous dire qu'il existe encore des aventures vécues fantastiques inconnues à ce jour, alors que les moyens actuels permettant de diffuser de l'information ne cessent de se développer à travers le monde ? En effet, à l'heure actuelle, vous avez la possibilité de diffuser une information, qu'elle qu'en soit l'importance au plan international en moins d'une minute ! 
    Par la narration de ces événements, vous comprendrez qu'il y aye encore des aventures fantastiques cachées, inconnues, mais de "qui", diriez-vous ?
     
    DES CLEFS SECRETES
     
    Il aura fallut peu de temps pour trouver et comprendre les éléments clefs et secrets de cette affaire spatiale, c'est le mot, et si vous pensez que ce domaine est réservé à une élite, ce qu'elle aimerait vous faire croire, fort heureusement pour le monde des chercheurs de très hauts niveaux il n'en est rien !
     
    Pour cette fois, les résultats des recherches scientifiques qui amenèrent à la maîtrise du domaine spatial décrit ci-dessous, ne vous abreuveront pas de découvertes nouvelles ennuyeuses, lénifiantes, celles qui sont souvent diffusées a grands renfort de publications dans des journaux spécialisés en science, et dont le but est de vous faire comprendre ce qui ce fait, ce qui doit ce faire et non pas, ce qui ne doit pas ce faire, c'est bien connu !
     
    Alors aujourd'hui, découvrez des résultats de recherches qui dépasseront certainement les limites de ces connaissances scientifiques abreuvées par les universités de tout poils et qui "sanctionnent" si souvent les fins d'études par des diplômes d'états, les "bonnes personnes", aillant réussies par leurs études attentive et disciplinées, à marchersilencieusement et sans faire de vagues, dans les pas de ceux qui ne voulait pas, et qui ne veulent toujours pas que certaine choses se sachent…
     
    C'est donc, vous l'avez compris, dans le domaine de ce qui ne ce doit pas ce faire que vous allez  entrez, au sein de l'interdit absolu et vis-à-vis duquel je vous souhaite un bon voyage…
     
    Il y a quelques années, un scientifique mis au point une machine capable de se déplacer dans l'air sans l'aide de moteurs conventionnels ! Quelle pouvait bien être cette invention ?  Début de réponses à ce mystère, obtenu lors d'une entrevue avec M.X, un de ses amis le plus proche.
     
    M.V. - Bonjour M.X et merci de nous recevoir dans votre laboratoire. Nous sommes toujours intéressés par les recherches concernant les grands mystères. Ce chercheur, vous le connaissiez depuis longtemps ?
     
    M.X. - Oui, depuis environ 30 ans. Comment vous le décrire à part qu'il semblait être un homme sans âge ! On avait de la peine à lui en donner un tellement le temps ne semblait avoir d'emprise sur lui, cela peut paraître étonnant. Tout le monde voit l'âge des gens sur leur visage, lui, non ! Et pourtant, il effectuait des recherches scientifiques depuis très longtemps. Il a notamment collaboré à l'étude scientifique qui a permis de construire un des premiers sous-marin pour la recherche océanographique. Cela permis au constructeur de comprendre comment certaine parties du sous-marin devaient être fabriquées. Je vous parle d'une période vers la fin des années 1950.
     
    Un jour, fort de ses connaissance, il eu l'idée de construire un engin n'utilisant pas de moteurs
    conventionnels pour se mouvoir. C'est alors que commença pour lui une série de recherches qu'il est possible ici de qualifier de fantastiques. C'est bien le mot à utiliser. Après des années de recherches dans des vieux livres introuvables aujourd'hui, Il mit au point une machine fantastique, et c'est bien le mot qui faut lui donner, fantastique je vous dis !
     
    M.V. - Avez-vous pu accéder à cette machine et pouvez-vous nous en donner quelque description ?
     
    M.X. - Oui évidemment. D'un diamètre d'environ 1 mètre 80 et haut de 2 mètres 30 environ, il pouvait emporter deux personnes à son bord, et voyager en direction de ce que nous pourrions qualifier "d'autres dimensions" du temps. Cet aspect de ses recherches sont difficile à comprendre pour la plupart d'entre-nous, mais pour l'inventeur, la compréhension de ces termes était clair comme de l'eau de roche. Un autre fait très spécifique de son invention, sa machine traversait les murs de son laboratoire sans aucuns problèmes ou dégâts pour l'environnement.
     
    M.V. - Vous voulez dire que rien ne bougeait en sortant avec son engin de chez lui, même pas une tasse à café ?
     
    M.X. - Effectivement, et une fois son voyage terminé, il revenait dans la même pièce sans problèmes. Voyez-vous, nous nous trouvons là confronté, par les curieuses possibilités de sa machine, à des interrogations scientifiques sur la complexité de la matière, ses composants, atomes, molécules, électrons, protons, etc.  Voyez-vous, Il avait réussit à découvrir, au fil du temps, énormément de secrets sur les constituants de notre environnement immédiat, ceci par des années d'études acharnées et passionnées.
     
    M.V. - Mais ou travaillait-il ?
     
    M.X. - Dans sa maison, il y avait monté son laboratoire ou il menait ses expérimentations. C'est par ses niveaux de recherche scientifique, maîtrisées comme jamais que nous nous trouvions là confronté à un développement de la science dépassant les normes connues. Même un auteur de science fiction n'à imaginé de telles possibilités concernant une machine de ce genre. Comprenez-vous, il avait découvert beaucoup d'informations concernant les autres dimensions ; non pas des dimensions inaccessible dans un lointain espace, comme le décrivent si souvent des scientifiques, mais bien des connaissances à appliquer dans les différents domaines de la physique de l'environnement immédiat. 
     
    M.V. - Il vivait seul ?
     
    M.X. - Non, c'était monsieur tout le monde, il avait une famille et des enfants et vivait comme vous et moi. Malheureusement, aujourd'hui on ne trouve plus traces de lui, c'est comme si tout ce qu'il avait réalisé et inventé pendant des années avait été effacé volontairement…!
     
    M.V. - Mais alors, puisque vous étiez si proche de lui vous savez qui à pu faire disparaître ses travaux ?
     
    M.X. - Ces travaux et lui-même vous voulez dire…
     
    DESCRIPTION DE L'ENGIN
     
    M.V. - Pouvez-vous nous parler de la forme de son appareil.
     
    M.X. - Bien sûr. Cette forme a quelque chose de très symbolique et à la fois de première importance. N'est-elle pas liée à la naissance, à la vie même sur notre planète. Beaucoup de physicien la décrivent comme étant une des formes les plus parfaite de notre environnement.
     
    M.V. - Mais pourquoi l'avoir choisie, alors que la sphère est tout aussi importante ?
     
    M.X. - Tous simplement parce qu'elle a en elle-même un équilibre remarquable du point de vue physique, d'autre part, la pression qui peut s'exercer sur sa surface extérieure peut être considérable. C'est aussi en fonction de ce qu'avait mis au point l'inventeur que cette forme fut choisie. Il est possible que la sphère puisse aussi donner des résultats important, mais si l'on songe qu'il construisait sa machine dans un atelier, cette forme était pour lui la plus plausible et la plus utile.
     
    Beaucoup de vos lecteurs et lectrices pourraient se demander si sa machine reposait sur un socle, un piédestal, un trépied ou autre supports, et bien non, elle tenait "toute seule" sur place sans bouger. Lorsqu'il revenait de son voyage, sa machine, une fois éteinte, avait l'étrange faculté de se tenir droite sans bouger d'un millimètre… C'était grâce à un procédé spécial inclus dans le fond de la machine, que sa masse totale était maintenue en un perpétuel équilibre physique.
     
    M.X. - Je vais tenter d'être plus précis concernant cette invention fabuleuse. Pour pouvoir la faire fonctionner, l'inventeur devait utiliser un certain nombre de paramètres extrêmement précis, je dirais même, beaucoup de paramètres de notre environnement. Vous savez qu'en terme de physique, pour construire une machine volante, un avion par exemple, des calculs de pression d'air, d'équilibre des masses métalliques utilisées, l'aérodynamique, doivent être absolument respectée, sans quoi l'avion ne pourra fonctionner. Dans ces paramètres se trouvent ceux de l'air, de sa façon de circuler autour de l'engin, d’où les études conduites dans des souffleries afin d'en étudier les caractéristiques. Les matériaux utilisés font aussi l'objet d'études poussées, ce qui permet, au fil du temps, d'obtenir des avions aux performances accrues.
     
    Il en était de même pour la machine de cet inventeur de génie. Tout avait été pensé dans les moindres détails, allant des domaines de la physique en passant par d'autres connaissances, qui, elles, ne sont pas retenues officiellement par les tenant de la science sous prétexte de manque d'objectivités scientifique…Vous pensez bien que pour lui tout ce qui était laissé de côté par la recherche scientifique officielle était étudié et utilisé !
     
    M.V. - Vous voulez dire qu'il utilisait le côté complètement oublié de ce que nous dénommons la télépathie, la compréhension des dimensions, les voyages dans l'espace-temps, pour n'en citer que quelques uns.
     
    M.X. - Effectivement et vous allez comprendre pourquoi des connaissances oubliées depuis des centaines d'années lui ont permis de réussir son invention. Tout d'abord, voyons comment se déplaçait cette machine, et surtout OÙ elle se déplaçait ! Avant d'engager les procédures pour effectuer son voyage, il devait planifier tous les points nécessaires, et vous en comprendrez aussitôt toute la complexité. Ce n'était pas comme l'ordinateur d'un avion de ligne couramment utilisé, mais des façons de calculer qui demandait d'intégrer des paramètres bien plus complexe que ceux connus dans les différents domaines de l'aviation.
     
    M.V. - Vous voulez dire qu'il partait depuis sa maison et qu'il se transportait dans ce que nous pourrions qualifier "d'ailleurs", c'est-à-dire une autre dimension, un autre niveau vibratoire ?
     
    M.X. - C'est presque ça. Avec plus de précision dans mes explications, vous pourrez mieux comprendre, mais poursuivons. Lorsque son engin fut passé à travers sa maison, il montait très haut dans les différentes couches d'air de notre planète. Vous voyez, il fallait être absolument certain de ses connaissances scientifiques pour qu'une machine, qu'elle quelle soit, puisse aller si haut sans rencontrer le moindre problème. Quand je pense à la hauteur à laquelle il allait, j'en ai les frissons dans le dos de savoir qu'il avait sous sa machine un vide aussi immense. C'est incroyable, voir impossible à un être humain de pouvoir aller si haut avec un engin aérien et pourtant, lui, il y a allait autant qu'il le souhaitait.
     
    M.X. - D'après vous, combien de personne ont fait ces voyages ?
     
    M.V. - Franchement, pas beaucoup de monde, car l'inventeur savait quelle était la valeur de sa découverte et il prenait des précautions à tous les niveaux. Par contre, il y a de ses amis, dont moi-même qui ont vu cet engin et des photographies en ont été prisent il y a longtemps. Tous comme il existe des brevets d'inventions par dizaine sur les instruments qui se trouvaient à l'intérieur de cet engin et aussi sur d'autres domaines de la science qu'il utilisait, mais les traces de ses brevets on été enlevées pour des raisons que tous les inventeurs de moteurs non polluants connaissent…
     
    M.V. - Mais ou allait-il une fois partis de chez lui avec son engin ?
     
    M.X. - Bonne question. Cela ne posait pas de problèmes particuliers. Il allait ou il voulait. Il m'a raconté un jour qu'il avait rentrés toutes les coordonnées dans sa machine pour se rendre dans une grande ville de fort éloignée, et il y allait…
     
    M.V. - Comment faisait-il ?
     
    Tout d'abord, il calculait les différents emplacements géographiques de notre planète grâce à des connaissances spéciale, et tenir compte notamment de ce que certains chercheurs dénomment "la grille énergétique mondiale". C'est un peu symbolique de dire qu'il y a une "grille" qui englobe la surface de notre planète car vous ne la voyez pas, mais elle existe bien et était indispensable pour ses déplacements.
     
    M.V. - Pouvez-vous nous en dire plus à ce sujet ?
     
    M.X. - Oui bien sûr. Il existe beaucoup d'endroits énergétiques sur notre planète sur lesquels ont été disposées certaines constructions existantes depuis des centaines d'années. Il y a aussi des points d'où émane des énergies d'ordre tellurique propre à la création de véritable vortex énergétique. Tous cela étaient connus de lui, calculé et utilisé à travers ses ordinateurs lors de ses déplacements. Il étudiait ces différents points énergétiques, et en les mettait en rapport les uns avec les autres par des relations numérique qui se trouvent partout dans l'environnement. Pour prendre un exemple, il calculait la vitesse de la lumière : la gravitation terrestre, sans compter les formes géométriques et tous les calculs mathématique connus dans les domaines des harmoniques…et n'oublions pas celui des sons, des couleurs, qui sont inséparables du tout, se sont aussi des énergies en relation avec les points décrits, et l'inventeur les rentraient dans les instruments de bord de sa machine.
     
    C'est grâce à ces éléments fantastiques et pourtant naturels, calculant en quelques instants toutes les coordonnées, que sa machine entrait en résonnance parfaite avec l'environnement. 
     
    VOYAGES EN TOUTES DIRECTIONS
     
    Ces calculs permettaient de disposer sa machine sur des coordonnées qui étaient autant terrestre que spatiale, et par ce mot, je pense surtout aux différentes couches d'air dans lequel il se déplaçait. Le mot "spatial" peut prendre ici une orientation bien plus inouïe que vous le pensez. Nous y reviendrons ultérieurement.
     
    VITESSE DE L'ENGIN
     
    Plus de 3000 kilomètres en moins d'une heure, c'est à peu près le temps qu'il lui fallait pour se déplacer sur cette distance.
     
    M.V. - Excusez-moi, mais j'en reviens a cette interrogation qui me chiffonne depuis le début, comment pouvait-il traverser les murs de sa maison sans les détruire, sans faire de bruit et autres.
     
    M.X. - Voici une réponse intéressante. Il y a deux aspects formidable dans sa machine, non seulement le fait de traverser les murs de son laboratoire, mais aussi celui de contourner le problème principal lors de déplacements dans les hautes couches d'air : la chaleur… Vous pensez bien que pour couvrir des trajets aussi lointain en toute sécurité, qu'il devait avoir trouvé un moyen d'empêcher la matière de son engin de chauffer jusqu'à sa désintégration…
     
    Pour ce faire, il appliquait une des nombreuses clefs qu'il découvrit, c'est celle de l'espace-temps incluant la vitesse de la lumière.Cela permettait de traverser la matière sans la faire entrer en fusion. Pour être plus précis, il avait découvert la clef de l'équation, c'est-à-dire n'importe quelle matière appliquée à l'espace-temps à la vitesse de la lumière. Il est important de dire qu'il ne voyageait pas à la vitesse de la lumière, mais bien grâce à une transformation de calculs concernant la lumière. Nous y reviendrons plus tard.
     
    M.V. - Cela explique comment il pouvait traverser les murs de son laboratoire sans aucuns dégâts !
     
    M.X. - Effectivement. Il faut dire aussi que son engin était silencieux et n'émettait pas de lumière particulière pendant ses déplacements. 
     
    L'INTERIEUR DE SON ENGIN
     
    MYSTERIEUSE APPLICATIONS DES CRISTAUX
     
    M.V. - Pouvez-vous décrire comment était l'intérieur de sa machine.
     
    M.X. - Oui, selon ce que je m'en souviens, l'intérieur de son engin était d'une complexité énorme. Sans les explications de son inventeur nous n'aurions pas compris à quoi pouvais bien servir certaines choses. Il y a quand même des éléments qui ne sont pas possible de communiquer, mais je vais répondre pour cette question du plus haut intérêt.
     
    L'épaisseur de la coque était d'environ de 2 centimètres et demi à 3 centimètres. Il y avait la place 
     
    pour deux personnes. Au centre de l'appareil se trouvait une sorte de volant et au centre de celui-ci se trouvait sertis un gros cristal. Il y avait aussi un système de conduits à travers lesquels circulait certain liquide utilisé dans les domaines spatiaux afin d'obtenir une réaction pour le refroidissement de certaines parties de la machine. 
     
    MYSTERIEUSE APPLICATIONS DES CRISTAUX
     
    Beaucoup de monde aujourd'hui ont entendu parler du mystère des pierres, des cristaux et ce que cela peut représenter vis-à-vis de l'être humain, et bien cet inventeur utilisait certaines connaissances trouvées par lui dans de vieux livres. Il les adaptait aux connaissances modernes afin de les intégrer dans sa machine.
     
    M.V. - Oui, je comprends la chose, mais comment les avait-il disposées ces cristaux, en vrac dans un sac, en pendentif autour du coup, un bracelet, une bague ?
     
    M.X. - Non, pas du tout. Ces cristaux étaient disposés autour de la cabine, elles entouraient complètement le pilote et le passager. Chaque pierre étaient disposées de façon à ce elles soient l'une à coté de l'autre en fonction de leur spécialité énergétique et de forme géométrique spéciale et de couleur. Il faut comprendre que cela était de la plus haute importance, car dans ces domaines particuliers, les connaissances nécessaires à appliquer dépassaient tous ce que l'on connaissait en termes de science de l'environnement.
     
    M.V. - Vous voulez dire qu'il fallait absolument que ces cristaux soient disposés dans son habitacle pour faire fonctionner sa machine ?
     
    M.X. - Non. Les cristaux n'actionnaient pas la partie motrice. Elles avaient des fonctions aussi importantes, bien que très insolites, c'était de maintenir le pilote dans un état d'harmonies énergétiques absolu. Non seulement il fallait que son système de navigation fonctionne, mais il fallait aussi que les divers champs d'énergies du corps humain et de sa machine soient en parfaite correspondance avec l'environnement dans lequel il se déplaçait, et cet environnement, c'est tout simplement la planète terre et ses énergies si subtiles.
     
    Vous comprenez maintenant la subtilité de ces applications énergétiques face à la science actuelle ! Ces informations et connaissances, il les avait découvertes dans un très vieux livre expliquant comment il fallait tailler spécialement ces cristaux. C'est une taille spéciale que l'on a oubliés à l'heure actuelle. Ce livre, je savais ou il se trouvait, et à malheureusement été enlevé de la circulation. Il était pourtant accessible publiquement, pour autant que l'on en connaisse le titre et l'auteur, ce qui n'était pas une mince affaire. Vous pouvez toujours essayer de raconter à un scientifique qu'il y a un champ d'énergie entourant le corps humain. Il aura (c'est le cas de le dire) de la peine à vous croire !
     
    Je peux préciser la chose. Lorsque vous montez dans un avion, tout y est confortable, mais vous y avez peut-être aussi été secoué au point d'en avoir des nausées, des pertes d'énergies à vous sentir mal, d'avoir le mal de l'air et autres phénomènes totalement inharmonieux pour le corps humain ! Voilà pourquoi il y avait des pierres spéciales dans son engin, elles servaient à harmoniser le corps physique des personnes, alliées aux énergies de tout son système de navigation et c'est aussi sans compter sur les métaux spéciaux qu'il utilisait pour sa construction… Le métal était spécial. 
     
    Il était fait pour ne pas entrer en fusion dans les couches denses. C'était un alliage de métaux.
     
    MYSTERES ATMOSPHERIQUES
     
    M.V. - Justement, au sujet de ses déplacements dans les hautes couches d'air, avez-vous des explications compréhensible facilement ?
     
    M.X. - Facilement je ne pense pas. Je sais que cette histoire plonge tout le monde dans la stupéfaction et la perplexité, mais ne vous inquiéter pas, je serai compréhensible.
     
    M.V. - Revenons un peu sur les débuts des explications de cette affaire, racontez-nous comment il faisait pour se déplacer si haut.
     
    M.X. - Oui bien sûr. Je dirais que cela est des plus intéressants, car lorsque l'on s'intéresse à ce genre d'engin, on ne pense pas forcément à ce qui le lie à son environnement immédiat. L'air est son élément principal et je dirais quelque chose qui va vous étonner, jusqu'à ce qu'il n'y aye plus d'air du tout, c'est alors qu'il vient autre chose…
     
    Voici donc comment il devait pratiquer pour ne pas avoir d'ennuis avec sa machine. Lorsqu'il commençait à monter très haut dans les différentes couches d'air, la première des choses qu'il devait faire, c'était d'appliquer les calculs des angles d'entrée dans les différentes couches d'air qu'il traversait. Pour être plus précis, il s'agit de "fenêtres", ou emplacements permettant l'entrée dans les différentes couches d'air que l'engin rencontre et qui doivent être calculées avec la plus grande précision. Plus votre engin spatial n'est volumineux, plus les calculs qui doivent être appliqués pour entrer dans ces fenêtres devront êtres précis. Dans le cas de son engin fabuleux, il n'y avait pas de station au sol pour le conseiller ou le diriger, tout se déroulait par rapport aux coordonnées qu'il y avait rentrées dans ses ordinateurs de bord. Cela fonctionnait absolument à la perfection.
     
    Normalement, lors qu'une fusée est lancée depuis la terre, les opérateurs ce trouvant à terre devant leurs ordinateurs, doivent absolument la diriger dans la bonne direction, c'est-à-dire dans le bon angle, sans quoi, ne rencontrant pas la fenêtre de passage entre les différentes couches d'air, elle explosera par la différence de pression qui se trouve entre deux couches d'air. Comme vous le comprenez maintenant, sans l'application de ces connaissances, rien ne serait possible en termes de déplacement dans les domaines spatiaux, qui, semble-t-il, seraient des domaines réservés à une élite (…)
     
    M.V. - Pensez-vous que ces explications que vous nous donnez concernant les différentes couches d'air, seraient reconnues comme étant une application réelle, plausible et scientifiquement applicables ?
     
    M.X. - Évidemment, c'est la pure vérité scientifique. Pour preuve, les engins spatiaux expédiés depuis les premiers temps de l'aventure spatiale humaine, ne tournaient-ils pas autour de la terre, pour effectuer plusieurs rotations afin de se retrouver progressivement vers les couches d'air les plus hautes et les plus dense… Et bien c'est toujours le cas aujourd'hui, impossible de faire autrement en utilisant les moyens technologiques actuels.
     
    M.V. - Ca alors, je commence à comprendre la subtilité de cet engin, qui est quand même trop extraordinaire. Je n'en reviens pas d'apprendre l'existence d'une telle machinerie fantastique.
     
    M.X. - Alors, toujours partant pour la suite de l'aventure spatiale inédite ?
     
    M.V. - Bien sûr que je le suis, et je pense ne pas être le seul…
     
    M.X. - Alors cher Monsieur, accrochez-vous bien à votre fauteuil et suivez-moi bien.
     
    LE TUNNEL IMPOSSIBLE
     
    M.X. - Puisque tout ceci vous intéresse au plus haut niveau, je ne vois pas pourquoi l'on s'arrêterait à nos couches d'air, pourtant si connues depuis au moins 100 ans. Partons donc, puisque vous le voulez bien, vers des hauteurs plus inouïes. Vous vous rendrez compte que plus vous découvrirez mes informations, plus elles seront rares et exceptionnelles.
     
    Or, donc, lorsque cet inventeur de génie (je n'arrêterai décidément pas de le qualifier de cette manière) commençait à s'élever à travers les couches d'air en décrivant des circonvolutions de plus en plus large et après quelque minutes d'observations de la courbure de la terre, dans le plus grand silence, il imprima volontairement à sa machine une vitesse supérieur à celle qui lui permit de sortir des basses altitudes.
     
    M.V. - Vous voulez dire qu'il allait redescendre sur terre ?
     
    M.X. - Non, pas du tout, car c'est à cette grande altitude que commence son aventure spatiale. Je la qualifie de l'aventure la plus fantastique connue à ce jour, et croyez-moi, ici, le mot DIMENSION prends tout son sens. Beaucoup diraient que de tels voyages pouvaient très bien être sans retour ! Ils n'ont pas tort du tout, dans la solitude, il n'est pas toujours facile de penser que s'il arrivait quelque chose a sa machine, personne ne viendra pour réparer ou porter secours, surtout si haut dans le ciel…Mais poursuivons.
     
    Pour atteindre la vitesse lumière découverte par lui, (non pas la vitesse de la lumière comme précédemment dit), grâce à cette équation dont je vous parlais, il était nécessaire qu'il atteigne les couches d'air en très haute altitude afin de pouvoir donner la vitesse indispensable à son engin de se déplacer en direction d'un autre niveau énergétique par cette fameuse vitesse lumière. Grâce à elle, il pouvait aller comme il voulait, jusqu'à l'ionosphère.
     
    Maintenant je voudrais attirer votre attention sur une série d'événements plus fabuleux vécu par lui-même, et je dirai "plus haut", c'est le cas de le dire, et concernant sa montée progressive vers l'espace, il s'agit ici d'un mystérieux tunnel…
     
    TUNNEL, TROU NOIR OU HUITIEME DIMENSION ?
     
    M.X. - Très bonne interrogation ! Dans l'état actuel de mes connaissances, j'ai une réponse directe, mais je vous laisse regarder du côté de la recherche spatiale depuis ses débuts pour trouver des réponses qui satisfassent votre curiosité, pour autant que trouviez des informations sur ce niveau particulier, mais écoutez plutôt les explications que je vais vous donner et qui vous permettrons de vous approchez de la vérité !
     
    Lorsqu'il était parvenu dans la couche d'air la plus haute, il fallait qu'il se dirige vers la fenêtre d'entrée de la "chose" en question. Dénommé cela comme vous voulez, mais toujours est-il qu'il fit entrer sa machine dans un autre niveau énergétique, ce dernier fort peu connu du public, hélas… Une fois passé la fenêtre d'entrée, il s'aperçu qu'il se trouvait dans un niveau énergétique complètement différent de ce qu'il venait de traverser, à savoir toutes les couches d'air qui entourent la planète terre. Il s'aperçu qu'il se trouvait dans ce que nous pourrions dénommer : un autre niveau dimensionnel, de là à traiter cet endroit de "tunnel", il n'y a qu'un pas vite franchis, mais cela dépendra des convictions de la personne qui lit cet aventure.
     
    Après être rentré dans ce nouvel espace, les choses commencèrent à ce compliqué, car ses perceptions étaient nouvelles. Du jamais vu pour lui et il lui fallait continuer de comprendre à chaque instant ce qu'il se passait dans cette zone que l'on peut aussi qualifier de silence absolu, une sorte de "zone zéro", ou il n'y a vraiment plus rien de ce qui vous assaille chaque instant sur terre, plus rien…
     
    M.V. - Mais comment faisait-il pour conduire son engin puisque il n'existe plus rien dans ce niveau ?
     
    M.X. - C'est justement là la grande idée de l'exploration spatiale depuis longtemps. N'avez-vous jamais entendu dire que des engins d'exploration cosmique étaient "lancés" dans l'espace extra-atmosphérique après qu'une certaine vitesse fut imprimée à l'engin ?
     
    Et bien c'est exactement ce qu'il faisait. Comprenez-vous que dans cet endroit entièrement vide, il n'y a vraiment plus rien pour vous accrocher, pour vous appuyez sur quelque chose pour pouvoir bouger ! Dans cet endroit, rien n'est en mouvement et cela produit d'étranges sensations vraiment inhabituelles.
     
    M.V. - Mais alors il était perdu le pauvre ?
     
    M.X. - Certainement pas. Tout simplement, il calculait sa vitesse en sortant de l'ionosphère. Il se dirigeait directement dans l'ouverture calculée par ses ordinateurs et se retrouvait "dedans". J'allais vous dire : "c'est aussi simple que ça", mais en fait, ce n'est pas si simple à comprendre et à réaliser. Ce qu'il devait calculer, c'est la vitesse à laquelle il rentrait dans cette "chose dimensionnelle", après avoir calculé le parcourt possible en fonction de sa vitesse à laquelle il y entrait, sans compter qu'il devait aussi calculer sa sortie. Pour être plus précis, une fois lancée, sa machine était limitée par la vitesse qu'il avait prise au début. Tout cela était savamment calculé. Il calculait son déplacement, grâce à cette fameuse vitesse lumière. Portant, il était limité par sa vitesse. C'est bien de monter sur des niveaux élevés, mais il faut aussi en redescendre et à nouveau sortir de ce niveau !
     
    M.V. - Et une fois dans cette "dimension", que faisait-il ?
     
    M.X. - Ce qu'il y faisait me demandez-vous, et bien je me demande s'il a eu le temps d'y faire beaucoup de chose !
     
    M.V. - Et pourquoi cela ?
     
    M.X. - Parce qu'il est arrivé quelque chose qui ne devait pas et qui ne pouvais pas arriver dans l'état actuel de ses connaissances avancées. Voici ce qu'il m'a raconté. Après s'être engagé dans ce niveau de vide, alors que son engin continuait sa route, il s'aperçu que "quelque chose" ce déplaçait dans le sens contraire à son mouvement. Ce quelque chose, trop rapide alors qu'il se déplaçait dans sa direction, ne pu être évité…
     
    M.V. - Vous voulez dire qu'il serait entré en contact avec une sorte de cailloux ou une météorite, ou un morceau de ferraille quelconque ?
     
    M.X. - Justement, là est l'interrogation complète. Toujours est-il qu'avant même de se poser des questions sur cet incident, comme sa machine avait été heurtée avec assez de force, il lui fallut la disposer à nouveau dans des coordonnées lui permettant, non seulement de continuer sa route, mais aussi d'assurer la sortie de son engin pour redescendre sur terre sain et sauf !
     
    Une chance pour lui que sa machine n'aie seulement été heurtée par le bord de la "chose" en question, car s'il y avait eu collision…Vous imaginez la suite ! Ce qu'il m'avait dit à ce sujet était assez étonnant, il me dit :" je ne pensais pas que quelqu'un d'autres puisse utiliser ce lieu pour s'y déplacer…".
     
    M.V. - Je comprends mieux la méfiance qu'il devait avoir vis-à-vis d'autres groupes de recherches scientifiques. Comment cela se fait-il qu'il n'aye pas été cambrioler, volé et autres choses désagréable qu'il arrive lorsque l'on arrive dans ces niveaux de connaissances ?
     
    M.X. - Si, justement, vous mettez l'accent sur des événements qui sont en rapport direct avec ses inventions fantastiques. Un jour il m'expliquait qu'il avait quitté un organisme très proche de l'état de son pays et il s'était aperçu que depuis ce temps-là, ses communications téléphoniques étaient écoutées. Son courrier aussi faisait l'objet "d'études attentives" de la part de combinards occultes des plus mauvais.
     
    Il savait que des personnes mal intentionnées essayaient de stopper ses travaux pour ce les approprier. Il me dit aussi qu'il y avait des écoutes radio qui étaient organisées pour tenter d'intercepter ses communications lorsqu'il se déplaçait avec sa machine fantastique.
     
    M.V. - Il y avait donc des personnes qui savaient que cette machine existait ?
     
    M.X. - Évidemment, et pas des moindres. Au fil du temps il lui fallait bien réunir les éléments pour construire son engin. Et en fait de connaissances scientifiques, c'était plutôt un très haut niveau, donc, il était en correspondance avec des organismes capables de lui fournir tous les éléments nécessaire introuvable dans le commerce conventionnel. A ce sujet, voici une information très valable et qui vaut son pesant d'or.
     
    Un des problèmes important qu'il rencontre dans ce "tunnel", c'est de domaine des communications radio. Lorsqu'un engin s'y déplace, les communications radio avec la terre s'arrêtent. Et bien il avait mis au point un procédé radio qui lui permettait d'entendre les ondes radio, même dans ce tunnel en question, ou rien ne passe…
     
    C'est pour vous dire quel génie s'était !
     
    M.V. - Vous voulez dire qu'il avait mis au point une radio dont la conception n'est pas connue actuellement des constructeurs d'émetteur/récepteurs ?
     
    M.X. - Effectivement. Permettez-moi de vous donner quelques informations selon mes souvenirs de cet aspect particulier. Il y avait dans sa machine un cristal rond terminé et fait de fibres transparentes. En le regardant avec une loupe, l'on voyait des fibres comme des cheveux. Et bien chaque fibre représentait une mémoire. Ne confondez pas avec le cristal blanc opaque qui laisse passer la lumière et que l'on trouve souvent, ici c'est encore autre chose.
     
    Cela lui permettait, même lors de ses déplacements en vitesse élevée, d'entendre certaines communications dont il connaissait la source, si vous voyez ce que je veux dire…
     
    Pour terminé cet entrevue, il se fait tard, je vous dirai qu'il parlait de certaine choses des plus insolite quant à ses recherches.
     
    M.V. - Oui, de quoi s'agissait-il ?
     
    M.X. - Il me parlait de soleils noirs !
     
    M.V. - Ca alors. Cela m'est parfaitement inconnu. C'est inouï comme info. Cher M.X. Je vous remercie de toutes vos informations et j'espère que nous nous reverrons pour d'autres informations concernant cette machine fantastique. A bientôt.
    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  •  

    Des passionnés scrutent les images du passé à la recherche de gadgets technologiques. La preuve selon eux que le voyage dans le temps est une réalité. 
     
    Parmi les «mêmes» qui captent régulièrement l’attention des internautes, les voyages temporels sont une catégorie à part. On ne compte plus le nombre de photos ou de séquences filmées datant du début du XXe siècle, où un personnage semble tenir à son oreille… un téléphone portable.
     
    Fantasme geek ou théorie du complot? Certains voient dans ces images la preuve indubitable qu’il est possible de voyager dans le temps. D’autres, sous des allures plus rationnelles, trollent la bouche en cœur. C’est le cas de l’internaute au pseudo de planetcheck.
     
    Fin mars, il a affirmé dans un commentaire déposé sous une vidéo de «voyage dans le temps» que la protagoniste de la séquence n’était autre que sa grand-mère. Et que oui, en 1938, celle-ci testait bel et bien un prototype de téléphone portable, relégué ensuite aux oubliettes par son employeur de l’époque, l’entreprise DuPont.
     
    L’avis de l’expert
     
    L’affaire a fait grand bruit, déchirant la communauté YouTube. Au point que le site américain Huffington Post a consulté un spécialiste des légendes urbaines.
     
    Pour Mike Mikelson, il est difficile de conclure quoi que soit de ce genre de vidéos. «Vous pouvez prendre n’importe quelle séquence des années 40 montrant une personne tenant un objet sur le côté de son visage et dire qu’il s’agit d’un voyageur temporel utilisant un téléphone mobile, décode l’expert. La résolution n’est pas assez bonne pour déterminer ce que tiennent les gens. Il peut s’agit d’un mouchoir, d’un appareil auditif ou n’importe quoi d’autre.» Pour lui, il n’est pas exclu que DuPont ait testé dans ces années d’avant-guerre un prototype de talkie-walkie, mais les ingénieurs l’auraient-ils confié à une ouvrière?
     
    Peu importe. Ces séquences de «mobiles vintage» nous renseignent surtout sur la place incontournable des téléphones portables dans notre monde contemporain. La question du «Comment faisait-on avant?» s'estompe dans l'esprit des nouvelles générations qui ont grandi avec cette technologie.
     
     

    Un mystérieux "mobile" filmé en 1938

     
    Partager via Gmail Pin It

    2 commentaires
  • pas article temporel

     
    Sur les pas d'un voyageur temporel ?
     
    Une empreinte de chaussure remet à l'ordre du jour l'hypothèse du voyage dans le temps...
     
    Alors qu'il se promenait dans la forêt nationale de Cleveland, le californien, J.Snyder a découvert une empreinte fossilisée. Or, l'empreinte de la chaussure a été faite dans le granite dans un endroit où la roche aurait  environ un milliard d'années !
     
    Un artefact incongru
     
    J.Snyder ne voit qu'une explication : cet artefact humain est la preuve que voyager dans le temps est possible. Selon lui, les empreintes ont été laissées par un homme voyageant dans le temps - puisque l'espèce humaine n'existait pas encore. Si sa thèse est la bonne, alors il existe nécessairement une machine à voyager dans le temps, dans le monde; et à un moment ou à un autre, elle a déjà été opérationnelle et utilisée par l'Homme.
     
    Quand et à quelles fins ? Cette seule empreinte de chaussure ne permet pas de répondre ... D'autres empreintes de ce type ont été découvertes récemment dans la baie du Prince-William en Alaska (voir vidéo ci-dessous)
     
    D'autres experts avancent l'hypothèse des anciens astronautes  : ceux-ci seraient à l'origine de ces artefacts qui défient toute logique.
     

    *

    Source- http://www.besoindesavoir.com/article/835651/sur-les-pas-voyageur-temporel

     
    Partager via Gmail Pin It

    10 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique