• LES MYSTERIEUX CYLINDRES EN CIMENT DE LA NOUVELLE-CALEDONIE

     nouvelle calédonie

     

     L'Australie, comme la Nouvelle-Zélande, est en principe une terre sans histoire. Aussi la découverte, en Nouvelle-Calédonie, d'objets qui ne sont pas d'origine naturelle et qui ne sont pas d'origine humaine non plus, ou tout au moins qui ne se rapportent à aucune des péripéties bien connues de l'occupation humaine de la Nouvelle-Calédonie, présente-t-elle un intérêt considérable ? Les fanatiques de l'ancien continent de Mu diront évidemment que ce sont là des vestiges de Mu. M. Andrew E. Rothovius, à qui l'on doit une forte intéressante étude, parue en France dans les Cahiers de l'Herne, sur H.P. Lovecraft et les mégalithes de la Nouvelle-Angleterre, rapproche ces objets des piliers trouvés dans les Mariannes. Mais rien ne prouve que le continent de Mu ait existé. L'hypothèse « interplanétaire » émise par certain est tout aussi plausible et probablement tout aussi loin de la vérité. Dans ce domaine comme dans d'autres, la vérité dépasse probablement la fiction et se trouve pour le moment hors de la portée de notre imagination. Le passé est très loin des structures figées que l'on trouve dans les livres d'histoires.

     

     L'un des mystères les plus troublants et les plus déconcertants auxquels se soient heurtés les archéologues, ces dernières années a été la découverte en Nouvelle-Calédonie et dans les îles voisines des Pins de remarquables cylindres en mortier de chaux. Ceux-ci ne semblent pas être d'origine naturelle, et leur âge estimé est beaucoup plus ancien que celui de tous les ciments de fabrication humaine, connus jusque-là. Découverte par L. Chevalier du musée de Nouvelle-Calédonie à Nouméa, capitale de l'île, ces cylindres mesurent de 1mètre à  1,75 m de diamètre sur 1mètre à  2,50 m de hauteur. Ils sont faits d'un mortier de chaux très dur et homogène, contenant des fragments de coquillages qui donnent une datation au radiocarbone (C. 14), allant de 5120 à 10950 avant notre ère.

     Même la date la plus rapprochée est antérieure de quelque 3000 ans à l'époque à laquelle on croit que l'homme est arrivé dans le Pacifique du Sud-ouest, venant de la région de l'Indonésie. (Les mortiers de chaux des anciennes civilisations méditerranéennes ne remontent pas au-delà de quelques centaines d'années avant notre ère, tout au plus. A leur surface, ces cylindres sont parsemés de petits graviers de silice et de fer qui semblent avoir été pris dans le mortier quand celui-ci a durci. Cette caractéristique est intéressante par rapprochement avec les tumuli ou monticules de sable et de gravier dans lesquels les cylindres ont été trouvés et qui sont aussi étranges que ces cylindres eux-mêmes. Il existe 400 de ces tumuli sur l'île des Pins et 17 ont été repérés jusqu'à présent en Nouvelle-Calédonie même, près d'une localité appelée Païta. Sur l'île des Pins, ces tumuli sont des entassements de sable et de gravier d'une haute teneur en oxyde de fer ; ceux de Païta sont faits de sable siliceux. Dans les deux endroits, les tumuli ont de 2,40 à 2,75 m de haut, et 90 mètres de diamètre en moyenne. Ils sont dénudés et sans caractéristiques particuliers, à peu près, aucune végétation ne prenant racine dans les sables dont ils sont composés.

    Les mystérieux cylindres en ciment de Nouvelle-Calédonie

    Jusqu'à maintenant, quatre seulement de ces tumuli ont fait l'objet de fouilles.

     Ni ossement, ni objets façonnés, ni charbon de bois n'y furent trouvés en dépit de recherches minutieuses ; cependant, trois des tumuli contenaient chacun un cylindre et le quatrième en avait deux, côte à côte. Dans chaque cas, les cylindres étaient placés au centre des tumuli (qui paraissent ressembler à de gigantesques taupinières) en position verticale. M. Chevalier eut l'impression que le mortier avait été coulé dans des puits étroits, creusés au sommet des tumuli, et qu'on l'avait laissé durcir en place. Des grains de sable et du gravier composant les tumuli se seraient naturellement enfoncés dans le mortier, ce qui expliquerait leur présence à la surface des cylindres. Mais, tout d'abord, quelle raison concevable pourrait-il y avoir pour expliquer qu'ils aient été coulés ? L'origine naturelle parait exclue... et pourtant aucune preuve n'a été trouvée d'une quelconque intervention humaine pas plus pour les cylindres que pour les tumuli qui sont tout aussi inexplicables comme phénomène naturel. On pourrait imaginer que peut-être un vaisseau venant d'un autre monde que notre Terre aurait stationné dans les airs... et envoyé au sol plusieurs centaines d'explorateurs dans de petits véhicules séparés, se rapprochant  un peu du Lem des vaisseaux lunaire Apollo.

     Lorsque ces éclaireurs durent retourner au vaisseau mère, il leur fallut de petits supports de lancement, pour lesquels ils mélangèrent et coulèrent le mortier de chaux dans le sommet des tumuli de sable et de gravier qu'ils avaient entassés dans ce but. Fantastique ? D'accord, bien sûr ; car quel aurait pu être le système de lancement qui n'a laissé aucune trace visible au sommet des cylindres ? Cependant, à moins qu'on ne recherche une solution imaginative au mystère qu'ils présentent, il y a toutes les chances pour que la science ignore les tumuli et les cylindres en ciment de Nouvelle-Calédonie, lorsqu'elle ne leur trouvera pas d'explication orthodoxe... et ils courront le risque d'être détruits et oubliés quand la construction d'un aéroport ou d'autres grands travaux se feront dans cette région. La Nouvelle-Calédonie a été une base de regroupement extrêmement importante pour les forces américaines durant la guerre dans le Pacifique, et son emplacement stratégique y rend hautement probable le développement d'installations aéroportuaires, civiles ou militaires dans un avenir pas très éloigné. Peut-être peut-on mentionner un parallélisme possible des cylindres de Nouvelle-Calédonie avec les étranges piliers de pierre chapeautés de l'île Tinian dans les Mariannes, à plusieurs milliers de kilomètres au nord-ouest. En avril 1819, l'expédition française d'exploration commandée par le capitaine Louis Claude de Freycinet, sur la frégate Uranie, visita sur Tinian un curieux endroit où, au milieu d'une végétation luxuriante l'environnement de toutes parts, ne se trouvait qu'une herbe rare entourant une double rangée de piliers de pierre, d'environ 4,50 m de haut, chacun surmonté d'un énorme galet de forme hémisphérique dont le côté arrondi était posé sur le sommet du pilier.

    Alors que ceux-ci étaient encore en bon état de conservation, leurs faces et leurs angles carrés à peine érodés, les gros galets s'effritaient plus ou moins, étant probablement d'une pierre plus tendre, quoique la relation de M. de Freycinet ne donne pas de précision sur ce point. Les explorateurs français se demandèrent si les piliers avaient autrefois soutenu un toit ou une plate-forme mais ne purent en trouver la moindre trace. Ce qui les intrigua le plus, ce fut l'aridité du sol et la rareté de l'herbe autour des piliers, car, pour autant qu'ils puissent le déterminer, le sol était tout aussi fertile que celui où poussait une jungle luxuriante à moins de quelques mètres alentour. (Ce qui n'a jamais été fait, c'était de creuser le sol, un objet énorme est peut-être là, venu d'un autre monde, et les pierres un repère vu ciel pour le récupérer un jour ?)

     Tinian a été successivement sous domination espagnole, allemande et japonaise jusqu'au débarquement des marines américaines en 1944, et aucune de ces administrations n'y a encouragé la recherche scientifique étrangère. En tout cas, nulle autre indication de ces étranges piliers de pierre n'a été retrouvée par l'auteur, et il est possible que s'ils existaient encore en 1944, ils aient été détruits dans les violents combats qui suivirent le débarquement américain ou récupérer par l'armée quelque années plus tard.

     *

    Sources et références ;

     

    Revue de la Société d'études mélanésiennes (Nouméa. 1964)

    Radio carbone (publié par l'Université de Yale) vol. 8, juin 1966

    Rapport sur des datations au carbone 14 par le Centre des faibles

    Radioactivités, du C.N.R.S., à Gif-sur-Yvette, Essonne

    Freycinet, Louis-Claude, Voyage autour du Monde

    Historique, paris 1825, pp. 279-280.

    ***

    Claude Burkel pour la taverne- 2 février 2009

    mise à jour- 5/12/2017

    source du schéma d'un tumulus

    document PDF du conservateur du musée

    Partager via Gmail Pin It

    3 commentaires
  •  

    DE MYSTERIEUSES ARAIGNEES NOIRES ENVAHISSENT LA SUISSE...

    araignee suisse

    Elles peuvent mesurer jusqu'à 20 cm de diamètre !

     

    Une espèce inconnue de faucheurs, de la famille des araignées, est en train de coloniser l'Europe. Des foyers ont d'abord été observés aux Pays-Bas, puis en Allemagne. Et voilà que ces faucheurs arrivent en Suisse. On les a vus à Lausen, dans le canton de Bâle-Campagne. Contrairement aux espèces locales, ces araignées à longues pattes noires forment de grands groupes. Lorsqu'elles se sentent menacées, elles font osciller leur corps, comme si elles prenaient leur élan pour sauter du mur. Ce comportement renforce l'aspect menaçant des créatures. Pourtant, ces envahisseurs sont absolument inoffensifs pour l'homme. Ils ne sécrètent ni venins ni substance malodorante.

    Les tests génétiques n'ont pas permis d'identifier la nouvelle espèce. Pour Wolfgang Nentwig, spécialiste des migrations d'insectes à l'université de Berne, ces araignées viennent probablement d'Asie. Elles auraient voyagé dans des containers à destination de la Hollande.

    source-LE MATIN BLEU N°96 du 21 mai 2008

    Partager via Gmail Pin It

    5 commentaires
  •  

    À seulement huit ans, Boris Kipriyanovich est déjà célèbre pour ses connaissances prodigieuses en astronomie, mais aussi pour ses descriptions de la civilisation martienne, ses prédictions... Un cas fascinant d'enfant psychique ou « indigo ».

     

    Le 11 janvier 1996, est né à Volzhsky (région de Volgograd) en Russie, un enfant hors du commun. Dès son retour de la maternité, sa maman, Nadezhda Kipriyanovich, a remarqué des aspects curieux dans son comportement : Boris, c'est son nom, ne pleurait presque jamais et n'était jamais malade. Il a grandi comme les autres enfants, mais dès l'âge de huit mois, il s'est mis à prononcer des phrases entières. Il n'avait pas encore trois ans lorsqu'il a tenu ses premiers propos sur l'univers. Nadezhda raconte: « Il pouvait nommer toutes les planètes du système solaire et même les satellites. Il m'accablait de noms et de numéros de galaxies. Au début, je trouvais cela très inquiétant, je pensais que mon fils était mentalement déséquilibré, puis j'ai décidé de vérifier ces noms. Je me suis documentée sur l'astronomie et j'ai été bouleversée de constater que mon fils possédait des connaissances réelles. »

    Des rumeurs sur l'existence d'un bébé astronome se sont répandues dans la ville à la vitesse de la lumière. On a commencé à venir le voir. Aux visiteurs, Boris parlait volontiers de civilisations
    extraterrestres, d'une race ancienne d'humains de trois mètres de haut et des prochains changements climatiques et planétaires. Tout le monde l'écoutait avec intérêt, mais sans le croire. Les parents ont décidé de faire baptiser leur enfant. Peu après, Boris s'est adressé aux gens à propos de leurs péchés, les avertissant de malheurs futurs ou de maladies. Concernant l'avenir de la Russie, les propos du garçon sont optimistes. Il déclare: "La situation dans ce pays va s'améliorer progressivement. Cependant, la planète Terre va traverser deux années très dangereuses: 2009 et 2013. Il va y avoir des catastrophes liées à l'eau." Alors que les agences spatiales les plus compétentes essayent de découvrir s'il y a de la vie sur Mars, le petit Boriska de huit ans raconte à ses parents et à ses amis les souvenirs de sa vie antérieure au sein de la civilisation martienne. Les spécialistes constatent qu'il possède des informations auxquelles il n'a pas pu, normalement, avoir accès. La mère raconte: « Nous avons présenté Boriska à plusieurs scientifiques, dont des ufologues, des astronomes et des historiens. Tous s'accordent à dire qu'il est impossible d'inventer tout cela. L'enfant manie des termes scientifiques et des mots en langues étrangères que seuls les spécialistes Utilisent dans tel ou tel domaine particulier.»

    L'amour est une vraie magie.


    Voici un extrait d'une interview qu'il a accordée à un journaliste de la Pravda :


    Le journaliste: "Boris, pourquoi les gens sont-ils malades ?" Boris: La maladie vient de l'incapacité des gens à vivre d'une manière juste et à être heureux. Vous devez attendre votre moitié cosmique. On ne devrait jamais s'impliquer et jouer avec le destin des autres. Les gens ne devraient pas souffrir de leurs fautes passées, mais plutôt entrer en contact avec ce qui leur est destiné et essayer d'atteindre ces hauteurs, puis avancer vers la conquête de leurs rêves. Vous devez être plus sympathiques et cordiaux. Si jamais quelqu'un vous frappe, prenez votre ennemi dans vos bras, excusez-vous et agenouillez-vous devant lui! Si quelqu'un vous déteste, aimez-le de toutes vos forces et de toute la puissance de votre dévotion et demandez pardon. Ce sont les règles de l'amour et de l'humilité. Vous savez pourquoi les Lémuriens ont disparu ? J'en suis en partie blâmable. Ils ne voulaient plus se développer spirituellement. Ils se sont retirés du chemin prédestiné, détruisant ainsi l'intégrité globale de la planète. Le Sentier magique conduit à la fin de la mort. L'amour est une vraie magie!
    - Comment sais-tu tout cela ???? »
    - Je le sais... Kailis...
    - Qu'as-tu dis?
    - J'ai dit hello ! C'est le langage de ma planète....


    Source: Pravda du 29 octobre 2005

     

    http://english.pravda.ru/science/19/94/378/16387_Boriska.html

     


    Partager via Gmail

    10 commentaires
  •  

    Firmat est une ville de 18.000 habitants de la province de Santa Fe située à 113 km au sud ouest de Rosario, et à 360 km de Buenos Aires. En juin 2007 la municipalité fait installer des portiques de balançoire pour les enfants dans un square (La Plaza Belgrano) au sud de la ville dans le quartier de La Patria. Le square dont la municipalité est propriétaire a une surface d'à peu près 2 hectares. Il est entouré sur trois côtés par des rues où sont alignées des maisons et sur un côté par un terrain occupé par une église. Or, dès le premier jour, les habitants du quartier se sont aperçus qu'une des trois balançoires du portique se balançait toute seule sans raison. Depuis tout le monde parle de ce phénomène étrange qui attire les foules à travers tout le pays. De nombreuses télévisions se sont déplacées pour filmer la balançoire qui continue à bouger sans raison apparente par cycle de plusieurs minutes ou plusieurs heures.

    Un vrai mystère. Un système magnétique a-t-il été enterré sous la balançoire métallique lors de l'installation ? Cela semble peu probable. (source de l'info- Top Secret N°35).

     

    source : http://www.petitherge.com/article-7156187.html

     


    Partager via Gmail

    1 commentaire
  • meteor1

    METEOR CRATER

    <o:p></o:p>

    Il y a plusieurs milliers d’'années, un « missile » cosmique percuta la Terre, creusant un cratère colossal dans le paysage aride du désert de l’'Arizona aux Etats-Unis.

    <o:p></o:p>

    Il y a environ de 30.000 à 50.000 ans, plusieurs millénaires avant que les premiers êtres humains arrivent en Amérique du Nord, une énorme roche s’'écrasa sur la Terre près du canyon Diablo, entre les villes de Flagstaff et de Winslow, en Arizona. Il creusa une immense dépression en forme de soucoupe, d'’une largeur de 1250 m et d'’une profondeur de 174 m. Si on regarde depuis le désert plat environnant, le cratère, haut de 45 m, ressemble à une modeste ligne de faîte, si bien que le trou béant qu'’il dissimule ne fut découvert par les Européens qu’'en 1871. Au début, on croyait qu'’il était d'’origine volcanique, comme des cratères semblables déjà explorés ( tel Sunset Crater, situé à côté ). En 1890, des fragments de fer furent découverts dans les débris. Bien que leur importance n’'ait pas été immédiatement reconnue, certains savants commencèrent à remettre en question l'’hypothèse d’'une origine volcanique du cratère et à en proposer une autre : cette vaste dépression aurait été causée par l’'impact sur Terre d’un corps d'’origine extraterrestres. Après avoir examiné le site en 1902, Daniel Barringer,'it que, puisque le cratère était à peu près circulaire, le corps qui l’avait créé devait se trouver au centre. Plus tard, il constata qu'’une balle de fusil tirée dans la boue molle, même sous un angle fermé, creuse toujours un trou rond. Il déduisit de cette expérience, et du fait que les strates rocheuses sur le versant sud-est du cratère étaient élevées de plus de 30 m par rapport aux strates environnantes, que la météorite était tombée du nord à angle fermé et qu’elle était profondément enfouie sous le versant sud-est. Le forage commença sur le site. A 305 m, un nombre croissant de fragments en fer et en fer-nickel fut trouvé. A 420 m, la mèche se bloqua complètement, prise, semble-t-il, dans de la matière météoritique dure. Les fonds manquèrent et le forage cessa en 1929, mais la communauté scientifique était à présent persuadée que le cratère avait bien été formé par l’impact d’une météorite. La taille du « missile » qui percuta le désert de l’Arizona reste un sujet de spéculation. Au cours des années 1930, les savants estimèrent son poids à 14 millions de tonnes et son diamètre à 122m. Des calculs ultérieurs ramenèrent le poids de la météorite à 2 millions de tonnes et son diamètre à 79 m.

     

    meteor4

    <o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

    Les estimations actuelles envisagent un poids de 70.000 tonnes et un diamètre de 30 m. Mais même si la taille de l’'objet était celle de l’estimation la plus basse, sa collision avec notre planète n’'en resterait pas moins cataclysmique. Pour creuser un tel cratère, il devrait avoir percuté la Terre à environ 70.000 km/h. L'’impact prodigieux généra une déflagration équivalant à 500.000 t d’explosif, quarante fois plus dévastatrice que la puissance de la bombe atomique qui détruisit Hiroshima, projetant 100 millions de tonnes de roche pulvérisée dans l’atmosphère. Il rejeta aussi les matériaux qui forment maintenant les bords du cratère. Des gouttes de métal liquide en provenance de la météorite s’'éparpillèrent sur une zone de 260 km2, certaines étant projetées à 11 km du point d’'impact.

     

    meteor2

     

    Nombre de ces fragments avaient la taille de cailloux, mais les plus gros pesaient jusqu’à 630 kg. Les matériaux sur le bord du cratère et ceux qui furent rejetés à l’'extérieur consistaient en un mélange de grès et de calcaire- les restes de dépôts riches en fossiles du lac préhistorique qui couvrait autrefois cette région. Une épaisse couche de ce mélange, appelée « breccia », couvre aujourd'’hui le fond du cratère. Dans les années 1930, des sommes importantes furent consacrées au forage du breccia afin de localiser les dépôts de fer qui pourraient être profitablement exploités. Des traces de fer-nickel furent trouvées à des profondeurs de 260 m ; au-dessous de ce niveau, la roche était déplacée. L’'emploi des techniques les plus modernes, en particuliers des relevés sismiques, magnétiques et gravitationnels, suggère que les restes de la météorite se trouvent sous le versant sud, mais qu'’il ne reste que 10% de la masse originelle. Le reste s’est vaporisé au cours de l’'impact et s’est condensé pour former des débris de fer-nickel. En 1960, des traces de deux formes rares de silice, la coésite et la stishovite, furent découvertes dans le cratère. Ces deux matériaux peuvent être créés artificiellement dans des conditions extrêmes de température et de pression, et la stishovite peut se former sous pression au plus profond de la Terre, mais elle se transforme en quartz avant d’'atteindre la surface, si bien que sa présence à l’'état naturel sur le site est la preuve d'’un impact colossal. Dès lors, tout doute sur l'’origine de la formation du cratère disparut et la croyance de Barringer dans l’origine météoritique du cratère fut confirmée. Le Meteor Crater est le cratère le plus accessible au monde, il a reçu le statut spécial de « site naturel national » en 1967. A présent, il est réservé à la recherche scientifique, bien que les visiteurs puissent avoir accès au fond du cratère- sur permission spéciale- en descendant un sentier raide.

    meteor3

    <o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

    <o:p>tyron en 2005 sur les lieux ( lol ).</o:p><o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

     

    <o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

    La taverne de l'’étrange- 1 septembre 2007

    Aura2

    <o:p></o:p>

    http://www.meteorcrater.com/index.php<o:p></o:p>

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Meteor_Crater<o:p></o:p>

    http://www.barringercrater.com/

    <o:p></o:p>


    Partager via Gmail Pin It

    2 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique