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     UN « PONT » DE 20 KM OBSERVE SUR LA LUNE ?

     

     


     

    L’invention de la lunette puis du télescope au XVIIe siècle a permis aux astronomes de scruter la surface de la Lune, astre qui nourrit l’imagination des hommes depuis toujours. Mais ces observations, tout en fournissant des données scientifiques qui font progresser l’astronomie, n’ont pourtant pas cessé d’alimenter les fantasmes.

     

    Les « mystères » de la Lune relèvent en général de trois catégories : les phénomènes lumineux, les anomalies en surface et les constructions artificielles, ou prétendues telles. L’affaire du « pont » de la mer des Crises relève de la troisième (cliché Apollo 16, n°72H835, pris en avril 1972). Dans la nuit du 29 juillet 1953, l’éditorialiste scientifique du New York Herald Tribune, John O’Neill, observe une nouvelle fois la bordure de la mer des Crises avec son télescope de 10 cm et découvre avec stupeur une sorte de « pont » reliant deux promontoires sur le rebord entaillé d’un cratère. Il en estime la longueur à 20 km et prend aussitôt contact avec l’Association des observateurs de la Lune et des planètes pour savoir si d’autres astronomes ont vu la même chose, alors qu’aucune carte n’a jamais mentionné l’anomalie. La controverse se déclenche très vite, d’autant plus que O’Neill laisse entendre que cette structure est peut-être artificielle.

    Les débats sont encore alimentés par des observations de « motifs géométriques » lumineux au même endroit en 1869. Dans les mois qui suivent, O’Neill reçoit pourtant l’appui, partiel, de deux grands astronomes britanniques, H. P. Wilkins et Patrick Moore, qui reconnaissent l’existence du fameux « pont », mais sans y voir autre chose qu’une structure naturelle. De plus, Wilkins, qui utilise un télescope de 40 cm, réduit l’estimation de la taille de l’arche à 3 km, mais écrit qu’il la considère comme « une des particularités lunaires à apparence artificielle les plus étonnantes et les plus mystérieuses ». En avril 1954, à l’inverse, la revue Sky and Telescope publie des photos réalisées en janvier par l’observatoire Griffith de Los Angeles, et qui semblent démontrer que le fameux « pont » est une illusion d’optique née d’un jeu d’ombres et de lumière sur le rebord du cratère. Les astronomes prennent alors leurs distances avec l’affaire et seul Wilkins persiste dans ses déclarations. Par la suite, les relevés photographiques très précis opérés par les missions Apollo montrent qu’il s’agit bien d’un jeu d’ombres provoqué par un petit cratère, baptisé Proclus AA, coincé entre les deux promontoires que le « pont » était censé relier. L’« énigme » n’était qu’illusion.

    Une autre polémique ayant agité les milieux scientifiques durant plusieurs dizaines d’années se rapporte au cratère Linné, dans la mer de la Tranquillité. Dessiné pour la première fois en 1653 par Riccioli, le cratère n’est plus qu’une « tache blanche » lors de l’observation de Schröter (5 novembre 1788). Mais, lorsque Lohrmann braque son télescope le 28 mai 1823, il découvre « un cratère sombre, large de 7 à 8 km ». En 1839, dans leur Atlas de la Lune, Beer et Madler lui accordent un diamètre de 10 km. L’affaire en reste là jusqu’au 16 octobre 1866, date à laquelle Julius Schmidt s’aperçoit que Linné a purement et simplement disparu, observation confirmée par d’autres astronomes. Schmidt remarque ensuite à sa place un nuage blanc. Par la suite, le cratère reparaît pour disparaître à nouveau. Un flamboiement est même visible à l’intérieur de Linné au cours d’une éclipse. Les photographies rapportées en 1971 par Apollo 15 montrent, elles, un cratère d’environ 2,5 km de diamètre et de formation récente. D’après certains scientifiques, parmi lesquels l’Américain James Oberg, ces deux facteurs suffisent à expliquer que Linné puisse apparaître, suivant l’angle du Soleil, comme une tache blanche, un large cratère ou encore un dôme blanc. A cela il faut ajouter le manque de précision des instruments anciens, qui ont pu faire croire à un cratère plus grand que nature.

    Cependant, la surface lunaire présente encore de très nombreuses anomalies inexpliquées, y compris après les missions habitées et les envois d’engins robots, qui ont finalement suscité presque plus de questions qu’elles n’en ont résolu. D’étranges phénomènes lumineux y sont régulièrement observés (dans le cratère Aristarque et dans d’autres), des rayons brillants relient un certain nombre de cratères (tels ceux de Tycho et de Copernic) à d’autres, des distorsions optiques s’y produisent et la surface du satellite montre enfin des formes géologiques inexpliquées, lits de « rivières » lunaires, petits cratères à l’apparence étrange- ces derniers découverts par les missions Apollo. Cela sans parler des bizarres détails à l’apparence artificielle nés du jeu de la lumière sur le relief que certains ont interprétés comme étant des « constructions », tel le pont, ou même des « véhicules » (sic) extraterrestres, en se laissant emporter par une version moderne du vieux mythe de la Lune habitée…

    *

    MYSTERE AUTOUR DES VOLS LUNAIRES

     

    L’impact sur le public du premier vol d’une sonde lunaire, Lunik 2, le 12 septembre 1959, montre que l’aura d’étrangeté qui entoure la Lune s’est étendue aux vols spatiaux qui la concerne. Les missions soviétiques.  Les tensions de la guerre froide alimentent en Occident les rumeurs les plus folles autour des missions Lunik. Le soir du 12 septembre, au cours d’une intervention radiophonique, le vice-président américain Richard Nixon affirme « qu’il n’y a aucune preuve que la fusée soviétique ait bien atteint la Lune » (ce que « démontre » un ingénieur français un peu plus tard). Après quoi, un écrivain scientifique américain « prouve » que les photographies de la face cachée de Lunik 3 sont en fait… dessinées ! Lorsque la sonde Luna 15 gravite (il est vrai par un étrange « hasard ») en même temps qu’Apollo 11 autour de la Lune en juillet 1969, des illuminés affirment qu’il s’agit en réalité d’un vaisseau d’un cosmonaute soviétique espion.

    Apollo et les autresFierté, à juste titre, du programme spatial américain, le programme Apollo devient la proie d’innombrables commentateurs épris de sensationnel. Les ennuis techniques qui marquent les missions (ainsi que ceux de la sonde Surveyor 3 et d’autres) font dire que ces pannes ont été volontairement provoquées soit par des extraterrestres, soit par la NASA elle-même, afin de cacher la présence d’une vie intelligente sur la Lune. D’autres rumeurs ont trait à des photographies cachées par la NASA après Apollo 12 et qui montreraient des traces de véhicules étrangers sur le sol lunaire, ou la rencontre d’Apollo 11 avec une « armada » de vaisseaux extraterrestres. Mais la palme en la matière revient sans aucun doute à l’Américain Bill Kaysing, auteur en 1977 d’un livre proclamant qu’aucun des modules lunaires ne s’est jamais posé et que toutes les missions Apollo ne sont qu’une mystification orchestrée par la NASA et le gouvernement des Etats-Unis…

     

     


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    LA LUNE SERAIT HABITEE

     

     

    SENSATIONNELLE REVELATION D’UN SAVANT DE LA N.A.S.A.

     

     

    Les Américains s’ont pas les seuls à atteindre la Lune. Ni sans doute les premiers. D’autres qui réussirent le même exploit y séjournent peut-être en permanence, avec à leur actif des travaux, réalisations et programmes autrement importants que ceux des missions « Apollo ». Telle est la nouvelle qui bouleverse, aujourd’hui, Washington, Houston, et qui, sèmera bientôt ses doutes, ses appréhensions et ses déceptions sur le reste du globe.

     

    Celui qui lâche cette bombe est parvenu, jusqu’ici, à garder l’anonymat. Mais il s’est confié à un journaliste, Georges H. Leonard, qui le présente, sans plus de détails, comme « un savant de la Nasa ». Leonard a fait une livre à partir de ces troublantes confidences et révélations : un ouvrage que la société d’éditions « David Mckay Campagny » s’apprête à publier un deuxième livre. Le titre est « Somebody else is on the moon » (quelqu’un d’autre sur la Lune).

    Son dessein : prouver qu’il y a, en ce moment, sur la Lune, une activité de grande envergure qu’on ne saurait imputer aux divers appareils laissés par les astronautes US.

     

    L’origine de cette découverte semble résider dans les photographies prises par le satellite « ORBITER 2 » et par son homologue soviétique « LUNA 9.» Ces documents, donc j’ai parlé en leur temps, dans d’autres articles, font apparaître des sortes de monolithes, quelque chose comme le fameux (mais fictif) monolithe noir du film « 2001, l'Odyssée de l'espace de S. Kubrik ». D’autres satellites envoyés en 2004 par les Américains et européens confirment les photos anciennes. Ces « grosses pierres » paraissent d’origine artificielle. Malgré nos recherches, nous nous sommes aperçu, que la plus grande partie des photos révélatrice était restée dans les archives secrètes de la NASA.

     

    Du côté Européen, les photos semblent également très réduites. L’informateur discret de Georges H. Leonard vient de les en tirer. Dans quelle mesure seront-elles maintenant diffusées ? C’est le mystère. Mais il me semble bien que certain, représentent le cratère TYCHO, le cratère KING et la zone de la face cachée que les Soviétiques dans les années 70, ont baptisée BULLIALDUS LABINICKY ; montrent des « activités artificielles », des arrangements (sinon des équipements) qui ne sauraient être les produits de caprices quelconques de la nature. J’aimerai bien savoir, si les informations américaines tiennent, compte des documents russes et européens. Car, ces documents-là, sont de deux sortes ;

     

    1)      Des études sur des jets de gaz lumineux issus de la surface lunaires, en particulier dans le cratère ARISTARQUE ; Ces projections ont été analysé par Kozyrev, l’un des plus grands astronomes de Russie.

    Ce sont bien, des flammes et c’est la façon dont est lié l’élément carbone qui le prouve (1). Or, ces flammes ne correspondent, ni par les dates, ni par les lieux de leurs apparition, à l’une ou l’autre des missions américaines que nous avons connues.

     

    2)      Des études de lignes parallèles sur le sol du satellite, des sillons assez

    semblables à ceux que trace le passage d’un véhicule.

    Ces traces, les russes ont pu les photographier grâce à la caméra fixée sur leur automate lunaire « Lunokhod ». Mais pas de contestation possible : ces lignes n’étaient pas celles dessinées par Lunokhod elle-même au cours d’un trajet précédent. Elles ne viennent pas non plus de la « jeep lunaire » des Américains, laquelle avait mises en service dans un secteur diamétralement opposé. Voilà pour les témoignages. Ils nous ramènent forcément à la question : qui construit, qui fait du feu, qui roule sur notre « astre des nuits » ?

     

    On a songé, comme de juste, à des voyages effectués par des russes en toute  clandestinité. Les Américains, rappelle-t-on volontiers, ont obtenu un tel succès de propagande avec leurs expéditions Apollo que « l’autre camp » en a pris ombrage et que des contestataires russes comme Almarik ont vu, dans ce succès, une preuve de la décadence de l’U.R.S.S. Fort bien, a part que l’on oublie ce détail, il est absolument impossible à une entreprise de cette taille de rester cachée. Et puis pourquoi ce secret (s’il était possible de l’obtenir) si l’on souhaitait, justement, un effet de contre-propagande ? L'hypothèse ainsi formulée porte sa propre négation. Alors, a-t-on suggéré, des voyageurs lunaires en provenance d’une autre nation terrestre ? On ne peut qu’apporter la même réponse sur l’impossibilité actuelle de rester des clandestins. De plus, aucune nation n’a, pour l’heure, de technologie comparable à celle des « super grand ». A moins, bien sûr, que l’Orient des Mille et Une Nuits n’ait tissé en cachette un nouveau tapis volant.

     

    On a ensuite parlé de vie lunaire à cent pour cent, c'est-à-dire venue de nulle part mais apparue un beau jour, d’une manière quelconque et plus ou moins spontanée, sur le sol et notre satellite. Impossible cette fois encore : une telle vie (forcément issue des cavernes) aurait laissé des traces sur les roches. Or, ces roches de la Lune ont été analysées selon des méthodes si délicates et d’une telle précision que la plus infime de ces traces eût été décelée. Tout le monde savant est maintenant d’accord sur cette affirmation catégorique et définitive : une vie née sur la Lune ou dans la Lune est absolument impossible. Il ne nous reste, au bout du compte, qu’une seule explication acceptable : celle d’une Lune visitée par des extraterrestres.

     

    C’est d’ailleurs tout le sujet du fameux dossier américain : c’est l’origine des émotions et des frayeurs qu’il provoque. Si les preuves viennent à s’accumuler il faudra bien se résigner à admettre ce que tant de gens, encore, s’obstinent à qualifier d’aberrant. D’autant que rien, absolument rien n’a jamais démontré que le système solaire ne recélait aucune autre vie que la vie terrestre. Vénus et Mars ont été bien des fois désignés comme le siège possible de vies différentes de la nôtre. En dehors d’eux… il y a tout le cosmos. D’où qu’ils viennent, ces  E.T. peuvent avoir d’excellentes raisons de s’installer sur la Lune, il y a là un observatoire parfait pour étudier, en particulier, notre planète. Il y a surtout un terrain idéal pour l’installation d’équipements de radioastronomie, loin des activités et fracas (qui leur sont toujours préjudiciables) d’une population, une civilisation et de leurs propres techniques.

     

    Les « visiteurs », en tout cas, paraissent extrêmement actifs, en ce moment, même, sur notre satellite.

     

    Sommes-nous à la veille de les déceler ? Pouvons-nous espérer nouer les premiers contacts avec eux sur cette manière de patrie neutre, de lieu de rencontre susceptible de devenir un terrain d’entente.

     

    Ce serait, assurément, l’événement le plus important de l’histoire connue du monde. Certains disent que la Lune est un astre artificiel et creux ! Cela est possible, les appareils enregistreurs ont répercutés des résonances de vingt minutes. En 1992, le journal « THE SUN » a révélé une histoire incroyable. Elle pourrait faire partie des grandes énigmes liées à l’ufologie mais faute de preuves, elle reste pour le moment dans les histoires insolites.

     

    Le 25 février 92, l’astronome américain David Bazea observe la Lune à l’aide du grand télescope de 8 mètres de l’observatoire des Andes. Là, il découvre, selon ses dires, (photos) une chose totalement incroyable.

     

    En effet, LE MATERIEL LAISSE PAR LES MISSIONS APOLLO A DISPARU !<o:p></o:p>

     

    Il ne reste plus rien, les appareils de mesure, les jeeps lunaires et même le drapeau américain planté par Armstrong ! Or, toujours selon Bazea, les nuits précédentes, il avait remarqué la présence de lumières autour de la Lune. Il alerte la NASA qui lui ordonne le silence et ne laisse transpirer aucune information sur ce rocambolesque cambriolage. Sans les confidences de Bazea au « SUN », personne n’aurait jamais entendu parler de cette histoire. Depuis, d’autres astronomes, avec des instruments de 10 mètres de diamètres, ont pu confirmer ces disparitions, mais interdiction de parler, sans avoir des problémes graves pour eux est leurs familles. On ne le saura jamais, pas plus qu’on ne saura si effectivement un vol a eu lieu sur la Lune.

     

     

    DES INTERPRETATIONS TRES DIVERSES

     

    Qui oserait nier en bloc, après cela le sérieux des interprétations de vues aériennes ou spatiales. Pour notre sujet présent, celui d’une éventuelle « présence » sur la Lune, je forme d’ailleurs le souhait de voir le plus grand nombre possible de personnes se pencher sur les énigmatiques images. Car il y aurait, de toute évidence, un grand intérêt à confronter les diverses interprétations. Et qui sait s’il ne se découvrirait pas, dans le lot, quelques observateurs surdoués, de véritables visionnaires de ces ombres et lumières.

     

    Rien de plus facile que d’essayer, si le cœur vous en dit.

    Car il n’y a pas que le livre de Georges H. Leonard à consulter.

    N’importe qui peut se procurer des très bons tirages des photos de la NASA à l’adresse suivante :

     

    Space Photo-graphs, Post Office Box 486, Bladensburg.<o:p></o:p>

    Maryland  20710.  ETATS-UNIS<o:p></o:p>

    *

    (1)     Une flamme peut parfaitement exister dans le vide à condition qu’on la nourrisse en oxygène. C’est le principe de la propulsion des fusées.

     

    Source : extrait et recherches personnelles, et contact avec des révélations de Lucien BARNIER.

     

     

    La taverne de l'étrange- 6 octobre 2008

     

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