• Arctique- un bruit étrange venant des abysses

     

    Les forces armées canadiennes se sont dirigées au large de l’Arctique pour étudier un bruit étrange, retentissant du fond de l’abysse depuis l’été dernier, ayant envoyé un avion avec une équipe composée de chercheurs et de militaires.

    Le bruissement est survenu dans le détroit de Fury and Hecla, qui sépare l'île de Baffin de la péninsule de Melville de la partie continentale du Canada. 

    « Le ministère canadien de la Sécurité publique est au courant de bruits étranges venant du détroit de Fury and Hecla. Les forces armées canadiennes font tout le nécessaire pour une investigation dynamique », a déclaré un représentant du ministère.

    Les habitants autochtones inuits du village canadien d'Igloulik ont été les premiers à remarquer ce phénomène, quand les poissons et les mammifères marins ont quitté les lieux.


    Les premières versions sur des possibles travaux d'extraction de minéraux ou la présence de sonars de Greenpeace ont été finalement rejetées. Les baleines seraient donc les dernières suspectes possibles… « Elles produisent des bruits à basse fréquence pour communiquer à longue distance. Ce type d'écholocation peut provoquer la panique chez les poissons, mais pas parmi les mammifères sauvages. Le bruit des baleines peut être décrit comme tonnant. Mais il n'est pas pareil à celui que les chasseurs inuits ont entendu », a déclaré le professeur Steve Ferguson de l'Université du Manitoba. L'enquête gouvernementale se poursuit.

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  • allonautilus
    L'allonautilus se distingue du nautilus par une coquille plus épaisse et une mâchoire différente. [Capture d'écran Twitter]
     
    Des biologistes marins de l'Université de Washington ont repéré, pour la première fois depuis trente ans, un nautilus rare au large de l'île Ndrova, en Papouasie-Nouvelle-Guinée. Ce céphalopode, parent du calamar, existe depuis 500 millions d'années et est l'une des espèces les plus rares au monde.    C'est en 1984, que Peter Ward et Bruce Saunders avaient aperçu pour la dernière fois un allonautilus, une espèce de nautilus très rare. Ils avaient ainsi pu étudier ce petit mollusque cousin de la seiche et du calamar, protégé par une coquille spirale et disposant de petits tentacules courts ornant sa mâchoire.   Ils étaient arrivés aux conclusions que le "allonautilus" n'avait pas évolué depuis 500 millions d'années, et qu'il aurait ainsi survécu à l'ère glaciaire. Ce fossile vivant n'avait plus été aperçu depuis, 30 ans, jusqu'à ce mardi 25 août. Peter Ward, accompagné de biologistes marins de l'Université de Washington, a repéré un spécimen de allonautilus dans le Pacifique Sud, au large de la Papouasie-Nouvelle-Guinée.   L'allonautilus se distingue du nautilus par une coquille plus épaisse et une mâchoire différente présentant plus de tentacules, il leur a donc été facile de le distinguer de son proche cousin.
    http://www.directmatin.fr/animaux/2015-08-26/un-nautilus-prehistorique-repere-dans-les-abysses-du-pacifique-709308
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  • bottle
     
    Cette bouteille naviguait au gré des courants marins depuis plus d'un siècle. Elle a été retrouvée sur une plage d'une île allemande et contenait toujours son message d'origine.
     
    Ce n'est pas n'importe quelle bouteille qui a été retrouvée par ce couple allemand lors d'une balade en avril dernier sur la plage de l'île d'Amrun. Ce flacon est en effet le résultat d'une expérience scientifique menée au début du XXe siècle par l'Association britannique de biologie marine. Entre 1904 et 1906, 1.020 bouteilles ont ainsi été jetées à l'eau afin de permettre aux chercheurs d'étudier les courants marins.
     
    Une récompense promise à celui qui la retrouve
     
    A l'intérieur, un message indiquait à celui qui retrouverait la bouteille de bien vouloir retourner le document à l'association en indiquant lieu et date de la découverte, contre une récompense d'un shilling (soit environ 0,7 centimes d'euro). Une missive sous forme de carte-postale, adressée par George Parker, zoologiste et biologiste marin, alors président de l'association.
     
    Le couple allemand a donc suivi à la lettre les consignes, et renvoyé la carte à l'association. Ils ont reçu leur récompense : un vieux shilling dégoté sur Ebay par le directeur actuel de l'association.
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  • 1844605-sipa-ap21771989-000002
     
    Sur les traces de Pirates des Caraïbes ou de Tintin et le capitaine Haddock, une famille de chercheurs passionnée par les mystères a mis la main sur un trésor dans l’épave d’un galion espagnol, au large de la Floride (Etats-Unis), a indiqué ce mardi 28 juillet 2015 la société chargée des recherches.
     
    Estimé à un million de dollars, ce trésor comprend 51 pièces de monnaie en or, 12 mètres de chaînes en or et une pièce frappée pendant le règne de Philippe V. Cette dernière est l’élément le plus précieux de la trouvaille car elle est extrêmement rare.
     
    Des centaines de milliers de pièces jamais retrouvées
     
    Le trésor a été repêché il y a un mois dans les eaux profondes de la côte de Fort Pierce, à 130 kilomètres au nord de Miami, mais l’annonce n’a été faite que cette semaine pour coïncider avec le 300e anniversaire du naufrage d’une flotte de navires en provenance de Cuba, qui a sombré dans un puissant ouragan fin juillet 1715.
     
    Le trésor proviendrait du Capitana, un navire qui transportait quantité d'objets de valeur. À l'époque, l'Espagne avait récupéré une grande partie du trésor mais des centaines de milliers de pièces, d'une valeur estimée à 550 millions de dollars, n'ont pas été retrouvées...
     
    La loi autorise l'Etat de Floride à garder 20% des trésors découverts au large de ses côtes. Le reste devrait être divisé entre la société Queen Jewels et la famille à l'origine de la découverte.
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  • city of cairo1
     
    Ce mardi, au large de la Namibie à 5.150 mètres sous le niveau de la mer (2.000 mètres plus profond que le Titanic), l’entreprise Deep Ocean Search a remonté à la surface la cargaison du « City of Cairo ». © (Twitter).  
     
    Comme l’explique Le Figaro, la cargaison du « City of Cairo », un navire britannique coulé pendant la Seconde Guerre mondiale, a été retrouvée au large de la Namibie. Il transportait de la fonte, de la laine, mais surtout des caisses de pièces d’argent pour une valeur totale de 50 millions de dollars, soit 47,43 millions d’euros. C’est une prouesse technique sans précédent. L’entreprise Deep Ocean Search, qui regroupe des spécialistes de la haute mer français et britanniques, a mis le paquet pour retrouver l’épave du « City of Cairo », un navire britannique coulé pendant la Seconde Guerre mondiale. Cette équipe franco-britannique a même créé un sonar unique capable de sonder les océans jusqu’à 6.000 mètres de profondeur.   47,43 millions d’euros  
     
    Ce mardi, au large de la Namibie à 5.150 mètres sous le niveau de la mer (2.000 mètres plus profond que le Titanic), l’entreprise Deep Ocean Search a remonté à la surface la cargaison du « City of Cairo ». Un trésor estimé à 50 millions de dollars (47,43 millions d’euros): de la fonte, de la laine, mais surtout des caisses de pièces d’argent.   Page Facebook   Émue par cette découverte, l’équipe franco-britannique a même créé une page Facebook pour raconter cette aventure. Ça tombe plutôt bien. Comme le stipule la loi britannique, « les chasseurs de trésor peuvent empocher le pactole s’ils retrouvent une épave de la marine anglaise ».  
     

     

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