• LE TRIANGLE DES BERMUDES

     

    Le triangle des bermudes

    Le Triangle des Bermudes est une zone de l’'Océan Atlantique qui est le théâtre d’un grand nombre de disparitions de navires et d'’aéronefs. De nombreuses légendes existent à propos de cette zone.

     

    Cette zone triangulaire de 3,9 millions de km2 délimitée par l’'archipel des Bermudes, la côte est de la Floride et l’île de Porto Rico, surnommée aussi le « Triangle du Diable », serait le lieu de
    mystérieuses disparitions de navires et d'avions depuis le XIXe siècle, bien que des auteurs fassent remonter l'origine du mystère à l'époque de Christophe Colomb. Inspirée par plusieurs
     articles publiés par divers magazines dans les années 1950, l'appellation « Triangle des Bermudes » revient au journaliste Vincent Gaddis dans un article du magazine Argosy en 1964 :
    The Deadly Bermuda Triangle.


    La légende a pris de l'ampleur avec la disparition d’une escadrille de cinq chasseurs bombardiers le 5 décembre 1945 au large de la Floride, connu sous le nom de Vol 19. Au bout d’une heure de vol, la base de Fort Lauderdale reçut un appel du lieutenant leur annonçant qu’ils étaient perdus. Un hydravion, parti à leur recherche, ne revint pas non plus.

    Dans les années 1950, le professeur Wayne Meshejian déclara que le satellite météorologique de la National Océanographic Administration tombait systématiquement en panne chaque fois qu’il passait au-dessus du Triangle des Bermudes : « Une force que nous ne connaissons pas, précisa-t-il, empêche le passage des informations ».

    Le journaliste du Los Angeles Times Howard Rosenberg publia en 1974 un article estimant que plus de 50 navires et 20 avions y seraient disparus au cours du XIXe siècle et que les garde-côtes américains ont répondu à plus de 8000 appels de détresse dans ce secteur. Dans les années 1970, plusieurs ouvrages et articles de journaux sont consacrés au mystère du triangle des Bermudes. Parmi eux, The Bermuda Triangle publié par Charles Berlitz en 1974,
    devient un best-seller et marque le début d'une série d'enquêtes et de contre-enquêtes sur le sujet. Pour expliquer les mystérieuses disparitions, certains auteurs évoquent les extraterrestres, l'influence de l'Atlantide, une distorsion spatio-temporelle ou des champs magnétiques surnaturels tandis que d'autres se prononcent en faveur de perturbations climatiques, de réactions physiques ou chimiques naturelles liées à l'environnement de ce secteur ou encore de défaillances humaines.

     

    Chronologie des disparitions 

     

    L'’histoire moderne des disparitions dans le triangle des Bermudes commencerait au début du XIXe siècle :


     De 1800 à 1850

     

    En 1780, le General Gates – Le navire avait été déclaré inapte à naviguer en 1779, et vendu. 
    En 1800, le USS Insurgent, un navire français capturé par les Américains avec 36 canons et 340 marins.
    En 1800, le USS Pickering.
    En 1812, le Patriot.
    En 1814, le USS Wasp. Disparu lors d’un voyage vers les caraïbes. 
    En 1815, le USS Epervier. Disparu entre Alger pour Norfolk. Le navire transportait un traité de paix pour mettre fin à la guerre de 1812. Sa disparition retarda la fin des hostilités.
    En 1824, le USS Wildcat avec 31 membres d'équipage, le schooner Lynx avec 40 membres d'équipage et le schooner USS Hornet.
    En 1840, le Rosalie.
    En 1843, le USS Grampus.

     

     De 1850 à 1900 


    En 1866, le Lotta, un trois-mâts suédois.
    En 1868, le Viego, un navire marchand espagnol.
    En 1872, la Mary Celeste. Elle fut retrouvée abandonnée et dérivant aux gré des courants deux ans plus tard entre les Açores et Gibraltar.
    En 1880, l’Atalanta, un navire-école britannique avec ses 290 élèves officiers.
    En 1884, le Miramon, une goélette italienne.

     

