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    LES MYSTERIEUX RONDS LUMINEUX DANS LES  MERS


     

     

    Un des rares mystères vieux de plus de 150 ans que la science « subit » sans pouvoir le résoudre. Tel est le cas des « Roues de lumière » sous la mer. Avez-vous eu l’occasion de naviguer au large par une nuit sans lune ? L’expérience est véritablement impressionnante, coincé que vous semblez être, entre noirceur du ciel et les ténèbres insondables des flots. Mais imaginez que, soudain, l’élément marin s’illumine par-dessous et vous offre un spectacle grandiose d’une fête foraine se déroulant au cœur de l’élément aqueux, avec sa féerie de lumières. Pas étonnant que les témoins privilégiés du phénomène en gardant un souvenir indélébile.



    Comme, par exemple, le commandant J.R. Bolder, pendant la dernière guerre ; « Mon bateau venait de franchir le détroit d’Ormuz, raconte-il, à destination de l’Inde. Le second maître m’a appelé sur la passerelle, disant qu’il avait observé quelque chose… A environ quatre quarts sur bâbord avant, il y avait une bande lumineuse qui semblait palpiter, l’examen à la jumelle a montré qu’elle se trouvait dans l’eau et se rapprochait du bateau. A une distance d’un mille environ, ce phénomène est apparu de forme à peu près circulaire, d’un diamètre de 350 à <st1:metricconverter productid="450 m" w:st="on">450 m</st1:metricconverter>, animé par un mouvement rotatif autour du centre, des rayons lumineux en partant et tournant comme ceux d’une roue gigantesque. » Deux autres manifestations similaires furent observées peu après par tous les membres de l’équipage. En fait, depuis plus de 150 ans, les marins (commandants, capitaines, maîtres de navire ou leurs officiers) ont  signalé d’immenses déploiements de ce qu’ils appellent bien naturellement des « lumières » sous surface de certaines mers.


    C’est en ces termes qu’en parle le regretté Ivan T. Sanderson, biologiste américain éminent et fortéen impénitent. Il en avait recensé une centaine de cas entre 1875 et 1964 et, ainsi, avait pu en dégager quelques constantes. Leur lieu de prédilection tout d’abord ; l’Océan Indien, ce qui n’était pas sans poser problème car, bien entendu, il était enclin à y voir un effet de luminescence biologique dû aux noctiluques marins, ces protozoaires qui donnent parfois, la nuit, une opalescence caractéristique à l’eau de mer. Depuis 1970, pas moins de 3 genres d’espèces de crustacés de la famille des Vargula ont été trouvées. Ils produisent de la lumière « froide » pour diverses raisons comportementales, en fabriquant une molécule dite « luciférine » qui, au contact de l’oxygène, émet un rayonnement lumineux. Plus récemment, un sous-marin de poche américain a apporté la preuve que certaines crevettes ou certains minéraux pourraient bien répercuter la lumière qui vient des sources chaudes (350°C) pour éclairer les abysses sous-marins jusqu’à -2500 mètres, eux qu’on croyait totalement obscurs.

     

    Les objections avancées par Sanderson contre la culpabilité des noctiluques valent toujours, hélas. Il faudrait en supposer des milliards synchronisant leur clignotement avec une précision qui dépasse l’entendement. Sanderson a cherché ce qui pourrait induire cet allumage simultané et collectif : une onde électromagnétique ? Mais aucune ne se propage de façon courbe. A moins que sa source soit elle-même en mouvement ! Les roues lumineuses subaquatiques ne seraient, ni plus ou moins, que des O.V.N.I aquatiques, des oanis (objets aquatiques non identifiés). Et qui, parfois, se risque à prendre l’air comme en 1910, quand une roue horizontale lumineuse tournant rapidement au-dessus de l’eau, impressionna profondément l’équipage du vaisseau hollandais Valentin, à minuit, ainsi que le rapporte ce diable de Charles Fort, auquel rien d’extraordinaire ne semble avoir échappé.

     

    DEUX ROUES LUMINEUSES GEANTES 

     

     

    Deux roues géantes furent observées par l’équipage du Vulture, le 15 mai 1879. Elles avaient une quarantaine de mètres de diamètres et tournoyèrent sur la surface de la mer avant de s’enfoncer lentement dans les eaux du golfe Persique. En mai de l’année suivante, le Patna, steamer d’une compagnie britannique des Indes orientales, assista à l’évolution de roues semblables dans la même partie de l’Océan. C’est alors qu’un éclair phosphorescent sous la mer entoura ces objets. Plusieurs années plus tard, d’autres rapports identiques épaissirent le mystère. Le 10 avril 1901, le Kilwa croisa une énorme roue tournoyante à 20 h 30. En 1906, un steamer britannique traversant le golfe d’Oman aperçut une roue géante, et en 1909, un capitaine danois fit une observation similaire dans la mer de Chine. Selon ce capitaine, la roue qui évoluait sur son moyeu au ras des flots était illuminée. Selon certains, ces roues tournoyantes semi aquatiques auraient une origine océanique ou seraient des vaisseaux de l’espace submersibles.


    Source- (Jacques Vallée, Les Phénomènes insolites de l’espace, épuisé : Harold T. Wilkins, Flyng Saucers  ont the Attack, p. 221.)

     

     

     

    la taverne de l'étrange- 13 janvier 2008

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    LA MER ET SES MYSTERES

     

    DE NOMBREUX BATEAUX ONT DISPARU EN MER DANS DES CONDITIONS EXTREMEMENT ENIGMATIQUES ET DES DIZAINES D’AVIONS SE SONT SOUDAINEMENT VOLATILISES EN SURVOLANT LES IMMENSITEES BLEUES. SI LA MER EST MYSTERIEUSE EN SURFACE, QUE DIRE ALORS DE SES ABYSSES. PROFONDEURS OU S’EVANOUISSENT NOS ENGINS SOUS-MARINS LES PLUS PERFECTIONNES ET QUI LES VOIENT SE PERDRE DANS LE SILENCE ANGOISSANT ET ETERNEL.

     

     

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    Le 10 Avril 1963, le sous-marin nucléaire américain « The Thresher » s’évanouit en plein océan Atlantique. Il y avait 129 hommes à bord et jamais les causes de la disparition de cet énorme appareil ne furent déterminées, ni d’ailleurs les preuves formelles de sa destruction.

     

    Alors, que s’est-il passé ? Qu’est devenu le THRESHER ?

     

    De tels faits, soulevant les mêmes questions, se produisent de temps en temps et on est en droit de se demander ce que cache réellement dans ces océans dans lesquels nous ne sommes jamais en sécurité. Ainsi, en 1968, sans émettre le moindre appel de détresse, deux sous-marins se volatilisèrent le même jour dans la Méditerranée. Il s’agissait du sous-marin israélien « Davar » contenant 69 hommes d’équipage  et du sous-marin français « Minerve » équipé de 52 hommes. Cela se passait le 25 janvier, et si rien ne fut divulgué au sujet du DAVAR, le déroulement de l’affaire « Minerve » fut, en revanche connu. Les recherches furent donc immédiatement entreprises et à l’aide d’un sonar on détecta une masse métallique  immergée dans un endroit assez éloigné de la route qu’était supposé suivre le MINERVE

     

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    On ne retrouva rien qu’un fond vallonné et sablonneux.

     

     

    Peu de temps après, un second écho fut détecté de manière précise au sud du cap Cépet. Il s’agissait d’une masse métallique situé à 134 m de profondeur et dont les dimensions étaient approximativement de 8 mètres de large sur 60 mètres de long.

     

    Ce corps métallique était bien sur la route du « Minerve » et pouvait faire penser à un sous-marin. Seulement lorsque les recherches commencèrent sur les lieux, notamment avec la soucoupe-plongeante du Commandant Cousteau, on découvrit que la carcasse qu’un vieux cargo. L’affaire n’était pas terminée, puisqu’un troisième écho était capté par sonar et localisé à peu de distance du premier. Là encore, on ne trouva rien… La moitié des effectifs de la marine nationale en Méditerranée poursuivit les recherches durant cinq jours… en vain… Le sous-marin s’était bel et bien volatilisé sans qu’on puisse donner la moindre explication. Pourquoi n’a-t-on pas tenté de percé l’origine de ces échos perçus par le sonar et qui semblaient se déplacer ?

     

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    C’est la question que poser Patrice Gaston dans son livre Disparition mystérieuse chez Robert Laffont 1973. Tout comme le « Thresher », un autre sous-marin atomique américain disparut dans l’Atlantique le 21 mai 1968. La veille, alors qu’il se trouvait à 250 milles à l’ouest des Açores, il avait adressé son dernier message de routine à la base. Ce sous-marin s’appelait le « Scorpion » et contenait 89 hommes. Il fut officiellement déclaré perdu par l’amiral Thomas Moorer, chef des opérations navales. Pourtant quadrillant les lieux de la disparition, 8 sous-marins, 5 destroyers, de nombreux avions et 4 navires spécialisés dans les opérations de secours aux submersibles avaient participé aux recherches. Seule une tache d’huile fut repérée, mais comme il y en a de plus en plus à la surface des mers, personne n’y aurait prêté attention si près d’elle, on n’avait pas observé un mystérieux objet de couleur orange qui disparut très vite et resta introuvable malgré les recherches.

     

     

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    Un autre sous-marin français s’évanouit purement et simplement au large de Saint-Tropez avec 50 hommes à bord, le 4 mars 1970. Il s’appelait l'EURYDICE. Le cas de ce sous-marin ne fut pas sans rappeler celui du MINERVE avec lequel il eut d’étranges similitudes. Il ne lança aucun appel et disparut dans la mer comme une simple goutte d’eau, alors que c’était une merveille de la technique conçue pour lutter contre les sous-marins à propulsion nucléaire. Le sous-marin atomique « Résolution », (dessous) de la royal Navy connut, lui, une alerte en pleine navigation, alors qu’il se dirigeait vers la Caroline du Sud.

     

     

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    Les détecteurs captèrent des mouvements sous-marins étranges.

     

     

    Ainsi, au travers des disparitions ou des difficultés que rencontrent certains sous-marins, on s’aperçoit que souvent on se heurte à des évolutions énigmatiques de ce qui semble être des objets bien réels et qui finissent toujours par glisser entre les mailles des dispositifs de rechercher. Quels étaient ces échos d’objets métalliques lors de la disparition du « Minerve » ? Quel était cet objet orange qui hantait les lieux de la tragédie du « Scorpion » ?

     

    Les experts ont déclarés qu’ils soupçonnaient la présence de submersibles inconnus dans les différentes mers du globe. On ne peut que les suivre dans leurs hypothèses lorsqu’on apprend qu’en février 1960 un engin extrêmement rapide traversa la mer des Caraïbes, puisqu’un semblable objet fut détecté dans la Méditerranée. De telles choses ne sont pas des exceptions et en Mars de cette année 1960, c’est un objet métallique articulé qui fut repéré au large de Seattle. Puis un objet sous-marin inconnu fut localisé près de Sydney.

     

    Il reposait par 10 mètres de fond. Deux mois plus tard, au large de la Floride, un submersible non identifié nargua plusieurs navires de guerre américains qui essayèrent, en vain, de le déloger. Toujours en 1960, la presse parla beaucoup d’une collision qui eut lieu en juillet dans le port de New-York. Le pétrolier « Aikaid » avait heurté un objet à moitié immergé dont ne retrouva aucune trace… On signala ces mystérieux engins dans le Pacifique nord, près des côtes de l’océan Atlantique, dans l’océan glacial Artique, près des Philippines, au large des îles Hawaii, de Bahia Blanca et de la Terre de Feu.

     

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    Et il y a de fortes chances pour que l’objet repéré dans les eaux d’un fjord norvégien en 1972 soit de la même famille. Il demeura une quinzaine de jours dans un bras de Sogne-Fjord norvégien pour finir par disparaître comme il était venu. En 1973, le Capitaine Dan Delmonico observa des objets non identifiables sous la surface des eaux, très lisses et fuselés, un peu comme de gros cigares aux extrémités arrondies. L’un d’eux, d’une taille de 50 à 60 mètres, passa  sous la quille du bateau à une vitesse d’environ de soixante-dix nœuds.

     

    Il faut se rendre à l’évidence, d’étranges objets hantent nos océans. Leur existence est, bien sûr connue des services secrets des grandes puissances et des dossiers importants rassemblent les rapports, les enquêtes et les observations faites sur ces « choses » dont l’origine ne peut-être clairement définie. Depuis 2004 les savants américains ont installé près des Bahamas tout un appareillage de télévision sous-marin et d’hydrophones destinés à déceler les bruits sous la mer. Au large des Açores, un laboratoire de recherches acoustiques ultra secret fonctionne  depuis 2002, il appartient à l’ordre Mondial et tout passe par eux. Dessous le Dmitriy Donskoï.

     

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    Cet ordre sous couverture militaire des Etats-Unis est de tenir secret toute disparition de navire en mer, pour éviter toute panique, voilà pourquoi nous n’avons plus d’informations dans les disparitions actuellement. Enfin, des installations de recherches ont été installées, ces dernières années, plus spécialement le long du « triangle des Bermudes ». Pour l’instant nous restons impuissants devant ces disparitions de navires les mieux équipés, qu’ils soient sous-marins ou non. Un jour, il est certain que l’on expliquera tout cela officiellement, espérons qu’alors, tout ne sera pas plus angoissant encore….

     

     

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    29 Octobre 2007

     

     


     

    http://www.dissident-media.org/infonucleaire/thresher.html

    http://s.m.minerve.free.fr/agonie.html

    http://www.chez.com/sousmarin/accid.htm

    http://akula.free.fr/Htm/Tragedie_Scorpion.htm

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  • tevenec1

     

    Le phare de Tévennec a été construit, en pleine mer, sur le modèle d'une maison-phare, à quelques encablures du phare de la Vieille, entre l'île de Sein et la pointe du Van. Les travaux s'étalèrent sur 5 ans, de 1869 à 1874. En septembre 1874,  Henry Porsmoguer, est le premier nommé pour le poste de gardien. Natif de l'Île de Sein, il a participé aux travaux de construction des phares Ar-Men et Tévennec. Le feu est allumé le 15 mars 1875 et Henry Porsmoguer doit se charger seul de son entretien. Il ne peut rentrer auprès de sa famille qu'après de longs mois passés sur l'îlot de Tévennec.  et il présente sa démission en août 1875.

    Hervé-Marie Guilcher, un autre sénan,  le remplace mais n'y reste que 4 mois, tant les conditions de vie solitaire sont difficiles. En décembre 1875, le troisième gardien, Jean-Marie Rohou né à Plogoff prend son service. Lui aussi, démissionne dès avril 1876. L'administration accepte de prendre en considération l'immense solitude dans laquelle doivent vivre les gardiens. Un deuxième poste de gardien pour le fanal de Tévennec est enfin créé, le 11 juillet 1876. Guillaume Guézennec, né à Cleden-Cap-Sizun, est nommé  à ce poste, le 1er août 1876.

    Cependant, les gardiens successifs demandent régulièrement leur nomination à d'autres postes car la vie à Tévennec ne les satisfait pas, tant elle y est difficile. En 1898, pour résoudre le problème créé par tant de démissions, l'administration propose que les épouses des gardiens vivent à Tévennec.  Monsieur et madame Milliner furent les premiers à s'y installer en couple, en janvier 1898. Ils furent suivis par le couple Quéméré en 1900, le couple Quéré en 1905 et le couple Ropart en 1907. En février 1910, un feu automatique fut installé par le Service des Phares. Une réserve de gaz permettait une autonomie de 6 mois, libérant les gardiens de cette servitude. Ainsi, depuis cette date, aucun gardien n'a été nommé à ce poste tant redouté.

    Compte tenu des particularités du site sur lequel il est érigé, le phare de Tévennec est assez inclassable. Ce n'est pas vraiment un phare de haute mer - un "Enfer", selon la classification inventée par les gardiens - puisqu'il n'est pas directement entouré d'eau. Et c'est à peine un "Purgatoire", c'est-à-dire l'un de ces phares installés sur une île. Le rocher sur lequel est érigé la maison-phare peut en effet difficilement prétendre à ce titre. Bien que son sommet s'élève à 14 mètres au-dessus du niveau de l'eau, il est fréquemment balayé par les embruns et il reste très délicat d'y aborder, voire impossible, dès que la mer est formée.

    Peut-être conviendrait-il, pour faire une place à Tévennec dans la typologie traditionnelle des phares, d'y ajouter la catégorie des phares "limbes"... L'appellation conviendrait d'autant mieux ici que ce phare jouit d'une très sinistre réputation auprès des marins et des habitants du Cap Sizun. On raconte à son propos toutes sortes d'histoires : des gardiens qui deviennent fous en quelques mois, d'autres qui meurent brutalement, dont l'un dans les bras de son épouse, qui l'aurait alors mis au saloir pour conserver son corps jusqu'à la relève suivante... Des cris lugubres, prêtés aux âmes des nombreux naufragés ayant trouvé la mort sur l'îlot, se feraient entendre de temps à autre, entre les rochers. La croix de fer plantée au pied du phare, et qui a remplacé une première croix en pierre, aurait été installée là pour rassurer tout le monde.

    En vain. Jean-Christophe Fichou a montré récemment que la plupart des récits dramatiques concernant les gardiens de ce lieu étaient très largement imaginaires. Il reste que l'erreur initiale de l'administration des Ponts et Chaussées est sans doute de ne pas avoir considéré Tévennec comme un phare de pleine mer. Classé en tant que fanal de quatrième catégorie, un seul gardien y a été affecté à l'origine, avec pour mission d'assurer son service à l'année longue, comme ses confrères installés dans les maisons-phares du littoral (les "Paradis"). Or, la vie sur le rocher de Tévennec est probablement aussi difficile que dans bien des phares en mer. Par ailleurs, des plongeurs ont découvert récemment une grotte sous-marine traversant l'îlot de part en part. Lorsque des vagues s'y engouffrent, l'air s'en échappe par des failles dans la roche, ce qui produit des hululements tout à fait sinistres. Telle est peut être l'origine de ces cris mystérieux que d'aucuns assurent avoir entendu dans les parages de Tévennec. Une chose est certaine : installer à cet endroit à longueur d'année un homme seul, sans lui garantir de périodes de relève régulières, avait toutes les chances de créer des problèmes.

    Tévennec2


    http://phares.capsizun.com/phare_de_tevennec.htm
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_T%C3%A9vennec
    http://perso.orange.fr/phares-de-france/phare/tevennec.html


     

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    ETATS-UNIS- GIGANTESQUE TRESOR AU FOND DE L'ATLANTIQUE !

    Plus  de 500.000 pièces d'argent, des centaines de pièces d'or et de l'or travaillé ont été retrouvés par la société Odyssey Marine Exploration dans un navire de la période " coloniale ", remontant au moins au XVIIIe siècle, sur un site non précisé au large de la Floride. " On estime que cette découverte représente la plus grande collection de pièces jamais récupérée dans une épave ", a annoncé l'organisation. " Le très bon état de la plupart des premières 6.000 pièces d'argent retrouvées a été une bonne surprise, et les pièces d'or sont presque toutes dans un état éblouissant." L'ensemble a été rapporté aux Etats-Unis pour être restauré. Selon un expert, les pièces d'argent pourraient être mises à prix entre quelques centaines de dollars et 4.000 dollars chacune !


    http://shipwreck.net/

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  •  La compagnie Shell a-t-elle découvert un OVNI ?

     

     

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    Voici un article que je trouve intéressant et que j’ai trouvé dans une revue, les faits remontent aux années 70 et a été traduit de « UFO Official d’août 1978 par l’organisme du GREPI »

     

     La plate-forme de la Shell « Pacesetter 2 », était installée sur le plateau continental, à 140 km de la côte du New Jersey, dans le « Georges Bank ». Lors du premier essai de forage, ils cognent sur quelque chose en métal. Pensant que c’est un bateau coulé ou un sous-marin de la 2ème Guerre Mondiale, ils consultent le War Departement et l’Allemagne de l’Ouest, mais aucune perte n’avait été enregistrée dans cette zone. Les sondages au sonar détectent un objet d’à peu près 15 m de diamètre, par 200 m de fond. Quatre treuils sont descendus, et l’objet est remonté à la surface. Il est couvert de coquillages et de crustacés cirripèdes. Une fois l’objet dégagé de ses parasites, une forme de « soucoupe volante » apparaît. Le responsable de la plate-forme appelle immédiatement ses supérieurs par radio à Atlantic City.

     

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    Trois officiels de la Shell arrivent en hélicoptère, accompagnés par un physicien du Massachusetts Institute of Technology. Les inspections préliminaires révèlent que l’engin a été immergé pendant environ 600 ans et contient un équipement qui « n’est pas de ce monde », et qu’on ne peut l’identifier. Un autre hélicoptère arrive avec 5 agents de la CIA, qui produisent une autorisation de la Maison-Blanche, et les informent qu’un bateau est en route pour récupérer l’appareil. La CIA essaie d’arrêter les physiciens dans leur opération de démontage de l’objet, mais un officiel de la Shell leur dit que tout ce qui se trouve sur la plate-forme est et reste propriété de Shell Oil Co, et qu’ils ne leur laisseront pas l’objet avant l’arrivée du bateau.

     

    Un assortiment de gadgets fut mis à jour, comprenant une tige qui produisait un arc électrique ressemblant à un éclair, qui causa un trou dans les nuages au-dessus d’eux, et une substance ayant l’apparence du mastic, qui fit une énorme explosion quand un petit morceau en fut jeté à l’eau. Le bateau de la CIA arriva peu après, et les agents commencèrent à emballer les étranges gadgets dans des sacs molletonnés. Ceux-ci, avec la soucoupe et les morceaux, furent transférés sur le bateau. L’homme qui rapporta ces faits retourna à Atlantic City avec les officiels de la Shell. Tous les hommes sur la plate-forme durent jurer de garder le secret, et de ne rien divulguer de ce qui était arrivé. Aucune communication ne fut jamais publiée au sujet de cet objet…

     


     

     

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