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    A Châtel-Saint-Denis (FR), une salle de classe montrée du doigt pour ses troubles électromagnétiques aurait également abrité des «entités».

     

     
     
    Tout n’a pas été dit sur le bâtiment scolaire La Châteloise à Châtel-Saint-Denis (FR). Une enseignante avait alerté les autorités communales en novembre 2010 en signalant que le wi-fi contribuait à faire de sa salle de classe un véritable calvaire électromagnétique («Le Matin Dimanche» du 11 décembre 2011). Les autorités communales puis cantonales ont alors lancé cinq expertises qui ont toutes démontré que les normes en vigueur étaient respectées. Toutes? Presque… L’expertise de Nicolas Bertherin, architecte, géobiologue et administrateur de la Fondation Emergence à Bulle (FR), a détecté une autre forme de perturbations. La présence d’«entités». En clair, des phénomènes paranormaux qui pourraient s’apparenter à des «esprits errants». Si le constat a été fait oralement et relayé dans le rapport de synthèse établi par la commune, les détails ont été enlevés de l’étude par Nicolas Bertherin lui-même. «Le Matin Dimanche» l’a rencontré pour en connaître les raisons. Pourquoi ne pas avoir fait mention du problème des «entités» dans votre rapport? Je ne souhaite pas partir en croisade et imposer un point de vue que tout le monde n’est pas prêt à accepter. J’ai des perceptions et des convictions, mais je ne cherche pas à convertir les gens.
     
    Qu’entendez-vous par «entités» ? 
     
    Il y a trois sortes de corps: physique (enveloppe du corps), éthérique (enveloppe énergétique) et spirituel (de source divine). L’entité est la forme éthérée. La pensée est une forme d’entité. C’est une empreinte énergétique qui agit sur la mémoire des murs.
     
    Des fantômes, en quelque sorte ? 
     
    Tout le monde n’est pas d’accord. Je dirais que ce sont des phénomènes paranormaux.
     
    Est-ce que vous en avez constatés dans ce bâtiment scolaire ? 
     
    Oui, il y avait des entités qui formulaient des demandes d’aide.
     
    Que voulaient-elles ?
     
     Qu’on les aide à partir. Le bâtiment était empreint d’énergies de personnes ayant vécu des choses difficiles. Il faut se souvenir qu’il y avait un cimetière à proximité et un monastère à cet endroit autrefois.
     
    Les entités sont-elles dangereuses ? 
     
    Si on ne les respecte pas, cela peut le devenir.
     
    C’est-à-dire ? 
     
    Je pense que les gens ne respectent pas le culte des morts au sens large.
     
    Qu’est-ce que c’est ? 
     
    Entre autres, le rituel de veiller le mort durant trois jours, trois nuits avec trois cierges de chaque côté.
     
    Comment procéder au culte des morts ici, lorsqu’il n’y a plus de corps ? 
     
    Une simple prière peut suffire. Mais il faut trois éléments fondamentaux: la conscience, je sais ce que je fais, la confiance, je sais pourquoi je le fais et la sincérité, je sais comment je le fais, sans imposer quoique ce soit.
     
    Concrètement, comment avez-vous procédé dans ce bâtiment ? 
     
    Je me suis mis de côté, j’ai allumé une bougie, avec de l’encens, et j’ai fait une prière et une incantation.
     
    Et ça a fonctionné ? 
     
    Oui. Mais encore une fois, ça dépend de la perception des gens. Ce n’est pas parce qu’ils ne disent rien que c’est fini. Ils peuvent ressentir d’autres choses.
     
    Comment les entités se présentent-elles à vous ? 
     
    En général, je ressens des picotements sous-cutanés ou frissons, c’est ce qui s’est passé à Châtel-Saint-Denis. Mais il m’arrive de les voir. Elles prennent la forme de flammèches blanches en leur centre.
     
    Peuvent-elles revenir dans ce bâtiment scolaire ? 
     
    Tout est possible, mais en principe celles qui sont parties ne reviennent plus. Mais d’autres peut-être. Cela dépend de la perception des gens. Il faut laisser faire.
     
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  • LaLaurie

     

    La Nouvelle-Orleans possède sa maison hantée !


    En 1831, Delphine Lalaurie, riche héritiere d'une famille créole, achete avec son mari la « Lalaurie House » au 140 Royal Street. Ils y donnent de grandes réceptions mondaines. Cependant Delphine a la réputation de maltraiter ses esclaves noirs et en 1833, un voisin affirme qu'une jeune femme fouettée sans pitié se serait jetée du haut du toit. L'année suivante, un incendie se déclare et lorsque les secours arrivent, ils découvrent avec horreur sept esclaves enchaînés et affamés. La foule se déchaine contre les Lalaurie qui ne doivent leur salut qu'a leur fuite en France. On raconte que le corps de Delphine Lalaurie a été ramené après sa mort à la Nouvelle-Orléans. Depuis lors et bien que la maison ait été transformée en immeuble a appartements, des cris, des gémissements et des coups de fouet seraient régulierement entendus, provenant de l'intérieur de la Lalaurie House.

    L'acteur américain Nicolas Cage a acquérit la maison pour 3.450.000 $ en avril 2007. Depuis lors, l'acteur a confirmé que des fantômes partagent avec lui cette propriété. Il y donne régulièrement des diners auxquels sont conviés les membres de sa famille et ses amis mais refuse que quiconque y passe la nuit. Il n’accepte pas non plus que des spécialistes en paranormal viennent examiner la demeure car il veut laisser les revenants en paix.

     

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    « J'’ai vécu avec un fantôme »

     

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    A peine installée dans son appartement, Diane a dû faire face à des phénomènes inexpliqués : télévision, radio et réveils qui s’'allument seuls, apparitions étranges… Elle raconte sa cohabitation avec cette "présence".<o:p></o:p>

    « Il y a un an, j'’ai quitté mes parents pour vivre seule. C'’était mon premier appartement. Avant d’'emménager, j’'ai décidé de le décorer à mon goût. Je l’'ai donc entièrement repeint pour m'’y sentir parfaitement bien, mais aussi pour marquer le fait qu'’il débutait avec moi une nouvelle vie. Très vite, j'’ai commencé à entendre des bruits de pas lourd, des grincements. C’'était un son différent de celui que font mes voisins du dessus en marchant, comme si quelqu'’un se déplaçait sur mon parquet. Cela se produisait systématiquement le soir ou le week-end, à des moments où j'’étais seule dans mon appartement. Lorsque j'’avais de la visite, il ne se passait rien. Alors j'’ai fini par me dire que la maison était mal insonorisée et que je me faisais des idées.<o:p></o:p>

    Deux ou trois mois après mon emménagement, le poste de télé que j’'ai dans ma cuisine s’'est mis en marche tout seul. J’'étais en train de lire un livre dans ma chambre. Pensant qu'’il y avait dû y avoir un court-circuit, j’'ai éteint. Quelques semaines plus tard, ma stéréo s’'est allumée seule à son tour. Là encore, j'’ai pensé à un problème de branchement. J’'ai demandé à mon voisin où étaient situés ses appareils électriques, afin de vérifier qu’'il n’y avait pas d'’interférences, mais ils ne se trouvaient pas à proximité des miens. En l’'espace de huit mois, ces phénomènes se sont produits à intervalles réguliers. Un soir, la télé se mettait en marche, le surlendemain, c'’était la radio, deux jours plus tard, encore la radio, puis plus rien pendant plusieurs semaines. Après un certain temps, les manifestations reprenaient pendant quelques jours, et s'’interrompaient de nouveau.<o:p></o:p>

    Je me suis mise à avoir vraiment peur la nuit où j’'ai été réveillée par la sonnerie du réveil de ma salle de bain. Je l'’avais acheté un mois et demi auparavant, et je m'’étais contentée d’'y insérer des piles et de le poser au-dessus de mon miroir pour avoir l'’heure. Je n’'y avais plus touché depuis, même pas en faisant le ménage puisqu'’il était hors d’'atteinte. Il était donc impossible que j'’aie branché l’'alarme par mégarde. A partir de ce soir-là, j’'ai eu de plus en plus de mal à dormir. Je ressentais une présence étrange dans mon appartement et j’'angoissais à l’'idée de rentrer chez moi après le travail.<o:p></o:p>

    Un soir, vers 23 h, je l’'ai vu. J’'étais couchée dans mon lit, je lisais à la lueur de ma lampe de chevet et j’'ai soudain eu l’'impression d'’être observer. J'’ai levé les yeux et j’'ai aperçu, au pied de mon lit, une silhouette de lumière blanche. Elle mesurait environ 1,60 mètre de haut et était immobile. Je ne pouvais pas distinguer si c’'était un  homme ou une femme. J’'ai poussé un hurlement. J’'étais paralysée de peur. Ca n’'a duré que quelques secondes, avant que j’'allume le plafonnier. L'’ombre avait disparu. Ne sachant que faire, j’'ai allumé toutes les lumières dans l’'appartement et j'’ai passé la nuit à regarder la télé. Pas moyen de m’'endormir.<o:p></o:p>

    Le lendemain de cette apparition, j’'ai commencé à me renseigner sur le sujet. Jusque-là, je n'’avais entrepris aucune démarche car je refusais d'’y croire. Je me disais que tout ça, c’'était dans ma tête et je continuais à chercher une explication logique. Mais je ne pouvais nier l’'évidence : j’'avais vu quelque chose. Alors j’'ai mené l’'enquête, cherchant à savoir si quelqu’'un était mort dans mon appartement. Rien. Sur Internet, j'’ai lu qu'’il fallait répartir du sel aux quatre coins d’'une pièce pour faire fuir les esprits. J’'ai donc suivi ce conseil et, dès le lendemain, je n'’ai plus senti de présence dans ma chambre. Certaines personnes m’'avaient suggéré de faire des incantations ou de contacter un magnétiseur, mais j’'ai d’'abord essayé de chasser moi-même le fantôme. Seule dans mon appartement, je lui parlais à haute voix : « Je ne te veux pas de mal. Je ne sais pas qui tu es ni ce que tu veux, mais je me sens bien dans cet appartement et j'’ai envie d’'y rester. » Je m'’étais tellement investie pour retaper mon deux pièces qu'’il était hors de question que je déménage ! Les trois semaines suivantes, il ne s'’est rien passé. Puis un soir une amie m’a téléphoné et m’a demandé si mon fantôme s'’était encore manifesté. Je lui ai répondu : « Non, tout va bien. » A peine avais-je raccroché le combiné que la chaîne hifi s’'est mise en marche. C’'était la goutte qui a fait déborder le vase. J’'ai éteint la radio et décidé d'’agir.<o:p></o:p>

    Une de mes amies m’'avait confié avoir un don pour sentir les esprits, alors je lui ai demander de venir chez moi. Je ne lui ai donné aucun détail et l’'ai laissée se déplacer dans mon appartement. Elle a touché les murs et a repéré des zones grises, ombrageuses, autour de la stéréo et de la télé, donc aux endroits précis où se manifestait le fantôme. Elle a allumé des bougies blanches pour purifier l’'air, brûlé de l’'encens et fait un rituel pour chasser ces ombres étranges. Je ne savais pas si ça allait marcher, pourtant, il s’'est écoulé trois mois depuis l'’intervention de mon amie et, depuis, plus de manifestations. Cela m’a vraiment soulagée que quelqu'’un me prenne au sérieux et accepte de m’'aider, car j’'avais l’'impression de devenir folle. Jusque-là, je n'’avais jamais cru ni aux fantômes ni à ma capacité de communiquer avec les morts. Pour moi, c’'était du cinéma.<o:p></o:p>

    Le malaise que je ressentais chez moi a totalement disparu. Il n’'y a plus rien de pesant dans l’'air. J’'ai même adopté un oiseau. Il me tient compagnie et, si jamais l’'esprit devait revenir, je ne serais ainsi plus seule à le voir. Cela dit, je n’'ai pas peur qu’'il me fasse du mal, car il ne s’'en est jamais pris à moi directement. Je pense plutôt qu'’il cherchait à me dire quelque chose. J’'aurais peut-être dû trouver le moyen de savoir quel était le message, mais je ne vais pas poursuivre mes recherches dans ce sens. J’'aurais trop peur de ce que je pourrais découvrir. Et puis ce n’'est pas plus mal : au moins, maintenant, je dors bien. »

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    Source : http://www.femina.ch<o:p></o:p>

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    Hampton_Court

    *** En y regardant de plus près, les portes s'ouvrent avant, puis le personnage les referment ( c'est mon avis perso )   ***

    Le palais de Hampton Court, ancienne résidence du roi Henri VIII d'Angleterre, a toujours eu la réputation d'être hanté. En effet, c'est dans ce château que mourut la troisième femme d'Henri VIII Catherine Howard condamnée pour adultère. Sachant quel allait être son sort, elle implore la pitié de son époux tandis qu'elle priait dans la chapelle royale, en frappant désespérément à la porte, mais il ne l'écouta pas, et elle fut emmenée de force. Ses pathétiques appels au secours retentissent parfois dans la galerie proche de la chapelle. Depuis son fantôme hante Hampton Court. D'autre part, Henri VIII a été vu plusieurs fois à Hampton Court se trainant sur sur ses jambes ulcéreuses dans les couloirs du château. Il est évident que la photo d'une silhouette fantomatique, prise par une caméra de surveillance et publiée par les journaux britanniques en décembre 2004, a relancé le débat. Ce cliché plutôt trouble montre une silhouette vêtue d'un long manteau d'époque, en train de refermer la porte d'une issue de secours de ce palais du XVème siècle. A plusieurs reprises, les gardiens du palais avaient été intrigués par cette porte, surveillée par une caméra, et qui s'ouvrait parfois de façon inexpliquée. En octobre dernier, ils ont eu la surprise de découvrir sur leur écran de contrôle cette image mystérieuse. " J'ai eu un choc en voyant les images de la caméra de surveillance qui montrait une silhouette sinistre en manteau d'époque, a raconté l'un des gardiens du palais. Ca faisait vraiment froid dans le dos parce que le visage n'avait pas l'air humain ". " Ma première réaction a été de penser que quelqu'un faisait une farce alors j'ai demandé à mes collègues de jeter un oeil, a-t-il poursuivi. Nous avons discuté avec nos guides en costumes d'époque mais ils n'ont pas de costumes semblables à celui sur la photo. C'est très déconcertant ". Pour le professeur Richard Wiseman, de l'université du Hertforsdhire, cité par le Daily Telegraph, il s'agit " soit d'un coup de publicité du palais, ce dont je doute, soit d'un visiteur qui a voulu se rendre utile en refermant la porte ". Pour le quotidien populaire The Sun en revanche, il pourrait en fait s'agir ni plus ni moins que du fantôme de Henri VIII (1491-1547). " La période autour de Halloween est la plus active pour les apparitions de ce genre ", explique Terry O'Sullivan, " expert renommé en fantômes " -dixit le Sun- au Collège britannique de parapsychologie. " C'est la période de l'année où le voile entre notre monde et l'autre monde est le plus fin. Il me paraît tout à fait crédible que ce soit le fantôme de Henri VIII ", assure M. O'Sullivan.

     

    Source de l'article : http://www.outre-vie.com/temoins/hampton.htm

     

    ***15 octobre 07***

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    Le fantôme du roi Henri VIII

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  • La maison Winchester<o:p></o:p>

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    Bien qu’'elle ait subi de nombreuses transformations depuis le début de sa construction, en 1884, les dimensions de la maison Winchester et sa complexité architecturale en font, aujourd’'hui encore, une curiosité. Au tournant du siècle, l’'édifice avait sept étages à une époque où, dans la région avoisinante, il n’'y avait presque que des fermes. Des cages d’'escaliers qui mènent au plafond ne sont qu’'une des bizarreries introduites par madame Winchester, son excentrique propriétaire.


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    Pendant 38 ans, Sarah Winchester s’'est endormie environnée du bruit des marteaux. Aucune berceuse n’'aurait pu la calmer d'avantage. Cette veuve n'’était ni sourde, ni de l’'avis général, particulièrement excentrique. Ce bruit permanent était inhérent à sa mission très spéciale dans la vie. C’'est peu après la mort de son mari William, en 1881, qu’'elle trouve sa vocation. A cette époque, elle hérite de quelque 20 millions de $, en plus du revenu des parts que son mari avait dans la Winchester Repeating Arms Co, soit près de 1000 $ par jour. Mais sa richesse ne la console pas de la perte de son mari ni de la mort de son unique enfant, et elle va chercher le réconfort chez un spiritualiste de Boston.

     

     

    Le message sans détour du médium est alarmant. Une part considérable de la fortune des Winchester vient des ventes du fusil Winchester 73, « l’'arme qui a conquis l'’Ouest ». Les âmes des victimes du fusil, et il y en a eu des milliers, se sont vengées en arrachant sa famille à la veuve Winchester. Sa vie sera maudite, lui dit-il, à moins qu’'elle n’'achète une maison pour l'’agrandir en poursuivant les travaux jusqu’'à la fin de ses jours. En 1884, elle achète une ferme de huit pièces dans la vallée de Santa Clara, en Californie. Là, jusqu’'à sa mort en 1922, elle emploiera de 10 à 22 charpentiers et des douzaines d'’autres ouvriers pour échapper à la terrible malédiction. Le travail, comme elle en a reçu l’'ordre, continue jour et nuit. Chaque soir, elle se retire dans un salon spécial pour y recevoir des esprits les plans qu'’au matin elle remet au chef charpentier. Il devient bientôt évident que la maison est faite à la fois pour garder les bons esprits à l’'intérieur et empêcher les mauvais d’'entrer.

     

     

    Cette double fonction permet de mieux comprendre la myriade de curiosités que contient la maison. Certaines portes ne peuvent s'’ouvrir que d’'un seul côté, d’'autres n'’ouvrent sur rien. L'’une d’'elles donne sur un placard profond de deux centimètres. En face de cette porte, ce qui semble n’'être que l’'accès à un débarras ouvre sur une suite de trente chambres. Une volée de marches descend à une autre qui remonte au même étage. Un autre escalier de 44 marches ne mesure, au terme de ses sept révolutions, que trois mètres. Un autre aboutit contre un plafond. Les fantômes n’'ont pas de reflet, aussi pour ne pas les embarrasser, la maison possède que deux miroirs. Et, comme les esprits ne font pas d’'ombre, les éclairages sont conçus de manière à ce que les humains n'’en fassent pas non plus. Ce labeur ininterrompu de 38 ans a façonné une maison de 4000 mètres carrés qui renferme 160 chambres. En réalité, 750 chambres ont été bâties, mais beaucoup ont été détruites ou modifiées à mesure que les esprits changeaient leurs plans. Aujourd’'hui, la maison n’en demeure pas moins prodigieuse. Elle abrite trois ascenseurs, 6 cuisines, 40 chambres à coucher, 467 portes, 10.000 fenêtres, 47 cheminées, 40 escaliers, 52 lucarnes, 6 coffres-forts et une douche. Madame Winchester a dépensé 5,5 millions de $ de ce qu’elle appelait l’argent du sang pour se délivrer d’'une malédiction…

     

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    <o:p> http://www.winchestermysteryhouse.com/press.html</o:p>

     

     

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    La taverne de l’'étrange- 20 novembre 2006

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