     De 1900 à 1950 


    En 1909, le Spray, un navire dirigé par Joshua Slocum, considéré comme le meilleur marin de son temps.
    En 1917, le SS Timandra.  Le navire cargo disparu avec ses 21 membres d’équipage en reliant Norfolk et Buenos Aires avec une cargaison de charbon. Aucun message de détresse envoyé, alors que le navire en était capable. 
    En 1918, le Cyclops, avec 300 marins, disparut sans envoyer de SOS.
    En 1920, le SS Hewitt, ce cargo à vapeur disparut en mer.
    En 1921, le Carroll A. Deering fut Retrouvé échoué près de cap Hatteras en Caroline du Nord. Les 11 membres d'équipage avaient disparu.
    En 1925, le SS Cotopaxi avec 32 marins et le Raifuku Maru, un cargo japonais, disparut après avoir envoyé le message suivant : « Danger like dagger now. Corne quick ! » (« Danger poignard. Au secours. Vite ! »).
    En 1926, le Cargo SS Suduffco avec 29 marins.
    En 1938, l’Anglo Australien avec 38 marins. Son dernier message fut : « Temps idéal. Tout va bien ».
    En 1942, le Surcouf. Ce sous-marin de la marine française a disparu dans les Caraïbes. Il a peut-être été abordé par le cargo Thompson Lykes près du canal de Panama. Les deux navires naviguaient feux éteints pour ne pas se faire repérer par les sous-marins allemands. 
    En 1943, un PBY Catalina, un TBF Avenger, un Four Lockheed PV-1 Ventura et un PB4Y Privateer (avions).
    En 1944, un PBY Catalina, un PB4Y Privateer, un SBD-5 Dauntless et un PBY-5A Catalina (avions).
    En 1945, un B-24 Liberator et un PB4Y Privateer (avions), et l'escadrille 19 : cinq avions torpilleurs Avenger.
    En 1947, un C-54 (avion).
    En 1948, le SS Samkey, le Evelyn K, le Star Tiger, un appareil britannique qui assurait la liaison Açores-Bermudes (dernier message : « Conditions météo excellentes. Arriverons à l’heure prévue »), un Douglas DC-3, faisant la liaison entre Porto Rico et la Floride (dernier message : « Nous approchons de l’aéroport… Nous ne sommes plus qu’à 80 km au sud… Nous apercevons les lumières de Miami… Tout va bien. Attendons les instructions pour l’atterrissage »).
    En 1949, un Tudor IV - Star Ariel(avion).

     

     De 1950 à 2000 


    En 1950, un cargo costaricain avec son équipage de 28 hommes par une mer calme, un Grumman F6F-5 Hellcat et un Grumman F9F-2 Panther (avions).
    En 1955, le Home Sweet Home et le Connemara IV (retrouvé dérivant et abandonné).
    En 1958, le Revonoc.
    En 1961, l’Albatross, un voilier école, sombra subitement au large de la Floride emportant avec lui 6 des 19 membres d’équipage.
    En 1963, le SS Marine Sulphur Queen, un pétrolier de 154 mètres jamais été retrouvé, et le Sno' Boy.
    En 1965, le Enchantress et le El Gato.
    En 1967, le Witchcraft avec 2 marins.
    En 1970, le Milton Latrides.
    En 1971, le El Caribe.
    En 1972, le Anita. Ce cargo allemand (20 000 tonnes) transportant du charbon disparut avec ses 32 membres d'équipage. Au même moment, un navire jumeau (le Norse Variant) disparut. Un survivant retrouvé sur un radeau de sauvetage raconta avoir sombré dans la tempête : les vagues ont déchiré la coque et le navire coula rapidement. 
    En 1975, le Dawn.
    En 1976, le Sylvia L. Ossa. Disparu 220 km à l'Ouest des Bermudes.
    En 1978, le SS Hawarden Bridge, retrouvé abandonné dans les Antilles.
    En 1980, le SS Poet, un grand cargo. Ce cargo disparut brutalement au cours d'un voyage entre les Etats-Unis et l'Egypte.
    En 1995, le Jamanic K. Ce cargo effectuait des liaisons entre les îles des Caraïbes. Il disparut après avoir quitté Cap Haiten.
    En 1999, le Genesis, un cargo avec 40 marins. Celui-ci disparut entre Port d'Espagne et St Vincent. Il transportait 465 tonnes d'eau, et du béton. Il reporta des problèmes techniques, puis le contact radio a été perdu. Malgré de vastes recherches, aucune trace du navire n'a été retrouvée.

     

     Hypothèses 


    Parmi les hypothèses scientifiques, on a souvent invoqué des perturbations magnétiques et des « flatulences océaniques », soit des émissions sous-marines d'un gaz hautement inflammable, le méthane qui diminuent fortement la densité de l’eau jusqu’à provoquer une perte de flottabilité (voir hydrate de méthane). Issue de la décomposition d'éléments organiques comme le pétrole et le charbon, comprimé par la grande profondeur et la température très basse de l'environnement, libéré lors de la création de failles par l'activité tectonique. On trouve d'autres gisements importants en Mer du Nord où certaines plateformes de forage, navires et aéronefs ont été engloutis ou été pulvérisés par le même phénomène.


     Le « mystère » contesté 


    En 1975, le bibliothécaire américain Larry Kusche reprit à la source tous les témoignages sur le sujet. Son livre, The Bermuda Triangle Mystery – Solved, démontre notamment qu'une grande partie des disparitions ont eu lieu à d'autres endroits que dans le triangle des Bermudes, et que les ouvrages sur ce thème colportaient surtout des spéculations, sinon des inventions et des mensonges, pour entretenir le prétendu mystère. Ainsi, la Commission d'enquête de la Marine qui a étudié la disparition des bombardiers en 1945 ne remarque aucun fait inexplicable et n'évoque aucune des transmissions radio rapportées par Charles Berlitz dans son best-seller sur le triangle des Bermudes. Les avions, perdus en mission, auraient en fait été victimes d'une panne de carburant et ne pouvaient plus communiquer en raison de la trop grande distance qui les séparaient de leur base. Quant aux navires disparus, ils auraient été pris dans des tempêtes ou victimes de défauts de fabrication qui les ont amenés à couler sans laisser de trace. Selon Kusche, toutes les disparitions, loin d'être des mystères comme le prétendent certains auteurs, peuvent facilement s'expliquer en fonction des conditions météorologiques, de problèmes techniques ou d'accidents naturels (gaz, coraux, etc.).

     

    Le nombre de disparitions rapporté n’'est pas particulièrement élevé si l'on tient compte des facteurs suivants:

     

    La superficie (près de 4 millions de km2).
    L'importance du trafic maritime dans cette zone.
    L'importance des gisements d'hydrate de méthane et de l'activité tectonique de la région.
    Les conditions météorologiques, chaotiques et imprévisibles sous ces latitudes.
    Plusieurs prétendus naufrages se sont révélés par la suite de simples mystifications. Pour certains, le mystère reste à éclaircir. Pour d’autres, il n’y a pas de mystère, sauf peut-être la propagation de la légende sur la base de faits si minces.

     

    Un documentaire diffusé en 2003 par la chaîne National Geographic ne mentionne pas d’anomalie particulière mesurée dans cette zone, hormis une diminution légère du champ magnétique terrestre. Il rappelle en revanche qu'’on y observe les plus violentes tempêtes du globe, avec parfois des vagues scélérates de huit mètres et plus de haut. En ce qui concerne le vol 19, c’'est l'’hypothèse d’une erreur de navigation de l’'instructeur, formé dans les Keys et ayant confondu la topographie des régions survolées avec celles-ci au point de croire que son compas magnétique était déréglé, qui est retenue comme la plus probable, leurs basses réserves de carburant étant responsables de la perte de l’'escadrille, retrouvée par hasard en 2000.

     

    En 1975, le cabinet d'assurances Lloyd's de Londres indiquait que le triangle des Bermudes n'était pas plus dangereux que d'autres routes maritimes internationales. En 2006, les compagnies d’assurances ne jugent pas utile de majorer leurs primes pour les navires ou avions amenés à traverser cette zone.

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    Le triangle des bermudes

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  • IL EXISTE BIEN UN MYSTERE DES TRIANGLES MAUDITS

     

    Les assureurs helvétiques comptent parmi les plus importants et les mieux informés du monde. Le fait que la Suisse constitue un paradis bancaire idéal n’'est pas étranger à cela, les capitaux tentaculaires que draguent les grandes compagnies d’assurances de la planète trouvant à Genève et à Zurich une discrète sécurité qui n’'existe certainement pas ailleurs. Cela ne nous intéresserait guère, si ces gestionnaires suisses ne venaient de rendre publiques leurs inquiétudes à propos de ce qu’'on appelle les « Triangles de la mort », ces lieux géographiques surtout maritimes où se produisent d’'une manière étrangement répétitives des catastrophes que l’'on explique troublant.

     

    Déjà il y a 30 ans, la Lloyd anglaise, avait portant affirmé que les assureurs du monde entier ne craignaient absolument pas le triangle des Bermudes qui est certainement le plus célèbre de ces périmètre maudits. Eh bien c’était une information sans fondement comme d’ailleurs je le pense tout à fait logiquement en constatant des faits qui ne pouvaient que jeter le trouble dans les prévisions hautement sophistiquées des compagnies d’assurances. Ces dernières s’inquiètent bel et bien des mystères meurtriers que recèlent les triangles de la mort. On le sait grâce à une interview accordée, il a quel temps, au quotidien américain The Globe par un grand assureur suisse qui désire garder l’anonymat.

    Denis G, a fait des déclarations explicites : «Il est faux de prétendre comme l’a fait la presse et quelques ouvrages qui s’élevaient contre les informations prétendument sensationnelles sur le triangle des Bermudes que les assureurs sont tout à fait tranquilles de ce côté-là. Il se passe d’étranges choses dans certaines parties du monde et c’est évident, d’un point de vue de la répétitivité, dans les statistiques des assureurs des compagnies maritimes ou d’aviation. On n’'explique pas certaines disparitions, certains naufrages. Quand on retrouve des traces de la catastrophe, cela ne veut pas dire que sa cause soit habituelle. L’enquête le démontre bien souvent. Mais quand on ne retrouve rien et contre toute attente, alors il faut bien admettre le mystère et faire entrer tel quel dans la statistique.»

     

    Pour Denis G. le triangle des Bermudes n’est ni le seul point mystérieusement catastrophique au monde ni, peut-être, le plus important.

     

    «Aux Bermudes, déclare-t-il, nous savons à quoi nous tenir. Dans nos calculs, il faut faire entrer ce genre d’'inconnue. D'’ailleurs, vous remarquerez que les primes qui intéressent les navires et les avions croisant dans cette partie du monde sont plus élevées qu’ailleurs. Or, nous sommes obligés par la loi de pratiquer sur tous les pavillons que nous couvrons de justifier ces primes, surtout lorsqu’'elles sont apparemment trop élevées. Il faut donc bien que nous fournissions des preuves et des chiffres.»

     

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    Ce qui inquiète actuellement les assureurs helvétiques, c'’est un autre lieu maudit dont on parlera sans doute beaucoup dans les prochaines années. Il s'’agit du triangle des Açores, ces îles de l’'Atlantique qui, à l'’instar des Bermudes, se trouvent sur le passage d’un grand nombre de navires et d’'avions. Il y a toujours la fameuse disparition que l’'on à jamais réussi à expliquer, le cargo Cypriote Myrina croisait au large de ces îles quand, subitement, alors que le calme était total sur la mer et que dans son dernier message le capitaine grec venait de signaler que tout allait pour le mieux à bord, le bateau a disparu corps et bien. On n’'a rien retrouvé de lui. Logiquement les courants auraient dû rejeter l'’épave aux Canaries, sur les côtes portugaises ou au Maroc. Le Myrina avait été vérifié quelques heures après son départ et, répétons-le, les conditions atmosphériques étaient particulièrement bonnes. Ce n'’est pas la seule catastrophe énigmatique que nous ayons à déplorer dans ce secteur, poursuit l’assureur suisse. Depuis plus de vingt ans, il s'’en produit une bonne vingtaine, c'est-à-dire une par an environ, dans des conditions toutes mystérieuses. Des avions, surtout de tourisme, ont aussi disparu dans le même périmètre. Il faut aussi se rappeler la disparition du sous-marin à propulsion nucléaire, le Scorpion, n’'avait pas disparu au large de Fort Lauderdale, mais justement dans le périmètre açorien qui inquiète aujourd'’hui encore les assureurs.

    A l’heure actuelle, la discrétion est de rigueur sur la plus part des disparitions.

     

    Cela n’'enlève rien au mystère de ses évanouissements. Si l’'on ajoute que les Russes, Américains, et bien d’'autres nations patrouillent dans ces régions depuis plus de trente ans pour rechercher eux aussi la solution de ces énigmes, aucune réponse à ce jour. Nous sommes toujours dans la possibilité des Extraterrestres, et des enlèvements, ce n’'est qu’'une hypothèse !

     

    Il existe un mystère des triangles maudits !

    Sources : Rapport Helvétiques. G.A.S. 2003

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    Une porte des étoiles dans le triangle ?

     

    Des scientifiques supposent que les altérations sont causées par de microscopiques « wormholes » ( trous de vers ) : la base navale américaine AUTEC pourrait être une sorte d’AREA 51 de l’Atlantique, située, selon quelques spécialistes, près de l’Atlantide, le mythique continent disparu.

     

     

     
     

    Des mers d’encre sont versées au sujet du triangle des Bermudes, une aire de l’Océan Atlantique dans laquelle des centaines de navires et environ une vingtaine d’avions ont disparu mystérieusement. Un lieu où en plus d’une quantité d’apparitions d’ovnis vraiment supérieure à la moyenne, des déviations des champs magnétiques se produisent et où se forme de manière soudaine un épais brouillard. Un nombre important d’hypothèses a accompagné ces rapports, parmi les plus controversées, on trouve la théorie selon laquelle l’archipel des Bahamas se serait formé à la cime des monts du continent perdu de l’Atlantide qui a sombré dans cette zone il y a des millénaires.

     

     

     Michael Preisinger, chercheur, titulaire d’un doctorat en histoire et en sociologie à l’Université de Cologne, fut chargé en 1995 par l’entreprise pour laquelle il travaillait en qualité d’instructeur subaquatique à Nassau d’avoir un moyen de récolter divers témoignages des propriétaires des embarcations sorties de leur route par les anomalies des boussoles à bord alors qu’ils naviguaient au large des Bermudes. Les compte-rendus firent prendre à Preisinger la décision de s’engager à fond sur le sujet et de changer le cours de sa vie faisant de lui un des plus grands experts du phénomène. Des missions subaquatiques ont ainsi été programmées, en collaboration avec l’américain Al Miller et le jamaïcain Joel Green, dans 7 zones de l’Atlantique : Fish Hotel, Lyford Cay et White Hole, près de Nassau ; Lost Blue Hole à environ 1h de navigation de Nassau ; Dogleg Reef, à 1h de Marathon dans les Florida Keys ; le prétendu « mur de l’Atlantide » près de Bimini et Sunken Train, près de Eluthera.

     

     

    *** La chasse aux preuves ***

     

     

     

    En l’espace de quelques mois, l’équipe a plongé de une à 7 fois par semaine, plusieurs fois dans chaque localité, descendant en général à quelques dizaines de mètres. Chaque opération durait en moyenne 60/75 minutes. Ils ont obtenu des preuves évidentes des dérivations magnétiques avec des éléments très précis sur les différences rencontrées entre les valeurs normales et celles effectivement enregistrées par les boussoles dans 4 de ces zones : Fish Hotel, Lyford Cay et White Hole dans les Bahamas et Dogleg Reef au sud de la Floride. Dans les mois suivants, les données ont été transmises à divers physiciens dans le monde entier qui, à l’unanimité, s’accordèrent à attribuer les anomalies du champ magnétique terrestre à de microscopiques « wormholes » ( trous de vers ) qui apparaissaient et disparaissaient dans un temps très bref. Ils ne réussirent pas à envisager d’autres explications. Le professeur John Wheeler, de l’Université de Princeton, décrit les « wormholes » comme des « tunnels de transit » à travers divers dimensions de la réalité. Ils mesuraient seulement une giga-fraction d’un pouce carré, c’est-à-dire en chiffre, 1 précédé de 33 zéros, précédés de la virgule décimale. Il suppose que ces mini-trous noirs qui apparaissent et disparaissent continuellement dans la géométrie de l’espace, sont de minuscules particules de « matière virtuelle » qui ne peuvent exister que pendant un temps limité. Les prétendus mini-trous blancs, leur contrepartie, seraient à l’inverse composés d’anti-matière virtuelle.



    Chaque fois que ces sujets se forment, à quelque niveau que ce soit, ils s’autodétruisent immédiatement. Le professeur Wheeler, cependant, ne sait pas expliquer le motif du phénomène d’apparitions, disparition et réapparition de ces mini-trous. Le physicien docteur Werner Muller, de Karlsruhe, un autre scientifique interpellé sur ce sujet, s’exprime ainsi : « en me basant sur les chiffres que l’on m’a fourni et sur le fait que des sources naturelles n’ont pas été trouvées au fond de la mer, il ne reste rien d’autre que la théorie de la physique quantique pour expliquer le phénomène ». Pour le professeur Tsung-Min Gung, physicien de Tokyo : « si les théories sur les connexions inter dimensionnelles ne sont pas totalement fausses et si elles peuvent se développer comme je m’y attends, l’interdépendance stricte existant entre la gravité et les champs magnétiques terrestres pourrait être un moyen de déterminer cette ouverture entre diverses dimensions ». Alors que le physicien docteur Grazyna Fosar de Berlin affirme : « du point de vue de la physique, l’unique explication raisonnable au sujet de ces mystérieuses déviations des champs magnétiques est l’existence de « portes » vers l’hyperespace ».



     Ces résultats surprenants conduisirent Michael Preisinger à étudier et à approfondir, avec un intérêt toujours croissant, d’autres phénomènes caractéristiques du triangle des Bermudes. Les hypothèses selon lesquelles les déviations magnétiques seraient causées par l’existence de « stargates » ( porte des étoiles ) avaient déjà été avancées auparavant et quelques chercheurs ont liés à la présence de ces trouées dimensionnelles, l’apparition extrêmement importante d’ovnis enregistrée dans l’archipel.

     

    *** Une base navale top-secrète ***

     

     


     

    Beaucoup d’apparitions d’objets non identifiés sont survenues près de l’AUTEC, Atlantic Undersea Test and Evaluation Center ( Centre subaquatique Atlantique de Tests et d’Evaluation ), base navale américaine dans les Bahamas. Des faits qui l’associèrent à la base du Nevada connue sous le nom de l’Area 51, où le gouvernement américain semblerait avoir avancé des recherches secrètes sur les ovnis et sur la rétro-ingénierie connexe et où il aurait « accueilli », à partir de 1947, des êtres d’origine extraterrestres. L’AUTEC possède des ressources vraiment uniques, dont un polygone sous-marin pour expérimenter et étudier les armements acoustiques. Elle se trouve sur l’île de Andros à 285 km au sud est de West Palm Beach en Floride.

     

    Les installations et les laboratoires de l’île ( pour visiter il faut un permis spécial ) couvrent moins de 2 km de territoire mais, en réalité, le centre de recherche possède bien 2688 km dans la mer des Caraïbes. Cette zone de l’océan est constituée d’une baie, d’eaux abyssales de fonds escarpés, longue de 160 km et large de 32, avec 1280 mètres de fond au bord et jusqu’à 2000 mètres de fond sur le côté nord. Tout compte fait, il s’agit d’une énorme quantité d’espace sous-marin soumis, selon plusieurs sources, à des mesures de sécurité très strictes et top-secrètes.

     

    *** OVNI et « Blue Holes » ( trou bleu ) ***

     

     


     

     

    Dans les eaux autour de l’île, ont été vus plusieurs fois d’étranges appareils qui non seulement ressemblaient à des ovnis mais en avait la vitesse stupéfiante, ainsi que les caractéristiques de virage à angle aigu, impossible pour les véhicules terrestres. Un homme d’affaire viennois rapporte au professeur Preisinger que, alors qu’il naviguait sur les côtes d’Andros avec son yacht, lors d’une journée ensoleillée tranquille et claire, il a vu, à une distance d’environ 3000 mètres dans l’eau profonde de plus de 2000 mètres, une forme immobile et sombre qu’il d’abord pris pour une baleine. S’approchant à moins de 800 mètres, les étranges baigneurs dessinaient la forme d’un grand objet au design ultra-moderne. Tout-à-coup, l’engin partit vers le sud à « une vitesse folle » d’après le témoignage. Il a glissé sous la surface de la mer pour ensuite disparaître instantanément à travers les vagues sans plus réapparaître.

     

    Il circule diverses théories de nature obscure au sujet de l’AUTEC, possible base sous-marine extra-terrestre, comme il circule des discours similaires sur l’AREA 51. En voici des exemples, selon les informations récoltées par Preisinger après d’un informateur interviewé en novembre 1998 au quartier général de la NASA à Cape Kennedy en Floride. Rob Palmer, un plongeur anglais très connu et apprécié dans le milieu, qui a passé plusieurs années comme directeur d’un centre de recherche sur les « blue holes » dans les Bahamas, a disparu durant une plongée en juillet 1997 dans la mer rouge en Israël, il a été considéré comme mort. Pour Preisinger, les « blue holes », de petites cavernes sous-marines, apparemment formées de l’intérieur qui se trouvent surtout dans ces archipels, peuvent être générées par le phénomène continu d’apparitions et de disparition de microscopiques « wormholes ».

     

    Une théorie partagée par le même Palmer, convaincu de plus que les « blue holes » pourraient être des points de transit pour les ovnis qui arrivent des autres dimensions. L’informateur a dit à Preisinger que Palmer avait été tué par les officiers de l’AUTEC probablement parce qu’il en savait trop, ajoutant que les militaires auraient appliqué une tactique de suggestion post hypnotique conduisant l’anglais au suicide alors qu’il se trouvait en immersion. Sans doute de tristes suppositions mais la quantité d’histoires sur la base d’Andros laisse supposer des activités clandestines.

     

    *** L’Atlantide émerge à nouveau de l’eau ***

     

     


     

    Des théories circonstanciées circulent selon lesquelles les murs sous-marins de Bimini pourraient être des restes de la cité antique légendaire. Quelques scientifiques du British Goverment’s Building Reseach Establisment ( Fondation pour la recherche en bâtiment du gouvernement britannique ), utilisant les technologies les plus récentes, à découvert de minuscules quantités de carbone et d’or à l’intérieur de celui-ci qui semblent être des pierres travaillées par l’homme, trouvées sur les fonds de Bimini. Cherchons des traces historiques. Dans Critias, le philosophe grec Platon a décrit avec précision les dimensions du continent mythique disparu.

     

    Si on pouvait prendre l’actuel archipel des Bahamas et soulever la masse  entière de terre ferme ( de 90 mètres ), ou pour employer un autre moyen, abaisser le niveau de l’eau qui entoure l’île ( de 90 mètres )- la ramenant au niveau qu’elle avait pendant l’ère glaciaire- nous nous retrouverions devant un territoire qui correspondrait de manière impressionnante, par la forme et les dimensions à l’antique Atlantide décrite par Platon : en effet dans Critias, le philosophe rapporte que ce continent était plus grand que l’Egypte ( l’Egypte connue à ce moment là ), que le centre de l’île pas très loin de la mer, était d’une clairière entourée de reliefs bas à une distance de 9 km et que ces reliefs se trouvaient dans une large plaine entourée de hautes montagnes à une distance de 321 km.

     

    *** Le lest des confédérés ***

     

     


     

    Toutefois, au final, l’avis de Michael Preisinger au sujet du prétendu mur de Bimini, est peu original. Le chercheur en arrive à la conclusion que les pierres qui le forment et qui paraissent travaillées par l’homme, ne proviennent pas tout à fait de l’Atlantide mais ont été laissées là durant la guerre civile américaine. A cette époque, un grand nombre de navires ont forcé le bloc de l’Union pour transporter des marchandises et des ravitaillements dans les ports des Confédérés. Traqués par les navires de l’Union, ces vaisseaux se sont réfugiés dans les basses eaux des Bahamas où les gros navires de guerre ne pouvaient les suivre. Pour réussir à naviguer au-dessus des rochers qui remplissent ces eaux, ils étaient contraint de se décharger du poids excessif de façon à diminuer la calaison de l’embarcation. Le moyen le plus simple était de se libérer des blocs de granit utilisés comme lest dans les cales.

     

    Ce peut être une explication pour une grande partie des pierres de Bimini. D’autres légendes restent toujours liées aux eaux des Bahamas. Des créatures mystérieuses, semblables à des singes qui ne se laissent presque jamais voir : « les chickcharnies », des fantômes, que des chamans de la zone décrivent comme ayant des pouvoirs semi-divins et tout ce qui s’ensuit.


    Des récits populaires qui, comme toujours, laissent entrevoir des impressions difficilement attestables scientifiquement mais qui montrent comment, dans ces archipels, il y a un degré élevé d’énergie psychique ou même d’énergie « inter dimensionnelle », dit le professeur Preisinger, qui lance une proposition : « il serait intéressant de chercher vraiment à entrer dans une de ces « Stargate » si ce n’est qu’elles sont en général microscopiques et qu’elles tendent à fluctuer dans et hors de l’existence… Pourtant je voudrais suggérer qu’un ou plusieurs physiciens plongent dans quelques-unes des localités où ont été rencontrées ces anomalies magnétiques, sans doute celles près de Nassau qui sont dans une eau peu profonde proches de la rive et non loin de la capitale des Bahamas qui pourrait accueillir de belle manière la presse internationale éventuellement intéressée…

     

    Beaucoup de scientifiques jeunes, athlétiques et sportifs décidés à endosser l’équipement de sécurité et à s’aventurer au fond de l’océan doivent assurément s’exercer, pour pouvoir venir découvrir ces sensations télépathiques et ces messages, ils seraient ainsi en mesure de récolter des filtrats à l’instant où ces microscopiques « wormholes » s’ouvrent pour ensuite se refermer et s’ouvrir à nouveau. Ma proposition peut sembler bizarre, mais moi et mes collègues plongeurs serions heureux de former les chercheurs disposés à essayer et de descendre ensuite avec eux au fond de l’océan au large des Bahamas… »

     

     

     

    Source de l’article- Stargate magazine n° 5- août/septembre 2004

     

    La taverne de l’étrange- 19 janvier 2007

     

    *

    Mis à jour le 28 mars 2011


    Voici un documentaire "Le trou bleu des Bahamas" diffusé dans l'émission Thalassa du 25 mars 2011 (21 mn)

     

    http://www.thalassa.france3.fr/?page=archives&id=274&rep=2527



     

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  • Le Triangle des Bermudes résolu ?

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    La zone maritime située aux alentours des Bermudes a depuis toujours nourri l'imaginaire des marins- bien avant que ne survienne la disparition du vol 19 en 1945. Au XIX° siècle, la région était réputée pour ses épaves mystérieuses et ses navires abandonnés- bien que le plus connu, le Marie-Céleste, fut retrouvé bien plus au nord-est, entre le Portugal et les Açores. En novembre 1909, Joshua Slocum, le premier homme à avoir navigué en solitaire autour du globe, dispaut alors que son voilier se dirigeait vers l'Amérique du Sud. Autre disparition, celle de l'USS Cyclops, alors qu'il revenait de la Barbade en mars 1918. Tout au long des années 1920, 1930 et 1940, de nombreuses disparitions dans l'Atlantique nord et dans le golfe du Mexique furent attribuées au funeste triangle des Bermudes, donnant ainsi corps à la légende qui a perduré et s'est amplifiée jusqu'à nos jours...

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    Le fameux triangle des bermudes serait une poudrière… C'’est ce qu'’affirme un géologue anglais ( B. Clennell ) qui pense en avoir perçé le secret. Des poches de gaz, prisonnières par 10.000 mètres de fond, remontent parfois à la surface, une seule étincelle, et c’'est l’'explosion !!! En Septembre 1998, le géologue aurait découvert au fond de la mer, une mixture inconnue, la substance à base de mélange de cristaux de glace et de méthane serait à l’'origine du mystère. Quand ce gaz remonte en surface, il suffit d'’une étincelle et la… Le triangle maudit refait surface, il n'’avait pas fait parler de lui depuis 1976, date à laquelle un tanker de 15.000 tonnes disparu mystérieusement une nuit. Rappelons les faits de l'’escadrille du vol 19 qui disparu le 5 Décembre 1945. Floride, Fort Lauderdale :

    bermuda triangle mystery 1

    Le 5 Décembre 1945, en Floride, à la base aéronavale de Fort Lauderdale, au nord de Miami, il y fait un temps de saison: le vent est variable, le ciel est clair. L'hiver approche, Noël aussi; la seconde guerre mondiale est terminée depuis près de quatre mois, et tout le monde a conscience que, le 25 décembre, ce sera un Noël pas comme les autres. Et justement, ce 5 décembre, un vol d'entrainement est prévu au-dessus de la mer, entre Fort Lauderdale et les Bahamas. C'est un vol de routine, une petite croisière sans histoire pour ces hommes qui ont déjà derrière eux des heures d'angoisse dans des circonstance autrement dramatiques. Il s'agit avant tout de se familiariser avec ce type d'avion et faire en sorte de tirer le meilleur parti de ces appareils. Ce sont des Avengers, les plus puissants et les plus grands monomoteurs à hélices de cette époque. Ils mesurent un peu moins de 16 mètres et ont les ailes repliables, ce qui leur procure une mobilité extrême, et ils peuvent atteindre la vitesse de 480km/h, chargés d'une cargaison de bombes de 900kg.

    Ils se sont distingués surtout dans la guerre du Pacifique, notamment dans la destruction du plus gros cuirassé du monde, le navire japonais Yamato et de tous ses navires escorteurs, dont le croiseur Yahagi. Bref, les Avengers constituent un matériel fiable et qui a, depuis longtemps, obtenu ses lettres de noblesse. Le chef désigné pour ce vol de routine est le lieutenant de vaisseau Charles C. Taylor, originaire du Texas et il a servi 6 ans dans la marine. Chaque équipage était formé de 3 personnes par avion, mais sur l'escadrille composé de 5 Avengers, un seul ne comptait que 2 personnes. La raison en est simple, mais elle débouche sur des interrogations. En effet, le caporal A. Kosnar, était désigné pour accompagner le vol, mais plus tard, il dira : " Pour une raison que je ne m'explique pas, j'ai décidé de ne pas voler ce jour-là." Prémonition ? Cela n'a rien d'impossible. Mais, encore plus étonnant, un autre homme désigné pour le vol 19 a voulu, au dernier moment, également se faire exempter : le lieutenant Charles Taylor lui-même; mais son exemption lui fut refuser.

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    Néanmoins, ce petit incident provoquera un retard de 25mn dans le décollage de la patrouille. Coincidences sans doute, mais on peut prétendre que les deux hommes ont eu une prémonition, un de ces sentiments vagues d'un danger imminent. Malheureusement, le lieutenant Taylor, disparu dans l'affaire, n'est plus là pour raconter ses états d'âmes. Donc les 5 bombardiers américains décollent vers 14h30 pour une mission de routine qui devait durer 2h environ, se passant sur l’océan Atlantique, la météo était favorable, beau temps, bonne visibilité, toutes les conditions étaient réunies, mais, vers 15h, au moment d'opérer les divers changements de cap, la situation se dégrada sur le chemin du retour dans la confusion la plus totale, aussi bien du côté de la patrouille que de la part des centres de surveillance à la côte. 

    Les instruments de bord commencèrent à s’affolés, boussole, compas... au sol, le radar qui les suivait perdu leurs traces, la dernière communication radio enregistrée, en entendit le chef d’escadrille dire ceci « Il semble que nous soyons éloignés de notre route...Nous ne sommes plus sûrs de notre cap...Nous n'arrivons pas à voir la terre, je répète, nous n'arrivons plus à voir la terre...Nous ne sommes pas certains de notre positions, impossible de préciser où nous sommes...mon avis est que nous sommes perdus !...Nous ne savons pas où est l'ouest...Tout est bizarre, anormal...la mer n’a pas son aspect habituel, on dirait que…» puis plus rien, silence radio total !!! A 16h30, un avion Martin Mariner décolle et se rend sur la dernière position du vol 19 et signale qui ni a rien d'anormal, mais ce sera son dernier message car il ne reviendra jamais à sa base...L'avion de secours disparait aussi mystérieusement que les cinq appareils du vol 19. 

    Un porte-avions " Le Salomons " et ses 35 appareils s'ajoutent aus 242 avions et aux 18 navires engagés dans les opérations de repérage et de sauvetage. Six avions et 27 hommes ont disparus bel et bien le 5 décembre 1945 dans cette portion de l'Atlantique connue maintenant comme le Triangle des Bermudes. La commission d'enquête blanchira plus tard, le lieutenant Taylor, car elle jugea qu'il ne pouvait être tenu responsable de la catastrophe. Et puis, surtout, c'est l'absence totale d'épaves, de nappes d'huile, qui demeure la plus mystérieuse et la plus agaçante pour un esprit épris de logique ! L’opinion publique se passionna pour cette fameuse escadrille du vol 19, depuis des siècles, les marins racontaient des histoires de disparitions de navires à l’est de la Floride. Plus de 60 avions et bateaux ont disparus entre 1945 et 1976, même Christophe Colomb en 1492 y a perdu deux caravelles.

    Bref, l'’hypothèse de poches de gaz peuvent expliquer en partie certaines disparitions, concernant les avions, le doute subsiste pour ma part, erreurs de navigation certaines, intempérie, ok, du gaz dans l’'atmosphère à 5000 pied, je sais pas ? faut voir, pourquoi pas, ceci dit quand ces bulles de gaz, de la taille d’'une pomme, remontent à la surface, elles font tomber la densité de l'’eau de mer qui ne peux plus maintenir les navires à flot. Ce gaz une fois remonté des abîmes, s’'évaporerait dans l’'atmosphère et tout objet volant passant par la, serait immédiatement pulvérisé !!! Les pilotes de l’'escadrille 19 auraient-ils vus ces fameuses poches de gaz à la surface, et n’'auraient pus l’'expliquer ? où alors autre chose d'’étrange…

     

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    La taverne de l'étrange- 23 Janvier 2006

     (mise à jour 27/4/13)


     

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