• Les pierre étranges...

    01

     

    Les pierres roulantes de Death Valley

     

    La vallée dite « de la mort », située dans la partie désertique de la Californie, est parsemée de pierres et de blocs de roche qui se déplacent de façon inexplicable, sur une distance de centaines de mètres chaque année. Un phénomène géologique ou surnaturel ?

     

    La Death Valley est située à une centaine de mètres sous le niveau de la mer. C’est la dépression la plus torride des Etats-Unis. Une des bizarreries qui caractérisent la Vallée de la Mort est le phénomène des « pierres qui se déplacent toutes seules ». Ces pierres sont disséminées sur une grande surface aride dite « Racetrack » ou « Circuit », une petite plaine aride de cinq kilomètres de long environ, qui constitue le fond d’un lac asséché.

     

    02

     

    Les pierres ont des dimensions très variées : des tout petits cailloux aux gros blocs de pierre. Apparemment, on dirait qu’il s’agit de cailloux communs, mais qui se déplacent continuellement, laissant derrière eux de longs sillons, peu profonds.

     

    03

     

    Certains de ces sillons sont rectilignes, d’'autres sont en zigzag, et d’'autres encore sont courbes. Ces pierres couvrent souvent des distances considérables, même des centaines de mètres. A la suite d’'observations minutieuses, on a constaté qu’'en moins d’'un an toutes les pierres présentes dans le Racetrack ont bougé. L’'une d’'entre elles s’est même déplacée de 260 mètres à plusieurs reprises, alors qu'’une autre- une pierre de 250 kg- a battu tous les records, se déplaçant en une seule fois de 210 mètres. De toute façon, encore aujourd'’hui le mystère reste entier. Comment est-il possible que de telles pierres se déplacent toutes seules, et en vertu de quelle force ?

     

    04

     

    Certains chercheurs penchent pour une explication de type géologique, tandis que d'’autres supposent l'’intervention d’une force surnaturelle, probablement liée aux récits sur la présence dans la zone d’'êtres non originaires de cette planète et qui se seraient réfugiés sous terre. Dans l’'un de ces ouvrages littéraires, le roi de l'’horreur, Stephen King, s'’est inspiré de cette dernière hypothèse.

     

    07

     

    Son ouvrage est devenu bien vite un véritable best-seller littéraire, et il a permis au metteur en scène John Power de diriger en 1994 le film portant le même nom « Tommy Knockers, les créatures de l'’obscurité », avec Jimmy Smith, Marg Helgenberger ( les experts ), et John Ashton. Dans l'’intrigue du film, l'’écrivain Bobbie Anderson découvre un jour, dans le bois situé à proximité de sa maison, une structure mystérieuse peut-être ensevelie depuis des millions d’années et qui, cependant, émet d'’étranges vibrations. Celles-ci ont le pouvoir de déplacer des objets communs, comme par exemple des gros blocs de pierre.

     

    08

     

    Cet étrange composant est déterré, et à la fin il s'’avèrera être un vaisseau appartenant à des êtres spatiaux. A la suite de cet épisode, les habitants du pays commenceront à changer et à être contrôlés télépathiquement par des extraterrestres mystérieux, à l’'exception de quelques personnes qui sembleraient ne pas appartenir à la catégorie des terrestres communs, vu qu’elles ont des longueurs d’'ondes cérébrales différentes.

     

    *** Des ruines vitrifiées ***

     

     

     09

         

    Quand la première bombe atomique explosa au Nouveau-Mexique, les sables du désert se transformèrent en verre fondu de couleur verte. D’'après ce phénomène, on a établi que le silicium présent dans le sable se transforme, à cause de l’'apport de chaleur, en une plaque de verre. Se basant sur ce fait, on peut en déduire que dans la plus haute antiquité des guerres atomiques se déroulèrent, précisément dans les lieux où il est possible de trouver des plaques de verre ancien et désertique. L'’un des sites où l’on peut trouver des ruines vitrifiées est la Death Valley en Californie. Dans l’'ouvrage littéraire intitulé « Secrets of the Lost Races », par René Noorbergen, et publié en 1977, il est dit textuellement : « En 1859, le capitaine Ives William Walker, explorateur américain, fut le premier à voir quelques-unes de ces ruines, situées dans la Vallée de la Mort. Il découvrit une ville, longue d'’un mille environ, avec les lignes des routes et la position des édifices encore visibles. Au centre, il trouva un grand rocher, haut de 20 à 30 pieds, avec une structure énorme sur son sommet. Le côté oriental, tant du rocher que des édifices, était fondu et vitrifié. Walker estima qu’'un volcan était responsable de ce phénomène. Or, il n’y a aucun volcan dans la zone.

    De plus, la chaleur liée aux phénomènes tectoniques n’'aurait pas pu provoquer une telle fusion de la surface du rocher ». Un associé du capitaine Walker, qui suivit son expédition initiale, commenta : « Toute la région comprise entre les fleuves Gila et San Juan est couverte de ruines. Les ruines de la ville que l’'on peut trouver là-bas doivent être très étendues, et elles sont en partie brûlées et vitrifiées, pleines de pierres fondues et de cratères causés par des incendies, dont la chaleur fut tellement intense qu’elle fondit la roche et le métal. Il y a les pierres du pavé et les maisons déchirées par des lézardes monstrueuses… Comme si elles avaient été attaquées par une gigantesque charrue de feu ».      

    10

     

    Sur les parois du Titus Canyon avoisinant, des graffitis et des inscriptions ont été gravés par des mains préhistoriques inconnues. Des chercheurs émirent l’hypothèse qu’ils auraient pu être réalisés par les peuples qui vécurent là, longtemps avant l’arrivée des peaux-rouges, vu que ces derniers ne présentent aucune mémoire liée à la tradition de ces pièces. Dans le livre « Weird America », écrit par Jim Brandon en 1978, on peut lire ce qui suit : « Les légendes des Piutes ( tribu indienne ) parlent d’une ville située sous la Vallée de la Mort, qu’ils appellent Shin-au-av. Tom Wilson, un guide indien des années 20, affirmait que son grand-père découvrit ce lieu alors qu’il rôdait dans un labyrinthe de cavernes d’un mille de long, sous la surface de la vallée. Le natif arriva à une ville souterraine, où les gens parlaient un langage incompréhensible et portaient des vêtements en cuir. Wilson raconta cette histoire après avoir entendu un chercheur d’or, appelé White, déclarer qu’il était tombé à travers le pavage d’une mine abandonnée à Wingate Pass, à l’'intérieur d’'une sorte de tunnel. White déclara qu'’il avait exploré ce site à trois reprises. Une fois il était accompagné par sa femme ; une deuxième fois par son associé Fred Thomason. Et pourtant, aucun d’eux ne fut en mesure, par la suite, de retrouver l’'ouverture de la caverne où ils avaient cherché à conduire un groupe d’'archéologues désireux d’explorer cet endroit ».

     

    Quelque temps après, un Ecossais excentrique de la Death Valley aurait trouvé de l’'or, mais beaucoup estiment qu’il a extrait ce métal précieux des lingots empilés dans les galeries situées en dessous de cette vallée. Le quotidien du Nevada, « Hot Citizen », du 5 août 1947, rapportait qu’un groupe d’archéologues passionnés avait découvert dans certaines cavernes de la Californie une civilisation perdue d’hommes hauts de neuf pieds… Howard E .Hill, porte-parole de l’'expédition, affirmait que cette civilisation pourrait avoir son origine dans le fabuleux continent perdu d’Atlantide. Les cavernes contenaient des momies d’'hommes et d’'animaux ainsi que des ustensiles appartenant à une culture très avancée, ancienne d’'au moins 80.000 ans. Il ajoutait que les 32 cavernes couvraient une superficie d’'environ 180.000 milles carrés. Les experts du « Los Angeles Country Museum » soulignèrent que les dinosaures et les tigres qui étaient couchés dans ces cavernes, les uns à côté des autres, apparurent séparément sur la Terre, à un intervalle de 10 à 13 millions d’années. Dans certains de ces creux, il y avait aussi les restes momifiés d'’une race d’'homme hauts de huit à neuf pieds, portant des vêtements du type préhistorique, consistant en une fourrure de longueur moyenne, une veste et des pantalons arrivant jusqu’aux genoux.

     

    '

    S’'agissait-il par hasard d’'un musée ?

     

     Source- Revue Stargate magazine N°2 février/mars 2004

     

     

     

    http://www.vanupied.com/californie-parc-national.htm


     

    La taverne de l’'étrange- 10 janvier 2007

     

    « 1967- Shag Harbour, le Roswell canadienLa malédiction de Toutankhamon »
    Partager via Gmail Pin It

  • Commentaires

    1
    visiteur_Top
    Dimanche 3 Juin 2007 à 18:06
    C'est vrai que l'histoire de la terre et de l'humanit?econnue par les historiens et les scientifiques est loin d'?e vraie ?00%. Ils manquent plusieurs ?sodes du pass?ointain de la terre pour que les livres d'histoire soient complets. Cette ancienne civilisation sous la vall?de la mort en Californie vient confirmer cette th?ie.
    2
    visiteur_angel67
    Vendredi 19 Octobre 2007 à 15:40
    pour les pierres qui roulent si on regarde bien les photos on dirait plus tot qu elle sont tires je pense qu elle doivent etre formes d un metal et que ca doit faire aimant avec qq chose au centre la terre !! bon suis pas experte mais pourquoi pas ?
    • Nom / Pseudo :

      E-mail (facultatif) :

      Site Web (facultatif) :

      Commentaire :


    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :