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    L'étrange créature de Saint-Joseph-de-Coleraine (Québec)
     
    En août et septembre 1968, un groupe de 6 jeunes garçons de la municipalité de St-Joseph-de-Coleraine, au Québec, ont fait une rencontre pour le moins étrange. En effet, en se rendant au cimetière pour s’amuser comme ils avaient l’habitude de le faire, ils ont aperçu sur un grand rocher, un personnage étrange qui semblait les observer. L’être décrit par les enfants est de petite taille et sa peau est semblable à celle d’un reptile, il possède des yeux proéminents et une longue barbe. Cette créature avait également la propriété de pouvoir apparaître et disparaître. Les gamins ont été témoins de ces apparitions pendant quatre jours, toujours entre 15 h 30 et 16 h.
     
     
    Cette rencontre que l’on pourrait qualifier de rencontre du troisième type a fait l’objet de nombreux reportages. C’est vers 19 h, le 1er septembre, que cette histoire connaît finalement son dénouement, alors que les jeunes aperçoivent une soucoupe volante planer au-dessus du rocher du cimetière, la créature leur apparaît alors à nouveau avant de redisparaître, alors que la soucoupe s’en va vers d’autres cieux. Les enfants ont été appelés à raconter leurs témoignages à maintes reprises, leurs versions de l’événement demeurant inchangées et encore aujourd’hui, une quarantaine d’années plus tard, ils maintiennent la même version des faits.
     


    Le Monstre de Coleraine par lamesdef

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    LE GRAND SERPENT DE MER

    1897, un navire tire sur deux animaux marins géants

     

     

    En juillet 1897, la canonnière française Avalanche patrouillant dans le nord de la baie d’Along, au Tonkin, essaie de tuer deux « serpents de mer ». C’est la première fois qu’un bâtiment de guerre tire au canon contre une de ces créatures qui comptent parmi les plus fameuses énigmes de la zoologie.

     

    L’Avalanche n’est pas le premier navire à trouver de tels animaux dans la baie d’Along, mais c’est le seul qui effectue trois rencontres en huit mois, et son expérience constitue un des plus importants témoignages en faveur de l’existence du Grand Serpent de mer. Révélés dans le numéro du 5 mars 1898 du Courrier d’Haïphong, les démêlés du lieutenant de vaisseau Lagrésille et de son équipage avec les monstres marins commencent en juillet 1897 au cours d’une patrouille au large de la baie d’Along. Si l’on en croit la déposition de l’officier, deux animaux longs d’une vingtaine de mètres et d’un diamètre de deux à trois mètres apparaissent subitement à la surface des eaux. Contrairement à des serpents, ils se déplacent en ondulant verticalement. Immédiatement, Lagrésille fait armer un des canons-revolvers du bord et ordonne un tir à 600 mètres. Le coup est légèrement trop court et les deux animaux effrayés plongent « en soufflant bruyamment et en laissant à la surface un remous analogue à celui des brisants ». Les témoins ont le temps de noter la petite dimension de leur tête.

    Relativement fugitive, cette première observation ressemble à la plupart de celles faites antérieurement sur toutes les mers du monde. La deuxième se révèle beaucoup plus mouvementée. Le 15 février 1898, alors que l’Avalanche traverse la baie de Fai-Tsi-Loung, au nord de la baie d’Along, deux bêtes semblables à celles de la première rencontre se profilent sur la mer. Cette fois, Lagrésille n’hésite pas et fait mettre le cap sur elles. A 300 ou 400 mètres de la cible, les canons-revolvers tonnent et au moins deux coups au but sont enregistrés sur l’un des animaux ; apparemment, aucun ne le blesse. L’une des bêtes disparaît cependant dans les profondeurs et l’Avalanche tente d’éperonner l’autre, mais l’animal est trop rapide. La canonnière le poursuit ensuite parmi les îlots de Fai-Tsi-Loung. La chasse, vaine, dure une heure et demie, pendant laquelle les marins français observent à loisir l’animal. Sa taille avoisine la trentaine de mètres, sa peau est grise et lisse, ses nageoires sont noires et chacune de ses émersions est précédée d’un jet de vaporisation d’eau issu de la violence de sa respiration. Quand il plonge, on peut suivre sa trace grâce aux remous de 4 à 5 mètres de diamètre que provoquent ses ondulations verticales. Sa tête ressemble à celle d’un phoque, mais elle est deux fois plus grosse, et des formes en dents de scie suivent la ligne de son dos.

    Le 26 février 1898, Lagrésille invite à son bord le commandant Joannet ainsi que neuf officiers du cuirassé Bayard, lesquels se sont moqué de lui à propos de cette histoire, la veille, lors d’une réception. Au cours du repas de midi, alors que la canonnière se trouve à nouveau dans la baie de Fai-Tsi-Loung, un marin vient leur annoncer que deux « serpents de mer » sont en vue. L’Avalanche donne la chasse à l’une des bêtes durant 35 mn et Lagrésille et ses invités l’aperçoivent distinctement à environ 200 mètres. Deux des officiers possèdent un appareil photographique : le temps de l’armer, l’animal est déjà trop éloigné pour qu’ils puissent espérer en prendre un cliché net. De retour à bord du Bayard, le commandant Joannet met au courant l’amiral de La Bédollière, qui fait télégraphier au gouverneur général Paul Doumer, futur président de la République, pour l’informer de l’observation et de son intention d’organiser une « battue » avec canonnières et canots à vapeur pour essayer de capturer l’un des animaux. Mais des incidents frontaliers avec la Chine l’empêchent de mettre son projet à exécution : les serpents de mer, une fois de plus, emportent leur secret au fond de l’eau…

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    DES MONSTRES A PROFUSION

     

    Depuis l’Antiquité, les marins n’ont cessé de se retrouver face au « serpent de mer ». Mais la plupart des relations survenues jusqu’au XVIe siècle manquent de précision. Certaines des rencontres récentes sont quelquefois extraordinaires.

    En 1876, le vapeur britannique Nestor aperçoit dans le détroit de Malacca un monstre à la longueur stupéfiante d’environ 65 mètres dont la queue cylindrique ferait 45 mètres à elle seule… De tels chiffres laissent à penser que l’équipage a, en fait vu un adulte et ses petits nageant l’un derrière l’autre.

    Le 30 juillet 1915, le sous-marin allemand U-28 coule le vapeur britannique Iberia. Le bateau explose entre 100 et 200 mètres de profondeur et, avec les débris projetés en l’air, une sorte de gigantesque crocodile marin d’une vingtaine de mètres de long est éjecté et retombe en se débattant dans l’eau.

    Le 30 décembre 1947, le paquebot américain Santa Clara heurte, au large de la Caroline du Nord, un animal en forme d’anguille d’une quinzaine de mètres de long, qui coule après s’être débattu un moment dans une large flaque de sang. Vingt-deux ans plus tôt, au large de l’Australie, c’est le cargo français Saint-François-Xavier qui a tué avec son hélice une énorme bête à anneaux avec un aileron sur le dos.

    En octobre 1969, le sous-marin de poche Alvin se retrouve face à face, au large des Bermudes et par 270 mètres de profondeur, avec un grand animal à tête de reptile, à long cou et avec des nageoires. La bête disparaît avant d’avoir pu être filmée.

    Le 10 avril 1977, le chalutier japonais Zuiyo Maru remonte une dépouille monstrueuse de plus de 10 mètres, non loin de la Nouvelle-Zélande. Elle dégage une telle odeur que le commandant la fait rejeter à la mer. Les photographies montrent un animal à long cou et à longue queue ressemblant à un plésiosaure. Elles font la une au Japon et la bête inspire même, par la suite, un personnage de bande dessinée…

     

    Source- Données personnelles/Mars 2010

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    LE MONSTRE DU LOCH-NESS A-T-IL EMIGRE A BORNEO ?

    Des clichés de ce qui ressemble à un serpent géant nageant dans une rivière de Bornéo alimentent actuellement toutes les discussions des habitants de l’île.

    D’après une légende de Bornéo, le Nabau, un serpent terrifiant de 30 mètres, avec une tête de dragon et sept narines hanterait les rivières de l’île. Personne n’en avait entendu parler depuis quelques années, mais aujourd’hui, des villageois habitant prêt du fleuve Baleh pensent que cette créature mythologique est revenue. Des photos montrant cet énorme serpent sont apparues dernièrement sur internet.

    Les images ont été prises depuis un hélicoptère par le membre d’une équipe chargée de surveiller les courants de la région, alors qu’il se trouvait en vol stationnaire au-dessus de la rivière Baleh.

    Mais les clichés ont soulevé de nombreux débats pour savoir si elles étaient réelles ou trafiquées avec un logiciel de retouche photo. Même le respectueux quotidien New Straits Times de Kuala Lumpur ne se prononce pas sur la véracité des photos, mais préfère laisser le libre choix à ses lecteurs.

    Pour de nombreuses personnes, la rivière visible sur les clichés ne serait pas Baleh. D’après ces dernières, le fleuve est de couleur verte sur les photos, alors qu’elle serait brune en réalité. Mais cette réponse ne convient pas à certains villageois. Ces derniers affirment que d’autres images de la créature auraient été prises à différents endroits du fleuve, ce qui prouverait que l’animal y réside.

     

    Photo rajoutée le 23 avril 2016

    Un serpent géant à Bornéo !

     

    source : newsoftomorrow.org

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    Un ptérodactyle vivant retrouvé en 1856 !

                            

     Un véritable monstre. Une découverte d’une grande importance scientifique vient d’être faite à Culmont en 1856 (Haute-Marne).

     

    Des ouvriers occupés à creuser un tunnel qui doit permettre la liaison des voies ferrées de Saint-Dizier et de Nancy venaient de faire sauter un énorme bloc de pierre et étaient en train de le briser en morceaux lorsque, d’une cavité qui s’y trouvait, ils virent soudain sortir un être vivant d’une forme monstrueuse. Cette créature, qui appartient à une classe d’animaux jusqu’ici considérés comme disparus. Elle possède un très long cou et une gueule garnie de dents pointues; elle se tient sur quatre longues pattes qui sont réunis par deux membranes, sans doutes destinées à porter l’animal dans l’air, et sont terminées par quatre doigts armés de longues griffes crochues. Sa forme générale ressemble à celle d’une chauve-souris, et n’en diffère que par sa taille, qui est celle d’une grosse oie. Ses ailes membraneuses, étalées, atteignent une envergure de 3,20 m.

     

    Un ptérodactyle vivant retrouvé en 1856 !

    Pterodactyle tué lors de la guerre de sécession

     

     

    Sa couleur est d’un noir plombé, sa peau est nue, épaisse et huileuse ; ses intestin ne contenaient qu’un liquide incolore comme de l’eau claire. En arrivant à la lumière, ce monstre donna quelques signes de vie en remuant ses ailes, mais il expira bientôt après, en poussant un cri rauque. Cette étrange créature, à laquelle peut être donné le nom de fossile vivant, a été amenée à Gray, où un naturaliste très versé dans l’étude de la paléontologie l’a immédiatement reconnu comme appartenant au genre PTERODACTYLUS ANAS dont beaucoup de reste fossiles ont été retrouvés dans les couches que les géologues désignent sous le nom de Lias. La roche dans laquelle ce monstre fut découvert appartient précisément à cette formation dont le dépôt est si ancien que les géologues le font remonter à plus d’un million d’années.

     

    La cavité dans laquelle l’animal était logé forme un moule exact de son corps, ce qui indique qu’il fut complètement enveloppé par le dépôt sédimentaire (Presse grayloise)

     

    Ref : Extrait de The  Illustrated London News du 9 février 1856, p. 166

      

    Un ptérodactyle vivant retrouvé en 1856 !

     

    la taverne de l'étrange- 26 décembre 2007

     

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  • Une créature étrange retrouvée...

    Cette créature a été trouvée par des soldats russes sur le rivage près Sakhaline. La région de Sakhaline se trouve à environ 5000 miles à l'est de Moscou. Selon les experts, d'après les os et les dents que l'on distingue, ce n'est pas un poisson et d'après son squelette, ce n'est ni un crocodile ni  un alligator. Il a une peau avec ce qui ressemble à des cheveux ou de la fourrure. La créature aurait été emmenée par des services spéciaux russes pour des études appronfondies...D'après les premiers commentaires sur le forum, cette découverte étrange se situe aux alentours du 28 août 2006. Vous pouvez toujours traduire la page ci-dessous sur http://www.google.fr  puis outils linguistiques ;o)

    Ici les infos et plein de photos de la créature !

     


     

    Info de décembre 2014 vu sur le site Planet.fr :

    Lorsque des marins russes découvrent en 2006 ce squelette sur les rivages de l’île de Sakhaline, dans l’extrême est sibérien, ils s’imaginent qu’ils ont affaire à un ancien "monstre" des mers. Mesurant près de sept mètres de long et possédant des poils et des dents pointues, la carcasse de l’animal avait laissé perplexe plus d’un spécialiste, relate le journal britannique Daily Mail (article en Anglais).
    L’armée russe avait emmené les restes du mystérieux animal pour pouvoir les étudier de plus prêt. Les premiers tests ont été peu concluants, suggérant qu’il ne s’agissait ni d’un poisson, ni d’un requin, ni d’un alligator mais peut-être bien d’un animal marin préhistorique comme le plésiosaure. En réalité, il n’en est rien. Des experts marins à qui on a montré les photos, des os notamment, ont pu facilement désigner la carcasse comme étant celle d'un béluga, aussi appelée "baleine blanche". Un béluga mesure en moyenne six mètres et peu peser jusqu’à deux tonnes, précise le Daily Mail. Selon ces experts, l’animal retrouvé sur l’île de Sakhaline aurait été un peu plus imposant de son vivant.
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