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Par Tyron29 le 14 Mars 2009 à 11:46
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Par Tyron29 le 4 Décembre 2007 à 10:30
2-LE SECRET DES TEMPLIERS
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Que na-t-on pas écrit sur le temple ! La bibliographie consacrée à cet ordre si mystérieux est tellement fournie que lon se perd dans les différentes versions, souvent contradictoires, qui ont été données. Si lon ajoute à cela la fin tragique des templiers, sauvagement torturés et condamnés au bûcher pour assouvir la vengeance de Philippe le Bel, ainsi que la légende du trésor fabuleux qui aurait été caché, on comprend que lénigme de lordre du Temple ait enflammé limagination.<o:p></o:p>
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Jusquà présent, tous les ouvrages qui lui ont été consacrés abordaient le problème soit sous langle historique, soit en essayant de déchiffrer le contenu ésotérique de linitiation templière.<o:p></o:p>
Dans le premier cas, en sappuyant sur les archives, il est possible de retracer les grandes lignes de la naissance dun ordre religieux et militaire qui, après ses début en Terre Sainte, se replie en Occident à la fin des croisades où il deviendra une puissance, un Etat dans lEtat avec lequel les souverains devront compter, jusquà sa triste fin. Mais cette histoire apparente est une structure bien vide qui ne prend pas compte de la réalité du Temple.<o:p></o:p>
Sa richesse, provenant du commerce des produits venus dOrient et de la gestion des finances des croisés, puis des biens fonciers constitués par les commanderies et les activités bancaires dont les templiers furent les précurseurs, nexplique pas la crainte quils inspiraient, la haine dont on les entourait et surtout les accusations dhérésie quils ont subies. Ces dernières, en particulier, provenaient de ce quon savait de linitiation à laquelle étaient astreints les aspirants chevaliers. Or, sil y avait initiation, cela impliquait quil y avait message ésotérique et le fait que les templiers possédaient des secrets connus deux seuls pouvait suffire à motiver les attaques menées contre eux, sous ordre occulte du Pape.<o:p></o:p>
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ABRAHAM, MELCHISEDECH, LE GRAAL ET LE BAPHOMET
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Mais là où lon nage dans linconnu, cest sur la nature de ces secrets. Les ouvrages dordre occulte qui ont été écrits sur le temple sont, bien sûr, de par leur nature même, des spéculations faites à partir de trop rares documents, en tout cas officiels. Lordre des Pauvres Chevaliers de la milice du Christ et du temple de Salomon avait bien été crée pour protéger les pèlerins en Terre sainte, mais plus profondément, cétait un ordre initiatique voué à la quête de la véritable connaissance de lunivers. Etudiant la tradition, avec Abraham et Melchisédech, le Graal, le Baphomet, etc. analysant les symboles des chapelles templières, interprétant les graffitis de Chinon et de Domme, Jacques Maurin met en lumière le grand courant ésotérique qui animait le Temple et sa haute valeur spirituelle. Passons brièvement sur la partie historique du Temple. En lan 1118, neuf chevaliers français ( le nom exact de cinq dentre eux est connu. Il sagit outre Hugues de Payns, des Flamands Godefroy de Saint-Omer, Payen de Montdidier, Archambaud de Saint-Amand et de loncle du futur saint Bernard, abbé de Clairvaux, André de Montbard, lui aussi apparenté aux comtes de Bourgogne. Des quatre autres, Gondemare, Rosa , Godefroy et Geoffroy Bisol, on ne connaît que les prénoms, à lexclusion des noms patronymiques. La qualité des cinq nobles connus infirme totalement la version historique selon laquelle il se serait agi de « pauvres chevaliers ». Dautant plus que le premier à les rejoindre en 1225 ne fut autre quun des grands seigneurs de France, Hugues, comte Champagne) conduits par Hugues de Payns, de la maison des comtes de Champagne, débarquent en Palestine et présentent au roi Baudouin II de Jérusalem, lui disant quils avaient formé le dessein de fonder une communauté pour « protéger les pèlerins des larrons et des meurtriers et garder les routes publiques ». Baudouin II accéda au désir de ces « Pauvres Chevaliers de la milice du Christ », ainsi quils se nommèrent tout dabord, et leur affecta comme logis une aile de la mosquée Al-Aqsa où il résidait lui-même, construite sur lancien temple de Salomon, doù le nom de chevaliers du Temple quils prirent par la suite. Aussitôt après, ils prononcèrent entre les mains du patriarche de Jérusalem les trois vux de chasteté, dobéissance et de non-possession personnelle. Cela est lhistoire réelle. Mais, dès le début, on se trouve confronté à certaines singularités. Cest ainsi quil existait déjà en Terre sainte lordre hospitalier de Saint-Jean de Jérusalem, chargé daccueillir et de défendre les pèlerins. Dans ces conditions, on peut se demander pourquoi le roi Baudouin II et le patriarche nont pas incité Hugues de Payns et ses compagnons à entrer dans cet ordre (ces singularisés ont été pertinemment analysées par Louis Charpentier, dans les Mystères de la Cathédrale de Chartres et les Mystères Templiers, publiés tous deux chez Laffont).<o:p></o:p>
Ensuite, malgré leurs vux, les neuf chevaliers resteront laïcs pendant dix ans, ils refuseront daccueillir qui que ce soit dans leurs rangs. Mais plus bizarre encore est le comportement. Alors quils ont pour mission dassurer la sécurité des routes, ils ne sortiront pratiquement pas des ruines du Temple de Salomon, comme si cétait là en ce lieu précis que se trouvait ce quils étaient venus chercher (voir mon article Le destin de lArche dAlliance). Tout porte à croire que largument avancé par les neuf chevaliers était bien fallacieux. Le fait que Baudouin II et le patriarche aient accédé sans regimber à leurs désirs laisse entendre quils leur étaient chaudement recommandés. Et que, peut-être quils agissaient pour le compte dune autre autorité, éventuellement, labbé de Clairvaux, haut lieu, à cette époque, de la chrétienté (Pour quelques historiens, en effet, le vu dobéissance prononcé devant le patriarche ne pouvait sappliquer à Hugues de Payns. Alors toujours laïc. Par ailleurs, ils nont jamais obéi au patriarche et, sil sétait agi de Baudouin, le serment aurait été dallégeance et non dobéissance. On peut donc en conclure quil avait au dessus deux un grand maître secret. Le maître général de lordre de Citeau, dont labbaye de Clairvaux était le fleuron, le problème demeure). Sans doute les buts du Temple furent nombreux. Bien des fraternités avaient des contacts secrets au plus haut niveau, mais leurs membres respectifs se connaissaient mal. Sur le plan strictement profane, que savait-on en France de lOrient et de sa civilisation, par exemple ? Il est propable que ce fut là un aspect positif des croisades, tant en Palestine, en Espagne, quailleurs. Les documents mystiques nous apprennent que cest par lintermédiaire de la « fraternité des frères dOrient » et des « corporations byzantines » que sopéra la rencontre entre les initiés dOrient et dOccident.<o:p></o:p>
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UN PONT ENTRE DEUX GRANDES TRADITIONS
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Cest donc la recherche de cette réunification, de ce pont entre deux grandes traditions que fut avant tout la mission des templiers. Quand le concile de Troyes eut reconnu officiellement la mission des Templiers, lordre reçut une règle écrite sous la direction de saint Bernard.<o:p></o:p>
Les Templiers entendaient la messe trois fois par semaine et communiaient trois fois par an.
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Ils portaient un vêtement blanc avec une croix rouge.
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Leur étendard, nommé BAUCEANT ? était mi-parti de blanc et de noir. Les principales dignités, établies par les statuts, étaient celles de grand maître, qui avait rang de prince, de grand prieur ou percepteur et de commandeur. Cette structure, mi-chevalière, mi-monastique, peut fort bien correspondre à des degrés initiatiques. Toutefois, tous les templiers nétaient certainement pas des initiés. Nous comprenons aisément que le nombre des templiers initiés ne pouvait être que relativement important, la prudence et la discrétion requises devant être très sérieusement respectées. Il est également probable que ladmission même devait être assortie dun examen très attentif de la sincérité de limpétrant. Il serait illusoire de croire que tout templier était un initié. De même, tous nétaient pas au même, degré davancement.<o:p></o:p>
Cest la méconnaissance de cette échelle initiatique qui a certainement faussé les interrogations auxquels furent soumis les templiers lorsque commencèrent les persécutions. On voulut en effet faire dire à des profanes ce quils ignoraient. Et, sous la torture, ils avouèrent nimporte quoi. Ce qui ajouta à la confusion des historiens. En passant au crible de lhistoire ce quon pu être les sources de lésotérisme des templiers, en cherchant à les rattacher à un ésotérisme biblique qui sétait dévoyé lors de la séparation des courants religieux qui en étaient issus, je peux dire quil y a des grands secrets qui ne sont pas encore connus, je vais donc un prochain article vous les exposer.
la taverne de l'étrange- 4 décembre 2007
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Par Tyron29 le 22 Novembre 2007 à 12:12
1-SUR LES TRACES DES TEMPLIERS
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Pendant les Croisades dans le royaume de Jérusalem, il a fallu des hommes pour se charger de défendre les frontières contre les attaques des Musulmans. Ce fut le rôle des « Pauvres Chevaliers du Christ », nouvel ordre créé en 1118 par 9 Gentilshommes de lest de la France et dirigé par Hugues de Payns.<o:p></o:p>
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Ayant reçu une maison dans lenclos du Temple de Salomon, ils prirent le nom de Templiers ou chevaliers du Temple. Hormis la maison de Jérusalem, qui deviendra la « maison chévetaine » du Temple. Limplantation de lOrdre commence dabord en Champagne. Les Commanderies ont pour origine le patrimoine des premiers chevaliers. Ainsi, Hugues de Payns, premier Grand-maître, cède à son à son Ordre son fief de Payns, près de Troyes qui deviendra la première Commanderie, donc la forêt dOrient. Entre Clairvaux et Payns, dans lactuel département de lAube, la forêt du Temple, soit 20.000 hectares divisés en quatre parties : le petit Orient au Nord-Ouest, la forêt du Temple au Sud-est, lEperon au Nord-est et le Grand Orient au centre. Dans cette forêt au sol marécageux on note la présence danciens étang artificiels, au milieu de nombreux étangs naturels, qui étaient probablement des moyens de défenses (certaines sources bien secrètes disent que lArche dAlliance serait dans lun des ces étangs bien protégé ?) Une ceinture discontinue de fermes, de forges, de granges entoure cette forêt, les unes cisterciennes, les autres templières.
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A quelques kilomètres de là, une seconde ceinture de Commanderies (Bonlieu, Fresnoy, Piney, Chauffour, Nuisement...) dont dépendaient les précédentes sont elles-mêmes sous les dépendances de deux baylies, Payns, à louest et Thors à lest. Ces deux baylies sont reliées par une dernière ceinture de Commanderies (Troyes, Bar-sur-Aube, Montceaux, Bruxières, Avaleur, Ramerupt.) Après le Concile de Troyes en 1128 qui marque la naissance de lOrdre du Temple, en lui donnant ses règles. Les neufs compagnons qui sont à lorigine de la fondation se séparent pour aller chacun dans une région différente tenter daccélérer le recrutement et dobtenir des donations. Cest à partir de ce moment que les Commanderie se multiplient pour dépasser un siècle plus tard le chiffre de 9000. Après la Champagne, limplantation se poursuit en Catalogne et Languedoc, pour sétendre ensuite à lEurope chrétienne toute entière. Recommandés par le Pape, les templiers reçoivent partout un accueil chaleureux, les engagements se font nombreux et les dons affluent.<o:p></o:p>
A la mort dHugues de Payns en mai 1136, des centaines détablissement existent dans la douzaine de provinces dOccident. Ce sont des fermes, des granges, des forges, des maisons fortifiées contre les brigands et les pillards, surtout dans les régions sauvages ou sur les frontières. Mais les Templiers nont pratiquement pas de châteaux forts, sauf en Espagne où ils se battent comme en Orient, contre lenvahisseur maure. Peu à peu se crée sur les grands axes menant en Terre Sainte un réseau de relais comparable aux « gîtes détape » providence des pèlerins. Ces Commanderies sont surtout des exploitations agricoles, en ce qui concerne les maisons campagnardes, tandis que celles des villes sont des comptoirs ou, des entrepôts.
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Pour la protection de la Terre Sainte, le Temple a besoin de fonds et de denrées alimentaires ; cest la fonction des Commanderies occidentales dont laccroissement des revenus est voulu parce quil est nécessaire. Cest là une des principales raisons du développement de la fortune de lOrdre qui, à mesure quil senrichit, assume un rôle de banquier, activité qui augmente encore son trésor et qui lui est plus aisée quà dautres de pratiquer car, grâce à leur réseau serré détablissement, les Templiers peuvent transporter en toute sécurité des sommes importantes dor et dargent et aussi des éléments sacrés de Jérusalem. Les biens templiers sont administrés selon les us et coutumes des pays dans lesquels ils se fixent et le plus souvent, les Commandeurs viennent de la petite noblesse de la région, de sorte que les maisons sintègrent facilement dans la vie locale. Ces Commandeurs ont des pouvoirs extrêmement restreints qui ne dépassent pas les limites de leur Commanderie : ils ne peuvent bâtir aucune maison neuve sans autorisation. Toutefois, ils forgent, la ferrerie (ou maréchalerie), la corviserie (magasin ou atelier de chaussures), la chevestrerie (sellerie), la garde-robe, draperie, parmenterie (magasin détoffes), ateliers de tailleurs, la maréchancie (pour les équipements de guerre). Une bulle du Pape Innocent II en 1139 donne en plus au temple la faculté de construire des oratoires sur les lieux qui lui sont rattachés « pour que vous et vos familiers y puissiez entendre loffice et être enterrés. Car il est indécent et périlleux aux âmes, que les frères profés, en allant à léglise, doivent se mêler à la tourbe des pécheurs et des fréquentations de femmes »<o:p></o:p>
Dans les Commanderies les plus importantes, on trouve également une infirmerie. Mais, si les Templiers soccupent activement du transport et de la protection des pèlerins par terre et par mer, contrairement aux chevaliers qui sinféodaient à un ordre religieux ou se mettaient sous sa protection avec famille et bien. Les confrères que sont les bienfaiteurs, les parents des frères profés, les chevaliers séculiers, les hommes mariés affiliés au Temple et ceux que lon appelle « les hommes du Temples », cerfs ou vilains. La maison est gérée par un Précepteur ou Commandeur. Outre ce dernier, il y a également le chapelain ou prieur, le frère clavaire qui détient les clés de la maison et de la chapelle, le frère maréchal chargé de la discipline et le frère sénéchal, qui soccupe du ravitaillement et de la partie domestique. Quant aux frères servants, suivant la situation et léconomie de la maison, ils sont chargés de fonctions diverses, laboureurs, pâtres, bergers, charpentiers, quartiers Certains frères voyagent pour la maison ou pour lordre lui-même. Au Moyen Age, le voyageur en difficulté avait la possibilité de trouver asile sur la route, dans un monastère. Mais le lendemain matin, à son départ, il se retrouvait à la merci des brigands et autres coupe-bourses. Le Temple va reprendre à son compte les traditions monacales, avec cette différence que le voyageur ne risque pratiquement plus rien, puisque sa route se trouve toujours sur les Territoires de lordre ou sous sa surveillance ; les Commanderies étant relativement proches les unes des autres, distantes dune quinzaine de kilomètres, parfois moins. En effet, les Templiers ont reçu de nombreuses terres quils ont défrichées et mises en valeur. Ils ont bien souvent procédé à des échanges et, une fois devenus riches, à des achats. Chargés de la sécurité des voyageurs, ils ont tout mis en uvre, routes et maisons, pour assurer cette sécurité.
<o:p>*** ici la carte des routes templières ***</o:p>
Ces routes quil est souvent difficile de trouver, car elles ne correspondent ni avec les voies romaines ni avec nos routes actuelles, forment un réseau très dense à travers le pays et joignent les « HAUTS-LIEUX » du Temple entre eux et vers la mer, ces hauts lieux qui sont la région de Paris, celle de la Champagne avec la fameuse forêt dORIENT, celle de la Rochelle et la Côte Méditerranéenne. Cette côte, point de départ des Croisades, présente une ligne discontinue de forteresse, de Collioure (où le Temple possède une rade) à Monaco. On en retrouve des traces à Aigues-Mortes, ville achetée par le roi Saint-Louis en 1240. A Bormes dans le Var, le village est dominé par les ruines du château de Fos ayant appartenu à des barons dont lun fut reçu dans le Temple. Les Templiers possédaient une rade à Saint-Raphaël, point de départ pour la Terre Sainte. Au nord de la ville subsiste une église templière du XII° siècle qui servit, jusquà la dissolution de lordre. Saint-Martin-Vésubie conserve une église construite par les Templiers au XIII° siècle. La Méditerranée est reliée à la Manche par deux routes. Lune de Marseille à Berck en passant par Nîmes. Le Puy où il existe des vestiges nombreux. Dune commanderie importante dont une chapelle, Nemours, Paris, et Abbeville. Lautre part de Marseille, passe en Avignon, à Lyon, Mâcon, Chalon, Troyes, Payns et rejoint la première à Abbeville. Une route intermédiaire passe par Saint-Étienne et Auxerre. De la Méditerranée à la Bretagne, la route part de la région de Sète, passe à Espalion et Riom-ès-Montagnes, suit lIndre, passe le Mans et se termine à Barfleur. Du Mans, une déviation va vers la Bretagne. De Sète, une route joint Bordeaux, via Montauban. Une autre voie relie également Port-Vendres à Bordeaux, par Perpignan et Toulouse. Les passages et les cols, surveillés par les Templiers, terminent les routes transversales. Une route va des Flandres vers Strasbourg et une autre de Berck à Colmar. La route de Caudebec vers le Jura passe par Paris, Payns et Besançon, ville où arrive également une route venant de Bretagne, via Rennes. Le Mans, Orléans et Auxerre. Une autre transversale se dirige vers le Jura, au départ de Nantes, par Bourges et Chalons. De Payns partent aussi deux routes vers lEst et vers Bordeaux et la Rochelle.
A noter également les routes qui aboutissent aux cols de montagnes, Puymaurens, Peyresourde et Somport pour les Pyrénées et MontCenis et Mont- Genèvre pour les Alpes.<o:p></o:p>
De la Rochelle, ville qui semble avoir eu une grande importance pour le Temple, partent également six routes en éventail vers le Cotentin, la baie de la Somme par Dreux et Abbeville. La Lorraine, par Parthenay, Châtellerault, Gien et Troyes. Genève par Mâcon, avec une dérivation de Saint-Pourçain sur-Sioule vers Chalons et Besançon. Valence par Brive et le Puy avec une parallèle vers Saint-Vallier par Limoges, Issoire et Saint-Étienne. Paris, vers 1143, Louis VII donne au Temple des terres près de la place de Grève. Ensuite, ils acquièrent des terrains marécageux (lactuel Marais) quils défrichent et mettent en culture. Ce nest que vers 1240, sous le règne de Saint-Louis quils y bâtissent leur enclos. Après la défaite en Palestine (1291), les Templiers se réfugient dabord à Chypre, puis reviennent en France et le Grand-Maître sinstalle à Paris avec le trésor de lordre. Jusquà la révolution lenclos du Temple bénéficie du droit dasile. Au 56 de la rue de lHotel-de-Ville (ancienne rue de la Mortellerie) subsistent quelques vestiges de lHôtel des Barres construit par les Templiers au XIII° siècle, et surtout une cave ogivale à double travée qui servait peut-être aux cérémonies secrètes de lordre, ou de réserve à dîmes. Cahors (Lot) : la ville fut au XIII° siège dune importante commanderie. Les Templiers en firent une des premières places bancaires. Le rocher de Carlat (Cantal) est tout ce qui reste dun important château qui défendait lentrée de la Haute Auvergne. A Caudebec-en-Caux (Seine-Maritime) existe une « Maison de Templiers », rue Basin. Challans (Vendée) possède une chapelle aux portes armoriées, vestiges dune commanderie. Une partie importante de la mairie dArville (Loir et Cher) est ce quil reste dune commanderie. A Bayeux (Calvados) se trouvait le siège de la commanderie normande de Baugy. Un inventaire dressé en octobre 130 par le commissaire de Philippe le Bel donne limportance dune commanderie agricole, dans la Chapelle de riches vases précieux en or et en argent. La chapelle de lEpine à Béruges (Vienne), a été rebâtie au XVII° siècle et sert actuellement de grange. Des constructions primitives, il reste seulement le mur de façade, la porte romane, une imposte, deux contreforts et quelques chapiteaux. A Champagne (Eure et Loir) on voit encore les ruines dune commanderie, sans doute celle de Sours. Charny (Seine et Marne) au lieu-dit Choisy le Temple, il existe une ferme qui est une ancienne commanderie. Autour de Château-Thierry (Aisne) se trouvent de nombreux établissement (Moisy le Temple, La Sablonnière). La tour du XII° siècle de Clansayes (Drôme) est le seul vestige dune importante commanderie. Dans la rue de Laon, se trouve la chapelle dune commanderie fondée au XII° siècle, puis donnée aux Hospitaliers après 1314 le jardin est dessiné sur lancien cimetière des chevaliers. Un très bel ensemble de bâtiments du XII° et XIII° siècle actuellement remis en état se trouve à Coulommiers (Seine et Marne). Mais le plus bel ensemble qui subsiste aujourdhui est lancienne commanderie de la Couvertoirade (Aveyron) au cur du Larzac.
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<o:p>la taverne de l'étrange- 22 novembre 2007</o:p>
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http://www.templiers.org/index.php<o:p></o:p>
http://membres.lycos.fr/insolite/templiers/implantations.htm
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Par Tyron29 le 26 Août 2007 à 10:57
LE TRESOR DES TEMPLIERS<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>
Voilà quelques jours ( 20/08 ) jai reçu un e-mail dune personne me demandant dexaminer sa recherche sur les templiers et la localisation de lArche dAlliance. Je l'ai trouver vraiment intéressant comme sujet et le mets ici à votre disposition. Bonne lecture. Ci-dessous la copie de le-mail que jai reçu : <o:p></o:p>
Bonjour Tyron,
Je possède depuis 1989 une croix templière en fer forgé, d'époque fin XIIème, de poids 1,5 kg., sur laquelle est apposé un hiéroglyphe en forme de "Y" (dit "des tissus")qui, selon les anciens égyptiens, confère à l'objet sur lequel il est apposé, le pouvoir de retrouver son destinataire à travers le temps et l'espace. Cette croix indique le plan de la cathédrale de Chartres (plan de la porte mathématique des temples de Karnac et Deir el Bahari) et l'unité de mesure utilisée à l'époque, à savoir le mètre, connu des anciens égyptiens. Cathédrale de Chartres où est déposée l'Arche d'Alliance... Il semble bien que "l'inspiratrice" du Maître de Chartres soit Hatchepsout. J'ai fait une étude de cette croix, avec plans (Y compris explications de la nature de l'Arche d'Alliance et endroit exact de sa position dans la cathédrale de Chartres), références, photos, etc. (32 pages informatiques sous Word). Je peux vous faire parvenir (gracieusement) cette étude pour examen de votre part, si cela vous intéresse...
Merci de votre réponse<o:p>
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Le secret des templiers par Pierre Dupuis
Exclusif !!
Un document pour en savoir plus sur les secrets des Templiers...
Doc PDF - 33 pages - 4,7 Mo5 commentaires
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